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fan de histoires de mec

Dimanche 29 décembre 7 29 /12 /Déc 23:30

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J'étais parti en vacances à pas moins de 200km de chez moi. J'y étais allé en train, et j'avais normalement prévu assez pour rentrer en train aussi ; mais j'avais explosé mon budget durant ce séjour, m'étant ainsi condamné à rentrer en auto-stop.

Beaucoup de voitures me passaient devant sans même freiner, et y étant depuis 15h de l'après-midi, je commençais à perdre patience... Je m'étais mis à marcher depuis deux heures, et je commençais à en avoir marre.

J'étais arrivé à une aire de repos où je rentrai dans les WC pour me rafraichir et me soulager. Je m'aspergeai le visage d'eau, puis je pénétrai dans une cabine. Quelques secondes après, j'entendis quelqu'un rentrer dans les toilettes voisines des miennes et, tournant la tête par réflexe, je remarquai un trou dans la paroi entre les deux cabines. À travers ce trou, je vis un homme de forte corpulence (pour ne pas dire gros) qui se baissait en enlevant son pantalon ; il me dévoila une impressionnante verge. Le type disparut presque de ma vision en s'asseyant : je ne voyais plus que ses jambes nues et incroyablement poilues. Je ne pus m'empêcher de regarder ses jambes ; j'étais bizarrement fasciné. Le type se pencha et me vit en train de le mater. Je détournai mon regard et j’attendis une dizaine de secondes avant de jeter un coup d'œil pour voir sa réaction ; il sourit et me regarda droit dans les yeux.

 Je soutins ce regard jusqu'à ce qu'il se lève pour venir placer sa bite molle et puant la pisse dans le glory-hole. J'hésitai quelques secondes ; mais, réfléchissant à ma situation, je décidai d'essayer de profiter de ce type qui était sûrement motorisé et qui pourrait m'avancer.

Je me mis donc à genoux et attrapai sa bite dans ma main. Je commençai par faire de lents va-et-vient avec ma main avant de lécher cette masse de chair qui commençait à durcir entre mes doigts. Cet homme était incroyablement bien monté, bien plus que je l'imaginais, et je peinais à rentrer sa verge bandée dans ma bouche : j'arrivais à peine au milieu de sa bite alors que son gland me titillait déjà la glotte.

Apparemment, ma façon de sucer plaisait au type, qui exprimait son contentement par des râles de plaisir. Je sentais qu'il voulait y mettre du sien en imprimant de légères pressions quand j'étais au maximum. Rapidement, il retira sa verge, ce qui me désola puisque passé le premier dégoût provoqué par la forte odeur et l'endroit, l'excitation l'avait emporté et je m'étais mis à bander sans même me toucher.

Je sortis de la cabine et me dirigeais hors des WC quand je fus surpris par une poigne de fer qui me tira et me jeta du côté des pissotières : c'était ce type ! Il avait encore le pantalon baissé et sa bite bandée se dressait fièrement vers moi comme pour que je la reprenne en bouche. De là, je pouvais dire qu'elle avoisinait les 25cm de longueur pour environ 7cm de largeur. Le type me demanda où je comptais aller en le laissant ainsi ; je ne répondis pas. Il m'attrapa par les cheveux et me força à ravaler sa bite, jusqu'à la base cette fois-ci. Je faillis m'étouffer tant elle pénétra profondément ; une larme coula sur ma joue, mais il ne relâcha la pression sur ma tête que quand un spasme me secoua.

J'avais de la bave tout autour de la bouche et je haletais ; mais il me reprit la tête et me baisa violement la bouche pendant quelques minutes avant de me refourrer sa pine au fond de la gorge pour lâcher de puissants jets de foutre directement dans l'œsophage. Il se retira, me laissant haletant et crachotant, du sperme plein la bouche. J’en avalai le maximum, mais il en restait qui coulait de ma bouche ou qui tombait quand je toussais. Le type me regardait : j'étais allongé sur le sol. Il attendit que je puisse respirer normalement puis me présenta sa queue à nettoyer, ce que je fis méticuleusement.

Une fois le nettoyage fini, il me dit de venir avec lui dans son camion. Je me relevai et le suivis sans trop réaliser ce qu'il se passait. Il me fit monter à l'arrière de son camion ; il monta à ma suite et referma derrière lui. Il alluma un néon puis il m'attrapa et me jeta sans ménagement au fond du camion. Il revint vers moi tout en se déshabillant ; quant à moi, je ne réagissais pas, tétanisé. Il me tira vers le haut, me déshabilla aussi et me rattrapa la tête pour que je suce encore son engin, qui avait un peu débandé, mais cette fois-ci plus doucement. Quand sa queue eut repris de la vigueur, il me retourna et l'appuya contre ma rondelle. Une douleur me déchira l'anus quand il me pénétra : il y allait sans ménagement, me défonçant le cul comme un marteau-piqueur ne l'aurait pas mieux fait. Très rapidement, la douleur se transforma en plaisir ; je sentais sa pine coulisser en moi, j’en devinais chaque veine et je me mis à gémir comme la chienne que j'étais.

Cet homme me défouraillait avec une rare violence ; chacun de ses coups m'arrachait un cri de jouissance mêlé à un peu de douleur. Après quelques minutes de défonce intensive, je jouis ; je ne m'étais même pas touché : je libérai mon sperme sur le plancher de son camion tandis que les contractions de mon cul le faisaient gicler à son tour dans mon anus. Je sentis des jets de sperme puissants me remplir le cul. Quand il en sortit, une quantité impressionnante de liquide s'écoula sur le sol.

 Il me fit lécher ces souillures, puis me fit nettoyer sa bite. Là, il se rhabilla et me demanda quelle était ma destination. Je lui répondis et voulus attraper mes vêtements, mais il m'empêcha de les prendre et me donna juste une serviette pour que j’aille me nettoyer aux WC. Il précisa qu'on allait faire une escale, et qu'il faudrait que j'obéisse aveuglément si je ne voulais pas qu'il me laisse nu au bord de la route. Je partis me nettoyer. Une fois revenu, il me refit monter à l'arrière où il m'enferma. Je sentis le camion s'ébranler et prendre de la vitesse ; nous étions sur la route... Le sommeil m'emporta bientôt.

 

Je fus réveillé par l'ouverture de la porte qui m'aveugla ; je vis des silhouettes entrer puis la porte se referma. Mon baiseur – et accessoirement chauffeur – me dit de me lever, que c'était l'heure d'obéir. Je me levai et observai les gens : ils étaient cinq, avec celui que je connaissais déjà. Le premier qui s'avança, un Noir, ouvrit sa braguette et sortit un membre d'une taille conséquente. M'attrapant par la tête, il m'avança la tête sur sa bite ; comme je n'ouvrais pas la bouche, il força un peu le passage et me fourra son engin dans la bouche et entama des allers-retours. Pendant ce temps, je vis un autre type, blanc celui-ci, sortir sa bite et me passer derrière ; mon cul avait dû rester bien ouvert car je ne sentis aucune résistance quand il m'encula, si bien qu'il y alla le plus fort possible sans réussir à me faire mal.

Je commençais à peine à comprendre ce qui se passait et à ressentir du plaisir quand un troisième s'allongea sur le sol et me tira sur lui en faisant coulisser sa verge en moi. Le mec que je suçais me remit sa bite dans la bouche pendant que celui qui me sodomisait le premier tentait de rentrer sa bite pour me faire une double pénétration anale.

 Quand il réussit, en me déchirant l'anus, je criai à la fois de joie et de souffrance. Sa bite m'avait déchiré la rondelle, mais je me sentais plus rempli que jamais. Je suçais donc un mec pendant que deux autres m'enculaient, m'arrachant des gémissements de petite chienne que je ne pouvais pas retenir. Je sentis la bite que j'avais dans ma bouche se contracter, puis du sperme chaud vint m'asperger la gorge et la langue. J'avalai tout, me délectant de ce nectar ; puis une autre verge vint abuser de ma bouche : je me remis à sucer avec gourmandise, bien que rapidement il me baisa la bouche.

 Je sentis d'autres jets de sperme dans mes entrailles, puis une queue se retira, laissant une seule bite dans mon cul ; celle-ci ne tarda pas à lâcher sa semence : je la sentis elle aussi noyer mes entrailles.

