Wesh mes petites lopsas,

T'as cru que j'allais te laisser repartir à vide bâtard ? Je viens de me rappeler d'une aventure grave bandante alors j'voulais te doser à distance en te la racontant t'as vu.

Si t'as un peu bougé ton troufion de pute dans les gymnases de quartier, tu sais que ça flaire bon la crasse, la pisse, la chauss de mâle, la transpi fumante… le gros blédard en rut tu vois le truc. Le keum qui demande pas souvent ton avis et décide à ta place.

A l'époque, j'avais quoi 19 ou 20 ans, j'avais les burnes vite remplies, je devais me vider souvent pour pas exploser. J'étais un charognard mais je devais mater les meufs pour pas éveiller les soupçons auprès d'mes potes… sauf que c'qui me faisait kiffer grave, c'était de repérer et déglinguer les petites pucelles homo, les gays refoulés, timides… pas facile t'as vu mais les défis ça me connait.

Un soir, pendant un entraînement de foot en salle, j'avais bien repéré une tite lope… il était timide, il parlait à peine… t'avais envie de le tarter pour qu'il ose dire un mot. Sur le terrain, je m'amusais grave à le chambrer, le titiller en scred. Genre, pendant les corners ou les coups francs, t'inquiète mon gars que j'baladais mes mains sur son derche de puceau. Il rougissait le pti gars, ses yeux inquiets me regardaient et vite se rebaissaient, un peu gêné… Mmh putain j'avais une envie de défonce… Fallait que je me retienne pour pas bander… Avec les shorts de foot, t'es grillé direct mec.

A la fin de l'entraînement, direction les vestiaires pour récupérer son matos, j't'assure que dans mon bled, ya pas un gars qui allait se doucher. Comme j't'ai décris, c'est la zone et en plus douche collective. Les mecs allaient juste pisser dans les douches, les pissotières étant HS. Du coup t'imagine bien, les mecs se changeaient vite fait, prenaient leur sac et se cassaient. Mais Malec guette, j'étais à l'affût de mon quart d'heure américain… Je le voyais c'te pute assis sur le banc cherchant à croiser personne du regard… Pendant qu'il est allé pisser, j'ai réussi à voler une tn à lui… Vu le prix tu vois, je pense qu'il va bien la chercher en stress !! Je suis un psychopathe moi, obligé je vais le défoncer tranquille.

Mes potes et les autres se tirent petit à petit… lui je le vois commencer à s'exciter à chercher sa tn. Il regarde un peu partout, je le vois un peu se décomposer… Tout le monde est parti et il reste ma pucelle… je le dévisage… je le viole du regard… je me touche un peu à travers mon short, mes tn en évidence comme pour le narguer, assis comme un crevard sur le banc, cuisses légèrement écartées pour bien aérer. Il commence à zieuter un peu vers moi, l'air apeuré, préoccupé. On dirait que je lui fais un peu d'effet, j'attends que c'te pute me parle, me demande si j'ai pas vu sa tn… Mais putain ce bâtard est trop mou j'en peux plus d'attendre alors je passe à la vitesse supérieure. J'ai grave la gaule…je dégage mon zgeg et mes burnes de mon short… La tite pute me regarde en biais et détourne direct… Je sors sa tn de mon sac et j'insère ma grosse queue dedans… Mmmh ça me grave kiffer. La pucelle me regarde à nouveau et là il se demande c'qu'il se passe… je commence à faire mon vicelard avec sa tn, il se met enfin à m'parler…

« Excuse moi mais tu fais quoi avec ma tn là ? »… Je réponds pas et je continue de caresser mes burnes bien remplies et d'enculer sa tn…

« Steuplait, tu veux pas arrêter et me la rendre ? »… Le mec s'approche avec son regard de cleps… Mon regard noir à l'air de l'impressionner… Je tente ma chance…

« Viens me lécher sale pute si tu veux la récup »… Je sors ma bite bien épaisse, droite en face de lui… Il dit rien, il est assez gêné… Il semble perdu mais s'approche de moi…

« Vas-y te bouge pédale, j'ai pas qu'ça à foutre »… Le mec se rapproche encore plus, il commence enfin à m'effleurer. On sent tous les deux la transpi et ma bite a des odeurs de pisse et de chaussette… Le mec met ses mains sur mes cuisses et s'agenouille en me regardant… Il est inquiet mais excité à la fois… Je le prends à la nuque et je lui fous son museau dans sa tn…

« Vas-y inspire bien sale clébard »… Je le tire vers mon dard…c't'enculé se laisse faire…

« Vas-y lèche moi nettoie moi ça un peu »…Toujours avec sa tn, je commence à lui claquer la joue avec… je lui fais lécher mes burnes… il semble un peu rebuté par l'odeur mais il lèche bien… je le frappe un peu… je le fais remonter vers mon gland qui mouille bien déjà…Il lèche bien et le force direct jusqu'au fond de sa gorge pour voir s'il est capable de tout prendre… Putain de pute, il tousse rapidement…

« Putain, tu vas tout prendre enculé, ouvre bien ta bouche et tire la langue là »…Je réessaie et ça passe un peu mieux, je sens comme s'il voulait vomir mais je le force à rester à fond…Il a des hauts le coeur mais se calme… Mmmh je le tiens bien là avec ma main gauche qui le maîtrise et ma main droite qui lui claque sa gueule avec la tn…

Après que ce clébard m'ait bien nettoyé… Je me lève, je le tire avec moi et je le traîne vers les douches… Ya de bons restes de pisse parterre, je le jette comme une merde au sol, la tête dedans…J'enlève mon short et lâche sa tn…

« Wé sale pute, t'aime ça la pisse »… Putain je kiffe grave ma race à le voir sur le sol crade. Je lui retire son short de pédale… Je commence à lui mollarder le cul, je repose fermement ma main sur sa nuque pour le coller sur la pisse… Avec l'autre main, je lui claque bien son petit cul… Le mec fait des petits bruits qui me font péter un plomb… Je lui enfonce des doigts…Je continue de cracher comme un chameau… Quand il a la teucha bien ouverte, j'attends pas longtemps… Je me positionne bien derrière lui… Mes tibias sur ses jambes écartées… Mes mains autour de son cou… Le keum peut pas s'échapper t'as vu…Il est complètement à ma merci…Et là je m'insère comme un bœuf dans sa chatte…

« Arghhh ouais fils de pute, t'aime être enculé par la bite de Malec »… Ah wé mec, je rentre comme dans du beurre, j'aime aller à fond… Je sens sa paroi anale… Je sens que c'est un peu merdeux mais j'm'en carre… Je vais le défoncer comme jamais… Je bute au fond, mes grosses burnes lui claquent son cul… Putain c'est bon, je commence à bien le doser… Je ressors et je rentre à nouveau plus direct… Le mec pousse des cris, la gueule éclatée contre la crasse. Je ressors, ya un trop plein d'air mais je rentre direct… Le mec en peut plus….Je commence alors à limer comme un crevard…

« Wé…wé mec… Tu me sens bien là…wé… encaisse…encaisse »… Mmmh c'est trop bon de pilonner un bon cul de sous merde pucelle… C'est un peu serré…C'est joussif… J'ai envie de cracher mon yop dans son trou de pute… Ahhh putain je suis comme un fou… Les claquages de son cul résonnent dans les douches… Ahhh putain je viens… il crie… Je suis à donf… Je râle de plaisir… Je le mitraille avec des jets de foutre dans sa chatte… Je le remplis comme jamais il sera rempli…

Ahhh c'est trop bon… Je sors bien doucement… je bande encore un peu… Une fois sortie, ma queue goutte encore, à l'odeur elle a bien récuré son derche de fiotte… Je le tiens toujours bloqué au sol, j'approche ma grosse queue vers sa gueule et je l'oblige à me nettoyer… Il est un peu dégouté mais putain c'est l'extase… Je le regarde se forcer à lécher, à gober ma queue au foutre...

« Wé c'est bien bâtard, wé c'est bon ça lèche bien... tu encaisses bien… tu peux reprendre ta tn »…

Une fois ma queue bien lustrée, je vais pour me casser… Je le laisse là c'te pute… Je le prends en photo…

« Tu dis rien bâtard, sinon je diffuse… à une prochaine fois »…

Après avoir été initié récemment au sex avec un gars, j'avais sans cesse le corps qui en redemandé.

J'avais adoré laisser un gars m'utiliser pour se faire plaisir et se vider en moi.

Mais habitant en province, et n'ayant pas fait de coming out (je ne savais même pas à l'époque ce que c'était. Mon corps me réclamait du sex et de la teub et je ne pensais qu'à ça), il était difficile de m'adonner à mes envies régulières de teubs.

