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fan de histoires de mec

Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 01:48

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Ça c’est passer lorsque j’étais à l’internat j’avais 18 ans à l’époque.

Au réfectoire un soir je fais la connaissance de 2 mecs de 3eme année, un brun plutôt costaud et un blond de taille moyenne. On s’sympathise en bavardant un peu et à la fin du diner ils m’invitent à venir faire un poker dans leur chambre. Ne sachant pas trop y jouer mais les trouvant plutôt cool je ne refuse pas.

- T’as qu’à venir après 22h, après le passage du surveillant dans les couloirs…

- Ok…

En attendant l’heure je me douche et révise un peu mes cours. A 22h30 je frappe à leur porte.

- Vas-y entre…

Bien que se soit une chambre avec leur propre lit, ils l’ont aménagé comme un petit salon, possédant chacun un fauteuil pour regarder la télé avec entre les 2 une petite table ronde. Le blond se redresse et me tends la main en me disant.

- Cool… sert m’en 5…

S’en me méfier je lui sers une poigné de main. Me la tenant fermement, sans lâcher prise il me la dirige sur son entre-jambe. Là, sans avoir eu le temps de réagir le brun costaud se lève, me fait une clé du bras gauche et me bâillonne la bouche d’une main en me disant :

- Chuuuut…. Tais toi… si t’es sage tous se passera bien…

Je tente de me débattre mais le blond qui me tien encore le poigné me gifle de son autre main et me dis :

- T’as entendu c’qu’il t’a dit ? reste tranquille et ferme la sinon…ben sinon… tu risque de passer un sale ¼ d’heure t’as compris ?

J’acquiesce d’un signe de tête, il me lâche alors la main, dégrafe son pantalon et sort sa bite à demis molle. Le costaud toujours en me maintenant par le bras m’oblige à me mettre à me mettre à genoux et en enlevant sa main de ma bouche me dis :

- Suce-le…

Restant figé sur mes genoux le blondinet me prend par la tête et me fait basculer sur sa queue.

- Suce-moi…

De ma main libre je me repousse en arrière en criant en signe de désapprobation mais aussi par le mal de mon bras tenu fermement derrière le dos par le brutos qui me remet sa main devant la bouche puis le blondinet me voyant récalcitrant dit :

- Bon ben si tu veux pas comprendre on va passer à la vitesse supérieur…

En peu de temps qu’il ne faut pour le dire je me retrouve bâillonné avec une chaussette scotchée dans la bouche et les poignées ligotées derrière le dos d’une corde relié à mon cou pour bien me les tenir le plus haut possible. Ne pouvant plus rien faire et dire je ne peu que subir ma mise à poil. Pendant que l’un d’eux découpe mon T-shirt d’une paire de ciseau l’autre m’enlève le pantalon les chaussettes et les chaussures. Puis vient le tour de mon caleçon qu’ils déchirent violemment me retrouvant ainsi complètement nu. Les 2 mecs se rasseyent face à moi, ils m’inspectent de bas en haut et voyant ma queue recroquevillé sur mes couilles le blond me dit d’un air moqueur.

- Et ben dis donc… t’as pas été gâté par dame nature toi… pour le coup on va t’appeler p’tite bite…ha, ha, ha !!!...mais avant tous tu va apprendre à obéir…

Puis s’adressant à son pote :

- A toi de jouer… donne-lui sa 1ere leçon…

A ce moment je panique et prend peur car je le vois défaire sa ceinture, pétrifié, ne pouvant parler je fais non de la tête l’implorant des yeux de ne pas faire ce qui lui avait été demandé mais il se place derrière moi et m’assène un coup de ceinturon sur le cul. Comme tout un chacun d’instinct je me refuges comme je peu dans un coin de la chambre pour éviter d’autre coups mais le blond me reprend en mains, m’installe sur ses genoux, et reçois alors 5 grand coups de ceinturon sur les fesses de la part de son pote.

Bien que beuglant, mes cris son étouffé par la chaussette dans ma bouche et je pleur de douleur.

Suite à ce traitement le costaud me replace à genoux entre les cuisses de son pote. M’enlevant mon bâillon il me dit d’un air tranquille :

- Bon… ben maintenant que tu as reçu une correction tu va devenir plus docile n’est-ce pas ?

Reprenant à peine mon souffle je lui fais un oui de la tête.

- Très bien… alors vas-y suce moi…

Sans me laisser le temps de réagir le costaud qui est derrière moi me prend par le cou et me bascule sur sa bite en me disant :

- Allez… suce le…

M’appliquant du mieux que je peu je reçois néanmoins quelques gifles pour m’obliger à sucer comme il le désir.

- Mieux que ça p’tite bite… lèche… voila… maintenant suce… aspire… c’est bien p’tite bite… tu commence à savoir sucer… continu…

Il se fou à poil et en relevant ses cuisses me dis :

- Lèche moi le cul p’tite bite… vas-y… enfonce ta langue dans mon fion… hummm… Ouaiiii… c’est bon…

Après une alternance de bouffage de cul et de suce je dois passer à la bite de son pote pendant qu’il s’occupe de mon trou du cul en m’enfonçant un doigt. Me sentant serrer il m’enduit la rondelle de gel et sans précaution aucune il m’encule. La rentrée de son gland m’arrache un cri de douleur malgré la bite de son pote dans ma bouche et je reçois une claque sur le cul encore endolorie par les coups de ceinturons.

- Ta gueule p’tite bite…

Me voici pris en sandwiche, une queue dans la bouche et une autre dans le cul. Je me fais ramoner le fion violemment par ce blond en rut pendant que l’autre me baise la bouche. Sans me prévenir le costaud que je suce me joui dans la bouche, ne m’y attendant pas je recrache son foutre en toussant et le blond ne tarde pas à me remplir le cul de son jus. Ils me détachent en me disant :

- Bon allez… c’est bon maintenant casse toi…

Reprenant mes affaires sous le bras je rejoins ma chambre en passant par la douche pour me laver de toute cette souillure. Le lendemain j’invoquais une monté de température auprès de mon prof principale affin de rester cloitré dans ma chambre pour ne pas rencontrer mes 2 lascars mais le surlendemain je n’ai pu faire autrement que d’aller en cours. Au déjeuner les voici qui se joignent à moi.

- Alors p’tite bite… ça va ? on t’as pas vu hier…qu’est-ce qui t’es arrivé ?

Me sentant en sécurité en public je ne réponds pas et baisse les yeux.

- Hey p’tite bite... regarde moi et répond moi quand j’te parle…

- Foutez-moi la paix…

- Ho ! mais c’est que tu te rebifferais on dirait…

- Non mais maintenant que vous vous êtes bien amuser c’est bon… lâchez moi…pauvre taré va…

Mon dieu ! Que n’avais-je pas dit là !!!!! Je le sus aussitôt le soir même car tous d’2 firent irruption dans ma chambre.

Habilement je suis ligoté et bâillonné sans avoir le temps de dire ouf…

- Alors comme ça on est des pauvres taré ? et bien puisque c’est ça tu va apprendre à être correct…

Là, le blond me couche sur le ventre en me tenant bien sur mon lit pendant que je reçois 10 coups de ceinturon sur le cul de la part du costaud. Je me dandine tant bien que mal sous la douleur des coups et mes cris étouffé par le bâillon. La sentence fini je suis mis à genoux adosser sur le bord du lit, le blond se tien face à moi, il me débâillonne et me dit :

- Alors ? on est toujours des pauvres taré ? regarde-moi quand j’te parle p’tite bite…

Il a un sourire moqueur et visiblement satisfait de me voir les yeux rempli de larmes il déboutonne son pantalon, baisse son slip à mi-cuisses et me tends sa bite sous le nez.

- Allez p’tite bite suce moi la queue…

Devant ma résistance il me gifle en me disant :

- Tiens… ça c’est pour t’apprendre à obéir… maintenant écoute moi bien… tu va dorénavant obéir à tous les ordres que je te donnerais, à la moindre désobéissance de ta part tu recevras 5 coups de ceinturon de plus que ta sentence initiale… ce soir tu en es à 10 coups donc la prochaine fois se sera 15 coups puis 20, puis 25 etc.… à toi de voir… soit tu préfère obéir de ton plein gré soit tu préfère te faire rougir le cul… alors ? que décides-tu ?

Devant cet ultime choix j’ouvre ma bouche en signe d’approbation à lui obéir.

- Et bien voila… tu vois c’est pas compliquer… allez suce maintenant… voila c’est ça… avale la bien…hummm… tire la langue et lèche moi les couilles… hummm Ouaiiii… maintenant remonte le long de ma tige… hummm…. C’est bon ça…je pense que tu va faire une bonne salope et un bon vide couilles…continu à pompé…voila… c’est bien…

Le costaud qui à sorti sa bite est en train de se branler devant le spectacle, le blond m’ordonne de le sucer aussi, maintenu par les cheveux je passe de bite en bite en me faisant baiser la bouche. Le costaud est le 1er à jouir en se branlant et m’asperge le visage de son foutre pendant que je suce le blond qui lui aussi ne tarde pas à venir en me giclant dans la bouche. Bien que j’en avale une petite partie je recrache le reste en suffoquant et en toussant.

- Hey !!! faut pas recracher la crème comme ça !!!… bon pas grave pour aujourd’hui mais la prochaine fois tu avale la sauce compris ?

Il me détache et ramassant mon T-shirt il s’essuie la teub avant de me le balancer au visage.

- Tiens p’tite bite nettoie toi la gueule et tous c’que t’a recracher avec et demain soir tu viens avec nous rejoindre dans notre chambre.

Le lendemain je frappe à leur porte portant mon T-shirt taché de sperm sécher, ils sont déjà en slibard bien ancré dans leur fauteuil.

- Approche p’tite bite…déshabille toi mais garde ton T-shirt… une salope doit toujours rester souillé de foutre… à genoux et caresse nous la bite…humm… je vois que tu es devenu un peu plus docile… la leçon d’hier t’as servi à quelque chose au moins…

Je m’occupe donc à caresser leur bite que je sens peu à peu gonflé sous le tissu de leur slip, le blond m’ordonne de le sucer, je lui sors alors sa teub et commence à le pompé.

- Hummm… voila… c’est ça… avale la bien… oufffffff…. Oui comme ça… tu commence à bien maitrisé maintenant… vas-y lèche… c’est bon la bite hein ?

Le costaud s’est débarrasser de son slip et se paluche la queue en me regardant, le blond m’ordonne de le sucer aussi.

- Vas-y salope… pompe moi bien…

Pendant que je suce le blond se met derrière moi pour m’écarté les fesses, crache sur ma rondelle et y introduit un doigt, il me travaille un peu le fion avant de m’enculer. Ça y est… il se place bien devant mon cul, je sens son gland me caresser le trou et force le passage ce qui m’arrache un cri de douleur.

- Ta gueule p’tite bite… t’es pas là pour beuglé mais pour encaisser les coups de bites…met toi bien dans le crâne que tu n’es qu’un vide couilles et bon qu’à te faire baiser… allez… bouge ton cul maintenant… allez bouge !... enfonce toi mon pieu dans ton cul… travaille toi le fion…allez !!!... ramone toi bien la cheminé… voila comme ça… c’est bien… ondule bien du cul

Sous ses ordres j’utilise sa bite comme un god avant qu’il ne prenne les choses en main. Me tenant par les hanches il m’encule à fond et me baise violemment.

- Han, han… hummm… t’as un bon cul de salope… tiens, tiens… prend ça…

Après quelque bonne 10ene de mn à me faire fourrer il laisse sa place au costaud pour se faire sucer.

- Tiens… sens l’odeur de ton cul… allez suce…

Le costaud se déchaine dans mon cul et ne tarde pas à se vider les burnes dans mes entrailles dans un grand râle de plaisir.

- Haaaaaa !!! Haaaaaa !!! putain !!!.... c’est bonnnnnn….. hummm…..

Il reste planté dans mon cul pendant que le blond continu à me baiser la bouche pendant un petit moment.

- Ho putain ! j’vais jouir… t’as intérêt à tout avalé salope…

Je sens son gland doublé de volume avant qu’il ne m’envois sa purée.

- Allez… avale salope, avale… et n’en perd pas une goutte…c’est du bon nectar ça…hummm… hummm…

Je réussi tans bien que mal à déglutir tous son foutre. Le costaud ayant débandé sort de mon cul et me tends sa bite flasque englué de sperm à nettoyé.

- Hummm… allez c’est bon… on a plus besoins de toi tu peu retourner dans ta piaule…

C’est ainsi que j’ai passé le restant de l’année à leur servir de vide couilles, répondant toujours présent à leur demande au minimum 3 fois par semaine. Quelques fois dans la journée lorsque l’un ou l’autre en avait envient ils m’ordonnaient de les suivre aux chiottes ou dans un coin du campus pour se faire sucer ou m’enculer en respectant scrupuleusement la consigne d’avalé leur foutre ou bien de leur nettoyé la bite après chaque enculade.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Mardi 11 décembre 2 11 /12 /Déc 11:46

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Ce jour là, avec mon frère cadet, notre copain Robert et son frère, nous nous étions rendus comme souvent sur un terrain vague situé sur une hauteur à proximité d'un ancien fort qui avait sauté lors de la guerre avec tous ses occupants et qui était transformé en mausolée.

Le terrain était parsemé de cratères, probablement des trous d'obus, d'un diamètre de deux à trois mètres et d'une profondeur de un à un mètre cinquante. Nous nous installions à plat ventre sur le flan d'un de ceux-ci pour observer les mouvements des avions sur l'aéroport militaire tout proche.

Comme souvent, petit à petit, nous en sommes venus au sexe. Nous avions décidé d'une séance de masturbation et Robert avait proposé de nous faire branler chacun notre tour par les autres. C'est son frère qui s'était proposé pour être le premier bénéficiaire.

