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fan de histoires de mec

Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 18:53

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HOMME MÛR

Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec un homme mûr pour sucer pour la première fois.

J'ai 18 ans et je suis bi. Pendant longtemps j’ai fantasmé sur le fait de sucer une grosse bite, mais je n’ai jamais sauté le pas et il y a un mois j’ai posté une annonce pour trouver ma première bite.

Cet homme a vu mon annonce sur le net. Il m'a envoyé un mail pour avoir plus d’infos et savoir si j étais OK vu son âge (50 ans). Il s’est décrit comme un homme d’expérience pré à initier un jeunot. On s’est donné rendez-vous dans une rue tranquille dans la ville où on habite tous les deux avant d’aller chez lui.

Il arrive en voiture 2 minutes après moi. Je monte. Il me demande si je suis toujours OK. Je lui fais signe que oui. Il démarre et après 5 minutes on est chez lui. Il referme la porte d’entrée derrière moi et me dit de me mettre à l’aise. Il se prend un verre de whisky et se met dans le fauteuil.

— Bon on va passer aux choses sérieuses maintenant, me dit-il.

Je lui réponds avec un petit oui timide. Cet homme bedonnant (90kg), mûr et poilu m excite énormément.

— À genou et vient me renifler l’entre jambe. Je m’exécute tout en tremblant d’hésitations et me met a 4 pattes, je m’avance vers lui en bougeant bien mes fesses et pose ma tète entre ces cuisses. Je renifle son paquet. Ça sent l'homme.

Dune main il m'agrippe la tète et me l’enfonce encore plus au fond des cuisses, je devine la forme de sa bite à travers la pression quelle exerce sur mon visage. De l’autre main, il me malaxe les fesses à travers mon jean. On me dit souvent que j’ai un beau cul, un cul de fille.

— Hum regarde comment je te malaxe les fesses fillettes. T’aimes ça être dans les mains d’un vieux pervers.

Il m’enlève mon jean et voit les dessous féminins qu’il m’avait demandé de mettre. À savoir un string, des bas et une porte-jarretelle

— À qui tu a piqué ces dessous de coquine ?

— à ma grande sœur.

— c’est une salope comme toi on dire, elle a du en sucer des bites! Tu t es déjà branlé sur ta sœur ?

— non jamais !

Je sens sur ma bouche que son sexe a prise du volume, il commence à respirer plus fort.

— Enlève moi mon pantalon me dit il.

Je m’exécute tout en tremblant alors qu’il me malaxe et me gifle les fesses de plus en plus fortes. Il tire sur mon string et joue avec en le faisant claquer contre mon trou. Son slip cache une bite impressionnante, il commence à bander très dur, on devine facilement la taille de son engin à travers le fin tissu. Il prend ses deux mains et m'appuie sur la tête « lèche». Je lèche sa queue à travers son slip. Je me demande ce que je fais. Je suis en train de lécher le slip d’un homme qui pourrait être mon père, je veux partir et lui demande de me relâcher, je ne suis plus sur de rien, je ne suis pas gay, j’ai une petite copine que Jaime. Mais il refuse : « maintenant que tu ma excite, tu ne crois pas que tu vas t’en sortir comme ça en me laissant avec ma chibre en érection. » Dune main il continu sa pression sur mon crâne pour me maintenir la tète, de l’autre il fait glisser son slip. Ça bite jailli et vient toucher mes lèvres, son gland embrasse mes lèvres. Il bande dur et doit mesurer 20cm. Il retire sa chemise et laisse apparaitre son gros ventre poilu.

— tu sais ce qu’il te reste à faire.

J'hésite, mais je me rends compte que ma bite est sortie du string en dentelle que je porte tellement elle est dure. Dune main je le branle alors que son gland touche mes lèvres.

— ouvre me dit il tout en se relevant. Sa bite rentre doucement dans ma bouche. Sa y ai j’ai ma première bite dans la bouche, et quel bite.

— allez, SUCE ! Suce… suce !

Il me baise la bouche en me maintenant la tête entre ces deux mains imposantes.

— Ouvre plus grand. Avale à fond. Fais tourner ta langue. Tu aimes ça salope ? Réponds-moi !

— oui.

— t’aimes ça sucé des bites de 40 ans hein ! C’est bien ça ! T’avais vraiment envie de sucer toi ! Il continue de me baiser la bouche en m’insultant de salope en me maltraitant la tète entre ces mains de bucherons.

Il me dit « Bon, tu vas me lécher un peu les couilles ! ». Ce que je fis, j’avais ses couilles velues dans la bouche. Il les enfoncé en appuyant dessus.

Après quelques minutes de ce supplice, il me relâche et me demande de le suivre. Il nous emmène dans son bureau et s’assoit sur une chaise.

— Vas en dessous j’ai un truc à faire. Lèche-moi les couilles pendant que j’écris un mail pour le boulot.

Je les lèche, elles sont velues et sentent assez fort. Je pose la langue dessus, lèche, suce et aspire ses bourses.

— c' est bien, tu sais que tu sais y faire salope. Regarde je bande pour toi chienne. Mets-toi à 4 pattes.

J’enlève mon polo et me met en position. Il passe sa bite sur tout mon corps, mon dos, mes bas, entre mes fesses et mon string, dans le cou, partout. Il tapote sa bite sur mon visage.

— Allez reprend ton boulot et suce-moi à fond pétasse.

J’aspire son gland, lèche sa bite et l’enfonce au plus profond de ma gorge.

Je sens son gland toucher le fond de ma gorge. Surement pas assez pour lui vu qu’il force et me baise la bouche. Il va de plus en plus vite je sens quil va jouir, il me tient fermement la tète alors que j’essai de retirer ça bite

— Tiens salope, prends mon nectar chienne. Oh oui t'es une bonne sale pute, je t'ai dépucelé la bouche salope. Et ce n’est surement pas la dernière bite que tu va admirer. Ooooohhhh avale avale. T’aimes ça le sperme sale pute soumise. Tu es né pour servir les hommes et sucer leur bite.

Son sperme jailli dans ma bouche il est chaud et sent assez fort. Il me tient le haut de la tête et le menton. Et me force à avaler. Il me représente sa bite. Nettoie la salope.

Je m’exécute et lèche son gland et le sperme qui resté. Elle est toute propre.

— Tu vois que tu aimes ça, tu bandes comme une salope. Mets mes couilles et ma bite dans ta bouche. Tout devrait rentrer maintenant qu’elle est débandée.

Il me fait accroupir sous le bureau avec son sexe mollasson dans ma bouche alors qu’il s’assoit à sa chaise.

— Garde tout ça en bouche chienne je dois répondre a un mail.

Après 5minute je sens un petit peu de pisse sortir de son pénis. Il me demande de tout avaler. J’avale sa pisse, ça me dégoute, je me lève et commence à remettre mon jean.

— Tu ne crois pas que tu vas partir seulement maintenant je n’ai joui qu’une fois. Regarde c'est toi sur la vidéo. Je nous ai filmés. Je pourrai l’envoyer à ta mère et ta copine, qu’en dis-tu ?

— Non s.v.p. elles ne savent pas que je suis gay, j ai honte.

— Allez excite moi alors, bouge, caresse tes bas. Fais baisser doucement ton stringounet.

Je fais tout ce qu’il me demande. Il rebande à nouveau.

— Viens là à quatre pattes ton cul contre mes jambes salope chienne. Regarde comment ma bite coulisse entre tes fesses sale suceuse de bite. Tu la veux dans ton petit trou de vierge salope ? Je ne bande rien qu’à imaginer que je vais te dépuceler le cul pétasse. Dis-moi que tu la veux ? –

Je ne veux pas, lui dis-je en pleurant. On s'était mi-d'accord sur une pipe c’est tout et vous êtes déjà allé trop loin. Je dois m'en aller je suis désolé '.

— non, non, avaleuse de sperme, tu veux que je montre a ta mère comment t’avales? Je t'encule contre cette vidéo. Prends ce coussin, mets-le par terre, et pose ta gueule de pute dessus.

Je m’exécute il tire mes fesses vers lui et pose une capote sur son pénis long de 20 cm. Il pose son gland sur mon anus et attend quelques secondes. Il regarde mon bas ventre et voit que mon string est tendu à son maximum.

— Ça te plait même si tu ne veux pas l’admettre. Ton moi intérieur c'est ta vraie nature : suceuse de pénis !

Alors que je lui réponds un non-svp étouffé par mon cousin il pousse un grand coup, son gland et une partie de sa bite rentrent dans mon trou vierge. Je cris en relevant la tète il me gifle et me renvoie la tête contre le coussin. Je pleure alors qu'il continue à pousser pour faire rentrer ses 20cm dans mon trou. Après de nombreux vas et vient je sens son ventre sur mon cul. L’enfoiré a glissé ses 20 cm en entier dans mon trou sans mon véritable accord.

— Hum t'es toute serrée salope, j’adore dépucelé des petites pédales comme toi. Je suis bien au chaude j’ai envie de rester là sans bouger. Tu aimes avoir une grosse bite au trou ?

— ça fait mal.

— mais tu bandes dur pédé. Je vais te branler un peu pour que tu jouisses ensuite je t'enculerai sévère pour que tu jouisses uniquement du cul.

Alors qu’il avait toujours sa bite entière dans mes petites fesses de femelles il me branla quelques minutes. Je ne tardai pas à éjaculer. Il me fil lécher mon propre sperme en m’appuyant sur la tête. J'étais véritablement dégouté, maintenant que j’avais joui je n’étais plus du tout excité, je me sentais mal et j'avais envie de vomir.

Pendant ce temps mon anus s’était légèrement resserré sur son sexe, il reprit ses mouvements et m'irrita l’anus tellement il me baisait fort. Je ne prenais aucun plaisir, la douleur était trop présente.

— t es trop bonne chienne, j’ai l’impression d’avoir le cul d'une chienne entre les mains, j’adore tes fesses de fillettes.

Clap clap clap ses couilles tapaient sur mon cul.

— arrêter s.v.p. ça me brule.

— c’est normal pour une première fois. Je te dépucelle avant que de nombreux hommes profitent de toi sale pédé. Dis-moi que tu es honoré que j’ai accepté de m’occuper de ton trou suceuse.

— s’il vous plait...

— dis-le à ton maitre salope.

— merci maitre.

— merci pourquoi pute.

— merci de me sodomiser, de me permettre de sucer.

Sur cette dernière phrase, il me gifla.

– c’est bien chienne t’apprends vite.

Il continua à baisser « ma petite chatte » comme il disait durant des minutes qui me paraissaient interminables. Il allait de plus en plus vite, il se retira et enleva d’un geste rapide la capote qu’il portait. Il m'agrippa les cheveux et vint placer ma tête sous ses couilles.

— Demande-moi ma semence avaleuse de sperme.

— svp.

Il me gifla et mit ses deux couilles dans ma bouche

— Garde-les au chaud et nettoie-les avec des petits coups de langue.

 

Il se branla sur mon visage et éjacula sur mon front, mon nez mes lèvres, mes cheveux. J'en ai partout.

— souris.

Je ne l'avais pas vu venir, il me prit en photo avec l’appareil qui été sur son bureau.

— si tu ne veux pas que j’imprime cette photo à ta copine, tu vas récupérer le sperme avec cette cuillère et l’avaler.

— s.v.p.

— ne discute pas sinon je n’hésiterai pas !

Je récupérai tout le sperme et l’avala. Jeu un haut-le-cœur, je voulais vomir.

— tu vois que tu aimes le sperme pute. Suis-moi va te laver.

Il m’enleva mon string et mes bas et me fit mettre dans la baignoire.

— Rince-toi.

Je pris le pommeau de douche et passa l'eau sur tout mon corps.

Il coupa l eau et m’attrapa l’épaule pour me mettre face à lui.

— Ouvre la bouche et ferme les yeux.

Un jet de pisse chaude arriva sur ma tète, mes cheveux, j’en reçu dans la bouche. Je recrachai tout de suite. Il s’arrêta de pisser et me gifla.

— tu dois avaler ma pisse comme une véritable salope le ferait.

Il m’attrapa le menton et m'ouvrit la bouche. Il glissa son pénis débander dan ma bouche et fit se refermer mes lèvres. Je vais y aller doucement pour que tu aies le temps de tout avaler sale pisseuses.

Il pissa ainsi des petits jets en se retenant. Il veilla à ce que j’avale bien. Il eu vite fini heureusement, mais j’avais avalé toute sa pisse.

