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fan de histoires de mec

Jeudi 21 novembre 4 21 /11 /Nov 15:30

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Je me présente je m'appelle Kevin j'ai 18ans et je mesure 1metre 70 pour 70 kilos.

Je suis interne dans mon lycée située dans le centre je voyait souvent des hommes nus dans les douches mais rien d'exeptionnel moi je prefere les hommes mat musclé mais pas de trop avec ce qu'il faut dans le caleçon un soir je vois qu'il manque notre surveillant habituel alors je decide de me renseigner la vis scolaires m'annonces qu'il est atteint d'une maladie contagieuse et qu'il ne reviendra pas avant la fin de l'année je repart dans l'internat et je vois un nouvel élève donc je vais me présentez et la surprise je découvre un homme qui correspond a mes critères il se présente:

" -bonjours je suis votre nouveau surveillant je m'appelle mike

- enchanté moi c'est kevin

-ok tu es dans quelle chambre

-dans la n°2

- ok."

Les jours passent et se ressemblent mais a la différence que je suis devenu accros a mike un soir en allant a notre pose cigarettes je me cogne le genoux contre le banc et ayant envi de retourné chez moi je fait style que je ne peut peu plus marché mais manque de peau mes parents sont injoignable alors il me prêtes des béquilles et je file dans ma chambre quelqu'un frappe a ma porte ouvre et c'est le surveillant il me demande si ça va et la une idée me passe par la tête alors je lui répond que non et que je me demande comment je vais faire dans la douche il me dit d'attendre qu'il revienne 10minutes passe et il entre et mes demande quelle sont mes affaires je lui montre et je le suit un peu a la traine dans les douches il pose mes affaires sur la portes et me dit de d'attendre il va chercher ses affaires je me dit c'est bon j'ai gagner et je n'est pas eu tord il revient 5 minutes âpres avec un caleçon du gel douche un shampooing et me dit de rentrer dans la cabine je rentre et lui aussi il ferme derrière nous il m'a dit :

"-arrete tes conneries j'ai bien compris ton petit jeu

- quel jeu?

-celui que tu es entrain de jouer avec moi j'ai bien vu comment tu me matte depuis que je suis la!

-je ne joue pas j'ai vraiment mal

- oui mais pas au genoux" .

La il me mets la main sur mon sexe et me dit bah dis moi c'est tout raide la je vais t'aider a te déshabiller il commence par défaire ma ceinture pendant quej'enleve mon tee shirt et me le déboute le fait glisser a mi cuisse et commence a lécher mon sexe (je ne porte jamais de caleçon).......

Il su ce comme un dieu je n'en peu plus s'il continu je vais jouir alors je l'arrête puis l'embrasse tout en le carressant je le deshabille et découvre un corps de rêve je commence a le branler ( 22*6) et me demande comment je vais faire pour pouvoir avaler ça puis je lui mordille les tétons et descend vers son sexe que je suce a fond je lui lèche les boules il jouis et d'un coup je me prend 7 jets puissants que j'avais avec plaisir on se lave mutuellement et je fini par jouir dans sa bouche puis on s'embrasse et l'on va se coucher.

 Mon dos me fait mal

Cela fait plusieurs jours que j'ai mal au dos je vais voir mon surveillant il me dit qu'il a une crème et qu'il me la prête ce soir a condition que je ne le dise pas pas de souci de toute façon j'avais tellement mal que je ferai tout ce qu'il voulait alors il me prête sa crème et j'enleve mon tee-shirt et met de la crème mais je lui dit que je n'y arrive pas il me demande si je veut de l'aide je lui répond volontiers alors on va dans sa salle de bain et je m'appuis contre le lavabo et il commence a me masser je. Commence a pousser des jouissement et la il se lave les mains et me dit de ne pas bouger qu'il reviens et la je sens mon jeans se baisser et du gel sur ma rondelle et son gland se pose dessus il m'embrasse et m'enfonce son sexe lentement jusqu'au fond puis commence des allez retour pendant 15minutes tout en étant dou puis il jouis je me rabille l'embrasse et vais me coucher.

 

KEKE

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Jeudi 21 novembre 4 21 /11 /Nov 10:39

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J’ai 25 ans, et depuis que je me suis rendu compte que sans être féminin, il existait beaucoup d’hommes plus musclés que moi, j’ai toujours été soumis. Je ne suis pas du genre à bouffer de la merde ou à aimer être tabassé, mais j’aime être humilié, rabaissé par mon maître. J’aime que mon maître me rappelle qu’il est le véritable homme de notre couple, qu’il a une vie, un travail, des passions, alors que le seul but de mon existence est de répondre à toutes ses exigences quelles qu’elles soient. J’aime savoir qu’un homme contrôle tout ce que je fais, tout ce que je peux faire. Et j’aime par-dessus tout que cet homme le sache. Qu’il sache que je me plierais à chacun de ses désirs, que quoi qu’il me dise de faire, je le ferai sans même perdre le temps de dire oui, pas parce que je me force mais parce que je le veux, parce que j’en ai besoin. J’ai besoin de savoir que si je me comporte bien comme il faut, mon maître me laissera toucher, peut-être même lécher son sexe. Que dans sa grande bonté il acceptera d’arroser mon visage et mes lèvres entrouvertes de son foutre si chaud et savoureux. Je ne vis qu’en espérant qu’il veuille bien me fouiller le cul de ses doigts puissants après les avoir enfoncés dans ma gorge pour les humidifier ou qu’il m’autorise à saliver sur ses pieds suintants ou à m’empaler sur son sexe épais.

 

Mon maître le sait, et il se fait une joie de profiter de moi. Je suis son jouet sexuel, son pantin qu’il contrôle sans pitié, son ensemble de trous qu’il pilonne abondamment. Je suis un soumis comblé. Et à vrai dire, je le suis encore plus aujourd’hui.

 

Car aujourd’hui, c’est mon anniversaire, et mon maître ne l’a pas oublié. Il m’a même ramené un cadeau. L’emballage est dans sa main, et avant de me le donner, il prend un malin plaisir à voir mon impatience à l’ouvrir. Qu’est-ce que ça peut bien être ? Le paquet n’est pas très grand, serait-ce un nouveau plug ? Non, le papier est beaucoup trop froissé, mon maître sait emballer une boîte. Serait-ce un tissu alors ? Des chaussettes qu’il aurait portées plusieurs jours ? Un slip dans lequel il aurait joui et peut-être uriné, lorsque loin de moi ? Je me régale d’avance !

 

_ Alors ma salope, tu veux savoir ce que c’est ?

_ Oh oui Maître, s’il-vous-plaît, je peux l’ouvrir ?

 

Mon maître sourit. Je suis bien assis à ses pieds, complètement nu comme à l’accoutumée. Il passe une main dans mes cheveux blonds, que j’ai nettoyés le matin même lorsque j’ai appris sa venue.

 

_ C’est bien parce que c’est ton anniv hein ? Allez, déballe-le, j’espère que ça te plaira.

 

Mon maître me tend le paquet, je l’ouvre comme un sauvage, déchirant le papier cadeau en dizaines de bouts. Et ce que j’en sors me ravit. Je n’avais pas eu tort, c’est bien du tissu. Il s’agit d’un sous-vêtement, rouge vif. Un jockstrap. Mon tout premier jockstrap. Je ne peux pas m’empêcher de sourire.

 

_ Et bien, je vois que ça te plaît ma pute d’amour. Je me suis dit, 25 ans, c’est pas rien, ça se fête ! Alors pour l’occasion, je t’emmène au restaurant ! Arrête de crier ma puce, oui tu vas voir tu vas aimer l’endroit. C’est très élégant, que du beau monde. Et au milieu de ce beau monde, toi, avec ce magnifique petit jockstrap sous ton pantalon. Grâce à ça, je n’aurai aucune difficulté à venir mettre un doigt entre tes fesses pour voir si ton plug est bien en place.

