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fan de histoires de mec

Mardi 12 novembre 2 12 /11 /Nov 17:24

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Salut, moi c'est Ben, j'ai bien envie de vous raconter un bon plan qui m'est arrivé il y a deux semaines. Depuis que j'ai découvert que je kiffe les mecs, je traîne pas mal sur le net pour trouver des rencontres. En bon passif un peu chienne, j'ai un faible pour les blacks et les arabes, toujours des bonnes queues bien viriles à prendre...

 

Djibrill, c'est un beau black que j'ai croisé sur Beuronline. 1m85, belle gueule, un corps super bien taillé, et surtout une bite qui me rendait fou, rien qu'en photo... après quelques plans cam où je donnais tout pour bien le chauffer, il m'a donné rendez vous chez lui : "Nu sous un survet, et tshirt moulant en haut, ma pute. Les ptits céfrans comme toi, j'aime quand ils sont bien dressés. Ok?" "Ok, boss". Bizarre de me balader dans la rue sapé comme ça, mais je suis chaud et j'ai envie qu'il kiffe, alors... j'arrive en bas de chez lui, il m'accueille avec une poignée de main bien franche. "J'adore ta tenue, mec". Il me fait rentrer, ascenseur jusqu'au 5ème; il en profite pour palper mon cul à travers mon survet : "Rien dessous, c'est bien ma pute, t'obéis bien". Je flippe que quelqu'un monte et voie la bosse de ma queue qui commence à gonfler sous les caresses de mon boss Djibrill, mais heureusement personne. "Putain, tu commences déjà à me chauffer, boss..." "T'inquiète ma pute, tu vas kiffer la suite".

 

Mon colosse black me fait entrer chez lui, il me dit de rester debout et va se servir un verre d'eau. Quand il revient, il me fait tourner sur moi même, pour qu'il puisse me mater sous tous les angles. Une fois dos à lui, il attaque sérieusement. Je sens ses bras musclés passer autour de ma taille, une main qui glisse dans mon dos et vient sous mon survet palper mes fesses, l'autre qui monte le long de mon torse pour venir travailler mes tétons. Il me dit dans l'oreille : "Je kiffe tes seins, ma petite femelle. T'aimes ça?". J'ai l'impression d'être comme un objet sous ses mains et je me laisse faire. Il laisse mes fesses et empoigne ma queue déjà raide, je sens la sienne qui durcit et se frotte à mon cul, elle a l'air énorme... Soudain il s'arrête, me tourne face à lui en m'enlevant mon tshirt. Lui aussi se met torse nu : "A genoux, ma chienne". J'obéis et me retrouve face à son énorme morceau qu'il a sorti de son jean. "Suce, maintenant".

 

Je goûte son gland de mes lèvres, puis j'enfourne sa queue dans ma bouche, en me disant qu'elle va me la défoncer... Il a du estimer que c'était pas assez, et me l'enfonce en entier jusqu'au fond de la gorge. Je subis en kiffant intérieurement, pendant qu'il me baise la bouche avec sa grosse queue de black. Tout en me limant, il lance des "Pompe moi à fond, femelle, je sais que tu kiffes. C'est bien ma pute continue. Lèche mes boules, salope, et reviens sur ma queue". Je pensais pas être aussi soumis, mais sur le moment je prends mon pied à le biberonner... Sa queue entre et sort de ma bouche, et quand il commence à gémir il s'arrête. "Tu veux que je t'encule, ma salope? T'as envie de ça?" "Oui, boss, je veux sentir ta queue". Il me retourne et me met à quatre pattes, je cambre mon dos à fond et lui tend mon cul. Bien offert, il bouffe un peu ma rondelle, ce qui me fait gémir.

 

Je sens sa bite bien raide sur mon trou et il l'enfonce doucement, sensuellement pour faire entrer le gland. Il glisse ensuite ses mains sur mes flancs jusqu'à pincer mes seins, et sans prévenir m'enfonce violemment le reste de sa queue. Je crie, de douleur au début, puis de plaisir. "Gémis bien, me chienne, montre moi que tu kiffes". Je sens la queue de mon boss me défoncer le cul, ses mains qui me dirigent. J'implore mon boss de me baiser à fond. Après un labourage intensif, il décule et s'allonge sur le dos. "Viens t'asseoir sur ma queue, ma salope". Je me jette sur sa queue et la chevauche, son torse entre mes cuisses. J'ondule sur son énorme chibre pendant qu'il me bourrine de coups de reins. Lui aussi commence à gémir, "toi, t'es une vraie chienne, mmmm... je kiffe ton cul ma salope...". Il se retire et je comprends qu'il est prêt à jouir. Debout devant moi, ses râles deviennent plus fort, et je reçois 5 bonnes giclées de sperme sur la gueule.

 

En me ramenant à lui, il m'explique que je suis une sacrée bonne pute, et qu'il adore ça chez les mecs. Aujourd'hui, je suis devenu sa salope attitrée, et on multiplie les bonnes parties de baises

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 23:47

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J’me présente vite fait : oim c Djamel 33piges 180/70, teint mate avec un bon gros zobi de 21/6 entre les pattes :-P Depuis quelques mois, j’ai mon meilleur ami du bled, qui vit chez oim pour changer de vie. Là-bas il avait une vie de m…., sans taf, il avait sa famille à charge..Je lui ai trouvé un boulot ici à Paris, et il crèche chez oim en attendant d’avoir assez de tunes pour s’prendre un appart à lui…

 

J’taf comme démarcheur pour une grande boîte et du coup, j’suis pas souvent chez oim, s’qui permet à Nordine de bien profiter de l’appart… et croyez-moi il en profite un max :-P Nordine c’est un beau mâle de 26piges macho et il fait baver les meufs comme les p’tits cefrans de la téci :-P

 

Un soir, je suis rentré avec un jour d’avance… j’arrive sur le palier et là j’entends des gémissements et des voix venant de mon appart. De suite, j’me dis : il mate un film de boules, mais il pourrait au moins mettre moins fort ce con… !!! J’rentre et là je le trouve à 4 pattes sur la table basse avec des keumés entrain de lui faire sa fête bien comme il faut :-P Il dégage le tismé qui lui fend la chatte en deux et se précipite vers oim… : Ecoute Djam, il faut que je t’explique… steuplé ! Il faut que j envoie du blé chez oim et c’est la seule façon que je connaisse pour m’faire un max de tunes en peu d’temps… Ok fini s’que tu as commencé oim j’file sous la douche… J’avais même pas ouvert les robinets que je l’entendais gémir et encourager les keumés à bien s’occuper d’lui et de bien s’lâcher. A s’moment là j’ai pensé… c vraiment une tépu c’Nordine, j’aurais jamais pensé…

 

J’vais pour rentrer dans la douche et là j’baisse la tête et j’mate ma bite dure et mouillée :-P A peine sec… je file au salon et j’mate un autre keum (que j’ai déjà aperçu ici dans la téci) lui bourrer la chatte à grands coups de bite pendant qu’il suce les deux autres zgeg en même temps s’qui fait durcir mon sboub encore plus…, même si en réalité c’est impossible. Il fait davantage la chienne de garce et me quitte pas des yeux un seul instant… Là Kamel (le mec que j’ai déjà vu) m’interpelle et me dit : Wesh man, viens mater ton coloc s’faire tourné comme une lopsa :-P Là Nordine descend de la table à nouveau, se mets à mes pied, tire sur la serviette qui m’entrave encore la taille et englouti direct ma teub en fond de gorge. Putain il a une bouche bien profonde et je mate dans ces yeux qu’il kiffe ca m’sucer. Les mecs se rapproche de nous et décide de lui faire une double. Kamel et le tismé veulent rentrer en lui à deux et rien qu’à cette idée Nordine me pompe encore mieux qu’au début. J’le mate et lui crache sur la face en lui disant… t’es vraiment une morue toi, et il m’réponds c’est clair et t’as encore rien vu Djam J Les mecs entrent dans son minou avec un peu de mal, mais lorsqu’ils y arrivent… Karim (le dernier) lui travaille les tétines et lui appuie sur les épaules afin qu’il s’enfonce bien comme il faut sur les deux queues qui lui ouvre sa chatte. Nordine lâche mon zgeg pour gémir et excité la fente de la pine à Karim pour passer à la mienne et vice versa. Le tismé et Karim le bourrine grave et ca le fait gémir toujours plus… Ils donnent de sacré coups de queue au fond de son cul affamé se qui prévient Nordine qu’ils sont prêt à largué la sauce. Nordine se cambre encore plus afin de leur laisser le libre accès à sa chatte et ils commencent à grogner comme des porcs se qui nous fait comprendre qu’ils sont entrain de lui engrosser la chatte (à travers les kpotes bien sur). Ils se vident bien dans son trou et ressorte alors qu’ils sont encore bien durs. Karim excité ne tarde pas à lui jouir sur la face… Il reçoit un paquet de yop sur le visage et Karim s’empresse de l’étaler avec son sboub tout en lui crachant à la gueule en le traitant de chiennasse.