Il partit en me demandant de déposer un doux baiser sur son gland. Je le fis et referma mes lèvres dessus.

Je fis coulisser son gland doucement puis il me laissa me doucher et partir.

Je n’ai rien dit en partant, mais ce pervers ma lancer un « a bientôt salope» en me pelotant une dernière fois le cul et en tirant sur la ficelle de mon string.

J'ouvris la porte et repartis vers chez moi en boitant à moitié.

Si la suite vous intéresse, laissez-moi un mail.

Stso

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 13:43

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Alors que je me trouvais seul chez moi et que l'ennui commençait à me gagner, je décidais, d'aller de mettre un DVD spécial SM. Les premières scènes commencèrent à m'exciter au point de me branler puis je fus pris d'une envie et j'éjaculais sur moi. J'éteignis la télévision retira le dvd et le foutre encore chaud sur mon abdomen je décidais de tenté une expérience SM. Je pris ma voiture et je me rendis dans une boite ou un lieu aménagé pour les plans cul SM.

Le personnel se rendit compte que c'était la première fois et un des mecs demanda a son pote de me faire visité les lieux, mais, avant allais que je me mette en condition, car je n'étais pas habillé cuir, mais jock-strap, survêt, tshirt. Il ne prêtait aucun vêtement et le mec qui était avec moi me dit

— ici c'est cuir tu sais ont voit que c'est la première fois

— oui j'en ai envie

Pendant que je retirais mes fringues, il vit un peu de sperme séché et dit

— tu t'es fait baiser ?

— non j'ai maté un DVD sm et ça m'a excité et j'ai joui

— ce soir tu seras en réel mec ta quoi sous le survêt ?

— juste un jockstrap

— ok tu retire le reste et garde ton jockstrape actif ou passif ?

— passif

— si tu veux je t'initie si t'aimes ont passe a la vitesse supérieure

Une fois en jockstrape je le suis et ont descend au sous-sol ou se trouve tout le matos pour une baise sm, pendant tout le trajet beaucoup de mecs mon regardé avec un grand intérêt. J'étais presque a poil avec pour seul vêtement un jockstrap. Certains mecs n'hésitaient pas a se caressé la queue d'autres passaient leurs lèvres sur la bouche. On entre dans un endroit ou se trouve un slang chose que j'avais dans le DVD et me faire baisé sur un slang était un de mes rêves il la vu a mon regard. Il s'aperçu également de la bosse dans mon jockstrape et il me sourie voyant que j'étais un peu tendu et il entama la conversation.

— Ça te fait envie le sling ?

— oui

— alors, tu y passeras

— déjà fisté ?

— non jamais

— tu veux essayer ?

— oui

— uro ?

— non

— sperme ?

— oui

— t'avale ?

— oui

Pendant tout son interrogatoire je m'aperçu de la bosse que fait ça bite et ne pu m'empêché de la caresser, il me laissa faire, tout en continuant mes caresses sur son slip je baisse son pantalon, mais, là il retint ma main. Alors il sorti sa queue de son slip une belle bite dont ont voyait les veines gonflée, tellement dressée qu'elle était dure au touché, mais, ne tenant pu je m'engouffrais cette belle bite bien dure dans ma bouche et caressais ses couilles avec mon autre main.

Puis je mis ma main sur ses fesses que je commençais a caressé aussi c'est a ce moment que je mis un doigt dans son cul ce qui le fit gémir et n'eu aucun geste pour l'empêcher. Au contraire, il semblait aimer au point de jouir dans ma bouche avec unetelle force qu'une partie coulait sur mon menton et mon torse. La première fois que je voyais un mec avec un sperme aussi abondant, épais et sucré, c'était délicieux et il le vit quand je léchais son gland afin de récupérer le reste de sperme. Puis avec sa queue il s'amusa un peu me donnant des baffes avec sa bite. Il a vite compris que j'aimais cela alors il me dit sur un ton bien différent qu'au départ.

— allez salle pute monte sur le sling que je vois ton trou de chienne

Une chose que je n'avais pas remarqué, sur son t-shirt il y a écrit « MASTER » ce qui m'inquiéta, mais, il était trop tard je lui avais montré ce que j'étais et il n'était pas près de l'oublier.

— Putain ta la chatte bien ouverte pouffiasse je vais m'occuper de ton cul de lope

— dis-le très fort que t'est une lope une vide couille crie le j'ai dit !

— OUI JE SUIS UNE LOPE ET UN VIDE COUILLES

Tout les mecs entendirent cette phrase, certains venaient même jusqu'a l'endroit ou nous nous trouvions. Le master finit par entrer sa queue de force ce qui me fit crier

— ta gueule salope c'est ce que tu voulais alors ferme là

Mais je criais a ses assauts alors il tourna la tête et demanda un des mecs de venir afin que je le suce. L'un d'eux monté de 19.5 me présenta ça bite et je commençais a le sucé, puis la douleur disparaissais concentré sur le plaisir que je donné au sucé et aussi aux miens que mon cul prenait une belle bite de 25 cm.

— t'aimes la que pouffiasse tu va en avoir dans ta gueule et ton cul

— je fis signe de tête montrant ma soumission

— bien petit pute tu as joui devant un DVD la ce sont des mecs que tu devras faire jouir

Puis il dit bien fort

— CE MEC EST DÉSORMAIS MA PUTE TOUT LE MONDE PEUT LA BAISER COMME IL LE VEUT, MAIS PAS DE COUPS.

Je suçais de plus belle et mon maître éjacula dans mon cul et fit signe a un autre d'y aller. Celui que je suçais me remplit la queue de son foutre que j'avalais avec plaisir. Ce n'était plus une baise en duo, mais une touze que j'acceptais sans me plaindre. Mon maître s'en aperçut et me dit

— allez putain suce bien et avale tout compris

Je fis un signe de tête il entendait mes gémissements et ne fit rien il voulait que je prenne mon pied et souhaité me voir jouir. Puis il s'adressa au mec qui m'encule

— prends-lui sa bite et branle-le je veux le voir jouir

Il dit cette phrase assez fort pour que tout le monde comprenne. J'avais les jambes en l'air bien écarté en train de me faire enculer sans ménagement et j'aimais cela. Le mec qui m'enculait avait joui dans mon cul et mon maître le retint et lui dit

— baise là encore jusque ce que cette femelle jouisse

— j'viens jouir j'ai pu envie

— suce là alors

— non

— suce je t'ai dit

Celui qui m'avait enculé me suça jusqu'a ce que je jouisse et mon suceur se pris mon jus dans sa gueule et moi aussi. Alors deux mecs virent remplacer les précédents et ainsi de suite toute la soirée. De temps en temps mon maître regardait mon cul qui était devenu bien large. Il attendit que les mecs jouissent dans ma gueule et mon cul et que je jouisse pour me faire descendre du sling.

Là un mec avec une queue bien raide s'allonger sur un matelas pendant que je m'empalais cette belle bite bien raide dans mon cul de pute. Puis il me pencha vers le mec que je chevauchais et un second mec fit entré sa queue dans mon cul pendant qu'un 3e se plaça en face de moi pour le sucer.

— Alors salope t'aime sa hein ?

— t'est une vraie pute te faire troncher ainsi

— un trou a bite, un garage a bite une putain à remplir dans tout les trous

— avec moi tu te feras baiser

Il regarda la scène et vit un mec prendre des photos de la baise depuis le début, il le regarda et ce fut Cyrillo qui attendais de m'enculer comme une pute et une chienne a bite, une salope qui veut sont foutre. Le second mec qui m'encula se retira et il allait désigner Cyrillo quand celui-ci lui dit qu'il souhaite me prendre seul. Le maître acquiesça et attendit qu'il soit fini afin de laisser la place à Cyrillo. Une fois les mecs parties Cyrillo et mon maître qui se nomme George ou Maître George laissa Cyrillo faire ce qu'il voulait de moi.

Il entra sa grosse et belle queue dans mon cul et m'encula sans ménagement puis il dit a Maître George

— George va te faire sucer

— oauisssssssssssssss ça à lui plaire acte chienne

— une bonne pute en tout cas

— ouais et en chaleur en plus

Il parlait comme si je n'étais pas là, pour eux j'étais qu'un sac à foutre qui aimait se prendre des bites et avalé le jus quand Cyrillo dit

— alors putain t'aimes ma bite ?

Un signe de tête car occupé a sucé mon maître. Réponds a Cyrillo putain t'aimes sa queue ou pas ? Je me suis retiré et j'ai dit « j'aime ta queue défonce moi autant que tu veux et remplie moi, car je suis la pute de mon maître et je fais ce “l m'ordonne ». Surpris par ma déclaration Cyrillo me défonça le cul lequel commença à gémir puis se mis à me remplir le cul. Il resta dans mon cul de pute pendant un certain temps et se retira. Son gland dégoulinant de jus bien chaud attendit que maître George est jouis et vint me présenter ça bite pour que je la nettoie. Je l'est tellement bien nettoyé que je me suis mis à sucer cette belle queue jusqu'à ce qu'il jouisse à nouveau. J'entendais des gémissements de plaisir et mon maître regardais avec intérêt, mais, sont intérêt se mis droit comme un i alors il entra sa pine dans mon cul et me ramona le fion. Les deux mecs n'ont pas mis longtemps à jouir de nouveau et je nettoyé la bite de Cyrillo de nouveau, puis se fut celle de mon maître que je nettoyais et que je resuçais. Cyrillo dit

— putain ta une bonne suceuse et un garage à bite

— ouais pour cela elle aime ça la salope

— insatiable en-tout-cas

— faudra que je lui présente mes potes

Puis s'adressant à moi

— putain je vais te faire sucé tous mes potes et t'auras du boulot, une bonne suceuse comme toi ça s'arrête jamais

— la prochaine fois tu pourras voir tes exploits en vidéo et non en photos

Puis il se mit à me remplir la bouche et j'avalais le tout. Je me levai sur son ordre il vérifia mon cul et vit qu'il était bien large de quoi faire entré encore deux queues. Cyrillo et Georges se regardaient et il dit

— une fois qu'il se sera empalé sur ma queue, encule-le

— ouais la touche finale pour ta putain

J'avais deux bites dans mon cul et il voyait que je prenais mon pied au point de jouir sur mon maître, mais, eux-mêmes ne tardaient pas à jouir et ils me remplirent le cul en même temps. Puis sans que j'en suis eu l'ordre je léchais mon foutre sur son corps. Voyant que j'étais devenu docile il fit de moi sa pute officielle. Chaque jour je pris les bites de ses potes et avala chaque fois leurs jus. Puis cela changea certains mecs désiraient me pisser dessus et après les autres voulaient me jouir sur le corps.

Un soir je me suis fait défoncer le cul et la gueule que par des mecs tbm et toujours avec mon jockstrap.

FIN

Gaymen

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 11:29

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J'ai découvert ce site il y a quelques temps. Il y a plein d'histoires vraiment bandantes. Mais celle qui m'a le plus excité c'est une histoire datant de 2009 intitulée "De racaille à Lopsa" qui raconte comment un jeune beur devient la pute soumise de son voisin français super facho. Cela m'a encouragé à raconter mon histoire :

Je m'appelle Habib, 21 ans, 177, physiquement bien foutu. Jusqu'à il y a un an, j'étais un rebeu qui faisait la loi dans sa cité et qui marchait la tête haute dans la rue. Je pensais que tous les blancs étaient soit des pédés soit des femmelettes. Et puis, quelque chose s'est passé il y a un an et je suis devenu maintenant une véritable pute, une chienne soumise à ses maitres blancs et qui suce leurs grosses bites de céfran à longueur de journée.

Tout commence l'été dernier. C'est la nuit et je me ballade dans une rue vide tout en fumant un joint. Là j'aperçois une belle blonde sortir d'une voiture. Je commence à la harceler et à la toucher. Elle résiste, elle me dit de la laisser tranquille. Sur la vie de ma mère, je voulais juste l'embêter un peu. Je n'avais pas l'intention de la violer ou quoi que ce soit. Mais la nana se débat et crie à l'aide. Y a un jeune céfran qui sort de nulle part et qui me saute dessus. Rapidement, il me domine et m'immobilise par terre. Il dit à la demoiselle de s'en aller. Elle le remercie et s'en va. Quand elle part, le mec me dit "Je vais te donner une bonne leçon sale arabe!". Il m'attrape et il me force à avancer jusqu'à la porte de sa maison située juste à coté. Une fois à l'intérieur, il me force à me mettre à genoux devant lui. Je le vois de face pour la première fois. Il est grand (1m84), blond mais avec des cheveux coupés très courts comme les militaires, il a des yeux bleus, il porte un tricot noir sans manches et il a de gros biceps avec des tatouages sur le bras gauche. Putain qu'est-ce qu'il me fait peur! J'ai l'impression d'être à genoux devant un guerrier viking qui va bientôt me péter la gueule.

