Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
.
Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
ce soir là, je reçois des amis à dîner.
Pour l'occasion je fais appel à un cuisiner à domicile. IL es 17 h il arrive jeune, brun et un peu efféminé. passer les présentation il part se changer afin d'attaquer le dîner. Il se change dans ma chambre, la porte est entre-ouverte, il change de pantalon est surprise il ne porte pas de dessous et je vois ce petit cul bien cambré, ma queue se met a gonflée aussi sec. Il m'avait surpris à lui matter le cul et me lance "il te laisse pas indifférent mon cul ?".... un peu gêner je lui réponds qu'en effet il était pas mal mais je ne m'empresse de lui demander si il aimerait une bonne queue avant de commencer et sans un mot il me déboutonne le jean's et prend ma queue gonflée a bloc à pleine bouche, je lui dit "t'aime ça petite salope bouffer de la queue" il me répondit la bouche pleine (le mal élevé !!) "oui Maitre" il me fit gicler au fond de sa gorge en quelques minutes.
je lui demandai ensuite de ne pas perdre de temps le repas devait être prêt à l'heure mais qu'il ne perdait rien pour attendre......
les premiers invités commençaient par arrivés, luc (c'est son prénom) nous servait des amuses-gueules et des anti-pastis à chaque fois qu'il me tournait le dos je ne pouvait m'empêcher d'imaginer son cul nu en dessous, à plusieurs reprises durant le repas ma queue se raidit à l'idée de le fourrer à la fin de la soirée. la soirée se passe sous les meilleurs hospices, le repas est excellent.
vers minuit les derniers invités prennent congés, nous voilà enfin seul. Je me dirige vers lui en lui dit " t'es une vrai petite salope a jus toi !" il me réponds " heu ... oui je crois " aussi toi sa phrase fini je lui tire les cheveux pour gober ma queue raide, il ne se laisse d'ailleurs pas prier et la prend a pleine bouche. Je le sens de plus en plus soumis a fil de cette bonne pipe, puis d'un coup brutal je le relevé le penche son torse sur le plan de travail et j'enfourne ma queue dans sa croupe et la à il me dit "vas-y je suis a pute bourre moi comme une chienne", il mit mon excitation au max et j'accélérai mes vas et vient ma queue bien a fond, son cul s'ouvrait de plus en plus; J'allais venir alors je lui attrapait violemment sa tête pour qu'il avale tout mon foutre. Il se délecta de ma semence.
Arès une pause clop wisky nous sommes allez prendre une douche ensemble oui il me lava les partie intime uniquement avec sa langue se qui vous comprendrez m'excitât à nouveau et je me remettais à le fourrer sous la douche.
Nous avons fini la nuit ensemble ou a plusieurs reprises nous avons baiser jusqu' a épuisement.
Bref une nuit inoubliable.
Recadrons d'abord l'histoire dans son contexte. J'habitais chez mes parents. Mes parents se sont séparés alors que j'étais relativement jeune. Si mon père a refait sa vie, ma mère, elle, n'a jamais eu de relation stable jusqu'à Laurent. Cela ne faisait que quelques mois qu'ils étaient ensemble mais ma mère et moi avions déjà emménagé chez lui. C'est un quadragénaire classique, pas très grand, barbu, quelques poignets d'amour...
Un matin, en me levant, je vois un mot de ma mère sur la table me disant qu'elle n'est pas là et que Laurent travaille. Je suis donc seul, l'occasion pour moi de ranger quelques affaires dans ma nouvelle chambre et d'explorer un peu cette grande maison. Il y avait cependant une pièce dans laquelle je n'étais jamais rentré, la chambre de ma mère et Laurent. Ma curiosité était telle que j'étais obligé d'y entrer.
La chambre était relativement grande et bien décorée. Mon côté fouine n'a pu s'empêcher d'ouvrir les placards, de regarder un peu partout. Entre deux étagères à vêtements, j'entrevois un tiroir assez profond que j'ouvre. Il était rempli des sous-vêtement de mon beau-père. Curiosité maladive et excitation, je ne peux que regarder. Il semble plutôt brancher slip, j'aperçois même un string. Soit. Mais à force de remuer ce tiroir, je constate qu'il n'y a pas que des sous-vêtements. Au fond, caché derrière slips, strings et autres chaussettes, des accessoires. Menottes, un gode assez énorme, du lubrifiant, des magazines pornos, un cockring, des mini-colliers de bonbons se mettant autour de la bite et autres accessoires occupaient ce tiroir. Ma première sensation était du dégoût, imaginer ma mère avec ce genre d'accessoires... brrr. Mais malgré ça, j'étais excité de découvrir tout ça, dans cette pièce. Je commence à bander, et l'envie de me branler est de plus en plus insistante. Jogging et boxer aux chevilles, je commence à me branler, tout en tâtant ces accessoires.