 

Rien qu’à l’idée d’être en jock en plein milieu d’un restaurant, entouré de personnes ne se doutant de rien, pendant que mon maître me domine subtilement, je commençais à bander et à mouiller, aussi bien de la bite que du cul.

 

_ Merci, merci beaucoup Maître ! Je peux l’essayer Maître ?

_ Va te relaver avant, je vois que ta bite commence à mouiller, et il est hors de question que tu le taches maintenant. Tu enfonceras ton plug devant moi ok ?

_ Oui Maître, merci beaucoup.

 

Exalté et pressé de sortir dans la rue presque nu et complètement accessible à mon maître, je courais dans la salle de bain pour faire ma seconde toilette de la journée.

 

 

*******

 

Nous marchons tous les deux dans la rue. J'ai fini ma toilette en à peine 1/2h. Je ne pense pas avoir jamais été aussi rapide auparavant, mais l'envie d'essayer ce nouvel accessoire m'a donné des ailes. Je n'ai pas négligé mon hygiène pour autant. Mon maître n'aime pas me trouver sale, et j'aime trop plaire à mon maître pour zapper des étapes essentielles de ma douche. Après avoir vérifié mon épilation (je déteste tout autant, voire plus, que mon maître, avoir des poils qui pourraient gêner l'accès à mon trou. J'aime être pris dans toutes les positions, avec ou sans préparation, et si l'homme qui me baise perd du temps à écarter les poils de ma raie, c'est moins de temps qu'il passera à me lécher, doigter ou pénétrer le cul), j'ai effectué un lavement. J'ai passé du déo senteur Jasmin sous mes bras et un peu sur mon trou. Ensuite, je me suis lentement revêtu de mon nouveau jockstrap, savourant son contact soyeux le long de mes pieds, mollets et cuisses, avant qu'il n'atteigne divinement mon pénis, et que les deux élastiques arrière se referme sur mes fesses. Pour moi, ce sous-vêtement était la meilleure preuve que je pouvais apporter à mon maître qu je lui étais complètement et sans limite aucune offert.

 

De retour dans le salon, frais et sec, j'ai montré son récent cadeau porté à mon maître. Il m'a fait me tourner, pencher, onduler... Pendant plus de cinq minutes, mon maître m'a regardé sans me toucher. A voir ses yeux qui brillaient et l'énorme bosse dans son pantalon, il aimait le résultat. Et j'adorais ça. Il me tendit alors le plug noir qui m'était promis. Il n'était pas très grand ni gros (14cm par 5) mais son but était de prouver ma servitude sexuelle, pas de me défoncer le cul. Mon maître était là pour ça.

 

_ Maintenant ptite salope, tu vas rentrer ça dans ton ptit cul découvert.

 

J'ai pris l'objet de soumission, et l'ai entré entier dans ma bouche avide. Je lui ai fait faire quelques allers et retours avant de le bloquer en fond de gorge, et de m'allonger sur le ventre sur le tapis du salon, montrant mon "ptit cul découvert" à mon maître confortablement installé dans le fauteuil. J'ai ramené les cuisses sous mon ventre pour remonter les fesses, et alors que je posais ma tête sur le sol pour relever encore mes fesses et bien montrer que je n'étais qu'une pute, j'ai tiré le plug ruisselant de salive de ma bouche et l'ai approché de mon cul. Lorsque je l'ai senti contre son entrée, et surtout lorsque j'ai commencé à le pousser à l'intérieur, je n'ai pas pu réprimé des gémissements. Ma chatte était super sensible, et le moindre frôlement contre elle me procurait un plaisir indescriptible. Si je rajoutais celui d'être humilié aussi bien par l'habit que je portais, ce que j'étais en train de faire et la position dans laquelle je le faisais, ce plaisir était déjà incontrôlable.

 

_ Très bien ma salope, maintenant tu fous ton jean taille basse histoire de laisser dépasser le jockstrap, une chemise blanche entrouverte, et on y va.

 

C'est donc dans ces vêtements que je marchais maintenant dans la rue. Mon maître marchait à côté de moi, sans me tenir la main, sans aucun contact physique. D'ailleurs, quelqu'un d'extérieur à la scène n'aurait jamais pu deviné que nous étions amants. Enfin, jusqu'à ce que soudain, je sentis la main de mon maître sur le bas de mon dos. Instinctivement, je regardais autour de moi. La rue, même si loin d'être bondée, était loin d'être déserte. Six ou sept personnes marchaient dans notre direction sur notre trottoir, et peut-être autant sur le trottoir d'en face. Je ne pouvais pas voir les gens derrière. Aucun enfant et aucune personne âgée. Je me relâchais.

 

_ C'est moi qui m'occupe de la surveillance ptite pute, me dit mon maître. Toi, tu cambres les reins, ouvres ton cul et te prépares à te faire démonter, c'est tout!

 

J'acquiesçai, rouge de honte. Non pas de me retrouver avec une main sur les fesses, mais d'avoir déçu mon maître.

 

_ Je suis désolé Maître, je ne voulais pas vous offenser. Vous pourrez me pisser dessus si vous voulez, ou je dormirai à vos pieds, ou...

 

_ Ta gueule.

 

Je baissai la tête et continuai à marcher en silence. La main de mon maître se glissa sous ma chemise, puis je la sentis serrer l'une de mes fesses. Fermement au début, puis presque brutalement ensuite. ça commençait même à faire assez mal, mais mon maître me prévint.

 

_ Si tu pousses le moindre cri je te frappe et te baise ici en pleine rue, c'est compris?

 

_ Oui maître.

 

Maintenant, la douleur était telle que la sensation se transformait en sensation de brûlure, de chaleur pas si désagréable. Soudain, après plus de 5 minutes de ce traitement, mon maître relâcha complètement l'emprise de ma fesse et entama un brusque massage sur les zones qu'il venait de blesser, pour raviver la douleur.

 

_ Alors t'aimes ça hein peite pétasse?

 

Je réfrenai un cri de plaisir.

 

_ Oh oui Maître, s'il-vous-plaît faîtes-moi mal!

_ Tu veux que j'te fasse mal? Et qu'est-ce que tu dirais de ça?

 

C'est alors qu'il entra non pas un mais 2 doigts dans mon trou, autour de mon plug! La sensation me foudroya. La douleur que causait le déchirement de mon cul était compensée par le plaisir que ses doigts me donnaient. Mon maître poussa encore un peu, et d'un coup accélera la cadence à laquelle nous marchions, me poussant dans son élan directement par le cul. Je manquai de tituber mais me repris à la dernière seconde et accélerai le pas également.

 

_ Tu te rends compte que je te traîne par le cul en pleine rue, comme une chatte en laisse?

_ Mmmm oaamm

 

Je n'étais même plus capable de faire un mot. A chaque pas, Maître soulevait sa main un peu plus, si bien qu'il me tirait littéralement vers le haut. Même si je tentais de marcher sur la pointe des pieds, bientôt je ne fus pas assez grand pour empêcher ses doigts de rentrer plus profondément tout en poussant le plug dans mon cul.

 

_ Ta chatte est bien humide pétasse. Moi j'marche normalement, et toi tu titubes et sautes comme une pucelle. J'pourrais te renverser comme qui rigole, et même si tu t'viandais à mes pieds, t'inquiète, j'retirerais pas mes doigts de ton fion. Mais jte ferais bouffer mes pompes, là, en plein milieu de la rue. Putain, tu marches vraiment comme une pute maintenant. J'te pousse avec trop de facilité, j'peux t'faire ce que j'veux. Et rien qu'à voir comment tu cambres ton ptit cul de chienne, je sais que t'adores ça!

 

Je ne pouvais pas le regarder, j'étais trop concentré sur "ne pas tomber, ne pas tomber" Ces vagues de plaisir qui déferlaient à partir de ses doigts sur les parois de mon cul, alors que le plug tapait en plein sur ma prostate. Décidément, mon maître avait une fois de plus raison. J'adorais ça.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 19 novembre 2 19 /11 /Nov 22:32

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2012 a transformé les régions du nord de la France en zones quasi-polaires, il fait frais, voire froid, il pleut, il fait gris… toutes les conditions sont donc réunies pour que les vacanciers s’orientent plutôt vers le bord de la belle bleue.