Là, ce fut mon chauffeur qui prit la place, sans préparation : je n'en avais pas besoin. Il me pénétra, et bien que j'avais le trou de balle ouvert, je le sentis à l'étroit dans mes entrailles. Il me lima à fond l'anus pendant que la bite dans ma bouche lâchait sa semence sur ma glotte.

 À force de sentir cette énorme bite coulisser dans mon intestin, je jouis. Un des mecs, me voyant venir, vint avaler ma semence. Le proprio du camion cessa de me sodomiser ; il m'attrapa par la nuque et m'enfonça son engin au fond de la gorge puis gicla. Je sentis son foutre me tapisser la gorge et descendre directement dans mon estomac pendant que je m'étouffais. Il sortit sa bite et m'imposa un dernier coup de langue, histoire de la nettoyer avant de me rendre mes habits et de me permettre de sortir.

Nous étions arrivés dans ma ville. Je rentrai chez moi, le cul plein de foutre, l'estomac rempli aussi, et n'arrivant plus à marcher normalement

RACHID

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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Vendredi 27 décembre 5 27 /12 /Déc 17:06

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Je me présente, Thomas, 18 ans, 174cm, 56kg, cheveux châtain, yeux bleus et bi. Je suis depuis Septembre dans un BTS de gestion et plus important je fantasme sur lui début le début de l’année. Lui c’est Valentin, il est grand (180cm), musclé, châtain, des yeux d’un bleu profond bref pour lui je suis invisible. Etant devant lui en cour je trouve souvent des excuses pour me retourner et l’admirer discrètement du coin de l’œil.

Vendredi je profite d’être dans une salle de contrôle pour un DS pour me mettre au fond autant vous dire que j’ai passé mon heure entière a admirer son beau cul le problème est qu’il m’as surpris plusieurs fois en pleine action de matage. Ayant honte, je ne parlais plus a personne et n’osa plus le regarder pour le reste de la journée. Le week-end passa et m’apporta une surprise plus qu’il est devenu « célibataire », j’appris par la suite que cela faisait 3 mois qu’il était avec sa copine et certain parlait de son impuissance comme raison de la rupture … Autant vous dire qu’un mythe s’effondrait à mes yeux.

 

Le lundi matin je ne lui parlai toujours pas cependant à 9h une alerte incendie retenti, sachant pertinemment que c’est un exercice je fis un petit détour pour aller soulager une petite envie présente au toilette, quand j’allais commencer mon affaire dans une des 5 urinoirs je vis mon beau Valentin rentrer, tout en priant pour qu’il vienne déballer son paquet a côté de moi, je senti un début d’érection commencer en moi et cela me gêna je le regardas, il venait de jeter un coup d’œil sur mon sexe mais malheureusement pour moi il rentrât dans une des 2 cabines, j’allais ranger tout mon « matos » pour partir discrètement quand j’entendis la porte de sa cabine se rouvrir et j’entendis sa voie qui me disais « Tu attends une invitation ou tu vas venir me rejoindre ? ». Je me retournai pour le regarder dans les yeux et étant sous le choc j’acquisse de la tête tout en m’approchant de sa cabine, une fois que nous nous sommes retrouvés les 2 dans cette espace assez restreint ce qui provoqua en moi une sensation de bonheur absolue, j’étais coller à son corps magnifique. Il fermât le verrou en me disant « on 10 bonnes minutes devant nous, alors SUCE ! ».

 

Je m’accroupis et il me déballa son gros paquet (qui mesurait un bon 20cm pour 3cm de largeur une fois en érection) mi molle sur ma tête, il la glissât le long de mon visage pour me l’enfoncer violement dans ma bouche en accompagnant ses geste d’un violent « POMPE SALOPE ! ». Je me senti soumis mais j’aimais ca alors je commençai mon travail et lui commença des va et viens avec des râle de plaisir accompagner de phrase tel que « SUCE ! » ou « OH OUI TU AS FAIS CA TOUTE TA VIE SALOPE ».

 

Je sentis son sexe grossir petit à petit dans ma bouche pour finir par le sentir extrêmement raide. Puis il mit ses mains derrière ma tête pour me l’enfoncer au plus profond de ma gorge. Je senti comme un étouffement et dans un râle beaucoup plus puissant je senti 3 jets de foutre atterrir dans ma bouche je pris un plaisir d’avaler cette mixture au gout si magnifique. Je me relevai tout en étant fier d’avoir réussis à le faire bander lui qui était soi-disant « impuissant ».

 

Il m’embrassa goulument et en ouvrant la porte me dit « à la prochaine … »

 

ARTHUR DE BESAC

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 23 décembre 1 23 /12 /Déc 19:30

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Durant un voyage ou mon père partais en Italie et après lui avoir proposé de venir avec lui et avec son accord nous voilà partis pour une semaine complète a bord de son camion. Le voyage se déroulais très bien, je passais mon temps dans la couchette presque nu, dormant, jouant avec ma console portable, me touchant pendant que mon père lui conduisais. Nous avions dèja baisé ensemble (voir "merci maman") je ne fermais donc pas les rideau lorsque je me touchais.

 

Un soir après avoir fais ses livraisons nous voilà arrêtés sur une aire de repos perdu entourée d'arbres masquant toute visibilitée, nous avons mangé, regarder la télé, parler et mon père parti se coucher. N'ayant pas sommeil, je décidais de rester sur le siège passager à jouer en attendant que je tombe de sommeil. Quelques fois je tournais la tête pour matter le cul ou la bite énorme de mon père ainsi que son torse velu, puis au bout d'un moment le rideau se ferma.

 

" Je ferme le rideau A. la lumière de ta console me dérange.

- Pas de soucis papa dors bien j'irais dans la couchette du haut plus tard

- Traîne pas trop fiston.

 

Je me suis donc remis à jouer tout en me remémorant la fois ou je me suis fais pêter le cul par la bite de papa.

 

Puis un mouvement brusque viens de la couchette, je me retourne et entrebaille le rideau pour voir si tout allais bien, et la je vois mon père bite raide les bras derrière la tête yeux fermés, je me suis lêcher les lèvres, puis ai imaginer sucer cette tige énorme, bien 20 22 cm. Je commence à approché ma main et touche cette queue, ayant toujours les mains froides, mon touché à immédiatement reveiller mon père, qui me souris.

 

- Et bien A. je vois qu'elle te plais toujours, tu vois je repenssais quand je t'ai baisé, sa ma filer une trique et comme tu est la on va remettre sa, d'accord ma salope?

- heuuu... Oui papa sans aucun soucis mais tu sais je pense que ce que l'on fais n'est pas très....

 

J'ai jamais pu finir ma phrase, il avais empoigné ma tête et me l'avais directement collé sur sa bite.

 

- va si fais pas ta sainte nitouche ouvre la bouche et avale la bite de ton père ou je te jure que sa va mal aller pour toi. Je sais que tu aime te faire dominer alors avec moi tu va être ma salope quand comme et ou je veux. coompris?

- Oui papa ne te fais pas de soucis, j'aime tellement me faire baiser par ta grosse queue que je serais ta femme si tu le veux.

- Bien sur que je le veux.

 

A ces mots ma bouche s'ouvris seule et je commencais a engloutir de toute sa longueur cette appendice qui s'offrais a moi. Je lechais ses couilles, caressais son torse, branlais sa queue tout en le regardant dans les yeux, je voulais son jus au plus vite. Je l'ai sucer ainsi durant 10 bonnes minutes, ses rale de plaisir me rendais encore plus chienne et je faisais tout pour qu'il sois satisfait de moi. Je sentais qu'il avais envie de jouir dans ma bouche et pour ne pas faire retomber son envie de me baiser j'ai stopper ma pipe et me suis mis a califourchon au dessus de sa bouche, lui offrant mon trou, sans se faire prier il a commencer a le lecher, je sentais sa langue lubrifier mon trou, je devenais de plus en plus chienne, lui demandais de m'insulter encore et encore.

 

 

- Tien toi près A je vais te défoncer la chatte.