Nous lui avions baissé la culotte et le slip pour mettre à nu son sexe déjà érigé, quand mon frère nous a prévenu de l'arrivée d'un homme. André s'est levé en remontant ses vêtements pour voir de quoi il s'agissait. Nous n'étions pas à l'aise. Nous n'avons pas demandé notre reste, nous avons repris nos vélos et nous sommes partis. Nous nous sommes moqués d'André en lui disant que s'il s'était redressé, c'était pour montrer son pénis au bonhomme.

Le soir en me masturbant dans mon lit, j'ai repensé à la scène de l'après-midi et je me suis demandé ce qui se serait passé si nous avions continué. Je me suis senti un peu plus excité que d'habitude.

Le lendemain j'ai entraîné mon frère au même endroit. Je l'ai un peu émoustillé, et nous en sommes venus à sortir nos sexes et à nous caresser l'un l'autre. Le même homme est arrivé. Mon frère l'a vu.

— Attention! a-t-il dit.

Et il a lâché ma queue. J'ai gardé la sienne en main.

— Continue...

Comme il était bien excité, il s'est exécuté. Notre visiteur s'est approché jusqu'au bord du trou et s'est arrêté. Il a sorti sa bite en nous regardant et il s'est masturbé. Elle m'a paru énorme. À chaque mouvement, on voyait sortir un bout tout rouge. À ce moment, mon frère a joui et m'a lâché. J'ai continué moi même. J'étais habitué. Quand j'avais des relations avec d'autres, ils jouissaient avant moi et n'avaient plus envie de continuer. C'était un peu frustrant. J'étais obligé de me finir seul. Par la suite j'ai compris que c'était un avantage.

Pendant ce temps, notre voyeur continuait à se satisfaire. Cela m'excitait terriblement de le voir et j'ai éjaculé. Il a joui pratiquement en même temps que moi, projetant son sperme très loin. Il a de suite rentré son sexe et il est parti. Le tout s'est déroulé sans prononcer une parole.

Le jour suivant, je ne sais plus comment j'ai fait pour me débarrasser de mon frère et des copains, mais toujours est-il que je me suis rendu seul au terrain vague. J'étais à peine en place qu'il est arrivé. J'étais debout au fond du trou. Il s'est arrêté sur le bord comme la dernière fois. Puisqu'il était là pour voir, je n'ai pas hésité une seconde et j'ai descendu ma culotte et mon caleçon. J'étais terriblement bandé. Ma queue me faisait mal. Je l'ai prise en main et j'ai commencé à me masturber. Il a sorti la sienne et a fait de même. Très vite, il est descendu doucement dans le trou. J'ai eu un peu la trouille, mais je n'ai pas bougé et j'ai continué.

Il est venu s'agenouiller devant moi. Il a écarté ma main, a pris mon sexe et m'a masturbé doucement, continuant de se branler de l'autre main. C'était sublime. Je ne sais pas pourquoi, mais cela n'avait jamais été aussi bon avec mes copains. Je sentais mon plaisir monter en flèche. J'ai cru devenir fou quand tout à coup il a pris ma verge dans la bouche. J'ai tenu à peine quelques secondes et j'ai joui comme un dément. Il m'a gardé en lui et a recueilli ma semence. Je croyais que le plaisir ne s'arrêterait jamais tellement il renaissait à chaque instant et à chacun de ses mouvements.

Quand j'ai été calmé, il s'est rajusté et m'a quitté comme la veille.

Il est évident que je n'en suis pas resté là et le lendemain j'y suis retourné. Quand je suis arrivé il était déjà là, mais pas tout a fait au même endroit. Il était près d'un trou plus profond dont trois des parois étaient verticales. Dans l'une d'elles, il y avait une petite plate-forme qui formait comme un banc à une soixantaine de centimètres du sol. Nous sommes descendus et il m'a fait mettre debout sur cette banquette. Il a détaché ma ceinture puis m'a enlevé la culotte tout en me caressant les jambes. Mon slip a suivi. Il a continué de me cajoler partout, sur les jambes, l'entrejambe, les fesses, la poitrine sous ma chemise. Il a joué un peu avec mon sexe, puis l'a pris en bouche en continuant ses caresses.

J'étais dans un état indescriptible. Quand il a senti que j'approchais du point de non retour, il a cessé ses attouchements et m'a fait asseoir. J'ai immédiatement compris ce qu'il voulait. Au stade où j'en étais, j'aurais fait n'importe quoi. J'ai avancé les mains et j'ai à mon tour détaché son pantalon. Je l'ai fait glisser sur ses cuisses. Il ne portait pas de dessous et toute sa boutique m'est apparue. C'était encore plus impressionnant. Pourtant je me rendrais compte plus tard qu'il n'avait rien d'exceptionnel. Son cylindre était parcouru de veines saillantes et le gland complètement dehors. Sa tige sortait d'une touffe de poils importante et la gaine de ses couilles était aussi couverte de poils.

J'ai osé la prendre en main et j'ai rapidement trouvé la méthode pour recouvrir et à nouveau découvrir la tête avec la peau. C'était super de manipuler cet engin plutôt que les modestes choses habituelles qui disparaissaient presque dans une main fermée. J'avais peine d'en faire le tour avec une seule main et je me suis rapidement aidé de la seconde. Je l'ai masturbé longuement. J'ai pensé que mes copains auraient déjà craché depuis longtemps. De temps en temps, il poussait un petit gémissement.

À un moment, j'ai senti qu'il prenait encore du volume et durcissait plus. Sa verge palpitait dans mes mains. Il m'a alors fait coucher sur le flanc et s'est étendu à côté de moi le tête vers les jambes. Il a repris ma pine en bouche. Cette fois, il a été beaucoup plus actif. Par moment, il entrait même les boules. Il a placé les main sur mes fesses et les malaxait au rythme des mouvements de sa bouche.

Sa queue était à ma portée et je l'ai prise en main. J'ai recommencé mes mouvements de masturbation comme avant notre changement de position. Je sentais le plaisir monter en moi. Je me suis aperçu que je faisais des mouvements de hanches pour aller et venir dans sa bouche. Il me tenait ferme les mains toujours sur mes fesses. Et j'ai joui comme jamais je ne l'avais fait. Il a recueilli jusqu'à la dernière goutte de ma liqueur. Lui-même a alors éjaculé, m'envoyant les premiers jets sur le visage, le reste se répandant sur mes mains.

Quand nous avons repris nos esprits, il m'a fait mettre debout. Il était devant moi. Il a sorti une serviette et délicatement m'a essuyé le visage et les mains. Il a pris mon sexe débandé entre le pouce et l'index et doucement, délicatement m'a dégagé le gland poisseux de mon sperme. Il a passé sa langue sur celui-ci pour nettoyer toute trace. Je n'ai pas aimé. Après la jouissance, mon gland était super sensible et c'était plus un désagrément qu'une caresse.

Il a alors remonté son pantalon sur son sexe aussi au repos et m'a quitté comme précédemment sans toujours prononcer un mot.

Le soir je me masturbais en repensant à l'après-midi, jeunesse oblige. Je me demandais si la prochaine fois j'allais oser prendre sa queue en bouche comme il avait fait avec la mienne.

Il n'y a jamais eu de prochaine fois. J'ai eu beau retourner au terrain vague, je ne l'ai jamais plus rencontré.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Dimanche 9 décembre 7 09 /12 /Déc 02:15

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— Les garçons, au lit, il est l'heure... !

— Oh Papa, non... !

— Au lit, j'ai dit. Il y a école demain, non...?

Tous les soirs, se déroulait le même rituel, presque immuable. C'était comme s'ils eussent joué une scène, toujours la même, mais sans jamais s'en lasser. Ils semblaient tous trois, bien au contraire, y prendre un plaisir chaque soir plus intense, plus profond, lié précisément à la répétition. Loin de générer une quelconque lassitude, les gestes refaits encore et encore, les paroles cent fois redites, acquéraient une espèce de perfection formelle, qui se suffisait presque à elle-même et ancraient en eux leur sentiment d'appartenance réciproque. Leur amour. Le sens même des mots, des phrases, ne comptait pas. Seul importaient les regards, les frôlements, les attitudes. Leurs corps, leurs yeux, leurs mains tenaient pour eux le langage que, tous trois, ils aimaient tant à s'entendre parler.

Sébastien, assis sur la moquette et adossé au canapé entre les jambes paternelles, se leva le premier, dépliant avec lenteur son jeune corps souple et délié. L'activité physique intense de l'adolescence, skate-board, basket et autre VTT, avait déjà modelé le relief naissant de son torse et ses jambes, longues et fuselées, s'épanouissaient en de petites fesses serrées, rondes et haut perchées. Désirables.

Debout, il se retourna, souriant, vers son père toujours enfoncé dans le canapé, un bras passé autour des épaules de son frère Mathieu. Celui-ci, à regret, sentit le poids rassurant, la chaleur du bras de son père se retirer de ses épaules, alors que se défaisait l'étreinte dans laquelle il l'avait tenu la soirée durant, devant le film à présent terminé. Mathieu se leva à son tour, prenant appui sur les cuisses paternelles. Tout comme son frère, l'adolescent au corps bien formé, aux traits réguliers, était visiblement l'heureux dépositaire des mêmes gênes qui semblaient assurer aux spécimen mâles de la famille cet exceptionnelle vitalité et cette éclatante vigueur qui faisaient dire autour d'eux...

Les deux fils Jacquier, ils sont aussi réussis de leur personne que leur père... !

A quoi il se trouvait toujours quelqu'un pour rétorquer...

Pas étonnant, dites... Arnaud Jacquier, il en a quand même remporté quelques uns, des championnats de culturisme, hein !

Arnaud Jacquier, détournant les yeux de l'écran où défilait le générique du film qu'ils avaient regardé tous trois blottis l'un contre l'autre, se sentit, comme à chaque fois qu'il posait le regard sur ses deux fils, rempli d'orgueil, de fierté et d'amour paternels. Mathieu n'était le cadet de Sébastien que de dix mois et les gens les prenaient souvent pour des jumeaux. Il sourit aux deux adolescents si beaux.

Le rituel pouvait commencer.

Sébastien fit le tour du canapé et, dans le dos de son père, noua ses deux bras autour du cou puissant de celui-ci. Se penchant sur son visage, il déposa un baiser sur les lèvres épaisses d'Arnaud Jacquier qui avait renversé la tête en arrière pour le recevoir et, sans retirer ses lèvres, murmura, presque dans la bouche de son père :

Tu viendras nous dire bonsoir, Papa ?

— Quand est-ce que je suis déjà allé au lit sans vous dire bonsoir ? dit son père.

L'haleine paternelle, faite d'un léger parfum de tabac brun, de dentifrice mentholé et du goût familier de sa salive agissait comme un aphrodisiaque sur l'adolescent.

Mathieu, quant à lui, de deux doigts hardis, avait ouvert un bouton supplémentaire à la chemise de son père. Glissant la main dans l'échancrure, il s'attarda un peu sur les pectoraux épais d'Arnaud Jacquier, flattant d'un doigt léger un des gros mamelons d'homme. Comme à chaque fois, il se réjouit intérieurement que son père eut arrêté la compétition de culturisme, à présent. Ainsi, il pouvait conserver toute la superbe toison brune qui était la sienne, recouvrant son torse, son ventre, ses cuisses, ses avant-bras... et qui mettait si bien en valeur son corps puissant à la musculature plus lourde à présent, moins écorchée, comme disent les culturistes, mais si sensuelle, si mâle.

— Tu ne tarderas pas trop, dis Papa... ?

C'était une autre des phrases de leur rituel du soir. La réponse habituelle vint, soufflée plus que dite par la voix basse, chaude et virile de leur père.

— Montez dans votre chambre, les garçons. Je viens vous dire bonsoir tout de suite.

Sébastien avait rejoint Mathieu et les deux adolescents serrés l'un contre l'autre, chacun un bras passé autour de la taille de son frère, n'eurent pas besoin de se concerter. Leurs yeux ardemment plantés dans ceux de leur père qui les fixait tout aussi intensément, la réponse de chaque soir vint à leurs lèvres en un accord parfait.

— On t'attends. Viens vite, Papa.

.../...

Depuis leur plus tendre enfance, Sébastien et Mathieu partageait la même chambre. Ayant un peu grandi, leur père leur proposa tout naturellement d'avoir à présent chacun leur chambre. Les deux adolescents s'y refusèrent aussitôt d'une seule voix. Arnaud Jacquier n'insista pas et accéda de bonne grâce à la requête des garçons qui avaient souhaité occuper également le même lit. Dans la semaine, il avait fait livrer un immense lit bas, le plus grand qu'il avait pu trouver. Sébastien et Mathieu y dormaient, y jouaient, y étudiaient, y luttaient et d'une manière générale, l'utilisaient comme le terrain favori de tous leurs jeux.

Repensant à ce jour pas si lointain où, se jetant dans les bras l'un de l'autre, effrayés à l'idée que leur père voulût les séparer, les deux gamins s'étaient écrié ...

— Papa, oh non Papa... Sébastien et moi, on veut dormir ensemble... toujours !

— Oui Papa... avait ajouté Mathieu... moi, je ne peux pas dormir si je ne suis pas tout près de Sébastien, alors...

... Arnaud Jacquier, ayant éteint la télévision, puis toutes les lumières du rez-de-chaussée sauf la cuisine - ils avaient toujours soif et faim, après - gravissait lentement les marches qui menaient au premier étage. Il n'aurait pu être plus entièrement, plus totalement conscient du bonheur, de la chance qui était les siens. Il se sentait déborder d'amour pour les deux adolescents. La suite du merveilleux rituel de chaque soir l'attendait là-haut.

Dans la chambre dont il avait poussé la porte sans bruit, ne subsistait que la faible lueur des lampes de chevet de part et d'autre de l'immense lit bas des deux garçons. Silencieusement, il gagna sa place habituelle, un grand et confortable fauteuil dans un angle de la pièce plongé pour l'heure dans l'obscurité et d'où il pouvait jouir du spectacle qui s'offrait à lui sur le lit baigné d'ombres et de lumière douce et chaude.