Je restais donc discret.

Un jour, mon père, grand, autoritaire, hyper sociable et footeux, proposa de m'emmener avec lui à son entrainement de foot pour selon lui "me sortir de la lecture de livres et me sensibiliser au sport".

Bien sur réticent, voir des gars courir et se fatiguer autour d'une balle, ça n'était pas du tout mon kiffe.

J'ai donc du accompagner mon père et je me suis posé sur les gradins pour le voir lui et ses potes s'entrainer pendant des heures.

A la fin des entrainements, il m'appela et me demanda: "alors, t'en as pensé quoi ?".

Moi j'en avais rien pensé du tout sinon que je m'étais grave fait chier.

Mais je fis genre d'être impliqué:" ouais vous vous êtes donnés à fond ça se voit. Et est-ce que vous avez un rôle établi ou chacun peut être goal, attaquant..."

Sur cette question, mon père s'emballe en pensant que j'étais vraiment intéressé et se met à m'expliquer toutes les règles du foot.

En me parlant il se dirige vers les vestiaires avec ses potes alors je le suis en l'écoutant.

Arrivés dans les vestiaires, je m'installe sur le banc au milieu de tous les joueurs qui se changeaient et se préparer à aller se doucher.

Mon père se déshabille devant moi avec un peu de pudeur que je ne lui connaissais pas.

Les autres joueurs n'avaient pas la même pudeur et chacun se foutait à poil, passait à la douche et revenait dans les vestiaires se sécher et s'habiller pendant que mon père continuait à m'expliquer les règles du foot.

J'en profitais pour mater discretement et je kiffais ce moment entre gars et je commençais à bander sévère dans mon pantalon.

Puis mon père me dit qu'il partait à la douche et qu'il continuerait son explication après.

Il me laissa seul dans le vestiaires ou je regardais les gars aller et venir à poil sans pudeur puis se rhabiller.

A un moment, je me rendais compte que je matais trop et je chercha à être plus discret.

Un des joueurs près de moi qui sortait de la douche me regarda et me dit:"alors c'est toi le fils de Paul ?"

"Yep"

- T'es la depuis longtemps ?

- Oui mon père m'a emmené ici découvrir le foot

- Et t'as aimé ce que t'as vu ?

J'étais d'un coup gêné par la question parce que oui j'avais grave aimé ce que j'avais vu mais dans les vestiaires pas sur le terrain.

- Ouais vous êtes tous très sportifs et musclés, ça se voit. Moi j'ai un corps plus fin et ça se voit

Et tout en s'essuyant le corps et l'entre jambe avec sa serviette, il me dit:

- Ah ben ça oui, t'es tout gringalet, ça se voit mais on commence tous comme ça. Il faut que tu fasses du sport. Et comme tout, ça demande de l'entrainement.

Je l'écoutais parler en matant sa teub qui me faisait grave envie mais je me suis repris en essayant d'être discret

- Ouais, de l'entrainement, t'as raison mais pas avec mon père, il est trop autoritaire, trop d'exigence. Moi j'ai besoin de m'amuser pour m'entrainer

- Ouais avec ton père ça rigole pas, tout est super sérieux tout le temps lol

- Ouais...

je me rendais compte que je matais trop sa teub

Il a du s'en rendre compte et me dit:

- Mais tkt, on est plusieurs à savoir s'entrainer en s'amusant. Me dit il avec un clin d'oeil

Je ne savais quoi faire alors je décide de sortir des vestiaires

Je me posais à la sortie des vestiaires à côté des toilettes.

J'étais en total excitation mais en même temps j'étais gêné par la situation que je devais halluciner.

Le gars du vestiaire sortit et me vit, il s'approcha de moi et des chiottes et me dit:

- Ah t'es sorti ! je t'ai mis mal à l'aise ?

- Non non mais tu t'habillais alors je voulais te laisser un peu d'intimité

- Roooo, t'as bien vu nos habitudes, ici, personne n'est pudique, donc tkt

- Ah ok, c'est que je suis pas habitué

- Habitué à quoi? me dit il en entrant dans le chiottes

Je le suivais alors en continuant à parler

- Ben chez moi on est assez pudique alors je suis pas habitué donc je voudrais pas mettre mal à l'aise les gars en regardant ce que je ne peux regarder

il s'approcha alors de l'urinoir tout en me parlant et sortit sa teub et commença à pisser

- Mais non, tkt, on est tous pareil, pas de gêne à avoir et puis une teub t'en as déjà vu nan ?

Et la je l'écoutais en matant sa teub qui se déversait

- Ouais j'ai déjà vu la mienne bien sur mais en voir autant dans un même lieu je suis pas habitué

Il terminait de vider sa vessie en secouant sa teub que je matais maintenant sans scrupule

- Tu sais tu père t'expliquait le fonctionnement et les règles du foot mais avant tout ici on est une team, on est honnete entre nous et on se soutient, c'est ça l'esprit sportif !

- Ah ouais ? sur le terrain vous vous soutenais ?

- Pas que sur le terrain, on est une team alors on se connait bien, on se juge pas, on s'apprend des choses, on s'amuse...

- Comment ça vous vous amusez ?

- Tu veux que je te montre ? Tu seras pas choqué ?

Je me suis senti d'abord insulté par cette demande, alors j'ai fait le gars sur de lui que rien ne choquait

- Bien sur que non ! je sais pas ce que tu veux me montrer mais je sais que ce sera rien par rapport à ce que j'ai déjà vu

- Ah ouais ? dis m'en plus ?

- Non non toi tu voulais me montrais un truc d'abord alors je t'écoute

- Héhéhé alors ok, ici dans la team on se soutient et on s'entraide et parfois on partage nos plaisirs ensemble

- Ah oui ?

- Oui, par exemple je vois que tu bandes depuis que je te parle

Moi super gêné, j'ai rougi en deux secondes je ne savais plus quoi dire...

- Hien ? mais non...

- Vas y c'est pas grave, tkt, on est tous passé par la. Tu aimes te branler ?

- Euh oui enfin non, je me rendais compte que c'était le pote de mon père et je ne tenais pas à ce qu'il lui dise

- Bien sur, comme nous tous, on est fait pareil. Je vais te montrer un autre truc, tu me fais confiance ?

- Ben je te connais depuis seulement cet aprem mais t'es un pote de mon pote donc j'imagine que tu me feras rien de trash

- Non rien de trash c'est sur, dit il avec un sourire malicieux et pervers, mais tu vas aimer tkt

Je m'approchas de lui et lui sortit sa teub à demi molle et me dit :

- Vas y prends la en bouche tu vas voir, tu vas t'amuser

Hésitant mais excité je me suis approché et ai pris sa teub en bouche qui rapidement prenait du volume

- Oooh oui, tu la gobe direct... huuum t'es joueur toi... continue j'adore...ça te fait du bien ?

- Je sortis sa teub de ma bouche et lui répondis un timide oui puis je la ré engloutis direct, j'adorais ça

- Vas y maintenant imagine que tu veux la manger tout entière, essaie de la prendre en bouche le plus loin possible... ouais comme ça, mais putain tu suce trop bien... t'aime ça la bite jme suis pas trompé

- Glurp... ouais grave ... et t'as une super teub je kiffe l'avoir en bouche... slurp

Et la il se mit à me maintenir la tête et commença des va et viens en me traitant de salop, de gobeur de bite

Je sortis sa grosse teub de ma bouche et lui dit:

- Des comme les tiennes j'en goberais tout le temps j'adore ça

- Putain tu m'excites en vrai t'es trop une chienne

La le désir de jus et de bites l'emportait

- Ouais une grosse chienne si tu veux

- Il me maintient la tête, ouaiiiis une bonne chienne qui kiffe le bon juuuuus...ouais avale !!!! huuum tu suces trop bien ....arghhhhhhh

Et la il me maintient la tête avec force mais je ne pensais même pas à résister

- Arghhhhhh je viens !!!!!!!!!!

je ne bougeais plus et j'ouvrais bien la bouche pour prendre tout son jus que j'avalais direct par reflexe. Son jus était trop bon, j'en voulais toujours plus et me mis à le têter jusqu'à avoir une autre dose.

Lui epuisé, exultait et m'écarta la tête de sa teub

- Argh mais t'en veux encore on dirait mais la tu m'as vidé

Je continuais d'avaler son jus et après avoir bien déglutis:

- Ouais trop bon j'ne veux encore

- T'es une sacrée chienne en chaleur toi

- ... Ah désolé...