 

Nordine n’as pas encore joui que les keumés se rhabille et se casse et disant : putain ça valait bien la tune qu’on t’a filé pour te tourné la tépu, c’est quand tu veux pour recommander lopsa. A peine les keumés ont passé la porte que je l’attrape par les cheveux et l’emmène sous la douche. Je lui crache dessus et op direct la ssepi commence à lui arroser d’abord le torse et je remonte pour lui crader aussi la face et ca bite qu’il a bien dure (elle fait 19/20 et bien épaisse pour une morue qui s’fait emmanché par des inconnus). Je voulais l’humilier et ça m’excitais grave de lui faire subir ça après l’avoir vu se comporter comme une chienne avec ces mecs tout ça pour du fric. A peine la dernière goutte sortie il m’pousse et s’empale direct sur mon sboub et se la prend direct au fond… miam. Si ca bouche et profonde, son cul est ouaou, EXCELLENT !!! J’ai pas l’impression qu’il y a un quart d’heure il s’faisait démonter la chatte par deux queues. Il s’excite les tétons et se fait jouir sur mon torse, s’qui m’déclenche ma jouissance. Je suis vidé et lui aussi. On prend notre douche ensemble sans rien dire, puis on file chacun dans notre chambre pour aller dormir…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 17:55

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J’habite en colocation avec mon cousin. Un jour de grand soleil, je me ballade en ville et je rencontre les meilleurs potes de mon cousin qui savent que je suis pédé. Bachir, le beau lascar baraqué, qui me demande une clope. Je lui donne et là il me chope par la main et me demande : « pourquoi t’es pédé? ». Je ne réponds pas à sa question. Son pote Brahim répond à ma place en disant : « parce qu’il kiffe téter du zboub ». Dans ma tête je me suis dit qu’il avait raison. Soudain, Bachir met son bras autour de mon cou et me dit « viens faut qu’on parle ». Il me ramène dans un local à scooter avec ses 2 potes Brahim et Sofiane. J’commence à baliser…

 

Et là on commence à discuter normal de tout et de rien et Brahim commence à me tâter le cul et Sofiane ramène ma tête vers sa teub. Je ne dis rien par peur de les énerver et surtout parce que j’attends ce moment depuis des lustres!!! Bachir de son côté roule son bédo et me regarde avec son regard de vicelard, je vois sa queue gonfler sous son jean.

 

Brahim me met à 4 pattes, et moi comme une bonne chienne que je suis je commence à cambrer mon p’tit cul.. Ca les rend dingue, Sofiane sort sa queue déjà toute dure et l’enfonce au fond de ma bouche accueillante et me lime la gueule comme une pute. Bachir lui demande d’arrêter, il s’approche de moi me regarde et commence à sortir sa teub et là j’ai halluciné, j’avais la bouche face à une queue d’au moins 24 cm sur 8!!!!!!

 

J’ai mouillé direct et je tire la langue pour lui montrer que j’suis bien chaude pour qu’il me la mette. Il passe derrière moi me fout 3 doigts me traite de salope mouille le bout de son gros gland d’algérien et me la met direct et là je hurle tellement elle est grosse. Pour me faire taire Brahim et Sofiane me mettent leurs 2 queues au fond de la gorge et là je commence à gémir comme une chienne… Je ne veux pas que ça s’arrête j’ai deux bonne queues dans la bouche et une teub énorme au fond d’ma chatte.

 

Bachir me dit: « tu veux que j’te casse ta chatte ?! » je réponds « oui vas-y vide-toi les couilles ». A peine dit aussitôt fait, je sens la capote se remplir dans ma chatte. Sofiane et Brahim se mettent à juter en même temps sur ma gueule. J’en ai plein le visage et plein la chatte, tout c’que j’aime…

 

Les gars se rhabillent et me demandent si je veux bien être leur pute à dispo, evidemment j’accepte mais leur demande d’être discrets vis-à-vis de mon cousin Nordine…Je leur laisse mon numéro et leur dis que j’espère les avoir très bientôt dans mes trous

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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 15:10

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Un soir chez un pote hétéro que je connais depuis de longue date mais qui ne sait pas que j’ai un côté lopesa, on fumait le et j’étais bien défoncé, on rigolait mais sa meuf commençait à tiquer alors vers 21h, j’ai dit: « Tchao! a+. » Il habite en cité dans le 93. J’ai descendu les neufs étages et en sortant de l’ascenseur, je vois 6 rebeus dans le hall qui tchatchent. Je commence à partir en jetant un bref coup d’oeil car je kiffe bien les rebeus… L’un d’eux me regarde, voit mes yeux bien éclatés et me fait la remarque du genre: « Oh t’as fumé toi! » Je lui souris et acquiesce tout en allant vers la porte. Je dois préciser que je suis vrai bogosse céfran et que je fais bien kiffer les keums généralement.

 

Kaled, c’est son prénom, me propose de ne pas partir tout de suite et de rester fumer avec eux. Un peu méfiant mais intéressé et avec l’idée d’avoir l’occase d’en connaître un de plus près, je fais demi-tour et reviens vers eux. On parle un peu, je commence à vouloir rouler un zbir mais ils me disent qu’il y a trop de passage ici, qu’ils vont dans l’escalier. Je les suis, bien confiant car ce sont mes potes maintenant, surtout Majid que je kiffe grave; une masse le gars, les autres aussi mais lui c’est un truc de ouf.

 

On arrive dans une cave que je comprends abandonnée par leurs locataires, genre squat mais tranquille: un caddie, un vieux matelas pourri d’oréoles de moutrave bien dégueu dans un coin. Je suis cool, ils sont sympas, on rigole bien… sur tout et rien. Karim et Samir me regardent bizarre, avec des yeux de vicelards mais ça me plaît. Je les trouve de plus en plus kiffant et je ne peux pas m’empêcher de zieuter leurs braguettes et ça semble très prometteur; surtout la bosse de Majid et 2-3 autres que j’ai repérés. Au bout de 15-20 minutes, ils parlent rebeus et moi je comprends qu’dalle.

 

Kaled passe derrière moi et me tâte le cul. Je lui dis: « Oh! Qu’est-ce tu fais? » Il me dit: « Vas-y, joue pas ta chochotte! » et là devant moi, Majid baisse son fut et je vois un calibre mon gars, ouf! Elle gonfle à vue d’oeil, elle devient énorme, au moins 23×6 ou 7. Mon réflexe est d’exploser de rire mais excité car défoncé. Je m’en tape je me mets à genoux direct. Alors là, ils sont devenus ouf de chez ouf.

 

En fait, ils étaient pas sûr que j’allais vouloir mais en deux secondes, j’avais six bonnes grosses teubs d’arabes rien que pour moi, du 19cm à 23cm (Majid la plus monstrueuse). Y’a pas à dire, les rebeus sont les meilleurs, même Saïd et Karim qui étaient plutôt timides, se sont lâchés direct. J’ai commencé à pépon de partout. J’en voulais grave mais une bouche pour six, c’est pas évident. Ça sentait la biroute mortel, je sais pas si ils se lavent tous les jours la teub mais bon, m’en fous: trop kiffant. Je pompais bien à fond et Kaled a éjaculé dans ma gorge. J’ai pas eu le temps de retenir koi que ce soit. Il a une teub de 20cm mais bien épaisse genre 7. J’avais la bouche en feu. Majid voulait que j’enlève mon jean, je préférais juste le mettre aux genoux mais lui voulait l’enlever complètement pour bien m’écarter les jambes et me foutre sur le matelas pourri. J’étais pas chaud car trop crade mais vu la masse, je ne pouvais plus reculer. Je me suis fait déchirer le cul par Majid, je hurlais mais lui continuait et les autres me baisaient la bouche pour que je la ferme. J’en ai pris plein le cul. En fait ils ont pratiquement tous craché sur mes fesses sauf Said; je crois qu’il m’a fait une faciale. Après, ils ont! vraiment joué.

 

C’est Majid qui a commencé à me pisser dessus et j’étais assis sur le matelas, le cul à l’air, et les six rebeus autour à moutrave sur moi. J’étais un peu dégoûté mais bon, j’ai cru que je reverrais jamais le jour. Ils ont rigolé, m’ont dit que j’avais assuré comme lopesa et que si je repassais par là, que je jette un œil dans la cave au cas où. Je suis arrivé sur le parking de la cité vers 0h15 en étant parti de chez mon pote vers 21h. Quand j’ai vu l’heure, je suis devenu ouf! Une fois dans ma voiture, je réalisais ce qui venait de m’arriver et j’étais finalement content de moi. Mon pote ne sait rien de cette aventure et les rebeus ne savent pas d’où je venais car ma voiture était garée de l’autre côté des fenêtres. Mon pote pensait sûrement que j’étais chez oim depuis belle lurette. Un grand merci à mes six rebeus trop bien teubés et surtout Majid que je kiffe trop.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Lundi 11 novembre 1 11 /11 /Nov 10:40

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Depuis quelques temps, je lis toutes vos histoires et je me sens devenir accro. De ce fait, j’ai décidé de contribuer à ma manière, en vous racontant comment je suis devenu la pute du tierquar (le quartier, pour les non-puristes). Je dois confesser que j’ai perdu ma virginité très tard … à 25 ans, mais je me suis bien rattrapé depuis. Cependant, j’anticipe peut-être un peu trop, alors laissez-moi commencer par le commencement.