Sur le lit, comme s'ils n'avaient pas remarqué la discrète entrée de leur père, vêtu chacun d'un slip et de chaussettes d'un blanc immaculé, Sébastien et Mathieu se faisaient face, assis sur leurs talons. Rapidement, presque furtivement, ils échangeaient de petits baisers sur les épaules, dans le cou, dans les cheveux, sur le visage. Leurs mains qui se cherchaient s'étaient rejointes et chacun déposait sur leurs doigts entre-mêlés d'autres baisers empressés. Bientôt, leurs bouches cessèrent leur exploration et leurs lèvres, graduellement, ne ciblèrent plus que leur visage, se concentrant sur leur front, leurs yeux clos, leur nez, leur menton. Leurs doigts se défirent et, chacun tenant le visage de l'autre entre ses mains, leur langue dardée hors de leur bouche s'effleurèrent d'abord, se touchant, se cherchant, se perdant pour mieux se retrouver, jouant une parade dont eux seuls connaissaient le scénario et qu'ils n'interrompaient brièvement que pour murmurer...

— Je t'aime, Mathieu...

— Je t'aime aussi, Sébastien...

Longtemps il s'embrassèrent ainsi, la langue hors de leur bouche. C'était leurs façon adolescente à eux de s'embrasser, les baisers appuyés, profonds, mouillés et passionnés étaient réservés à leur père. Celui-ci, tapi dans l'ombre de la chambre tel un grand fauve guettant ses proies, sentait son sexe se dresser dans son boxer qu'il avait gardé.

Les caresses des deux garçons, bien vite gagnèrent leurs bras, leur torse, leur dos. De temps à autre, tandis que l'un goûtait d'une langue avide le jeune torse lisse de son frère, s'attardant sur l'un des petits seins dressés par l'excitation grandissante, l'autre rejetait la tête en arrière et glissait alors un regard vers ce coin sombre de la chambre où ils savaient tous deux que leur père, même s'ils ne pouvaient le voir, se délectaient de leurs ébats, de chacune de leurs caresses. Les soupirs d'aise, alors, étaient destinés à leur géniteur.

Il y avait peu, Sébastien et Mathieu avaient découvert que leur père, même s'il n'en avait rien dit, mais les deux adolescents sentaient si bien ces réactions paternelles, aimait particulièrement à les voir se déshabiller. Aussi, lorsqu'ils l'attendaient ainsi au lit, n'étaient-ils jamais entièrement nus. Ce qu'Arnaud Jacquier aimaient particulièrement, c'était de voir ses deux fils se déshabiller, certes, mais plus encore de les voir se déshabiller... mutuellement. Il voyait là, à raison, une telle marque d'intimité incestueuse, de confiance fraternelle, d'amour adolescent... qu'il en était bouleversé et excité au plus haut point.

Les deux jeunes garçons, en un ballet d'un incroyable érotisme que l'on aurait pu croire chorégraphié à l'avance, sans cesser de se caresser, de s'embrasser, dépliaient à présent leurs membres souples. Sébastien, d'abord, fit lentement glisser le petit slip blanc de Mathieu le long de ses hanches étroites, le passant sous les fesses rebondies du garçon, le faisant glisser avec sensualité le long des cuisses lisses, puis des mollets de son frère cadet. Mathieu, à son tour, fit de même pour son frère, prenant grand soin de le placer en un angle où son père jouirait pleinement du spectacle des fesses du garçon se découvrant sous les doigts agiles de son frère.

En un même mouvement, les deux petits slips, adroitement lancés, atterrirent sur la moquette aux pieds d'Arnaud Jacquier. Les deux adolescents ne pouvaient toujours apercevoir leur père dans l'ombre. Ils adressèrent pourtant un sourire ravi et gourmand à leur invisible géniteur quand ils virent le fort avant-bras velu de celui-ci sortir de l'ombre et sa grande main se saisir des sous-vêtements de garçons qui, à leur tour, disparurent dans l'ombre. Il avaient pris soin de garder tous deux leurs courtes chaussettes blanches et c'était si beau, leurs longues jambes galbées à la peau lisses,douce et bronzées, leur corps entièrement imberbe - ni Sébastien ni Mathieu ne montraient encore le moindre signe d'une pilosité naissante en aucun endroit de leur peau sans défaut - vêtus seulement de ces chaussettes.

Sébastien et Mathieu roulèrent ensemble sur le lit, étroitement enlacés, reprenant leurs caresses et leurs baisers en des endroits nouveaux à présent révélés par leur effeuillage réciproque. Leurs doigts glissaient légèrement le long de leur raie à la peau si douce, effleurant leur anus. Leur langue lapait à petits coups rapides, au passage, leur jeune sexe dressé au dessus des petites bourses lisses encore. Il leur arrivait parfois, refermant leurs lèvres sur un gland happé à la faveur d'une roulade, de se sucer légèrement, mais très peu, comme subrepticement. Tout comme il arrivait à une langue dardée de se glisser un instant dans un anus se retrouvant soudain offert devant le visage. Mais rien de plus. Tous comme les vrais baisers mouillés, ces caresses profondes, appuyées, étaient réservées à leur père et les deux garçon le savaient fort bien, n'empiétant jamais lors de leurs jeux érotiques sur le terrain de chasse de leur père, le mâle dominant.

Non, c'était plutôt comme les jeux lubriques de deux jeunes chiots en chaleur, de deux petits faunes dans la nature, attendant le satyre qui, lui, saurait les satisfaire. Car les deux garçons savaient bien qu'ils ne pouvaient se donner mutuellement satisfaction. Nul ne possédait ce qu'il fallait pour cela, ce dont tous deux avaient tant besoin, ce qu'ils appelaient ainsi de tous leurs vœux, de toute leur parade amoureuse chaque soir pour les combler... le sexe majestueux que leur père, ce mâle lourd, puissant et si brun de poil portait entre ses cuisses épaisses. Il pouvait, lui, leur arracher des cris de bonheur rien qu'en les pénétrant avec sa langue ou l'un de ses doigts. Combien de fois ne les avait-il pas fait atteindre l'orgasme ainsi, simultanément, rien qu'avec un doigt dans leur anus, y compris en des endroits publics ?

Alors, pour l'heure, ils ne pouvaient que s'agacer ainsi mutuellement, prenant et faisant prendre à l'autre les poses les plus propices à exhiber aux yeux de leur père, là-bas dans l'ombre, les endroits les plus secrets de leur intimité qu'il caressaient ou se faisaient caresser complaisamment, s'accompagnant de rires excités et de soupirs d'aise qui étaient une musique aux oreilles d'Arnaud Jacquier.

Celui-ci, toujours carré dans le grand fauteuil, ne perdait rien du spectacle qui lui était si gracieusement offert. Humant de temps à autre les deux petit slips blancs de ses fils qu'il tenait sous ses narines et dont le parfum chaud et propre lui était un aphrodisiaque puissant, il jouissait de la beauté de ses deux jeunes fils qui, nus, se caressaient et s'embrassaient aussi effrontément sous les yeux de leur père.

Arnaud Jacquier n'avait jamais vraiment compris ce fantasme si répandu chez les hétérosexuels, qui consistait à assister aux ébats de deux lesbiennes. Le désir, le plaisir de ces femmes, lui semblait-il, l'excluait totalement, lui le mâle. Elles n'avaient aucun besoin de lui. Tandis que ses fils, ces deux adolescents... tout, absolument tout en eux lui criait leur désir, leur besoin de lui

Ce soir, comme c'était souvent le cas, Sébastien et Mathieu étaient toute tendresse, tout amour, tout érotisme adolescent l'un pour l'autre, si visiblement désireux d'attirer leur père qui viendrait bien vite les combler tous deux. Chacun de leurs gestes, chacune de leurs attitudes, chaque baiser, chaque caresse était une invitation à l'accouplement en direction du mâle dont les deux adolescents attendaient le bon plaisir. Mais cela n'était pas tous les soirs ainsi. Certains soirs de grande chaleur, Arnaud Jacquier avaient vu ses deux jeunes fils comme fous de désir, la bave aux lèvres, feulant comme des femelles en chaleur, ramper littéralement à ses genoux, leur croupe nue et offerte en l'air, appelant le mâle, cherchant, provoquant un accouplement contre-nature qu'ils souhaitaient sauvage, sans retenue. Comme il aimait ses deux fils pour cela aussi... comme il retrouvait bien en eux le tempérament si sexuel qui avait toujours été le sien.

La voix enamourée de Mathieu, son cadet, le sortit de sa rêverie. Le dos arc-bouté, les cuisses ouvertes, il ouvrait son petit anus à la caresse des doigts de son frère. Celui-ci, de temps à autre mouillait son index de sa salive et le replaçait à l'entrée du jeune garçon.

— Oui, oh oui Sébastien... oui, s'il te plait... je ne peux plus attendre !

Sébastien, plus raisonnable, déposait de petits baisers sur les lèvres de son frère, cherchant à l'apaiser tout en continuant de caresser doucement son petit trou.

— Chut, chut chéri... là, doucement... non, tu sais bien, c'est pour Papa, c'est seulement pour Papa...

Arnaud Jacquier sut alors qu'il était temps. Il se leva, quitta son boxer et, entièrement nu, sortit de l'ombre.

— Voilà Papa... souffla Mathieu. Les deux adolescents, une fois de plus, restaient sans voix au spectacle majestueux de leur père. Nu, lourdement musclé et si poilu. Sur le torse, les pectoraux, le ventre, le bas-ventre, les cuisses, les avant-bras... si dense était sa toison qu'on voyait à peine sa peau brune. Arnaud Jacquier, maintenant qu'il ne s'astreignait plus aussi sévèrement à un régime alimentaire de compétition, atteignait les 120 kg sur la balance. Ses énormes pectoraux retombaient sur son torse, les seins pointant vers le bas. Ses épaules, ses bras, ses cuisses... tout en lui ne montrait que puissance, épaisseur, force masculine. Son sexe ne faisait pas exception. Les deux frères, comme à chaque fois, en avaient le souffle coupé d'envie d'admiration, de désir. Le membre, raide et palpitant, au gland luisant et mouillé, se dressait à la verticale, veineux et agressif. Leur père flatta la bête de la main, lui faisant lâcher un peu plus de jus clair encore. Il s'avança vers le grand lit, tandis que les deux frères, leurs préliminaires si merveilleusement accomplis, chauds et prêts maintenant, se mettaient en position de recevoir leur père en eux.

Oui, décidément, il était temps, à présent.

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Jeudi 6 décembre 4 06 /12 /Déc 11:50

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Mon portable sonne.

— Allo, m’sieur?

— Oui, c’est qui?

— Khem, le petit beur de l’autre soir. Je vous appelle d’une cabine... J’suis dans le coin.

Au bout de quelques secondes, je me rappelle de ce petit beur bien chaud à qui j’avais donné mon numéro de portable.

— C’est sympa de m’appeler. Ça veut dire que tu as pris ton pied l’autre soir!

— Oui, je voudrais vous revoir, m’sieur.

— Tu es libre ce soir?

— Non, maintenant! dit-il.

Je n’ai pas pour habitude de laisser les mecs fixer les rendez-vous mais, là, je sens l’excitation à 100%. Ce petit mâle est en manque de bite. Je suis en train de travailler chez moi, mais impossible de laisser passer cette occasion. Je lui donne mon adresse et lui dis de se pointer vite fait. Cinq minutes plus tard, j’ouvre la porte à ce petit mec hyper chaud. Il est là devant moi. Je prends un instant pour l’observer. Il a sa casquette à l’envers sur la tête, le regard vif, un look un peu racaille mais pas trop.

— Bonjour, m’sieur! me dit-il d’un air trop sûr de lui.

Il va falloir le remettre à sa place. Je tends la main et je lui attrape la bite à travers le survêtement. Il grimace un peu mais joue au fort.

— T’avais oublié ça?

— Quoi m’sieur?

— Que j’aime décider et imposer!

Je le tire contre moi et l’embrasse d’abord tendrement, puis goulûment. Ma langue s’infiltre dans sa bouche et la fouille sans ménagement. Il est tout à moi. Son regard a changé en vingt secondes. Il est venu pour subir. C’est son choix.

— Touche-moi la bite!

Il me palpe le paquet et caresse les contours bien dessinés de mon engin en grande forme. J’adore cette sensation: sentir ma queue dans une main qui se presse et vénère. Il est directement à genoux. Il connaît parfaitement la position adéquate. Je sens son visage qui se frotte contre mon bas-ventre. Ses mains s’agitent sur ma bosse, il baisse mon jogging avec sensibilité et sensualité.

— Doucement! Tu as compris?

— Oui, m’sieur!

Son regard me chavire. Je crois que j’en suis dingue. Il regarde jaillir ma bite et se retrouve face à elle. Il n’y touche pas. Il attend. Il sait que c’est «Monsieur» qui décide. Il la respire. Vénération. Cette langue palpitante rebondit contre mon ventre. Mon petit beur sait ce qui va lui arriver tout à l’heure. Elle entrera en lui pour l’emmener au paradis. Sa langue avance et reste en suspension. Je regarde. Je suis fier de lui. Il est beau et obéissant.

— Lèche!

Il me remercie des yeux. Il lèche le bout de mon engin légèrement humide. Il soulève la tête et me regarde. C’est comme une supplique. Il la voudrait toute en bouche, bien au fond de sa gorge.

— Vas-y! Pompe!

Il enfonce le gland tout en soutenant mon regard. Je n’y vois pas d’arrogance mais juste du respect et de la dévotion. Ce petit beur a été dressé à adorer la bite. Ses lèvres épaisses, comme celles de beaucoup de garçons de sa race, aspirent mon sexe tendu et le sucent avec conviction. Que penseraient ses potes s’il le voyaient ainsi, à genoux, à pomper un mec? Mon petit esclave tète. Il suce. Il aspire. Il lèche. Il mouille ma queue qui exulte. Un filet de bave s’échappe de sa bouche quand ma queue en sort.

