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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 20:26

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Cette entrevue m'énervait au plus haut point. En fait, j'étais tellement nerveux que je sentis quelques gouttes de sueurs couler sur mon front. Assis dans la salle d'attente, je regardais les autres hommes faisant application tout comme moi. Je voulais ce poste à tout prix. Venant de terminer mes études en comptabilité, je voulais aider financièrement ma mère et mes frères. Mon père n'avait laissé à sa mort que des dettes. Je ne voulais pas que mes frères et soeurs abandonnent leurs études faute d'argent.

Le destin m'a fait un signe hier. Alors que je fouillais les demandes d'emploi dans les journaux, un copain qui avait suivi le même cours que moi arriva chez moi fou de rage. Il était allé passer une entrevue à l'endroit même où je me trouve présentement. Ses paroles résonnent toujours dans ma tête: "Ce n'est qu'une bande de salauds. Tout au long de l'entrevue, ils n'ont pas cessé de me déshabillé des yeux. Le patron a même osé me mettre la main aux fesses. Et en plus, ce pourri a jusqu'une alliance au doigt. Je plains vraiment sa femme. Je ne travaillerai jamais pour des pédales." Je ne pouvais croire ce que je venais d'entendre. Une petite lumière s'alluma dans ma tête. Une chance de me sortir de cette situation se présenta à moi. Après le départ de mon copain, j'appelai la compagnie pour obtenir une entrevue que j'obtins pour le lendemain. Toute la soirée, j'élaborai un plan pour non seulement obtenir l'emploi mais en plus assurer mon avenir.

J'étais le prochain candidat. Je retournais dans ma tête le plan que j'avais dressé. Je devais réussir, je devais obtenir cet emploi. Lorsque je vis la porte du bureau s'ouvrir et que le candidat avant moi sortit, la secrétaire me fît signe d'entrer. Je rajustai vitement mes vêtements et pénétrai dans le bureau. Deux hommes m'y attendaient. L'un deux était debout, à la droite de l'autre, dossier en mains. Il ne se gêna pas pour m'analyser des pieds à la tête en un regard inquisiteur. L'autre homme, milieu trentaine, très sûr de lui, élégant mais austère, était bien calé dans son fauteuil. Il me jaugea d'un air hautin, repris sa lecture d'un document posé sur ses cuisses, puis me regarda de nouveau. Je le trouvais extrêmement impoli, il aurait pu au moins m'inviter à m'asseoir. Je lui jetai le regard le plus provocant et m'assis effrontément sur le fauteuil devant lui. L'homme debout parut surpris de ma détermination et l'homme assis, visiblement le patron, se redressa sur son fauteuil.

— Ainsi monsieur Dubois, vous désirez travailler pour notre compagnie? Melança-t-il d'un ton quelque peu méprisant.

Bien que surpris par son ton, je ne laissai rien paraître afin de ne pas déroger de mon plan. Continuant mon manège, je lui décochai mon sourire le plus enjôleur, écartant les jambes le plus possible pour mettre en évidence mon entrejambe.

— En effet, si bien sûr vous êtes prêt à accepter mon offre.

Le patron, définitivement fort séduisant, se pencha vers moi, vaguement intéressé.

— Une offre? Vous n'avez que 22 ans, vous venez de terminer vos études, vous êtes sans expérience, je me demande quelle offre pourriez-vous me faire?

— Très simple cher Monsieur. Je ne travaillerai pour vous que sous certaines conditions. Et grâce à ces conditions remplies, vous obtiendrez de moi des faveurs que vous auriez difficilement d'un autre et qui se n'obtiennent pas si facilement.

L'homme qui jusqu'à maintenant était debout tira une chaise à lui et s'y assit machinalement, la bouche entrouverte en une expression de surprise comique. Son patron s'appuya des coudes sur son bureau et me toisa, cette fois beaucoup plus intéressé.

— Et quelle est cette offre?

Je me levai avec détermination et commençai à parler.

— Monsieur, personne n'est dupe. Vous envisagez d'engager un homme pour vous seconder dans votre travail, mais vous cherchez aussi quelques agréments à sa présence. Vous devez sûrement rechercher les hommes les plus séduisants, ceux qui semblent plus faciles à séduire ou berner pour les attirer dans votre couche.

Je m'approchai du bureau, passai devant l'assistant médusé et appuyai mes fesses sur le bord du bureau. Le patron tourna sa chaise vers moi et m'écouta attentif. Je prenais une énorme chance car malgré ce que m'avais raconté mon copain, je n'étais pas certain qu'il soit bi ou gay mais à voir son intérêt, ma certitude se confirmait.