- Va si papa!! Viens me déchirer!!

il remonte la couchette du haut et se met a genoux, je lui offre mon trou et me cambre un maximum pour que sa vue sois satisfaisante, je n'ai pas attendu pour qu'il commence a me caresser le trou avec sa queue, mon trou lui se dilatais de plus en plus, j'hurlais de me sauter, de me jouir dans le cul, de faire de moi sa femelle, sa putte, sa chienne. Sa réaction fut immédiate, sans crier gare il est entré en moi d'un coup sec, un cri sortis de ma bouche, mais je m'en foutais je voulais sa queue en moi!!!

 

Il ma baiser ainsi durant une bonne heure, alternant les positions toujours m'insultant de salope, de garage a bite, de suceuse.

 

- Ecoute moi bien A maintenant comme je te l'ai dis avant tu sera ma salope, je veux que tu sois a entiere disposition pour la queue de ton père, tu a une chatte que je veux baiser aussi souvent que possible, je vais te remplir dès que je peux, sa ne te pose pas de soucis?

- Ma réponse est toujours la même papa, je serais ta femelle et ferais ce que tu voudra!

 

Il continua a me pilloner le cul et me jouis dans le cul dans un rale de plaisir, écartant bien mes fesses.

 

Je me mis assis et suca sa queue encore pleine de sperme tout en le regardant, il ne tardis pas apres 5 minutes de nettoyage de rebander et de me baiser de nouveau la bouche!

 

- Papa?? je veux ton jus dans la bouche!!

- avec joie ouvre bien ta bouche de salope!!

 

Il me fis attendre bouche ouverte son sperme qui ne tarda pas a arriver, même avec l'éjaculation d'avant j'ai reçu un paquet de sperme chaud et gluant.

 

La fin du voyage s'est déroulé casiment dans les même conditions le soir, il me baisais, faisais de lui sa chose, j'étais au paradis, il lui arrivais des fois de demander une pipe en pleine conduite, j'obeissais a ses moindre désirs sans broncher au contraire, plus j'avais sa queue plus j'étais heureux.

 

PTITGAY

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 20 décembre 5 20 /12 /Déc 19:08

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Par ce beau dimanche après midi je me baladais tranquillement dans la rue perdue dans mes pensées, lorsque je croise un groupe de 5 skinheads sur le trottoir d’en face, il gueulaient comme des putois une bière a la main. Connaissant un peu la réputation de ces mecs, je pressais le pas sans les regarder tête baisser, mais l’un deux m’as interpeller.

- hé ! mec !

Je n’ai pas répondu et continuais mon chemin

- hé ! ho ! Toi là bas !

Comme je ne répondais toujours pas il a traverser la route et se dirigeais vers moi, là je pris vraiment peur et me suis mis a courir. Ses potes le voyant a mes trousses en me gueulant dessus l’on rejoint et m’on tous courser.

En espérant pouvoir me cacher je suis rentré sous un porche, ouvert une porte, qui était un locale poubelle, et m’y suis planquer. Le cœur battant, je les ai entendu venir et me chercher un peu partout lorsque la porte du locale c’est ouverte brusquement.

- il est là les mecs…

Puis me prenant par le col de mon blouson m’as fais sortir

- aller viens là connard… y a mon pote qui veux te parler

Puis tout est aller très vite, sortie de ma cache ils se sont tous ruer sur moi et m’ont enfermer dans le coffre de leur voiture garer non loin de là.

Nous sommes arrivé je ne sais pas ou mais ils m’ont fais sortir du coffre et m’ont emmener de force dans les fin fond d’une cave aménager comme un appartement (petite table basse, canapé en cuir déchirer (ils avaient du récupérer ça au encombrant), des bières partout. Puis ils m’on relâché et balancé dans un coin. L’un d’eux (qui devais être le chef de la bande) c’est assis sur le canapé et m’as dis d’un ton calme :

- hé mec ! c’est pas bien polie de pas répondre quand on te parle

- désolé…

- pas de blême mec, je vais t’apprendre la politesse… viens lécher mes bottes…

Comme je ne bougeais pas ses potes m’ont forcé a me mettre a genoux et lécher ses pompes en me bloquant les bras derrière le dos.

- aller lèche mec ou je vais me fâcher…

J’ai donc sortie ma langue et nettoyais ses bottes en cuir, puis je l’ai entendu dégrafer son pantalon, et me dis.

- redresse toi et suce ma bite maintenant…

- non !

Puis me tirant par les cheveux et employant un ton plus ferme.

- suce moi connard !!! J’ai envie de me vider les couilles tu vas donc me servir de pute…

Comme je ne bronchais pas il donna ordres a ses potes de me foutre a poil, de me tondre le crâne et de me raser le corps.

Sans pouvoir rien faire je me suis retrouvé nu comme un vers sans plus aucun poil de partout, (crâne, torse, bras, pubis, couilles, cul, jambes) et affublé d’un collier en cuir épais cadenasser pour que je ne puisse pas l’enlever.

Afin de m’humilier encore plus j’ai eu ordre de ramasser mes cheveux et poils tombés par terre pendant qu’ils étaient installés confortablement sur leur canapé une bière a la main tout en se moquant de moi. Une fois fait le chef en question, sa bite juste sortie de sa braguette m’a redonné l’ordre de le sucer, voyant que je ne bougeai pas l’un d’eux c’est lever m’a foutu une baffe dans la gueule et forcé a prendre la bite dans ma bouche.

- putain !!!… vas-y connard !!! Suce le comme une salope…

Je me suis donc exécuter et pris cette bite dans ma bouche encore un peu molle non décalotté, la sentant gonflé peu a peu dans ma bouche.

- hummmm… ouai !!!... tu suce bien dis donc… tu serais pas PD par hasard ?...

Puis s’adressant aux autres.

- hé ! Ça vous dit les mecs ? il suce comme une reine…

Donc a genoux passant de cuisses en cuisses, je suçais ces 5 bites tour a tour, lorsque 2 mecs me pris chacun par un bras et une jambe, me soulevant pour m’installé sur la bite du chef. Ecartelé par les 2 mecs ils me mis dos au chef qui m’écarta le cul et me fit descendre sur cette queue qui me ramona en profondeur, je suis passer sur 3 bites dans la même position lorsque, a un moment donner il se sont tous lâcher comme des bêtes et m’on baiser comme une chienne dans toute les position inimaginable, les bites se succédant de ma bouche a mon cul et vice versa, certain me déversant leur foutre dans ma bouche et d’autre dans mon cul. Puis, ils m’ont enfermé dans un placard pendant quelques heures, je les entendais rire chanter et gueuler, lorsque la porte s’ouvrit ; l’un d’eux me pris par le collier, me ramena a 4 pattes devant ses potes pour une autre séance d’abattage, le cul encore rempli de foutre certain m’encula directement pendant que d’autre m’enfonçaient leur bites dans la bouche, ils étaient tellement bourré comme des coins que je me suis fais baiser comme une chienne pendant plusieurs heures avant qu’ils puisse jouir, finalement après m’avoir utilisé comme vide couilles ils m’ont relâché et foutu dehors.

LOPE91

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 20 décembre 5 20 /12 /Déc 01:23

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Dans la voiture, mon voisin et ses potes se marrent. Je ne sais pas comment va finir la soirée. La voiture prend la direction de la cité. J’ai toujours fantasmé sur les mecs des cités, comme on les voit dans les films, mais là, j’ai peur que ça ne vire aux cauchemars.

Devant, le roux et mon voisin parlent d’aller se ravitailler en cannabis. Leur petit butin devrait leur permettre de faire de belles réserves. Mais moi, dans l’affaire, quel va être mon rôle, je sens que je ne vais pas tarder à le savoir.

Mon voisin se gare au pied d’un immeuble. Le tatoué descend. Le roux s’adresse à moi :

-« on va bien s’amuser. »

Je flippe. Dix minutes plus tard, le tatoué revient à la voiture, il est accompagné d’un beur.

-« Salut Toufik » dit mon voisin.

-« Salut mec, alors, besoin de me voir ? »

-« Oui, un peu de troc, ça te dit ? »

-« Du troc, tu te fous de ma gueule, pourquoi pas du bénévolat ? »

-« Regarde à l’arrière, j’ai un bon vide-couilles pour toi »

Le mec me dévisage. Je flippe grave, mais ça me fait bander.