— Tu fais ça bien! Continue! Si tu veux TA récompense, continue à t’appliquer.

— Bien, m’sieur!

— N’oublie pas de passer ta langue partout...

Ce gamin – c’est déjà un homme avec ses 19 ans mais il a des airs de gamin! – ne m’appartient pas. Il est juste à mon service; au service de mon plaisir. Le voir ainsi me rend tellement heureux. Je sais que ces moments resteront dans ma mémoire et me serviront, un jour, à enrichir mes plaisirs nocturnes et solitaires.

Sa bouche se trouve à hauteur de mes deux couilles poilues.

— Suce mes boules!

Je sais qu’il est prêt à tout. Je presse son crâne afin qu’il travaille à fond avec sa langue sur mon entrejambe.

— Ouais, vas-y, joue avec la pointe!

Je n’en peux plus. Je vais exploser. Il le sent et s’excite un peu trop.

— Calme! Calme-toi!

Je tente de faire durer le plus possible. J’ai l’habitude de prendre mon temps, mais la situation est vraiment trop excitante.

— C’est bon, m’sieur! Elle est bonne votre bite...

Ce gamin se délecte de ma bite. Il me regarde, me supplie de lui permettre d’aller plus loin. Je prends ma queue en main et passe et repasse mon gland sur son visage. Je la claque contre ses joues. Il ouvre bien grandes ses mâchoires et je titille ses lèvres.

— Prends-la à fond et garde-la!

Il l’enfourne et la garde au fond. Je devine que c’est dur pour lui. Il s’étouffe presque. Il a envie de vomir mais, pour moi, il tient.

— Bien, bien! respire!

— Merci, m’sieur!

Putain, quel pied.

— Je vais jouir, tu veux mon sperme?

— Oh oui, m’sieur, mais...

Je devine à quoi tient ce «mais».

— Elle reprendra vite des forces pour te récompenser.

— Merci m’sieur!

C’est dans son cul qu’il la veut. Il est venu pour la prendre dans ses deux trous. Il me sourit. Ses dents sont bien rangées, d’une blancheur éclatante. Il a une gueule d’ange. Des salves de mon liquide visqueux et onctueux jaillissent pour atterrir sur son visage et dans son cou. Un fil de sperme pend à son nez. Je le maintiens devant moi, frottant mon gland sur sa bouche.

— Tu aimes ça, hein?

— Oh oui, m’sieur. C’est trop bon.

— Lève-toi!

Il se relève. Je l’embrasse. Il se laisse guider en tout.

— Et vous, m’sieur, vous avez aimé? Vous m’avez trouvé bon? me dit-il d’un ton ingénu.

— J’ai adoré. Je t’ai promis la totale et je ne voudrais pas décevoir ton divin petit trou. Fous-toi à poil et mets-toi en position sur la table basse. Je me donne un quart d’heure pour recharger mes batteries. Sois prêt pour la suite!

— Oh oui, m’sieur!

En moins d’une minute, il est à poil et à genoux, bien cambré, sur ma table de salon. Il baisse délicatement la tête toujours en signe de soumission. Je vais et je viens dans la pièce. Je jette un œil sur sa rosette fraîchement rasée qui palpite doucement. Cet endroit de son corps est si délicat. Je lui donne une claque sur les fesses. Il gémit. Je sais qu’il aime ça. Je veux aussi lui donner du plaisir. Je lui en rends une autre, deux autres. Mes claques se succèdent de plus en plus fermes.

— Cambre-toi au maximum, je veux une vue imprenable sur ton petit cul...

Je bande déjà. Ce mec est trop excitant.

— Sur le dos!

Mon ordre a claqué dans l’air. Il relève ses jambes musclées et longues de lui même. Il s’offre. Je tâte la raie et lui tire un petit soupir d’aise. Je malaxe ses globes duveteux.

— Maintiens bien tes jambes!

Il les tient entre ses mains afin de me laisser une vue complète de son intimité. Il est très docile, complaisant. Il aime être pris dans des mains viriles.

— Dis-moi ce que tu attends?

— Votre queue, m’sieur! Votre grosse et belle queue bien dure... là juste dans mon petit trou... Il n’en peut plus, m’sieur! Mais il sait que c’est à vous de... décider...

Il parle de ce trou offert comme d’une personne. En fait, lorsqu’il est avec moi, il n’est plus que ça: un trou. Deux peut-être. Je pose ma langue sur les lèvres de son anus nickel et je le mouille jusqu’à ce qu’il soit bien lubrifié.

— Ouiiiiiiiiiii!

Il est aux anges. Il ferme les yeux et soupire au fur et à mesure que ma langue s’infiltre dans son intimité. Ma perversité contrebalance sa douce candeur. Il s’abandonne en toute confiance. Je repense à ses potes qui sont loin de l’imaginer dans cette position que beaucoup peuvent juger humiliante. Je tends la main et j’ouvre un tiroir. J’en sors un gode noir de grande dimension. C’est ma chair qu’il veut mais, moi, j’ai encore envie de jouer. Je pousse le gros gland de latex et il entre. Mon beur grimace. Je crache un peu de salive dans ma main. Il faut lubrifier plus.

— Tu as un sacré petit cul! Tu as de grandes possibilités!

— Merci, m’sieur!

— Tu sens bien ce gode qui te prépare...

— Oh oui, m’sieur...

— T’inquiète, je vais te combler, mais comme j’ai joui, il faut d’abord patienter avec ceci.

Il morfle. Je vois sa grimace. Pas de plainte. Il subit.

— Tu as mal?

— Non, m’sieur! Je suis capable d’en supporter plus... Je veux trop LA SUITE!

Je lui souris et continue avec douceur jusqu’à ce que son visage retrouve sa tranquillité.

— Tu peux te branler, tu sais!

— Merci, m’sieur!

Il n’avait pas osé jusqu’ici s’astiquer le dard, tendu à bloc. Le gode est fiché dans son cul jusqu’aux couilles. Ses yeux sont figés sur ma bite qui est à nouveau dans une grande forme. Il doit espérer que la suite vienne vite.

— Tu vas recevoir TA récompense!

— Oh merci! Merci beaucoup, m’sieur!

Le gode atterrit sur le canapé et mon petit beur aussi. Je ne lui laisse pas de répit. La place est directement remplie par ma queue recouverte d’une capote rose. Et c’est parti pour la bourre intensive. Il geint. Il réclame. Il en veut plus. Encore et encore. Je l’honore durant vingt longues minutes et nous jouissons de concert dans un long râle digne du brame au fond des bois. Il est repu. Il sourit. Je me relève. Il se redresse. Nos bouches se rejoignent et nos langues joutent. C’est trop bon.

— Il y a des serviettes dans la salle de bain!

Il va prendre une douche et j’observe pendant dix bonnes minutes ce corps splendide. L’eau ruisselle sur cette peau de soie aux senteurs épicées. Je m’avance pour lui laver le dos, les fesses, son trou du cul que je taquine avec un doigt. Il fait sa garce et me darde d’un regard hautain. Là, je lui permets tout. Il en profite.

— Vous voulez que l’on se revoit?

Il connaît déjà la réponse.

— Tu sais, tu peux me tutoyer? Tu connais mon prénom...

— Non, m’sieur! J’aimerais pas autrement.

— Tu m’as super bien pompé et j’ai adoré visiter ton petit cul serré.

— On va se revoir alors?

Je le quitte sur le pallier dans un dernier baiser. Il s’éloigne et je lui crie:

— Attends!

Je vais chercher mon vieux portable et son chargeur. J’écris le numéro sur un papier et je lui donne le tout.

— C’est pour toi!

— Pour moi?!!!

Ses yeux s’illuminent.

— Comme ça tu pourras m’appeler plus facilement et moi... aussi...

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Mercredi 5 décembre 3 05 /12 /Déc 21:35

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Salut tout le monde l'histoire que je vais vous raconter s'est passée il y a quelques mois. Je m'appelle Walid et j'habite Alger (Algérie), j'ai 23 ans et je suis fana des grosses queues, et ce jour là j'ai eu mon compte des grosses bites...

Bon comme tout étudiant je fais de l'auto-stop de temps en temps sur l'autoroute où je passe quotidiennement. Il y a pleins d'étrangers qui louent des villas, parmi eux, beaucoup d'africains. Je les vois toujours passer avec leurs airs paisibles, et je fantasme tout le temps sur eux, peut-être parce que je n'ai jamais eu le plaisir de dévorer une belle queue de black. Il m'est impossible de les approcher...

Ce jour là est particulier. Deux Blacks (qui sortent sûrement du travail) passent pour aller vers leurs demeures. Ils sont tous les deux assez baraqués, et moi je ne peux regarder ailleurs que sous leur ventre. J'espère peut-être repérer une bosse mal camouflée. Ils arrivent jusqu'à moi, et je ne peux m'empêcher de les dévorer des yeux. Un des deux remarquant mon manège, chuchote un truc a l'oreille de son copain. Je suis seul sur la route, ils s'approchent de moi, et avec un accent très africain, me demandent l'heure:

— 16 heures moins le quart.

— Tu habites loin?

— Un peu.

— Si tu le souhaites, tu peux venir chez nous te reposer un peu, on habite juste à côté.

À ce moment la, je sais avec certitude que les deux blacks visent tout autre chose et je leur dis: "Oui avec plaisir!" Je ne veux surtout pas rater une occasion pareille... La villa n'est pas très loin de l'autoroute, on rentre, il n'y a apparemment personne. La villa est vide. Et la! À peine la porte fermée, les deux blacks ouvrent leurs braguettes face a moi.

— Vous faite quoi?

— On a bien vu que tu nous mattais tout a l'heure, non?

— Vous vous trompez, je faisais seulement du stop c'est tout!

— Allez, tu n'as pas envie de ça...

Et puis les deux mecs sortent de leurs pantalons deux monstrueuses queues, qui commencent tout juste à gonfler mais qui semble déjà atteindre les 23cm! Jamais je n'avais vu de tels engins avec des glands énormes et deux paires de couilles si grosses que tu pourrais passer des heures à les bouffer toutes crues. Même un hétéro aurait craqué! Qu'est-ce que je peux faire face un spectacle pareil, à part prendre les deux bites en mains, et de les dévorer comme une chienne.

Je m'agenouille face à eux et m'approche de leurs queues. Je commence à lecher leurs couilles. Je passe de l'une à l'autre puis je remonte le long de la tige épaisse avec le bout de la langue jusqu'à ce que j'arrive au gland dont je fais le tour en salivant bien dessus. Pendant ce temps, je branle l'autre black. Je bouffe du zob comme jamais je l'ai fait et c'est tellement excitant que j'ai cru gicler rien qu'en suçant leurs teubs. Le plus musclé des deux se place derrière moi et me malaxe le cul à pleine main. Il me crache sur la rondelle car je sens sa salive dégouliner sur mes cuisses. Je sens sa bite appuyer sur ma rondelle. Il commence à faire entrer son énorme queue dans mon cul de beur. Je pompe à fond l'autre black. Face à mes hurlements, il commençe à devenir fou, me baise à donf la bouche avec sa bite de black. Je n'arrive pas à croire que je suis en train de me faire défoncer par deux bonnes queues de blacks! Tour à tour ils m'enculent à fond. Je suis déchiré, usé mais c'est tellement bon! Je gicle sans toucher ma queue mais seulement par le plaisir de sucer. Voyant cela, ils se placent face à moi et commencent à se branler pour enfin éjaculer sur mes lèvres pulpeuses. Je suis couvert de sperme et je les suce pour tirer les dernières gouttes de leurs bites.

Je me rhabille ensuite pour quitter cet endroit de luxure en remerciant auparavant les deux blacks pour leurs verres de sperme!

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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 01:01

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Je suis routier, et je dois dire que c'est un métier super pour se faire des mecs! Il est rare que je passe une semaine sans me taper un petit loubard qui fait du stop. Moi-même, je suis plutôt style craignos: perfecto, jeans et tiags. Quelquefois, je porte également des chaps, ce qui ne laisse jamais indifférent.

Ce jour-là, j’avais plus d'une heure de repos à prendre. Je me trouve un bon endroit au bord d’une forêt pour garer mon bahut, et je descends me dégourdir un peu les jambes. Je m’enfonce dans un sentier et j’aperçois au loin un groupe de motos garées. La curiosité me pousse à m'approcher; sait-on jamais!

Arrivé à hauteur des bécanes, j'entends parler en contrebas. J’avance un peu, et j’aperçois une bande de vrais loubards en cuir (j’ai bien fait de mettre mes chaps aujourd’hui!). À première vue, ça ne se passe pas très bien entre eux. En effet, un mec est en train de se faire malmener par la bande. J'avance encore un peu sans me montrer. Putain, je commence à comprendre: le mec en question a dû les provoquer par sa dégaine. Outre le perfecto et le jean pourri, il porte des cuissardes noires en caoutchouc, très hautes, presque comme mes chaps. Je trouve ça super-bandant. En plus de ça, il a plutôt l'air bien foutu et avec une belle gueule.

Je me pose des tas de questions. Je suis à la fois excité par cette bande de loubards énervés et aussi par ce mec en mauvaise position dans ses grandes cuissardes. Après cinq minutes d’engueulade, j'arrive à comprendre (comme je l’avais pensé) que le mec en cuissardes les a provoqués en s'exhibant dans cette tenue, et en passant deux fois de suite devant eux en se caressant. Maintenant, il va trouver ce qu'il cherche. Au fur et à mesure que le ton monte, les coups commencent à tomber. Ce sont d'abord quelques bousculades, puis des coups de poings dans le ventre et des coups de pieds au niveau des cuissardes. Le mec ne peut pas se défendre. Ils sont six contre lui, mais il tient bon. À un moment donné, ils lui ont arraché son perfecto et son débardeur en caoutchouc. Putain, la baraque! Ventre plat, abdominaux bien dessinés et pectoraux gonflés sur un torse imberbe, un vrai culturiste! Tout à coup, un des loubards se ramène derrière lui avec une grosse chaîne à la main. Il lui en fout un coup sur le dos. Le mec fléchit et met les genoux à terre. Là, les coups de pieds redoublent.