- Non non t'excuse pas, c'était top. Si on m'avait dit un jour que le fils de Paul si autoritaire était une vraie chienne affamée de jus je l'aurais pas cru. Tu m'as bien vidé....

Je ne savais pas quoi répondre

Je réalisais alors que je venais de vider le pote de mon père et commença à flipper qu'il en parle à mon père

Il a du deviner ma pensée et me dit:

- Tkt ça reste entre nous, je n'en parle pas à ton père, il me défoncerait mais c'était un plaisir !

- Merci et pareil pour moi j'ai adoré ton jus

- Ah ouais ?? tu kiffes le jus ?

- Grave...

- Ben attends la, j'arrive...

Et la, il sortit des chiottes et je me retrouvais con à genoux avec encore le gout de son jus dans la bouche, un régal

...

Il revient qlq minutes après et me dit de me mettre dans un toilette séparé, pour plus de tranquilité ce que je fis sans même penser à broncher

- J'ai un cadeau pour toi, t'aimes vraiment le jus ?

- Ouais grave !!!

- Ok, ben reste la et je vais t'en donner.

- Cool !!

- Par contre, tu restes discret hein !! tu kiffes sucer ?? ben tu suceras sans rien dire ok ?

Je ne comprenais pas ce qu'il avait en tête mais je répondis : "oui"

Et la, je l'entends dire "vas y c'est bon" et je vois un gars de l'équipe arriver à me filer direct sa teub à sucer

Je la prends direct en bouche et me mets à la sucer tranquillement quand le gars me dit:

"vas plus vite, ton père est encore dans le douche faut se magner, y'ne a d'autres qui attendent"

Je me mets alors à le sucer vite en le branlant et il ne tarde pas à se vider dans ma bouche en disant "ouiiiiiii Prends tout mon jus...jme fais vider par le fils salope de Paul... ouais avale tout"

J'en ai plein la bouche et le gars se rhabille pendant que je déglutis et pas le temps car une autre teub arrive et me remplis la bouche à nouveau.

Je kiffe ce moment ou j'en suis à ma troisième dose de jus et savoir que c'est le jus des potes de mon père m'excite encore plus et me rends encore plus affamé et je suce et avale comme si j'étais affamé

Je suce et vide et avale une 10aine de teub jusqu'à ce que le pote de mon père, le premier que j'avais sucé arrive et dise que mon père sortait de la douche et qu'il fallait arrêter.

Le gars que je suçais ne m'avais pas encore donné son jus qu'il se retira, stressé, rangea sa teub et partit.

Les autres gars firent comme lui...

Je me retrouvais à genoux encore en attente de jus...

A fond excité par toutes ces teubs que je venais de vider et d'enchainer, je réalisa que mon père était là. retour à la réalité, coup de stress.

Je me relevas et me dirigea vers les vestiaires, avec encore en bouche le gout de tous ces jus que je venais de gouter.

Mon père me vit, il était à poil en train de se sécher et me dit:

- " Ah t'es la, j'ai pris une bouche douche !! ça fait plaisir de se laisser aller après une bonne séance d'entrainement !!"

- Je suis d'accord avec toi

- Mais toi tu faisais quoi dehors ?

- Ah je passais du temps avec tes potes, on parlait des bienfaits de l'entrainement.

- Ah voila ! c'est ce que je te disais ! C'est avec l'entrainement qu'on devient meilleur !!

- Oui je suis d'accord

Si seulement il savait que je venais de vider les burnes de l'ensemble de son équipe, je suis aps sur qu'il dise la même chose

Pendant qu'il continuait de me parler des bienfaits d'une activité sportive, je regardais derrière lui ses potes qui se touchaient le paquet en me regardant et en me faisant des clin d'oeil.

- Bon les gars je repars avec mon fils, à la prochaine

- Ouais à la prochaine, et ramène ton fils encore la prochaine fois ! il commence à apprécier le sport d'équipe !!

Si mon père savait que j'avais tout ce jus de ses potes en moi.

Moi je kiffais et avais hâte de revenir...

C'est l'histoire de Vincent qui jamais au grand jamais n'aurait pu penser qu'un jour il deviendrait la salope et le vide couilles de toute sa cité.

Vincent est un beau gosse qui viens tout juste d'avoir ses 19ans son charme et sa beauté naturel fond qu'il na qu'a claquer des doigts pour avoir toute les meufs qu'il veux se qui suscite évidemment pas mal de jalousie surtout dans la cité où il habite, peuplé en majeur partie par des racailles, des zonards qui ne branle rien de leur vie mais en buvant des bières et en fumant des joints toute la journée. Vincent n'en a que faire d'eux car lui au moins il a un travail et est indépendant avec son petit appartement qu'il loue malheureusement dans ce quartier et bien souvent en traversant la cité se pavanant au bras d'une copine il les toisent du regard avec un petit sourire en coin qui veux dire « bande de connards...» mais ce petit jeux ne durera pas longtemps car les mecs vont se venger qu'il les narguent ainsi. C'est donc un soir alors qu'il rentre chez lui après avoir dîner chez sa copine que le début de son enfers va commencer.

À peine être rentrée dans le hall de son immeuble il est attaquer par 2 mecs cagoulé, l'agresseur qui est en face de lui, lui assène un bon coup de point dans le ventre qui le plie en 2 tandis que l'autre derrière lui en profite pour lui bloquer les bras derrière le dos, menacé d'un couteau sous la gorge l'un des mecs lui dit:

- chut… tu ferme ta gueule et tu nous suis gentiment ou sinon j'te saigne t'as compris?

Vincent fait oui de la tête et accompagner de ses ravisseurs ils descendent dans les caves.

- alors bâtard ça t'amuse de faire le fière devant nous avec tes meuf hein? Et ben là ce soir c'est avec ta petite gueule d'ange que tu va nous servir…

c'est alors que lorsque le mec qui le maintiens toujours les bras derrière le dos en le forçant à l'agenouillé et que l'autre commence à se débraguetté qu'il comprend qu'il va être violé.

- arrêter les mecs pas ça… qu'est-ce que vous voulez en échange? De la tune?

- non mec… tu va simplement nous sucer…

- mais merde… suis pas PD…

- nous non plus sale bâtard mais toi tu va le devenir espèce de petit enculer…

à ses mots le mec lui sort une belle grosse bite à demis molle en lui intimant de le sucer, Vincent refuse en baissant la tête.

- Rachid, relève lui la tête pendant que je m'occupe à le faire obéir…

ça y est Vincent connaît le prénom du ravisseur derrière lui et va aussi connaître celui qui est devant lui avec sa bite à la main, Rachid lui relève alors la tête en le tirant par les cheveux.

- OK vas-y Youcef…

- allez… suce…

devant son refus Vincent se prend 2 bonnes gifles dans la gueule.

- ouvre la bouche et suce bâtard...

claque… il se reprend 2 autres gifles

- allez salope… j'tai dis d'ouvrir ta gueule et de sucer…

par force Vincent na d'autre choix que d'obéir et ouvre tout doucement sa bouche.

Claque...

- ouvre la plus grande…

la bouche grande ouverte Youcef lui enfonce son chibre.

- OK maintenant suce et n'y met pas les dents sinon tu morfle...

après chaque 3-4 coups de va et viens dans sa bouche il se prend des gifles.

- suce mieux que ça…

claque…

- mieux que ça salope… tu va voir tu va apprendre à sucer bâtard… allez recommence… passe bien ta langue autour de ma bite…

claque, claque…

- vas-y salope… suce… voila…. Comme ça….tu commence à comprendre… c'est bien continue salope…

pendant que Youcef se fait sucer Rachid est en train de se branler en attendant de se faire pomper à son tour ce qui ne tarde pas.

- suce mon pote maintenant...

pendant que Vincent suce Rachid, Youcef en profite pour essayer de lui enlever son pantalon mais Vincent comprenant son intention se débat vivement seulement très vite il est plaquer sur le dos et pendant que Rachid lui bloque les bras avec ses genoux derrière la tête tout en lui flanquant des baffes dans la gueule Youcef le défroque puis il est retourné comme une crêpe sur le ventre, Rachid le maintiens fermement par les bras alors que Youcef s'allonge sur son dos en frottant sa bite contre ses fesses et en lui murmurant.