 

Les touristes afflux donc en cette mi-juillet et ils apprécient le soleil généreux ainsi que la chaleur omniprésente en cette période.

 

C’est cette période qu’a choisi Patrick, mon beau frère, pour nous adresser un petit bonjour par mail en nous annonçant sa venue pour samedi matin « si nous sommes disponibles ». Ca tombe plutôt mal car ma femme (sa sœur donc) vient de partir avec ma fille pour préparer sa prochaine rentrée scolaire à Paris.

 

Je réponds donc à Patrick (que je connais finalement assez peu) que sa sœur n’est pas là mais qu’il peut passer quand même puisque la maison est grande et que les chambres sont libres pour sa petite famille. Je me suis dit : ils passent dirent bonjour, restent un jour ou deux puis continuent leur voyage.

 

Le samedi vers 10h, ca sonne, c’est Patrick, je lui ouvre et finalement, je le vois arriver seul ? Mais ou sont ta femme et ton fils ? Ah il me dit, c’est compliqué, mon fils va en internat et ma femme est allé le visiter avec lui, j’en ai donc profité pour prendre quelques jours au soleil car je reprends le boulot fin juillet !!

 

Je lui fait visiter la maison tout en le regardant : Patrick a 45 ans, il fait assez jeune et athlétique, assez viril, il a visiblement minci et il s’habille assez sexy et moulant. Il a bien vieilli !

 

Ok, ben écoute, je vais te montrer la chambre d’amis et te laisser t’installer tranquillement, voila la chambre, par cotre nous avons une seule salle de bain/wc qui est dans la suite parentale mais elle est assez grande.

Sur ce, je le laisse et je vais continuer à lire mon bouquin sur mon lit.

 

5 mn après, il passe la tête dans la chambre et me demande s’il peut prendre une douche, je lui dis Ok installe toi dans la salle de bain, il retourne dans la chambre puis revient en slip avec sa trousse de toilette. Il est vraiment bien foutu finalement pour son age, pas un poil de graisse, musclé ou il faut. Je suis presque jaloux de son physique même si je me plais pourtant bien !!

 

J’entends la douche couler pendant un moment puis il repasse a poil pour retourner dans sa chambre. La vue de son cul me fait un peu bander. Je suis en manque de cul depuis que ma femme est partie et je bande tout le temps.

Nous mangeons ensuite tous les deux, nous parlons de la famille, de nos situations, de la vie en général puis nous décidons d’aller nous balader sur la côte. Nous ne revenons que le soir vers 19h après avoir marcher des km sous le soleil. Nous sommes fourbus et en sueur mais contents de cette journée. Je lui dis que nous allons prendre un apéro avant le repas.

 

Je sers l’apéro sur la terrasse, je suis resté en slip de bain car il fait trop chaud pour se fringuer !! lui aussi finalement. Nous commençons à boire un peu d’alcool, manger quelques chips, encore un peu d’alcool puis, la chaleur aidant, nous en arrivons à parler de sexe en rigolant. Si on m’avait dit que je parlerai un jour de ca avec mon beau frère !!!!

 

Chacun explique que sans sexe pendant une semaine ca devient une obsession car tout nous fait bander. Je lui dis que j’ai toujours envie de baiser et que plus je suis en manque plus j’ai des fantasmes crades. Lui reconnait que c’est aussi son cas. Cette conversation m’a bien excité et j’ai commencé à bander dur dans mon slip de bain en mouillant grave mais je me suis arrangé pour que ca ne se voit pas trop !!! Il m’a semblé que sa bosse dans le slip avait gonflé aussi ?

 

Nous avons ensuite diné sur la terrasse jusque vers 22h30, nous avons mangé et encore bu. Finalement, j’étais bien éméché à la fin du repas en plus j’avais trop mangé. Patrick avait l’air dans le même état que moi. Nous rigolions pour rien.

 

Nous avons débarrassé la table puis nous sommes rentrés dans le salon. Je bandais comme un malade et j’avais envie de chier ce qui m’excitait plus que tout. L’envie de chier me fait toujours bander dur. J’aurais été tout seul, je crois que j’aurais chié direct dans mon slip de bain et me serais assis avec… (hummm quel fantasme !!!).

J’avais caché mon érection en prétextant de ranger la cuisine. Une fois calmé je reviens dans le salon et je vois Patrick en train de se caresser discrêtement dans le canapé tout en s’endormant car il ne m’a pas vu, il a l’air un peu dans les vappes et il s’astique de bon cœur. Je fait « hummm », il arrête et devient tout rouge mais je vois qu’il mate mon entrejambes car je me suis mis à bander aussi sec.

 

Je lui dis : je vais prendre une douche et puis me coucher, j’ai trop bu… moi aussi dit il ! On se lève pour y aller quand je perds l’équilibre sous l’effet de l’alcool. J’ai vraiment trop bu ce soir !! il se met a rire et m’aide a me relever en titubant aussi. J’ai soudain une grosse envie de chier d’avoir trop bouffé et je lui dit faut que j’aille aux chiottes, moi aussi réponds-t-il !

 

On se dirige vers la salle de bain et il s’assied sur les chiottes, vire son slip et commence à pousser, je suis en face de lui, je mate et la situation inhabituelle me fait bander très fort. Il se met a bander aussi. Je m’approche de lui et commence a lui toucher les épaules. Il arrête de pousser, surpris de ce geste et se met aussitôt a bander. Il touche ma bosse et rigole, il se met a genou pour me tripoter le sexe et d’un seul coup sans prévenir il se met a chier parterre !!! un gros tas de merde sous lui, il en tombe sur le cul et s’assied dedans !! l’air étonné et honteux, il me regarde et il voit que loin de me dégouter, sa merde m’exciterait plutôt… sa merde chaude et odorante la réchauffe le cul, il bande comme un malade !!

 

Je me penche alors vers lui pour le branler puis étaler sa merde sur son sexe : il ne dit rien mais bande de plus en plus, je le mets sur le dos en le glissant vers l’arrière et alors je tripote son cul merdeux, je lui enfonce un doigt, je lui fais lécher, je lui étale sa merde sur le corps, il a l’air de prendre un sacré pied.

L’envie est trop forte pour y résister, je me mets sur son torse et je lache un énorme paquet, bien moulé, bien dur, bien long, un étron comme j’aime viril et odorant qui fait mal quand il franchit la rondelle !!! Il est surpris mais ne bouge pas, je m’assieds sur lui et j’étale le paquet de merde avec mon cul, je nous en étale partout avec mes mains que je lèche. Il est en transe, il joue avec la merde, se branle…. Sa queue, qui avait l’air normale au repose est en fait assez énorme genre 20cm très épaisse, bonne bite de mâle !!

 

Nous sommes plein de merde et super excités, je n’y tiens plus et j’empale mon anus dilaté par la merde sur sa grosse queue gonflée et pleine de merde aussi , il se met soudain a me défoncer le cul avec violence, à me claquer le cul et à me traiter de salope !! Il se met ensuite à me triturer les tétons sans ménagement et quand je pousse un cri, il me fout une baffe en me disant de pas bouger!! visiblement il a retrouvé ses esprits de mâle dominant et il va me faire payer le début de ce scénario inattendu !

 

Il finit par me retourner sur le dos, mettre mes jambes sur ses épaules et à me défoncer comme ca , sans ménagement, il prends ma bite et mes couilles et les sert fort, mais je ne sens plus rien car il est aussi en train de m’éclater le cul avec vice !!! il sort totalement son chibre et l’enfonce d’un seul coupe et en quelques va et vient il lâche la purée dans mon cul en plusieurs jets chauds en gémissant. Pratiquement en même temps, je lui envoie des jets de foutre sur le ventre, le menton, le visage. J’ai joui comme une bête. Je ne sens plus ma rondelle qui est bien défoncée.