Aussitôt, sans réfléchir, je saute dans leur direction. Deux loubards m’accueillent alors avec crans d'arrêt, poignards et chaînes en mains. Ils me maîtrisent sans problème et m'attachent à un arbre. «Tu vas pouvoir mater, mec, le spectacle commence!» Les quatre autres ont léché leur prise en me voyant, et le mec en cuissardes s'est relevé. Le plus grand de la bande (qui porte également des chaps) sort sa queue et pisse sur les cuissardes. Les cinq autres ont suivi. Ensuite, ils déboutonnent le jean du mec et lui en extirpe la queue. Ouah, incroyable! Après tout ce qu'il a subi, il bande à mort. Et quel pieu, au moins 25cm pointés vers leurs gueules. Je vous signale que malgré la situation scabreuse, je bande aussi. La vue de ce mec en cuissardes, affrontant ces loubards gainés de cuir moulant me fait craquer.

Un des mecs s'enfonce ce qu’il peut de la matraque dans la bouche, tandis que deux autres branlent le morceau qui ne peut être bouffé. Je n’ai jamais vu une aussi grosse queue! Ce mec est vraiment musclé de partout. Pendant ce temps, un autre loubard lui déchire l'arrière de son jean et lui farfouille le fion jusqu'à lui enfoncer la main complète. Le mec aux cuissardes essaye de se dégager, mais les lames de couteau pointent. Il se met alors à les insulter tout un poussant des râles de douleur. Pendant ce temps, deux autres mecs se branlent sur ses cuissardes. Plus il leur gueule dessus, plus ils s’activent. J’ai l'impression que sa queue grossit encore. Tout à coup, il se prend pratiquement tout l’avant-bras dans le cul. Ses muscles se durcissent et il envoie sa crème dans la bouche de l’autre qui recrache le jus sur ses cuissardes.

«C’est pas fini! crie l'un d'eux, je suis sûr qu’il n'a pas eu sa dose!» Le mec derrière continue à lui fouiller les entrailles. Les deux qui se liment le dard sur ses cuissardes finissent par se vider dedans. Aussitôt ils s'emparent de son pieu qui n'a pas débandé, et ils l'astiquent comme des dingues. Deux autres s'acharnent à nouveau sur les cuissardes pendant que le dernier lui farfouille la bouche, après avoir léché le foutre qui dégouline de ses cuissardes. Là, je crois que le mec prend vraiment son pied, ses râles ne sont plus que des râles de salope en rut. Malgré tout, il continue à les engueuler. Il doit aimer ça.

À peine cinq minutes plus tard, il envoie sa deuxième dose de foutre. Ils continuent à le branler un attendant que toute la bande se vide les couilles dans ses cuissardes. Après ça, ils décident quand même de se casser. Cette fois-ci le mec reste debout et réussit même à leur donner quelques coups.

Quand ils sont partis, il se tourne vers moi. Je le trouve vraiment craquant avec son jean arraché, son torse nu brillant de sueur et ses cuissardes qui frôlent mes chaps. La queue toujours un l'air, il me mate de bas en haut, je dois être à son goût. Tout en me laissant attaché, il me débraguette et sort mon pieu pour le dévorer. Je suis complètement ahuri en pensant à tout ce que ce mec vient de subir. Je crois qu’il va me détacher et se barrer, mais non, il n’en a pas encore assez. Il est vraiment résistant. Je dois le sucer et le branler. (Ça fait quand même la troisième fois.) Quel dard! Je ne peux mettre que le gland dans la bouche, mes mains sont à peine suffisantes pour envelopper le reste de la matraque. Comme l'autre mec tout à l’heure, je lui ai tout recraché sur ses cuissardes. Ensuite il me détache et on peut enfin parler un peu. Je ne comprends pas qu'il ait pu bander pendant tout ce temps. Il me répond que lorsqu'il porte ses cuissardes, il n’est plus lui-même et que sa queue ne débande jamais. Il me file son téléphone. On se revoit assez souvent. Il m’a donné une paire de cuissardes que je porte au-dessus de mes chaps, et on s'amuse à celui qui crachera son foutre le plus vite et le plus de fois possible dessus. Je dois avouer qu'il gagne toujours!

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 23:55

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J’ai 46 ans, grand, brun, pas mal conservé grâce au sport hebdomadaire. Je n’ai plus jamais été attiré par les hommes depuis mon adolescence (pendant laquelle j’ai tout de même poussé les jeux sexuels jusqu’à me faire enculer plusieurs fois par jour par mon cousin), même si je dois avouer qu’il m’est arrivé quelques fois de me retourner sur un beau garçon, mais sans aucune arrière pensées. Marié depuis 24 ans, j’ai une fille de 19 ans qui est fiancée depuis l’âge de 17 ans.

L’été dernier, elle a décidé de mettre fin à sa vie de célibataire et a épousé Luc. Le jour où elle nous l’a présenté, j’ai compris que Luc était un de ces loupiots comme on en voit beaucoup dans les récits de votre site. Dès ce jour, il n’a cessé de me faire des avances auxquelles j’ai toujours tenu tête, en les repoussant.

Le jour de ses fiançailles, j’ai failli lui mettre mon poing dans la figure tellement il m’a énervé. Vulgairement, il a eut l’audace de me dire:

— Vous êtes le plus bel homme que je connaisse, j’aimerais faire l’amour avec vous!

Puis ce fut le calme jusqu’à leur mariage, bien qu’il n’hésitait pas à me flatter les fesses à la moindre occasion.

À peine un mois après leur mariage, un soir en rentrant chez moi, je découvre ma fille couchée au travers de la table de la salle à manger, jambes pendantes, en train de se faire prendre par son mari. J’ai eu un sursaut d’horreur, mais pas honteux. Luc me lance un coup d’oeil coquin, il sort de la chatte de ma fille, se décalotte à fond, et se tournant vers moi, me montre sa virilité en pleine érection, comme pour me dire: «C’est ça que je veux te mettre!» Ma fille, qui ne s’était rendu compte de rien, réclamait:

— Vas-y! Encore! Je t’en supplie, mets-la moi encore, je la veux!

Luc l’a renconnée d’une seule détente, ma vue lui avait chauffé le sang et quand il s’est cabré, à pas de loup, je me suis éloigné. Je rougis à la pensée que, de voir une telle scène, je suis excité. Mais ce qui me choque encore plus, c’est de me rendre compte que je suis beaucoup plus excité par la bite de mon gendre que par la chatte ouverte de ma fille.

Une demie heure plus tard, j’étais de retour. Luc, dans un fauteuil, regardait la télé. Moi je faisais le plus de bruit possible pour annoncer mon arrivée. Luc s’est levé et m’a dit:

— Nadia se fait une beauté intime, elle est dans la salle d’eau.

Le salaud voulait me rappeler ce que je venais de voir! Il s’est approché en me murmurant:

— C’est quand ton tour?

— Jamais!

— Si, j’ai trop envie, tu ne pourras y échapper.

— Rêve toujours si cela te fait plaisir, petit pédé!

La main sur mes fesses, il ajoute:

— Tu y passeras, tu ne peux pas faire autrement!

Nadia coupe notre dialogue.

Mais voilà que quinze jour plus tard, ma soeur qui est veuve tombe malade. Elle me téléphone pour que j’aille passer quelques jours en sa compagnie. Je dois prendre le train car ma femme a envoyé la voiture dans le décor il y a peu et nous n’en avons pas encore d’autre. Nadia décide que Luc peut très bien m’y déposer le soir-même. On prend la route et Luc, hors de lui, annonce:

— C’est aujourd’hui le grand jour!

Je n’ose pas faire de scandale et nous voilà parti. Arrivés à destination, il téléphone à Nadia:

— Tu sais chérie, je vais rester coucher ici car la voiture m’a procuré des ennuis et j’ai peur de tomber en panne!

Nadia lui affirme qu’il a raison, demande à me parler et je ne peux faire autrement que de certifier ce mensonge.

Le dîner terminé, on se rend dans nos chambres. Je suis à peine dévêtu que ma porte s’ouvre et Luc est là qui me détaille de la tête aux pieds, son pantalon tendu à l’extrême. Il se rue sur moi:

— Tu ne m’échapperas plus, je te veux et tu es obligé de me céder!

Il m’enlève les quelques vêtements qu’il me restent, se déshabille à son tour, et j’aperçois cette matraque qui m’a tant troublé depuis que nous nous connaissons.

— Suce-moi salope! Depuis que j’attends que tu me suces, tu me la dois, cette pipe!

Tête-bêche, ses lèvres ont déjà pris possession de mon vit qui bande comme jamais. On fait un soixante-neuf, il me lèche la bite et les couilles et je dois avaler sa liqueur de pine. Ensuite, me déposant les jambes de chaque côtés de sa tête, il m’encule sans difficultés. Mon trou s’est presque ouvert tout seul tellement je suis excité, et quand ses couilles butent contre mes fesses, je demande grâce:

— Doucement, je t’en prie, personne n’est allé aussi profond que toi! Doucement, mets-la moi bien à fond, mais doucement! Oh oui, que c’est bon! Que t’es long! Que t’es gros! Quelle chance a Nadia!

Il me laboure le ventre à grands coups, ressort pour me la remettre encore plus fort, en me lançant:

— Tiens salope! Prends-la toute! Je suis sûr que tu as attendu ce moment, tu voulais que je te la mette dans le cul, tu aimes ça les grosses queues!

Et il me lâche tout au plus profond de mes entrailles.

— Oh, tu lâches! Tu jouis! Que c’est bon, mon chéri, qu’est ce que tu me fais jouir! Que c’est bon de se faire prendre par une grosse queue, tu m’en as mis plein le cul!

Je délire en éjaculant tout mon foutre sur mon ventre. Là, il me fait voir la vérité en face:

— Comme ça, ma salope, tu veux que je t’en mette vraiment plein le cul? Eh bien, suce-moi encore et fais moi rebander, je vais exaucer ton désir!

Et il sort de son sac un gode aussi gros que sa bite. Je comprends tout à coup qu’il veut me faire subir une double pénétration.

— Non! Jamais personne ne m’a pris comme ça! Et je ne veux plus que tu m’encules, tu va me déchirer!

— Mais si, me dit-il, Nadia aussi aime bien que je prenne son petit cul avec ce gode! Je serai doux, donne moi ton cul ce soir, je veux que tu te souvienne de cette nuit!

Déjà apprivoisé, j’étais à quatre pattes, lui tendant mes fesses. Il me fit un annulingus qui acheva de m’ouvrir la rosette, me remplissant au maximum de salive, introduisit le beau godemichet puis je sentis sa queue sur mes fesses. Il força et je sentis mon cul s’ouvrir encore plus sous la poussée. J’en eus le souffle coupé, mais il continua à forcer malgré mes plaintes:

— Non, salaud! Tu me fais mal, c’est trop, t’es trop gros! Tu vas me déchirer!

Il m’a pris par les hanches et me fit coulisser sur sa grosse queue à grands coups pendant qu’il jouait avec le gode dans mes entrailles, sans tenir compte de mes supplications.

— Tiens ma chienne! Enculé que tu es! Je vais te casser le cul, que tu puisses plus t’asseoir! Je veux que tu t’en souviennes de ce ramonage!

Toute la nuit, il m’a fait l’amour, avec ou sans gode.

De retour à la maison, je ne pouvais plus poser mes fesses sur une chaise et je regrettais de m’être laissé dominer ainsi. Mais Luc m’a dit:

— À ce soir mon cher papa!

Il a envoyé Nadia en courses et m’a repris dans mon anus endolori.

Depuis la douleur a laissé la place au plaisir et avec Luc, on refait très souvent l’amour. Et quand il me demande mes fesses, je n’hésite pas à les lui offrir. Ma fille et ma femme ne se doutent de rien et avec Luc, et grâce à lui, je vis un amour nouveau.

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 17:00

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Bonjour, je me présente: je suis Benjamin, j’ai 19 ans, je suis étudiant. Mon histoire est, somme toute, banale, mais elle révèle quelques surprises. Comme beaucoup d'étudiants peu aisés, je me suis trouvé dans l’obligation de gagner de l’argent pour subvenir à mes besoins, mais je ne voulais pas mettre en danger mes études. J’ai donc commencé chez McDo, mais cela ne me convenait pas pour des raisons d’horaires. Puis j’ai essayé la garde d’enfants, trop peu pour moi, je ne sais pas leur dire non. Bref à Noël j’étais revenu à mon point de départ.

Je tentai alors de réaliser un fantasme qui pourrait peut-être m’aider. Je me suis inscrit sur un site de rencontre qui accepte les «pros» et j’ai tenté une relation rémunérée. Je suis plutôt mignon (1m78 pour 65 kg, sportif, cheveux courts). J’eus plusieurs réponses à mon annonce. L’une d’elle attira mon attention: «Monsieur 55 ans cherche à retrouver sa jeunesse pour un instant dans les bras d’un jeune éphèbe». Je me suis laissé tenté et le rendez-vous fut pris pour un mardi soir dans un hôtel. Il devait arriver avant moi, prendre la chambre et m’attendre à la réception.

Le mardi soir arrive. Je me prépare, je suis à la fois anxieux et excité. J’arrive à l’hôtel et retrouve mon «client». C’est un monsieur soigné avec une calvitie et des lunettes; il aurait pu être mon père. Nous faisons connaissance devant un verre, il est surpris par ma jeunesse mais enchanté par ce qu’il imagine être la suite. Enfin nous montons dans la chambre. À peine entré, il commence à se coller contre mon torse et commente:

— Hum, tu as l’air joliment fait. Vas-y, mets-toi à poils mon grand que je vois ce que j’ai payé!

