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fan de histoires de mec

Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 18:39

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J'ai exercé cet été un emploi saisonnier à La Poste. Voici l'histoire qui m'est arrivée, il y a de ça quelques semaines... Mon rôle à La Poste est de distribuer de la publicité sur deux tournées (c'est à dire deux quartiers), ce qui me prend deux journées et demie dans la semaine. Toute une belle façon de passer les vacances scolaires.

C'était un mardi après-midi du mois de juillet. Il faisait chaud et beau. J'avais commencé ma distribution, et, comme à l'habitude, cela me paraissait bien monotone. Ma seule occupation étant de mater les beaux mecs que je croisais, et surtout leurs belles fesses. Il faut aussi que vous sachiez qu'à l'époque j'étais vraiment en mal de sensations fortes, de plaisir. Et je me demandais vraiment bien comment parvenir à satisfaire mes envies, étant trop timide pour draguer. Je n'aurais jamais cru qu'il puisse m'arriver ce qu'il m'est arrivé...

J'étais bien avancé dans ma tournée. J'arrivais dans un endroit que j'aimais bien, un peu à l'extérieur de la ville. En fait il y avait une grande descente. avec une maison tout au bout. Je m'approche de la boîte aux lettres pour y mettre les prospectus quant tout à coup une voix m'interpelle et me fait sursauter.

— Bonjour jeune homme! Excusez-moi de vous avoir effrayé, je croyais que vous m'aviez vu.

Wow, un vrai étalon... en fait il venait juste de sortir de sa voiture qui se trouvait juste devant son garage, et moi, tête en l'air comme je suis, je ne l'avais même pas vu! Il m'a vraiment fait sursauter en tout cas, je ne m'y attendais pas. Ni à lui, ni à ce qu'il soit aussi beau. Brun, cheveux mi-longs, la peau très bronzé, yeux verts, environ la trentaine. Il portait un complet noir qui mettait magnifiquement en valeur ses jolies jambes musclées. Il avait un corps de rêve.

J'étais comme paralysé devant lui. Je lui ai tout de même tendu les prospectus et il me remercia avec un très grand sourire. Je continua ma tournée heureux de cette rencontre et le soir je ne pus m'empêcher de fantasmer sur lui. Je n'avais qu'une chose en tête: le revoir. Je dus attendre une semaine.

Comme la semaine passée, je rejoignais la maison à pied. Je l'aperçus au loin, près de sa voiture à nouveau. Il me reconnut lorsque j'approcha.

— Bonjour jeune homme de la pub!

— Bonjour monsieur, tenez... lui dis-je en lui tendant les imprimés, et avec un petit sourire en prime.

— Merci! La tournée se passe bien?

— Oui, merci, tout va bien pour le moment.

— Ça fait longtemps que vous faites ce travail?

— Non, tout juste un mois, et ce n'est qu'un emploi saisonnier. Je reprends les études à la rentrée.

— Ah d'accord. Et vous avez quel âge?

— 15 ans...

Nous avons continué à discuter, pendant un quart d'heure environ. J'ai appris qu'il travaillait dans une banque, qu'il était marié, que lui et sa femme venaient d'emménager par ici et que par conséquence il ne connaissait pas grand monde.

— En tout cas, j'espère que les gens d'ici sont aussi gentils que toi, la semaine prochaine je t’offre un verre, d'accord?

— D'accord, lui répondis-je en rougissant.

Tout cela était pour moi inespéré. J'étais aux anges. La semaine me parut interminable. Je rêvais de lui, je n'avais plus que lui en tête. Comme j’espérais qu’il soit le premier à me faire découvrir les joies du sexe. Le mardi suivant arriva. Je décidai de commencer ma tournée plus tôt et d'en changer l'itinéraire, pour pouvoir terminer par la maison de ce splendide mec. Cette fois, il était dans son jardin, au téléphone. Il me fit un grand sourire en me voyant, me fit signe de le rejoindre et de m'asseoir.

Il portait un short noir assez moulant qui laissait deviner un sexe assez gros et une camisole blanche qui mettait très bien en valeur son torse poilu. Bref, il m'excitait au plus haut point. Il devait être au téléphone avec son patron, ou du moins avec quelqu'un de la banque, car il parlait argent. Je profitais de ce moment pour regarder la maison et le jardin. Sa conversation téléphonique se termina.

— Excusez-moi j'étais avec mon patron, il avait besoin de renseignements. Il faut toujours qu'il me dérange pendant mes congés! Bref, oublions tout ça. Je t’avais promis un verre je crois?

— Oui.