— Par contre, vous savez bien ce que c'est... les difficultés, les possibilités de refus, les baises rapides après le boulot avant de retrouver votre femme. Moi, voilà ce que je vous propose.

Je retirai une chaussure, m'assied sur le bord du bureau et glissa mon pied à l'intérieur de sa cuisse en le regardant droit dans les yeux

— Je veux 100,000$ par année, en commençant. Je me doute que votre offre devait être moindre mais vous n'auriez jamais ce que vous aurez avec moi. Pour ce montant, je vous offre ceci: lorsqu'une envie sexuelle vous prendra durant les journées de travail, vous pourrez exiger de moi ce que vous voulez, à tout moment en utilisant un code convenu à l'avance entre vous et moi.

Les deux hommes ne souriaient plus. J'appuyai ma proposition d'une légère pression à l'entrejambe du patron en me relevant.

— Vous êtes en réunion et soudainement une envie vous prend de me baiser là, sur ce bureau devant votre assistant? D'accord, tout cela me va. Vous travailler sur un dossier épineux et vous avez le goût d'une bonne fellation, pas de problème, j'accours et vous taille une bonne pipe. Alors, qu'en dites vous?

Les deux hommes semblaient fortement intéressés, mais ils demandèrent à se consulter quelques instants. Ils se retirèrent dans un coin de la pièce, parlant à voix basse. Devinant leur sujet de conversation, je leur dis:

— Évidemment, vous êtes en droit de demander un essai.

Le patron alla verrouiller la porte après avoir averti sa secrétaire par l'intercom de ne pas le déranger sous aucun prétexte. L'assistant me demanda de me déshabiller, mais je le toisai avec un certain dédain et je lui répondis que ce n'était pas lui mon supérieur. Le patron se mit à rire et condamna l'assistant à un fauteuil dans le coin de la pièce. Avec un regard langoureux, je retirai lentement mes vêtements. Je pouvais voir le désir dans ses yeux et encore plus dans son pantalon. Je pouvais très bien y voir la forme de son sexe en érection. Je lançai mes vêtements un à un à la figure de l'assistant frustré sous l'oeil amusé du patron. Complètement nu, j'allai frotter mon corps contre celui du patron. Je sentis ses mains caresser mon torse, mes hanches. Quand sa main caressa mon sexe et mes couilles, l'excitation me gagna et je gémis. Il m'ordonna de m'étendre à plat ventre sur la moquette du bureau et de bien écarter les jambes.

Il se mit à genoux et se pencha sur moi. Doucement, il glissa ses doigts sur mes cuisses, mes fesses et quand je sentis ses doigts pénétrer mon anus, je gémis plus fort. Devant moi, j'aperçus l'assistant toujours sur sa chaise, se masturbant sans ménagement. Après m'avoir bien fouillé l'anus de ses doigts, le patron me demanda de détacher son pantalon et de libérer sa queue qui manquait d'espace, ce que je fis avec empressement. Dès que ma langue commença à lécher son gland, tout son corps se raidit. Il me fit étendre sur le dos et m'enfonça sa queue dans la bouche en faisant des mouvements de va-et-vient. Sa verge qui glissait entre mes lèvres me rendait fou et chaque fois qu'il atteignait le fond de ma gorge, j'entendais ses gémissements mêler à ceux de l'assistant.

J'aimais le goût de son sexe mais bien vite, il me fit relever et m'indiqua du doigt son bureau. Il me fit mettre à plat ventre dessus et sans crier gare, il m'enfonça sa grosse queue dans mon anus. Je devais me retenir pour ne pas crier tellement je jouissais. Il me pénétrait presque sauvagement. Sa queue entrait et sortait de mon anus, la poussant bien au fond alors que ses couilles frappaient mes fesses. Je fis signe à l'assistant de s'approcher et dès qu'il fut devant moi, j'engouffrais sa queue dans ma bouche. Plus il me défonçait et plus je suçais l'autre. Sans doute trop excité par sa masturbation, je sentis la verge de l'assistant se contracter et j'avalai tous les jets de sperme qui se retrouvèrent dans ma bouche. N'en pouvant plus de ce va-et-vient qui me brassait les entrailles, j'éjaculai sur le plancher. À son tour, le patron se retira vitement et vint éjaculer dans ma face.

Alors que je me rhabillais, le patron, bien calé dans son fauteuil me regarda et me dit avec un sourire espiègle:

— Que dirais-tu de 150,000 par année, en commençant?

Je souris à mon tour. J'avais gagné, mon plan avait réussi. C'est d'une poignée de main que je cellai mon accord.

— Tu commences lundi matin, repose-toi bien et prend des forces en fin de semaine.

Je souris de nouveau en refermant la porte du bureau derrière moi.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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