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fan de histoires de mec

Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 11:07

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Quelques semaines plus tard, je me rendis compte qu’un de mes copains de longue date se comportait étrangement avec moi. Je n’avais plus peur d’assumer mon homosexualité, je m’habillais donc un peu plus moulant qu’avant, plus sexy, comme mon père adorait que je m’habille, pour mettre mon beau corps en valeur. Et de temps en temps je tortillais un peu du cul en marchant. Rien de bien grave, et quand il m’arrivait de me faire chambrer par mes camarades, je leur répondais du tac au tac. Voyant qu’ils ne me mettaient pas mal à l’aise et que je m’assumais sans difficulté ni gêne, ils ne recommencèrent pas et me laissèrent en paix. Cela renforça même les liens que j’avais avec eux, puisque cela devenait un sujet de blagues et de taquineries de leur côté autant que du mien.

Tout allait donc pour le mieux, si ce n’était Jérôme qui s’éloignait de moi peu à peu. J’en étais très attristé, et je l’invitai donc à venir s’expliquer à ma maison, lui racontant que mon père nous laisserait tranquille puisqu’il serait dans son bureau. Je dus insister pas mal, mais finalement il vint. Arrivés chez moi, après avoir bu un verre, je lui demandai tout de go pourquoi je le rendais mal à l’aise. Il rougis soudain, et je compris, en voyant son trouble, que je ne le laissais pas indifférent. Ne laissant rien paraître, je lui dis que nous serions mieux dans ma chambre, il vint et s’assit sur un coin de mon lit. Doucement, je m’assis derrière lui et commençai à lui masser le dos. D’abord très tendu, stressé et cambré, il se laissa ensuite faire, et petit à petit je vins à bout de ses résistances, en l’embrassant dans le cou, en le caressant doucement le torse à travers sa chemise.

Il fermait les yeux et soupirait de plaisir, il était magnifiquement beau, avec ses cheveux foncés, sa peau halée et ses muscles tendres que je sentais distinctement. Je l’embrassai alors sur la bouche, il se laissa faire d’abord, puis me rendis le baiser, ce long baiser d’amoureux que nous échangèrent. Je le caressai sur le torse, lui enlevai sa chemise, et m’assis sur son jeans tendu. Je me mis ensuite langoureusement nu. Puis je le débarrassai des quelques vêtements qui lui restaient. Une fois nu tous les deux, nous nous frottâmes longuement le pubis l’un contre l’autre. Puis je le branlai, je le suçai, et, dans un soixante-neuf fabuleusement érotique, nous avons tous les deux joui presque en même temps dans la bouche l’un de l’autre.

Il rentra chez lui, visiblement content de son après-midi, et me jura qu’il repasserait le lendemain, voire même sans doute pour la nuit. Je courus évidemment raconter tout ça à mon père, ce qui l’excita au plus haut point. Il me laissa finir mon histoire en s’astiquant lentement, puis, voyant qu’il n’en pouvait plus, je vins m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue énorme. Après quelques aller et retour, il jouit toute sa semence dans mon cul et je jouis une deuxième fois, dans sa bouche. Un peu calmé (mais rien qu’un peu!) nous nous mîmes d’accord sur un plan pour «piéger» le beau Jérôme le lendemain soir (rien de bien grave, rassurez vous).

À 19h, donc, mon ami arrive à la maison, nous mangeons tous les trois, avec mon père, tranquillement, puis mon père se lève, se met torse nu pour, dit-il, «se mettre à l’aise», et il va au salon pour «voir le match de foot». Jérôme, hyper intimidé par les muscles saillants et le beau torse de mon paternel, a une bosse dans le pantalon qui ne laisse présager que du bon. Avec un clin d’œil lubrique, je lui dis qu’on devrait aller prendre une douche. Il est évidemment d’accord, et, ne se doutant de rien, il m’accompagne à la salle de bain.

Une fois arrivé là, nous nous déshabillons tendrement en nous embrassant puis, une fois entièrement nu, je lui dit que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre, et que je reviens tout de suite. Sans qu’il s’en aperçoive, je prends ses vêtements et les miens et les emporte dans ma chambre, pour revenir ensuite à pas feutrés jusqu’au couloir, à côte de la porte de la salle de bain. Mon père arrive, sans bruit, lui aussi et entre d’un coup sec après m’avoir jeté un clin d’œil plein de sous-entendus. J’entends Jérôme pousser un hoquet de surprise, chercher ses vêtements, et mon père lui demander d’une voix d’ogre ce qu’il fait là, nu comme un ver. Lui ne sait que répondre, je l’imagine rougir, et pense qu’il doit être on ne peut plus mignon, dans cette position insolite.

Je me déplace un peu pour pouvoir voir sans être vu, et j’observe Jérôme tenter de cacher sa nudité comme moi il y a quelques semaines. Mon père le traite de tous les noms, le prend par le bras (pas trop violemment) et le pousse sous la douche et allume celle-ci en lui disant que, de toute façon, il est là pour ça. Jérôme obéit, il n’a pas le choix, et mon père, après s’être mis nu en un temps record, le rejoint sous le jet d’eau chaude. Jérôme est mort de trouille et il ne se calme pas en voyant l’énorme mandrin de mon père le menacer du haut de son érection. Mon père l’agenouille en silence mais avec une main ferme et l’oblige à le sucer. Mon père est donc face à l’entrée de la salle de bain, avec Jérôme à ses pieds en train de lui prodiguer une fellation qui doit être fameuse, à en juger par les cris du sucé.

Moi aussi nu, j’entre alors en silence, mon père coupe le jet d’eau et, comme convenu avec mon père, je me mets à pisser sur Jérôme, sur son dos, sur ses belles fesses. Lui n’est d’abord qu’à peine surpris de sentir un autre jet de liquide chaud sur lui, et est entièrement accaparé par la pipe qu’il fait à mon père. Puis il se rend compte de quelque chose, se retourne, et reçoit mon jet de pisse jaune et brûlant sur la gueule. D’abord dégoûté, il voit que c’est moi, il se rassure, et sans doute se dit comme mon père et moi, que la situation est très excitante, il reçoit donc en gémissant mon urine sur le visage. Puis, quand j’ai fini, c’est mon père qui prend le relais. Comme je frotte ma pine toute molle d’avoir pissé contre le visage de Jérôme, nous recevons tous les deux de la pisse chaude et puante de mon père, lui sur la gueule, dans la bouche, il avale et il a l’air d’aimer ça, et moi sur ma pine qui grossit de plus en plus.

Ensuite, mon ami se lève et il vient se frotter à moi, je lui lèche le visage plein d’urine, je caresse son corps trempé et mon père colle sa queue érigée contre ses fesses et se masturbe ainsi, le gland contre la rosette de Jérôme. Nous sortons alors de la douche, je colle mon copain contre le mur et, après lui avoir léché le trou de cul, je le pénètre violemment, dans un cri de sa part comme de la mienne. Ensuite, mon père vient derrière moi, malaxe mes couilles qui se balancent pendant que j’encule mon second amant puis il m’enfourne aussi, sans préparation, d’un grand coup brutal. Je hurle, d’abord de douleur, puis de plaisir. Nous formons une brochette d’enculades et nous jouissons tous les trois dans d des gémissements sans retenue. Epuisés, nous allons nous reposer, sentant que le lendemain, nous pourrons profiter pleinement de notre envie de sexe jamais assouvie. Nous dormons tous les trois dans le grand lit de mes parents, enlacés, après nous être encore baisé; Jérôme m’a enculé pendant que je suçais mon père, puis mon père a enculé Jérôme alors que je m’occupais de la queue de ce dernier.

Le lendemain, après une baise matinale, Jérôme est rentré chez lui et mon père a eu un nouveau plan lubrique dans la tête. Il n’a rien voulu me dire, il m’a juste fait monté dans sa voiture, un bandeau sur les yeux, en me promettant une belle surprise. Très curieux, j’ai patienté, il m’a fait sortir de la voiture, m’a emmené sur un chemin assez caillouteux jusqu’à un intérieur qui ne sentait pas très bon... J’ai mis du temps à me rappeler où j’avais déjà senti cette odeur, puis il m’a enlevé le bandeau et les souvenirs me sont revenus aussitôt: nous étions dans le box de notre cheval, un étalon noir, magnifique, que nous avions acheté longtemps auparavant et qui nous aimait autant que nous l’aimions. Voyant mon père tout excité, je me suis dit qu’il voulait que nous baisions dans le foin, dans l’odeur de bêtes, et même devant notre étalon, et je me suis rendu compte que cette idée m’excitait pas mal aussi...

Mon père m’a ordonné de me déshabillé et d’être son esclave. Emoustillé par ce petit jeu, je me suis plié à ses désirs et je me suis mis à genoux, nu sur la paille fraîche, devant lui qui avait enfilé une salopette sur sa peau nue, sa grosse queue pointant par l’ouverture de l’entre jambe. Il me cria de faire un tour à quatre patte, jusque sous le ventre de Nuage, notre cheval. Je savais qu’il n’y avait aucun risque de ruade, car il me connaissait bien et qu’il était doux comme un agneau avec nous.

Une fois sous son flanc, mon père m’ordonnai de caresser son ventre d’un coté à l’autre, ce que je fis avec plaisir, Nuage soufflant de plaisir. Ensuite il me cria de lui caresser les bourses. Je le regardai, surpris, puis me dis «après tout, pourquoi pas? C’est un mâle comme les autres finalement!» Je commençai donc à lui effleurer doucement les burnes, qu’il avait noires, puis, pris par le jeu, et par l’excitation grandissante, je commençai à les humer et me surpris à aimer ça. La bite de mon cheval commençait à sortir de son fourreau, à grandir et grossir, et mon esprit autant que ma volonté m’échappait totalement. Je me demandais ce que je faisais, j’étais honteux de mes actes, mais tellement excité que je voulais à tout pris continuer, jusqu’au bout, jusqu’à ce que je pourrais faire de plus lubrique! Mon père n’en espérait peut-être pas tant, mais je commençai ensuite à lécher amoureusement les énormes mandarines, puis la hampe sans fin de mon étalon adoré. Jamais je n’avais connu une aussi grosse bite et je bandais à m’en faire mal tellement cela m'échauffait les sens.