Pour vous faire une image précise de ma personne, je crois être assez agréable à regarder lorsqu’on aime ce style. J’ai des yeux clairs. Ma bouche pourrait être qualifiée de « suceuse », car elle est pleine et purpurine, en un mot pulpeuse. Ma peau est très pâle, ce qui crée un sérieux contraste avec le rouge indécent de mes lèvres et le bleu de mon regard. Le tout est couronné par une touffe de cheveux noirs, broussailleux qui m’a valu dans la cité le nom de Mowgli, ce qui donne un assez bon aperçu de ma dégaine. Une silhouette élancée avec mon 1m80 pour 60k. Pour que l’aperçu soit complet, je suis généralement comparé aussi bien à Nicholas Hoult qu’à Ian Somerhalder ou Jon Hensley.

Si je n’avais jamais vu le loup jusqu’à présent, c’était pour la simple et bonne raison que je n’avais rencontré personne auparavant. Je vous raconterais peut-être ma vie de puceau plus tard, parce que la virginité ne rend pas plus saint… Ce que j’ai décidé de vous révéler à ce jour concerne la rencontre qui a fait basculer ma vie. De blanc à noir, de vestale à catin. Son nom, Driss, restera à jamais graver dans mon cœur et son corps tatouer dans ma mémoire.

En même temps, ce n’est pas le genre de mec qui s’oublie avec son 1m95 et sa carrure de catcheur. Pour faire simple, il possède une silhouette à la Dwayne Johnson. De forme plutôt ovale, son visage possède une beauté sculpturale, grâce à des traits coupés à la serpe. Les cheveux sont coupés court et possède le même noir profond que ses yeux, lui donnant un regard de killer. Pour moi, ce qui le rend carrément craquant est son large sourire au pouvoir rayonnant et au charme destructeur. Je le croisais souvent dans les environs (notamment en passant devant la salle de sport du coin), et à chaque fois, je devais me retenir de ne pas m’écrouler à ses pieds tellement il me faisait chavirer. Evidemment avec sa virilité sauvage, je me doutais que sa sexualité était celle d’un pur hétéro, mais comment ne pas fantasmer devant ce morceau de choix ?

Un soir, je rentre chez moi après une soirée un peu chargée. J’habite le sixième étage, mais j’ai pour habitude de prendre les escaliers (comme palliatif d’un sport quotidien). A peine arrivé au premier étage, j’entends que la porte se rouvre derrière mon passage alors qu’elle venait de se refermer. Je n’y prête pas plus attention, puisque je suis habitué aux allées et venues de l’immeuble, habité majoritairement par des jeunes en quête de toutes sortes de substances. Je continue jusqu’au deuxième étage, en me disant que la personne doit s’arrêter avant moi puisque je suis le seul dingue à prendre les escaliers. Mais au quatrième, je vois une ombre se profilée devant moi ; du coup, je me retourne, prêt à lancer un large bonsoir. Or, quelle ne fut pas ma surprise, en reconnaissant le divin Driss.

J’ose à peine vous raconter ma déconvenue, puisque je me suis éclaté le genou contre les marches alors que le reste de mon corps s’est étalé et que mes lèvres ont étouffé un pauvre « Bonsoir » pitoyable. Faisant à peine attention au « Bien ou bien ? » qu’il me rétorque, je me rattrape tant bien que mal à la rambarde et je prends mes jambes à mon cou, en montant les marches quatre à quatre. Au sixième, je me précipite vers mon palier, avec la volonté de cacher ma honte dans mon appartement. Dans ce genre de situation, j’ai tendance à devenir trop maladroit, alors impossible de rentrer la clé dans ma serrure. Je vous laisse imagine que ça lui laisse largement le temps de me suivre et de me rattraper.

Si dans le milieu, il se fait appeler « le Titan », ce n’est pas pour rien. Et pour les connaisseurs, sa carrure me rappelait à la mémoire le personnage de Gregor Clegane dans le Trône de Fer, la Montagne. Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences parce que si à côté de lui, je ressemble à une vraie crevette, je ne perds pas pour autant ma superbe lorsque je me ressaisis. Je crois que dans ma catégorie, je suis un très bon acteur et couplé à mon caractère volcanique (ou de merde comme vous le voulez), je n’ai pas peur de faire des étincelles. En clair, oubliez avec moi le rôle de la petite pute soumise…

— Eh mec, quand je te parle, tu dois me répondre me dit-il.

— Hein ! … Que ? … Quoi ?

— Je t’ai demandé comment tu allais ? Et au lieu de fuir, tu aurais pu me répondre.

— Ah oui désolé, je suis fracassé alors j’ai du mal à avoir les idées claires. Et je n’ai pas fuis, je n’ai juste pas pour habitude de me taper la honte devant des inconnus.

— T’inquiète mec, ça arrive. Ecoute, on ne va pas discuter comme ça pendant trois heures, alors je m’invite chez toi. Tu ouvre ou tu veux que je le fasse ?

— Euh … ! Ouais, j’ouvre.

Je suis sous le choc. Quoi ? Driss veut discuter avec moi. Non mais c’est quoi le délire. Il est tellement beau, que j’ai du mal à garder ma contenance. Je le laisse passer en premier, pour avoir l’occasion de le mater en toute tranquillité. Comme l’été règne sur la cité, il porte un débardeur qui laisse la place à ses muscles pour s’épanouir, avec un bas de survêtement gris trois fois trop grand pour lui. Il le porte sur un boxer, qui met en valeur son bon cul de rebeu, dont la rondeur ressemble limite à un boule de bowling.

— Tiens, je m’appelle Driss et toi ? C’est quoi ton blase ?

Et là, je ne sais pas pourquoi mais dans la confiance, je lui réponds : « Oui, je sais que tu t’appelle Driss. » Le problème de ma peau diaphane est qu’elle est tellement blanche, qu’elle en devient transparente, ce qui me fait rougir dès que l’émotion est trop forte.

— Sérieux gars ? En même temps, je t’ai capté depuis longtemps avec mes potes. Y’a même Lotfy qui t’appelle Mowgli à cause de tes veuxche. J’avoue que ça te va bien.

Je suis sur le cul de ce qu’il vient de m’annoncer. Enfin, je lui propose quand même de s’asseoir, en lui demandant s’il préfère un café, un thé ou une bière.

— On est entre mec, alors je vais prendre une bière.

Pour me mettre à l’aise, je mets de la musique sans trop savoir quel est l’album dans le lecteur. Les premières notes résonnent sur un morceau de Blondie, rien de mieux pour me sentir bien. Sauf que je ne peux m’empêcher de me trémousser lorsque j’entends de la zic. D’une certaine manière, je perds le contrôle de mon corps, qui se met en action tout seul dans un déhanché digne de Fred Astaire. Après 15 ans de danse, je me débrouille assez bien et mon invité ne se fait pas prier pour le remarquer.

— Putain, comment tu bouges ton boule … c’est rare pour un céfran, mais en te matant, j’aurais du le parier avec mes potes.

Moi qui me glorifie de garder mon sang froid dans n’importe quelle situation, ce mec pourrait me faire mentir, tellement il arrive à me retourner avec désinvolture. Faisant feu de tout bois, je n’hésite pas une seconde à lui poser une question directe et sans détour : « Bon mec, qu’est-ce que tu fais là ? Qu’est-ce que tu veux ? Parce que franchement, tu me mets le chiro à l’envers. » Il se met à rire à gorge déployée, en m’annonçant qu’il s’attendait pas à ce que j’ose lui parler comme ça … mais que pour une fois, il apprécie que quelqu’un lui tienne tête.

— Maintenant, si tu crois t’en tirer comme ça, c’est mort. Viens ici, petit con !

Hypnotisé par son attitude « badass », mon corps me fait défaut, en avançant vers lui avec un regard de défi, celui qui déclare au monde que je n’ai peur de rien. Quelques soit la situation, je sais que je garderais toujours mon âme de guerrier combattant. En réponse, ses yeux s’embrasent de flammes, qui ne laissent présager rien de bon. Affalé sur mon canapé, je ne sais comment il réussit à me faire passer de la station débout face à lui de celle sur ses genoux. Quoiqu’il en soit, me voilà enserré dans ses bras musculeux.

— Fais pas trop le malin, j’en ai maté des coriaces, qui faisaient plus peur que toi.

— Je ne crois pas mec, lui répondis-je, tu ne me connais pas.

Et au lieu de m’en prendre une comme je m’y attendais, il me posa sa main de colosse sur la joue, avec une tendresse qui fit fondre mon cœur de glace. Collé à lui, il devait sentir mon cœur battre tout de même à 100 à l’heure, car il me dit que mon corps trahissait mes pensées. Je ris avec majesté : « Ah ouais gars, c’est ce que tu crois » ; et j’essaye de m’extirper de ses bras en gesticulant dans tous les sens. Evidement, mon entreprise est vaine puisqu’il est bien plus puissant que moi, mais ce salop en profite pour que mes fesses soient positionnées avec précision sur son membre viril. Cependant, faites-moi confiance, impossible de me laisser faire.

— Qu’est-ce que tu fais ? Tu te crois dans un bordel ? Je m’amuse pas à jouer la pute pour deux sous.

— Avec ton corps de poupée Barbie, tu ne vas pas te la jouer avec moi, parce que je te brise d’un seul coup.

— Essaye, si tu crois me faire peur.

— Gars, tu parles trop alors que tu es incapable de sortir de mes bras. Et puis, merde. Ferme ta p’tite gueule.