 

Nous sommes couverts de merde et de foutre et je propose de tout nettoyer, il me dit oui en commencant par ma bite et il me tend son sexe pour que ma langue nettoie tout, pareil pour son cul.

J’ai du nettoyer et bouffer pas mal de merde, et ca m’a fait rebander encore plus dur !!!

Putain il a l’air encore plus excité que toute à l’heure !!!! Il se met à me tirer par les cheveux pour faciliter la chose. Il en profite pour me baiser la gueule avec son gourdin qui a tendance à m’étouffer quand il enfonce à fond de gorge. Quand sa bite dégonfle enfin, il me la met bien profond et me tient par les cheveux : je n’ai pas compris qu’il commençait à pisser dans ma bouche, j’ai faillé étouffer et j’ai voulu me reculer mais il m’a alors serré les couilles si fort que je n’ai plus bougé du tout jusqu’à la dernière goutte de pisse. Je me suis alors attaqué a sa rondelle.

 

Mon nettoyage buccal semble avoir été efficace car à peine fini de nettoyer son anus merdeux, et après un bon lacher de pets, il recommençait à bander comme un âne, avec la main il a pris de la merde sur le sol, me la foutue sur la rondelle en guise de gel et m’a enfoncé son gourdin d’un seul coup sans aucune résistance de ma part!!! j’ai subi ses assauts en étant sur le ventre parterre avec tout son poids sur moi et sa queue bien profond !! j’ai adoré ca !!!

 

La nuit a été très longue et nous n’avons finalement fait le ménage que le lendemain matin. Les jours qui suivirent furent torrides et odorants…. J’ai fini par servir de chiottes et de pissotière à toutes les heures de la journée.

 

Merci pour vos remarques si le scénar vous plait ou s'il n'est pas assez bandant!

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 19 novembre 2 19 /11 /Nov 19:35

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Samedi dernier je suis sorti en boîte et comme j’éatis sorti assez tot c’etait pas la grande foule… bref je m’emmerdais ferme. Et qu’est ce qu on fait en boite quand on s’emmerde ? et bien on boit… j’ai donc enchainé biere sur biere, accoudé au bar en matant les mecs qui arrivaient petit à petit… Coté clientele c’eatit pas encore ca. A croire qu il ya que des moches en debut de soiree !! Mais bon j ai quand meme repéré un petit mec au joli ptit cul… et curieusment j avais l’air delui plaire malgre les quelques années de plus que je devais avoir.

 

Le ptit mec a commencer à me faire du vrai rentre dedans …. et vas-y que je tortille du cul sur la piste, et que je te lance des regards bien aguicheurs… Bref une belle petite pute… Après un bon petit moment à jouer à ce petit jeu, il s’est décidé à me rejoindre au bar… Alors qu’il commandait une Red Bull, je me suis rapproché et j’ai engagé la conversation. J’avais l’impression d’etre dans Queer as Folk quand le vieux beau se drague le petit blondinet de 18 ans. Et quand je lui ai dit qu il etait sexy il m’a lancé un sourire ravageur qui montrait bien qu’il le savit et qu’il savait comment en jouer. Alors que je commancais à toucher son ptit cul moulé dans son jean, il me dit “on va au chiotte?”

A ben c’est direct… au moins… il perd pas de temps le jeunot… et c’etait pas pour me deplaire. Je le suivai matant son petit cul que j’ avais bien envie de defoncer… Lui sirotait son redbull à la paille. C’etait assez bizarre ce petit mec tres sur de lui et à la fois un peu effeminé… mais c’a me faisiat deja bander…

A peine le temps de rentrer dans les chiottes et de fermer la porte il m’a plaqué comme celle ci et commencait à m’embrasser en deboutonnant mon jean. Putain, il est affamé le ptit !et moins de 30 secondes plus tard il etait à genoux en train de me pomper. Et plutot bien ma foi… bonne capacité et une bonne gorge bien chaude et bien profonde…

Je me suis vide rendu compte que c’était un fan de fond de gorge. Et comme j adore ça il allait être servi… j’attrapai sa tète. Les mains sur ces oreilles je forais le passage et cartonnais sa ptite gueule de pute… un vrai plaisir !

Mais au bout de quelques minutes un problème se posa. Les nombreuses bières descendues précédemment attendait dans ma vessie de ressortir ça devenait franchement inconfortable.

“On fait une pause deux secondes, histoire que je débande et que je pisse un coup ?”

- Pas de problème dit-il en reculant sa tet de ma bite

Mais il ne se poussait pas et resta devant les chiottes. En me regardant droit dans les yeux il ouvrit en grand sa guele et tira la langue.

Il voulait ma pisse c’etait clair.

Decidement que de bonnes surprise ce ptit mec…. Le problème c’est que ca avait tendance à me refaire bander tout ça… allez… on fixe le plafond, on oublie son regard de pute qui me fixe et on souffle un bon coup.

La pisse monte et le 1er jet s’écrase sur sa gueule. Il sourit et s’en leche les babines…

je m’avance pose ma bite sur sa langue et je me laisse aller… La pisse commence a couler dans sa gorge. Il avale consciencieusement. Je me calle sur son rythme pour lui permettre de ne pas en perdre un goutte. et j’avance dans sa gueule pour lui pisser direct au fond du gosier. Il est parfois à deux doigts de gerber mais il gère plutôt bien. Je finis de pisser. Il n’en a pas perdu une goutte. Et il se remet à pomper. Je bande dans la minute et crache au fond e sa gueule en moins de 5 minutes.

Un vrai pro… Je me ressapes il me suit hors des chiottes en me disant “à plus tard j’espère” et disparait sur le dancefloor…

C’était effectivement le début de la soirée et j’allai le recroiser un peu plus tard…

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Mardi 19 novembre 2 19 /11 /Nov 15:43

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Mon mec et moi pratiquons le scat entre nous depuis de nombreuses années. Je lui sers de PQ, il me chie dessus, dans la gueule aussi, me force parfois à bouffer.

Mais cela n’avait jamais dépassé les limites de notre couple.

Nous faisions des plans avec d’autres mecs, uro, dressage, etc etc.

Ce jour là, il avait invité un mec, sans m’en dire plus. Comme à chaque fois, j’attendais à poil. Parfois il me faisait attendre avec des poids aux couilles, des pinces aux seins, un plug, ou encore un slip pisseux, une queue de chien, des liens, etc, etc, etc.

Le type est entré. M’a aussitôt dit :

- à genoux.

Obéissant, je m’exécutai. Il plaqua ma gueule contre son jeans.

- Elle te plait ma lope ? demanda mon mec.

- Ouais, elle me plait.

- Sers nous deux bières, gueula mon mec.

Ils s’installèrent dans le canapé. Je revins avec deux bières, m’installai à leurs pieds.

Ils parlèrent de cul, puis de moi, comme si je n’étais pas là. Je leur servais de repose pieds.

-Déchausse le, finit par me dire mon mec.

Je délassai ses chaussures, les retirai puis après avoir sniffé ses pieds, les frottais contre mon visage. Cela lui plut.

-Viens là, ordonna-t-il.

Il me plaqua sur son paquet.

-Tu aimes aussi les odeurs de queue ?

-Oui, il adore, confirma mon mec.

-Ouvre mon fut alors.

Je dégrafai sa ceinture, puis les boutons de sa braguette. Je bandai dur, frottai ma queue à sa jambe.

Son calbut gris était taché de pisse et de foutre. Je plaquai mon nez dessus.

-t’aime ça ? demanda mon mec.

-oui, confirmais-je

-t’aime les odeurs de mecs ? demanda l’autre.

Je secouai la tête pour dire oui.

Il retira son tee-shirt, dévoilant des aisselles bien poilues.

-Alors viens sniffer mes odeurs de mâles.

Aussitôt, je me jetais dessus. Il me plaqua la gueule dans ses poils.

-Vas –y , profite.

J’étais comme un fou, couinai comme une pute en rut.