Mon père se mit alors nu aussi, et vint s’occuper de l’énorme pine de notre cheval. Lécher une tel engin était jouissif et nous n’osions pas nous toucher de peur de jouir sur le champ. Nuage n’en pouvait plus, il soufflait par les naseaux, s’agitait, et soudain, sa bite se mit à tressauter dans tous les sens, je la branlai du mieux que je pouvais, avec mes deux mains, et il jouit! Sa semence de cheval gicla sur la paille, sur mon père, sur moi, il y en avait des litres! j’en avais jusque sur les cheveux et mon père en avait plein le visage et le ventre. Je me roulai sur lui pour m’en étaler sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Le sperme de Nuage sentait bon, il était brûlant, nous en avions partout et nous nous léchâmes le corps pour nous nettoyer et, surtout, nous soulager. Nous éjaculâmes tous les deux en peu de temps, tellement l’excitation avait été grande.

Puis nous allâmes nous coucher sur la paille, pas loin de Nuage qui se remettait très bien de ses émotions. Petit à petit, nous recommençâmes à nous toucher, à nous caresser et nous étions repartis pour baiser quand l’étalon se manifesta bruyamment en hennissant; il en voulait encore. Nous nous délaissâmes donc pour retourner vers le cheval, sa queue était à nouveau bandée bien dur, très longue, elle était magnifique. Mon père s’occupait de lui lécher le gland, qui avait la grosseur d’un melon, et il se frottait à cet organe magnifique, pendant que, passé derrière Nuage, je lui léchai l’arrière des couilles. Puis, voyant qu’il levait la queue d’une manière suggestive, j’eu une idée totalement insensée. Je remontai avec ma langue le long de son périnée, puis j’arrivai à son trou de cul. Il était bien serré, mais je le léchai sans vergogne. Je le léchais, je le léchais, et je bandais de plus en plus dur de voir que cela excitait énormément Nuage, son anus s’ouvrait de plus en plus, plus il était mouillé, plus il s’ouvrait, comme une fleur, prêt à recevoir un cadeau...

Mon père, sentant que l’étalon prenait un plaisir immense, me demanda ce que je lui faisais. Quand je lui dit, il vint me regarder, la langue dans le trou du cheval, tout en le masturbant. Sentant que le cheval allait jouir, il lui lâcha la bite et me dit de l’enculer. J’ouvris de grands yeux, et mon père me dit qu’il l’avait déjà fait, étant adolescent, il avait l’habitude d’enculer le cheval qu’il avait alors, et cela procurait énormément de plaisir, autant à l’animal qu’à l’humain. Je rentrai donc un doigts, puis deux, puis toute ma main dans l’anus dilaté de Nuage qui, manifestement, prenait son pied royalement. Je bougeai mon poing dans son trou du cul puis, je la sortis, pleine de crottin. Totalement excité, et n’en revenant pas de ce que je faisais, j’étalai toute la merde du cheval sur mes fesses, puis sur mon ventre et mon bas ventre, j’approchai ma queue de son anus, et je pénétrai mon étalon doucement, jusqu’au bout, jusqu’à la boule de crottin qui se terrait au fond de ses intestins. Nuage trépignait de se sentir enculer, et mon père, sentant qu’il allait à nouveau jouir, se mit sous lui pour recueillir ses litres de jus sur son corps.

Quand il en fut remplit, il vint m’en enduire et m’enculer à l’aide de ce lubrifiant. Avec tous ces stimulants, je jouis très vite dans le cul de Nuage, puis m’en retirai. À temps, car il devait visiblement chier. Ce qu’il fit, après avoir essayé de s’éloigner, mais d’un geste je lui avait fait comprendre de rester près de moi. Il envoya donc toute sa merde à mes pieds, et je me couchai sur le monticule puant, sous les yeux de mon père qui rebandait dur. Il se coucha sur moi, nous nous couvrîmes de crottin, puis je me mis ventre dans la merde, la tête dedans, et mon père m’encula jusqu’à jouir une dernière fois. Je jouis dans la merde et nous nous endormîmes ainsi.

Après quelques heures, nous nettoyâmes le box puis nous rentrâmes à la maison, tout en nous promettant de revenir pour des parties de jambes en l’air torrides, et qui sait, peut être y emmènerions nous Jérôme?

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 12:13

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J'aime l'exhibition, mais je n'avais pas encore pratiqué. Je trouve très excitant de se retrouver nu à la vue de tout le monde et bien sûr qu'on profite de moi à sa guise, selon sa volonté et son envie.

Un samedi en fin de matinée je me connecte via minitel à un serveur gay pour m'amuser (comme beaucoup d'ailleurs). Après quelques échanges, j'établis un contact avec une personne de Rouen (j'y habite, avis aux amateurs). Nous discutons depuis une dizaine de minutes et celui-ci me propose de l'appeler, il me donne son téléphone et je raccroche. Je n'ai pas l'habitude des contacts par minitel mais je me décide à l'appeler, il se prénomme Henri. Le téléphone sonne et une voix très grave me répond.

— Bonjour, c'est toi Alain ?

— Oui, on vient de se parler via le minitel.

— Exact, tu veux que l'on se rencontre ? Tu es passif ?

— Je n'ai jamais rencontré de gars après le minitel, mais j'aimerais essayer, cet après midi ? Au fait je suis passif et j'aime particulièrement me faire travailler le cul.

— Ok pour cette après midi, 15h à l'entrée du sauna.

Nous nous décrivons mutuellement pour nous reconnaître. Je déjeune rapidement et à 15h je suis devant le sauna. Henri est là, il m'attend, environ 45 ans, mais la différence d'âge m'importe peu (j'ai 30 ans).

Nous rentrons dans le sauna et allons aux vestiaires. Je me déshabille totalement et prend une serviette. Henri se déshabille également, il a une superbe queue, très épaisse comme je les aime et me prend ma serviette.

— Tu m'as bien dis que tu aimais l'exhibition. Surtout ici, pas de serviette pour toi.

Nous pénétrons dans le sauna, il y a une bonne dizaine de personnes et nous nous asseyons dans un coin mais Henri prend garde que tout le monde puisse nous voir.

— J'aimerais que tu me suces et me lèche les couilles, tu te mets à quatre pattes, ton cul bien orienté vers les autres, ok ?

Rien que le fait de l'avoir dis, je sens mon sexe se dresser. Bien évidemment je me mets dans la position voulue et je commence à le sucer. Son sexe est parfumé. Il commence à grossir et j'en profite pour lécher et sucer ses couilles.

— Excellent, continue mais uniquement avec ta bouche, avec tes mains tu écartes tes fesses pour que tout le monde voie ton trou.

Je m'exécute, je sens mon anus s'ouvrir un peu et j'englobe encore plus son sexe. Au bout de quelque minutes je sens une présence auprès de moi. Deux hommes se sont approchés et regardent avec attention mon travail. Ça excite encore plus Henri qui se vide dans ma bouche à gros jets. J'apprécie et avale tout, pas une goutte ne m'échappe. Un sperme bien épais, pas aigre, j'en garde un peu dans ma bouche pour le montrer à Henri et aux spectateurs qui nous entourent puis je l'avale.

— Au suivant de ces messieurs, Alain est un bon suceur, avis aux amateurs.

Henri se lève et laisse sa place, je n'avais pas prévu cela, mais une nouvelle queue est déjà devant moi et je la prend dans la bouche en me disant qu'elle subira le même sort.

— Bon tu m'as dis que tu aimais le travail anal alors écarte encore un peu je vais commencer.

Avec la chaleur, mon cul est en sueur comme le reste de mon corps. Henri passe son doigt sur mon petit trou plusieurs fois, salive sur mon cul et badigeonne mon anus avec sa salive. Bientôt un doigt me pénètre, il salive de nouveau et pénètre encore. Mon cul est maintenant ouvert, j'adore cette sensation, j'écarte encore plus mes fesses pour faciliter la pénétration. Henri me dit qu'il en est à trois doigts et que maintenant j'ai le cul bien ouvert et préparé à un autre diamètre.

Je sens un sexe contre mon anus, la pénétration est forte, j'ai senti mon anus résister pour se relâcher. Le sexe m'a pénétré entièrement, je relève la tête surpris. Mais on me demande de reprendre la fellation. Une seconde giclée de sperme m'inonde la bouche et une troisième personne prend place. Je me sens juste être une machine à faire jouir et j'aime cela.

— C'est une superbe salope que tu nous as amené, Henri. Pas comme celui de la semaine dernière.

Je comprend maintenant qu'Henri est un habitué et que chacun à leur tour ramène quelqu'un pour profiter de lui. Cela ne me dérange pas et reprend ma fellation, cette queue est plus fine mais plus longue, elle tape au fond de ma gorge.

Mon cul accepte de mieux en mieux ce sexe qui me laboure le cul sans se préoccuper de mon désir. Un grognement me signale qu'il est en train de jouir dans mon cul, il se retire. Henri prend sa place appuie sur mes reins afin de bien présenter mon trou maintenant bien ouvert. Il crache plusieurs fois dedans et à chaque fois fait pénétrer sa salive dans mon anus. Puis il me pénètre avec deux doigts, puis trois, puis quatre et enfin la paume de sa main et commence un va-et-vient. Je sens encore mon anus se dilater, je me relâche complètement pour faciliter cette pénétration.

— Superbe cul bien ouvert, tu as déjà essayé le fist complet ?

— Non, mais je veux bien essayer si tu fais doucement.

— Ok on y va.

Il reprend son va-et-vient, sort complètement sa paume puis me pénètre de nouveau comme si sa main était un sexe. Mon anus accepte de mieux en mieux cette pénétration. Il retire sa main, crache de nouveau dans mon anus, ferme à demi son poing et commence à me pénétrer. Doucement sa main entre, force le passage, j'ai un peu mal mais beaucoup moins que je le pensais et je sens tout à coup que sa main est complètement entrée.

Il commence aussitôt un va-et-vient mais sans sortir.

— J'élargi ton intérieur, ne t'inquiète pas.

Je n'en peux plus, je transpire à grosses gouttes. Enfin mon troisième partenaire jouit, j'avale encore un peu mais laisse couler du sperme sur mon visage. Le sien est très liquide.

Henri retire sa main doucement et je sens de nouveau mon anus s'ouvrir pour laisser le passage.

— Maintenant tu es vraiment ouvert, mets ton cul en l'air, creuse tes reins. Venez voir les autres.