Surpris par la réflexion, je m’exécute. Puis, nu devant lui, il me donne des ordres:

— Sur le lit, écarte les jambes et montre ta belle bite. Humm joli, bien grosse, tu bandes ma petite pute. Branle-toi devant moi pendant que je me déssape.

Rouge de gêne, je commence à me toucher le sexe. Je me caresse les couilles, fais des va-et-vient sur mon gland humide et commence à me branler. Petit à petit, je ne suis plus moi, je trouve un plaisir malsain à me donner en spectacle. Je me titille le trou, relève mes fesses et me doigte l’anus tout en le fixant. Là, je baise les yeux, il a une bite honorable, je suis même surpris qu’elle soit si grosse et dure à son âge. Je n’en peux plus, je bande comme jamais. Lui me regarde et enfin il se met à genoux et me lèche la bite comme un dieu. Il lèche, suce mon gland, mordille la hampe, me doigte, il me lèche le «petit trou»… On ne me l’avait jamais fait, je jouis véritablement de l’anus, je n’avais jamais ressenti ça. Il se relève et me donne sa bite à sucer. Je m’exécute, je l’aspire, lèche le gland, masse les bourses, je titille le méat, et là il prend ma tête et enfonce son sexe le plus loin possible.

— Tu vas me sucer comme une vraie salope! Allez!

Vexé, je l’avale. Il touche le fond de ma gorge mais je résiste et je le prends tout. Il râle, je lui mets un doigt et il éjacule dans ma gorge. Je me retire et j’en prends plein le visage, les yeux le nez. Il me regarde, me dit: «Pardon, c’était trop excitant!» puis éclate de rire… Je ressemble, paraît-il «à toutes ces salopes qu’on voit dans les films porno». Je me lève pour me laver, il m’arrête et me lèche le visage, il lèche son sperme. Surpris, je le laisse faire. Il ne bande plus mais me demande de le reprendre en bouche pour essayer un «second coup»; je le fais bien volontiers.

C’est bizarre un sexe mou dans la bouche, on dirait un petit oiseau malade, fragile, mais je fais de mon mieux pour le rendre à la vie et ça marche! J’en suis fier! Il rebande et là, après le préservatif d’usage, il me fait couler du gel dans le cul puis se positionne pour une sodomie en levrette. Je ne sais que faire, je n’ai jamais pratiqué. Je me détends, pousse un peu, il entre; c’est gros… Il me dit de me branler, de me détendre. Ça y est, tout en dedans, j’ai mal mais ne veux rien dire, je gémis un peu. Lui commence ses va-et-vient, lentement mais bien à fond. Bientôt un plaisir commence à poindre chez moi, il s’enfonce bien, me flatte les fesses. Je gémis un peu même si la sensation n’est pas toujours désagréable. Il continuait à me pilonner le trou puis en sort et me re-pénètre d’un coup lent et profond… Je sens monter l’orgasme, je jouis, lui me pistonne toujours, il ne s’arrête pas cela dure longtemps. Je ne sent plus mon cul mais je hurle une nouvelle jouissance. Il grogne, il se retire et jouit sur mes fesses. Après le visage, c’était la totale. Mais c’était grandiose.

Après avoir retrouvé mon calme, je pris une bonne douche et mes 200 euros. Lui me complimenta et m’assura qu’il n’avait jamais autant pris de plaisir avec une pute (la galanterie c’est avant la baise, pas après).

De retour dans mon studio, je pris la décision de continuer ce «job» mais en ne prenant que des quinquas ou plus car j’avais aimé avec lui. Tout se passa bien j’eus plusieurs soirée bien «prises» jusqu’au jour où…

Voilà ma mésaventure: un de mes «clients» connaissait mon oncle et lui parla de moi sans savoir qui j’étais. Ce que je ne savais pas, c’est que mon oncle aimait le sexe. Il prit donc rendez-vous avec moi mais comme il est VRP dans l’hôtellerie, il me donna rendez-vous soi-disant chez lui (en fait, chez un collègue qui lui prêtait son appart).

À 15h comme prévu, je vins sonner à l’adresse indiquée. Je m’annonce à l’interphone, la voix me donne l’étage. J’entre dans l’immeuble et arrive devant la porte qui est entrouverte. Je sonne, j’entends «Entrez!» Cette voix me semble connue mais sans plus. J’avance dans la pièce et là, stupeur, je vois mon oncle qui ferme la porte. Il se retourne et nous restons quelques instants aussi stupéfaits l’un que l’autre. Il rompt le silence:

— Alors comme ça, la petite pute c’est toi? Si je m’attendais!

— Attends tonton, ne te fâche pas. Je vais t’expliquer.

— Expliquer quoi? J’ai payé, tu bosses comme d’habitude!

— Mais pas toi! Je ne peux pas!

— Ho oui! Tu vas le faire et bien le faire même!

Il sortit son sexe tendu et me dit:

— Vas-y, suce moi!

— Tonton non, s’il te plaît...

— Suce-moi ou je dis partout ce que tu fais!

Je me mets à genoux et commence à pomper la bite de mon oncle. Il grogne, il aime ça en plus!

— Va, suce! Suce à fond la bite à tonton! Oui, lèche le gland, j’aime ta bouche Benjamin...

Il me tient la tête, je le suce, le branle. Le côté pervers m’excite. Quand tout d’un coup, il se retire, et me dit:

— À poil maintenant. Montre-moi comme tu as grandi.

— S’il te plaît, non!

La honte me reprend mais je m’exécute. Je suis nu devant mon oncle.

— Le petit pédé! Mais c’est qu’il bande comme un taureau! Je vais te bouffer la bite, te baiser, t’enculer comme jamais! Tu vas voir, tonton c’est du bon.

Sur ce, il me prit dans ses bras, me posa sur le lit et commença une pipe d’enfer. Ma bite néavait jamais été aussi dure!

— Tu aimes la bouche à tonton hein? Dis-le!

— J’aime ta bouche tonton.

— Tu es une vraie salope hein?

— Je suis une vraie salope.

Il me lèche la queue, me bouffe les couilles, me baise le cul avec sa langue, me doigte. J’en peux plus! Je jouis de chaque parcelle de mon corps jusqu’à un orgasme intense et foudroyant, et je làache toute ma sauce sur son visage. Il profite de tout mon sperme.

— Tu m’as mouillé tout le menton! Tu vas lécher!

Il s’approcha de ma bouche, je me mis à lécher son visage, a goûter à mes sécrétions sur sa peau, il en profita pour me rouler une pelle.

— Bien passons aux choses sérieuses. À quatre pattes pédé. Voilà! Que je puisse voir ton trou, humm qu’il est appétissant. Dis-moi que tu aimes te faire prendre...

— J’adore ça mais… Vas-tu résister longtemps? Répondis-je par bravade.

— Et bien tu vas voir Benjamin, tonton va te faire reluire!

Il commença sa sodomie, il pointa sa bite sur mon trou et s’y enfonça sans trop de résistance.

— Mais c’est qu’il a un cul accueillant mon neveu!

Il commença ses va-et-vient, de plus en plus rapides. Il me tient par les hanches, de temps en temps me claque les fesses. Il n’arrête pas de parler.

— Tu aimes la bite à tonton hein? Que oui tu aimes te faire enculer! Tu es un vrai garage à bite, ma petite pute!

Plus je l’entendais et plus j’aimais. Je me suis mis à me remuer, à aller à la rencontre de sa queue dans mes fesses et j’ai crié mon plaisir sans retenue. Tonton continuait:

— Alors joli petit cul, j’ai pas résisté? Tu prends ton pied ma salope!

— Oui tonton, tu encules bien mais surtout continue, ne t’arrête pas!

— Demande gentiment èa tonton. Tonton, s’il te plaît, encule-moi encore. Allez!

— Tonton, s’il te plaît, encule-moi encore!

Je n’étais plus qu’un corps ayant envie de jouissance. Il accéléra, décula pour m’enculer de nouveau. Il pinça mes fesses, il reprit son monologue:

— Petite pute de neveu! Si j’avais su plus tôt, ton cul est superbe, que c’est bon d’enculer un petit cul familial!

Il accéléra de plus en plus, je jouis de nouveau. Il se retira, sortit son préservatif.

— Avale mon foutre, salope.

Il se place devant moi, j’ouvris la bouche et pris tout son sperme dedans. Je me fis un plaisir de l’avaler.

— Et bien dis donc, tu aimes ça la queue Benjamin?

En disant cela, il avait un petit sourire tendre. Il me mit sur ses genoux comme quand j’étais petit, mais là j’étais nu et j’avais 19 ans!

— Bon Benjamin, c’est pas tout ça. Mais maintenant, je ne veux pas que tu puisses avoir honte de la famille...

— C’est de moi que j’ai un peu honte.

— Je ne parle pas de ça mais je t’ai promis de tenir le coup et de t’impressionner par ma vigueur. Alors il faut que je m’y tienne. Suce moi mon grand!

— Tu es un gros cochon tonton.

Et je le pris en bouche. Là je le regardais pendant mon ouvrage; il apprécia et se remit à bander.

— Allez, écarte les jambes. Que c’est beau un petit cul plissé sans poils. Tu crois qu’il ressemble à celui de ton frère?

— Tonton arrête, baise-moi puisque tu le veux!

— Et plutôt deux fois qu’une; le temps de mettre le capuchon...

Il se coucha sur moi et me pénétra d’un seul coup. J’étais tellement dilaté qu’il n’eut aucun mérite à cet exploit mais comme tous les "vieux", pour une deuxième éjaculation, il devait limer longtemps et il me bourra très longtemps. J’eus plusieurs mini-jouissances dans le bas-ventre avant que lui même eut la sienne.

— Et bien petit, tu es une vraie salope toi!

— Merci tonton, mais tu es bien aussi!

— Tu as le plus joli cul des gigolos du coin et je le connais.

— Monsieur est trop bon.

— Bon je te donne 300 euros, tu les mérites, mais je reviendrai!

— Non tonton, s’il te plaît, ne fais pas ça...

— Pourquoi? Je suis un client comme un autre et dans cette relation, tu es une pute comme une autre!

Je baissai la tête.

— Ne le prends pas mal mais comme cela, c’est clair. Au fait, je parlerai de toi à ton père!

— Non, fais pas ça...

— Ne crains rien, je parlerai du gigolo, pas du neveu!

La semaine qui suivit, je ne pris aucun client. J’angoissais à l’idée de croiser mon oncle à la maison. Le dimanche, il se fit un malin plaisir de venir voir la famille et son jeune neveu qui était bien courageux de faire ses études. Je ne savais où me mettre. Il s’isola pour parler à mon père, j’eus très peur mais en les voyant revenir en riant, je me suis détendu et le reste de la journée se passa le plus normalement du monde.

Quinze jours après la «visite» de mon oncle, celui-ci me contacta pour un nouveau rendez-vous que je refusai. Il entra dans une colère noire et me menaça de tout révéler. Sûr qu’il bluffait, je ne cédais pas à ses menaces. Je reçus alors par mails des photos de moi suçant son collègue. Je ne me rappelais plus de ces photos, c’est vrai le salaud avait voulu me photographier pendant que je le suçait et pendant la sodomie. Mon oncle me tenait. Je pris le portable et l’appelai:

— Tonton, ok tu as gagné, quand et où?

— Changement mon grand! Nous serons trois à la fois. Tu arriveras le premier, et tu nous attendras nu sur le lit, jambes écartées. C’est bien compris?

— Trois? Mais j’ai jamais fait ça!

— Nous te paierons chacun notre dû, tu ne peux pas refuser cela à ton tonton, mon petit...

— Ok, ok… Où?

— Demain 15h même endroit que la dernière fois, la porte sera ouverte.

— Ok.

— À demain. Humm, je bande déjà!

— Salaud!

Le lendemain, je me rendis au rendez-vous et, effectivement, la porte est ouverte. Je m’installe nu, jambes écartées et j’attends. J’entends la porte s’ouvrir et la voix de mon oncle qui demande à ses copains de se taire, de se déshabiller dans le couloir et d’attendre qu’il les appelle, sans rien dire. Cela me surprend. Qu’a-t-il bien pu inventer? Il entra dans la chambre nu comme un ver.

— Bonjour mon beau, alors prêt?

— Bonjour Tonton.

— Je me mets sur l’oreiller et tu vas commencer à me sucer à quatre pattes, le cul face à la porte.

Je m’exécute et le suce, anxieux. Mes fesses sont face à la porte: en entrant, ils me verrons offert et dans une position humiliante. J’ai envie de le mordre, mais je suce. Il me tient la tête et dit:

— Vous pouvez entrer mais ne dites rien, j’aime sa soumission.

Je le déteste, mais j’aime aussi ça. Je le suce de mon mieux, j’entends les hommes entrer. Mon oncle me tient toujours la tête, des mains touchent mes fesses, mes couilles, une main enserre ma bite bandée, un doigt entre dans mon cul. Quand mon oncle me lâche la tête et me fait me retourner:

— Surprise!

Horreur, nu bandant devant moi, mon père et mon voisin. C’est même mon père qui me doigtait.

— Benjamin! Toi, une pute!?

— Oh Papa! Non, le salaud!

— Benjamin, pourquoi?

Je me suis mis à pleurer et là mon oncle a pris la parole:

— Bon c’est un petit étudiant qui joue à la pute, mais aujourd’hui c’est son jour pute, alors profitons-en!

— Ça va pas? Pas avec mon fils!

— Mais non, oublie le fils et vois la pute, il est très doué tu sais!

— Je ne sais pas, je ne veux…

— Justement essaye, regarde, Benjamin suce-moi!

J’étais en pleurs, je ne savais que faire.