Pour m’empêcher de parler, il a une technique radicale, qui consiste à appuyer sa large bouche sur la mienne et je dois dire que ça marche. Très vite, je ne contrôle plus rien. J’entrouvre légèrement mes lèvres charnues. Driss comprend le message et m’enfonce sa langue avec ardeur et passion. Alors que le ballet de nos langues commence, ses bras m’enlacent de plus en plus presque jusqu’à l’étouffement. Sans quitter sa bouche, je commence à jouer de mes hanches, pour gagner de l’espace. Comme je l’ai dis, je n’ai aucun mal à me servir de mon corps après des années de dance. Du coup, je ne tarde pas à sentir les premiers effets de mes vagues corporelles.

Ce qui me plaît chez Driss, c’est qu’il n’hésite pas à exprimer tout haut ce qu’il pense tout bas et direct il se laisse aller à des gémissements, me prouvant sa satisfaction. Il pose ses deux grosses mains sur chaque lobe de mon cul, pour m’installer sur sa queue déjà bien tendue. Je suis incapable de dire à quoi elle ressemble, mais je sens qu’elle est d’une longueur et surtout d’une largeur désirables. Sa force est telle qu’il a le pouvoir de m’utiliser comme une vraie poupée, en me changeant de position au gré de ses envies. Même s’il est assez brusque, il ne manque pas de tendresse comme s’il avait peur de me casser en deux. Je suis incapable de savoir avec précision l’ordre et le désordre qui s’est établi dans ce jeu de corps à corps. A chaque instant, je me sens l’impression de voler dans les airs.

Je ne sais trop comment, je me suis retrouvé habillé d’un simple tee-shirt et de mon boxer, alors que monsieur s’est contenté de garder son débardeur et son survêt est baissé sur ses genoux. Devant cette injustice, il me vient des furies de ne pouvoir posséder le contrôle alors je décide de retourner la situation à mon avantage. L’air de rien, j’ouvre pleinement mon cul, pour que sa teub soit enserrée par mes deux fesses, remplaçant mes mains pour une branle d’enfer. Je me détache légèrement de son corps, afin d’obtenir plus d’ampleur dans le mouvement. Mes oscillations se plaisent à suivre le crescendo de la musique et je m’amuse à sentir combien sa queue est brûlante malgré la séparation de nos deux boxers. Pleine de percussion, mon corps suit avec précision les bouleversements de la musique, pour mieux envoûter ce mâle. Tout en l’embrassant plus furieusement, je me plais à pousser des petits cris de plaisir, comme s’ils m’échappaient à l’indépendance de ma volonté. Son corps paraît réceptif à ma danse, puisqu’il se met à jouer sur le même registre de sensualité avec plus de rudesse.

Il me faut attendre peu de temps pour obtenir les résultats de ma vengeance car, en repoussant mon visage, il me regarde droit dans les yeux avec un regard d’incompréhension et de stupeur. Il pousse un râle animal, pendant que mes hanches continuent leur petit jeu, et je sens que son bassin se crispe à quatre ou cinq reprises.

— Putain, Tu es une vraie garce, sa mère. Comment t’as fais ?

— Moi … j’ai rien fais, t’es ouf mec, lui répondis-je feintant l’innocence.

— Tu te fous de moi au quoi … Tu te la joues lopesa et genre tu n’y es pour rien. Après, j’avoue que tu es super doué, parce que c’est la première fois que je jute sans avoir retiré mon boxer. Tu dois être une vraie pute.

— Euh … déjà je ne te permets pas, d’autant plus que mon tableau de chasse est vide alors je vais avoir du mal à tenir la comparaison avec toi par exemple.

— Tu veux dire que tu es un petit puceau ? me demande-t-il incrédule.

— Exactement, répondis-je avec fierté et orgueil.

— Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu m’appartiens.

Comme Rome ne s’est pas faite en une journée, vous verrez que je n’ai pas perdu ma virginité cette seule nuit. Avant de devenir le tepu du tierquar, il s’est passé un bon moment dont vous venez de lire la seule première partie. Alors si vous m’avez lu, que vous avez eu la trique, que vous vous soyez branlés ou que vous n’ayez pu opprimer une éjaculation, n’hésitez pas à m’envoyer un message. Je me sens d’humeur à assurer le service après lecture.

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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 17:49

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Lorsque j'avais 17-18 ans, je faisais ma scolarité dans un internat. J'étais plutôt timide et réservé mais de très bonne compagnie dès que j'étais à l'aise. Ma sexualité était orientée vers la gente féminine et je n'avais pas eu des milliers d'histoire. Comme tout jeune homme, je regardais des films pornos et je prenais beaucoup de plaisir. La fellation m'a toujours beaucoup attirée et plus le temps passait et plus je réalisais que je souhaitais être de l'autre côté du sexe. Être celui qui le toucherait, qui le sucerait, qui l'avalerai... Comment était-ce possible? Je n'avais personne dans mon entourage de gay. C'était un monde que je ne connaissais pas. Mes préjugés étaient nombreux et la morales ne m'autorisait pas ce genre de pratique.

Le temps passait et les fantasmes revenaient régulièrement. Avec mon voisin de chambre, mon meilleur pote, nous faisions tous les soirs un concours de branlette. La rapidité n'était pas l'objectif mais plutôt la quantité. Lors de la jouissance, nous récoltions nos semences dans un mouchoirs, nous le jetions dans les airs et le plus gros splash lors du retour au sol gagnait...enfantin, sans objectif réel, c'était notre rituel... Nous étions très proche et les douches communes ne laissait que peu d'intimité (que nous ne cherchions pas d'ailleurs). Lors de ces douches, j'avais tout le loisir d'observer les sexes de nos camarades. Tous les types de sexe étaient présents mais celui de mon pote était beau... Large, droit, des boules descendantes et pendantes... Bandantes!!! Je ne saurais vous dire combien de fois je me suis branlé en imaginant le branler, le sucer, le faire JOUIR... L'éjaculation m'excitait beaucoup...

Je ne saurait vous dire comment nous en sommes arrivés là mais j'ai un soir osé lui parler de mes envies. Pas avec lui mais des fantasmes entourant le sexe d'un homme. Mon pote était en couple depuis un moment et en aucun cas il n'avait mis en avant une éventuelle ouverture de ce côté. C'était mon pote et j'avais envie, j'avais besoin de lui dire..

Il faut que je vous parle de lui, 1m80, brun, cheveux courts, une gueule de beau gosse, un corps parfait... Le tronc était taillé en V, les abdos dessinés, de belles cuisses... Il était beau, intelligent, ambitieux, rêveur. Je crois que j'étais tombé amoureux de lui...

Le soir en question, il sait écouter et il s'étonne de mes envies. Cela ne le laisse pas de marbre, il me questionne. Es-tu sur de tes envies? Comment s'es-tu certains que cela te plaira?

Je ne savais pas, je doutais... Ce que je savais c'est que la simple pensée ou idée me faisait bander dur et que j'éjaculais comme jamais. J'ai senti que cela l'intéressait et qu'un brèche se formait. Il me demandait si tous les hommes me plaisait, si j'étais prêt à passer à l'acte, ce que j'avais envie de faire. Petit à petit nous arrivions au fait qu'il serait également tenté par essayer... Je rêvais, mon fantasme se réalisait... Nous avons commencé à nous caresser, doucement... Je bandais comme un âne mais ma queue est modeste comparée à la sienne. C'est un monstre, je pense 19 et une bonne largeur... La sensation était étrange, exceptionnelle, je prenais mon pied... Je voulais atteindre mon objectif, le prendre en bouche. Pour lui l'hygiène était maladive et dès que mon prépuce ou le sien distillait du liquide séminale nous devions se rincer dans le lavabo. J'ai pris l'initiative de descendre doucement ma tête vers son sexe et j'ai commencé à le lécher. Je lui ai ensuite sucer le bout du gland et mon cœur s'emballait... J'aimais vraiment ça, j'étais excité comme jamais. Mon ami était plus sur la réserve mais voulait tout de même vivre son expérience. Il a alors entrepris de me sucer également. C'était magique et j'appréciais la caresse. Personnellement je voulais le sucer, je ne voulais plus m'arrêter... Nous avons régulièrement interrompu nos caresses pour se nettoyer le sexe. Cela ne me plaisait pas car je perdais le goût de sa queue... Je voulais le goût, le parfum de l'homme... Finalement il s'aperçut qu'il ne prenait pas vraiment son plaisir en me suçant, tandis que moi j'attendais avec impatience mon tour pour le pomper. Chaque pose et chaque reprise me permettaient d'optimiser ma technique, d'essayer de nouvelles choses... Je n'osais pas me lâcher réellement car j'avais compris que mon ami n'était pas bi et qu'il me jugeait peut être. Il voulait en rester la mais je lui demandais d'attendre pour qu'il atteigne sa jouissance. Je me calais sur son plaisir et les gémissements que j'obtenais. Je suçais son gland, plus petit en largeur que le tronc de sa bite. Elle m'écartait la bouche quand je tentais de l'avaler au maximum. Je n'y arrivais pas mais j'insistais. Je le branlais en même temps et il arrivait fatidiquement au point de non retour. Il me prévient qu'il allait jouir et qu'il fallait que je me retire pour le finir à la main. Je le savais mais je voulais sentir son sexe exploser dans la bouche. Et là, je sentis une première giclée, je l'attendais mais fut tout de même surpris. La texture était particulière et le goût ne me plaisait pas. Je me reculais et je continuais de le branler pour qu'il expulse son nectar.... Il jouissait, j'avais fait jouir un homme. Je me dirigeais vers le lavabo en avalant une partie de son foutre et recrachait le reste... Il était gêné d'avoir jouit dans ma bouche et me dit pourtant qu'il m'avait prévenu. Je revenais avec un grand sourire sur le visage, c'est ce que je voulais mais n'osais l'avouer.

