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Mercredi 2 août 3 02 /08 /Août 15:09

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Je suis une vraie petite salope ! Jai des pulsions qui m'entraînent à rechercher l'aventure sexuelle... au risque de me faire plomber ! (Cher lecteur, ne fais jamais cela !)

 Ce soir, il fait chaud, la lune est à son premier quartier et la nuit est à peine éclairée. J'ai envie de sortir... Rémi me sodomise et me laisse une bonne dose de foutre dans le cul avant d'aller faire dodo chez papa et maman.

 Je ne porte qu'un short très court et un tee-shirt. Je sens le lubrifiant (ce doit être son rôle) dans mes boyaux et j'espère bien qu'il servira !

 Je prends le chemin qui longe le lac en direction de l'embarcadère. C'est là que j'espère rencontrer quelqu'un. Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois !

 Mes souhaits sont vite exaucés. Une lampe torche m'éblouit, je ne vois pas celui qui la tient.

 — Alors, on se promène ?

 — Oui ! La nuit est belle !

 — Ta petite gueule est belle aussi ! 

—... Trop belle même !

 C'est une autre voix qui vient d'ajouter cette remarque qui me fait frémir... 

— Pourquoi trop belle ?

 — Parce que tu as du succès auprès des beaux garçons !

 — Vous me connaissez ?

 — On t'a observé depuis quelques jours et on est ravis de te rencontrer ce soir.

 Une troisième voix ajoute :

 — Tu n'as jamais fait attention à nous, petit enculé ! On n'est pas assez beaux pour toi !

 Je n'ose plus rien dire, je me sens pris dans un guet-apens.

 — Nous n'avons pas de charme, mais tu vas connaître nos queues. Elles sont énormes et tu vas frétiller du cul.

 — Mais...

 — Y a pas de mais qui tienne, tu vas nous obéir et tu peux gueuler autant que tu voudras, il n'y a personne aux alentours.

 Cette fois, je suis bien coincé ! Je ne peux pas reculer, ils sont trois et ce sont des costauds. Je l'ai voulu, je n'ai plus qu'à la fermer.

 — Fous-toi à poil ! Et vite !

 Je m'exécute, le faisceau de la lampe parcourt mon corps...

 — C’est un sacré beau p’tit bout ce môme !

 — Il va payer pour sa beauté !

 Je vais "payer"... Ils ne vont donc pas se contenter de m'enculer. J'en ai déjà vu des vertes et des pas mûres mais là, la peur m'envahit ! Je ne peux attendre aucun secours, je suis livré à la lubricité de ces trois gars qui paraissent déterminés. L'un d'eux sort sa bite déjà très raide.

 — Suce ! Et que je ne sente pas tes dents !

 Je me mets docilement à genoux pour enfourner ce gros calibre. J'espère ainsi calmer leur agressivité. Un autre m'enfonce un doigt dans le cul. Il sent la présence de foutre.

 — Putain ! Il est déjà mouillé cet enculé !

 Il renifle son doigt.

 — Et c'est du foutre ! Voilà qui va nous encourager !

 Le troisième me passe un nœud coulant au niveau des couilles et de la racine de la bite. Il serre très fort et tire sur la corde pour vérifier la solidité de l'attache.

 — Aie ! Tu vas tout m’arracher.

 — Tant pis pour toi. T’as qu’à subir !

 Je ne peux m'empêcher de hurler tant cela me presse les couilles.

 — Tu peux gueuler ! T'as pas fini de souffrir !

 — Enlève tes godasses et suis-nous !

 J'ai du mal à marcher à leur rythme, car je suis pieds nus et ils tirent trop sur la corde. Ils s’amusent à me faire traverser des massifs d’orties, celles-ci sont tellement hautes qu’elles me brûlent les couilles. Heureusement, ces piqûres ont toujours eu l’avantage de me faire triquer…

 — Regardez ! Ça lui plaît !

 Ils me conduisent alors dans la vase. Ils tirent si fort que je m’étale de tout mon long dans la boue.

 — Te voilà encore plus attirant comme ça !

 Où veulent-ils m'emmener ? J'ai laissé mes habits près du lieu de rencontre. Je suis entièrement à leur merci... et je bande ! On s’arrête :

 — À quatre pattes, comme un chien !

 Je m'exécute et mon cul est subitement et violemment pénétré par un morceau très dur et très gros.

 — Nonnnnnn ! J'ai mal !