J'essaye de baratiner pour qu'il me laisse partir :

-Écoute mec je...

-La ferme!

-Mais j'ai...

-J'ai dit la ferme bougnoul!!!

On ne m'a jamais traité de bougnoul de ma vie. Mais au lieu de m'énerver, je commence à bander. Je ne sais pas ce qui ne va pas chez moi mais en tout cas le fait d'être traité comme une merde commence sérieusement à m'exciter.

Il retire son marcel et là WOW! Quel torse bien musclé, bien proportionné avec une peau blanche laiteuse et des tétons rouges qui se dressent fièrement. J'ai l'impression de voir devant moi un dieu nordique. Il baisse sa braguette et sort une magnifique bite non circoncise qui fait dans les 16cm au repos.

-Vas-y salope suce ma grosse bite de céfran!

J'obéis car je sens qu'au fond de moi c'est la chose naturelle à faire. Je commence à pomper cette grosse teub bien odorante. Quand le gland est décapoté, je vois qu'il y a beaucoup de fromage. Ça me fascine car avec ma queue circoncise il n'y a jamais de fromage. Je continue à le sucer. De minute en minute, il s'enfonce de plus en plus dans ma bouche. Sa domination devient à la fois physique et mentale. Je commence à penser que c'est ma place d'être à genoux devant ce demi-dieu et de sucer sa grosse bite de blanc. Quand je lève les yeux, je remarque que son regard est celui d'un homme qui a beaucoup d'assurance et qui est sûr de sa puissance et de sa supériorité.

-Vas-y suce bien grosse pute! Montre moi que tu es une bonne chienne!

Je pompe tellement vite que ma mâchoire commence à faire mal. Je l'entends gémir et se cambrer puis il crache son bon jus de mâle dominant dans ma bouche en disant : "Avale tout, petit rebeu".

On part après dans son salon et il s'installe sur un gros fauteuil en cuir marron. Il me dit "Fous-toi à poil!" puis il m'ordonne de danser pour lui. Ma fierté d'homme reprend un peu le dessus et je lui dis d'aller se faire foutre. Il se lève et il me crache au visage. Ensuite il me donne deux grosses gifles. Je baisse la tête en signe de soumission. Je commence à lui faire une danse arabe bien sensuelle. Je bouge bien et je me déhanche comme une meuf. Sa bite recommence à gonfler.

Il me dit de me mettre à 4 pattes devant lui et de lui présenter mon cul de salope. Il commence à me caresser et à écarter mes fesses qui sont lisses et bien rondes. Il me dit "Allez bouge bien ton cul de beurette!". Je me sens vraiment femelle et ça m'excite de l'entendre me traiter de pute et de cochonne. Le spectacle l'excite aussi alors il me demande de m'empaler sur sa grosse bite. Ça fait mal au début mais très vite je commence à gémir en bougeant mon cul sur sa grosse teub de céfran. Je monte et je descends. Je bouge bien mon cul et je contracte mes muscles pour bien serrer sa queue. Il me donne des fessées et il me traite de plein de noms vulgaires. Il attrape mes cheveux et il me dit à l'oreille "JE SUIS TON MAITRE MAINTENANT. JE VAIS FAIRE DE TOI MA BONNE PETITE PUTE BIEN SOUMISE" Je réponds "OUI MAITRE JE SUIS VOTRE CHIENNE, JE SUIS VOTRE SALOPE". Il jouit au fond de mon trou en poussant un puissant grognement viril.

Avant de me laisser partir, il me dit que je dois d'abord me prosterner devant lui et lécher ses pieds en signe de soumission. J'obéis et je commence à lui baiser ses pieds d'homme supérieur. Il me dit "Bon chien" puis il me dit que je peux partir maintenant.

Je me sens humilié mais en même temps ça m'excite énormément. Je sors de chez lui avec une sacrée trique. Quand j'arrive chez moi je me branle en repensant à son odeur, à ses muscles, à sa voix grave,...Je suis officiellement devenu une pute à céfran et j'attends avec impatience la prochaine bite de blanc qui va pilonner mon cul de salope.

Voilà j'espère que mon histoire vous a plu. Écrivez moi pour me dire ce que vous en pensez et si vous voulez une suite.

Habib

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 25 novembre 1 25 /11 /Nov 15:35

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Voilà moi c'est Nico 32a brun frisé, j'ai les yeux bleus 175 assez musclé. J'ai eu longtemps ue copine qui m'a quitté quand elle a découvert que j'étais bi. Depuis je vis seul et je multiplie les aventures. J'aime faire des rencontres sur internet. L'autre jour je dialoguais sur internet quand un petit rebeu est venu me parler. Il m'a dit qu'il avait 19 ans et jamais fait ça avec un mec. Comme je suis actif, j'ai eu envie de me faire ce rebeu vierge, je lui ai donc dit que je voulais voir sa photo et je lui envoie la mienne. Il était vraiment mignon, grand et bien foutu. Il m'a dit qu'il me trouvait beau et qu'il aimerait faire l'amour avec moi.

On se fixe rencart dans un jardin public. Quand je suis arrive, immédiatement je le trouvai vraiment super mignon

- Moi c'est Nico, et toi ?

- Djamel

- Alors comme ça c'est la première fois ?

Il prend un air macho

- La première fois avec un mec, je baise les filles depuis longtemps

- Les filles ?

- Oui, enfin pas souvent. Les filles arabes elles sont surveillées, et les françaises souvent elles veulent pas des arabes.

Il me plaît beaucoup mais je ne veux pas avoir l'air trop rapide :

- Bon, je ne sais pas, tu es bien jeune...

Il prend un air mi-déconfit, mi-irrité

- Oh, ste plaît, t'es trop beau, allez, je serai gentil avec toi

– Comment ça, gentil ?

Et là j'ai la surprise de ma vie il me répond d'un air candide :

- J'irai doucement

– Quoi ?

- Oui, pour te niquer, j'ai une grosse teub, tu sais

Et là il se prend le fut, dedans ça faisait une grosse bosse. J'en crois pas mes oreilles. Ce gamin veut me baiser, moi !

Je réponds d'un air un peu sévère

- Je suis actif, tu sais, je cherche un jeune passif

Toujours aussi candide et sûr de lui il dit :

- Mais vous les céfran, vous êtes toutes des lopsa pour nous les arabes, t'as un super cul j'ai envie

Et là dessus il tend la main et me caresse les fesses !

Putain, raciste et insultant, en plus ! Je me fâche :

- J'suis pas une «lopsa» comme tu dis, casse-toi

Il me regarde d'un air soudain beaucoup moins gentil, serre les poings. Tout à coup je prends conscience qu'il est plus grand que moi d'au moins dix centimètres, et bien baraqué. Il est capable de me casser la gueule ! Je suis un peu effrayé et bizarrement ça m'excite. J'ai un mouvement de recul, il renifle d'un air méprisant :

- C'est toi qui va te casser, pédale

Un peu fort pour le voisinage... Je ne veux pas d'un esclandre, je tourne les talons. Je rentre chez moi, mais au moment de traverser la rue je le vois à côté de moi.

- T'as la trouille, salope

- Arrête maintenant

Soudain il bondit et m'attrape le bras

- T'es qu'une...

Je suis paniqué, il s'en aperçoit et soudain se met à rire

- T'as peur... (avec un petit rire méprisant) et je suis sûr que ça t'excite

Là dessus je vois que son jogg est nettement tendu, il a pas menti, il est bien monté ce petit con.

Putain, il faudrait qu'il arrête, je vais avoir une drôle de réputation dans mon quartier. J'essaie de crâner :

- Moi, peur, tu rêves, bon lâche moi là, va jouer au game boy

Il blêmit et sa main serre plus fort mon bras

- Mon game boy c'est toi, salope de céfran

Les passants s'écartent prudemment, mais un homme de 40 ans environ intervient

- Qu'est-ce qui se passe ? Cet arabe vous emmerde, Monsieur ?

Bon, le raciste de service ! J'ai soudain très chaud, je le regarde et je dis

- Non, c'est une dispute entre amis, rien qui vous concerne

Djamel m'a lâché et me regarde d'un air un peu étonné. Le raciste dit ''Ah bon'' et s'en va, je l'entends murmurer ''pédales''.

On reste trente secondes comme ça, plantés sur le trottoir. Soudain Djamel me prend à nouveau le bras, mais cette fois plus gentiment

- Merci

- C'est rien, allez, va-t'en maintenant

Mais il ne me lâche pas et murmure, si bas que j'ai du mal à entendre

- Putain, j'ai trop envie de ton cul

J'ai à nouveau une bouffée de chaleur et d'excitation, je me rends compte que je bande. Djamel me dit :

- Je veux te niquer, là maintenant, tout de suite

J'ai la tête qui tourne. Il me dit

- T'es seul chez toi ? C'est loin ?

Comme dans un rêve je m'entends répondre

- Non, c'est tout près

- Alors viens, fais-moi monter, je te paierai si tu veux

Je rêve il me parle comme à une pute ! Je suis tellement excité que je me laisse faire, on arrive dans mon immeuble, pendant qu'on attend l'ascenseur il me pelote

- Putain t'as un super bocul salope, tu as voir, je vais te fourrer profond

Heureusement qu'il n'y a personne ! L'ascenseur arrive, j'appuie sur le bouton de l'étage, il me plaque contre la paroi et frotte sa grosse bite contre mon cul, je suis tellement excité, je me débats faiblement mais ça ne fait que l'exciter encore plus

- Oui, remue tes fesses, salope, tu vas voir je vais te niquer profond

Ce mot ''profond'' me fout des frissons partout. Arrivés sur mon palier, j'ouvre pendant qu'il me caresse les fesses. Dès qu'on est entrés il referme la porte et me colle au mur, et m'embrasse goulûment. Putain qu'il est chaud, putain que sa tige est dure...

Enfin il me lâche et dit

- Toute nue, tout de suite

Je suis choqué par la féminisation, mais je suis trop excité, je me désape il me pelote partout. Il enlève son t-shirt, putain il a de beaux muscles pour 16 ans

- T'es drôlement baraqué ! Tu fais du sport ?

- Oui, de la boxe, alors tu vois, t'as intérêt à être bien gentille

Encore le féminin. Ca m'agace – mais je me rends compte que ça m'excite aussi. Je caresse mon sexe, il me dit sèchement

- Laisse ton ptit clito, c'est ton cul que je veux

Ptit clito ? J'ai tout de même 18 cm bien épais, j'en suis assez fier.

Mais pas le temps de réagir, déjà il baisse son jogg, et là sans mentir j 'aperçois un membre de 22 , 23 cm facile et vraiment très large , je dirai 6 ou 7 cm de diamètre , avec des boules très grosses. Waaaoouu la bête ! Puis je frémis : il veut vraiment me foutre ce monstre dans le cul ? J'ai été baisé qu'une fois, ça m'a fait très mal, et je suis très serré – c'est pour ça que je préfère être actif.

- Alors, tu suces ?

Il appuie sur mes épaules, je tombe à genoux. Aussitôt le mandrin frotte sur mes lèvres

- Suce, le céfran, allez, sois gentille

Sucer, je sais faire, bien même, et ce monstre est très tentant. Je calcule que c'est un puceau, il est excité, il va juter vite si je le suce bien, et comme ça je ne vais pas avoir à lutter pour sauver mon cul. Je déploie toute ma science : petits coups de langue sur le gland, puis léchage des couilles, ensuite je lui gobe la boule gauche, puis la boule droite, puis j'avale le gland. Il pousse un soupir de plaisir

- Oui, comme ça, c'est bon, oui, salope, oui suce mon gros zob

Je m'applique mais je ne peux pas avaler son sexe en entier il est trop gros et trop long. Il s'impatiente, prends ma tête et me lime la gueule

- Ouais, ouais, c'est bon, ouais suce mon zob

Il me domine totalement et me pilonne la gueule, jamais je ne me suis senti un objet sexuel comme ça. Soudain il se raidit

- PUTAIN E VAIS JUTER... OUIII

Ma bouche se remplit, les jets de foutre se succèdent, mais il appuie toujours sur ma tête

- Avale salope, oui, AVALE

Il frissonne pendant qu'il se vide. Puis il me lâche

- Putain, trop top, t'es sacrément bonne toi

Il 'embrasse rapidement :

- Où sont les chiottes ?