Il me les fit lécher avant que mon mec me foute sa queue dans la gueule en m’insultant.

-t’es vraiment qu’une merde. T’es fait pour obéir. Sale chiotte.

L’autre s’était levé, avait viré ses chaussettes et son fut, sortit sa queue et me la fourra sous le pif. Elle puait la pisse. Il l’essuya sur ma gueule.

-espèce de clébard !

Avec ses chaussettes, il me lia la queue et les burnes en serrant fort. J’avais mal, mais c’était bon.

Mon mec m’attrapa les tétons, les broya et m’attira jusqu’à lui. Il se baissa, sentit ma gueule.

-Tu pues ! t’es vraiment qu’une sale merde ! et il me cracha à la gueule.

L’autre me fit alors nettoyer sa queue, en me la fourrant à fond.

-Il paraît que t’aimes la merde aussi ?

Je fus surpris. Jamais mon mec n’en avait parlé à quiconque.

Il m’attrapa par les cheveux et redressa ma tête.

-je t’ai posé une question !

-oui, fis-je.

-Regarde-moi dans les yeux quand je te parles et dis-moi que tu aimes la merde.

-j’aime la merde.

-t’es un vrai chiotte ?

-oui, je suis un chiotte.

-alors couche toi sur le dos.

Je m’allongeai. Il vint s’asseoir sur ma gueule. Une traînée marron ornait son calbut au niveau de sa raie.

-sniffe bien mes odeurs, ordonna-t-il.

Je pouvais sentir l’odeur forte de son cul à travers son froc.

Mon mec me travaillait les nibards, puis il lâcha :

-enlève ton calbut.

Le mec l’enleva, revint s’asseoir sur ma gueule. Sa raie poilue puait. Une bonne odeur de cul pas lavé et mal torché. Le type frotta sa rondelle sur ma bouche, comme s’il voulait marquer son territoire.

-tu vas me montrer comment tu lui chies dans la gueule, dit-il à mon mec.

Il se releva, céda sa place à mon mec, qui vint coller son trou sur ma bouche. J’y glissai ma langue, le sentis pousser, puis une merde s’enfonça dans ma gueule, la suite venant s’écraser sur le bas de mon visage.

Le type se branlait en matant.

-quel chiotte !

Ils étaient debout au-dessus de moi, se paluchaient la queue en m’insultant.

-t’es qu’une cuvette, juste bon à recevoir de la merde de vrais mecs.

Je faisais oui de la tête, ma queue était prête à exploser.

-chie lui dessus, demanda mon mec.

Le type ne se fit pas prier. Il poussa en me fixant dans les yeux. Une première merde tomba sur mon ventre, une autre directement sur ma queue. C’était bon de sentir sa merde chaude sur moi.

Il l’étala en se frottant le cul.

-maintenant branle-toi sale chiotte.

Je me touchais, y allais doucement pour ne pas jouir trop vite et en profiter un max. je serrai ma queue pleine de merde. J’étais à deux doigts de jouir.

Ils lâchèrent leur jus en même temps. J’en pris sur la gueule, le torse.

Avec son pied, le mec tassa la merde dans ma gueule, tandis que mon mec me travaillait les nibards.

Je ne tardai pas à lâcher de grandes giclées.

-tu bouges pas.

Ils allèrent se laver, me laissant couvert de merde et de foutre.

A leur retour, le mec se rhabilla, garda son calbut à la main.

-c’est pour toi, pour que tu sniffes et t’habitues bien à mes odeurs. On a prévu avec ton mec que je reviendrai.

Déjà ma queue recommençait à gonfler.

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Lundi 18 novembre 1 18 /11 /Nov 18:55

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ce soir là, je reçois des amis à dîner.

 

Pour l'occasion je fais appel à un cuisiner à domicile. IL es 17 h il arrive jeune, brun et un peu efféminé. passer les présentation il part se changer afin d'attaquer le dîner. Il se change dans ma chambre, la porte est entre-ouverte, il change de pantalon est surprise il ne porte pas de dessous et je vois ce petit cul bien cambré, ma queue se met a gonflée aussi sec. Il m'avait surpris à lui matter le cul et me lance "il te laisse pas indifférent mon cul ?".... un peu gêner je lui réponds qu'en effet il était pas mal mais je ne m'empresse de lui demander si il aimerait une bonne queue avant de commencer et sans un mot il me déboutonne le jean's et prend ma queue gonflée a bloc à pleine bouche, je lui dit "t'aime ça petite salope bouffer de la queue" il me répondit la bouche pleine (le mal élevé !!) "oui Maitre" il me fit gicler au fond de sa gorge en quelques minutes.

je lui demandai ensuite de ne pas perdre de temps le repas devait être prêt à l'heure mais qu'il ne perdait rien pour attendre......

 

les premiers invités commençaient par arrivés, luc (c'est son prénom) nous servait des amuses-gueules et des anti-pastis à chaque fois qu'il me tournait le dos je ne pouvait m'empêcher d'imaginer son cul nu en dessous, à plusieurs reprises durant le repas ma queue se raidit à l'idée de le fourrer à la fin de la soirée. la soirée se passe sous les meilleurs hospices, le repas est excellent.

 

vers minuit les derniers invités prennent congés, nous voilà enfin seul. Je me dirige vers lui en lui dit " t'es une vrai petite salope a jus toi !" il me réponds " heu ... oui je crois " aussi toi sa phrase fini je lui tire les cheveux pour gober ma queue raide, il ne se laisse d'ailleurs pas prier et la prend a pleine bouche. Je le sens de plus en plus soumis a fil de cette bonne pipe, puis d'un coup brutal je le relevé le penche son torse sur le plan de travail et j'enfourne ma queue dans sa croupe et la à il me dit "vas-y je suis a pute bourre moi comme une chienne", il mit mon excitation au max et j'accélérai mes vas et vient ma queue bien a fond, son cul s'ouvrait de plus en plus; J'allais venir alors je lui attrapait violemment sa tête pour qu'il avale tout mon foutre. Il se délecta de ma semence.

 

Arès une pause clop wisky nous sommes allez prendre une douche ensemble oui il me lava les partie intime uniquement avec sa langue se qui vous comprendrez m'excitât à nouveau et je me remettais à le fourrer sous la douche.

 

Nous avons fini la nuit ensemble ou a plusieurs reprises nous avons baiser jusqu' a épuisement.

 

Bref une nuit inoubliable.

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Lundi 18 novembre 1 18 /11 /Nov 14:59

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Recadrons d'abord l'histoire dans son contexte. J'habitais chez mes parents. Mes parents se sont séparés alors que j'étais relativement jeune. Si mon père a refait sa vie, ma mère, elle, n'a jamais eu de relation stable jusqu'à Laurent. Cela ne faisait que quelques mois qu'ils étaient ensemble mais ma mère et moi avions déjà emménagé chez lui. C'est un quadragénaire classique, pas très grand, barbu, quelques poignets d'amour...

 

Un matin, en me levant, je vois un mot de ma mère sur la table me disant qu'elle n'est pas là et que Laurent travaille. Je suis donc seul, l'occasion pour moi de ranger quelques affaires dans ma nouvelle chambre et d'explorer un peu cette grande maison. Il y avait cependant une pièce dans laquelle je n'étais jamais rentré, la chambre de ma mère et Laurent. Ma curiosité était telle que j'étais obligé d'y entrer.

 

La chambre était relativement grande et bien décorée. Mon côté fouine n'a pu s'empêcher d'ouvrir les placards, de regarder un peu partout. Entre deux étagères à vêtements, j'entrevois un tiroir assez profond que j'ouvre. Il était rempli des sous-vêtement de mon beau-père. Curiosité maladive et excitation, je ne peux que regarder. Il semble plutôt brancher slip, j'aperçois même un string. Soit. Mais à force de remuer ce tiroir, je constate qu'il n'y a pas que des sous-vêtements. Au fond, caché derrière slips, strings et autres chaussettes, des accessoires. Menottes, un gode assez énorme, du lubrifiant, des magazines pornos, un cockring, des mini-colliers de bonbons se mettant autour de la bite et autres accessoires occupaient ce tiroir. Ma première sensation était du dégoût, imaginer ma mère avec ce genre d'accessoires... brrr. Mais malgré ça, j'étais excité de découvrir tout ça, dans cette pièce. Je commence à bander, et l'envie de me branler est de plus en plus insistante. Jogging et boxer aux chevilles, je commence à me branler, tout en tâtant ces accessoires.