-« Des mecs comme ça, ça sucent pour le plaisir, j’en ai quand je veux, je vais pas te donner quoique ce soit pour lui. » finit par dire le dealer.

-« Il ne fait pas que sucer, c’est un vrai garage à bites, une salope, et une bonniche, ça peut toujours servir. » répond le tatoué.

« Ouais, je sais pas… suivez moi, on verra ça »

On descend de la voiture. En traversant le hall, je me fais mater. Au sous-sol, mon voisin m’ordonne de me foutre à poil, je m’exécute.

« Il est obéissant » constate Toufik

« Il a intérêt » répond mon voisin, et il me balance une gifle.

« Doucement, abîmes pas la marchandise »

On suit le mec jusque dans sa cave.

« Ok les mecs, vous êtes venu avec votre esclave, qu’est-ce que vous me proposez ? »

« T’en profites comme tu veux, et tu nous donnes ce qu’on veut. »

Le mec se rapproche de moi ; il m’ausculte. Il regarde ma bite mon cul. Il y mets deux doigts. Il tire sur le cadenas qui m’enserre les couilles. Je ne bronche pas. Il enlève sa ceinture, j’attend le coup sur le cul … rien. Il me lie les poignets avec et me suspend à une poutre.

« Ok, je le garde »

« Et notre marchandise ? » s’inquiète le tatoué.

« Vous en vouliez combien ? » lui demande mon nouveau maître.

Tous les quatre s’éloignent pour régler leur transaction. On dirait qu’ils tombent d’accord. Ils reviennent vers moi.

« Donne moi les clés du cadenas, maintenant il est à moi. »

Mon voisin lui donne les clés.

« Ca vous dirait que je vous donne le double de ce vous vouliez les mecs ? » demande Toufik.

« Bien sûr » répond le roux.

Toufik ouvre son fut, sort sa bite.

« Viens me sucer, et je te donne le double. »

Tous les trois se regardent, le roux hésite. Il s’avance vers le dealer, et devant ses potes, il s’agenouille. J’ai la gaule. Va-t-il le faire, ou est ce que ça va finir comme dans la ruelle ?

« Avales la, tu la connais, c’est pas la première fois que tu me suces, et à chaque fois pour la même raison » lui dit Toufik.

J’en crois pas mes yeux, il le fait, et je vois bien qu’il s’applique.

« Vous deux, au lieu de mater, venez l’aider, y en a assez pour vous »

Mon voisin y va le premier, prend la bite de Toufik des mains du roux et l’avale direct. Il a l’air écœuré mais il suce.

« Alors Vincent, toujours prêt à tout ? Réponds pas et applique toi. »

Mon voisin redouble d’effort.

Le tatoué n’a pas bougé.

« Toi, tu ramène ta gueule par ici ou c’est ton cul que je vais te demander »

Le tatoué s’avance, s’agenouille à son tour. Vincent bouffe les couilles du dealer, il peut donc commencer sa pipe. Ils sont tous les trois à genoux, à se disputer une bite, à celui qui la sucera le plus.

Je suis super excité, ma bite fait des bonds. Je n’en reviens pas. Eux qui ont largement abusé de moi, tous les trois à genoux en train de s’occuper de la bite de ce dealer.

« Ok les mecs, mais il faut un peu de tendresse, embrassez vous ! » ordonne le beur.

Et là, devant moi, tous les trois commencent à se rouler de bonnes grosses pelles. Toufik leur crache dessus mais tous les trois continuent, personne ne leur à ordonner d’arrêter.

« Petites salopes !! caressez vous »

Les mains se baladent, parcourant le corps des uns et des autres. Le roux commence à sucer mon voisin, mais le dealer intervient.

« Stop les mecs, c’est moi qui mène la danse. Vincent, va sucer les balloches de ton esclave.

Mon voisin s’avance à quatre pattes vers moi. Maintenant, sa langue baveuse parcourt mes couilles.

« Ecarte tes fesses de putain »

Mon voisin s’exécute.

« Toi, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue » dit-il en s’adressant au rouquin.

« Et toi, continue à t’occuper de ma queue » ordonne t-il au tatoué.

Mon voisin continue de me bouffer les couilles pendant qu’il se fait travailler le cul par son pote.

« 2 doigts ! »

Vincent gémit.

« 3 maintenant »

Mon voisin grogne. Je vois le roux qui s’amuse avec son cul. Le beur se lève interrompant la pipe du tatoué, il s’avance vers nous, ramasse une corde au sol, saisi les poignets de mon voisin, les attachent ensemble, et fixe la corde au crochet qui me tient déjà prisonnier. J’ai son visage en face du mien.

« Embrassez-vous »

J’hésite, mais pas mon voisin. Sa langue force ma bouche. Putain, il embrasse comme un dieu. Et puis, son baiser s’arrête, je le vois grimacer. La bite de Toufik force son cul.

« Embrassez vous, j’ai dit »

On recommence notre pelle, ponctué par les va-et-vient de la bite du beur dans le cul ce Vincent.

« Vous deux, venez les sucer »

Ma bite est engloutie par le tatoué. Puis tous les deux s’échangent nos queues. Je prend mon pied, c’est génial. Je sais par les soubresauts de Vincent que Toufik accélère. Tout en m’embrassant, il gémit. Je sens qu’il aime ça lui aussi, il ne va pas tarder à venir. En effet, j’entend le rouquin s’étouffer. Il a du lui décharger dans la gueule. Le dealer s’en est rendu compte.

« Avale » qu’il lui gueule. Le rouquin obéit mais fait la grimace.

« Humm. Vincent, je vais bien m’éclater maintenant que tu as joui, ton petit cul s’est resserré sur ma tige »

Et il le laboure de plus belle. Il lui pince les tétons. Vincent ne peut plus m’embrasser, je sais le calvaire qu’il est en train de vivre. Maintenant, c’est le rouquin qui me suce pendant que le tatoué s’occupe de lui. Je sens que je vais décharger à mon tour mais je ne dis rien. C’est fait, je jouis. Le roux ne dit rien, il avale en me matant, il prend son pied. Il suce son pote aux tatouages, il veut sa troisième décharge, et vue la gueule du sucé, ça ne va pas tarder. Le tatoué gémit, le rouquin tête sa bite. C’est fait, il avale sa troisième rasade. Le tatoué retire sa queue de la bouche de son pote. L’autre reste à genoux devant lui.

« Vas-y » lui dit-il.

« T’es sûr Hervé ? »

(tiens, il s’appelle Hervé, jusque là, je ne le savais pas)

« Oui, vas-y, j’en ai envie »

« Ok » et le tatoué lui pisse à la gueule. Un vrai shampoing !!

Toufik éclate de rire.

« T’es bien la meilleure des trois, Hervé, t’as toujours aimé ça ! » et dans un dernier éclat de rire, il décharge dans le cul de mon voisin. Il se retire. Les jambes de mon voisin fléchissent, mais il ne peut s’agenouiller, toujours tenu par la corde. Le dealer retire sa capote et la vide sur le crâne rasé de Vincent.

« Tiens, ta récompense ! Détachez les mecs et cassez vous avec votre matos, je garde votre esclave. »

Tous les trois se rhabillent. Vincent avance la main pour récupérer le paquet qu’il était venu chercher. Je sens que le dealer a encore une idée derrière la tête.

« Attends 2 secondes. T’as envie de pisser ? »

« Oui »

« Ok, vas y, j’t’regarde »

Vincent commence à ouvrir son jean’s.

« Non, non, t’as pas compris, garde ton fut »

Mon voisin ne discute même pas ce nouvel ordre, et je vois une auréole apparaître. Son fût est trempé. Il est complètement humilié.

« Maintenant, viens embrassez la bite qui t’a donné tant de plaisir »

Il se penche, et embrasse le gland de Toufik. Les deux autres en feront autant sans que le dealer ne leur demande.

« A bientôt les mecs »

Tous les trois se cassent, me laissant là toujours à poil et attaché. Mon nouveau maître s’allume une clope, il me mate mais ne dit rien. Il se lève, vient vers moi, me mate, me claque le cul. Je ne dis rien. Je recommence à bander.