— Benjamin, suce-moi, montre comment tu aimes la bite.

Et il me mit sa bite devant la bouche. Par réflexe peut-être, j’ai ouvert mes lèvres et je l’ai prise, il allait et venait comme dans un cul.

— Regarde, il aime ça, ça se voit, profites-en, touches-le, regarde comme il bande!

Mon voisin s’approcha:

— Moi ce n’est pas pareil, je profite!

Et sans rien dire d’autre, il me mit un doigt dans le cul, puis un autre, lubrifia sa bite avec sa salive et me prit. Je me retrouvais à quatre pattes, mon voisin derrière et mon oncle devant, tout cela devant mon père, quand tout à coup il se leva:

— Benjamin, arrête, et viens ici!

Je me dégageais, et vins devant lui.

— Il n’y a aucune raison que je ne connaisse pas tout de toi, à genoux et suce moi!

— Quoi?

— Tu as compris, alors fais-le!

Je me suis mis à genoux et j’ai sucé mon père. Sa bite redevenait dure. Il appela les deux autres pour que je les branle en même temps. Il se mit à parler:

— Tu suces très bien, mieux que ta mère! Vas-y, la langue, les couilles, suce mon fils, suce!

— Et tonton?

— Tonton il attend, honneur au voisin. Benjamin occupe toi de Lucien.

Je relâchai mon père pour engloutir la bite de Lucien. Pendant ce temps, mon père et mon oncle se sont parlés et là j’ai compris:

— Benjamin, en temps que père, je ne peux que réprimander ce genre de comportement, mais puisque nous sommes dans une situation aussi embarrassante devant des tiers, et ce uniquement par ta faute, je ne peux que te demander de te soumettre à ces messieurs. Aussi Tonton va t’enculer, et toi et moi Lucien, nous allons partager sa bouche, ça te va?

— Super, c’est un suceur de première le petit.

— Non, vous n’avez pas le droit, je ne veux pas!

— Tais-toi et obéis à ton père!

Je fus mis sur le bord du lit, mon oncle sous moi, je me suis empalé dessus. Une fois sa queue en moi, mon père est venu se positionner debout devant mon visage aux côtés de Lucien:

— Allez Benjamin, un effort pour papa, ouvre la bouche!

— Mmmh comme ton cul est accueillant!

Mon oncle me pistonnait le cul pendant que mon père et notre voisin me fourraient la bouche à tour de rôle.

— Doucement, tonton tu me fais m...

Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase que Lucien reprenait sa place dans ma bouche, mon père attendant à côté, la bite d’une taille qui m’impressionnait et dure comme du roc. Je commençais à trouver ça bon, et entre deux succions:

— Oui, doucement! C’est bon.

— Tu vas voir qu’il va aimer, cette salope!

— Ne parle pas de mon fils comme ça! Enculé oui, salope non.

— Comme tu veux, mais dieu qu’il est bon!

— Et encore, sa bouche est un délice!

Les trois commentaient comme si je n’étais pas là. Puis mon père prit la place de mon oncle et moi je sentais le plaisir venir et je ne me retins plus:

— Papa plus fort! Encule moi, vas-y, jouis-moi dessus, ouiiii!

Je me démenais sur la bite de mon père tout en suçant ces deux grosses queues comme un assoiffé. Je prenais un super pied, trempé de sueur, et bientôt je jouis tout mon sperme d’un orgasme plus intense que jamais. Lorsque je repris doucement mes esprits, ils étaient là les trois toujours bandants.

— Benjamin, Lucien n’a pas eu sa gâterie...

Je me suis mis à le sucer comme un expert, à avaler, aspirer, gober ses couilles. Lucien ne tint pas longtemps à ce régime et jouit dans ma bouche.

— Avale et vient finir ton père!

Je m’y remis de plus belle. Je voulais qu’il soit fier de sa salope de fils. Quand il jouit, j’ai ouvert ma bouche pour qu’il voit son sperme avant que je l’avale.

— Ooooooh Oh! C’est trop bon. Tu suces divinement! Mmmmh… À tonton maintenant!

— Alors toi, je te réserve une surprise!

Je le pris en bouche et juste avant qu’il ne jouisse, je l’ai mordu.

— Aïe, le con! Il m’a mordu.

Son sperme ne sortit pas dans ma bouche mais par terre.

— Je ne voulais que du sperme de qualité supérieure...

— Mon fils, bon tu es une petite salope, c’est vrai, tu as choisi de payer tes études en faisant ça, ok. Nous ne dirons rien, même pas Lucien, je compte sur toi!

— Oui bien sûr!

— Par contre, j’ai deux choses à te demander...

— Oui papa, vas-y.

— La première, tu seras assez gentil pour recevoir de temps en temps Lucien avec un rabais, ainsi que ta famille proche; ton oncle et moi.

— Ok, merci papa, et excuse moi...

— De rien. Tu sais, j’ai bien aimé t’enculer et ta mère me l’a toujours refusé alors, dis-toi que c’est comme un service à ton petit papa...

 

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 15:11

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Je m'appelle Thierry, j'ai 45 ans; avec mon fils Gaétan et son petit cousin dont nous avions la garde, un bébé de 8 mois, nous avons traversé en décembre la France et sommes tombés en panne de voiture dans une région que je ne nommerai pas. Nous étions dans la France profonde et à 21h, impossible de trouver quelque chose d'ouvert. Avec la neige et le froid, nous avons été heureux de voir des lumières dans une ferme toute proche.

Un homme d'une cinquantaine d'année vint nous ouvrir la porte, il nous fit entrer et on se retrouva dans une grande pièce où trois autres hommes jouaient aux cartes en buvant. Le propriétaire était grand et avait l'air autoritaire, les trois autres étaient aussi de solides gaillards; la quarantaine et visiblement un peu éméchés. Le maître des lieux regarda bizarrement Gaétan quand il retira son manteau; il faut dire que mon fils a des traits forts féminin et, si j'ai un air un peu macho et viril on devine sans mal que lui est homosexuel. Cela ne m'a jamais posé problème... D'ailleurs, il m'est arrivé d'en profiter, depuis que sa mère est morte il y a quelques années, quand je me sentais seul le soir. Nous nous sommes souvent branlés ensembles devant un bon porno: lui fantasmant sur la bite de l'acteur et moi j'avoue que je bandais autant à la vue de l'actrice qu'à la vue de mon fils se masturbant.

Notre hôte se présenta ainsi que ses amis: «Je m'appelle Victor, et voici René, Germain et Robert.» Après nous être présentés à notre tour, il nous fit asseoir au bout de la table et nous servit quelque chose de chaud, mit les couverts et alla dans la cuisine chercher à manger. Je suis allé voir s'il voulait de l'aide et au moment où j'allais entrer dans la cuisine, je l'ai vu verser une poudre dans une assiette dont le bord était ébréché. Revenu dans la pièce principale, l'homme apporta les deux assiettes et posa devant moi celle dont le bord était légèrement cassé. Le vin coula à flot pendant le repas et je m'arrangeais pour que l'on ne me voit pas verser doucement ma soupe par terre où le chien de la maison était trop content d'avoir quelque chose à lécher...

Durant le repas, les hommes présents discutèrent avec mon fiston et le regardait comme s'ils n'avaient pas vus de corps désirable depuis longtemps... Depuis si longtemps qu'ils n'avaient à l'évidence aucune envie de faire les difficiles quant au sexe de leur proie: homme ou femme, ils n'en avaient cure. Le vin aidant, Gaétan avait les joues roses et je vis bien qu'il n'était pas dans son état normal; pour ma part, je feignis d'être très fatigué et je me mis à bailler. Je fis semblant de tituber et notre hôte me dit de le suivre jusqu'à la chambre qu'il nous prêtait à l'étage; Gaétan quant à lui devant changer le bébé avant de me rejoindre (il était convenu que c'était lui qui s'occupait de son cousin ce jour là). Après avoir remercié le propriétaire de la ferme, j'ai fis semblant de m'écrouler sur le lit et quand l'homme fut reparti, je me suis relevé et c'est en chaussettes que je redescendis l'escalier.

Gaétan changeait son jeune cousin sur la table et les hommes présents étaient autour de lui, notre hôte s'approcha alors et lui dit: «Et bien mon p'tit monsieur, vous êtes bien joli... Avec un cul aussi rebondi, vous devez sûrement aimer les hommes virils dans notre genre, non?... Allez... Faites nous voir...» Comme les hommes présents commençaient à laisser leurs mains se balader, Gaétan cria pour m'appeler mais Victor ricana en lui disant: «Tu peux toujours crier petit bourge, avec le somnifère que j'ai refilé à ton père, il va dormir un moment crois-moi... Et puis je te préviens, si t'es pas sage avec nous, je vous flanque dehors, toi et ce môme... Alors fais ce qu'on te dit ou alors ça va barder... Fais nous voir ton cul!»

Mon fils recoucha le bébé dans son couffin puis les hommes s'emparèrent de lui et l'emmenèrent de force vers le canapé. Là, il fut déshabillé et apparut très vite en boxer blanc moulant qui laissait bien deviner la forme de son sexe et le rebondi de son cul. Celui qui était derrière lui tira son boxer vers le bas avant qu'il ne réagisse. Gaétan se retrouva tout nu devant les quatre hommes. Les hommes sifflèrent et commencèrent à le palper, lui caressant la poitrine, tirant ou pinçant les téton, malaxant ses fesses et essayant de lui caresser le petit trou. Les grosses mains de Victor s'insinuèrent entre ses jambes et mon fils cria quand un de ses doigt entra dans son cul. Il essaya de se dégager mais l'autre était trop fort; il souleva mon fils au bout de ses doigts et celui-ci gémit. Il rigola en disant: «Alors, on bande à ce que je vois... Et ton trou s'ouvre tout seul, salope... Tant mieux, avec ce je vais te mettre, t'as intérêt...»

Les hommes se déshabillèrent et je vis que leurs sexes étaient déjà en érection, celui de Victor semblait très impressionnant, au moins 22 ou 23 cm et très épais, les autres étaient plus petits certes mais de bonne taille quand même. Gaétan fut assis et dût sucer les queues qui se présentaient devant lui. Mon fils fit la grimace quand Victor lui présenta son mandrin, mais une gifle lui fit ouvrir la bouche et l'autre en profita pour faire entrer sa bite le plus loin qu'il put. Gaétan eut un haut-le-coeur mais son violeur s'en fichait et utilisait sa bouche comme un cul, allant et venant.

Ensuite, mon fiston fut mis à genoux sur le canapé et Victor, en qualité de propriétaire fut le premier à le pénétrer, après avoir craché sur son trou pour le lubrifier. Il ouvrit la bouche pour chercher de l'air quand le sexe monstrueux entra dans son petit trou. Germain monta sur le canapé et se fit sucer pendant que les autres malaxaient ses tétons en se branlant. Victor prit son temps mais il réussit néanmoins à rentrer 10 bons centimètres de sa bite, après quoi il saisit mon fils par les hanches et lui imprima des va-et-vient de plus en plus rapide, s'enfonçant un peu plus à chaque fois. Au bout de cinq minutes, la totalité de son sexe disparut dans le cul de Gaétan et ce dernier couina comme il ne l'avait jamais fait avec aucun de ses copain (je les écoutais souvent baiser dans la chambre à côté de la mienne). L'autre s'en rendit compte car en lui donnant des claques sur les fesses, il lui dit: «Alors salope; t'as l'air d'aimer ça? Tu t'es jamais fait bourrer par une bite comme ça, hein?... Je parie que ton mec en a une beaucoup plus petite non?... Tu réponds dis!...» Entre deux gémissements, Gaétan lui répondit: «C'est vrai... Vous êtes très gros... Plus gros que tous les mecs que j'ai eu... Même plus gros que mon père... Aaaahhhh... Oooouuuuuhhh...» L'autre accéléra ses mouvements, se crispa et envoya tout son sperme au fond du ventre de ma progéniture. Celui-ci gémit et dès que Victor se retira, ce fut René qui prit la place. Germain, toujours devant Gaétan lui ordonna d'ouvrir la bouche, s'approcha et lui éjacula dans le gosier. René se démena dans le cul élargi de mon fils et éjacula à son tour.

Puis ce fut Robert qui le retourna, lui attrapa les chevilles et remonta ses jambes à la verticale. Il le pénétra et fit quelques aller retour puis il ressortit, invita Germain qui rebandait déjà à placer sa bite contre la sienne, ils mirent leurs deux sexes sur l'anus de Gaétan qui le supplia: «Non... S'il vous plait... Pas à deux... Je l'ai jamais fait... S'il vous plait... Non...» Robert demanda de l'aide aux autres qui immobilisèrent mon fils en lui écartant les jambes puis ils introduisirent leur sexe dans le cul de Gaétan qui cria; l'autre lui dit de se taire et lui mit une claque puis se mit à le pistonner en faisant des commentaires salaces. Ils éjaculèrent dans le cul de mon fils en riant tandis que celui-ci pleurait et Victor s'approcha pour se faire sucer, puis il s'assit sur le canapé et demanda aux autres de déposer mon fils sur sa bite dressée. Gaétan fut de nouveau empalée sur ce pieu énorme, Victor savourant pour la deuxieme fois le viol de ce petit cul.

C'est à ce moment là que le bébé se mit à pleurer, mon fils leur dit qu'il avait faim, Robert alla donc chercher le petit dans son couffin et lui présenta. Il le prit, se saisit du biberon qui était toujours prêt dans la sacoche, et le bébé se mit à téter, indifférent au fait que son grand cousin était en train de se faire enculer.

René remonta sur le canapé pour se faire sucer et éjacula dans la bouche de Gaétan au bout de quelques minutes. Le bébé ayant fini son repas, Germain le prit dans ses bras, lui fit faire son rôt et le recoucha, pendant que Victor se déchaînait sous mon fils, le soulevant de 15 cm à chaque coup de reins. Il râla en se vidant de nouveau mais mon pauvre fils n'en avait pas fini car Robert lui remonta les jambes et lui mit sa bite dans le cul plein de sperme.