 

Je suis de plus en plus excité quand soudain, Laurent entra dans la chambre. Dans mon excitation, je ne l'avais même pas entendu rentrer. Je flippe totalement, j'ai peur de me faire engueuler et je me sens aussi vachement honteux, d'être là, en train de bander comme un ouf devant lui. Comme si de rien était, il me dit qu'il repassait juste chercher son portefeuille qu'il avait oublié. Je ne réponds pas, je suis assez figé. Il me lance "on s'amuse bien, à ce que je vois". Je suis super gêné, je n'ose à peine sourire. Il détourne son regard de moi et vois son tiroir, dans un bordel sans nom. Il rit.

- "Ca t'a excité ?"

- "Je suis désolé, je rangerai tout mais ne dis rien à ma mère, s'il te plaît"

- "Ne t'en fais pas pour ça. C'est juste dommage qu'à ton âge, tu en sois encore au stade de t'amuser tout seul".

 

Je me sens super con. Pourtant, à 18 ans, j'avais déjà eu quelques expériences. Mais face à lui et son tiroir, je me sentais pire que novice en la matière. Je ne lui réponds pas, je souris juste. Il s'approche et me demande "Qu'est-ce que tu as essayé ?" - "Arrête, ça me gêne" - "Mais il n'y a pas de quoi être gêné, c'est normal". Il y avait certains trucs dans ce tiroir dont je ne connaissais même pas l'utilisation. Il me sort "J'ai du temps devant moi, aucune urgence au boulot. Tu veux que je t'apprenne à te servir de quelques trucs ?".

Je lui réponds au début que non, que je suis déjà assez gêné.

"C'est dommage, vu comme j'ai réussi à faire plaisir à de nombreuses femmes expérimentés, je n'aurai sûrement eu aucun problème à comblé un gamin comme toi".

Un silence s'installe, je lui réponds "Euh... je ne sais pas. Tu ne diras rien à Maman, hein ?". Il rit. Il sort carrément le tiroir et vient s'asseoir sur le lit, à côté de moi.

 

Il commence d'abord par me montrer son cockring et à m'en expliquer l'utilité. Je suis de nouveau super excité. Il me demande s'il peut me le mettre, j'accepte sans hésiter. Il sort ensuite son gode. Sans exagérer, il était vraiment énorme. Il avoisinait facilement les 25cm sur 7. Je me permets de lui demander à quoi lui sert-il, s'il s'en sert pour son plaisir personnel. Il rit et me répond que non, qu'il s'en sert pour exciter encore plus les femmes avec lesquelles il couche. Je suis impressionné, ce mec devient en quelques minutes mon fantasme absolu tant il a l'air d'être un bon coup. Il me demande de sortir ma langue. Il passe le gode dessus et en met ensuite une partie dans ma bouche. Me voyant l'aspirer avec plaisir, il me dit "Tu m'as plutôt l'air habitué", je ne réponds pas, je savoure le moment. Il me demande ensuite si je le veux dans le cul, ce à quoi je réponds positivement. Mais il me demande aussi si cela m'exciterait d'être menotté pendant qu'il me gode. Je souris et approuve.

 

Nu, les deux bras menottés aux barreaux du lit, je suis tout à lui. Après avoir bien lubrifié le gode, il commence par me titiller l'anus avec ses doigts et enfonce petit à petit le gode. Je ne peux m'empêcher de gémir et de le regarder faire. Il apparaît tellement concentré, avec une envie de me faire du bien. Excité, je lui demande s'il pourrait se déshabiller, que cela m'exciterait encore plus. Il sourit et me dit que ce n'est peut-être pas une bonne idée, qu'il est mon beau-père. Mais à ce moment précis, je m'en fous et à force d'insister, j'obtiens gain de cause. Il se déshabille et je vois son corps viril. Finalement, il est plutôt bien foutu et a une belle carrure. Il garde cependant son slip, un slip noir, par lequel j'entraperçois une bite pas tout à fait en érection, qui a l'air plutôt épaisse. Toujours attaché, je sens qu'il recommence à me goder. Je n'en peux plus, je n'ai qu'une envie, me branler. Lui est toujours aussi concentré, comme si mon plaisir passait avant le sien.

 

Ne pouvant me branler, je fais bouger ma queue comme je peux et finis par éjaculer très vite sur moi-même. Il me détache et je le remercie pour ce moment. Il sourit, encore, et s'en va, après s'être rhabillé.

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Lundi 18 novembre 1 18 /11 /Nov 14:50

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Je ne sais plus quel jour férié nous étions, il me semble que c'était au mois de novembre. Ma mère travaillait malgré tout, donc j'étais seul à la maison avec mon beau-père. Bizarrement, depuis la dernière fois, nos rapports n'ont pas changé, on s'entend toujours bien et on n'en a jamais reparlé.

 

On est tous les deux en survêt', sur le canapé, en train de regarder une série policière assez nulle. Soudain, je sors "je reviens, je vais prendre ma douche". Il me répond "merde, je comptais la prendre aussi" - "et alors ?" - "ba ta mère l'a prise ce matin avant d'aller au boulot et elle y est restée pas loin de trois quarts d'heure, j'ai peur qu'il n'y ait pas assez d'eau chaude pour deux douches supplémentaires" - "merde, tant pis, vas-y" - "non, vas-y, toi" et ce jeu continue, jusqu'à ce qu'il me dise "au pire, on peut la prendre tous les deux".

 

Sur ces mots, j'ai quelques secondes de bug. Je repense à la dernière fois et je suis de nouveau gêné. "Non, t'inquiètes, vas-y" - "ça ne me dérange pas, c'est plus pratique et ça nous évite à tous les deux d'être crado". Je finis par accepter. Je lui dis de partir devant, que je le rejoins après.

 

Le fait de savoir que j'allais voir complètement nu cet homme qui m'a tant fait fantasmer m'excite et m'inquiète. Idée idiote, je décide donc de me branler dans ma chambre avant de le rejoindre, comme ça, je me suis dit que je n'aurai pas d'érection en le rejoignant. Et quand je me branle, je pense à lui, à l'idée de le voir nu, le corps trempé. Je ne tarde pas à jouir. J'entends déjà l'eau couler quand je me décide enfin à le rejoindre. J'ai quelques secondes de bug devant la porte de la salle de bain mais je prends mon courage à demain et entre.

 

La buée est telle sur la paroi de la cabine de douche que je vois juste sa silhouette. Merde, ça m'excite. Je ne bande pas mais je suis excité. Il m'a entendu entrer et me dis "viens, l'eau ne va pas rester chaude éternellement". Je me désape et le rejoins. Forcément, il est totalement nu et je ne peux m'empêcher de le regarder. Au repos, sa queue est magnifique. Épaisse, avec veines apparentes. Il me sourit et m'invite à aller sous l'eau. Tout le long, je le regarde. J'admire aussi son cul, parfaitement bombé. Putain, je bande. Je me tourne donc, de sorte à être dos à lui pour pas qu'il me voit, car je me sens assez honteux.

 

D'un coup, il me demande si je peux lui passer du gel douche sur le dos. Gêné, je lui réponds malgré tout que oui, il n'y a pas de problème. Je m'exécute, en essayant de m'appliquer. Je suis encore plus excité. Là, il me dit "eh, Thomas, je t'ai juste demandé de me mettre du gel douche, pas de me faire un massage" - "désolé" - "nan mais c'est très bien, tu pourras m'en faire un en sortant ?" encore plus gêné, je lui réponds que oui. Je continue et me met à laver ses fesses. Bon sang, qu'elles sont fermes et poilues, parfaitement viriles. "Oh, Thomas, je peux le laver seul, ça" me dit-il en riant. Gêné, j'arrête et me retourne, je ne veux pas qu'il voit mon érection.