« T’es un bonne salope toi aussi ? »

« Oui, Maître »

« Mais t’es un vrai pd ? »

« Oui Maître »

« Ouais … c’est moins drôle que de casser le cul à ces petits branleurs hétéros qui sucent pour une savonnette. »

« Je ferais ce que vous voulez Maître »

« Eh bé, t’as un bon mental de lope toi !! T’as pris ton pied à te faire maltraiter par ces trois cons ! »

« J’avoue, Maître »

« Alors, je vais te baiser comme tu aimes »

Il a ramassé son calbut, me l’a enfoncé dans la bouche. Ensuite, il a rapproché la chaise, me la mise entre les jambes pour bien m’écarter. Il est passé derrière moi et à commencer à m’enculer. Il m’a branlé la bite jusqu’à ce que je gicle. Et il a recommencé à me labourer. Il a bien pris son temps. Un supplice délicieux. Après avoir joui, il a vidé le contenu de la capote sur mon torse. Il m’a détaché le cadenas et les mains.

« T’as plus besoin du cadenas, t’es à moi, et tu le sais. Je t’appelle et tu rappliques. »

« Oui Maître »

Il a téléphoné à de ces potes pour qu’il me ramène chez moi. Un grand black est arrivé dans la cave.

« Ton chauffeur »

J’ai fait deux pas vers la sortie et je me suis ravisé. Je me suis agenouillé devant lui, et j’ai inondé le bas de jogging, puis je me suis penché sur son entrecuisse et j’ai embrassé son gland.

« T’es vraiment une salope !! »

« Oui Maître »

SORRY

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 17 décembre 2 17 /12 /Déc 23:51

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C'est une histoire courte mais qui vaut la peine d'être raconter.

Ça m'est arrivé il n'y à pas longtemps alors que je prenais le train pour rentrée chez moi. Il était environ 22h car à cause d'un surplus de travail j'avais quitté tard le boulot. Vu l'heure tardive il n'y avait personne dans le wagon. Lors d'un arrêt à une station 2 mecs montent dans mon wagon. C'était 2 jeunes mecs style lascars de cité avec une canette de bière à la main et se sont installé sur une banquette non loin de moi. Le train a redémarrer et peut-être 5mn plus tard les voila qu'ils se lèvent pour venir s'assoir vers moi l'un en face, l'autre à coté puis entament la conversation.

 

- Salut…

- Salut…

- Tu veux boire un coup ?

- Non merci…

- Quoi ? tu bois pas ?

- Si mais merci j'ai pas soif, c'est gentil quand même…

 

Puis s'ensuit des banalités du style, tu va ou ? Tu fais quoi comme boulot etc.…

Jusque là tout me parais banal et les sentant quand même un peu bourré je réponds à leurs questions affin d'évité toute violence de leurs part lorsque à un moment donner le mec en face de moi tout en me parlant et sans aucune gène met sa main au paquet en écartant ses cuisses, se caresse la bite au travers de son jogging qui ne met pas longtemps à bander et me dit de but en blanc.

- Putain ! j'ai trop la gaule tu veux pas me purger ?

 

Ne voulant pas que les choses prennent une mauvaise tournure en le rendant méchant voir violent je lui rétorquais gentiment que non, que ce n'était pas mon truc et que je n'étais pas gay.

- Allez quoi… juste une petite pipe mec…

- Non, non…j'ai pas envie…

C'est là que les choses on quand même mal tourner pour moi car son pote qui était assis à coté de moi me pris par la nuque en me serrant assez fort, sortit un cran d'arrêt en me le pointant sur les côtes et me dit d'un ton sec et virulent :

- Je crois qu'ta mal compris là mec… il ta pas demander si t'avais envie ou pas il ta juste demander de lui vider les burnes alors pompe lui la bite et ferme ta gueule…

 

Avec force il m'obligea de me mettre à genoux entre les cuisses de son pote qui me sortie sa grosse bite. Une bite pas très longue mais bien épaisse et bien raide non décalotté qu'il masturbait en faisant coulisser son prépuce sur son gland. Là il me dit :

- Vas-y… ouvre la bouche et tire la langue…

Son pote qui me tenait par les cheveux voyant que j'avais du mal à ouvrir la bouche me dit :

- Et ben alors ! t'as entendu c'qu'il ta dit ?...

Fermant les yeux je me suis exécuter et le mec à commencer à me tapoter la langue de sa bite, puis en me caressant le visage avec jusqu'à ce qu'il me demande de le sucer.

- Allez… suce…

 

Je n'ai donc pas eu d'autre choix que de prendre cette bite en bouche. Le train à ralentie et s'arrêta à la prochaine station, là j'ai cru être sauver de mes « violeur » car j'ai entendu des personnes monter dans le wagon mais apparemment s'étant installé dans un coin ou personne pouvait nous voir cela n'a pas déranger mes ravisseurs car une fois que le train à redémarrer le mec ma demander de continuer à le sucer pendant que son pote faisait le guet.

Visiblement le mec était excité d'avoir un mec à genoux à se faire pompé la bite alors qu'il y avait du monde proche de nous car affin de ne pas se faire repérer il me disait dans un chuchotement :

- Hummm… ouai… vas-y salope… pompe moi bien la teub…t'es aussi bonne que les meufs de la cité…

 

Au bout de quelque mn il me tint la tête sur sa queue et tout en restant immobile il me crachât tout son sperm dans la bouche en me disant :

- Avale tous salope…

Il se retira de ma bouche en disant à son pote de prendre sa place.

- Vas-y mec…à ton tour…

Son pote à alors baisser son jogg me sortant sa bite bien raidi, une bite moins épaisse mais plus longue et circoncise. Debout face à moi il me prit par les cheveux d'une main et me tendant sa queue de son autre main me dit :

- Allez p'tit batard… pompe moi la teub…

Alors que le mec qui avait les couilles vide faisait à son tour le guet l'autre me baisait la bouche.

- Hummm… t'as une bonne bouche de pute… vas-y… continu salope… fffouuuu….ouai… allez avale…humm… putain ! ouai… tète bien batard…ouai… comme ça vas-y…humm putain…houuu… fffouuu… c'est bon ouai….hummm…

 

Puis dans un râle de mâle en rut il me gicla dans la bouche sans me prévenir mais ses long jet de sperm était si violent et abondant que je n'ai pas pu avaler, je laissais alors couler sa semence entre mes lèvres qui tâchât ma chemise.

Les mecs sont repartis au prochain arrêt en me disant que si la prochaine fois ils me retrouvaient par hasard, que ce soit dans ce train ou ailleurs ce n'est pas que ma bouche qu'ils violeraient mais aussi mon cul.

 

KEUM91

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Mercredi 11 décembre 3 11 /12 /Déc 22:50

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A cette époque j’avais (sans le vouloir) plutôt l’air efféminé, encore puceau je me branlais en fantasmant plus sur les mecs que sur les nanas sans savoir vraiment que j’étais gay (surement que je refoulais cette idée….) souvent, au vu de mon allure je me faisais traité de Pd ou de tapette et plus particulièrement par un certain Benjamin, que tout le monde appelais par son diminutif « Ben » le genre de mec hyper macho, grande gueule et imbu de sa personne. Comme tout mec macho il se vantait devant ses potes qu’il n’avait qu’a claqué des doigts pour que les meufs se mettent à ses pieds en bref tout le genre de mec que je déteste bien que je le trouvais canon. J’étais en quelque sorte son souffre douleur car lorsqu’il me voyait il jouait au caïd devant son groupe de potes en me bousculant ou en m’insultant.

 

Ce qu’il aimait par-dessus tout c’est lorsqu’il mettait une main sur son paquet en me disant.

- Hey pédale tu veux y goutté ?

Moi étant timide et peureux je ne répliquais pas et tournais les tallons en rougissant de honte. Un jour alors que je prenais des notes en écoutant le prof il est venu s’assoir à coté de moi. Sans la moindre gène il a sortie sa bite raide et ma dit en rigolant :

- Tu veux toucher ?