- inutile de te débattre comme ça car j'vais quand même défloré ton p'tit cul, après se sera au tour de Rachid de t'enculer... pour une 1ere je vais être gentil et y aller doucement alors ne me force pas à être violent en te baisant comme un bourrin si tu ne veux pas avoir trop mal…

Vincent sais maintenant qu'il na plus le choix que de se laisser faire et redoute cette 1ere sodomie. Youcef crache plusieurs mollard sur son trou pour bien l'humidifier ainsi que sur son chibre, tout en écartant ses fesses il frotte son gland à l'entrée de son petit trou et commence à forcé le passage, les cris de douleur de Vincent ne permet pas à Youcef de s'arrêter à s'enfoncer et lorsque son gland est enfin rentrée dans son orifice il s'arrête afin qu'il puisse petit à petit s'habituer à avoir quelque chose dans ses entrailles… Vincent commence à se détendre, Youcef s'enfonce peu à peu et une fois bien calé au fond il commence ses vas et viens… bien que Vincent a mal sous les coups de butoir de son violeur il serre les dents en gueulant de douleur… sans doute sous l'effet de l'excitation Youcef ne met pas longtemps à jouir et ensemence le cul de Vincent puis comme prévu c'est au tour de Rachid de se vider les couilles en l'enculant, Vincent ne se débat plus car il sais qu'il na pas d'autre choix que de subir et se fait enculer pour la 2eme fois de sa vie…

après que Rachid est bien éjaculer sur son cul Youcef le prend en photo et passe un appel.

- allô Ben? Ouai c'est Youcef là… quitte pas je t'envoie quelques tof… ça y est? Tu les as reçu? OK t'as deviner qui c'était…. Ouai c'est ça le p'tit branleur de la cité… ouai j'te jure on l'as serrer avec Rachid… ouai… ouai… bah avec des coups de baffe dans sa gueule il n'a pas eu le choix… ouai OK on arrive… allez bâtard rhabille toi on se casse ailleurs la soirée n'est pas fini pour toi…

comme un automate Vincent commence par ramasser son caleçon mais Youcef le lui retire des mains.

- non laisse ça ici t'en as plus besoins désormais… une salope ça vie cul nu… allez dépêche de remettre ton fut ou tu sort à poil… Ben nous attend...

Ben est en quelque sorte le parrain de la cité, il chapeaute son petit réseau de drogue et de prostitué, il n'est pas PD mais cela l'excite de pouvoir mettre aux ordres le p'tit branleur de Vincent (comme il l'appel) qu'il à mainte et mainte fois défié du regard au bras de ses copines…

5 mn plus tard Ben ouvre sa porte à Youcef et Rachid qui tiennent Vincent par le col de son blouson pour le lui présenter comme un trophée.

- salut les mec… alors comme ça vous vous êtes occupé de ce p'tit branleur…

- ouai mec et crois nous il vaut le coup…

Ben s'adresse à Vincent…

- alors comme ça toi le p'tit malin tu suce des bites et tu te fait enculer...

comme Vincent ne répond pas Youcef lui flanque une baigne derrière la tête

- répond quand on te cause…

- non…

-comment ça non? J'ai pourtant une preuve…

et là Ben lui montre les photos que Youcef lui a envoyer en train de sucer et de se faire enculer puis avec son cul plein de foutre.

- bon ben… maintenant tu va me montrer c'que tu sais faire avec ta bouche… allez à genoux…

et vlan… comme il ne bouge pas une autre baffe s'abat derrière sa tête.

- obéi bâtard et fais ce qu'il te dit…

à genoux il attend que Ben se défroc mais après sa 1ere humiliation de s'être fait violé sa 2eme est de devoir allez chercher la queue de Ben dans son pantalon comme une chienne affamé de bite…

- et ben alors? Qu'est-ce t'attend? Vas-y viens chercher ton os...

lentement Vincent baisse le jogge et le boxer de ben lui dévoilant une longue bite non circoncise pendante sur des grosse couilles…

- allez vas-y… lèche…

clac… Ben viens de lui flanquer une baffe dans la gueule.

- lèche je t'ai dit...

Vincent lèche alors cette bite de haut en bas et de bas en haut qui se met à grossir.

- OK prend là dans ta bouche et suce maintenant… (vlan… encore une baffe) suce je t'ai dit… voila comme ça… hummm… t'es bien comme toute les putes tu ne comprend que par des baffes dans la gueule… allez vas-y suce… suce salope… hummm… ouai pas mal… tu suce bien pour un mec… vous l'avez bien former les mecs… putain!!!!! comment c'est trop bon…clac... t'arrête pas salope… bon maintenant j'vais goutter à ton cul… défroque toi… ha ouai… parce qu'en plus t'es cul nu sous ton froc??????

- ouai on lui as confisquer son calbut… une salope ça doit rester cul nu non?

- ouai vous avez raison… bon allez tend bien ton cul sale bâtard…

pour la 3eme fois Vincent se refait enculer en se faisant fessé en même temps.

- hummm… t'as un bon p'tit cul serrer mais tu va voir lorsque toute la cité te sera passer dessus tu ne sera plus qu'un garage à bite...

et voilà que dans un grand râle de jouissance de Ben, Vincent se refait féconder le cul. Cela dit il n'est pas au bout de ses surprises car Ben après s'être rhabillé relis une caméra à son ordinateur et là il visionne le petit film fait à son insu entrain de sucer et de se faire baiser… pire encore, Youcef l'informe que tout le répertoire de son téléphone portable à été recopier.

- bien… maintenant que tu es sous contrôle tu deviens officiellement une salope et une pute… on va pas te mettre sur le trottoir mais par contre tu va devoir être à dispos a notre demande sinon on diffuse la vidéo à tout tes contacte… pour commencer tu va t'épiler complètement, ça veux dire pubis, bite, couille et trou du cul… tu te démerde comme tu veux mais la prochaine fois qu'on te convoque tu dois être lisse comme une pute… allez casse toi maintenant…

chancelant et mort de honte Vincent repart chez lui non sans avoir mal au cul par le fait de s'être fais baiser et fesser… après un bon bain il va se coucher mais ne trouve pas le sommeil. Dans la matinée alors qu'il s'était assoupi un peu il sursaute en entendant le téléphone sonner, il prend peur que se soit ses violeur mais non c'est sa copine,d'une voix fatigué il lui raconte un mensonge en lui disant qu'il à été malade toute la nuit et qu'il va passer le reste du WE au lit. Il passe les deux 1er jour de la semaine dans l'angoisse de refaire une mauvaise rencontre et c'est au 3eme jour qu'il est repris pour cible… en effet, Youcef l'attend dans le hall de son immeuble.

- salut salope…

- qu'est-ce que tu veux…

là il se prend une baffe dans la gueule.

- parle moi sur un autre ton bâtard… et ce que je veux c'est me vider les couilles dans ta bonne petite bouche de salope… allez… viens par là…

Youcef, d'une bonne poigne le prend par le cou et se dirige dans la cage d'escalier.

- allez salope à genoux et taille moi une bonne pipe…

Vincent ne réagit pas tout de suite alors il se reprend une baffe…

- j'tai dit de te foutre à genoux salope… vas-y suce ma bite… t'inquiète... ça va pas être long, ça fait 3 jours que je m'suis pas vider les burnes… allez dépêche… j'ai pas trop envie qu'on nous surprenne et qu'on crois que J'suis PD… (claque) suce mieux que ça salope… comme je t'ai appris à le faire… voilà c'est ça… fait bien tourner ta langue autour de ma queue… ouaiii… hummm… comme ça c'est bon,ouaiii…. Vas-y pompe… pompe bien à fond salope… ouaiii… hummm… c'est bon ça… haaaaa putain! Ouaiii… j'vais bientôt cracher et t'as intérêt à tout avaler sale pute… hummm… hummm… ouaiii… tiens… prend toute ma jute dans ta gueule salope… avale… vas-y avale salope… ouai voilà comme ça… avale bien tout…tu vois j't'avait bien dit que ça serais pas long... hummm, c'est bon le sperme hein?… dit que t'aime ça salope… (claque) j'veux t'entendre dire que t'aime ça bâtard...

les larmes aux yeux Vincent lui répond.

- oui…

- (claque) oui quoi?

- j'aime le sperme…

- et ben voila… ha au fait… défroque toi… j'veux vérifier un truc… quoi? Tu porte encore un calbut? (claque) on t'avais pourtant bien dit qu'une salope n'avais pas besoins d'en porter… et puis comment ça se fait que t'es pas épiler comme on te la demander?… (claque)…

d'un seul coup des bruits se font entendre dans le halle de l'immeuble, de se fait Youcef pour ne pas se faire prendre quitte la cage d'escalier non sans avoir au préalable flanquer une gifle à Vincent en lui disant.