Je suis resté encore 30 minutes à regarder mon fils se faire sodomiser, prendre en sandwich ou bien avaler le sperme des pipes qu'il faisait. J'ai dû éjaculer deux ou trois fois, puis suis remonté sans faire de bruit. Je me suis recouché et j'ai attendu patiemment encore deux bonnes heures avant de voir la porte s'ouvrir et Gaétan venir se coucher. Il se tourna et s'endormit presque tout de suite.

Le lendemain matin, nous nous sommes levés en même temps et quand je demandai à mon fils si il s'était couché tard, il me répondit non; pourtant, il avait des cernes sous les yeux. Nous avons repris nos affaires et Victor prit en remorque notre voiture avec son 4x4, puis en nous laissant chez le garagiste le plus proche, il nous laissa en nous disant de repasser quand on le voudrait... Là-dessus, il s'adressait surtout à Gaétan qui baissa les yeux et ne répondit rien.

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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 13:13

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Je me présente, je m’appelle Sylvain, j’ai 17 ans et je suis en train de vivre une expérience pas banale...

Mes parents et moi (je vis seul avec eux puisque mon frère aîné est parti étudier à l’étranger pendant un an) avons déménagé il y a 3 mois dans une belle maison en ville. Le rez-de-chaussée est spacieux et confortable mais il y a moins de place aux étages; il y a le bureau de mon père, la salle de bain, la chambre de mes parents et ma chambre est à côté de la leur... et je commence sérieusement à croire que le hasard n’y est pour rien. En effet, le mur entre les deux chambres à coucher est plutôt fin et tous les bruits se transmettent d’une pièce à l’autre. J’ai bien dit TOUS les bruits!

Comme vous l’aurez compris, cela faisait donc 3 mois que j’entendais - voire écoutais - mes parents faire l’amour de l’autre côté de la cloison. Et quand je dis «faire l’amour», c’était plutôt bestial, ils baisaient comme des bêtes, surtout! Plusieurs fois par semaine, quand ce n’était pas plusieurs fois par jour, je collais mon oreille au mur et les écoutait baiser en me branlant frénétiquement. Et ils étaient assez bruyants, mes parents! «Salope, tu la sens bien, ma grosse pine! Je te bourre ta chatte de grosse putain, t’aimes ça, hein! Pétasse!» ou «Oooh oui, vas-y mon beau, qu’est-ce que t’es bon, qu’est ce que t’es gros, tu me remplis bien le trou du cul, c’est trooop!» etc... Vous pensez bien que je ne résistais jamais longtemps et il m’arrivait de me masturber plusieurs fois de suite rien qu’à les entendre.

Un jour, je n’y tins plus et j’osai m’aventurer jusque dans le couloir pour les observer par la porte entrouverte (encore une fois, j’appris plus tard que cette porte était ouverte intentionnellement!). Je m’agenouillai sur le tapis du couloir et reluquai les bribes de spectacles qu’il m’était donné de voir. Mon père, de derrière, faisait de larges mouvements de va-et-vient dans la chatte reluisante de ma mère, en levrette sous lui. Je voyais les belles fesses de mon paternel bouger de plus en plus vite et ma mère qui gémissait, qui gémissait de plus en plus fort. Et puis soudain, je fis craquer le bois du sol... Prêt à m’enfuir à toutes jambes, je remarquai qu’ils ne s’arrêtaient pas. Ma mère cessa juste de gémir et mon père dit d’une voix forte mais chaleureuse: «Viens Sylvain, tu es le bienvenu, tu sais!»

Je croyais avoir mal compris, et j’étais très gêné par ce que j’avais cru entendre, je retournai donc dans ma chambre, histoire de passer inaperçu, rouge de honte et de confusion. Je passai la demi-heure suivante à me poser des questions en les entendant hurler leur désir et leur passion animales.

Nous n’avons pas parlé de cette histoire durant toute une semaine, mais il me semblait que mes parents avaient une attitude inhabituelle, bien que je décidai de ne pas y prêter attention. Par exemple, mon père se baladait maintenant en caleçon à peine rentré à la maison, alors qu’il n’avait jamais fait ça, comme pour s’exhiber. Et il ne se gênait pas pour se gratter ou se peloter les bijoux de famille en notre présence. Ma mère ne semblait pas le remarquer, je décidai donc de faire comme si de rien n’était.

Cela faisait maintenant 2 ans, au moins, que je savais que j’étais plus attiré par les hommes, j’avais eu beaucoup de mal à assumer cela, et encore à ce moment-là, je n’étais vraiment pas sûr de moi, au point qu’aucun de mes amis, personne dans la famille, aucune de mes connaissances, en fait, n’était au courant de ce qui était pour moi une honte. Mais le manège de mon père ne faisait qu’aggraver les choses. Parfois, je repérais même une bosse dans son caleçon moulant, et je commençais à bander dur, alors je me précipitais (relativement peu discrètement) dans ma chambre ou dans les toilettes pour me soulager.

Une semaine après cet événement inattendu, les choses changèrent. Mes parents m’annoncèrent qu’ils sortaient ce soir-là et que je passerais la soirée seul. Après les recommandations d’usage, il me laissèrent seul. Dès qu’ils furent partis, je filai dans ma chambre et je me dévêtis en vue d’une branlette magistrale. J’étais très excité car lorsque j’étais rentré dans la cuisine, juste avant que mes parents partent, j’avais surpris ma mère assise sur mon père qui était, lui, sur une chaise, en train de faire tous les mouvements suggestifs d’une baise. Ils ne m’ont pas vu (ou ont fait semblant?) et je les ai un tout petit peu regardé, puis je me suis éclipsé, la queue dans un état pas possible, mon boxer trempé de sueur et de mouille.

J’en étais donc à me palucher lentement en me remémorant ces images terriblement salaces, quand mon père est rentré d’un coup dans ma chambre. Je sus par après qu’ils avaient tous les deux simulés une sortie pour mieux revenir en douce et en silence, sachant que je serais excité au maximum par le show qu’ils m’avaient fait, et sachant donc qu’ils pourraient me surprendre en pleine masturbation adolescente.

En attendant, mon père s’approchait lentement de moi, une lueur cochonne dans le regard, pendant que mon sexe débandait entre mes doigts et que j’essayais de me cacher honteusement de lui sous mes couettes. Il me retirai d’un mouvement toutes les couvertures et, ma nudité dévoilée, me regarda d’un œil pervers. Je commençai à avoir peur, mais il me dit de ne pas m’en faire, qu’il ne m’arriverait rien, mais que je devais aller au salon, et comme ça, entièrement nu! Accablé par la honte et l’inquiétude, je le précédai au salon où je dus m’asseoir sur le canapé. Il appela ma mère qui vint de la cuisine en nuisette rouge, il la coucha sur la table du salon, sortis sa bite de son pantalon et l’enfourcha devant moi, d’un coup puissant. Il la pénétrait en face de moi et rugissait de bonheur, comme si l’idée même de se donner en spectacle, surtout à son fils, lui donnait une vigueur de taureau en rut. Malgré moi, je me mis à rebander, de plus en plus dur, de plus en plus ferme, devant leur accouplement torride.

Je voyais l’énorme engin de mon papa entrer, puis sortir complètement du trou béant de ma mère, il s’astiquait une ou deux fois, puis l’enfourchait de nouveau, avec un grand «HAN!» de bûcheron. Ma mère, quant à elle, criait son bonheur de se faire foutre et se tortillait, elle jouissait sous les coups de boutoir de son mari. Moi, j’essayais de cacher mon érection mais elle se faisait de plus en plus grosse, et de plus en plus apparente.

Mon père décida alors de changer de place, ma mère se plaça à quatre pattes par terre et il la prit en levrette, tandis que la tête de ma mère se rapprochait de mon pubis. Mon père rugit que je devais me laisser faire, je laissai donc ma mère engloutir mon sexe et jouer de sa langue experte sur mon gland, sur mes bourses, sur mon nombril et sur ma hampe toute entière pendant que ses doigts essayaient d’atteindre mon anus. Je fus très gêné au début, puis le plaisir m’envahit vite et je laissai aller ma tête en arrière pour profiter au maximum du bonheur que ma mère me procurait. Je ne pus donc voir mon père qui sortait de sa chatte et qui vint s’asseoir à côté de moi. Je sentis sa main chaude et virile me caresser le torse, puis les tétons, je rougis tellement il me faisait du bien. Il était le premier homme à me toucher et il le savait. Ma mère vint l’embrasser pendant qu’elle nous branlait tous les deux. Il lui malaxa les seins, alors que je restai immobile, à moitié apeuré, me demandant ce que je faisais là, à moitié excité par la situation, être enfin avec mes parents quand ils baisaient, c’était jouissif, je n’aurais jamais osé l’espérer. D’un coup, mon père prit ma main et la pose sur son ventre, la dirige vers sa toison jusqu’à ce qu’elle heurte son magnifique sexe au garde-à-vous.

D’un coup je me mets à bander plus fort et je le branle délicatement. Ma mère me laisse faire en m’approuvant d’un sourire et se met à se branler à genoux sur le sol. Mon père se caresse le torse d’une main, et de l’autre, il prend ma tête et l’approche de sa bite luisante. Je fais mine de refuser, de résister, mais il devient violent. Il me couche sur le dos et met d’autorité sa grosse queue sur mes lèvres. Plein de désir et d’appréhension, je commence à le léchouiller timidement. Il m’attrape alors les couilles à pleine main et me les serre. Cela me fait un peu mal mais je trique trois fois plus. Il profite de mon trouble pour m’enfoncer d’un coup sa saucisse jusqu’au fond de la gorge, et je suis obligé de faire des va-et-vient, j’y prends d’ailleurs de plus en plus de plaisir, le sentir se contracter dans ma bouche est merveilleux, surtout que ma mère recommence sa pipe sur mon sexe érigé plus qu’il ne l’a jamais été.

J’imagine que c’est mon père qui me suce et je sens que je vais venir à cette idée. Je jouis dans un énorme cri, je râle, je n’en peux plus de jouir et ma mère avale tout. Quant à mon paternel, il s’est levé, attend que ma mère finisse de me nettoyer la queue, et me fait me mettre de force à quatre patte sur la petite table du salon. Je prends peur, je tente de résister mais ma mère a déjà pris possession de ma volonté en me léchant le trou du cul qui est très exposé, dans cette position. Mon père me caresse comme si j’étais sa jument et sa queue tressaute d’impatience. Quand ma mère s’arrête, je n’ai qu’un désir, c’est qu’on s’occupe de mon petit trou, bien ouvert par la salive et l’excitation. Mon père place alors son énorme gland violet contre ma rosette et commence à entrer. Cela ne me fait même pas mal, je ne sens qu’une immense vague de satisfaction qui m’envahit, je me sens enculé, je suis un enculé, enfin, j’en rêvais depuis si longtemps sans oser me l’avouer. C’est bon, c’est trop bon, et mon père me malaxe les fesses, me les gifle presque tendrement. J’ai à peine senti ma mère qui s’était glissée sous moi et qui resuce ma pine dure comme du fer en me broyant les burnes. J’adore ça! Je sens les couilles de mon père cogner mon cul à chaque fois qu’il me bourre bien à fond, et il me crie des mots orduriers, tellement que j’en ai presque peur pour les voisins:

— Eh bien, petite pédale! Tu la sens ma putain de grosse queue! Je te la bourre à fond, hein, mon pédé! Alors, fils, on ne voulait pas dire qu’on est un gros pédé?! Pour ta punition tu te fais pilonner le trou à merde par ton enfoiré de père, t’aimes ça, hein!

— Oooh oui! Oui, papa, J’adore que tu m’encules! Je sens ta grosse bite, ton énorme bite au fond de mes intestins, c’est trop bon!!! Encule moi, fourre moi plus fort, plus loin, vas-y, je suis ta salope, ton trou à bite, j’aime! Ouiii! Oooh je viens, encore, je jouis!

Et j’éjacule mon jus d’adolescent dans sur la table du salon, et sur ma mère qui me mordait la peau des couilles en me branlant. En m’entendant jouir et en sentant les spasmes de mes intestins sur sa pine, mon père pousse un énorme râle et jouit à grands bouillons dans mon intérieur, il y a tellement de jus que ça déborde même de mon trou et ça coule le long de mon périnée en une délicieuse caresse, jusqu’à mes couilles. Il me retourne alors et me lèche le cul, les fesses, jusqu’aux couilles pour recueillir sa semence et la partager avec moi dans un long et langoureux baiser. Je n’aurais jamais cru ça possible, mais j’ai pris mon pied comme je l’avais encore jamais pris! J’ai joui autant du cul que de la queue, et encore de toutes les parcelles de ma peau.

Après nous être un peu rafraîchi, ma mère m’annonça qu’elle avait voulu profiter une seule et une dernière fois de son fils car elle s’en allait, elle déménageait pour un nouveau job qu’on lui avait proposé. Elle qui cherchait du travail depuis tellement longtemps, elle avait sauté sur l’occasion, même si ça voulait dire ne plus voir son mari et son fils cadet avant longtemps. Elle m’a ensuite confié que mon père était bi et très attiré par moi, sans doute autant que moi j’étais attiré par lui, et que nous pourrions nous contenter sexuellement, surtout maintenant qu’elle serait loin. J’étais attristé par le départ imminent de ma mère mais en même temps terriblement excité et content de ce futur prometteur avec mon père. Ma mère partit donc avec la promesse de revenir nous voir régulièrement et que nous baiserions alors tous les trois comme des bêtes.

En attendant j’étais seul avec mon père, et dès le soir même, j’allai me coucher avec lui, dans sa chambre, dans son lit, où nous fîmes l’amour plus calmement que la dernière fois.

À suivre...

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