Sept ou huit personnes approchent et constatent l'ouverture de mon cul. J'adore ce moment, sentir le regard de tout le monde sur moi. Henri se penche, crache dedans et invite les autres à faire de même. Tout le monde le fait et tout à coup je sens une nouvelle main qui me pénètre.

Ce n'est pas moi me dit Henri mais un copain. Sa main s'enfonce, me pénètre et commence à entrer et sortir. Tout à coup j'urine, je suis surpris mais Henri me précise que c'est normal. Ce massage interne dure et s'arrête pour laisser place à une superbe queue, celle d'Henri qui a repris toute sa vigueur. Il s'enfonce sans aucun problème au plus profond de moi et à un rythme infernal. Bientôt il explose et se retire. Je peux enfin m'asseoir.

— Masturbe toi, tu l'as bien mérité.

Je m'exécute. Sept gars m'imitent juste devant moi. J'éjacule dans ma main et la porte à ma bouche pour avaler mon sperme. Le premier éjacule sur moi, puis bientôt les autres. Je suis couvert de sperme, je me lève et me dirige vers les douches. Je me lave et Henri me regarde.

— Tu t'es bien amusé ?

— Oui c'était super, mais tu avais prévu le coup ?

— Oui, mais cela ne marche pas tout le temps, tu veux bien faire une dernière chose ?

— Dis moi.

— Mets toi ce plug dans le cul, puis tu t'habilles et on va prendre un pot.

— Ok.

Il m'enfile le plug à fond dans l'anus. Nous nous habillons et allons dans un bar. En m'asseyant, le plug qui était un peu sorti reprend sa place au fond de mon cul. J'apprécie cette pénétration et le dis à Henri. Un copain à lui arrive, nous discutons tous les trois et Henri raconte mes exploits de cet après midi. Je vois son copain très intéressé. Il m'invite à le suivre. Nous sommes dans les toilettes, il ouvre sa braguette et me présente sa queue. Je m'agenouille et lui fait une fellation rapide en alternant ma main et ma bouche. Il me prend la tête et m'enfonce sa queue dans la gorge et en profite pour éjaculer.

Nous retournons voir Henri, celui-ci plaisante encore et ils partent. Je reste seul dans le bar. Je me lève pour payer et vais me rasseoir. Je sens de nouveau le plug dans mon anus et je me dis qu'Henri devra un jour venir je chercher.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 2 commentaires
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Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 00:04

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Tout d'abord, laissez-moi me présenter: je m'appelle Seb, 22 ans, 1m76 pour 85 kg (oui un peu enrobé). À l’époque, je devais avoir 17 ans et mon cousin Jimmy était plus jeune que moi de 6 mois.

Mon père et mon cousin avaient une passion en commun: la chasse. Alors il arrivait très souvent après que mon cousin ait passé son permis de chasse, qu’il vienne dormir le samedi soir à la maison pour partir dès l’aube avec mon père le dimanche matin.

Mon cousin habitait en campagne et moi en ville, mais avec nos âges proches, nous étions très complices lorsque nous nous voyions... Aussi bien pour faire des bêtises ou pour se raconter nos petits secrets…

Jimmy était un tombeur auprès des filles. Faut dire que son 1m85, blond aux yeux bleus et un corps de rêve dû à ses nombreuses activités agricoles qui lui permettaient de développer tous ses muscles et de bronzer tout l'été... hmmm! Un vrai régal.

Ce soir là, mes parents s’étaient absentés et on décida de regarder un film d’horreur dans le salon. C’est le genre de film dont je suis gourmand, mais pas Jimmy. Afin de le récompenser de sa témérité, je lui demandai s’il voulait qu’on se matte un autre film plus à son goût... Un "western" comme on disait entre nous pour parler des films pornos. Sa réponse ne se fit pas attendre! Je mis la cassette et on commença à regarder en commentant quelques scènes et en rigolant maladroitement des positions farfelues des acteurs. Je n'ai pas besoin de vous dire qu'au bout de 10 minutes, je bandais déjà comme un fou et à voir la bosse qui se profilait sous le jeans de mon cousin, je n’étais pas le seul…

Après quelques scènes assez répétitives, je lui fis remarquer l’heure et lui proposai d’aller nous coucher afin qu’il ne soit pas trop fatigué le lendemain… Nous nous sommes couchés très rapidement dans mon grand lit et avons continué à discuter sur tout et rien… Jimmy ne mit pas longtemps à s’endormir mais moi, j’avais toujours cette gaule et ce désir insatisfait qui m’empêchait de trouver le sommeil… Et puis, je ne pouvais m’empêcher de repenser à la bosse de Jimmy… Pour avoir autant de conquêtes féminines, avait-il autre chose q’un sourire ravageur?

Des images souillèrent mes pensées… Et si jamais j’osais ne fut-ce que le toucher? Apparemment, il dormait a poings fermés… Je m’approchai de lui tout en faisant croire que je m’agitais dans mon sommeil et glissai une main au niveau de son sexe… Je sentis la chaleur de son corps se dégager, à peine j’effleurais son slip (et oui, c’est un beauceron le gars). J’attendis un peu avant de continuer mon exploration et tout en retenant mon souffle, j’approchais mes mains de lui. Doucement, je commençai à le caresser du bout des doigts… Je sentis sa grosse bosse qui n’avait pas dégonflé ou très peu.

J'entre ensuite un doigt, puis deux, doucement à l’intérieur de son slip, passant mes doigts dans ses poils et arrivant, au bout de quelques secondes sur sa bite… Un très bel engin que je parcourais du bout des doigts de bas en haut; un bon 18 cm… Je finis par m’arrêter sur ses bourses bien remplies que je malaxais avec plaisir, jonglant avec chacun de ses testicules…

Soudain Jimmy se mit à bouger et j’enlevai tout de suite mes doigts de son slip en jouant toujours la belle au bois dormant… Après quelques minutes, Jimmy s’arrêta de bouger… Mais je ne pouvais en rester là… Je décidais donc de retourner explorer le sexe de mon cousin… Je m'approchais de nouveau de lui en passant ma main sous la couette… Je glissai ma main jusqu'à ses hanches et là fut ma surprise… Je palpai la chair de Jimmy sans aucun obstacle! Mon cousin avait subtilement retiré son slip sans que je m’en rende compte… Ce geste m’encouragea davantage et je repris sans plus attendre mon ascension vers le Graal… et quel Graal! Jamais je n’en ai vu d’aussi grosse! Elle devait faire 21 cm une fois sortie de son écrin… Comparé à mes 15 cm, je me trouvais ridicule mais d’autant plus excité.

Je bandais à mort et je n’avais qu’une envie: le sucer, sentir son odeur, avoir son sperme dans ma bouche. Je me mis à le branler et à embrasser son torse musclé… Je descendis ensuite lentement et me mis à le sucer. Sa main vint se poser sur ma tête et j’étais complètement à lui… Il décidait de la vitesse de mes va-et-vient et parfois, pendant que je m'activais sur sa queue, il me donnait des coups de reins en me stoppant dans mon élan pour me fourrer sa bite au fond de ma gorge… C’était exquis! J’étais comme dans un de mes rêves…

Quelques minutes plus tard qui m’ont paru très courtes, il gémit et de longs filets de foutre jaillirent dans ma gueule de chienne… Je n’en perdis pas une goutte et avalai tout le sperme de mon cousin… Il n’était pas amer comme le sont certains… Ensuite, je le léchai pour nettoyer sa verge des quelques gouttes qui ruisselaient sur sa tige qui ramollissait à vue d’œil, tout en remontant tranquillement vers son torse. Mais Jimmy repoussa ma tête et remonta très vite son slip comme s’il venait de prendre conscience de notre aventure…

J’essayais à nouveau de me rapprocher de lui mais je fus vivement remis à ma place. Je compris alors que j’allais devoir me satisfaire en solo de mon côté, ce qui ne me prit guère que quelques minutes…

Le lendemain, mon cousin se leva épuisé pour aller chasser avec mon père. Quand il rentra le soir, on fit comme si de rien n'était mais cela ne nous a pas empêché de recommencer les semaines suivantes! Même si je savais que je lui servais plus de déversoir qu’autre chose. Mais quand on aime ça!

Cela fait pratiquement quatre ans que cela s’est produit. Aujourd’hui, nous nous rencontrons moins souvent mais sommes restés en bonne entente… Jimmy vient tout juste de se marier et attend son premier enfant. Nous n’en avons jamais reparlé mais je voulais au moins vous en faire profiter...

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Vendredi 30 novembre 5 30 /11 /Nov 00:47

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Ce fut, une fin de semaine complète de sexe de domination totale, il a dû vider son Labrador quatre fois, moi encore plus, avalant autant mon urine que mon sperme et la nuit du samedi, bien ligoté à son lit.

Marc fut plus que satisfait des deux bouts, aussi bien de la gueule que du cul et il en redemandait encore et encore, il est insatiable du trou de cul. Et la nuit du samedi, bien ligoté, j'ai invité deux de mes copains supers enculeurs et aussi pervers que moi. Sans oublier une surprise pour lui.

Donc ce samedi là, J'ai commencé par rafraîchir le rasage de son trou de cul et de ses petites couilles, ne lui laissant que quelques poils pubiens au-dessus de sa queue, lui rasant même la poitrine et sous les bras. Suivi d'un bon lavement de son trou de cul sale, lavement constitué uniquement de mon et son urine, qu'il gardas en lui plus de 45 minutes, avant de bien se vidé les intestins, pour l'installé à poil. Couché sur le ventre sur un bloc et mains et pieds attachés à des crochets au plancher, seul chose qu'il pouvait bouger étais sa tête, pour sucer et boire tous les liquides sortant d'une queue. Vraiment belle chienne avec ses bas de nylon, son porte jartelle et son trou de cul affamé ouvert à espéré une queue, n'importe quelle queue, une queue, belle chienne la pute à rabais. En sommes une vrai pelote à gosses.

Mes amis sont arrivés, en voyant ce beau spécimen au centre de la pièce, nous avons avalé deux bières chacun rapidement, le grand me demanda, il bois tu la pisse cette afaire là. Ma réponse fut simple, écoute bonhomme, ce n'est pas un mec comme je te disais, C'est un trou de cul, une chienne en chaleur, un urinoir, une toilette tu lui fais ce que tu veux. Comme tu veux!