Là j’ai détourné mon regard en haussant les épaules et en le traitant de pauvre con, et ça il na pas apprécier du tout… à la fin du cours je suis allé aux chiottes pour pisser et lorsqu’une fois fini je me suis retourné pour partir il se tenait devant moi et m’attrapa par le col en me disant :

- Alors comme ça j’suis un pauvre con ?

Surpris et trouillant de peur je bégayais en essayant de m’excuser mais avec force il m’entraina dans une cabine en me faisant assoir sur la cuvette. Après avoir fermé la porte derrière lui il me dit en mettant sa main sur sa bite au travers de son Jeans.

- Alors p’tite tapette…. Tu va voir si je suis un pauvre con… Un p’tit PD comme toi ça doit aimer les bites non ?

Là j’ai crié un gros « NON » mais il me flanqua une grande baffe pour me faire taire.

- Ferme là PD… tu va m’sucer ou j’te dérouille la gueule….

Puis joignant le geste à la parole il dégrafa son Jeans, baissa son slip, empoigna sa bite bander à mort et me dit :

- Vas-y suce….

Dans un chuchotement, les larmes aux yeux je le suppliais.

- Non pitié… pas ça stp….

Furax il m’agrippa les cheveux d’une main et de l’autre me forçais la bouche avec sa bite.

- Suce moi j’tai dis….

Voyant que je n’ouvrais pas la bouche il devint encore plus furieux et me re-gifla puis me repris par les cheveux et me flagella le visage avec sa bite.

- Ouvre ta putain de bouche pédale et suce ma bite ou j’t’éclate la gueule…

J’ai alors ouvert ma bouche et pris son membre. A ce jour c’était la 1ere fois que je suçais une queue et pour une 1ere j’aurais aimé que ça se passe autrement.

- Alors tu vois c’est pas si compliquer que ça hein ? aller suce moi bien p’tit PD… ouai…. Voila…c’est ça…hummm…t’es une bonne pédale…une bonne suce bite…

Au bout d’une bonne 10ene de mn à peu prêt il se retira de ma bouche pour se branler et jouir sur mon visage puis il s’essuya la bite sur mes cheveux.

- Haaaaa… putain ! ça fait du bien…c’était trop bon…

Puis il rajouta avant de partir.

- Ah au fait ! t’as pas intérêt à parler de c’qui viens de se passer ou j’te jure que j’te défigure au point que ta mère ne te reconnaitra plus…

Mort de honte, les jours suivant je l’évitais pour ne pas le croisé dans les couloirs, dès que je le voyais au loin je faisais marche arrière et me cachais dans un coin mais cela na pas durer très longtemps car un jour que je ne m’y attendais pas il est arrivé derrière moi, m’attrapa par la nuque et m’emmena dans les chiottes en me poussant violemment contre les lavabos.

- Alors p’tit PD j’me fais des idées ou tu m’évite ?

- Heuuuuu…. Non, non….pourquoi ?

- Ben… j’ai envie qu’tu m’fasse une pipe…

- Non, non stp…. Pas encore….

Là il leva la main pour me frapper mais en me protégeant d’un bras je lui dis :

- Ok, ok…

Il ouvra alors une cabine en me disant :

- Rentre là dedans et assis toi sur le chiotte…

Lorsque qu’il eu refermé la porte derrière lui il sortie sa bite.

- Aller suce pédale….

Comme la 1ere fois il éjacula sur mon visage et lorsqu’il s’est rhabillé il me prit par la gorge en levant le point et me dit :

- Dorénavant t’as pas intérêt à m’éviter car crois moi si j’te tombe dessus tu le regretteras t’a compris ?

- Ok, ok….

 

A partir de ce jour j’étais à sa merci, 2 à 3 fois par semaine il m’obligeais à le sucer, par crainte de représailles lorsqu’il me faisait signe, docilement je le suivais dans les chiottes et le pompais. Quelque fois pendant les cours il me donnait discrètement un papier ou il avait griffonné : « après le cours attend moi dans la dernière cabine des chiottes » c’était devenu un rite pour lui car il ne me parlait même plus, lorsqu’il baissait son Jeans et son slip il claquait uniquement des doigts et je me mettais à le pomper. Petit à petit il devenait un peu plus vicieux, il a commencé par m’ordonner d’enlever mon T-shirt avant de le sucer et il me jouissait sur le torse jusqu'à ce qu’il exige que je me foute complètement à poil devant lui. Pareille lorsque je devais l’attendre dans le chiotte après le cours je devais l’attendre à poil. Il se vidait toujours les couilles en se branlant sur moi et ne m’autorisait plus à m’essuyer je devais me rhabiller maculer de son foutre, peu à peu il prit l’habitude à m’ordonner de lui nettoyé sa bite après avoir joui sur moi jusqu’au jour où, il éjacula complètement dans ma bouche et me força à avalé en me coinçant la tête dans ses mains.

 

- Avale tapette… tout les PD aime le foutre…et comme tu fais partie des bonnes pédale dorénavant t’avalera toujours ma jute…

Un beau jour il m’annonça :

- Pour demain j’veux qu’tu porte une petite culotte de ta mère ou de ta frangine…

J’ai bien protesté mais il me menaça de me cogner si je ne m’exécutais pas.

Le lendemain il me demanda :

- Alors ? t’as fait c’que j’tai d’mander ?

- Oui…

- Ok montre….mouai…. pas mal… par contre va falloir que tu t’rase les poils le la bite parce que ça fait moche….

 

Peu à peu il me féminisait, à chaque fois il exigeait que je porte un truc en plus, je ne devais plus porter de chaussettes mais des bas, jusqu'à mettre un soutiens gorge. Les vacances sont arrivées, pendant les 15 jours j’ai pu me remettre en mec sans craindre une menace. Mais dès la rentrée tout à repris son cour et ce 1er jour de rentrée après l’avoir sucé et m’avoir inondé la bouche de son foutre il me tendit un petit paquet.

- Tiens… ça c’est pour toi…

- Merci, c’est quoi ?

- C’est la lingerie de ma nana enfin de mon ex car elle ma larguer pour un connard… mais bon pas grave car tu va la remplacer et devenir ma meuf… pour demain tu porteras ça… vous êtes à peu prêt de la même taille donc ça devrait t’aller…

- Pourquoi elle t’a largué ?

- Qu’est-ce que ça peu te foutre… t’a pas à savoir, d’ailleurs t’a pas à poser de question…et maint’nant que tu deviens ma meuf tu fais c’que j’te dirais de faire et t’a pas ton mot à dire t’a compris ?

- Ok, ok…

 

Le lendemain je me présentais devant lui avec un soutien gorge en dentelle, string dentelle et porte jarretelle.

- Hummm…. Sympas…. Pas mal du tout…t’es bien plus affriolante comme ça…tu m’excite bien…

Voilà qu’il me parlait au féminin maintenant…

- Bon aller, c’est pas l’tout mais faut qu’tu m’suce maint’nant…allez fou toi à genoux et pompe, dépêche…

Après lui avoir vidé les couilles il me dit.

- Bouge pas de là et ferme la porte derrière moi j’vais revenir…

 

Pendant que j’attendais sans faire de bruit pour ne pas que quelqu’un sache que j’étais là j’entendais des mecs rentrée pour pisser et sortir puis, d’un seul coup j’entends frapper à la porte et la voix de Ben.

- Ouvre c’est moi…

A ma grande surprise en ouvrant la porte il était revenu avec son pote Jimmy qui, lui aussi fut surpris de me voir.

- Putain ! mais c’est le p’tit PD….

- Ouai… et il est devenu ma nouvelle meuf…

- Quoi ? t’es devenu PD ?

- Ha, ha, ha non, non j’te rassure j’m’en sers uniquement pour m’ vider les couilles c’est tout… et crois moi…. C’est une bonne suceuse… non seulement elle aime la bite mais en plus elle avale… vas-y fait toi plaisir elle est là pour ça….

- Hummm sympas….