Ce fut ma première et dernière expérience avec lui. J'avais réaliser mon fantasme, mes envies... J'en voulais plus et j'allais en avoir plus... Ceci est une autre histoire... J'espère qu'elle vous aura plus et j'en préparerai d'autres si vous avez apprécié....

Bises

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 15:15

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Après avoir lu de nombreuses histoires ici, je me décide aussi à écrire ma 1ère histoire donc merci de votre indulgence.

 

J'ai actuellement 23 ans et cela ce passe il y a 4 ans j'en avais alors 19. Jeune étudiant dans une ville de l'Est de la France, j'étais encore plutôt timide à l'époque.

Je n'ai pas beaucoup changé en quelques années à part mon look beaucoup plus classique désormais. Mais le reste est quasi identique : 1m79, 58kg ni musclé ni maigre normal quoi, châtain, yeux bleu.

 

A cette époque, j'étais célibataire et je sortais beaucoup encore. J'aimais surtout aller en boite et dans des concerts et après une année étudiante déjà, j'avais eu pas mal d'expériences homos.

 

L'histoire se déroule lors d'une soirée de novembre il me semble. Je sortais alors en boite avec plusieurs ami et des amis d'amis, homos et hétéros. Dans le lot, des beaux mecs d'autres moins intéressants et un métis franco-sénégalais, je l'appelerais Abdoulaye. C'était un ami de mon pote Cédric avec qui j'étais aller en boite. La soirée passa, je ne parla que peu avec Abdoulaye mais nous nous lancions des regards, je trouvais cela étrange car il faisait vraiment hétéro. Il mesurait environ 1m80, 70kg, musclé, yeux brun, cheveux court bruns.

Sur le chemin du retour, nous empruntions la voiture d'un ami, j'étais à côté d'Abdoulaye et nous parlions un peu plus, découvrant qq points communs. Avant de me déposer chez moi, il me demanda mon numéro au cas ou pour se revoir une fois aller boire un verre.

 

Un mois passa sans nouvelle d'Abdoulaye et un soir que j'étais seul à mon appart, je reçus un message de sa part. On parlait un peu et il m'indiqua qu'il était en soirée chez des potes et passait près de chez moi, s'il voulait qu'on se voit pour parler plus. 30min après, il se trouvait chez moi, sonna et je le fis entrer.

 

J'étais un petit crevé déjà et nous avions bu plusieurs verres d'alcools en déconnant, je lui dis que j'étais homo et célib et lui m'avoua être bi, baisant des mecs parfois et sortant avec une fille en ce moment. On était bien allumé enfin surtout moi qui ne supportait pas trop l'alcool et je dansais dans l'appart tout seul. Abdoulaye se joignit a moi un moment, se collant contre moi et je sentis sa queue grossir contre mon jeans. Je le sentais assez chaud d'un coup, je fis semblant de tomber sur le lit et se mit sur moi, se frotta et me sortit d'un coup "t'aimerais que je te baise avec ma grosse queue, tu suces bien ?". Sur le coup ca m'exita et m'etonna, je le chauffais alors mais il se leva d'un coup et me voulut partir me disant qu'il ne voulait pas baiser avec moi en fait car j'avais l'air un peu trop "joyeux" ... j'ai tenté de le retenir mais il se cassa d'un coup ...

 

Le lendemain il m'envoya un sms d'excuses, nous parlions bien et je lui faisais comprendre qu'il m'avait bien exité et que même un peu "joyeux" j'avais quand même envie de lui.

 

Quelques jours plus tard, il m'envoya un autre message savoir s'il pouvait passer chez moi rentrant du centre ville pour aller vers chez lui. Comme j'étais dispo, je ne dis pas non.

 

Il arriva à nouveau chez moi, on reparla de cette soirée et il se touchait le paquet déjà bien dur dans son jean moulant. D'un coup il m'embrassa, se leva devant moi et sortit sa queue de son jean et boxer, qui devait bien faire 13-14cm au repos (le mythe des blacks avec les grosses queues se vérifiait et je pus le constater encore avec 3 autres mecs plus tard ^^).

Il me dit alors : "vas y pompe moi la bite j'ai trop envie"

Je commençais à pomper sa grosse queue de métis et je la sentais grossir dans ma bouche, putain c'était bon et elle devait faire bien 22-23cm en activité !!!

Il me tenait bien la tête et me la fesait avaler jusqu'au fond de la gorge en me disant des trucs comme "t'aime ca une grosse queue de black dans ta bouche" "dès que je t'ai vu j'avais trop envie de toi" "ta une bonne bouche de suceuse putain" .

 

Soudainement, il me releva m'enleva tout mes vêtements, ota son jean et releva son marcel autour de sa tête dévoilant son corps hyper musclé de black.

Il me poussa sur mon lit, me demanda de mouiller mon trou (ce que je fis), me metta sur le dos, leva mes jambes et commenca a exiter sa bitte bien dur devant mon petit trou bien dilater déjà par l'exitation et la salive ...

 

Il me demande de me retourner et me mettre a 4 pattes "vas y putain fou toi a 4 pattes, j'ai trop envie de ton boule de lope!"; ca me rendait dingue...

Il frotta encore sa queue contre l'entrée de mon trou et d'un coup rentra sa grosse bitte dans mon cul!!! Un peu mal au début et peur aussi car il me baisait sans capote mais il commenca à me limer plus fort et ca me fesait un bien fou, l'exitation prit le dessus.

Il me défonçait littéralement le trou.

Lui "Putain t'as un trop bon cul mmmm oui c'est bon de te baiser je le savais"

Moi "Oui vas y défonce moi j'adore ta queue"

Lui "Hummm tu m'exites je t'imaginais pas si salope"

Moi "Si j'aime j'adore ta bonne queue de black"

Lui "Hummm ton cul est meilleur que celui de ma meuf actuelle, je vais te déchirer le boule gars"

Moi "Oui Vas y plus fort ohhh c'est trop bon"

 

Après plusieurs minutes de baise bien forts, il m'aggrippa bien les hanches et dit "Putain je vais juter dans ton trou de salope ohhh ouiiiii" ... et Abdoulaye jutta de gros jets de sperme (j'en sentis 7 ou 8) dans mon cul, ca coulait tellement il y en avait ... au même moment, sans me toucher mais tellement exité, je sentis le sperme monter en moi et je jouis sur mes draps ...

Il partit se nettoyer, se rhabillat et partit assez rapidement ensuite.

 

Je revus plusieurs fois pendant quelques mois Abdoulaye, régulièrement, il m'envoyait des messages et passait (même 5minutes) pour venir vider ses couilles dans mon cul. C'est comme ca qu'avant de ne plus se voir car il partit, je lui servais de "pute a jus" pendant quelques mois.

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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 14:05

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Cette histoire réelle s’est déroulée il y a deux semaines. J’ai 20 ans, je suis bi et j’ai déjà quelques expériences homos avec des hommes de ma région (calvados-manche). Brun, 1m72, 68kg (17cm) je suis plutôt BG.. Ce jour-là j’avais rendez-vous lors de ma pause déjeuné avec un homme de 27 ans, étudiant en médecine 1m85, 90kg et 20cm.

On s’était donné RDV sur le parking d’un supermarché puis on décide d’aller à l’hôtel pour passer aux choses sérieuses.

Le temps de réservez la chambre, la chaleur monte déjà et une attirance mutuelle se fait… Hop dans l’ascenseur on se met tout de suite à s’embrasser langoureusement, nos langues se mêlent, nos corps se frottent… Huuuum.. Mais déjà arrivée au 3e étage …

 

Entrés dans la chambre, nos baisers reprennent de plus belle, sa langue se mêle à la mienne, c’est divin, on décide de se mettre sur le lit… ni une, ni deux, nos t-shirts sont vites enlevés, les caresses se font de plus en plus intenses (visages, torse, fesses et…), sa bouche descend sur mes tétons, quel délice !!!!

Je fais de même puis sa bouche parcours mon corps, mes pectoraux, mes tétons, mon ventre, mon entrejambe : à travers le pantalon, le boxer… puis le plaisir devient vraiment intense lorsque sa bouche engloutit en entier mon sexe, il suce comme un dieu, jamais été sucé comme ça avant, il réussit à me faire échapper des gémissements. Il s’active sur mon sexe alternant suce et branle titillements, bientôt je vais jouir et lui demande d’arrêter !