Il se leva et est allé vers l'affaire au milieu de la pièce, lui donnant une bonne claque sur les fesses en passant, il sorti sa grosse queue sale bien fromagés, pour la mettre dans la bouche de notre chienne de service et il lui pissa dans la gueule plus de 4 minutes, l'urinoir vivante avalant tout, je fis de même et mon autre copain aussi qui étais bandé raide, après avoir vidé sa vessie dans sa gueule il se dirigea vers son trou de cul et sans ménagement lui planta à fond son gros 8 pouces dans le cul, la chienne à crier, elle a reçue une super bonne claque sur chaque fesse, pendant qu'il continuais à sortir et à entré dans ce trou de cul affamé, cinq minutes d' enculage viril et y se vida les couilles, suivis aussitôt de l'autre copain qui l'encula sauvagement de son gros 9 pouces, beuglant comme un déchaîné en éjaculant à son tour, suivi de moi-même, mes 8 pouces trempant dans l'abondante quantité de sperme dans ce trou de cul, je me suis vidé en moins de deux minutes.

Puis Claude a sorti de sa poche, un sac de plastique, il en sorti un linge imbibé du rut de une de ses chiennes en chaleur, qu'il passa sur les couilles et le cul bavant de sperme de notre chienne de service, il sorti du chalet et il revint avec un super beau gros labrador mâle, il lui défi sa chaîne, pour qu'il soit libre.

Il a vite senti l'odeur de notre chienne de service, il s'en approcha, lui senti le cul, il se mis à lui lécher les couilles et le trou de cul qui dégoûtais du sperme de nous trois, notre vrai chien a deux pattes y allais à fond de sa grande langue râpeuse, ma chienne de service se lamentais comme une vraie pute de basse cour, surtout quand le labrador l'à carrément monté pour lui planté sa queue dans le cul, elle gémissait et se tortillais en tous sens, plus que le chien la fourrais, elle en redemandais, le la brador lui bavais dans le dos, le pressant de ses pattes du devant, le labrador y allais à toutes vitesses dans le trou de cul de la belle chienne sale, le chien grognant lui remplissait de son jus de labrador mâle, mais la chienne de service, en voulais encore, elle se serais le cul pour retenir la queue dans labrador dans son trou de cul, le chien se libéras et mon copain fit lécher la queue du labrador pour notre pute, qui lui nettoya, en le suçant, durant qu'elle le suçait, le chien habituel de la chienne, la monta pour la fourré à son tour, bien à fond, en vrai chien mâle, pour se vidé à son tour.

Pas satisfaite, elle a demandé de le sucé, la réponse fut non, elle nous suppliât de la laissé se vidé la vessie, elle a pissé dans une cruche, nous trois avons pissé dans la même cruche, le tout bien brassé, un capuchon sur la cruche relié à un boyau et nous avons vidé complètement la cruche dans son trou de cul, et un gros butt plog pour bien bouché la tout, nous voulions l'enculé à nouveau, après un bon nettoyage du passage des deux chiens, elle se lamentais de la laissé se vidé, qu'elle avais des crampes terribles, la réponse fut: endure salope, tu chieras quand je déciderai.

Trente minutes plus tard, je l'es détaché et conduis à la salle de bain, ou elle passa plus de quinze minutes à se vidé les intestins, elle sortie de la toilette, blanche comme un drap, nous suppliant de ne plus rien faire pour ce soir.

Ta gueule maudite chienne sale, tu a trois trous de cul poilu à nettoyé de la langue de chienne, sans rien dire, soumis comme une chienne de service, à genoux elle nous à bine nettoyé nos trous cul et léché notre sueur sous nos bras, sucé nos queux bandés raides et même deux à la fois dans sa grande gueule de pute, pour l'enculé à tour de rôle et tous trois se vidé à nouveau dans son trou de cul affamé et bouillant, bien vidé, mes copains sont partis et moi j'ai conduit ma chienne de service dans sa cage pour la balance de la nuit, moi je suis monté dormir dans mon lit.

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Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 23:19

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Mon cousin de 23 ans était venu passer une semaine à la maison, chez mes parents à Lyon. Nous sommes sortis plusieurs fois en boîte et au ciné, et puis mes parents nous ont laissés seuls le samedi; ils étaient partis chez des amis pour la journée.

Moi je jouais à la console quand mon cousin vint me voir. Il était torse nu avec un jeans. Il me demanda:

— Tu n'aurais pas un bon film de cul avec de bonnes salopes par hasard? J'ai la queue en feu!

Surpris, je répondis en bafouillant:

— Un film de cul!

— Ouais! qu'il me répondit. Il ajouta: Cela m'évitera d'aller en louer une! Alors?

Un peu frustré, je lui dis que je devais en avoir une et en même temps, je partis lui chercher. Il me le prit des mains et arrêta ma console pour regarder la cassette. Là, il lança la vidéo en s'allongeant sur le canapé et il me dit:

— Tu peux rester si tu veux!

Complètement troublé, je lui répondis:

— Je vais aller dans ma chambre.

Là il rétorqua:

— C'est vrai, toi et la chatte ça fait deux! Tu préfères la queue!

Je savais très bien que mon cousin était 100% hétéro et qu'il n'aimait pas trop les homos. Sur ces paroles, je partis dans ma chambre.

Environ 30 minutes après, je descendis de ma chambre car j'avais peur mais en même temps, je voulais mater sa queue! Malheureusement, il avait juste une main dans le froc et quand il me vit, il me dit:

— Viens t'asseoir!

Je ne voulais pas mater le film mais je m'assis quand même à côté de lui. Puis au bout de 15 minutes, il me dit:

— Ça ne te dérange pas si je me branle?

Moi je ne repondis pas, stupéfait de son sans-gêne! Il sortit sa queue de son jeans et commença à se passer la main sur la queue de haut en bas et de bas en haut. Je faisais semblant de ne pas le voir mais je regardais sa queue du coin de l'oeil. Il avait pas une queue spécialement longue (pas plus de 16 cm), mais la largeur de sa queue me surprit: au moins 8 cm de circonférence! Là, il me dit:

— Tu peux te branler aussi! Ne reste pas inactif comme ça devant d'aussi bonnes salopes!

— Je vais retourner là haut!

Là il m'attrapa la nuque, et me dit:

— Allez, suce-moi, tu en meurs d'envie.

Il me tira la tête avec force jusqu'à ce que mes lèvres touchent son gland, et me dit:

— Allez imagine-toi un esquimau! Suce! Allez, suce-moi!

Là, la tentation fut trop forte et je serrais mes lèvres sur son gland et commençai à descendre le long de sa verge. Il ôta sa main de ma nuque et me dit:

— Allez, suce-moi, p'tit pédé!

La largeur de son sexe me faisait mal aux lèvres et je ne descendais pas trop bas en le sucant. Puis, excédé, il me prit à nouveau la nuque et me donna le rythme... Un rythme plus cadencé et il appuyait sur ma nuque pour que je descende plus bas. Sous sa force, je ne pouvais résister, cela me faisait mal à la bouche, sa queue était de plus en plus moite. Je continuais à la sucer et il me disait:

— Allez p'tit pédé, t'aimes ça la queue! Allez, avale-la! Salope... Chienne de cousin!

Je continuais de le sucer de bas en haut et de haut en bas, la largeur de sa queue me faisait de plus en plus mal aux lèvres, car il appuyait toujours sur ma nuque avec une force colossale! Puis il m'attrapa les cheveux et me tira la tête vers l'arrière et là, il se leva et se branla sur moi et je reçus tout son foutre sur le ventre et le corps. Puis il ajouta:

— T'as de la chance d'être mon cousin sinon je t'aurais tout fait avaler!

Il partit se laver. Moi pendant ce temps, je suis resté allongé sur le canapé. Il sortit de la salle de bain et me dit:

— Alors, tu as aimé? C'était ta première pipe?

Je lui dis:

— Si on m'avait dit que ma première pipe, je la ferais à mon cousin!

Il rajouta:

— Va te laver maintenant! Et tu as intérêt à garder ça pour toi!

Quand je sortis de la salle de bain, mes parents étaient rentrés et mon cousin préparait ses affaires car il devait maintenant repartir!

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Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 22:51

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Ce jour là,j'étais seul chez moi et comme souvent je mattais un film de cul tout en me masturbant. Je n'ai pas entendu mon grand frère se ramener avec son pote et pour être con, j'avais l'air con, quand ils se sont pointés en face de moi tout hillares. Je me jete sur mes fringues mais son pote me stoppe et me dit:

— Attends, j'ai envie de jouer avec toi!

Je regarde mon frère et il me sourit.

— Vas-y, dit-il à son pote, je te regarde...

Le gars me fout alors une grande claque dans la tête:

— Tu fais, tout ce que je te dis ou ta mère va avoir du mal à te reconnaitre!

— OK, fis-je.

Sans plus attendre, il se fout à poil et sa queue droite se dirige vers moi. Il me prend par le cou et je le suce. Deux minutes plus tard, il râle et son sperme envahit ma gorge. Comme il me tient toujours, j'avale. En moi, je me dis: "Enfin il a joui, il vont me foutre la paix" mais non, mon frère prend sa place et je comprends que je vais le sucer aussi, alors je me mets au taf. Lui aussi je joui dans le gosier. et ils se cassent sans s'occuper de moi.

Depuis, quand ça leur prend, ils viennent vers moi mais maintenant ils me sodomisent, jouissent sur moi, m'enfoncent leur main dans le cul, quand ils ne me pissent pas dessus! M'enfin! De toute façon, maintenant j'arrive à prendre mon pied avec eux sans même me toucher la bite et ça, c'est le principal!

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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 22:57

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Me voilà couché dans mon lit au coté de mon frère et je ne peux m'empêcher de humer son odeur. Nous dormons ensemble parce qu'il s'est fait jeter de chez lui par sa petite amie, voilà comment nous nous retrouvons dans le même lit chez nos parents alors que je suis en vacances. Nous avons 7 ans de différence et j'avoue qu'il a gardé, malgré ses 29 ans, une certaine fraicheur adolescente, j'ai souvent fantasmé sur lui quand j’étais plus jeune et lui encore adolescent, mais la barrière morale m'a toujours empêché de tenter quoique se soit.