— Que désire-tu? Je fais de délicieux jus d'orange pressées!

— Ça m'ira très bien!

— D'accord, je reviens dans cinq minutes.

Il entra dans la maison, me laissant seul dans le jardin. Je pus admirer son joli postérieur. Un vrai régal. Je l'imaginais avec un joli slip. Hmmmm... mon excitation se transforma vite en belle érection. Ce jour là je portais un short et un tee-shirt, ainsi qu'un boxer blanc très moulant... dans lequel mon sexe se sentait déjà très à l'étroit à ce moment-là. Il revint dix minutes plus tard, deux verres à la main.

— Merci beaucoup, ça va me rafraîchir un peu. Dîtes-moi, je ne vois jamais votre femme, que fait-elle dans la vie?

— Ma femme est souvent en déplacement. On se voit très peu, à l'exception du week-end.

— Vous avez donc cette grande maison pour vous toute seule?

— Oui. D'ailleurs elle me parait bien vide.

— Ça doit.

— Et toi, tu as une petite amie? À ton âge tu dois bien t’amuser!

— Pourquoi dites-vous "à votre âge"? Il n'y a pas d'âge pour s'amuser! Et puis vous êtes encore jeune! Je n'ai pas de petite amie actuellement, et je n’en aurais pas non plus.

— C’est vrai, comment ça?

— Trop compliqué...

— Tu préfère peut-être les hommes?

Je ne savais que répondre, je bafouillait tellement j’étais nerveux.

— N’aie crainte, je n’ai rien contre ça, au contraire.

Je baissais les yeux, mal à l’aise, je fixais mon verre de jus.

— Et sexuellement?

La brutalité de la question me laissa sans voix.

— Euh... lui dis-je en rougissant.

— Allez n'aie pas honte, dis-moi tout.

— Et bien, rien de sexuel encore.

— Sérieux?

— Si bien sûr.

— Moi ça fait deux semaines que je n'ai pas fait l'amour et ça me manque, tu dois trouver ça insupportable ton manque de sexe?

— Je m'arrange...

— Oui, la masturbation je suppose. Je peux être indiscret? Depuis la première fois que tu m'as vu, as-tu fantasmé sur moi?

— Non! Ne croyez pas ça!

— J’ai vu comment tu me regardes à chaque fois qu’on se rencontre et je suis certain que le fait de parler de sexe avec moi t’excite très fort...

— C'est possible...

D'un seul coup, il ôte sa camisole, me dévoilant son superbe torse.

— Approche toi, avec ton verre.

Son ton changeai, il devenait beaucoup plus autoritaire.

— Renverse ton verre sur mon torse.

Je tremble de partout, tout va si vite! Après un petit moment d'hésitation, je m'approche de lui, penche le verre et arrose son torse.

— Lèche-moi maintenant.

Je suis encore plus hésitant. Il attrape mes deux joues avec ses mains puis me presse contre sa poitrine. Cette fois ma bouche s'active sur ses deux mamelons. Je lèche ce délicieux jus. Il ferme les yeux et bascule la tête en arrière, tout en me caressant les cheveux. Il a l'air d'apprécier. Je sors ma langue pour profiter de ses mamelons qui se dressent comme ma queue à ce moment là. Je nettoie son torse entièrement. Une fois le travail terminé, il se redresse.

— Tu sais, dans mon ancienne ville, j’ai quelques fois tromper ma femme avec des jeunes de ton âge. Je sais par expériences que les jeunes ont beaucoup à donner. Ça doit être ton cas... Je vais voir de quoi tu es capable.

Il ôta alors mon tee-shirt et commença à me caresser le torse. La douceur de ses mains me fit frissonner. Il m'allongea sur l'herbe et se colla contre moi. Avec sa bouche, il embrassa, mordilla mes mamelons. Sa langue léchait mon nombril. Puis ses mains baissèrent mon short et l'enlevèrent. J'étais totalement à sa merci, en boxer. Il me demanda de me mettre sur le ventre. Avec le bout de sa langue, il descendit du haut de ma nuque jusqu'aux creux de mes reins en passant par le long de la colonne vertébrale. Ensuite ses mains massèrent mes fesses.

— Tu as des fesses superbes... me dit-il en baissant mon boxer de façon à les voir le mieux possible.

Sa bouche se posa dessus... On aurait cru qu'il voulut les croquer. Il remonta mon boxer et me retourna pour se retrouver face à moi.

— Maintenant passons à ce qui m'intéresse vraiment.

Il commença à caresser mon sexe à travers mon boxer.