Là je prends les choses en mains, je décide de m’occuper de lui, bisous, caresses, ma bouche descend sur ses tétons, puis son entre jambe. Là je sors et découvre son sexe de 20 cm bien droit et je l’engloutis (quelle bonne queue) je le pompe autant que je le peux en le branlant…

Ces petites choses ont duré un moment puis le désir est tellement monté que l’on a décidé de passer aux choses sérieuses…

Il me demande de le prendre, je lui prépare donc son trou avec mes doigts, ma langue, déjà il jouit, il adore, je le prends pendant quelques temps, son cul était tellement bon que je ne tenais plus…on a donc échangé les rôles…

Il m’a bouffé le trou comme jamais (j’adore ça..) puis il me prend, autant dire que je sens bien ses 20 cm, un peu douloureux au début mais après l’extase, je gémis comme jamais c’était bon de sentir son sexe entrant et sortir, butter au fond, de plus en plus vite puis doucement, il savait s’y prendre…

 

Cela dura 30 bonnes minutes où l’on changeait les rôles… Le plaisir était tellement intense que l’on alternait aussi avec des fellations, branles…

Il me demande de jouir dans son cul, il me jouit dessus…

 

Déjà bientôt l’heure de retourner au boulot, on prend une douche très excitante où il se cambre pour que je le reprenne…

Dernière fellations, derniers bisous on se quitte…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 10 novembre 7 10 /11 /Nov 10:20

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Je vais vous raconter ici la manière dont s'est déroulée ma première sodomie. Cela s’est passé en fin d'année 2006. J'avais alors 22 ans et était encore étudiant. Lors d'un stage, en Angleterre peu avant, j'avais eu l'occasion de pratiquer la fellation et j'avais découvert que j'aimais faire du sexe avec des hommes. J'étais en couple avec une fille à l'époque et je continuais ma vie amoureuse avec elle. Toutefois, quand l'excitation montait que j'avais un manque, je me connectais sur des chats internet, pour trouver un homme à sucer, une relation sans lendemain. Je préférais, et c'est d'ailleurs toujours le cas, les hommes plus âgés. Ils ont un côté plus rassurant, plus directif, et je prends plus de plaisir à être dirigé et guidé par quelqu'un de plus expérimenté.

 

Pascal m'avait contacté sur un tchat. Il avait une quarantaine d'année et habitait sur paris. Nous avions passé plusieurs jours à dialoguer, d'abord en direct puis par mail. Il me posait beaucoup de questions sur ma sexualité, voulait savoir à quelle fréquence je suçais des hommes, comment j'aimais faire cela, combien de fois par semaine je faisais l'amour à ma copine, dans quelles positions, ce que nous faisions. Il me disait que tant que je n'avais pas connu la sodomie en tant que passif, je ne pouvais pas connaitre la vraie jouissance. Il voulait connaitre mon type d'homme, comment j'aimais que les rencontres se déroulent. Il voulait savoir si j'aimais les grosses bites, les petites, les larges, les fines, les poilues. Il prenait beaucoup de temps pour me connaître et me rassurer. De son côté, il me disait qu'il était homo, qu'il avait vécu en couple mais s'était séparé, qu'il aimait rencontrer des jeunes, que c'était toujours pour lui un bonheur de leur faire découvrir à quel point on pouvait se faire du bien entre hommes. Il se voyait en initiateur pour la bonne cause. Nos conversations ont alors un peu dévié. Il me dit un jour qu'il aimerait me faire découvrir le bonheur de la sodomie, que je ne le regretterai pas et que je jouirai d'une manière que je n'avais jamais connue. Il accompagne son mail de deux photos de lui, nu. Sur la première, il est assis sur un fauteuil. Son torse est large, assez poilu. On ne voit pas son visage. Entre ses jambes pends son sexe au repos. Sur la deuxième, on voit son sexe en pleine érection. Ses boules sont rasées de près. Il est bien décalotté et son gland est foncé et lisse. A la vue de ces photos, je me suis mis immédiatement à bander dans mon pantalon. J'ai commencé à rédiger un mail lui disant que ces photos m'avaient beaucoup excité et que j'étais prêt à passer aux choses sérieuses avec lui. Je n'arrivais pas à écrire. Je revenais sans arrêts sur mes mots, mes tournures de phrases. J'avais peur d'en dire trop ou pas assez, j'étais dans l'inconnu. Avant d'envoyer le mail, j'ai regardé encore une fois ses photos. Mon érection a repris de plus belle. Je me suis branlé sur ma chaise en regardant son sexe, en imaginant ce qui je lui ferais, ce qu'il me ferait. Au bout de quelques minutes, j'étais dans un fort état d'excitation et j'ai finalement cliqué sur "envoyer". Une demi-heure plus tard à peine, Pascal me renvoyait un mail pour me donner rendez-vous, dans un bar près de chez lui, le samedi suivant. J'ai confirmé le rendez-vous et ai fini de me branler sur mon lit en pensant au sexe de Pascal.

 

Le samedi j'étais extrêmement nerveux. J'appréhendais cette rencontre. Mes précédentes relations avec des hommes n'avaient été que des rencontres fugaces, dans des lieux plus ou moins publics, pour une branlette ou une petite fellation, mais cette fois, je devais passer plusieurs heures chez un homme, qui allait enfoncer son sexe dans mon anus. Nous nous étions donné rendez-vous en fin d'après-midi à la terrasse d'un bar non loin de chez lui. 1 heure avant, je passais à la douche pour me faire une beauté, et m'assurer de ma propreté. Je pensais à la rencontre et j'ai dû me retenir de ne pas me toucher en me lavant. Une fois propre, j'ai mis des vêtements et je me suis rendu au bar. Je suis arrivé avec 5 minutes de retard et Pascal était assis à une table, sirotant une bière. Il me proposa une chaise, commanda une autre bière pour moi, et nous parlâmes quelques minutes. Il était comme sur les photos physiquement, dans la force de la quarantaine. Sa discussion était très agréable, il faisait tout pour me rassurer. Il me complimenta, me dit qu'il me trouvait très beau et qu'il était très heureux de pouvoir me faire découvrir de nouveaux horizons. Il me demanda si j'étais toujours d'accord, ce à quoi je répondis d'un faible hochement de tête. Les bières furent rapidement descendues. Au moment de régler, Pascal posa la main sur ma jambe et me dit de le suivre chez lui, sous le regard amusé du serveur.

 

Dans son ascenseur, il se rapprocha de moi en me caressant le dos. Sa main s'égara autant sur mes fesses que la mienne allait flatter son entrejambe. A n'en pas douter, il était déjà excité, la bosse dure que je sentais ne trompait pas. Arrivé dans son appartement, il me proposa de m'installer sur le canapé et de boire un verre pour discuter un peu. Il me reposa des questions très précises sur ma sexualité, Il voulait que je lui dise que je voulais qu'il m'encule aujourd’hui et que j'étais venu le voir dans ce but. J'étais un peu honteux mais excité par cette discussion et lui également. Il me proposa de mettre un film porno, "pour détendre l'atmosphère" (!!). Il me précisa qu'il avait sélectionné le film tout spécialement pour moi.

 

Les images commençaient à défiler sur sa télévision. Les scènes s'enchaînaient rapidement, telle une bande annonce et montraient invariablement des garçons, à peine plus jeunes que moi, en train de baiser avec des hommes plus âgés. Je compris pourquoi il l'avait choisi pour moi. La première scène commença. Avant même que les acteurs ne retirent leurs vêtements, j'étais déjà très excité et je bandai dur dans mon pantalon. Pascal s'en rendit compte et posa sa main sur ma cuisse, par petits mouvements il remonta et frotta mon entrejambe. Il parcouru mon membre sur toute sa longueur, en apprécia la dureté. Je rougis, ma respiration s'accélérait et j'avais chaud. Lentement, Pascal défit un à un les boutons de mon pantalon et fit sortir mon sexe. Il me dit que j'avais une belle bite et me caressa doucement. Je restai les yeux rivés sur l'écran. Dans le film, un jeune blondinet était en train de se faire peloter par homme velu. Pascal arrêta ses mouvements. Il me demanda doucement de faire pareil que lui et se recula dans le canapé. Sans un mot, j'approchai ma main de son entrejambe. Il bandait lui aussi et son sexe jaillit dès que j'ouvris les boutons de pantalon. Il ne portait pas de sous-vêtements. Je pris son sexe en main et entamai un lent va et vient. Pascal se souleva légèrement pour faire tomber son pantalon à ses chevilles et le retirer. Il ôta son T shirt et était nu à côté de moi alors que j'avais encore tous mes vêtements. Je continuais à le caresser une main sur son sexe, l'autre sur le mien. Pascal me dit de me lever et d'ôter mon polo. Je me redressai et alors que je m'exécutai, il me retira lentement mon pantalon. Il me fit asseoir à côté de lui et plaça ma main sur son sexe, tout en attrapant le mien. Nous restâmes ainsi quelques minutes à nous branler l'un l'autre.

 

La scène du film avait changé, le blondinet était maintenant en train de prendre en bouche la bite de son homme, énorme. Pascal me chuchota à l'oreille de faire comme le garçon. Je me penchai sur lui et le pris en bouche. Il sentait bon et avait bon gout, je pris du plaisir à le sucer avec douceur. Je pris le temps de bien gouter toute la longueur de sa bite et de lécher son gland. D'une main, il me caressait la tête pour m'encourager. Il me disait que c'est bon. Je m'appliquais à lui prendre les couilles en main alors que je le suçais, le plus profondément possible. Par moment, je posais la tête sur son ventre de côté, son gland se positionnait naturellement devant moi et je le tétai. Alors que j'étais tout appliqué à ma sucette, Pascal me redressa la tête pour que je regarde l'écran. Sur le film, le garçon était en train de tenter d'avaler les litres de semence de son homme, il en avait partout sur le corps et sur le visage. Pascal me demanda si j'aimerais faire cela pour lui. Il me dit que si je le faisais jouir maintenant, j'en profiterai encore plus tout à l'heure. J'approuvai de la tête. J'aimais sucer son sexe et j'avais envie de continuer. Je m'appliquai à bien le lécher et le téter et j'accélérai mon rythme. Pascal accentua la pression sur ma tête. J'enfonçais alors son sexe plus profondément dans ma bouche, en accentuant la pression de ma sucée. J'accélérai mon rythme et continuais à le branler. Je sentis son corps se tendre et dans un râle il jouit. Le premier jet me surprit et resta dans ma bouche. Je me reculai et les autres jets vinrent frapper mon visage. Pascal gémit doucement et ferma les yeux. Il resta quelques secondes sans bouger, alors que je caressai lentement son sexe. Puis il m'attrapa le visage et m'embrassa. Il me demanda si je voulais moi aussi jouir maintenant. Je refusai, sa proposition, sachant qu'après avoir jouit, je ne pourrais pas continuer cette expérience. Pascal comprit et le temps de reprendre ses esprits, il me caressait le corps et le sexe en douceur.