 

L'eau commence à devenir vraiment froide, il sort donc. "Toujours ok pour le massage" - "Ouais ouais" - "Super, je t'attends dans ma chambre". Moi, je reste un peu sous l'eau froide, rien de tel pour calmer mes ardeurs. Je m'essuie et le rejoins dans la chambre. Il est allongé sur le lit, sur le ventre, complètement nu, comme si son cul bombé était à ma merci. Je l'admire et il me lance en riant "c'est quand tu veux, Thomas" - "ouais, pardon".

 

Je commence à le masser en m'asseyant à côté de lui. Je passe mes mains sur ses épaules, son dos, en insistant bien. Il lance quelques gémissements et quelques "c'est bon". Ça m'excite. Moi, j'ai juste une serviette autour de la taille. Je commence ensuite à lui masser les fesses, il ne me dit rien. Putain, je suis de plus en plus excité et cette excitation me donne des ailes. J'enlève ma serviette et m'assoit à cheval sur lui, sur son cul. Il ne dit rien. Je prends un putain de plaisir à le masser, à l'entendre gémir. Ma queue est raide comme jamais, mais j'essaye d'éviter qu'elle se pose sur lui. Heureusement, quand je bande, ma queue a tendance à pointer vers le ciel. Le ciel, le septième ciel, ouais, je suis au septième ciel.

 

Je prends mon courage à deux mains. Toujours assis sur son cul de rêve, je me penche et commence à l'embrasser dans le cou. Je le sens se raidir, il me dit de m'arrêter. Mais je continue. Après tout, il ne me repousse pas. De temps à autre, il continue même à gémir. J'embrasse son cou en lui massant les épaules. C'est d'un érotisme pur. Soudain, il tourne sa tête. Nos regards se croisent. Pour une fois, c'est lui que je sens gêné. Mais il continue de me regarder dans les yeux. Ma queue raide et chaude et allongée sur sa raie, il le sent sûrement. Nous nous fixons quand je me décide de lui lâcher un baiser. Un simple baiser, sans langue, rien. Un smack, comme on dit. Il me sourit, gêné. Putain, qu'est-ce qu'on fait ? M*rde, c'est mon beau-père, le mec de ma mère.

 

Je descends et m'allonge à côté de lui. Il me prend dans ses bras, pose sa tête sur la mienne. Il me caresse les cheveux. Je me décide à l'embrasser, un vrai baiser. Il ne me repousse pas. C'est un long et tendre baiser, comme si aucun de nous deux ne voulait qu'il s'arrête par peur de ce qui pourrait se passer après. Je finis par m'endormir, dans ses bras. À mon réveil, en début d'après-midi, il n'est plus dans le lit. Je descends, je l'appelle, il est parti. Je suis seul. Putain, où il est ? Qu'est-ce qu'il va se passer, maintenant ?

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Dimanche 17 novembre 7 17 /11 /Nov 23:44

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Ceux qui me connaissent dans la réalité ou qui ont juste lu mes histoires précédentes sur Cyrillo savent que j’adore niquer et me faire niquer. 39 ans, bruns, les yeux marrons, j’ai plutôt de bonnes épaules et une bonne bouille. Mais ce qui plaît surtout aux mecs c’est ma queue de 20cms par 7, circoncise, et la façon que j’ai de m’en servir. C’est pourquoi je n’hésite jamais à l’exhiber dans des soirées naturistes, à Lyon -à côté d’où j’habite à présent- et à Paris, où je vais une fois par mois pour raisons professionnelles. A chaque fois, j’essaie de prendre un peu de bon temps. En juillet dernier, un vendredi soir, je suis allé traîner dans le Marais. A la librairie « Les mots à la bouche », les mecs font semblant de s’absorber dans les livres « sérieux », moi je vais direct jeter un coup d’œil aux revues de cul. L’une, berlinoise, retient mon attention. « Grosse calibers » (c’est le titre) présentent des types bien pourvus par la nature. Parmi eux, il y en a un que j’apprécie particulièrement : Coddy Cummings, un acteur porno, « hétéroflexible » comme il dit. « Une position que nous apprécions tous beaucoup » commente ironiquement la revue qui précise qu’ » il vient de perdre sa virginité anale ». Ben voyons ! … Avec tous les godes et les plugs qu’il se prend dans le fion à longueur de films ! … C’est mon ami Tony qui m’a fait connaître Coddy. Il m’envoie souvent des vidéos. Une fois, on y voyait Coddy en train de mater une nana (« Blue Delila ») en train de niquer un jeune blond balaize (« Cameron ») avec un gode ceinture. Coddy, bobrun à la barbe naissante, se branlait en crachant vulgairement dans sa main, avant de les rejoindre. Ce souvenir me fait chaud au slip… de la marque « Andrew Christian » qui fait ressortir mon service trois pièces. J’achète la revue et le vendeur me souhaite en souriant de bien m’amuser. Pas de souci : Excité, je passe ensuite dans un sex-shop m’acheter du poppers, avant d’aller m’amuser à L’Impact, un sex bar naturiste hyper chaud, rue Greneta pas loin du boulevard Sébastopol.

 

Le vendredi, ça ouvre un peu plus tard que d’habitude. Il est 22h30, il y a encore peu de mecs. Tout le monde est à poil, à boire au bar, ou à se promener en bas. Je papote avec le barman, Jimmy, un black antillais super sympa. Un mec se joint à la conversation. Brun, bien bâti, marrant, c’est manifestement un habitué. Il me dit qu’il fait de la musique, mais que par le passé il a tourné dans des films pornos allemands, sous le pseudonyme de « César ». Son bagoût me plaît… il le constate bien vite en voyant ma queue se dresser. Il rigole : « On descend ? » me demande-t-il. Pas de problème. Il m’explique qu’il est actif. Moi comme je suis actif/passif, ça ne me dérange pas. Mais je lui signifie qu’il doit impérativement préparer mon petit anus rasé à la saillie. Ce qu’il fait sans perdre une minute, après m’avoir fait étendre sur le dos sur le lit à partouzes. Sa langue agile et le poppers m’échauffent grave le fion. Je pars à fond dans le trip et il le voit. Il s’encapote maintenant la bite et me pénètre, d’abord lentement. Il m’a pris par les hanches, me tirant jusqu’au bord du lit. J’ai les jambes écartées au maximum. Je me redresse, tandis que lui s’accroupit. Je bascule lentement et me laisse tomber sur son gros zob qui me brûle le trou. Je vais et je viens le long de ce pieu brûlant. J’halète. Lui aussi, en me pilonnant comme il faut. Je me recouche sur le dos car la position en équilibre est un peu fatigante. Des mecs autour nous matent.