- t'as de la chance sale pute… on va se revoir crois moi et t'as pas intérêt à dire quoi que ce soit à quelqu'un t'as compris salope?…

rentrée chez lui Vincent se prend une bonne dose de whisky afin de dissipé le goût du sperme qu'il à dû avaler. Le lendemain n'en pouvant plus il se rend chez son médecin pour se faire prescrire un arrête de travail puis se barricade chez lui sans sortir. Honteux il ne répond plus aux appel de sa copine qui se pose des questions et ne lui ouvre même pas la porte lorsqu'elle se présente chez lui qui au finale, au bout de quelque temps le laissera tomber pour un autre mec…

un vendredi après midi il reçois un coup de fil mais il ne répond pas et dans les 5mn qui suivent il reçois une photo sur son portable de lui en train de sucer un mec avec le message suivant « rdv ce soir à 20h chez Ben… t'as intérêt à être à l'heure sans quoi tu sais que les photos et vidéo pourront être diffuser… n'oublie pas de venir cul nu et lisse comme une meuf lol….» sans plus attendre il se rend au supermarché pour acheter de la crème épilatoire et s'épile le peu de poil qui lui reste… en se regardant dans la glace il se sent encore humilié mais il sais qu'il n'as pas le choix… à 20h il sonne à l'appartement de Ben.

- salut salope… c'est bien t'es à l'heure… allez rentre j'vais te présenter…

en rentrant dans le salon il y a 4 mecs qui le dévisage avec un sourire moqueur car ils savent pourquoi il est là.

- messieurs je vous présente notre nouveau joujou…

puis s'adressant à Vincent.

- je ne te présente pas Youcef ni Rachid tu les connais déjà… quand à lui c'est Kamel et lui c'est Grégory… bon maintenant que les présentations sont faite désape toi…

ne réagissant pas de suite il se prend une baffe dans la gueule.

- j'tai dit de te désaper salope… dépêche…

fébrilement il enlève son T-shirt puis baisse son pantalon… tout le monde peux alors constater qu'il ne porte pas de sous vêtement et qu'il est complètement épiler se qui les fait tous rire…en sifflant comme il sifflerais une meuf dans la rue Kamel prend la parole.

- putain! De sa mère!… non seulement il est cul nu mais en plus de ça il s'épile comme une gonzes… hummm… tu doit être bonne toi…

ben lui intime l'ordre de se retourner, de se baisser en avant et d'écarter ses fesses avec ses mains puis passant un doigt sur son trou il dit:

- voyez les mecs… cette salope à le trou aussi lisse qu'une chatte de meuf…

- hummm… suis pas PD mais ça me fait bien bander…

- et ben te gêne pas…

- c'est vrais que tu suce de la bite?

(claque)

- répond quand on te parle…

- oui…

(claque)

- plus fort on t'entend pas…

- OUI…

(claque)

- oui quoi?

- oui je suce de la bite…

(claque)

- parle plus fort salope...oui quoi?

- OUI JE SUCE DE LA BITE…

Kamel à sortie sa bite

- OK à 4 pattes et approche… vas-y lèche moi la queue… hummm… tu t'y prend comme une chienne toi… lèche moi les couilles aussi… ouaiii c'est ça… lèche bien… hummm… maintenant pompe moi… pffouuu… putain! Comment tu suce bien… mieux que ma meuf dis donc… putain les mecs ça c'est de la bonne suceuse…

à présent tout les mecs on baisser leurs fut et se branle en regardant le pauvre Vincent sucer…

- vas-y suce moi aussi salope… hummm… ouaiii… cool…

- à mon tour… suce moi la queue… hummm… comment elle bouffe bien la bite cette cochonne...vas-y continue… t'arrête pas salope...

en même temps qu'il suce il se fait claquer le cul puis doigter en lui ordonnant de se comporter comme une pute…

- hummm… ça va être la fête à ton cul se soir ma belle...pour la 1ere je vais te la fourré bien profond…

au passage de sa 1ere bite de la soirée dans son trou Vincent cris de douleur mais il se prend une baigne dans sa gueule et une bonne grosse claque sur le cul.

- ferme ta gueule salope et encaisse… allez suce bien tout le monde pendant que je t'encule comme une chienne...

le pauvre Vincent est maintenant traiter comme une pute, tenue par les hanches en se faisant pilonner le cul les 4 autres mecs se fond sucer tour à tour puis chacun prend la place de l'autre dans son trou.

- ouai… c'est ça... t'arrête pas de sucer salope…

- ho putain! Il à un cul d'enfers…

- ha ouai? Vas-y laisse moi la place… hummm… putain! T'es bien ouverte toi… (claque) tiens prend ça salope…

- continue de sucer sale chienne…

- ho putain!… comment j' lui baise bien sa chatte… tu la sens ma queue hein? Tu la sens bien dans ton trou de pute? T'aime ça salope hein?… ouaiii… c'est bon ça hein?… tiens prend ça salope… allez à qui le tour? J'veux pas juter maintenant...

voilà qu'un autre mec prend sa place qui, direct fourre sa bite dans la cul de Vincent, alors qu'un autre se présente devant sa bouche.

- vas-y suce moi la queue…. (claque) Ouai c'est ça… ouvre bien ta bouche de pute… hummm… tu suce de mieux en mieux salope…. Branle moi en même temps… hummm… Tu commence à aimer la bite toi hein?… allez avale… avale bien toute ma bite salope...

- suce moi aussi chienne… voilà c'est ça…. (claque) putain…. Comment tu te fais bien ramoner par tout les trous sale chienne… houa, houa… tu ramasse chère se soir hein? allez continue de sucer nos bites salope…

- vas-y met toi sur le dos p'tite pute que j'te défonce à fond...tenez lui les jambes en l'air les mecs… voilà… tiens prend ça sale chienne…

dans cette position Vincent se fait démonter le cul en tournante, au passage de certaine queue plus grosse il émet quelques cris mais il se fait baffer.

- ferme ta gueule salope… ferme là et encaisse comme une pute…

après une bonne heure et demie de ce traitement les mecs commence à ne plus tenir pour jouir, c'est Ben qui éjacule le 1er dans son cul.

- hummm… putain!… haaaaa ouaiii… j' t' engrosse comme une chienne, salope…

- putain… j'vais juter aussi… ouvre ta gueule salope… (claque) ouvre j'te dis…. Ouvrez lui sa petite gueule les mecs j'ai envie de juter dans sa bouche de pute…

alors qu'un mec lui bouche le nez et qu'un autre lui maintiens sa bouche ouverte l'autre se branle et éjacule dans sa bouche

- allez avale salope… avale bien tout… hummm… c'est bon le foutre hein?… attend, c'est pas fini… tu va en avoir d'autre…

en effet pendant qu'un 3eme se vide dans son cul un 4eme se fait sucer à fond et éjacule dans sa bouche quand au 5eme il lui envois de bonne grosse giclé de sperme sur son visage. Encore une fois il se fait baffer la gueule.

- voilà salope… maintenant t'es une vraie pute à bite… et dorénavant dès qu'on te siffle tu rapplique c'est compris salope?

- (claque) C' EST COMPRIS?

- oui…

- (claque) oui qui salope?

- oui Monsieur Ben…

- voilà c'est bien…. Allez maintenant tu peux te casser… ha au fait! Toute la scène a été filmé où on vois bien ta face de pute en train de sucer et ton cul se faire exploser… j'vais pas mettre ça sur les réseau sociaux par contre on a d'autre potes qui vont visionner ce film de boule donc t'étonne pas si y a des mecs que tu connaît pas qui te demande de leur vider les couilles donc comme une pute tu fais se qu'ils te demande sans quoi, crois moi tu va morfler… si j'ai la moindre réflexion tu passera une semaine dans la cave à poil où tu passera ton temps à bouffer de la bite et te faire enculer comme une grosse salope… t'aura rien à manger à part le foutre qui sortira des zobs et tu ne boira que de la pisse… allez casse toi maintenant… encore une chose… tu vie cul nul… une salope ça porte pas de slip, et pis tu continue ton épilation ok?… OK?….

- oui…

- (claque) oui qui salope?

- oui Monsieur Ben…

- OK allez dégage maintenant...

se sentant souillé, chancelant il regagne son appartement, mais pire encore, il sais que comme une salope il va devoir ne plus porter de sous vêtements sous son fut, qui plus est, entretenir son épilation comme une meuf et que si quelqu'un l'aborde pour un acte sexuel il devra s'exécuter…

cela ne se fait pas attendre car en effet, alors qu'un après midi lorsqu'il rentre chez lui les bras charger de courses un mec l'accoste en bas de son immeuble.

- salut…

- salut…

- c'est toi la petite pédale du quartier?

- heu… non…

- comment ça non? Ben ma montrer la vidéo où tu te fait bien niquer… et il ma dit que tu ne devais rien refuser sans quoi tu sais ce qui peut t'arrivé...

merde, le voilà à présent piéger...