Je lui montre, il va pisser. Moi je me lave les dents.

Djamel me sourit

- Je peux prendre une douche ?

- OK, vas-y

- Viens avec moi, t'es toute couverte de foutre

Là, je vois le piège. Il va me niquer dans la douche, ce con ! Je fais non de la tête, mais déjà il n'est plus aussi gentil

- Viens, je te dis, salope, tout de suite

Il me pousse dans la douche et commence à me savonner. Il me demande de faire pareil, je le fais. Le toucher m'excite, son corps est superbe, je rebande à mort. Et lui... waou j'avais oublié qu'à 19 ans on recharge vite ! Il est déjà super dur. Il me regarde dans les yeux d'un petit air très macho

- T'as aimé, hein, t'es toute chaude là hein ? Tu veux te faire enculer, hein ?

- Non, Djamel, je suis actif...

- Ouais, tourne-toi, montre ton cul

Il me caresse et soupire.

- Putain, quel bo p'tit cul

Il commence à me doigter brutalement

- Non ! Arrête !

Il me coince d'un air méchant

- Toi, arrête de faire ta pucelle, t'as envie de mon gros zob, et je vais te le mettre bien profond

Encore ce mot ''profond'' qui m'excite, je cède et je le laisse faire

- C'est bien, t'es une salope de céfran qui aimes les zobs d'arabes hein ? Une tepu, hein ?

Ses doigts me fouillent, je me cambre en effet comme une pute

- Les blanches comme toi ça se fait sauter par les arabes, tu sais ça ? Toutes des chiennes pour nos gros zobs. Allez, penche-toi, pétasse

Il m'oblige à me pencher, cassé en deux dans la douche, lui va derrière moi. Il met beaucoup de savon puis je sens son gland. Je pousse un petit gémissement, ça l'excite

- Ouais, pétasse, tu la veux hein, tu vas l'avoir profond, mais je vais doucement

en effet il pousse doucement, ma rondelle cède, je crie de douleur, j'essaie de le repousser

- AIIIE non, arrête ça fait mal, t'es trop gros

- Oui, il est gros on zob, t'inquiète, tu vas aimer, tu vas en redemander

Il me tient fermement, je n'arrive pas à le faire sortir, mais il ne bouge plus. Quand je finis par me calmer, il reprend très doucement. Son chibre s'enfonce cm par cm, je crie mais il me tient. Mes cris diminuent, la douleur devient moins forte, mais je souffle comme un boeuf.

- Ca va mieux ? Allez, t'as presque la moitié, là

Même pas la moitié ? J'avais l'impression d'avoir un poteau électrique dans le cul. Je le supplie

- Arrête, ste plaît, arrête, non, j'ai trop mal

Il se retire et fait quelques va et vient, je serre les dents en soufflant, il commence à me niquer comme un barbare en mettant vraiment des très gros coup de reins, et moi je hurle de douleur et de de plaisir, puis soudain il accélère, il me pistonne de plus en plus profond, il respire très fort puis

- AAAHH JE JUTE JE TE FECONDE PETASSE

Ca fait pas dix minutes et déjà je me fais remplir pour la 2e fois. Il est secoué de longs frissons, il prend manifestement un pied terrible.

Il me lâche, je m'écroule, il tombe sur moi. On reste comme a deux ou trois minutes sous la douche, puis je commence à étouffer

- Djamel, relève toi, je peux pas respirer

Il se relève et m'aide à sortir de la douche. Soudain il est très doux, très gentil. Il me caresse presque timidement

- Ca va ?

- Putain, j'ai mal partout, j'ai le cul en feu

Il sourit d'un air coquin.

- Elle est grosse hein ? T'as aimé ça

Je ne réponds rien. Son regard devient plus dur

- Alors ? T'as aimé ? Réponds

Je murmure ''Oui'' et il sourit à nouveau, soudain il m'embrasse tendrement. Il murmure

- T'es bonne tu sais, je veux que tu sois ma meuf.

Je me dis ''putain qu'est-ce que c'est que ce trip ?''

 

Il est parti, mais il est revenu dès le lendemain avec toutes ses affaires. Il s'est installé d'autorité chez moi. Dès le premier soir il m'a expliqué qu'il aimait les mecs, que dans sa famille et dans son milieu c'était pas possible, alors il cherchait une ''meuf céfran'', comme il disait. Il disait que tous ses cousins lui avaient dit que les céfran étaient des chiennes dociles quand elles avaient gouté à leurs zobs, et que lui aussi voulait une meuf docile.

- Toi t'es super beau et bien chaude, je vais bien te casser le cul et après tu pourras plus t'en passer

J'hallucinais mais bon il a fallu que j'obéisse. Il m'a sauté trois fois ce jour-là. La première fois c'était cinq minutes après être entré dans mon appart (il m'a carrément sauté dessus). Ensuite il m'a ordonné de lui faire à manger et m'a expliqué que je serais sa femme et qu'une femme doit obéir à son mari. Quel petit con ! Mais si sexy, j'étais toute excitée (merde je me mets au féminin, moi aussi) et j'ai obéi. Après il a dit

- Toute nue et au lit

Et il 'a baisé à fond pendant une bonne demi-heure. Je gémissais comme une pute et j'ai joui sans me toucher. Il l'a senti et s'est écrié

- Oui, mon gros zob te fais jouir, hein, tu l'aimes hein

Et il s'est mis à juter dans mon cul

- Je te féconde, je te marque, le céfran

Puis il m'a câliné et s'est endormi. Vers trois heures du matin, pas habitué à avoir quelqu'un dans mon lit, je me suis réveillé. Il dormait contre moi. Son corps superbe, sa petite gueule d'ange... Je me suis mis à le caresser. Il s'est réveillé et tout de suite m'a allongé sur le ventre et m'a grimpé. Sa bite très dure a trouvé on fion bien ouvert et bien lubrifié. Il m'a pénétré complètement à fond, j'ai senti les poils de son pubis contre mes fesses pour la première fois. Il avait réussi à me planter ! Il ne disait rien il m'a limé lentement et tendrement comme ça pendant près d'une heure, en mordillant mon oreille.

Je me suis tout à coup rendu compte que j'étais comme une fille que son petit ami contente la nuit. Ca m'a terriblement excité et soudain j'ai eu un orgasme du cul, j'ai couiné très fort, ça l'a fait rire et il a dit d'une vois très virile à mon oreille

- Tu jouis, hein, salope, tu sens mon gros zob

- Oui, oh oui, je le sens, c'est énooorme, ohh

Il continuait de rire et mes gémissements se faisaient de plus en plus aigus, il s'est activé d plus en plus vite et profond

- Ah, tu en veux, ah tu aimes la queue, tiens, prends ça – et ça – et ça...

A chaque ''ça'' il me donnait un coup de boutoir j'étais en extase, il s'est mis alors à accélérer puis, presque calme, il s'est vidé. J'ai senti au moins six jets en moi. Il a murmuré

- Tu sens ? Je t'engrosse, je te fais un bébé

Et là deuxième orgasme, je le croyais pas, je couinais si aigu que j'ai eu honte, d'autant qu'on a entendu des coups sourds. Les voisins !!! Merde !

 

Effectivement je suis devenu sa meuf, mes voisins immédiats me traitent avec un peu de mépris, car chaque nuit mes cris ne leur laissent aucun doute sur mon rôle dans notre couple !

nicojo

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 25 novembre 1 25 /11 /Nov 00:24

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Quand je suis entré au lycée, mes parents m’ont mis à l’internat.

 

Personnellement, je n’y voyais pas trop d’objections : une vaste chambrée unique,

 

Avec une trente jeune corps masculins à mater tous les jours, ça me va tous a fait.

 

Le garçon à coté de mon lit s’appelle David, il est aussi mignon que timide. Les premiers jours, on se parle à peine.

 

Mais je l’observe sous les douches communes, et discrètement, le matin, j’aperçois les gouttes d’eau qui perlent sur sa peau, ses muscles fins qui jouent avec mousse du savon, et quelquefois son sexe tendu encore par les rêves nocturnes…

 

Je m’enhardis un peu et semaines après semaines, j’arrive à vaincre son tempérament farouche et à gagner sa confiance.

 

Le soir, il vient se blottir contre moi, et nous discutons jusqu’à l’extinction des feux.

 

J’entre même dans ses confidences : nous sommes puceaux tous les deux. Il m’avoue un jour qu’il aimerait bien se faire sucer par une fille, mais qu’il n’oserait jamais lui demander cela.

 

Je sens le sang affluer à mes tempes. Le silence se prolonge.

 

J’hésite encore. J’ai les oreilles qui bourdonnent. Et je lui dis tout bas : ‘’Si tu veux, je peux te le faire.’’ David demeure immobile, puis très calme, se lève sans répondre er retourne à son lit.

 

Pendant les deux jours qui suivent, il m’évite manifestement, et moi, par peur du scandale, je n’ose pas lui adresser la parole. Face aux autres copains d’internat, j’essaie de dissimuler mon malaise tant bien que mal.

 

Le troisième soir, à la cantine, je rejoins la table ou David avec quelque pote, prend son diner. Je suis à sa gauche, ma jambe touche la sienne, doucement, puis de manière insistante. Brusquement, sans attendre ses potes et profitant du brouhaha général, il s’en va et me dit tout bas : ‘’Ce soir, minuit, dans les douches.’’

 

Je n’ose y croire. Je ne suis pas sur d’avoir bien entendu, et surtout bien compris. Je redoute les faux espoirs, et j’attends, impatient, l’heure fixée. Un peu avant minuit, n’y tenant plus, je feins d’aller vers les toilettes et je me dirige subrepticement vers les douches.

 

Les minutes s’égrènent, paresseuses, je tremble dans la nuit, de froid et de nervosité.

 

Furtivement, David s’approche de moi, et me regarde, sans un mot dire, droit dans les yeux toujours timides brillent ce soir d’un éclat presque méchant. Il avance la main, et la pose contre ma nuque. La pression qu’il exerce m’oblige à me pencher.

 

Je m’exécute. Je me mets à genoux, et je vois, devant mes lèvres assoiffées, sa bite en érection qu’il tient de sa main libre.

 

Elle est belle, longue, droite et son gland mouillé rougeoie dans le noir.

 

David enfonce brusquement son sexe dans ma bouche bée. Il semble résolu, et l’enfonce jusqu’au bout. Parfois, il la retire et en frappe mon visage. Quand je croise son regard, j’y voie comme une haine qui le rend encore plus beau. Et brusquement, il prend de sa main gauche mon menton, et gicle, sur mon visage, en répandant avec tendresse son jus brulant sur mon front, sur mes joues, sur mes lèvres.

 

Soudain, j’entends derrière moi un bruit suspect, Je me retourne effrayer, et toujours à genoux, je vois Stéphane, le chef de la chambrée, un mec assez vulgaire, mais de loin le plus baraqué et le mieux bâti de tout l’internat.

 

D’une voix sourde, il me lance :’’ Tu crois que je n’ai pas compris votre petit manège. T’es une vraie salope. Tu mérite une punition. Allez, à quatre pattes, ou je te dénonce à tous les mecs de l’internat.’’Aussi effrayé qu’excité, j’obéis à ses ordres. Je le sens derrière moi qui baisse son pyjama, et me crache à la raie un jet de salive.

 

Inquiet du traitement qu’il me réserve, je tourne la tête. J e vois alors un chibre lourd et épais qui se rapproche de mon fion.

 

Un petit gémissement, peur ou désir, monte de ma gorge. Et Stéphane, aussitôt :’’ David, tu m’aides.

 

Tu lui fourres ton pieu dans la gueule, et tu l’empêches de crier cette salope’’ Alors David, tout sourire, se rapproche et met sa bite une nouvelle fois dans ma bouche. En même temps, je sens le sexe de Stéphane qui s’enfonce en moi, délicatement en fait, et avec souplesse. Il s’arrête parfois, pour me laisser souffler, puis il reprend son dur labeur, avec maitrise et énergie à la fois. La douleur se transforme enfin plaisir, et Stéphane m’attrape le sexe qu’il branle au rythme des mouvements de son bassin.