 

Au bout de quelques minutes, il me proposa d'aller prendre une douche avec lui, ce que j'acceptai volontiers. Nous entrâmes dans la cabine et nous nous embrassâmes alors que l'eau chaude ruisselait sur nous. Pascal me caressait tout le corps et insistant sur mes fesses. Il ne bandait plus pour l'instant, mais j'étais pour ma part complètement dur. Il savonnait mon sexe avec ses deux mains, en tournant et en frottant dans tous les sens. Il savait parfaitement à quel moment accélérer pour me redonner du tonus et à quel moment ralentir pour ne pas dépasser le point de non-retour. Il me dit soudain qu'il avait envie de pisser. Devant mon absence de réaction, il me demanda si je voyais un inconvénient à ce qu'il le fasse dans la douche. J'acceptais et il commença à se lâcher. Je regardais son sexe uriner, fasciné. Voyant mon regard, Pascal dirigea lentement le jet sur mes jambes puis sur mon sexe. J'étais tétanisé et ne pouvais bouger. Ma bite était dure comme l'acier, en temps normal, cela m'aurait dégouté mais j'étais dans un tel état d'excitation que tout ce que pouvait me faire cet homme me plaisait. Il s'arrêta de pisser et me dit de me mettre à genoux. Comme un robot, sans volonté propre, je m'accroupi devant lui. Son jet reparti lentement, frappant mes jambes, s'arrêtant sur mon sexe, balayant mon torse, il remontait, remontait, quand il arriva sur mon visage, je ne pus retenir un dégout et mon visage se crispa, bouche fermée. Il redescendit son jet et m'arrosa le visage que des dernières gouttes. J'étais estomaqué par ce que je vivais, je ne savais plus ou me mettre, je me sentais comme la dernière des trainée. Pascal me sourît en disant que j'étais un mec génial et plein de ressources, ce qui me rassura. Il attrapa ma tête pour que je le reprenne en bouche mais je refusais, je n'étais pas prêt à faire cela. Sans insister plus, Pascal fit recouler l'eau pour nous rincer. Il me dit de me retourner et de m'appuyer contre le mur de la douche, dos à lui. Il se plaça derrière moi et je senti ses mains me caresser les fesses. Il se mit du gel douche sur un doigt et l'enfonça dans mon anus. De son autre main, il me caressait les boules. Il entrait et sortait, avec des mouvements de rotation, pour bien m'assouplir le sphincter. Rapidement, un second doigt rejoint le premier dans son mouvement. Il fût un peu plus dur à rentrer alors Pascal prit bien son temps et tourna lentement, jusqu'à sentir que ma résistance faiblissait. Satisfait, il me dit de le suivre dans la chambre.

 

Pascal me dit de m'allonger sur le ventre, au milieu de son lit. Il se plaça à genoux au-dessus de moi. Je sentais ses mains masser, palper et écarter mes fesses. Il se baissa et je senti son souffle chaud contre mon œillet. Il me lécha consciencieusement l'anus, à grand coups de langue, déposant un maximum de salive. Cette nouvelle caresse m'excitait. Je tournai ma tête pour regarder Pascal et vit qu'il bandait de nouveau. J'attrapai son sexe de la main pour le branler alors qu'il me léchait le cul. Il se releva et alla chercher dans un tiroir de sa table de chevet tout le matériel nécessaire. Il posa sur son lit des préservatifs, du gel, et 2 godes, un petit et l'autre plus volumineux. Celui-là, me dit-il, est comme ma bite. Si tu te sens bien avec, la suite ne sera que du bonheur. Je me laissais aller à sa préparation. Il posa une noisette de gel sur mes fesses et me massa le trou comme sous la douche. Ses doigts rentrèrent facilement grâce au premier traitement qu'il m'avait prodigué. Il remplaça ses doigts par le plus petit gode. Celui-ci rentra sans problème. Il me proposa sans attendre de passer au plus gros. Il le posa sur mon anus et poussa lentement. Le gode s'enfonça, centimètre par centimètre dans mes entrailles. Il remit une noisette de gel et tout en le maintenant en place, il se changea de position pour me présenter son sexe à sucer. Je le repris avidement en bouche. Il avait retrouvé toute sa rigidité. Je sentais les mouvements de la bite de plastique entre mes fesses, mais aucune douleur, juste une sensation jusque-là inconnue. Pascal me dit que j'étais près et me demanda de me mettre sur le dos.

Il se positionna à genoux sur mes épaules. Sa bite à demi molle pendait devant mon nez. Il me demanda de lui redonner envie de moi. J'ouvrais la bouche et gobait toute sa verge. En quelques secondes il était de nouveau parfaitement dur. Il resta néanmoins quelques instants à se faire sucer dans cette position, puis attrapa le préservatif dont il déchira la pochette. Il se couvrit, me demanda d'attraper mes genoux et se positionna au niveau de mon arrière train. Il appliqua une noisette de gel sur son gland et le posa à mon entrée. D'une petite poussée, il entra le gland et me demanda si tout allait bien. Je le sentais, mais je n'avais aucune douleur, je lui fis signe de continuer. D'un mouvement lent mais ininterrompu, il rentra en moi. Malgré ma préparation, je ressenti une vive douleur et je grimaçais. Pascal le senti et resta en place. J'avais perdu toute rigidité, alors Pascal entrepris de me rebranler. Rapidement, le plaisir revint et une fois dur, Pascal commença les va et viens. Il entrait profondément en moi et ressortait à moitié. A chaque coup, je sentais ses poils venir frotter mes fesses. Il attrapa mes chevilles et accéléra.

Je bandais comme un malade, je sentais au creux de mes reins une chaleur que je n'avais jamais jusque-là ressentie. Je n'arrivais pas à savoir si c'était seulement le plaisir de ma prostate ou le plaisir lié à la situation qui m'excitait mais je prenais un pied d'enfer. Il me pistonna régulièrement pendant 5 bonnes minutes avant de me dire de me mettre à quatre pattes au bord du lit. Je m'exécutais et tortillais ma croupe avec indécence pour l'inciter à revenir en moi. Il le fit d'un coup, m'arrachant un cri. Pendant 15 minutes, il alterna les rythmes, profond et lent, court et rapide. Il s'amusait parfois à sortir pour que je revienne m'empaler de moi-même sur sa bite. Il me redressa dos contre lui et attrapa d'une main un téton, de l'autre mon sexe tendu à se rompre. Alors qu'il était fiché au plus profond de moi, il me branla avec vigueur. Je me senti rapidement partir et le calmais pour ne pas jouir en premier. Il me poussa violemment sur le dos et je tombais à plat ventre sur le lit. Il s'allongea sur moi et entra, m'écrasant de tout son poids. Il respirait vite et transpirait. Je commençais à chauffer au niveau des fesses et lui dit.

Pour toute réponse, il s'activa et me transperça. Il me bourrait à toute vitesse et au bout de quelques secondes, je senti en moi les contractions de sa bite, alors qu'il jouissait dans un grand cri. Il s'affala sur mon dos et m'écrasa de tout son poids. A bout de quelques temps, il retrouva ses esprits, sorti de moi et jeta sa capote dans une poubelle. Je m'allongeais sur le dos et il vint se placer entre mes jambes. Il prit mon gland en bouche et me branla à grande vitesse. Je réussi à tenir quelques secondes avant de cracher mon sperme dans sa bouche. Il n'avala pas et toute ma semence coulait de sa bouche sur mon sexe alors qu'il finissait de me branler. Je m'écroulais en arrière alors qu'il partait se refaire une beauté.

 

Quand il revint près de moi, la pression était redescendue. Ma libido également et je me sentais mal. A y regarder de plus près, Pascal ne m'attirait pas du tout! Je restai près de lui quelques minutes et me rhabillais prestement avant de rentrer chez moi. Une fois rentré, je consultais ma boite mail. Pascal m'avait écrit pour me féliciter de ma prestation, pour me dire qu'il avait adoré dépuceler mes fesses, et que je pouvais repasser chez lui n'importe quand. A la lecture de ce mail, je me rendis compte que je bandais de nouveau.

Malheureusement, nos chemins se sont séparés et je dois avouer que je n'ai jamais recroisé un initiateur expérimenté comme lui, mais je cherche toujours.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 9 novembre 6 09 /11 /Nov 16:02

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Je m'appelle Frank.

 

J'ai 30 ans, brun, mignon, 180, 70 (passif 80%) et je suis gay en couple.

 

Depuis un bon moment, mon mec ne me baisait plus et je commençais grave à être en manque.