- bon allez… assez discuté j'ai envie d'une bonne petite pipe y parait que tu suce bien… allez viens on monte chez toi...

à peine rentrée le mec ne lui laisse même pas le temps de ranger ses courses qui lui ordonne de se mètre à genoux, baisse son pantalon et son slip lui dévoilant une bonne pine à demis molle bien épaisse non circoncise.

- vas-y occupe toi d'elle, elle n'attends que ça…

machinalement le pauvre Vincent s'exécute et gobe le chibre qui se tiens devant lui. Sous son jeux de langue il sent cette bite gonflé dans sa bouche qui bien raidi lui remplis la mâchoire.

- hummm…. C'est vrai que tu suce bien dis donc… elle est bonne ma grosse queue hein?… hummm oui… t'aime ça hein?… ouai… ça se vois que t'aime la bite toi… hummm… t'as une bonne bouche de salope tu sais… continue… décalotte moi et tète bien la tête de ma bite… mouaiiiii… c'est bien ça… mouaiiiii… ho putain qu't'es bonne toi… pfouuuuu… ouaiii… c'est bon ça… comment tu tète bien salope… putain! Comment tu tète bien ma bite… continue… t'arrête pas… tu va m'faire cracher salope…. Salope…. Salope… salope ça viens… haaaaa!!!!! putainnnn!!!!!ouvre bien ta bouche...

le mec se fini alors en se branlant en lui giclant 5/6 bon jet de sperme dans sa bouche.

- vas-y avale bien tout salope...

il se fait bien nettoyé la tige qui a bien du mal à débander tant son orgasme à été si fort. Tout en se rhabillant il lui dit:

- houa… ça c'était de la bonne pipe… hummm… je reviendrait te voir et la prochaine fois se sera dans ton cul de pute que t'aura ma grosse bite… allez… à la prochaine...

cette prochaine ne se fait attendre très longtemps car 2 jours après le mec sonne à la porte de Vincent accompagné d'un pote.

- salut la pute… tu sais pourquoi on est là...

oui bien sûr qu'il le sait et il les fait rentrée. Sans gène les mecs vont directement dans le salon s'asseoir sur le canapé.

- ha au fait! Je ne me suis pas présenté la dernière foi, moi c'est Bruno et lui c'est Thomas… et toi c'est comment?

- Vincent…

- ha OK… Vincent la pédale… la bonne petite suceuse de bite...bon allez Vincent la salope… déshabille toi qu'on vois comment t'es foutu… de toute façon comme tu finira à poil autant t'y mètre maintenant…

tout de même gêner de se retrouver nu devant ces mecs encore habillé comme par pudeur il se cache le sex avec ses mains.

- allons… pas la peine de te caché retire tes mains…

- houa! T'es lisse comme une meuf… t'as la chatte rasé aussi

timidement il répond un petit oui.

- vas-y montre… tourne toi et penche toi en avant… écarte tes fesses… ha ouai… pas mal… bon ben c'est pas l'tout mais y a popole qui s'impatiente là… allez viens lui dire bonjour...

Vincent s'approche alors de Bruno et lui caresse la bite à travers son jean's

- t'as vue Thomas comme c'est une bonne salope… pas besoins de lui dire ce qu'il doit faire il viens direct à la queue...

- bha ouai normale... les pédales ça aime les bites c'est pour ça que se sont des putes… occupe toi aussi de moi salope...

à genoux entre ces 2 mecs Vincent leurs caresse l'entre jambe. Au bout d'une bonne 10ene de mn à se faire caresser ils n'en peuvent plus et se foute à poil, tout les2 les mains derrière la tête ils gémissent de plaisir à se faire sucer chacun leur tour.

- alors mon pote… c'est pas bon ça de se faire branler et sucer par une bonne salope?

- hummm… c'est claire que ouai… en plus c'est vrais qu'il suce bien...

- mouai.. comme tu disait tout à l'heure les pédales ça aime les bites… vas-y salope t'arrête pas… applique toi bien et comme je te l'ai promis la dernière fois c'est dans ton cul que tu va avoir ma grosse bite… vas-y Thomas prépare lui la chatte je te laisse l'enculer le 1er...

pendant que Vincent est à genoux entre les cuisses de Bruno à le sucer Thomas lui écarte les fesses pour lui lécher son trou, n'ayant jamais connue cette sensation il découvre alors le plaisir de se faire lécher le cul se qui sans le vouloir lui arrache un petit gémissement.

- hummm… mais c'est qu'elle aime ça la pute...

en effet Vincent prend du coup un max de plaisirs à se faire lécher le trou de balle et se met à bien se cambrer pour ainsi intensifier les coups de langue que Thomas lui prodigue, à cet instant il n'est plus lui même, il frétille du cul comme le ferais une chienne en chaleur, son plaisirs monte de plus en plus se qui n'échappe pas à Thomas qui redouble ses léchages enfournant sa langue dans son trou qui se détend de plus en plus… enfin, après avoir cracher sur sa rondelle il commence à lui rentrée un doigt puis 2 et puis un 3eme, il lui travaille le cul en lui massant la prostate qui le fait mouillé de la bite.

- hou là!!!! mais c'est qu'elle aime vraiment ça la salope….

Vincent a maintenant le cul bien dilaté, Thomas remplace ses doigts par sa teub et s'enfonce jusqu'aux couilles puis entame ses vas et viens. Pour la 1ere fois Vincent prend plaisirs à se faire enculer et redouble sa suce sur la queue de Bruno. Après 10 bonne mn a se faire bourré le fion Thomas lui crache toute sa purée dans le fond de ses entrailles. C'est maintenant au tour de Bruno de prendre possession de son cul, il lui demande alors de s'allonger sur le dos et de bien écarter les cuisse comme une femelle… Vincent, lui qui redoutait sa grosse bite ne la sent pas trop mal passer, le travail de Thomas et son foutre servant de lubrifiant rend la douleur moins pénible quand cette grosse bite rentre dans son cul et se met à le défoncer. Sans s'en rendre compte il couine comme une chienne lâchant des «han.. han… hummm...»

- et bé ma salope c'est que tu y prend goût à la bite on dirais...t'aime ça hein la pute hein?...

- han, han… oui… c'est bon…

il se fait mettre à genoux pour se faire prendre en levrette et pendant que Bruno le burine bien Thomas en profite pour lui donner sa queue à sucer.

- vas-y salope suce… prend la bien profond dans ta petite gueule de pute...

Vincent se fait ramoner des 2 coté, il en prend si inconsciemment du plaisirs qu'il commence à bander et à bien mouillé de la queue. Bruno ne tarde pas à jouir et à le féconder quand à Thomas il ne résiste pas à lui doser la bouche une 2eme fois .

depuis qu'il se fait violé, malgré d'être pris comme une pute il se sent bien et lorsque les 2 mecs s'en vont il a un sentiment de honte d'avoir pris du plaisirs pour la 1ere fois à se faire enculer, pourtant il reste allonger par terre à rêvasser à ce qui viens de se passer en se caressant le torse, les seins, puis au moment de toucher sa bite il se sent comme électrifié… il ressent comme des picotements sur le bout du gland et a une terrible envie de jouir, il se met alors à se caresser les couilles puis machinalement pose son index sur son trou, tourne dessus et l'enfonce doucement dans son cul, là il ressent le plaisirs d'avoir eu la queue de Bruno et de Thomas lui masser la prostate, n'y pouvant plus sentant sa jouissance monter tout en continuant à se doigter de son autre main il se branle énergiquement et expulse de long jet de sperme dont les 1er atteignent son visage puis inonde son torse... il a un orgasme si fulgurant qu'il n'avais jamais connu auparavant qu'il en pousse de grand râle de plaisirs en se vidant littéralement les couilles… waouh!…. Devant ce plaisirs extrême il se sent épuisé et s'endort comme ça lentement. Après quelques heure de sommeil il se réveille car il a froid, en se relevant il se sent courbaturer, il se fait alors couler un bon bain chaud pour se détendre et surtout aussi pour se nettoyé de son foutre sécher… au bout d'une bonne heure il vide la baignoire se lave, se sèche et va se préparer à manger. À son coucher il ne résiste pas à l'envie de se branler une seconde fois et le plaisirs de ce 2eme orgasme le repousse dans un profond sommeille.