Et ce soir, il est là dans le même lit que moi, je regarde le plafond et je ne peux m'empêcher d'être anxieux sur ce qui pourrait éventuellement se passer, je dirais même que je suis excité mais trop paralysé par la peur pour tenter quoi que se soit... J'ai l'impression que son odeur emplit la pièce, je rêve, je fantasme et je commence doucement à m'endormir quand soudain il se retourne et met son bras gauche sur ma poitrine. Je crois que mon torse va éclater tellement mon coeur bat fort et là il commence à descendre sa main sur ma poitrine dénudée, je sens que sa main tremble, mais je ne dis rien et fais semblant de dormir, mais je crois qu'il sait que je ne fais que feindre. Il continue à me caresser le torse et je trouve cela vraiment très agréable, j'avoue que je bande comme jamais, c'est si dur que j'en ai mal.

Je me mets alors à lui caresser le bras du bout de mes doigts et tout d'un coup ça s’accélère, je me tourne vers lui et nous commençons à nous embrasser langoureusement, je sens sa langue dans ma bouche et j'éprouve une sensation vraiment étrange, c'est comme s'embrasser soi-même mais c'est également très différent. Nous nous enlaçons et je trouve cela vraiment très agréable, je caresse surement le corps le plus agréable que j'aie caressé, nos mains fouillent chaque centimètres de nos corps et j'avoue que je suis très impressionné par son cul, je ne l'aurais jamais deviné mais il a un superbe fessier, très ferme et rebondi, ce qui m'excite encore plus. Je crois que je perds à un moment donné la notion du temps ou un truc du genre car je suis entièrement concentré sur son corps, sa peau, ses muscles, c'est comme si c'était une immense jouissance permanente et tout ça grâce à mon propre petit frère.

Mon frère me plaque soudain sur le dos et se met à cheval sur moi puis il commence à descendre ses lèvres sur mon torse, chaque contact est vraiment électrique, puis il s'arrête un instant, je me dis que ça y est il est devenu conscient de ce que nous étions en train de faire, du tabou que nous étions en train de briser, mais non, je sens soudain ses lèvres sur mon gland, c'est si chaud et il descend lentement sur ma queue et je dois dire que pour un hétéro il suce divinement bien malgré la grosseur de ma queue (5cm de diamètre), sentir sa bouche sur ma queue est fantastique, je n'ai jamais été aussi bien sucé. Je veux lui arracher ma queue de ses lèvres car je sens que je vais jouir mais je n'y arrive pas et il prend toute ma semence dans sa bouche et j'avoue que malgré la présence de mes parents à l'étage du dessus je ne peux m'empêcher d'émettre un râle de jouissance, c'est tellement puissant que j'en ai la tête qui tourne, mais sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il me soulève le bassin, se crache dans la main et me doigte assez violemment mais je n'oppose aucune résistance quand tout à coup je sens un truc chaud qui pousse sur mon trou, je devine qu'il s'agit de son gland, je pense soudain que je vais me faire défoncer par mon frère.

Puis il pousse et je sens sa queue qui a l'air beaucoup plus fine que la mienne pénétrer dans mes entrailles, je trouve cela divin. Sa pénétration n'en finit pas, il a une queue apparemment très longue. Ça y est, sa queue est entièrement en moi. Il vient soudain m'embrasser et commence à me défoncer lentement, je sens sa queue aller et venir dans mon trou, je sens mon jeune frère perforer mon cul avec beaucoup de virilité, je suis sur une autre planète, comme en transe, mon frère me fait l'amour, me défonce, m’embrasse et me pince les seins, c'est mon fantasme qui se réalise. Il a vraiment une queue fantastique, très droite, très raide, je sens vraiment chaque centimètre, et une onde de chaleur m'inonde, elle irradie en moi, c'est tout simplement un orgasme, je suis en train de jouir comme jamais je n'ai joui, pourtant je ne bande pas, je suis là, les jambes en l'air et je jouis, je sens même un liquide chaud dégouliner de mon ventre, c'est mon foutre, je viens de comprendre que je viens de jouir physiquement...

Mon frère se déchaine dans mon trou puis il se crispe et lâche son foutre en moi sans un bruit, j'ai l'impression que sa jouissance n'en finit pas, puis il s'effondre sur moi et nous restons comme cela une bonne partie de la nuit, j'avoue que je n'ai pas fermé l'oeil, j'étais ailleurs, comme anesthésié...

Je vois que le matin pointe son nez, mais je vois surtout que la queue de mon frère pointe fièrement sous les draps, et j'ai envie de la voir de près, je repousse les draps et je vois exactement l'inverse de ma propre queue, la sienne est très longue et fine, cela me donne envie de la lécher et je ne me prive pas pour lui rendre la pareille de cette nuit, je la gobe d'un seul coup, mon dieu elle est bouillante et j'adore sucer cette queue raide. Il me regarde en train de le sucer, il se mordille les lèvres, je suppose que sa copine n'a pas dû lui faire souvent des pipes à gorge profonde. Il me prend la tête et m'enfourne sa queue encore plus profondément et lâche son foutre dans un râle qui en dit long sur son plaisir. Je décide de faire comme lui, je le soulève et lui introduit mon majeur dans l'anus, à ma grande surprise il se laisse faire, je décide alors, de lui lécher le trou, apparemment il ne connait pas ça, car je vois qu'il a un regard étonné. Je commence à faire parcourir ma langue sur ce joli trou vierge, quel plaisir de lécher ce joli trou rose sur ce splendide cul rebondi, quand à mon frère, il n'arrête pas de pousser des petits gémissements de plaisir qui en disent longs sur le pied qu'il prend, il adore ça et j’adore introduire ma langue dans ce jeune trou vierge, mais qui ne va pas le rester bien longtemps.

Je crache sur ma grosse bite et je pose mon gland à l'entrée de son trou, puis je pousse doucement, je le vois grimacer, je comprends qu'il a un peu mal, mais vu ma grosseur, je le comprends, mais je ne m'arrête pas et je pousse encore davantage, je sens son cul se décontracter et céder petit à petit sous mon assaut. Me voilà à fond dans mon frère, dans ce cul vierge et je commence mon va et vient, mon dieu, que c'est bon, cela fait des années que je n'avais pas pris un tel pied, je dois dire que son trou est vraiment très serré et qu'il moule ma queue comme un gant, c'est fabuleux, je manque de jouir à chaque coup de bite. Quand à mon frère, il est rouge pivoine, et il ne cesse de me fixer le pénétrer, je vois qu'il prend son pied car il se mord littéralement le lèvres pour étouffer ses cris de plaisir et je vois également sa bite bien raide qui ne cesse d'être agiter de soubresauts. Dans ce moment de folie, je me mets à lui lécher l'intérieur de la cuisse et à accélérer le mouvement de ma bite dans son cul, je prends mon pied comme jamais et d'un seul coup sa longue bite crache son foutre comme un geyser et s'écrase sur son joli visage, il en a partout, sur son torse et son visage et là il ne peut retenir un long cri de jouissance. Alors qu'il jouit, je sens que son anus est pris de soubresauts, ce qui entraine ma propre jouissance et elle est fulgurante, je crache mon foutre à n'en plus finir, j'ai l'impression que cela ne va jamais s’arrêter, je sens même mon trou se décontracter et le foutre de mon frère couler entre mes jambes. Je suis vidé dans tout les sens du terme puis je m'écroule sur mon frère comme une masse, je lèche le foutre qu'il y a sur ses lèvres et l'embrasse avec, c'est absolument divin, puis nous restons enlacés comme cela un petit moment...

Je redoute le moment où on va devoir émerger et reprendre notre vie normale, j'ai peur de son regard et de celui de mes parents, même si je sais qu'ils ne sauront rien, mais j'appréhende quand même. Nous nous levons chacun d'un coté du lit, je lui passe un vieux tee-shirt pour qu'il essuie son foutre, le silence est pesant quand dans un murmure il me dit :

— C'était la première fois pour moi, j'avais eu l'idée il y a très longtemps quand j'ai su que tu étais gay, j'avais eu envie de tester les mecs, mais j'avais peur.

— Je me doutais que c'était ta première fois, mais tu as été super, c'était fantastique, c'était l'un de mes fantasmes depuis très longtemps aussi, j'en avais honte.

— Tu sais je n'allais pas bien, j'avais envie que quelqu'un soit là pour moi, j'ai vraiment adoré, mais cela ne restera qu'une expérience, une très agréable expérience, mais une expérience, tu vois ce que je veux dire ?

— Oui je vois, ne t'inquiète pas, cela restera entre nous pour toujours...

Ensuite nous sommes allées à la douche à tour de rôle, puis nous avons fait comme si de rien n'était, nous avons eu quelques regards gênés, mais nous sommes restés les deux frères que nous étions, c'est à dire assez distant, mais cette nuit là restera gravée à jamais dans ma mémoire.

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Lundi 26 novembre 1 26 /11 /Nov 16:53

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J'en avais assez de chercher sur le net des mecs comme je les aime. Moi, c'est musclé plus cuir archi-moulant, plus grand mecs. J'en veux au moins trois, des sérieux, pas des gros ni des s/m, ni uro-scato. Je suis passif. Je décidai d'aller dans un bar où il y a souvent des motos devant.

Je rentre. Bizarrement, on m'indique une salle au fond. J'avais mis mon perf, mes tiags, et un 501 moulé à faire damner un curé. Il ne laisse rien perdre de ce que j'ai dedans, on le croirait peint. Il fait ressortir mes couilles et mon 18cm. Je rentre dans la salle et là, surprise, je tombe sur une réunion de cuirs comme rarement: pas des abdos kronembourg, des mecs genre bodybuildés. Je salue. On me dévisage longuement et on répond. Il me semble que la glace se romp. On m'invite à boire un verre. Un super athlète en combarde de course s'approche, je vois qu'il la porte à même la peau. elle est vieille et sent un mélange de cuir et de... sperme. J'ai soif, mais pas de flotte!

Je vois que d'autres se rapprochent et cette fois ci, c'est gagné: en voilà en tout cinq comme dans mes rêves. Je remarque deux choses: ils sont tous immenses et ont tous des couilles plus qu'apparentes à travers leurs cuirs ou leur jeans, de taille énorme. On les croirait fait au moule: je ne sais plus auquel céder, alors je décide de céder à tous. J'en bande comme un cheval et pas un ne perd la vue. Mon cuir est taillé pour que cela se voie et qu'on le sache.