 

Ainsi, je n’ai aucun mal à m’offrir largement. Il me ramone copieusement, me branle à la même vitesse, tandis que David me défonce les gencives. Cela dure un bon quart d’heure, les plus belles minutes de ma vie. Stéphane, manifestement, sait s’y prendre pour profiter du cul de ses camarades de chambrée.

 

Il ne cesse de me branler, et parfois, il me caresse le cou. J’aimerai le voir derrière mon dos.

 

Puis, je l’entends qui me dit doucement : ‘’Oui, c’est bon…’’Je sens le foutre qui me remplit le cul, et je décharge aussitôt une belle rasade. David, pour ne pas être en reste, gicle encore, mais cette fois dans ma bouche, avec une évidence satisfaction. Alors, se dégageant brusquement, Stéphane s’en va et lance d’un ton rogue :’’Ca ira comme punition pour cette fois, mais si je t’y reprends, tu verras ce qui t’attend….

 

Mes sa lui a tellement plus qu’il a recommencé tous les jours sous la douche.

 

NICO

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Dimanche 24 novembre 7 24 /11 /Nov 21:25

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Beaucoup d’entre nous connaisse réputation des Espagnols, il sont chaud surtout quand certain d’entre eux ne se sont pas vider depuis 6 semaine donc des qu’ils peuvent se vidanger il le font mais cette fois ci c’est moi qui les est vider.

 

Petite explication je travaille comme veilleur de nuit dans hôtel, ou des travailleurs espagnol sont venu dormir un groupe de 6 personnes, plus beau les un les autres il on entre 20 et 30 ans environ bien bâtit et surtout bien monter. Moi j’ai 24 ans 1m75 69kg brun les yeux marron et très passif voir un peu sallope sur les bords. Ce soir la je prend mon service de 22h00 et parlant un peu espagnol un des mecs vient me voir et me dit que sa tv ne marche plus, je vais donc voir et je rentre dans la chambre ou les six espagnols c’était réunis tous en short ou en survette moi je matte un peu, les voir comme ça ça m’excite bref je commence a regarder la tv et un des espagnols ferme la porte à clef me regarde et me dit à genoux voulant pas me faire casser la gueule je m’exécute et il commence a sortir sa queue et me dit en français « suce » je m’exécute j’ouvre ma bouche commence a sucer un des mec et les autre commence a se foutre à poil et la le festival des queue dans ma bouche, je ne m’en plaint ceci dit. Des bonne queue entre 18 et 22 cm rien que pour moi je kiff je fait vraiment ma sallope la, après m’être déshabiller je me retrouve sur le lit coucher sur le ventre la tête bloquer sur le lit pour pas voir ce qui se passe et un des espagnol me dit en espagnol « on va tous te passer dessus pas besoin de gueuler on sais que tu aime ça » et il commence a me mettre un doigt puis deux il me lime le cul avec ses gris doigt quel plaisir, il retire ses doigt et présente sont gland qu’il commence a enfoncer dans mon cul je kiff et la il commence ses va et vient et chacun y passe c’est trop bon, à un moment pendant qu’un des mec me baiser je le sens se contracter et dit « fecundo » voulant dire féconder, les salop il me baise sans capote il sort de mon cul et me montre sa queue plein de sperme et me la fait nettoyer et les cinq autre firt pareil il me baiser jusqu'à éjaculer dans mon cul, je nettoyer a chacun leur queue avec les sperme des uns et des autres et pendant ce temps la mon cul dégouliner de plusieurs li!

 

tre de sperme. Au moment de se rhabiller l’un d’entre eux me tendis un short a mettre pour éviter que le sperme ne coule sur mon jeans (et oui je ne porte plus de boxer depuis pas mal de temps) il me demanda de le lui rendre sans le nettoyer.

 

JEUNEETUDIANT

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 24 novembre 7 24 /11 /Nov 15:29

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Je suis une grosse salope en manque de sexe. En commençant mon récit de cette façon, vous allez penser que je suis une femme. Si je vous dis que non, vous imaginerez directement que je suis une pédale efféminée. Vous serez encore loin du compte. Je suis un vrai mâle de trente berges avec une bite bien longue et un cul bien profond. Pour 99 % de mon entourage, je suis un hétéro qui se tape des nanas différentes sans arrêt. Des nanas, je m’en suis tapé pas mal mais, aujourd’hui, j’ai tiré un trait sur la gent féminine.

 

Je suis donc une grosse salope en manque de sexe. Très mâle le plus souvent, je me transforme en femelle la nuit. Je vous ai dit que j’étais en manque de sexe. Jamais bien longtemps. Quand mon trou serré me démange et que l'envie de me faire baiser me tenaille, je trouve toujours un moyen d'assouvir mes désirs. Si je ne dis pas non à un bon gode, je n’en préfère pas moins une vraie bonne queue de chair et de sang.

 

D'aussi loin que je me souvienne et depuis que les choses du sexe m'intéressent, j'ai toujours été très porté sur la baise. Les films X, les photos, j’adore mais ça n’a jamais remplacé un vrai contact physique et bestial. Quand j'ai commencé à comprendre que j’étais plus gay que bi, j’ai fréquenté des bars où je matais puis je me laissais tripoter. Mon évolution a continué. J’ai découvert que si ma bite était réceptive aux caresses, mon trou l’était encore plus. Je me doigtais ou je me fourrais des objets dans le fion tous les jours. J’en découvrais tous les secrets de profondeur et de sensibilité. Aujourd'hui, grâce à un entraînement hors norme et une libido hors norme, elle aussi, j'ai donc un trou accueillant, près à recevoir de gros, de très gros calibres à la chaîne. Dans certains endroits, je suis même assez fier d’avoir pour surnom « le Trou ». Quand on a une réputation, il faut savoir l’entretenir pour bien en jouir. Chaque matin, je fais travailler mes muscles pour rendre mon petit trou musclé et souple. Mon but est de bien jouir et bien faire jouir mes partenaires. J’arrive aujourd’hui à mieux serrer les bonnes bites qui me remplissent. Je vous parle de « partenaires » et de « bites »… les deux au pluriel. Je suis en effet un adepte du sexe d’un soir… deux tout au plus. A 30 ans, je ne me sens pas prêt pour une vie pépère avec un seul mec… même s’il a la plus grosse bite du monde.

 

Un ami me disait :

 

- Tu n’es pas encore lassé de toutes ces aventures sans lendemain ? Tu n’as pas peur de finir seul…

 

- Je n’ai que 30 ans ! J'ai encore tant de choses à découvrir et tant d'expériences à vivre.

 

- Moi, je te parle de sentiments… Toi de cul…

 

- Putain de merde ! Je ne suis jamais seul… Enfin, rarement ! J'ai un carnet rempli d'adresses de gars qui ne demandent qu'à honorer mon petit trou de leur visite.

 

- Ne me dis pas que tu as toujours cet ignoble carnet où tu notes tes partenaires ?

 

Silence.

 

- Tu l’as toujours ?

 

- Quand je fais une rencontre jouissive, je note les coordonnées du mec et je n'hésite pas à donner mon avis sur ses… performances.

 

- Et pour le contacter si le besoin s'en fait sentir ! Foutaises ! Tu le dis sans arrêt : « Coup d’un soir et au revoir ».

 

Mon copain n’énervait prodigieusement mais, d’un autre côté, je lui reconnaissais une certaine lucidité. Dans mon petit carnet d’adresses, je griffonnais effectivement des annotations qui me permettaient de retenir la spécialité ou les qualités particulières de chacun de mes… partenaires de jeux.

 

- Tu n’as pas encore couché avec tout ce que tu estimais « couchable » ?

 

- Là où je sors, il m’en arrive constamment des nouveaux.

 

- Le flux et le reflux !

 

- Arrête de te foutre de moi !

 

- Excuse-moi… J’oubliais que tu préfères qu’on « foutre » en toi !

 

- Tu es amer. Moi, je ne crache pas dans ma soupe. J’aime le cul, je le revendique. Je ne suis jamais à cours de sensations fortes. Je suis ouvert à tout. Il y a même encore quelques filles dans ma liste.

 

- Tu essayes de me faire vomir ?

 

- Ce sont généralement des filles qui m'ont bien fait jouir avec leurs doigts, leurs bouches ou leurs godes. Bon, je l’avoue… Ce sont vraiment des « dernières cartouches ».

 

- Tu n’as jamais été bisexuel !

 

- Si tu le dis ! Il y a cependant des choses qui touchent à l’hétérosexualité qui m’excitent… Je rêve de coucher un jour avec un couple qui ferait de moi sa chose.

 

- Tu rêves qu’un mec te saute devant sa bonne femme et qu’il te trouve plus chaud qu’elle.

 

Une petite conversation avec mon copain me stimulait toujours. Le soir même, il me fallait découvrir une nouvelle sensation. J’ai cherché dans mon agenda. Je voulais de la nouveauté, de l'inédit, de la baise "hors norme". Ne trouvant rien, j’ai été faire un tour sur le Net. J’y fréquente quelques sites assez hard. J'y ai déjà fait de sacrées rencontres mais il m'est aussi arrivé de vivre des plans foireux et frustrants. Dans l’état où j’étais, je cherchais un gars prêt à me pousser dans mes retranchements, me soumettre – même en public -, me pisser dessus.

 

De chat en chat, j’ai finalement trouvé une ouverture possible. Il était 2 h 30 du matin mais mon trou palpitait d’envie. J'ai dialogué un moment avec un mec qui m’a proposé de me faire prendre par trois blacks bien montés.

 

- On peut faire ça où ? ai-je tapé sur l’écran.

 

- Pas n'importe où !

 

Ça, j’étais bien d’accord. Rendez-vous m’a été donné dans un quartier de banlieue. Je suis donc sorti de chez moi à 3 h 00 du matin dans une tenue suggestive. Je ne portais qu’une paire de jeans serrant et un minuscule T-shirt noir. J’étais prêt à me faire sauter rapidement. Je me suis dirigé vers le quartier en question en me demandant si, une fois de plus, je ne prenait pas trop de risques. J’ai fini par repérer le chantier de construction qui était le point de rencontre. L’endroit était désert à cette heure de la nuit. Il m’a pourtant semblé voir une lumière dans le cabanon qui servait de cantine aux ouvriers. J’ai à peine attendu cinq minutes et ils sont arrivés. Trois beaux blacks foutus comme des athlètes. Trois paquets moulés et prêts à exploser. En les voyant, j'avais encore plus envie de me faire tringler le cul et la bouche à la chaîne. Trois rien que pour moi !

 

- Je travaille sur ce chantier ! a dit un des trois.

 

- Ah !

 

- C’est un endroit calme pour baiser…

 

- Mais il y a déjà quelqu’un. J’ai vu de la lumière…

 

- C’est le gardien.

 

- Et… ?

 

- Soit il reste et mate, soit il reste et participe… ou alors il va faire un tour… Nous allons voir ça ensemble ! OK ?

 

Le plan avec le gardien m’angoissait un peu mais il était trop tard pour rebrousser chemin. Je crevais de me faire baiser.

 

Les trois gars m’ont précédé dans le cabanon et le premier a parlé avec le gardien. Je l’ai entendu dire qu’il préférait aller faire un tour, qu’il était crevé. Ce qu’il a fait en me regardant à peine. Les trois blacks me regardaient. J’ai brisé la glace.

 

- Allez, les mâles, baisez-moi maintenant, tous les trois ! J'ai le feu au cul et il faudra bien trois grosses bites pour l'éteindre.

 

J’ai sorti une boîte de préservatifs et je l’ai jetée sur la table. La glace était à peine brisée que j’étais déjà à poil et occupé par mes trois lascars.

 

- Bourrez-moi à fond… J’ai deux trous, il faut les occuper… Mon chantier est ouvert…

 

Ils ne se firent pas prier, les gaillards. Mon trou de derrière fut le premier à se faire remplir.

 

- Allez, toi, approche que je suce ton gros sucre anisé.