Depuis ce jour, peu à peu, Vincent prend conscience que finalement il est une salope car il aime de plus en plus la bite, il se dit que c'est sûrement grâce à Youcef, Rachid et Ben qu'il prend plaisirs à sucer et à se faire enculer… du coup lorsque quelqu'un l'aborde pour obtenir ses faveurs il ne se fait plus prié et redouble de ferveur pour satisfaire tout ces mecs… aujourd'hui Vincent est la plus grosse salope et la plus grosse pute de la cité, d'ailleurs, même si ils ne sont pas PD certain le préfère au meuf…

Je suis une vraie petite salope ! Jai des pulsions qui m'entraînent à rechercher l'aventure sexuelle... au risque de me faire plomber ! (Cher lecteur, ne fais jamais cela !)

 Ce soir, il fait chaud, la lune est à son premier quartier et la nuit est à peine éclairée. J'ai envie de sortir... Rémi me sodomise et me laisse une bonne dose de foutre dans le cul avant d'aller faire dodo chez papa et maman.

 Je ne porte qu'un short très court et un tee-shirt. Je sens le lubrifiant (ce doit être son rôle) dans mes boyaux et j'espère bien qu'il servira !

 Je prends le chemin qui longe le lac en direction de l'embarcadère. C'est là que j'espère rencontrer quelqu'un. Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois !

 Mes souhaits sont vite exaucés. Une lampe torche m'éblouit, je ne vois pas celui qui la tient.

 — Alors, on se promène ?

 — Oui ! La nuit est belle !

 — Ta petite gueule est belle aussi ! 

—... Trop belle même !

 C'est une autre voix qui vient d'ajouter cette remarque qui me fait frémir... 

— Pourquoi trop belle ?

 — Parce que tu as du succès auprès des beaux garçons !

 — Vous me connaissez ?

 — On t'a observé depuis quelques jours et on est ravis de te rencontrer ce soir.

 Une troisième voix ajoute :

 — Tu n'as jamais fait attention à nous, petit enculé ! On n'est pas assez beaux pour toi !

 Je n'ose plus rien dire, je me sens pris dans un guet-apens.

 — Nous n'avons pas de charme, mais tu vas connaître nos queues. Elles sont énormes et tu vas frétiller du cul.

 — Mais...

 — Y a pas de mais qui tienne, tu vas nous obéir et tu peux gueuler autant que tu voudras, il n'y a personne aux alentours.

 Cette fois, je suis bien coincé ! Je ne peux pas reculer, ils sont trois et ce sont des costauds. Je l'ai voulu, je n'ai plus qu'à la fermer.

 — Fous-toi à poil ! Et vite !

 Je m'exécute, le faisceau de la lampe parcourt mon corps...

 — C’est un sacré beau p’tit bout ce môme !

 — Il va payer pour sa beauté !

 Je vais "payer"... Ils ne vont donc pas se contenter de m'enculer. J'en ai déjà vu des vertes et des pas mûres mais là, la peur m'envahit ! Je ne peux attendre aucun secours, je suis livré à la lubricité de ces trois gars qui paraissent déterminés. L'un d'eux sort sa bite déjà très raide.

 — Suce ! Et que je ne sente pas tes dents !

 Je me mets docilement à genoux pour enfourner ce gros calibre. J'espère ainsi calmer leur agressivité. Un autre m'enfonce un doigt dans le cul. Il sent la présence de foutre.

 — Putain ! Il est déjà mouillé cet enculé !

 Il renifle son doigt.

 — Et c'est du foutre ! Voilà qui va nous encourager !

 Le troisième me passe un nœud coulant au niveau des couilles et de la racine de la bite. Il serre très fort et tire sur la corde pour vérifier la solidité de l'attache.

 — Aie ! Tu vas tout m’arracher.

 — Tant pis pour toi. T’as qu’à subir !

 Je ne peux m'empêcher de hurler tant cela me presse les couilles.

 — Tu peux gueuler ! T'as pas fini de souffrir !

 — Enlève tes godasses et suis-nous !

 J'ai du mal à marcher à leur rythme, car je suis pieds nus et ils tirent trop sur la corde. Ils s’amusent à me faire traverser des massifs d’orties, celles-ci sont tellement hautes qu’elles me brûlent les couilles. Heureusement, ces piqûres ont toujours eu l’avantage de me faire triquer…

 — Regardez ! Ça lui plaît !

 Ils me conduisent alors dans la vase. Ils tirent si fort que je m’étale de tout mon long dans la boue.

 — Te voilà encore plus attirant comme ça !

 Où veulent-ils m'emmener ? J'ai laissé mes habits près du lieu de rencontre. Je suis entièrement à leur merci... et je bande ! On s’arrête :

 — À quatre pattes, comme un chien !

 Je m'exécute et mon cul est subitement et violemment pénétré par un morceau très dur et très gros.

 — Nonnnnnn ! J'ai mal !

 — Ce n'est rien par rapport à ce qui t'attend.

 Il jouit en hurlant et laisse la place à une seconde bite qui ne tarde pas non plus à décharger. Le troisième me bourre le cul avec une ardeur peu commune.

 — Tiens, prends ça salope !

 J'en ai effectivement plein le cul et ça coule un peu.

 — Viens-là !

 Il éclaire un petit monticule de terre sur lequel je dois me coucher jambes en l’air et bien écartées. Je présente ainsi mon trou vite envahi par une main forçant l'introduction. C'est très douloureux, mais j'ai l'anus bien lubrifié par quatre doses de sperme et j'ai déjà une certaine expérience du fist. L'ennui, c'est que la main se transforme trop vite en poing qui plonge dans mes boyaux. Le fisteur me soulève le bassin. Cela devient très dur à supporter ! Lorsqu'il se retire, c'est avec le poing fermé ! Je n'en peux plus !

 Le second fisteur se prend pour un boxeur : des coups de poing qui finissent par avoir raison de mon anus...

 Je ne sais pas ce qu'a fait le troisième, car je me suis évanoui. Je me réveille sous un jet de liquide chaud. Ils me pissent sur la gueule.

 — Ah ! le revoilà ! Bien dormi ?

 — Tu n'as pas profité de l'apothéose, si tu l'avais vu te soulever par le cul, presqu'à la verticale !

 J'ai trop mal au cul. Ils m'ont certainement déchiré le sphincter. Je respire difficilement, car mon nez et ma bouche sont noyés par leur urine abondante. Je paye cher mon "insolente beauté" !

— On n'a pas fini, beau gosse !

 Ils me portent jusqu'à un arbre couché, la tête en bas et les fesses en appui contre le tronc.

 — Ah la jolie chiotte !

 Je leur présente mon cul largement ouvert. Ma position est étudiée pour qu'ils puissent s'asseoir sur mon fessier. L’un après l'autre, ils chient dedans !

 — Ouais ! Que c'est bon !

 Je sens leur merde dure et puante entrer sans trop de mal dans mes boyaux non habitués à contenir les déjections des autres, mais largement accessibles !

 Le troisième a une grosse envie de chier, mais, même en tassant la merde déjà entrée, il n’a plus de place pour y pousser son étron !

 — Ouvrez-lui la gueule ! Voilà un trou qui m’intéresse.

 Ils me maintiennent avec force les mâchoires ouvertes et c’est à la lumière de la torche que le chieur se lâche avec précision entre mes dents. C’est dégueulasse d’autant qu’ils m’obligent à mâcher le cadeau malodorant !

 — T’aimes ça, petit dégueulasse ? Avale !

 Je ne peux pas parler, la bouche pleine. Je n’émets qu’un sourd grognement pour manifester mon dégoût.

 — Ouf ! Putain, ça fait du bien !

 — Branlons-nous sur ce tas de merde et laissons-le !

 Leur foutre chaud finit par gicler sur mon corps abandonné.

 Ils disparaissent alors que la colère me prend et que je me jure de les retrouver et de leur faire payer ce qu'ils m'ont fait. Je pense à tous mes copains, Gérard, Julien et bien d'autres. Cette idée de vengeance me donne le courage de me lever et de prendre, difficilement, jambes écartées, le chemin du retour. Je ne peux pas retenir leur merde ni n'ai la puissance de l'expulser. Les excréments descendent lentement le long de mes cuisses. Je pue…

 Un bain progressif dans le lac me permet de laver partiellement mes souillures. Je retrouve mes vêtements et mes chaussures, mais je n'ai pas la force de les enfiler. C'est tout nu que je regagne avec peine ma maison, ma douche et mon lit. J’ai du mal à m’endormir tant la douleur persiste et tant ma pensée est occupée par ce qui m’est arrivé !

 Ce n'est que le lendemain que j'ai constaté l'étendue des dégâts :

 — Ma bite et mes couilles violettes d'avoir été meurtries par la corde.

 — Mon anus déchiré, du sang a coulé sur mes cuisses !

 — Mes gencives et ma langue enflées par les souillures subies.