L'un d'entre eux me prend le paquet dans le cuir et le caresse gentiment. Je remarque qu'il commence à bander aussi: sa pine monte en force dans son cuir et atteint la ceinture. Je lui dis que je vais exploser et que ce serait dommage que je sois le seul. Il dit simplement: "Ok, compris." Il se retourne et dit à la cantonade: "J'ai l'impression que le dîner est servi!"

Le temps de le dire et voilà trois autres mecs qui m'entourent. Malgré mon 1m83, j'ai l'air tout petit. Un me masse les couilles, l'autre frotte un jean archidestroy qui laisse sortir par tous les côtés des poils blonds et voir à peu près tout, contre ma jambe. Un autre vient par derrière et commence à faire comme s'il m'enculait. Il est tellement puissant que je me retrouve assis contre son paquet pas encore sorti du cuir!

On décide de tous aller chez l'un d'entre eux qui n'habite pas loin. Je les suis sur ma ThunderAce, eux sont presque tous en 1100GSXR et CBR.

On se range, on monte. On est sept!

On entre dans un appartement plutôt petit mais bien foutu. Un détail: tout est presque occuppé par des appareils de bodybuilding et sent le foutre à plein nez. Partout, des flaques de sperme à peine sèches. Un régal.

À peine rentrés, je leur confirme mes goûts et ils éclatent de rire: eux n'ont pas besoin de merde ou de faire mal pour baiser. Simplement, ils me préviennent que chacun à l'habitude de tirer environ 4 coups au moins et encore chacun a une particularité: l'un tire presque 10cl d'un coup avec un orgasme géant, l'autre multiplie les petits coups et son orgasme dure plus d'une heure. Un autre me dit que son gland gonfle tellement qu'il s'ancre dans l'intestin et qu'il est pratiquement impossible de l'enlever bandé sans tout arracher. le programme me plaît. Tous avouent préférer baiser habillés en cuir ou en jean. Un dernier me prévient qu'il se fraie un passage avec une pointe métallique de santiag quand même arrondie et non coupante. J'adore l'idée. Quand tout le monde a fait son couplet, mes réponses les ont tous rassurés, on attaque.

À peine on commence qu'un m'ordonne de sucer son sexe à travers le cuir. Excellent goût et vive surprise: il y a tellement de sperme séché dedans que le cuir est tout raide! Le goût est radieux, cela me fait bander. Ils en rigolent et le premier ouvre son cuir sans enlever son ceinturon. Un énorme chibre en sort comme poussé par un ressort. Belle bête. Je le mets en bouche mais il m'arrête et m'enlève mon cuir. Quand je suis nu comme un ver entouré de sept géants en cuir avec la perspective de me faire enfiler environ 28 fois et de rentrer presque un litre de sperme, j'ai une appréhension. C'est trop tard!

Il m'attrappe comme un brin de paille et m'empale à sec. C'est intenable, j'avais beau être prêt et avoir assez été léché par les uns et les autres, j'ai très mal. Il me dit: "Bienvenue au club."

Il commence à me limer ce qui de douloureux devient extraordinaire. Je suis au 7° ciel. On m'attache empalé à lui, je ne peux que sentir sa pine grossir rythmiquement loin dans mon intestin. Il s'allonge par terre, moi donc dessus. Un deuxième avec une combarde sort une pine incriyablement longue, elle doit faire au moins 28cm. Elle est fine: c'est les meilleures. Il nous enjambe, se place au dessus de moi, me demande d'ouvrir la bouche et l'enfile après m'avoir conseillé d'allonger l'oesophage en basculant la tête, pour ne pas étouffer. Je ne peux rien faire, car un troisième s'est assis sur mon torse. Il se bascule en arrière, s'empalant sur moi et suçant le troisième. Nous faisons un beau mille feuilles. Je suis pénétré jusqu'au nombril d'un côté ais-je l'impression, jusque dans la moitié de l'oesophage par la bouche. Je ne peux pas bouger.

Les trois commencent à aller et venir, onduler, faire gonfler leurs glands. Je vais de l'extase à l'inquiétude de l'étouffement. Mais ils savent ce qu'ils font.

Un 4° se crosse devant mes yeux immobilisés dans la pile de loubards, et soudain, un flot de sperme épais se rue sur moi, m'inondant entièrement: je suis complètement englué. Je me concentre sur ma respiration et essaye de faire pour mon plaisir.

Soudain, un coup de boutoir dans mon intérieur: le premier me décharge son foutre brutalement. Une sensation de satiété dans l'intestin. Bientôt le deuxième en fait autant: j'ai l'impression d'avaler un broc de sperme entier, directement dans l'estomac.

Deux autres se crossent sur nous trois pour lubrifier.

Je ne vois plus grand chose. Quand j'arrive un peu, je vois du cuir, des couilles énormes et des montagnes de muscles qui me triturent, me fouillent, m'empalent, me remplissent.

Mon rêve est devenu réalité.

Au bout d'une partie de la nuit, l'ankylose aidant, nous nous démèlons. Les trois autres commençaient à en avoir assez de devoir se crosser en regardant.

Santiags me fourre dans le cul sa pointe métallique de botte et enfonce gentiment. Pure formalité car avec l'occupation qui se termie, je suis mûr pour un gros machin sans problème. Mais j'aime bien cette mise en contact. Il retire sa botte de mon cul et m'encule sauvagement. Il est monté comme un vrai cheval. Malgré le début de la nuit, j'ai enccore du mal à l'accepter. Il force à grands coups et finalement je sens ses couilles contre mon cul. Sa pine est très vivante: elle est tellement turgescente que je sens chaque pulsation de sang dans mon anus distendu. Il commence à me limer comme un étalon, rien ne peut l'arrêter. Je ne suis qu'un trou d'accueil.

Je sens que sa pine grossit encore, chaque veine sur sa pine démesurée devient douloureuse et soudain il m'inonde. Je sens une marée chaude m'envahir et tout devient super lubrifié. C'est une extase, je ne sens que de la douceur est me sens en même temps complètement devenir son jouet sexuel. Chaque contraction de son corps en orgasme se voit à travers ses cuirs, je vois des muscles impressionnants jouer sous la peau, je le sens se vider en moi. Nous ne faisons plus qu'un.

Pendant ce temps, je n'ai le temps que de voir une combarde qui fut blanche et rouge et sans doute deux tailles trop sérrée, s'ouvrir devant mon visage et libérer la plus grosse paire de couilles que je n'ai jamais vu. De vraies balles de tennis. Branchées sur un chibre de 24 cm environ, ce qui semble être le minimum chez ces mecs.

Il s'assied doucement sur ma figure, se frotte les couilles sur mon nez et ma bouche. J'essaye de goûter au passage, j'ouvre la bouche. Il met ses couilles dedans! comme elles sont trop grosses, je bouge la tête. Le dernier qui était entrain de se crosser sur ma poitrine se met à genous à califourchon sur mon torse et m'enserre la tête fermement avec deux cuisses en cuir, je ne peux plus bouger d'un poil. Mis comme cela, il ne reste plus qu'à la combarde blanche et rouge de m'enfourner sa pine. Je n'ai que le temps de basculer la tête et de happer ce qui vient. Sa pine est très dure, comme un gode. il commence un va et vient rapide et commence une éjaculation multiple que je n'ai que le temps d'avaler au fur et à mesure. Celui qui me maintient la tête éjacule et j'ai l'impression qu'il me dépose une méduse chaude sur le visage: je suis de nouveau complètement englué. J'adore.

Pour occuper mes mains, je caresse les deux premiers du début de la nuit à l'aveuglette. Je soupèse leurs couilles et ais le temps de me demander comment ils font pour récupérer si vite. Ma nuit va être longue. Tant mieux. Le matin semble se pointer, le jour se lève, pas mes 7 mecs.

Je n'ai pas faim, je suis amplement nourri de leur sperme abondant. Je suis un peu endolori mais c'est pour la bonne cause.

On se démèle enfin, je me relève. On rigole tous. Mes sept loubards ont l'air tout frais, leur cheveux longs simplement collés de spermes mélangés.

On mange un petit morceau et on avale un café.

Les motos sont au garage et ils ont une idée: on descend tous et ils me mettent à plat ventre sur une des 1100 GSXR, le cul encore amolli à l'air. Avec sa selle mono très haute, la moto me lève les fesses, je suis appuyé sur le réservoir, la tête dans les compteurs. La bête entre les jambes. Ils la démarrent, et font rugir le moteur. En échappement course, c'est assourdissant et les vibrations sont géniales.

Ils commencent une série de chevauchées en m'enculant ce coup-ci sauvagement. Mon cul est tellement distendu et gavé de sperme que je ne trouve que de l'agrément. Je regrette de ne rien n'avoir en bouche. Comme si ils avaient eu la même idée, l'un se place sous ma bouche, ce qui me relève la tête et lui permet de m'enfourner. C'est les grosses couilles de tout à l'heure. Elles semblent vibrer plus encore et bientôt il recommence à éjaculer. Je pense que je n'en peux plus. J'ai l'estomac comme dilaté de tout ce sperme. L'intestin lui aussi est rempli à déborder, quand ils se retirent, pas mal de sperme ressort et se perd.

Quelques injections de foutre plus tard, je suis tellement gluant qu'ils commencent à glisser en m'enculant. Le plaisir n'est plus le même.

On s'arrête et on remonte à l'appartement.

Mon cul est tellement élargi que l'un d'entre eux y passe le bras sans effort pour lui et sans trop de mal pour moi. Dans mon anus, il serre le poing et le tourne. C'est extraordinaire, je ne me sens plus. Je ne suis pas abimé, bonne nouvelle. Il ressort, on essaye de s'essuyer. L'odeur de sperme est omniprésente. Les pines rentrent peu à peu dans leurs cuirs. On discute encore un peu pour laisser le temps de sécher. Ils me félicitent, disent que je suis le bienvenu quand je veux. On prend rendez-vous pour le week end suivant, cela va être long d'attendre jusque là.

Comme si de rien n'était, ils se mettent sur les appareils de muscu pour y finir le week end.

J'emporte un pot de confiture rempli de sperme pour passer la semaine.

J'en voudrais plus la prochaine fois!