 

Je venais de m’adresser au plus jeune et sans doute le plus timide des trois… mais pas le moins excité. Il avança et m'enfila sans douceur la tête de sa bite noire entre les lèvres. J'avais la troisième bite dans ma main et je l’agitais pour en maintenir la rigidité. Je voulais que leurs trois bites restent dures assez longtemps pour qu'ils puissent se relayer au moins deux heures dans mon trou.

 

- C’est ça que tu veux ? me murmura mon enculeur à l’oreille. De la bite de black, de la grosse bite de noir ?

 

- Oh oui !

 

- On va combler ton petit trou du cul. Et dans toutes les positions !

 

- Vous gênez pas !

 

- Allez, sur le canapé. Fous-toi à quatre pattes !

 

Je me mis à quatre pattes, la bouche ouverte pour accueillir une bite et la sucer. Le black le plus vigoureux vint coller sa bite contre mes fesses. Il me les écarta, cracha un peu de sa salive dans ma raie et me lubrifia l’entrée. Je suis très serré et le lubrifiant m’est le plus souvent indispensable. Là, grâce à une sniffée de poppers et une bonne dose d’excitation, je devais faire confiance à ma chatte pour qu’elle se montre accueillante et docile. La bite était très grosse mais, à vrai dire, mon cul en avait vu d'autres. Mon enculeur joua un peu avec son gland à l’entrée de mon trou qui n’en pouvait plus. Il donnait d’agréables coups de bite contre mon anus à moitié fermé et soudain je sentis passer son gros nœud quand il me troua la rondelle. S’il avait été doux et patient jusque là, très vite, il commença à me limer sur un rythme rapide et bestial. Les deux autres s’étaient foutus à poil et mataient.

 

- Tu aimes ?

 

- J’adore mais j’adorerais encore plus me sentir rempli des deux côtés. Il y a deux bites qui ne servent à rien, ne gaspillons pas…

 

Un des deux autres blacks grimpa sur la table et présenta sa bite devant mon visage. L’un me pistonnait le cul et l’autre les lèvres. Avec la pointe de ma langue agile, j’adorais titiller cette longue bite depuis le gland jusqu’à la base. J'étais maintenant prêt à recevoir le troisième black pour une double pénétration anale.

 

Celui-ci, le plus jeune, se branlait pour maintenir son érection en attendant de venir m'enculer. Il n’allait pas être déçu.

 

 

Nous avons changé de position et je me suis retrouver dans le canapé-lit. J'écartais largement les cuisses, assis sur la queue qui me bourrait le cul. Ma bouche pompait toujours la même bite. Entre les cuisses de son pote, le jeune black vint placer son gland luisant devant mon trou – juste contre la queue qui l’occupait déjà – et d'une poussée brutale, il entra à son tour. Mon petit cri ne l’arrêta pas. Il y trouva peut-être même une raison de continuer et de me défoncer. Ce n’était pas ma première double pénétration mais ça l’était avec des queues aussi grosses. Le jeune était pugnace mais il peina à trouver sa place dans mon fion car la pine de son copain y occupait déjà pas mal de place. Il agitait les reins comme pour perforer un trou plus large. L’autre recommença à bouger en moi et le nouveau venu profita d'un mouvement de recul de l'engin qui m'enculait pour gagner les quelques centimètres. J’étais au paradis ! Mes deux enculeurs essayèrent de se mettre au diapason et, bien vite, ils trouvèrent leur rythme de croisière.

 

Cette nuit-là, je fus comblé comme je l’avais rarement été. Les trois baiseurs étaient infatigables et ils se relayèrent plus de trois heures dans mes orifices.

 

J’étais très content d'avoir prévu une bonne réserve de capotes XXL. Si j’ai joui, eux aussi n’ont pas été en reste… J’ai terminé ma nuit englué de jus de blacks ! Un must pour les amateurs…

 

J’étais vraiment en chantier

 

NICO76500

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 24 novembre 7 24 /11 /Nov 10:47

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Voici une histoire vraie, qui s’est passée il y a quelques années, mon premier plan domination.

 

J’avais 20 ans (24 aujourd’hui), style minet (1m80, 65kg) et toujours été aussi bien actif que passif suivant l’humeur du jour et le partenaire. Mais je commençais à me lasser des plans culs basiques : calins, suce, sodo sans trop savoir ce que je voulais faire à la place. En trainant sur le net, suis tombé sur des vidéos de sexe plus hard, du style domi-soumis, et à mon grand étonnement ça m’a fait triquer direct. Mais entre le fantasme devant son écran et le réel il y a une marge que je ne me sentais pas prêt à franchir. A force de mater sur ces sites, je me lassais complètement des autres plans et l’absence de sexe commençait à me frustrer sérieusement. Je ne croyais pas trop qu’on puisse trouver des mecs si dominateur dans la vraie vie mais je me suis tout de même inscrit sur un site de rencontre avec un profil de passif qui cherche un pur actif pour un plan soumission.

 

A ma grande surprise, j’ai rapidement eu des propositions, mais surtout des mecs beaucoup plus âgés et pas terrible physiquement… Certains mecs plus jeunes voulaient me voir, se prétendant de vrais machos. Malgré les fakes, j’en ai rencontré quelques uns mais le scénario a toujours été le même. Ils étaient actifs, très bons actifs parfois, mais pas du tout domi et c’était finalement toujours les mêmes plans. Ce qu’ils voulaient, c’étaient ma bouche et mon cul sans rien de plus. C’est déjà bien peut-être de ne pas avoir de mal à trouver un beaugosse pour se faire sauter, mais je voulais autre chose.

 

Au bout de plusieurs semaines je n’y croyais plus trop, entre plans ratés et fantasmeurs j’étais plutôt désabusé. Un matin, en consultant mes messages, j’en trouve un d’un mec de 32 ans, juste un « salut » auquel je répondis quand même alors que son profil était vide, je n’avais aucune idée de ce à quoi il ressemblait. Le soir, on s’est retrouvé connecté en même temps et on a commencé à discuter un peu. Pas très bavard le mec, plus laconique dans ses réponses tu meurs. Il venait d’arriver sur Nantes (j’y étais pour mes études) et cherchais des mecs à baiser, lui étant uniquement actif. Finalement, il finit par balancer une photo et là grosse surprise, un rebeu, une bonne gueule, un corps légèrement musclé avec des pecs biens dessinés. Je me dis que s’il cherche, comme beaucoup d’autre, un simple plan baise je ne ferais pas le difficile, un bg pareil je le laisse pas passer… Rapidement ensuite il me dit qu’il n’est pas fan des dials à rallonge et qu’il cherche du réel. Il est déjà tard, il doit couper pour se coucher. Il me laisse son numéro de portable et joue cash avec moi « J’ai bien vu ton profil, si t’es une bonne salope fais moi signe et je m’occuperai de toi. Par contre j’aime pas qu’on me tienne tête alors si tu te décide, tu viens mais faudra encaisser. ». Putain. Exactement ce que j’attendais. Je lui réponds ok mais il a déjà coupé.

 

Le lendemain je retourne voir son message, sa photo. Bien que je sois très excité j’ai quand même la pression. Je n’ai jamais fait ce genre de plan et si suis pas capable d’encaisser ça risque de ne pas le faire. C’est toujours comme ça, avant de réaliser un fantasme, le même sentiment qu’avant de passer un exam, la boule au ventre : est-ce que je vais assurer ? Et puis merde, si je ne le fais pas je vais le regretter. Je prends son numéro et j’envoie un texto avec mon pseudo du site pour qu’il me resitue. Pas de réponse de la journée. Je me dis encore un mytho qui préfère ne pas passer au réel. Mais en début de soirée, vers 19h, une réponse, enfin : « j’ai les couilles pleines, dispo ce soir ? ».

Je réponds tout de suite oui.

Lui : « bien, si tu viens t’es prêt à obéir ? »

Moi : « oui boss »

Lui : « t’as raison, appelle moi comme ça sale chienne, tu te pointes à cette adresse mais sois discret, la porte sera ouverte, tu entres et je t’attends à l’intérieur »

Moi : « ok. à quelle heure ? par contre suis pas branché trucs crades… »

Lui : « 21h »

Moi : « ok »

 

M’y voilà. Je sens l’excitation qui monte, parce que pour moi un domi c’est un mec qui en a l’attitude physique, le comportement et qui parle comme tel. Après, ça reste encore du virtuel, faut voir ce que ça donne en live. Il n’a pas vraiment répondu à mon dernier message mais s’il est branché scato je me casse, c’est pas compliqué. Je vérifie l’adresse sur gmaps, il n’est pas trop loin de chez moi, mais dans un quartier où je ne suis jamais allé, et pas avec la meilleure réputation. Je me prépare, douche, lavement, et fringues de base, jean, t-shirt. Et en route…

 

Arrivé au pied de son immeuble, je lui envoie un texto pour le prévenir. Me suis pas trompé sur le quartier, ça ressemble bien à une cité, j’aimerais pas attendre trop longtemps dehors.

Sa réponse : « 4e étage, 2e sur la gauche »

J’entre, monte dans l’ascenseur, et sans mentir je flippe un peu, un peu plus que les autres fois sans trop savoir pourquoi. Sa porte est fermée, mais je pousse la poignée, j’entre et la referme. Après le claquement il me dit « ferme à clé ». Une bonne voix de basse, il a tout pour me plaire ce mec. Suis dans l’entrée, il fait sombre, les rideaux sont tirés, c’est un studio, alors je me dirige vers la seule pièce. Il est assis sur un canapé, devant la télé, mais je ne vois pas ce qu’il regarde.

Moi : « Salut »

Lui : « Qui t’as demandé de l’ouvrir ? tu fermes ta gueule. Fous toi à poil et viens me sucer »

Je m’exécute mais ça ne lui plait pas

Lui : « Qu’est ce que tu fous sale bâtard ? tu te mets à quatre pattes et tu viens me sucer »

Je ne sais pas pourquoi mais je m’exécute direct, je me sens un peu humilié de marcher comme ça complètement à poil alors que lui reste habillé. Je m’approche vers son entrejambe. Il porte un pantalon de survêt et un t-shirt légèrement moulant. C’est tout ce que j’ai pu voir. Arrivé à sa portée il m’attrape par les cheveux et me pousse la tête vers son paquet. Je sens bien une barre raide, à sentir comme ça, il a l’air plutôt bien monté.

 

Lui : « Alors comme ça on veut jouer au soumis ? envie de faire la chienne ? »

Je ne peux même pas répondre, ma bouche est collée contre sa cuisse. Je me détache pour lui répondre un « oui » et voir sa tête de plus près. J’ai à peine ouvert la bouche que sans prévenir, il me colle une baffe, et pas la petite gifle, vraiment un gros coup qui me fait basculer par terre.

Lui : « je vois que t’as bien compris. Tu fermes ta gueule, tu parles que quand je te le demande et devant moi tu baisses la tête, pigé »

 

Je m’y attendais pas, je reste un peu étourdi par terre quelques secondes. Mais rapidement il me reprend la tête par les cheveux. Il a sorti sa bite, une queue pas énorme mais bien monté, un bon 17/18cm à première vue, et surtout épaisse. Il me pince le nez, j’ouvre grand ma bouche pour respirer et il en profite pour me mettre sa tige. Pas besoin de me faire prier, j’adore sucer. Mais là je n’ai pas vraiment l’initiative, il me tient la tête et fais des va et vient à grands coups de bassin. Sa queue est bien dure, je dois lui plaire. Plus le temps passe, plus il rentre sa queue profondément, je sens son gland qui arrive au fond de ma gorge. Il ne sort même plus sa queue, il se sert de ma bouche comme d’une chatte. Il me démolit la mâchoire. Au bout d’une quinzaine de minutes, il se retire brutalement et me crache son jus au visage. Il y en pas mal, il avait vraiment les couilles pleines. Je sens que ça me dégouline sur le visage. Depuis le moment où il m’a fourré sa queue, il n’a pas dit un mot. Maintenant qu’il a joui je sais d’expérience que c’est bientôt la fin, les mecs que j’ai vu avant préféraient que je jouisse aussi si ce n’est pas fait et que je me casse ensuite. Je reste à quatre pattes, la tête baissée, et je commence à me branler.

 

Lui : « te touche pas bâtard »

J’arrête, mais je relève la tête. L’incompréhension doit se lire sur mon visage parce qu’il me prend la tête par le menton, fermement.