 — Mon ventre, mes cuisses et mes hanches griffés.

 Je fais appel à Gégé qui connaît un médecin qui va me réparer tout ça.

 Et je jure de ne plus aller provoquer, seul, les sadiques du lac… Que je retrouverai… dans d’autres conditions où je serai en position de force.

J’avais 14 ans quand un copain m’a initié au plaisir de la queue. On se branlait ensemble et de temps, il promenait sa belle queue sur moi. Elle était belle et très grosse, il avait déjà 17 ans. Un jour dans le foin, il me l’a mise dans la bouche et naturellement, je l’ai sucée. Ce devait être inné chez moi. Il m’a rempli le bouche de son jus tout chaud et j’ai tout avalé. Nous avons recommencé plusieurs fois, il en profitait pour me mettre un ou deux doigt dans les fesses. J’aimais ça; il s’en aperçut et en promenant sa queue tendue sur mes fesses, il s’est mis contre mon trou et s’est enfoncé d’un coup jusqu’au fond. J’ai hurlé tellement ça chauffait dans mon cul! Il est resté sans bouger et il a déchargé son jus et il est resté dans mon cul. Je commençais à bouger pour me relever, ça l’a fait bander et il m’a limé le cul comme un grand. Il entrait et sortait sur toute sa longueur. Je ne pus protester et comme j’appréciais de plus en plus, il se donnait à fond. Très vite, je sentis ma jouissance venir et je déchargeais sous moi et lui il me déchargeait dans le cul. Nous avons continué souvent! Un jour, il a même amené un copain et c’est comme cela que je suis devenu une bonne pute!

À 20 ans, seul à Paris, j’ai continuée à me faire baiser et un jour, j’ai rencontré Ali dans le métro. Il y avait beaucoup de monde, c’était l’été, j’avais un short moulant qui me faisait un cul d’enfer. Très vite, j’ai senti sa queue se frotter contre mes fesses. Je mouillais; il a passé sa main sur ma queue à travers le slip et il m’a dit: "Tu veux te faire baiser?" J’ai dit oui. Il m’a tiré au fond du wagon à travers le monde. J’étais contre le mur et beaucoup de monde regardait mais sans se douter. Il a baissé mon short et il a mis sa queue qui était énorme sur mon anus et j’ai tendu mes fesses. La pénétration fut longue. Il me fendit en deux tellement il était gros et moi je jouissais sûr! Lui, cela n’a pas duré longtemps car il avait très envie. Il déchargea un flot de sperme et s'est retiré. J’ai remonté mon short et je suis descendu à la station. Le sperme avait taché mon short, on pouvait deviner que j’en avais pris plein le cul!

Je n’avais pas vu qu’il était descendu aussi. Il vient vers moi et me dit que je suis une pute. Je lui dis qu’avec une queue comme la sienne, je résiste pas. Il me propose d’aller chez lui, je lui dis ok. À peine arrivés dans le couloir, il enlève mon short et me tape sur le cul en me disant: "Là où on va, tu n’as pas besoin de short!" J’étais à poil du bas dans le couloir. On a croisé trois arabes qui le connaissaient et ils lui ont demandé si sa pute était pour eux. Il a dit: "OK, dans une heure."

Arrivés chez lui, il me couche sur sa table et il m’encule, les jambes bien relevées. J’en prends plein le cul, il est énorme, sa queue doit faire au moins 22 cm sur 7! Il me défonce comme une chienne. Je n’en peux plus, je jouis sur mon ventre et lui m’inonde les intestins.

— Tu aimes ça! me dit-il. Tu veux essayer mes copains?

— Oui, après un peu de repos...

— Je vais t’attacher sur mon lit, comme ça il te prendront pour une salope à tout faire, tu veux? Et après, on passera la nuit ensemble.

Rien qu’à l’idée de rester avec lui, j’ai accepté.

Me voilà attaché à genoux, les cuisses ouvertes, à quatre pattes sur le lit. Il appelle ses copains et leur dit: "Ma pute est à vous!" Ils se sont défoulés, les vaches! J’ai été enculé, rempli de sperme partout, dans la bouche, le cul, puis ils se sont mis à deux, m’ont détaché et j’ai dû m’empaler sur une des queues. Il y en un qui est venu devant moi. Il m’a pris les bras et m’a donné sa queue à sucer. Elle avait un gout de mélange de sperme car c’était le dernier à m’avoir enculé. Je l’ai sucé pendant que je m’empalais sur la queue de l’autre. Puis un troisième est venu et il a mis sa queue sur mon trou dilaté par l’autre et il s’est enfoncé aussi. J’avais la chatte comme un trou béant, ces deux queues qui me baisaient le cul faisaient de drôles de bruits de succion. Ils ont joui en moi ensemble, moi j’étais aux anges. Mon cul était resté ouvert et le jus coulait de moi.

Il y en un qui est parti en disant que j’étais une chienne en chaleur et qu’il fallait me défoncer autrement. Ses copains m’ont attaché sur le lit comme avant et ils ont attendu qu’il revienne. Il est venu avec deux chiens, des molosses et il a dit: "Pour une chienne, il lui faut des mâles!" et un chien est monté sur le lit et il a senti ma chatte. Ils m’ont mis une couverture sur le dos et aidé le chien à me baiser. Sa queue était comme un os dur et il limait à toute vitesse. Moi je tendais mon cul pour qu’il rentre bien à fond et il a joui en rentrant sa boule et en m’éclatant le cul. Pendent ce temps, Ali se faisait sucer par moi sa grosse matraque. Quand le chien a déculé, l’autre est venu à sa place et il a recommencé. J’étais tellement échauffé que je n’ai rien dit quand ils m’ont pissé dans la bouche et sur moi. Le chien a vite joui. Sa boule était très grosse, quand il est sorti mon cul a fait un bruit comme un bouchon de champagne. Un gars est venu et m’a pissé dans le cul béant le sperme et sa pisse ressortait et coulait sur le lit puis ils m’ont détaché et amené à la douche. Je me suis lavé seul, j’étais crevé.

Ali, comme promis, m’a gardé toute la nuit et il m’a enculé au petit matin en me faisant promettre de revenir. D’ailleurs, il a pris mes papiers pour connaître mon adresse. Je suis revenu plusieurs fois et j’ai servi de réceptacle à sperme pour eux. Il m’a proposé de faire quelques photos chez des amis à la campagne. Nous y sommes allés ensemble, il m’a présenté au maître de maison comme étant une bonne salope à baiser. Ils ont fait des photos avec leurs invités et moi, pris de partout, bouche et cul rempli!

Puis ils m’ont amené à l’étable pour faire d’autres photos. Ils m’ont mis nu et le maître m’a demandé d’aller vers l’âne qui se trouvait dans un box. Il m’a dit: "Touche lui sa queue, elle va sortir; on te prend en photo." Je caresse l’âne, il devait avoir l’habitude: sa queue commençait à sortir. Elle était belle, grosse comme celle d’Ali mais plus longue. Il m’a dit: "Suce-le un peu, il aime ça." J’approchais sa queue de ma bouche et je lui donnais quelques coups de langue. Elle grossissait encore puis il a déchargé d’un coup; j’en avais partout dans la bouche. Les flashes m’ont mitraillé.

Ils m’ont demandée de rester sous l’âne et de le caresser encore et sa queue regrossissait de plus belle. Un lad est venu et m’a installé sur un banc à plat ventre puis ils m’ont attaché et ils ont placé le banc sous l’âne. Je sentais sa queue battre sur mon cul. Ali vint vers moi et me dit: "Je vais guider l’âne en toi, sois calme, tu ne risques rien." Il m'a enduit avec une pommade et il a amené la queue de l’âne sur mon anus déjà bien ouvert puis il a entré la queue de l’âne un peu. Lui s’impatientait d'entrer et d’un coup, l’âne m’a enculé sur 25 cm au moins! Les invités étaient fous de joie, ils disaient: "Encore! Elle peut en prendre plus!" Mon cul était distendu au maximum. Ali laissa l’âne entrer encore puis il a commencé à me limer. J’étais enculé par un âne et j’aimais cela, incroyable! L’âne a déchargé dans mon cul et sa queue est ressortie comme un ressort en me faisant évacuer un flot de sperme. Tous les invités m’ont félicité, certains m’ont léché le cul avec le sperme de l’âne; j’étais anéanti. Le maître m’emmena dans une chambre et il me lava puis il me dit: "Voilà ton lit, repose toi."

Le lendemain, je ne vis pas Ali. Il était parti chez lui au Maroc et le maître m’avait acheté, m’a-t-il dit.