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Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 11:17

oui

En mission dans cette grande ville des Alpes avec deux agents du gouvernement de la compagnie pour lequel je faisais un stage, nous avions trouvé un petit hôtel près du centre ville. Le déjeuner de la veille n'ayant pas eu l'heure de plaire à l'un d'eux, celui-ci décida unilatéralement que nous irions le prendre ailleurs le deuxième jour. Ces deux tordus commençaient à m'énerver les nerfs, parlant sans cesse des cours de la Bourse et tout ce qui tourne autour. Je ne vous dis pas comme je m'en balance.

On commande à un espèce de machin filiforme apparemment mal réveillé, et je plonge dans mes pensées essayant ainsi de m'isoler des balivernes et des absolues certitudes que les deux autres échangeait ensemble. Je ne me suis pas présenté, moi c'est Luc, je suis étudiant en chimie et je fais parti en tant que stagiaire, d'une mission gouvernementale chargée d'enquêter sur la qualité de l'eau! J'ai 17 ans, célibataire. Sexuellement je suis obsédé et puceau!

Et voici que le jeune homme qui devait s'occuper de notre table arrive avec les entrées sur son plateau. Je n'en croyais pas mes yeux. Je n'avais aucune expérience sexuelle mais je n'étais pas demeuré au point de ne pas savoir identifier un bel homme. Le sourire qu'il avait laissé planer sur ses lèvres à mon attention m'avait tout de suite subjugué. Je n'en revenais pas et examinais les différentes hypothèses:

Hypothèse 1: c'est un sourire commercial, mais il me semblait pourtant bien que les deux autres avec moi n'y aient pas eu droit!

Hypothèse 2: Il est encore plus myope que moi!

Hypothèse 3: Il est Exobiophile (fétichisme sexuel impliquant des rapports sexuels avec des extra terrestres)

Il devait bien avoir 27 ou 28 ans. Il avait les cheveux long bruns attachés, les yeux noirs et profonds, sa chemise blanche trahissait un torse bien musclé. Son pantalon noir laisse deviner des jambes bien musclés, un entrejambe assez généreux et sa peau était bronzée. Il me regardait beaucoup, me jetant des regards furtifs et rapides. Je décide me pincer, parce que ce n'est pas possible, je rêve! Mais non je suis toujours là!

L'apparition se penchant pour servir les plats à mes deux compères qui discutaient entre eux, mon regard sans le vouloir se trouva plongé sur sa bosse qui me semblait avoir grossi. Excité par la situation, je pouvais sentir mon organe grossir presque instantanément derrière ma braguette, son regard croisa le mien alors qu'il se relevait doucement de son service. Je compris alors qu'il avait bien remarqué ce que je regardais à son insu.

Le sourire qu'il me fit alors fut plus que suffisant pour me faire rougir de gêne. Ce n'est que par la suite que je compris qu'il prenait un malin plaisir à se pencher devant moi alors qu'il servait et desservait cette table. J'étais vraiment en érection. N'ayant eu aucune expérience sexuelle, je n'avais jamais été amené à admirer un si bel homme. Et le fait de savoir qu'il prenait plaisir à ce petit jeu me rendait fou d'excitation. Il s'était amusé à me frôler le bras avec ses hanches alors qu'il desservait ma place.

Au bout d'une heure de ce supplice, je me décidai à me lever pour aller calmer ce désir sexuel moi-même dans les toilettes du restaurant. Je n'en pouvais tout simplement plus et j'avais vraiment besoin de jouir en pensant à lui alors que son souvenir était comme neuf dans ma mémoire. Avec joie, je constatai rapidement que les toilettes de ce petit restaurant étaient propres et quelles se verrouillaient. Alors que j'allais refermer la porte derrière moi, qu'elle ne fut pas ma surprise de le voir retenir la porte et entrer rapidement, m'imposant sa présence. Je ne sais trop ce que j'ai pensé à ce moment. Je crois que j'ai ressenti de la gêne mais les événements se sont tellement bousculés par la suite que je ne garde qu'un bref souvenir de mes pensés lors de son entré. Ce fut très simple. Il était évident pour lui que mon sexe bandait comme un arc de champion et il n'avait pas besoin d'explication pour le comprendre.

Il s'approcha très rapidement de moi, et, pressant son torse contre le mien, il posa des lèvres tendres et chaudes sur les miennes. J'étais très embarrassé. Je pouvais sentir qu'il poussait son bassin sur mon organe bien dur. D'une main, il me frottait maintenant le pantalon, épousant la forme de mon pénis pour le masturber avec une lenteur et une sensualité qui m'était inconnue jusqu'à présent. Je me surpris à poser mes mains sur ses fesses. Même au travers sa chemise, je pouvais sentir ses mamelons bien en érection. Il sentait bien ma nervosité et approchant ses lèvres de mon oreille, il me calma en me disant qu'il allait s'occuper de ça. Je n'étais finalement pas sûr qu'il m'ais calmé. Ma queue voulait exploser et il me semblait que c'était la même chose pour la sienne. Il se laissa glisser le long de mon corps pour s'accroupir devant mon membre bien bandé. D'une main, il déboucla la ceinture de mon pantalon qui chuta au sol laissant place à un caleçon trempé par la pré-jouissance. Cela le fit sourire.

— C'est la première fois dis-moi?

Je ne savais que trop ce qu'il allait faire et OUI, c'était la première fois. Je ne pus lui cacher ce qui sembla le remplir de satisfaction. Et quand je lui demandais pourquoi, il eut ces mots mystérieux que j'ai encore en mémoire

— T'es puceau, ça porte-bonheur!

Il posa ses lèvres sur mon caleçon et commença à me mordiller délicatement. La sensation de chaleur était indescriptible. Je ne pensais qu'à une chose maintenant. Je voulais qu'il prenne ma queue dans sa bouche. Mais il me faisait languir, jouant de ses charmes buccaux par-dessus le tissu. Mon supplice ne dura pas. Je crois bien que son envie de m'engloutir était aussi grande que mon envie de voir ses lèvres se refermer autour de mon gland mauve et bien dur.

— Sois bien attentif à ce que je te fais, après tu me feras la même chose.

Me léchant tendrement tout d'abord, il ne mit que très peu de temps à s'enfoncer mon phallus jusqu'au fond de sa bouche. Je pouvais m'entendre gémir de plaisir alors que, d'un geste frénétique de va-et-vient, il savourait le liquide annonciateur de jouissance que laissait s'échapper mon membre bien dur. C'était la première fois pour moi. Je le suppliais d'arrêter parce que je sentais la sève du plaisir monter en moi. J'ignorais si il voulait me goûter à ce point, et ne souhaitais pas le gêner. Mais c'est ce qu'il voulait.

Sortant mon pénis en érection de sa bouche, il continuait de me masturber de façon rapide devant sa bouche grande ouverte. Mon gland désormais violet et bien enflé appuyé sur sa langue, je sentis alors les pulsions que donna mon sperme chaud alors qu'il remonta jusqu`à sa bouche. Frottant mon gland sur ses lèvres, je me surpris à laisser s'échapper une énorme quantité de mon liquide. D'une main, continuant de me masturber et de l'autre s'étendant mon liquide chaud sur les lèvres et dans le visage, je pouvais sentir sa satisfaction qu'il savourait les yeux fermés.

Remontant jusqu'à mon visage, il baissa son pantalon et son slip et je découvrit sa grosse queue bien dur, d'au moins 20 centimètres.

— Tu vois, c'est comme ça qu'on suce un mec, maintenant, prends ma queue dans ta bouche et suce moi bien.

À mon tours je m'accroupis et commençai par lécher son gland. Il semblait apprécier car je l'entendis gémir et il posa ses mains derrière ma tête pour pousser son sexe le plus loin possible dans ma bouche. Je ne pouvais aller bien loin car elle était très grosse mais je m'appliquais pour le sucer du mieux que je pouvais.

— Tu sais, tu apprends vite pour un puceau, tu suces bien, continue, c'est si bon!

De l'entendre me dire ces choses excitantes en gémissant, fit durcir mon sexe de nouveau. Après un moment, il retira sa queue de ma bouche et me fit signe de le suivre devant les lavabos.

— Ça t'a plu de te faire pomper?

— Oui, et j'ai bien aimé te sucer aussi.

— Tant mieux, maintenant je vais te limer le cul à fond et tu vas adorer ça!

Me poussant de côté, il m'appuya sur le lavabo les jambes bien écartées. Je sentis sa langue lécher mon anus. J'aimais cette nouvelle sensation et ma queue durci encore plus. Appuyant sa queue contre mes fesses, il la descendit jusqu'à la hauteur de mon anus bien lubrifié. Je compris immédiatement où il voulait en venir.

— Reste calme maintenant et tu vas jouir comme jamais!

Appuyant son gland sur l'entrée de mon anus, il me fit gémir de plaisir. Je n'était plus du tout gêné et je voulais vraiment jouir. Il enfonçait sa verge dans les profondeurs de mon cul. Je ne saurais vous dire comment c'était bon. Je le voulais tellement que j'augmentais sa cadence en faisant le mouvement moi-même. Je serrais les dents et mes mains étaient crispées sur les robinets du lavabo. On pouvait croire que je voulais les arracher. Il prenait le contrôle, ce que je me refusais à accepter. Alors d'une ferme poigne, il referma ses mains autour de mes hanches. Me tenant bien serré, il m'obligea à adopter sa cadence, me forçant à suivre ses mouvements.

Il me prit une jambe et la mit sur le siège de toilette, lui permettant ainsi de pouvoir me pénétrer plus profondément. Il se mit à gémir vraiment très fort alors qu'il touchait les parois profondes de mon anus bien trempé Ses mains tenant bien mes fesses, il me mena à l'extase avant de se retirer et d'éjaculer sur mes fesses et une partie du bas de mon dos. Il me redressa enfin et me branla vigoureusement. J'éjaculais presque tout de suite tellement ma jouissance était à son comble.

Je le regardais alors dans les yeux! Et pris par une émotion irrésistible j'approchai mes lèvres des siennes. Inexplicablement il se recula. Je ne comprenais pas, je balbutiai:

— Je crois que je t'aime!

Il me regarda bizarrement à tel point que toute mon excitation eut bien vite disparu! Puis en s'efforçant d'être calme, il me dit:

— Je sens bien que quelque chose t'as échappé!