 

Au bout d’un moment, « César » se retire en me disant qu’il est un peu crevé et qu’il ne veut pas jouir tout de suite.. Je le comprends ! … Mais je ne suis pas dupe car il a manifestement remarqué un beau mâle autour du lit à partouzes. Qu’importe ! On a quand même passé un bon moment. Le cul un peu endolori, je m’appuie contre le mur voûté, en essayant de reprendre mon souffle et mes esprits. Et c’est là que je l’ai vu… « Le » mec dans toute sa splendeur. Assez grand (1m85/90 environ), brun, très bien foutu, des yeux de velours marron, de belles lèvres, il me mate tranquillement… Il porte un cokring en acier autour de sa bite… qui grossit à la vitesse de l’éclair… La vache ! … J’en crois pas mes yeux : il a un sguègue d’environ 22/23cms, bien épais (9 ?) … Quitte à faire la salope (au point où j’en suis ce soir !), je tire mon poppers de ma chaussette et je sniffe un bon coup. Je me laisse glisser à terre, accroupi sur les talons, ouvrant la bouche, la langue pendante comme une chienne. Il comprend parfaitement et me fout son gros sexe en bouche. Il me la baise bien sèchement. De temps à autre, il me prend mon poppers et en sniffe. J’essaie de tout gober sans m’étouffer, mais ce n’est pas facile. Les mecs autour nous regardent. Certains s’approchent. Je suis sûr qu’ils aimeraient bien sucer ce chibre. Pour ne pas que le type aille voir ailleurs, je redouble d’effort, faisant aller et venir ma bouche autour de sa hampe, réservant les soins de ma pipe à son énorme gland tout doux et à son trou à pisse…

 

Il me propose d’aller dans une cabine, derrière un treillis. Je vais enfin connaître la sensation de son énorme outil dans mon cul ! … Il est très doux, m’embrasse dans le cou, on se câline… Il me caresse la queue et je crois comprendre qu’elle lui plaît bien. Avec tout ça, il débande et me dit que c’est à cause du poppers. Il me propose de remonter un moment, le temps de souffler. Je suis d’accord. Je prends une bière. Lui aussi. Il sort ses clopes pour aller au fumoir. Il m’en offre une. On discute. Comme il a un drôle d’accent, je lui demande d’où il vient. Belgique. Il s’appelle Climens. Je lui dis qu’il baise comme un dieu. Il rigole et me répond que je le flatte. On sort du fumoir, pour boire nos bières. De lui même, il me laisse son nom et ses coordonnées. Je suis agréablement surpris… ça change des parisiens qui font tout le temps la gueule. On redescend et on s’isole à nouveau dans une cabine. Je lui tends mon cul, prêt au passage de sa bite. Je l’entends déchirer l’enveloppe d’une capote… J’attends… et là : le gag, il me dit de me retourner. Son énorme bite est à peine recouverte au tiers par le préservatif. Il m’explique que compte tenu de sa taille, il prend d’habitude des king size. Mais là, il n’en a pas eu le temps d’en prendre à son hôtel et la capote « normale » lui fait mal. Bon… je m’agenouille à nouveau devant lui, vénérant son zob. Je le resuce à donf… Je fais ma salope à ses pieds. Je tends la langue et je lui demande de me jouir au visage. Je lui fais signe « sur ma gueule »… Bien reçu. Cinq sur cinq : il se branle à toute vitesse et finit par éjaculer de gros jets de foutre chaud sur mon visage. Ça coule de partout. Je suis plein de jus. Il gémit tout bas. Je crache à mon tour, en gémissant. Gentiment, il va me chercher du papier pour m’essuyer la gueule. On remonte. Il est déjà tard. Lui va rester mais moi je dois rentrer car j’ai mon TGV gare de Lyon tôt le matin. Climens a l’air un peu déçu. Moi aussi, mais je ne peux faire autrement. On se quitte.

 

Je sors. Dans la nuit, je marche lentement, en essayant de revivre en pensée le moment que je viens de passer. Je tire de ma poche le carton sur lequel il a noté son mail et son tél et je lui envoie un petit mot lui disant que je suis content d’avoir fait sa connaissance. C’est dans le train pour Lyon que j’ai reçu sa réponse le lendemain. Très sympa. On devait se revoir à Paris en octobre, mais il n’a pas pu venir. J’avoue que j’aimerais bien les revoir, lui et son énorme queue ! … Une autre fois, j’espère…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 17 novembre 7 17 /11 /Nov 20:33

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Il flotte 24 sur 24 à Panam ces temps-ci et je squatte chez oim devant la télé à longueur de journée. C’est la misère quand tu taffes pas, tu regardes la vie passée et toi t’es toujours en rade sur le quai des embrouilles. Vite gavé par les émissions de télé réalité que je chope en zappant d’une chaîne à l’autre, je lâche l’affaire et je décide d’aller tchatcher un peu sur le web.

 Connexion sur le chat sous mon pseudo habituel « scarla och » et j’ai pas à attendre longtemps avant que ma boîte à lettres déborde de messages. Je suis vite intrigué par un keumé dont le pseudo est « kiffeur de yop ». Le mec m’a envoyé au moins cinq messages et il a l’air d’être grave en manque de biberon !

On s’échange quelques mails : il a 24 ans, un petit blackos sportif qui kiffe de pépom à donf pendant des heures. Il m’assure qu’il est le meilleur biberonneur de la capitale et je le préviens qu’il va passer un sale quart d’heure s’il a mitonné. Je chope son adresse et je trace en tromé vers la station Grands Boulevards où le kebla a son appart.

 

Quand il ouvre la porte, je flashe sur sa face de bogosse renoi. Le keumé est déjà quasiment à oilp et je matte son corps musclé et imberbe qui luit sous le flash de l’halogène qui éclaire son petit studio merdique. C’est clair qu’il a pas mitonné en disant qu’il était bogosse et sportif, reste à voir s’il tient ses promesses pour le reste.

On tchatche un peu et je lui demande de me parler de ses kiffes dans les plans qu’il fait avec des keumés. Il m’explique avec une lueur de vice dans le regard qu’il prend son iep en têtant du zob, s’attardant le plus longtemps possible sur les teubs qu’on lui met sous le zen avec en bouquet final une bonne éjac sur sa face de kebla.

Je chope une trique d’enfer pendant qu’il me raconte quelques uns de ses grands souvenirs de sucette à rallonge. Il fixe la bosse qui s’est dressé sous mon survêt et je n’ai qu’un regard à lui envoyer pour qu’il plonge à genoux devant oim pour s’occuper de mon zeb.

 

On voit qu’il a ses habitudes le renoi : il glisse son pouce sous l’élastique de mon caleçon pour faire jaillir mon sgeg déjà bien raide et je vois sa face plongée sur lui en deux deux. Il me chatouille le gland en donnant des petits coups de langue et je sens sa bouche humide enserré ma teub. Sa langue s’active à donf et il fait glisser ma teub dans sa bouche comme un pure pompeur. En même temps, il me caresse les boules avec sa main gauche pendant qu’il se paluche avec la droite.

C’est och de chez och, il pompe comme une roi ! Sa salive ruisselle le long de ma teub et il me la branle en même temps qu’il aspire mon gland contre sa langue en gémissant comme une tepu. Le black me lâche pas du regard pendant qu’il biberonne avec passion. Il fait descendre sa face le long de mon zeb et vient caler sa tête entre mes cuisses pour bien me bouffer mes couilles pleines. Il les fait rouler une par une dans sa bouche tiède et arrive même à les gober les deux en même temps. Il me fait carrément grimper au septième ciel du paradis des sucettes !

 

Je décide de prendre un peu les choses en main et de lui offrir un final digne de sa prestation. Je l’assied face à moi sur le pieu, la tête relevée par deux oreillers. Je viens me caler à genoux au dessus de lui et je prends appuis sur le mur. Mon zboub se dresse devant son zen et il l’engouffre aussitôt dans sa bouche baveuse. Je commence à faire glisser ma teub en donnant des petits coups de reins et je vois le renoi écarté ses machoîres comme un ouf pour avaler le maximum du gros morceau que je lui donne. Mon limage de gueule fait effet et je sens mon gland circoncis qui vient taper dans le fond de sa gorge. Il suffoque mais je maintiens sa tête entre mes mains pour mieux lui limer la face. Il salive à donf sur mon zeb et j’ai grave l’impression de limer une chatte de meuf bien humide tellement il est bon pompeur.

Je sens mes couilles qui surchauffent grave et je me retire subitement pour empoigner me teub à deux mains. Deux trois mouvements de poignet et je l’asperge de yop de scarla qui vient s’écraser sur sa face comme des vagues de grandes marées sur les rochers de l’atlantique. Mon sperme blanc ruisselle sur sa peau noir et je le vois jouir sous mes yeux en gueulant comme une vrai taspée. Il m’avait pas baratiné le kebla, c’est vraiment le roi de la turlute et c’est claire que ce keumé kiffe sa race quand il fait gicler un keum !!

 

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