Lui : « écoute moi bien maintenant, t’as une bonne bouche et t’as l’air bien obéissant. Si tu restes tu fais ce que je te demande, tu te branles pas, tu jouis pas et tu fermes ta gueule. Sinon tu te casses maintenant »

Jamais on ne m’avait parlé sur ce ton, une voix autoritaire, pas de réplique possible. Je me sentais vraiment humilié, à quatre pattes devant lui, son sperme coulant sur moi, et sans trop comprendre ce que je faisais, j’ai baissé la tête et j’ai juste répondu « ok ». Je crois que c’est à ce moment que j’ai franchi une étape, je ne pensais plus à mon plaisir, je ne pensais plus à jouir, mais juste à être obéissant pour le satisfaire lui.

 

Lui : « ça m’aurait étonné, maintenant à voir ce que tu vaux, envie d’autre chose qu’une bouche à pipe ».

Il se relève, enlève son t-shirt que je vois tomber par terre mais garde son pantalon. Il me demande de le suivre, toujours à quatre pattes. Je m’exécute. Il ouvre la porte des chiottes, putain, ça sent vraiment la pisse. Il me laisse là et j’attends. Je ne sais pas trop quoi penser. Je pensais qu’il allait vouloir me prendre mais ça n’en prend pas trop le chemin. J’entends le bruit d’un robinet, il rempli quelque chose. Je me demande si…non, il ne va pas me demander de faire ça je lui ai dit que je n’aimais pas. Il revient avec un seau et une éponge.

Lui : « Je crois que t’as compris ce qu’il te reste à faire »

Moi : « Mais je t’ai dit que ça me branchait pas pisse et scato »

Lui : « T’es une chienne non ? alors tu fais ce que je te dit, tu mérites pas mieux que de trainer dans ma pisse »

Il s’abaisse au niveau de ma tête et me la plaque contre le sol. L’odeur est forte, c’est insupportable, j’ai vraiment envie de vomir.

Lui : « Tu devrais t’estimer heureux, ça fait une heure que t’es arrivé et t’as déjà eu mon jus et ma pisse »

Il se relève, recule un peu pour me laisser seul vautré dans ses chiottes.

Lui : « T’as dix minutes pour que ça soit nickel » et après un raclement de gorge profond je reçu un gros mollard sur la joue.

Je ne peux plus me casser maintenant, je sens la pisse et j’ai du sperme séché sur la moitié du visage. Je ne pense pas qu’il apprécie si je lui demande d’utiliser sa salle de bain avant de me casser… Et puis, malgré tout le dégoût que j’éprouve, j’ai envie de voir ce qui va se passer ensuite. Alors je m’exécute. Il a dû pisser juste avant que j’arrive, l’urine n’a pas eu le temps de sécher. Pendant que je lave le sol et les murs, je l’entends qui parle au téléphone, mais en arabe, je n’y comprends rien.

 

J’ai terminé, ça ne m’a pas pris trop longtemps et, finalement, me suis habitué à l’odeur. Il m’a demandé de ne pas parler alors j’attends qu’il revienne inspecter. L’attente n’est pas longue, je l’entends se lever et venir me rejoindre. Quand il arrive je me trouve dos à la porte, à quatre pattes bien sûr, les fesses bien cambrées.

Lui : « Tu vois que tu sais faire, mais ça demande encore à se confirmer »

Là, je ne comprends pas tout de suite, mais je ne bouge pas, attendant qu’il me demande de sortir et de le suivre. Encore une erreur de ma part. Je sens quelque chose de chaud sur mon dos. Non. Putain, c’est pas possible. Il est en train de me pisser dessus. Moi qui croyais avoir déjà été bien humilié, ce n’était pas encore fini… Là encore, il avait préparé le terrain, à la bière ou autre il s’était bien rempli pour me pisser dessus. Je baignais vraiment dans la pisse, le dos trempé, l’urine qui me dégoulinait sur le torse et le long de ma raie. Une fois terminé de se soulager, j’ai dû me retourner pour lui nettoyer la queue. Et recommencer à nettoyer.

Lui : « Tu me nettoie ça et ensuite vas te laver dans la salle d’eau » et il repart.

Cette fois-ci, je m’exécute sans hésitation. En cinq minutes c’est terminé, et je pars à quatre pattes ans la salle de bain, juste à côté, pour me passer sous l’eau. Je me surprends à regretter de me doucher, je commençais à aimer son odeur, une vraie odeur de mâle, forte, sans trop comprendre pourquoi je kiffais.

 

Après la douche, je me sèche, retrouve ma position à quatre pattes et rejoins mon boss. Il matte un porno, de circonstance. C’est un rebeu hyper bien teubé qui se fait sucer par un petit minet blanc…Il m’a attendu arriver.

Lui : « Viens me sucer »

Je me dirige directement vers sa queue, déjà sortie et qui rebande déjà. Autant dire que je ne me fais pas prier. Cette fois-ci, il me laisse m’en occuper tout seul, ses deux mains derrière sa tête. Alors qu’il avait été silencieux la première fois, là il s’est mis à me parler comme s’il voulait bien me faire comprendre où était ma place.

Lui : « Toi t’es une bonne chienne. Jamais je donne ma pisse la première fois, d’habitude le mec me suce, je crache et il se casse. A chaque fois c’est lui qui redemande à venir. Mais ça me plait d’avoir un jeunot novice à éduquer »

Comme je l’écoutais, j’ai dû, sans m’en rendre compte, moins bien le sucer. Une baffe et un mollard m’ont rappelé à l’ordre.

Lui : « Applique toi sinon jte cogne sale bâtard. Si ça que tu cherches t’inquiètes tu seras pas déçu. T’es comme une meuf toi, une vraie femelle, à voir si t’as une chatte à la place de ton trou de balle »

Et il dirigea sa main vers mon cul, m’enfonça entièrement sa queue dans la bouche et me mit direct un doigt.

Lui : « Putain, elle mouille la salope. Vas t’allonger sur mon pieu, sur le ventre. Tu m’as fait giclé tout à l’heure, je vais mettre un moment avant que ça remonte. T’as intérêt à encaisser ». Il me repoussa, et je suis parti vers le lit, à plat ventre comme il me l’avait demandé.

J’étais prêt, mais son téléphone sonna encore. Cette fois-ci il parlait en français.

Lui : « Non t’inquiètes tu me dérange pas. J’allais juste m’enfiler une pédale…Yep, une vraie chienne, elle est arrivée ce soir et elle réclame déjà ma queue (rires)…ouais elle a intérêt à encaisser, tu sais comment je suis…ok ça marche, à plus frangin ».

 

Si j’ai bien compris, j’allais déguster. Mais pour l’instant rien, je ne l’entends même plus. Et puis le bruit de la capote qu’on enfile, du tube de gel…Il me prit par les hanches et me releva pour que je sois à quatre pattes. J’ai à peine eu le temps de me relever que j’ai senti sa queue me pénétrer, pas en douceur, loin de là, il me l’a enfoncé comme si j’avais été travaillé avant. Enfoncé presque entièrement. J’ai crié. C’est la première fois qu’on me prenait directement, si violemment. J’ai voulu me dégager, pour qu’il y aille plus doucement, mais peine perdue, il me tenait par la hanches et étant plus musclé que je ne l’avait cru je ne pouvais pas grand-chose. Au deuxième coup de rein, je me suis affalé, à plat ventre. Il n’avait plus de raison de tenir, je ne pouvais plus être que ce qu’il voulait. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de crier, trop fort surement parce qu’il me mit une main sur la bouche pour me faire taire.

 

Lui : « Alors sale chienne, tu la sens bien là hein ? t’es un vrai bâtard, c’est quand t’as une bite de rebeu dans le fion que t’es à ta vraie place, ou quand ta sale gueule baigne dans ma pisse. Tu comprends, tu sens là qui est le boss ? vu comment suis rentré dans ta chatte, t’as dû en voir passer des queues, hein tepu ? »

Il avait enlevé sa main de ma bouche, il voulait donc que je lui réponde. Ce fut plutôt un gémissement. J’étais trop excité par ce mec, je voulais vraiment me faire défoncer.

Moi : « Yep, mais des plus grosses… ». Je sais que les mecs sont sensibles sur ce sujet, et encore plus les arabes.

Lui : « Ah, ouais ? tu veux jouer au malin ? dans ta position t’aurais mieux fait de la boucler ». Et lui de redoubler ces coups de butoirs, sa queue était complètement rentrée, je sentait ses grosses couilles pendantes taper contre moi. Il m’a enfoncé la tête dans l’oreiller et j’ai commencé à sentir des coups sur mon cul, une vraie fessée sans tendresse, des vrais coups. Et ça me plaisait…Ensuite, il me releva la tête par les cheveux et me mit plusieurs baffes. Je commençais à fatiguer, j’en pouvais plus, mais c’est ce qu’il cherchait, que je devienne totalement soumis. Je voyais le réveil près de son lit, déjà 30 minutes qu’il me pinait sans pause et toujours dans la même position, celle où il pouvait entrer le plus profond en moi. Il m’avait pas menti, il était très endurant…

 

Ensuite, il m’a redressé pour que je me retrouve de nouveau à quatre pattes. Il me remit la main sur la bouche mais, cette fois-ci, elle était aussi sur mes narines et m’empêchait de respirer. Je ne pensais pas que ça allait durer plus que quelques secondes mais il l’a laissait. Je me sentais étouffer, je gesticulais pour me dégager et mon cul remuait autour de sa queue. Il kiffait le salop, il gémissait, poussait des râles sourds, bien graves. Quand il me relâcha, j’eus l’impression de revivre, mais à peine après avoir rempli mes poumons il recommença.

Lui : « Suis ptêtre pas monté comme un âne mais ça a l’air de te suffire. T’es pas un mec toi, t’es juste un bâtard, une chienne à rebeu, jte défonce comme une meuf et en plus tu kif ça, tu bandes toujours. »

Malgré toute l’excitation que j’avais ressentie depuis que j’étais entré dans son appart voilà deux heures, je n’avais pas joui. Ses insultes, sa queue qui me labourait littéralement la chatte, ma respiration contrôlée, tout ça me faisait bander et finalement, sans me toucher, j’ai craché mon jus sur les draps. Il s’en est rendu compte tout de suite.

 

Quand il a senti mon anus se contracter. Il me dit à l’oreille « ya que les clébards comme toi qui jouisse comme ça, met toi dans le crâne que t’es juste une chienne et chanceuse parce que j’ai bien voulu te baiser ».

D’habitude, je jouis toujours le dernier, je n’aime plus trop me faire prendre ensuite. Mais là j’étais tellement crevé que je n’ai même pas cherché à résister. Il m’a sauté pendant encore quelques minutes, mais ma chatte étant devenu plus serrée elle lui a aussi fait monté le jus. Il est sorti de moi, et j’ai tout de suite senti comme un manque, a retiré sa capote et n’a eu que le temps de giclé sur le bas de mon dos.

 

Il m’a emmené dans sa salle de bain et on a pris notre douche ensemble. Enfin, moi à ses pieds, je devais le nettoyer, le frotter, le caresser. Sa queue était devenue molle. Il me dit de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche. J’ai pensé qu’il avait encore envie de se faire sucer. Sa bite rentrée il me plaqua contre lui. Je ne comprenais pas, impossible pour moi de le sucer dans cette position. Mais c’est pas ça qu’il voulait. Il voulait juste se servir de moi comme de ses chiottes. J’ai senti sa pisse chaude remplir ma bouche. Mais je ne voulais pas avaler. Il réussit, je ne sais pas trop comment, à me faire boire. Je crois que j’en avais aussi envie. Il n’y en avait pas beaucoup, moins que lorsqu’il m’avait pissé dessus. Il me regarda dans les yeux et me dit : « c’est bien, t’es un bon bâtard ». Sans réfléchir, je baissais la tête, et embrassait ses pieds.

Lui : « Rarement vu un mec si salope dès le premier rencart. Maintenant tu prends tes affaires et tu te casses. Si j’ai envie de te baiser je te fais signe ». Et suis parti.

 

KIFFDOMIS

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Jeudi 21 novembre 4 21 /11 /Nov 22:56

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Cela faisait déjà un ptit moment que je traînais dans ce bordel parisien, il était tard et nous n'étions pas très nombreux et même de moins en moins. Tout près à sortir je croise un jeune mec look dépravé destroy 25/30 ans maxi, nos regards se croisent et bien sûr je décide de rester, histoire de voir si son regard persistera et si nous pourrons nous "poser" en cabine!