Je suis de plus en plus excité quand soudain, Laurent entra dans la chambre. Dans mon excitation, je ne l'avais même pas entendu rentrer. Je flippe totalement, j'ai peur de me faire engueuler et je me sens aussi vachement honteux, d'être là, en train de bander comme un ouf devant lui. Comme si de rien était, il me dit qu'il repassait juste chercher son portefeuille qu'il avait oublié. Je ne réponds pas, je suis assez figé. Il me lance "on s'amuse bien, à ce que je vois". Je suis super gêné, je n'ose à peine sourire. Il détourne son regard de moi et vois son tiroir, dans un bordel sans nom. Il rit.
- "Ca t'a excité ?"
- "Je suis désolé, je rangerai tout mais ne dis rien à ma mère, s'il te plaît"
- "Ne t'en fais pas pour ça. C'est juste dommage qu'à ton âge, tu en sois encore au stade de t'amuser tout seul".
Je me sens super con. Pourtant, à 18 ans, j'avais déjà eu quelques expériences. Mais face à lui et son tiroir, je me sentais pire que novice en la matière. Je ne lui réponds pas, je souris juste. Il s'approche et me demande "Qu'est-ce que tu as essayé ?" - "Arrête, ça me gêne" - "Mais il n'y a pas de quoi être gêné, c'est normal". Il y avait certains trucs dans ce tiroir dont je ne connaissais même pas l'utilisation. Il me sort "J'ai du temps devant moi, aucune urgence au boulot. Tu veux que je t'apprenne à te servir de quelques trucs ?".
Je lui réponds au début que non, que je suis déjà assez gêné.
"C'est dommage, vu comme j'ai réussi à faire plaisir à de nombreuses femmes expérimentés, je n'aurai sûrement eu aucun problème à comblé un gamin comme toi".
Un silence s'installe, je lui réponds "Euh... je ne sais pas. Tu ne diras rien à Maman, hein ?". Il rit. Il sort carrément le tiroir et vient s'asseoir sur le lit, à côté de moi.
Il commence d'abord par me montrer son cockring et à m'en expliquer l'utilité. Je suis de nouveau super excité. Il me demande s'il peut me le mettre, j'accepte sans hésiter. Il sort ensuite son gode. Sans exagérer, il était vraiment énorme. Il avoisinait facilement les 25cm sur 7. Je me permets de lui demander à quoi lui sert-il, s'il s'en sert pour son plaisir personnel. Il rit et me répond que non, qu'il s'en sert pour exciter encore plus les femmes avec lesquelles il couche. Je suis impressionné, ce mec devient en quelques minutes mon fantasme absolu tant il a l'air d'être un bon coup. Il me demande de sortir ma langue. Il passe le gode dessus et en met ensuite une partie dans ma bouche. Me voyant l'aspirer avec plaisir, il me dit "Tu m'as plutôt l'air habitué", je ne réponds pas, je savoure le moment. Il me demande ensuite si je le veux dans le cul, ce à quoi je réponds positivement. Mais il me demande aussi si cela m'exciterait d'être menotté pendant qu'il me gode. Je souris et approuve.
Nu, les deux bras menottés aux barreaux du lit, je suis tout à lui. Après avoir bien lubrifié le gode, il commence par me titiller l'anus avec ses doigts et enfonce petit à petit le gode. Je ne peux m'empêcher de gémir et de le regarder faire. Il apparaît tellement concentré, avec une envie de me faire du bien. Excité, je lui demande s'il pourrait se déshabiller, que cela m'exciterait encore plus. Il sourit et me dit que ce n'est peut-être pas une bonne idée, qu'il est mon beau-père. Mais à ce moment précis, je m'en fous et à force d'insister, j'obtiens gain de cause. Il se déshabille et je vois son corps viril. Finalement, il est plutôt bien foutu et a une belle carrure. Il garde cependant son slip, un slip noir, par lequel j'entraperçois une bite pas tout à fait en érection, qui a l'air plutôt épaisse. Toujours attaché, je sens qu'il recommence à me goder. Je n'en peux plus, je n'ai qu'une envie, me branler. Lui est toujours aussi concentré, comme si mon plaisir passait avant le sien.
Ne pouvant me branler, je fais bouger ma queue comme je peux et finis par éjaculer très vite sur moi-même. Il me détache et je le remercie pour ce moment. Il sourit, encore, et s'en va, après s'être rhabillé.
Derniers Commentaires