 — Ce n'est rien par rapport à ce qui t'attend.

 Il jouit en hurlant et laisse la place à une seconde bite qui ne tarde pas non plus à décharger. Le troisième me bourre le cul avec une ardeur peu commune.

 — Tiens, prends ça salope !

 J'en ai effectivement plein le cul et ça coule un peu.

 — Viens-là !

 Il éclaire un petit monticule de terre sur lequel je dois me coucher jambes en l’air et bien écartées. Je présente ainsi mon trou vite envahi par une main forçant l'introduction. C'est très douloureux, mais j'ai l'anus bien lubrifié par quatre doses de sperme et j'ai déjà une certaine expérience du fist. L'ennui, c'est que la main se transforme trop vite en poing qui plonge dans mes boyaux. Le fisteur me soulève le bassin. Cela devient très dur à supporter ! Lorsqu'il se retire, c'est avec le poing fermé ! Je n'en peux plus !

 Le second fisteur se prend pour un boxeur : des coups de poing qui finissent par avoir raison de mon anus...

 Je ne sais pas ce qu'a fait le troisième, car je me suis évanoui. Je me réveille sous un jet de liquide chaud. Ils me pissent sur la gueule.

 — Ah ! le revoilà ! Bien dormi ?

 — Tu n'as pas profité de l'apothéose, si tu l'avais vu te soulever par le cul, presqu'à la verticale !

 J'ai trop mal au cul. Ils m'ont certainement déchiré le sphincter. Je respire difficilement, car mon nez et ma bouche sont noyés par leur urine abondante. Je paye cher mon "insolente beauté" !

 

— On n'a pas fini, beau gosse !

 Ils me portent jusqu'à un arbre couché, la tête en bas et les fesses en appui contre le tronc.

 — Ah la jolie chiotte !

 Je leur présente mon cul largement ouvert. Ma position est étudiée pour qu'ils puissent s'asseoir sur mon fessier. L’un après l'autre, ils chient dedans !

 — Ouais ! Que c'est bon !

 Je sens leur merde dure et puante entrer sans trop de mal dans mes boyaux non habitués à contenir les déjections des autres, mais largement accessibles !

 Le troisième a une grosse envie de chier, mais, même en tassant la merde déjà entrée, il n’a plus de place pour y pousser son étron !

 — Ouvrez-lui la gueule ! Voilà un trou qui m’intéresse.

 Ils me maintiennent avec force les mâchoires ouvertes et c’est à la lumière de la torche que le chieur se lâche avec précision entre mes dents. C’est dégueulasse d’autant qu’ils m’obligent à mâcher le cadeau malodorant !

 — T’aimes ça, petit dégueulasse ? Avale !

 Je ne peux pas parler, la bouche pleine. Je n’émets qu’un sourd grognement pour manifester mon dégoût.

 — Ouf ! Putain, ça fait du bien !

 — Branlons-nous sur ce tas de merde et laissons-le !

 Leur foutre chaud finit par gicler sur mon corps abandonné.

 Ils disparaissent alors que la colère me prend et que je me jure de les retrouver et de leur faire payer ce qu'ils m'ont fait. Je pense à tous mes copains, Gérard, Julien et bien d'autres. Cette idée de vengeance me donne le courage de me lever et de prendre, difficilement, jambes écartées, le chemin du retour. Je ne peux pas retenir leur merde ni n'ai la puissance de l'expulser. Les excréments descendent lentement le long de mes cuisses. Je pue…

 Un bain progressif dans le lac me permet de laver partiellement mes souillures. Je retrouve mes vêtements et mes chaussures, mais je n'ai pas la force de les enfiler. C'est tout nu que je regagne avec peine ma maison, ma douche et mon lit. J’ai du mal à m’endormir tant la douleur persiste et tant ma pensée est occupée par ce qui m’est arrivé !

 Ce n'est que le lendemain que j'ai constaté l'étendue des dégâts :

 — Ma bite et mes couilles violettes d'avoir été meurtries par la corde.

 — Mon anus déchiré, du sang a coulé sur mes cuisses !

 — Mes gencives et ma langue enflées par les souillures subies.

 — Mon ventre, mes cuisses et mes hanches griffés.

 Je fais appel à Gégé qui connaît un médecin qui va me réparer tout ça.

 Et je jure de ne plus aller provoquer, seul, les sadiques du lac… Que je retrouverai… dans d’autres conditions où je serai en position de force.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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