 

Afin d’éviter des représailles de la part de Ben je me suis mis à l’ouvrage et sucer la bite de Jimmy qui ma craché son foutre dans la bouche et du tout avalé. Voilà que maintenant j’avais 2 mecs à purger lorsqu’ils en avaient envie. Un jour ils ont poussé le vice à se faire sucer en plein cours. Assis tout au fond hors du regard du prof et des autres étudiants j’étais entre les 2, Ben m’ordonna de me mettre discrètement sous leurs bureau, ils on chacun sortie leur bite pour que je les suce et avalé leur semence. Au finale durant toute cette année j’ai été leur pompe à jus en leur vidant les couilles 2 à3 fois par semaine qui peu à peu n’étais pas pour me déplaire car du coup j’ai pu assumer le fait que j’étais PD aimant la bite et devenir une vraie salope.

 

TIREJUS

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Vendredi 6 décembre 5 06 /12 /Déc 15:04

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Salut,

 

Il y a cinq ans, j’ai rencontré un type sur une aire de repos en Belgique il pleuvait mais ça allait car c'était en juin. Je sortais de boite un peu stone.

 

Le mec était en marcel, jogging court et air max et bien foutu.

Il était très excitant à voir et faisait vraiment hétéro.

Il s'est vite foutu torse nu sans et à commencer à se toucher le paquet.

Il me dit qu'il aime les vide-couilles dans mon genre et qu'il aimerait me doser.

L'idée m'excita à fond eI je le lui dis.

Il m'ordonne de me foutre à poil et me demande de lui donner un short & t-shirt qu'il gardera dans son sac au cas où.

 

A cause du temps, il n'y avait pas grand monde, j'étais chaud comme la braise.

Me voilà à poil en plein air, c'est le kiff ! Et là il me dit " hey ptit vide couille viens mets-toi à genoux et pompe-moi le dare. C'était un peu boueux, il a sorti sa queue (très bon format, courbée et long prépuce) bien odorante et j'ai commencé à le pomper. il me crachait à la gueule, massacrant mes tétons et m'a fait avaler sa queue fond de gorge tout en continuant à me traiter de vide couilles. puis d'un coup il m'a pissé sur et dans la gueule et pour le coup m'a traité d'urinoir et m'a foutu 2/3 claques.

 

J'étais plein de pisse et de boue et il me dit de lui tendre mon cul, qu'il le teste un coup.

Comme il m'avait bien chauffé, je mouillais du cul à fond et il pût y rentrer avec pas mal de facilité. il m'a dit que j'avais un bon ptit cul de vide couille et qu'il allait en faire profiter pas mal de ses potes.

Ça me chauffait encore plus, je sentais du liquide couler sur mes cuisses, il m'avait déjà dosé en un temps trois mouvements ! Ce qui ne l’empêchait de continuer à me limer le cul. Au final, il m'a envoyé 5 doses en une heure.

Il m'a dit qu'il mettra mon cul à dispo le soir même, qu'il habitait avec 3 potes et que j'étais bien leur genre.

 

Nous sommes arrivés dans sa ville, nous sommes passés dans une boutique de sport car il exigeait que je sois en airmax et chaussettes de foot et m'a pris un short assorti pour aller au bordel le lendemain !

Une fois dans son immeuble, il m'a donné l'ordre de me foutre à poil juste avec mes nouvelles chaussettes & baskets et que je devais rester comme ça chez lui/eux.

Arrivés de leur appart, j'étais fou : un mec hyper musclé en short avec un sacré paquet, les tétons percés, blond platine.

D'office, il me crache à la gueule et me dit qu'il aime bien les ptits bâtards dessinés comme moi.

L'autre lui dit de m'appeler vide couilles, que ce serait mon seul nom et qu'il ne fallait pas hésiter à se servir de moi comme chacun l'entendait. J'ai juste dit que j'étais pas scato et ils m'ont dit qu'il n'y avait pas de blem.

 

Ils me donnent leur prénoms, Jules (celui que j'ai pris en stop) et Bastien.

Bastien me dit de le suivre dans le salon et y installe un sling et me dit de m'y installer.

Il me fout une pompe à seins électrique à chaque téton.

Il joue avec ça pendant un bon moment, c'est un peu douloureux mais bien kiffant.

Jules revient à la charge et me nique à sec direct.

Bastien m'enlève la pompe pour la remplacer par des pinces, le pied !

J'ai les tétons énormes , douloureux mais ça me fait encore plus mouillé du cul.

Jules m’envoie une bonne dose tout en me crachant à la gueule

Bastien commence à chauffer, sort sa queue bien épaisse et bien droite avec un long prépuce et un gros prince Albert 22cm ; Jules lui 21.5.

Je sens que je vais bien morfler entre la queue très courbée de Jules et l’épaisse queue avec PA de Bastien.

Ce fut le cas ! En plus, c’est le genre à taper fort, heureusement la dose de Jules m’avait bien lubrifier le trou.

Pendant ce temps, Jules me força à le pomper et joua avec les pinces ce qui me fit hurler de douleur et de plaisir à la fois.

 

Un téléphone sonna, Bastien répondit en continuant à me casser le cul violemment.

Il dit au type en ligne qu’un mec lui servait de vide couilles et qu’il s’amène fissa.

Le type en question, c’était Matt, le troisième locataire, très grosse queue, d’après mes deux doseurs et adorant se servir d’un mec comme pissotière.

Sur ce, Bastien me larga une grosse dose et repris ses coups de reins. Vu, les couilles qu’il avait, je compris qu’il pouvait me doser à répétition sans aucun problème.

Je sentais le jus déborder, c’était kiffant.

Il sortit de mon cul, alla chercher des boules de Geisha, m’enfonçant la 1ère et la tassant bien avec sa queue.

Il m’enfonça la 2ème, plus grosse, et tassa de nouveau.

Jules avait enlevé les pinces et joua avec mes tits douloureux, en me pissant dessus.

Bastien enfonça la 3ème boule et continua à tasser.

J’étais surexcité.

 

Matt arriva avec 2 potes, lui puait le sexe à fond et les autres étaient vraiment sexy.

Ils avaient passé la nuit aux Pays-Bas mais étaient déçu de leurs soirées n’ayant trouvés aucun boule à doser.

Ils étaient chaud comme la braise et n’avaient qu’une envie : se vider les burnes.

Bastien me dosa encore, retira doucement les boules, j’avais le fion explosé.

Matt enleva son t-shirt, il était tatoué quasiment partout, belles tablettes de chocolat, et magnifiques bras.

Les deux autres firent de même.

Moins musclés, ils n’en avaient de jolis corps.

 

Matt commença à jouer avec mon trou, sorti sa queue. elle était énorme !

Il garda son treillis, c’était très excitant.

Il pénétra d’un coup dans mon cul et je compris pourquoi les boules.

Je sentis d’office un liquide et compris qu’il me pissait dedans. Bastien et le deux nouveaux me firent de même dans la gueule et sur le corps.

Ensuite Matt joua les marteaux piqueurs, j’hurlais, jamais je n’avais pris si gros.

Bastien recommança à jouer avec mes tits et à me cracher dessus en me traitant de ptit batard.

Matt lui aboita le pas

J’exaltais !

 

Il m’envoya une sacrée dose en gueulant et assez brutalement.

Les 2 autres me demandèrent de me foutre sur le canapé afin de me faire une double pénétration, après les 3 lascars et les boules, ça se passa sans problème.

Celui qui était face à moi adorait rouler des pelles, il avait une peau merveilleuse et une bonne bite.

 

Celui qui était derrière moi avait une belle queue qui mouillait méchament, il s’agrippa à ma taille et envoya rapidement la purée.

Jules prit sa place et fit de même ainsi que Bastien.

Ensuite, nous bûment quelques bières, j’avais de nouveau la pompe à tétons, je n’avais encore joui.

Un temps plus tard, ils me demandèrent d’aller dans la douche en me remettant les pinces aux tits et commencèrent à me pisser dessus.

J’étais très excité, commança à me branler et gicla rapidement.

 

Pendant plus d’une année je suis resté à leur disposition chez eux et nous avons eu quotidiennement de nombreux plans de ce genre

Pour divers raisons, j’ai dû retourner en France et je n’ai jamais retrouvé ça.

De fait, je retourne les voir de temps en temps car franchement ça me manque.