Voyant que je ne sortais pas de mon incompréhension il parvint à articuler difficilement:

— Alors tu me le fais mon petit cadeau?

Mes illusions descendirent brusquement à la cave! Je crois que je lui ai crié "Salop!" J'ai retiré quelques billets de mon portefeuille, lui ai jeté à terre! Il se baissa, ramassa les billets, me regarda encore.

— Écoute moi bien, tu crois que je fais ça juste pour le plaisir, j'ai un salaire de crève-faim ici. Quand j'ai la chance de faire du fric supplémentaire, je prends les moyens pour l'obtenir. J'ai bien senti que tes copains et toi aviez de l'argent. J'ai tenté ma chance et c'est toi qui a répondu à mon appel. De plus, tu n'as rien à me reprocher, être encore puceau à ton âge, c'est une vrai honte. Maintenant tu ne l'es plus, tu devrais m'en remercier.

Mes yeux se mouillaient de larmes tellement je tombais de haut!

— Bonne chance et maintenant profite bien de ton dépucelage! m'a dit alors mon dépuceleur dont je n'ai jamais su le prénom et que je revis jamais.

 

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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 20:26

gory71.coco.fr-3056

Cette entrevue m'énervait au plus haut point. En fait, j'étais tellement nerveux que je sentis quelques gouttes de sueurs couler sur mon front. Assis dans la salle d'attente, je regardais les autres hommes faisant application tout comme moi. Je voulais ce poste à tout prix. Venant de terminer mes études en comptabilité, je voulais aider financièrement ma mère et mes frères. Mon père n'avait laissé à sa mort que des dettes. Je ne voulais pas que mes frères et soeurs abandonnent leurs études faute d'argent.

Le destin m'a fait un signe hier. Alors que je fouillais les demandes d'emploi dans les journaux, un copain qui avait suivi le même cours que moi arriva chez moi fou de rage. Il était allé passer une entrevue à l'endroit même où je me trouve présentement. Ses paroles résonnent toujours dans ma tête: "Ce n'est qu'une bande de salauds. Tout au long de l'entrevue, ils n'ont pas cessé de me déshabillé des yeux. Le patron a même osé me mettre la main aux fesses. Et en plus, ce pourri a jusqu'une alliance au doigt. Je plains vraiment sa femme. Je ne travaillerai jamais pour des pédales." Je ne pouvais croire ce que je venais d'entendre. Une petite lumière s'alluma dans ma tête. Une chance de me sortir de cette situation se présenta à moi. Après le départ de mon copain, j'appelai la compagnie pour obtenir une entrevue que j'obtins pour le lendemain. Toute la soirée, j'élaborai un plan pour non seulement obtenir l'emploi mais en plus assurer mon avenir.

J'étais le prochain candidat. Je retournais dans ma tête le plan que j'avais dressé. Je devais réussir, je devais obtenir cet emploi. Lorsque je vis la porte du bureau s'ouvrir et que le candidat avant moi sortit, la secrétaire me fît signe d'entrer. Je rajustai vitement mes vêtements et pénétrai dans le bureau. Deux hommes m'y attendaient. L'un deux était debout, à la droite de l'autre, dossier en mains. Il ne se gêna pas pour m'analyser des pieds à la tête en un regard inquisiteur. L'autre homme, milieu trentaine, très sûr de lui, élégant mais austère, était bien calé dans son fauteuil. Il me jaugea d'un air hautin, repris sa lecture d'un document posé sur ses cuisses, puis me regarda de nouveau. Je le trouvais extrêmement impoli, il aurait pu au moins m'inviter à m'asseoir. Je lui jetai le regard le plus provocant et m'assis effrontément sur le fauteuil devant lui. L'homme debout parut surpris de ma détermination et l'homme assis, visiblement le patron, se redressa sur son fauteuil.

— Ainsi monsieur Dubois, vous désirez travailler pour notre compagnie? Melança-t-il d'un ton quelque peu méprisant.

Bien que surpris par son ton, je ne laissai rien paraître afin de ne pas déroger de mon plan. Continuant mon manège, je lui décochai mon sourire le plus enjôleur, écartant les jambes le plus possible pour mettre en évidence mon entrejambe.

— En effet, si bien sûr vous êtes prêt à accepter mon offre.

Le patron, définitivement fort séduisant, se pencha vers moi, vaguement intéressé.

— Une offre? Vous n'avez que 22 ans, vous venez de terminer vos études, vous êtes sans expérience, je me demande quelle offre pourriez-vous me faire?

— Très simple cher Monsieur. Je ne travaillerai pour vous que sous certaines conditions. Et grâce à ces conditions remplies, vous obtiendrez de moi des faveurs que vous auriez difficilement d'un autre et qui se n'obtiennent pas si facilement.

L'homme qui jusqu'à maintenant était debout tira une chaise à lui et s'y assit machinalement, la bouche entrouverte en une expression de surprise comique. Son patron s'appuya des coudes sur son bureau et me toisa, cette fois beaucoup plus intéressé.

— Et quelle est cette offre?

Je me levai avec détermination et commençai à parler.

— Monsieur, personne n'est dupe. Vous envisagez d'engager un homme pour vous seconder dans votre travail, mais vous cherchez aussi quelques agréments à sa présence. Vous devez sûrement rechercher les hommes les plus séduisants, ceux qui semblent plus faciles à séduire ou berner pour les attirer dans votre couche.

Je m'approchai du bureau, passai devant l'assistant médusé et appuyai mes fesses sur le bord du bureau. Le patron tourna sa chaise vers moi et m'écouta attentif. Je prenais une énorme chance car malgré ce que m'avais raconté mon copain, je n'étais pas certain qu'il soit bi ou gay mais à voir son intérêt, ma certitude se confirmait.

— Par contre, vous savez bien ce que c'est... les difficultés, les possibilités de refus, les baises rapides après le boulot avant de retrouver votre femme. Moi, voilà ce que je vous propose.

Je retirai une chaussure, m'assied sur le bord du bureau et glissa mon pied à l'intérieur de sa cuisse en le regardant droit dans les yeux

— Je veux 100,000$ par année, en commençant. Je me doute que votre offre devait être moindre mais vous n'auriez jamais ce que vous aurez avec moi. Pour ce montant, je vous offre ceci: lorsqu'une envie sexuelle vous prendra durant les journées de travail, vous pourrez exiger de moi ce que vous voulez, à tout moment en utilisant un code convenu à l'avance entre vous et moi.

Les deux hommes ne souriaient plus. J'appuyai ma proposition d'une légère pression à l'entrejambe du patron en me relevant.

— Vous êtes en réunion et soudainement une envie vous prend de me baiser là, sur ce bureau devant votre assistant? D'accord, tout cela me va. Vous travailler sur un dossier épineux et vous avez le goût d'une bonne fellation, pas de problème, j'accours et vous taille une bonne pipe. Alors, qu'en dites vous?

Les deux hommes semblaient fortement intéressés, mais ils demandèrent à se consulter quelques instants. Ils se retirèrent dans un coin de la pièce, parlant à voix basse. Devinant leur sujet de conversation, je leur dis:

— Évidemment, vous êtes en droit de demander un essai.

Le patron alla verrouiller la porte après avoir averti sa secrétaire par l'intercom de ne pas le déranger sous aucun prétexte. L'assistant me demanda de me déshabiller, mais je le toisai avec un certain dédain et je lui répondis que ce n'était pas lui mon supérieur. Le patron se mit à rire et condamna l'assistant à un fauteuil dans le coin de la pièce. Avec un regard langoureux, je retirai lentement mes vêtements. Je pouvais voir le désir dans ses yeux et encore plus dans son pantalon. Je pouvais très bien y voir la forme de son sexe en érection. Je lançai mes vêtements un à un à la figure de l'assistant frustré sous l'oeil amusé du patron. Complètement nu, j'allai frotter mon corps contre celui du patron. Je sentis ses mains caresser mon torse, mes hanches. Quand sa main caressa mon sexe et mes couilles, l'excitation me gagna et je gémis. Il m'ordonna de m'étendre à plat ventre sur la moquette du bureau et de bien écarter les jambes.

Il se mit à genoux et se pencha sur moi. Doucement, il glissa ses doigts sur mes cuisses, mes fesses et quand je sentis ses doigts pénétrer mon anus, je gémis plus fort. Devant moi, j'aperçus l'assistant toujours sur sa chaise, se masturbant sans ménagement. Après m'avoir bien fouillé l'anus de ses doigts, le patron me demanda de détacher son pantalon et de libérer sa queue qui manquait d'espace, ce que je fis avec empressement. Dès que ma langue commença à lécher son gland, tout son corps se raidit. Il me fit étendre sur le dos et m'enfonça sa queue dans la bouche en faisant des mouvements de va-et-vient. Sa verge qui glissait entre mes lèvres me rendait fou et chaque fois qu'il atteignait le fond de ma gorge, j'entendais ses gémissements mêler à ceux de l'assistant.

J'aimais le goût de son sexe mais bien vite, il me fit relever et m'indiqua du doigt son bureau. Il me fit mettre à plat ventre dessus et sans crier gare, il m'enfonça sa grosse queue dans mon anus. Je devais me retenir pour ne pas crier tellement je jouissais. Il me pénétrait presque sauvagement. Sa queue entrait et sortait de mon anus, la poussant bien au fond alors que ses couilles frappaient mes fesses. Je fis signe à l'assistant de s'approcher et dès qu'il fut devant moi, j'engouffrais sa queue dans ma bouche. Plus il me défonçait et plus je suçais l'autre. Sans doute trop excité par sa masturbation, je sentis la verge de l'assistant se contracter et j'avalai tous les jets de sperme qui se retrouvèrent dans ma bouche. N'en pouvant plus de ce va-et-vient qui me brassait les entrailles, j'éjaculai sur le plancher. À son tour, le patron se retira vitement et vint éjaculer dans ma face.

Alors que je me rhabillais, le patron, bien calé dans son fauteuil me regarda et me dit avec un sourire espiègle:

— Que dirais-tu de 150,000 par année, en commençant?

Je souris à mon tour. J'avais gagné, mon plan avait réussi. C'est d'une poignée de main que je cellai mon accord.

— Tu commences lundi matin, repose-toi bien et prend des forces en fin de semaine.

Je souris de nouveau en refermant la porte du bureau derrière moi.

 

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