Au bout de qq. Minutes j'eux les réponses à ces questions, puisqu'il décida, après 2 passages devant la cabine où j'avais décidé de me caler, d'y entrer.

Après de bonnes langues baveuses et mollardeuses, je compris que j'avais à faire à un mecton chaud comme la braise...

Il avala de bons petits mollards que je lui destinai, puis nos langues sortir pour inspecter nos trous de nez respectifs et entamer un récurage en bonne règle, dans les miennes il trouva son bonheur quant à moi nettement moins dans les siennes mais bon…

Très vite il se retrouva à genoux à sniffer le paquet que je lui présentai vicieusement, mon bas de survêtement était quelque peu taché et se petit bâtard appréciât de plus en plus d’être passé par ce bordel si tardivement. Rapidement mon survêtement tomba aux chevilles pour lui faire découvrir mon boxer ou plutôt son état extérieur !! Bonnes taches de jaunes et belles traces de pneus derrière qu’il découvrira plus tard. Il passa un bon moment à humer comme un bon clébard sait le faire le paquet cartonné et je me retournis pour lui faire découvrir le côté obscur !

Bien évidemment et sans aucun échange verbal, nous savions que nous allions très bien nous entendre, il se mit aussitôt à me renifler les traces de cul sur le boxer et les lecha aussi rapidement que celle de devant. C’est à ce moment là que je décida de lacher une petite caisse anodine mais bien odorante qu’il appréciat aussi tout autant le salaud.

Lui faisant face de nouveau, il me descendis le boxer aux genoux et se mit la tête de batard à dedans pour inspecter cette fois ci l’intérieur du calbut. Il se colla aussi vite sur mon zob qui durcissait lentement et le filet de mouille qui sortait du prépuce fut rapidement englouti dans le bec chaud de mon petit bâtard. Là dessus bien sûr quelques jets de pisse s’imposaient, mes premières paroles étaient pour lui demander s’il avait soif, son signe de tête me confirma le côté vicieux et dépravé de ce jeune mec. Il bu les giclées de pisse que je lui lâchait en fond de gosier, il s’étouffa même un peu car ma pisse était forte et concentrée sans doute, je décida donc de lui en garder un peu pour lui rincer la bouche un peu plus tard.

Suivi une bonne séance de pompage du zob qu’il décrassa entièrement de la mouille et des gouttes pisseuses. Tout en me pompant mon jeune bâtard pris l’excellente initiative d’aller inspecter aux doigts la raie de mon cul. Mes poils collés de quelques boulettes le mit en joie il se passa le bout de ses doigts sous le pif pour sniffer profondément l’odeur crade qu’il avait ramenée. Il continua à me pomper mais je sentais bien à son attitude qu’il ne désirait plus qu’une chose aller coller son pif sur le trou de mon cul gras.

C’est pile ce moment là que le vendeur du bordel ralluma les lumières et signala aux derniers visiteurs du soir la fermeture dans les 5 minutes du lieu !! Déconcerté et déçu, nous nous décidions à nous rhabiller tout en nous roulant de mégas pelles mouillées de salive.

En sortant du bordel nous échangeâmes réellement notre premier dialogue, il s’appelait ludo et habitait pas trop loin dans le 17ème. Je lui précisai que nous étions pratiquement voisin et nous commencions à prendre le chemin de nos adresses respectives. En arrivant non loin de chez lui nous étions devant un chantier, un terrain vague une friche, et il me dit qu’il connaissait un passage non loin de là que nous pourrions emprunter histoire de terminer ce que ne nous avions entamer ½ h auparavant ? Aussitôt dit aussitôt fait nous étions sur ce vaste terrain de la porte de Clichy qui aurait dû accueillir le village olympique des JO de 2012. Un petit coin tranquille à l’écart des regards indiscrets qui auraient pu nous surprendre des les immeubles avoisinants. Mon bâtard connaissant l’endroit j’avais toute confiance en cet endroit et ce moment que nous allions passé, après avoir pris quelques sniffées de jungle, il se mit à genoux illico pour me faire tomber à nouveau le fut et le boxer aux chevilles, il me pompa à nouveau quelques instants et lui lâcha 2 ou 3 bonnes rasades de pisse chaude encore à travers le gosier.

Ce qu’il n’avait eu le temps de faire au bordel de la Place Clichy (les initiés reconnaîtront) il se fit une priorité donc de se coller les naseaux sur le trou de mon cul, il renifla en bon clébard l’ensemble des poils collés ou non de ma rondelle et commença à y porter quelques petits coups de langues. Après deux sniffées de poppers il se mit à préparer un décollage en règle de certaines belles boulettes collées ici depuis quelques jours des suites de torchage non ou mal effectués !! (les amateurs apprécieront le must). Une fois les plaques bien ramollies des coups de langues et de dents il pu prendre en bouche certains morceaux en se délectant de leur goût en bouche.

Tout en continuant les sniffées du flacon de jungle, il se mit à récurer entièrement la raie de mon cul pas torchée et me précisa rapidement que si je voulais pousser je pouvais y aller franco. Mais je ne savais pas quel était exactement l’état et le contenu de mon cul, je lui demandait d’abord de me souffler dans les entrailles pour que je puisse lui lâcher bonnes caisses au pif ensuite, ce petit jeu l’amusa beaucoup et je constata que j’avais à faire là aussi un excellent connaisseur de ces soufflées. Lui ayant péter à la tronche une bonne dizaine de fois un petit bout de merde se présentât non loin du trou, ludo y colla son pif et tout de suite sa langue et sa gueule ouverte réclamait l’offrande. Il reprit les sniffées suffisantes de poppers pour se coller entièrement à mon cul la gueule grande ouverte. Le premier bout sortit et tomba aussitôt dans le bec du chiottard affamé. Celui ci se mit à le mâcher, le malaxer et se bout étant modeste il l’avala rapidement. Il était comme fou, et devenait encore plus bâtard et raclure qu’il n’avait jamais été les instants auparavant. Il en voulait encore et je pu enfin le contenter pleinement, un boudin nettement plus imposant épais dur et compact se présenta ensuite il colla sa gueule de chiotte dessus et je me mis à pousser plus fort pour lui faire prendre en bec l’étron entier. Quelques secondes après mon petit chiotte du moment avait un boudin épais de plus de 12cm de long et 5cm au moins de diamètre en bouche, une grande partie dépassait de sa gueule de raclure en lui passant le jungle sous les narines, je lui ordonna de malaxer le bout qu’il avait en fond de gosier. IL bouffa croqua et en fit tomber une moitié par terre mais avec ce qu’il avait dans le bec il était aux anges le chiottard ! Il malaxa reprit du poppers et finit par tout bouffé la merde. Je pris un bout tombé à terre pour lui en étaler un peu sur le torse histoire qu’il rentre avec de bonnes traces et de bonnes odeurs sous le sweat !!! Je finis par lui rincer le gosier avec les dernières rasades de pisse qu’il bu goulûment.

Nous devrions nous revoir prochainement, à suivre donc !!!

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Jeudi 21 novembre 4 21 /11 /Nov 19:02

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Je vais vous raconter une histoire réel qui m'est arrivé il y a quelque mois. Je m'appelle Florian et j'ai 18 ans. A cette époque je vivais encore chez mes parents puisque c'était les premiers mois de mes études et je n'avais pas trouvé de logement correct à des prix correct. Cela ne me dérangé pas puisque mes parents habité une belle maison dans un quartier assez chic de Marseille. Mes parents étant commerçant je les ai toujours vu travailler et ils ont jamais prit des vacances pendant plus d'une semaine. Pour leur anniversaire de mariage ils avait donc décidés de partir en république dominicaine et j'avais donc la maison pour moi tout seul et a moi la semaine de sexe. Malheureusement dés le second jour mon humeur à vite changé puisque je me suis fait cambriolé.

A mon arrivée sur place c'était la catastrophe tout était saccagé. Mais mon coté gay reprit vite le coté en voyant le belle officier de police bien marseillai d'une quarantaine d'année. J'ai toujours était attiré par les marseillais et les rebeus avec des belles bites bien veineuse. J'étais alors en extase jusqu’à tant que je vois l'alliance je me suis donc dit que c'était cuit et je suis vite revenue à mes esprit. J'ai préféré laisser mes parents en vacances et assumer tout les paperasse. Je n'étais pas rassuré puisque l'entreprise des vitres ne pouvait pas se libérer avant le lendemain et que plusieurs vitres étaient cassées je ne me voyait pas abandonner ma maison pour la nuit. Mon assureur m'a donc envoyé un vigile pour veiller sur la maison et c'est alors que tout commence.Il était presque 20h et depuis 11h j'étais entrain de jongler avec toute les galères administratif quand le vigile arrive . J'étais un peu dégouté de ne pas avoir couché avec le policier sexy mais ma tristesses fut vite remballé lorsque je vis le vigile. Il était grand genre 1.90 bien musclé et bronzé. On voyait tout de suite que c'était un mec qui prenait soin de lui sans pour autant être tapette et c'est sa que j'aime ici à Marseille. On fait alors le tour de la maison et du jardin. C'était un mec super sérieux qui analysait beaucoup. La soirée commençait et la nuit commençait à tomber. Je rentre donc chez moi et je range et nettoie ma maison. Je me disais encore que je vais pas baiser ce soir puisque le mec n'avait pas l'air gay et que je ne pouvais pas recevoir de gars. Je décide donc de prendre une douche et d’enfiler un de mes jockstrap. Je met mon jockstrap et enfile un survêt j'aime bien avoir cette sensation de nudité contre le tissus . Je discute alors avec un de mes meilleurs amis qui est gay. Contrairement à moi lui est tout le cliché du gay mais l'assume. Je lui parle donc de mon vigile et lui demande des conseils. C'est alors qu'il me dit de laisser ma baie vitré ouverte de me mettre à 4 patte et de crier à l'aide. Je trouvais un peu se plan osé mais je n'avais plus rien à perdre. je met met donc en position et c'est la que ma nuit de folie commence.

 

Toute suite après avoir crié il débarque dans la chambre et me voit à 4 pattes. J'étais alors pétrifié de peur et de honte il reste un peu hésitant et la j’entends " Alors elle à quoi la petite salope elle veut se faire démonter son petit cul", je lui répond alors oui en le regardant et la je me pris une grosse baffe dans la gueule et me dit " on dit ou maitre tu as compris petite pute" j'étais alors super fébrile et super excité et sa se voyait il me remet alors une autre baffe et me dit " alors on aime sa" je lui répond "oui maitre" et la il déboutonne son pantalon et sort le boxer moulant. Je me mit alors la lécher sa belle bite à travers son boxer.

 

Elle était pas trés longue (15cm) mais d'une largeur a en casser la bouche. Il met la met alors violemment dans la bouche et comme un bourrin appuie ma tête contre sa teub à m'en étouffer je sentait sa teub gonfler encore plus . A plusieurs reprises j'ai manqué de vomir j'étais en pleure presque je n'avais jamais eu de plan aussi violent avec un mec et c'est alors qu'il me dit " alors sa fait la salope et sa assume pas" je me souviens encore lui avoir dit "votre bite est trop grosse maitre", et a ce moment la je m'étais pris un grosse baffe encore plus forte que les autres et il me gueuler " Alors tu fait ta salope et après tu assumes pas une vrai lopette aller passe ton cul pétasse". Je m'exécutait alors et la d'un coup j'ai hurlé. Il a enfilé sa bite juste avec un préservatif et sans lubrifiant j'ai cru que mon cul allait se déchirer. Je gémissait à la fois de plaisir et de douleurs et l'entendait me dire " Alors on fait moins la pute maintenant sa c'est de la bite de la vrai et non pas de la bite de tafiolle" j'avais alors dit "oui maitre" et la rebaffe il disait " Parle pas salope et encaisse" ses coups étaient encore plus violent au bout d'un moment j’entendis un râle de douleur il sort sa bite et me dit " avale petite pute" et la un jet de speme bien chaud et venue dans ma bouche. D'habitude je n’avale pas mais la je n'avais pas le choix et je ne voulais pas être frappé par mon maitre il m'ordonne donc de nettoyer sa bite et me dit de rester à 4 pattes sur mon lit et qu'il reviendrait.

 

J'étais alors soulagé d'avoir fini car mon cul était défoncé. J'avais jamais autant pris mon pied. La suite dans le prochaine épisode si vous le souhaitez

 

LOPEMOI13

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