 

Je n'avais envie que d'une chose : me faire péter le cul.

 

Mes nuit étaient de plus en plus moites et mon mec de plus en plus froid.

 

Trop préoccupé par le taf, pas moyen de le faire triquer, même avec mon trou de salope.

 

J'avais le feu.

 

C'est alors qu'un soir, alors que mon mec était allé se coucher tôt, je me suis connecté sur des sites de drague gay.

 

Me voilà parti à surfer sur mon site habituel et au bout de 30 min de dial avec plusieurs mecs dont certains étaient bien sûr complètement pipo, un mec de 22a bi (julien) me contacte et me demande si je suis chaud.

 

En même temps, sur un autre site, un mec de 40 a monté comme un taureau (22*7 cm)(pseudo :le destructeur) est de passage à l'hotel dans ma ville et veut se taper un bon cul docile.

 

Le dilemme! Julien commence à me chauffer grave sur le site et me dit qu'il est brun bogosse 180 65, mince avec une queue de 18*5cm.

 

Il me dit que sa meuf est pas avec lui en ce moment et qu'il a grave envie de se vider les couilles.

 

Il me dit qu'il se taperait bien une bonne bouche.

 

RDV pris sur le parking d'un supermarché à 23H.

 

Non content d'avoir enfin un RDV qui a l'air sérieux, je me résigne à dire au destructeur que je ne suis plus dispo.

 

C'est alors qu'il me propose de me recevoir à l'hôtel à minuit pour me dilater la rondelle.

 

Même si l'idée me séduisait, je ne pouvais m'empêcher de me dire que je ne pouvais pas me taper deux mecs le même jour à 1H d'intervalle.

 

Je ne suis pas une pute.

 

Certes, ça m'était déjà arrivé de tromper mon mec mais ça restait rare.

 

Je ne suis pas de ces salopes qui couchent avec n'importe qui.

 

C'est alors que je décide de lui dire bonne chasse et là il m'envoit une photo de son démonte -pneu.

 

Waouhhhhhhhhhhhhhhhh! Jamais vu une bite pareille en vrai, une matraque de fou bien droite, bien dessinée avec un gland énorme et toute veinée.

 

Le feu est monté en moi direct et j'avais presque envie de me doigter.

 

Une queue pareille, ça ne se refuse pas.

 

Je lui dit alors que je suis OK pour venir le voir à l'hôtel dans sa chambre.

 

Le truc est que j'ai déjà pris RDV avec ce julien et qu'il n'est plus connecté.

 

Je déteste l'idée de choisir entre les 2 et d'en planter un.

 

C'est ainsi que je décide de me rendre au RDV donné par Julien.

 

Je me gare sur le parking derrière le supermarché comme prévu.

 

Un peu en avance, j'éteins le moteur et allume l'autoradio.

 

J'avais mis un t shirt près du corps noir et un bas de survêt adidas avec rien en dessous.

 

Je me trouvais sexy.

 

Au moment où je mate dans mon rétro, je le vois arriver Il n'a pas menti, il est super mince, mignon et vient s'installer direct côté passager.

 

Les présentations faites, je lui demande où on va.

 

Il me dit qu'il est pressé et qu'il veut se faire sucer direct dans la caisse.

 

Je voyais déjà une bosse sympa déformer son jean serré.

 

Direct, je lui met la main au paquet en voulant l'embrasser mais il me repousse en disant qu'il n'embrasse pas les mecs.

 

Par contre, il me dit qu'a quelque chose pour moi de bien chaud, bien dur et bien gonflé, qui n'attend que ma bouche.

 

Je ne me fais pas prier et après un petit coup d'oeil rapide dans le rétro, je déboutonne le jean et sors direct sa queue qui a déjà atteint de bonnes dimensions.

 

Malgré une odeur un peu forte de bite en rut qui aurait pu m'écoeurer en d'autres circonstances, j'avale directe sa bite de 18*5cm juqu'à la garde et lui fait une bonne bite profonde.

 

Il gémit grave en disant qu'il faut que j'y aille mollo sinon il risque de juter en 5 minutes.

 

Je ralentis donc et m'attarde un peu sur ses couilles rasées, en le branlant doucement.

 

Hummmmmmmm.

 

Trop bonne, une queue bien dure.

 

J'ai trop envie de me faire baiser.

 

Je relève la tête et lui dit: '"tu veux me baiser?".

 

Il me dit qu'il n'a jamais sodo un mec, juste des plans suce et qu'en plus pas de place dans la caisse.

 

Je lui propose d'aller dehors.

 

Il finit par accepter et on se dirige vers un coin un peu plus sombre.

 

Le lieu est super excitant et un peu flippant aussi car pas loin du centre ville.

 

Je ne me pose pas trop de question et lui enfile une capote.

 

Après mêtre bien lubrifié la rondelle, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et le viole avec mon cul gourmand.

 

J'étais tellement excité qu'il m'a pénétré entièrement d'un coup.

 

Je couinais parce que ça faisait au moins un mois que mon cul n'avait pas été visité.

 

Au début, il était hésitant dans son limage de cul et y aller bien doucement pour m'habituer à la taille de son engin.

 

J'avais envie qu'il y aille plus fort, qu'il me démonte.

 

Ce qu'il finit par faire, par de bons coups de butoir et des gémissements peu discrets.

 

Je kiffais du cul.

 

AU bout de 10 minutes, je le sentais de plus en plus dur et c'est alors que j'ai amplifié mes mouvements de bassin en le suppliant de me baiser plus fort.

 

Il ne put se retenir plus longtemps et gicla en moi bien profond.

 

J'étais tout en sueur, il faisait encore chaud dehors.

 

Julien se rhabilla et voulu partir direct en me remerciant.

 

Je lui volais alors un baiser avant de partir et il me laissa faire.

 

Il était 23h40.

 

Juste le temps d'aller rejoindre le destructeur.

 

Je ne pensais pas vraiment que je pouvais avoir encore envie de me faire ramoner après une première baise mais c'était tout le contraire.

 

Je ne voulais plus rentrer et avait juste envie de me faire à nouveau prendre comme une lope.

 

Sans me poser de question, je filais vers le Formule 1 pour rejoindre le mec qui allait sans doute me faire passer un moment unique.

 

Devant sa chambre, j'ai failli repartir quand j'ai pensé à ce que mon trou allait subir.

 

J'étais loin d'imaginer ce qui allait arriver.

 

Le destructeur m'ouvrit et me jeta direct sur le lit en m'insultant de pute.

 

Il était juste en slip et j'étais grave flippé quand j'ai vu la taille de l'engin qui déformait son slip.

 

Sa queue dépassait sur le coté d'au moins 5 bons centimètres.

 

Jamais je n'avais eu si peur de me faire niquer.

 

Il ne m'a pas laissé le temps de réagir que déjà il était sur moi.

 

Sans ménagement, il me retourna comme une crêpe et me mis en position de chienne.

 

Pas le temps de me désaper, il baissa juste mon survêt sur les cuisses et me lécha le trou.

 

Surpris par le goût de gel, il m'insulta de plus belle et me traitant de chienne et que je n'étais bon qu'à me faire déchirer.

 

J'ai eu très peur mais déja son gland énorme défonçait mon trou et mon sphincter refusait de le laisser entrer.

 

Il gueulait.

 

Même si j'avais peur, je voulais qu'il me domine.

 

Ca ne m'était jamais arrivé.

 

J'avais envie de lui donner ce qu'il voulait.

 

Je croyais pourtant que sa queue était trop large pour mon trou.

 

Je lui donnais le gel qui restait dans ma poche mais il le balança dans la pièce.

 

Il me cracha sur la rondelle et ressortit son gland pour prendre son crachat.

 

J'en profitais pour me retourner et le repousser mais je n'avais pas sa force.

 

Il me mit sur le dos avec mes jambes sur ses épaules et commençait déjà à appuyait très fort contre mes parois anales.

 

Il rentra son gland et en un geste sûr mais moins violent que ce que je pouvais anticiper, il me pénétra jusqu'aux couilles.

 

Ca me coupa direct la respiration.

 

J'avais une teub de 22*7cm entièrement en moi.

 

Je n'arrivais pas à y croire.

 

Je reviens un peu à moi et là, il m'embrassa en s'excusant.

 

Toujours immobile mais à fond en moi, il me demanda s'il pouvait continuer.

 

Sans répondre, j'attirai son bassin vers moi pour qu'il pousse encore à fond mais à mon rythme.

 

Je commençais à prendre un pied de ouf.

 

Je perdais à nouveau le contrôle et me lima à fond pendant 15 bonnes minutes avant de me gicler dans le cul.

 

C'était l'extase et il s'était écroulé sur moi.

 

Il était toujours en moi et je me dis que c'était enfin la délivrance. Je ne comprenais pourquoi il ne se retirait pas. Au contraire, je le sentais toujours en moi et il reprenait de sa vigueur. Je n'y croyais pas. Alors, il me regarda à nouveau et me fis le plus sourire que je n'ai jamais vu. Tout ému que j'étais, je le laissais profiter encore de mon cul totalement détruit. Il me lima à nouveau 10 bonnes minutes,se retira et me jouis dans la gueule. Je venais de vivre la journée la plus folle de toute mon existence. Après m'être lavé avec lui, je repartis chez moi complètement défoncé (du cul) et me jura de recommencer....

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