 

PTITMECPARIS

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Jeudi 5 décembre 4 05 /12 /Déc 15:21

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bonjour j ai 24 ans

 

je suis brun yeux noir d origine espagnol mais ne parle que français

j ai une queue de 20cm sur 3

 

cette histoire c est passé a aubenas vers l airette un soir tard vers 00h

je voulais aller pisser au wc du parking je vais pour y aller quand tout a coup je me dis pourquoi pas aller plutot pisser vers le parking de la mission local j y vais et commence a pisser d un coup je vois un mec plutot gros environ 50 ans me suivre

 

je commence a sortir ma queue et pisse lui vient a coté de moi et s astique le manche

je commence a le toucher et il me demande si je suis actif ou passif

du coup je lui dis que je suis les deux il est content et me demande de le suivre jusqu a sa voiture la il baisse son pantalon et je vois une queue enorme et bien longue (21cm sur 6)

je me baisse et commence a le sucer il aime le salop, je vais vers ses couilles et la il me dit de continuer de bien lecher je le branle en même temps, la il me demande de le ressucer car il va cracher

 

je le suce bien et le branle d un coup il me chope la tête et me dit de bien sucé et d avaler que j etais fais pour cela

quand il a fini de jouir il me dit de rentrer dans la voiture qu on allait chez lui faire la fête

je suis un peu ko et me repose

 

quand je me reveille je vois la pencarte vals les bains il s arretent plus loin dans un coin de forets et on descent chez lui y a de la lumiere est du bruit

on rentre a l interieur et d un coup je vois une reunion de plein de mec entre 40 et 70 ans ils y a plus de mec marié bien rond que de mec bi ou gay

tous a coup mon coup du soir dit au inviter voici notre putain a nous

heureux d entendre cela les autres se touchent et commence a me mettre au milieux de la salle

les mecs me touchent et retirent mes habilles je me demandes que faire

je commence a voir les mecs tous retirer leurs vetements au bout d un moments on se retrouvent tous nus

 

je sens qu on me prend par le cul et on m emmene sur un slave je connaissais pas

on me dit de lever les jambes et de l autre coté ouvrir la bouche

je commence par me faire prendre le cul par un mec a petite bite ça me va

de l autre coté je suce plein de queue

puis arrive les mecs bien gros qui eux ont une grosse queue bien longue ils m enculent un par un defois par deux

 

je suis content d etre leurs vides couilles fiers

ils aiment pour la plupart ils savent qui je suis et me demande de venir chez eux quand je veux

pour d autres ils me demandent de bosser pour eux et defois de faire plus

vers la fin de soiré je suis remplis de sperme de partout je suis heureux et souriant je me fais insulté et d un coup mon gros mec me dit d un coup appartir de maintenant tu es a nous tous

moi content je dis ok lui arrive et me prend le cul violamment j aimes ça je lui dis de continuer de m enculer de me peter le cul

d un coup il me souleve un peu et m enfile une mains puis il retire sa queue et la me dit que j allais aimer

 

il m enfile son poignet puis monte et continue il m a enfilé jusqu a son epaule j ai mal mais en meme temps j aimes ça il le voit et d un coup ce releve et m encule j ai un trou enorme lui aime aussi il m encule et d un coup se lache en moi

il va se mettre vers mon cul et me leche le trou

ensuite il me remet droit et me demande de venir dormir car la semaine j allais bosser pour eux

j etais heureux tous en dormant j avais eu un cadeau de mon gros mec un gros gode de 40cm sur 10 ce qui laisser mon trou ouvert j aimes ça

 

JAMES07200

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Mercredi 4 décembre 3 04 /12 /Déc 10:12

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Un soir relativement tard vers les 23h00 environ, une pulsion et une envie de sexe me pris. Je voulais m'occuper d'un bonne queue de mâle. Je me prépare, la douche mes petites affaires pour parer aux éventualités capotes, gel,popper, coté fringue relativement simple mais assez rapide un jogging rouge à bande blanche et à pression sur les cotés sans sous-vet basket teeshirt une petite veste sans manche . Donc je pris le chemin d'un lieu de drague qui se trouve sur le petit clamart, les connaisseurs reconnaîtront l'endroit.

La température extérieure est super agréable et la lune bien claire donc je vois facilement et je commence à regarder et à mater en marchant sur les chemins. Je suis restés comme cela pendant environ trois quart d'heure. Soudain je remarque un mec grand environ 1m80 facile faut dire que moi je fais 1m65, il est très brun mal rasé en short et teeshirt basket. Je lui tourne autour et il me fait signe en se mettant la main au paquet, donc je m'approche, le banal « salut mec » et je lui mets la main sur paquet et là, il me repousse et me prend la tête de ses mains en me tirant dessus en voulant me faire savoir qu'il veut que je le pompe direct. Sa force étant largement supérieure à la mienne, je tombe a genoux devant lui et commence a lui lécher le short et à sentir sa bite de mâle.

 

Il tomba son short et je me mis à pomper son engin vigoureusement, parfois lui léchant ses burnes. Cela à durée environ un petite dizaine de minutes puis il me releva pour me palper à mon tour les couilles, le cul,les jambes , les mollets et à me pincer doucement les seins. Là je pense qu'il s'est aperçut que je préfère être soumis à un mâle que d'être un dominant car il me pris d'une main par le cou en ayant la tête immobilisée contre un arbre et me dit « pas de bruit et ferme ta gueule bâtard » je fis signe de tête que oui j'avais compris et recommençais a le pomper. Pendant ce temps il fouilla ma petite sacoche et il y trouva le poppers.

Tu aimes ça salope ! Je répondis oui tout en pompant sa queue.

 

Il me donne le popp et me dit de bien me gazer, je le fais la chaleur m'envahit et il me dit à poil j'obéis comme le bâtard que je suis, j'ai une trique d'enfer. Je reprend du poppers et il me travaile les seins, les couilles et j'adore ça donc il l'a bien remarqué car il se fait plaisir en me claquant le cul et en recevant une baffe .

 

Tout à coup il me dis à 4 pattes je veux voir ton trou de bâtard, je m'exécute en étant toujours sous poppers il me travail le trou avec doigt puis il me tira les couilles et enfonça direct son dard sans trot de difficulté car étant bien dilaté grâce au poppers, il se mit à me limer le trou. Je gémis de plaisir quand je m'aperçus que des mecs étaient entrain de nous mater se qui provoqua chez moi un instant de méfiance.

 

Il me dit « t'inquiète ça fait un moment qu'ils sont là et puis t'as rien a dire alors reprend du popers ».

alors je me dis je m'en fou après tout et repris du poppers jusqu'au moment ou j'ai senti qu'il allait bientôt m'envoyer son foutre, il se retira et me dit de le regarder droit dans les yeux et me yoppa la gueule.

 

Quelque minutes plus tard, il me demande si je suis pressé, je lui dit que non.

Il me demande « ont marche un peu ».ok je lui dis . Nous sommes partis sur les chemins plus loin encore dans les bois et au bout d'un petit quart d'heure il me sort sa queue et me dit » j'ai encore envie, pompe » il s'écarte du chemin et baisse son short et je le pompe, sa queue se durcit très vite . Une fois celle-ci bander il me donne un coup de pied en me pousse par terre et là il me dit « à poil tu te gaze bien au popper et tu te mets sur cet arbre tomber je vais te travaille le cul ».

Je m'exécute et il prend mon gel et commence avec ses doigts puis sa queue et encore ses doigts.

Il me demande si ça va je lui répond que oui et là sans que je m'y attende j'avais quatre doigt dans le cul puis le cinquième et il me dit de reprendre du popper et pendant que je prend mon inspiration c'est la main qui me remplie le trou. Un instant d'arrêt et il commence ses va et vient jusqu'à sortir sa main et de la rentrer à nouveau sans difficulté. Je pris un pied d'enfer à en juter sans me toucher. Dans ma tête je me dis c'est fait t 'es fister .

J'ai même réclamer plus et j'ai eu ce que je voulais car à la fin il rentra sa main avec le poing fermé.

Le plan se termine en ayant une bonne claque sur le cul avec les mots « bon bâtard ».

 

je lui demande s'il veut que l'on se revoit et là contre toute attente il me répondit demain je serais là vers les 1h00 du mat donc si tu veux me voir se sera à toi de voir et je suis reparti chez moi il était 2h00 du mat .

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