— Ça m'a l'air acceptable.

Il baissa puis enleva mon boxer. Je bandais comme un fou.

— Oui, tu as une très jolie queue... comme je les aime.

Sa main gauche se posa sur mon sexe dressé et s'activa doucement au début. Puis sa bouche la remplaça. Non, ce fut d'abord sa langue. Il décalotta mon sexe entièrement, et avec le bout de sa langue remontait et descendait le long de mon bâton. Il n'alla pas plus loin, il voyait bien que j'allais tout lui donner. Il se releva et alla se rasseoir sur sa chaise. Il enleva son short tout en me regardant d'un regard on ne peut plus évocateur et sensuel. Je vis ce que je voulais voir. Un slip noir rempli à rebord.

— Viens t’occuper de moi maintenant.

Je m'approchai de lui et écartai bien ses deux cuisses après les avoir doucement caressées. Je passai une main sur son slip. Sa queue dessous était dure comme fer. Je fis glisser doucement son slip pour apercevoir ce qui m'intéressait le plus. Je n’en revenais pas de voir une queue si grosse. Je le branlai doucement en malaxant ses couilles avec ma langue.

— Ouiiii, c'est très bon, fais moi plaisir, suce ma queue.

Je commençai par lécher son gland en faisant le tour avec ma langue. L’entendant gémir, je ne tardai pas à prendre sa queue à pleine bouche. J’appliquais un mouvement de va-et-vient sur sa verge, sa main posée sur ma tête accompagnait le mouvement. Il appuyait plus fort pour que sa queue touche le fond de ma gorge.

— Humm, pour une première fois, tu suces vraiment bien!

Dans mon boxer, mon sexe n'en pouvait plus. Je le baissai pour me branler.

— Je crois que tu es à point, maintenant, on va passer à autre chose.

Avec son bras, il me tourna sur le côté, afin de se retrouver face à mes fesses.

— Que fais-tu?

Il ne répondit pas. Il approcha juste son index gauche de la raie de mes fesses et il commença à caresser mon petit anus.

— Ah non, pas ça!

— Tu vas adoré être sodomisé!

— Non, je n'en ai pas envie!

— Écoute, je vois tes fesses, j'en meurs d'envie, si on le fait tout en douceur tu n'auras pas mal c'est sûr!

— Je ne sais pas...

— On essaye et dès que tu as mal on arrête.

Je ne répondis pas. Il sentait qu’il avait sa chance.

— Je te promets d'être très doux.

— D’accord...

Il était aux anges. Pendant que je me mettais à quatre pattes, il finissait d'obtenir une très belle érection. Il se mit alors sur les genoux et s'approcha de mon anus. Il humidifia l'un de ses doigts et caressa mon petit trou.

— Je suis ravi que je puisse t'initier.

Mon anus était maintenant bien humide. Il approcha son sexe. Mon coeur battait fort. Il posa son gland sur mon anus et commença à le faire pénétrer.

— Aïïe!!!!

— J'arrête?

— Non! Mais vas-y très doucement!

Il continua à s'enfoncer, il était environ à la moitié. Il sentais que j’avait mal.

— Vas-y, continue! Enfonce-toi!

Il s'enfonça entièrement.

— Ça va, tu n'as pas mal?

— Un peu mais je veux que tu me défonces! Allez, défonce-moi!!!

Il se mit alors à effectuer un léger va et vient. Mes cris de douleurs laissèrent leur place à de petits gémissements. Voyant que je commençais à apprécier, il augmenta le rythme.

— Ooooohhh vas-y, C'est bon!

Je posai ses deux mains sur mes fesses pour prendre appui. Il s'enfonçait au plus profond de moi, sans relâche. J'adorais ça. Et le fait de savoir qu’il était le premier à me sodomiser l'excitait encore plus. Il était mon initiateur. Par moment, au plus profond de moi, il s'arrêtait. J’en redemandais. Alors il repartait, d'abord lentement, puis plus vite.

— Oooh ouiiii, fais-moi jouir, vas-y!

Il sentit que je n'étais pas loin de l'explosion. De sa main, il caressa ma verge et je me mis à jouir violemment en éjaculant.

Doucement, il se retira de mon anus.

— Hmmmmm tu es très bon initiateur je crois. Tu m'as converti. Laisse-moi te remercier et goûter à ton jus.

Mes mains vinrent se poser sur ses testicules puis remontèrent. Ma bouche se posa sur son gland et elle engloutit son sexe entièrement. Je le pompais comme jamais on ne lui avait fait. Il était au bord du plaisir. Je posai son gland sur ma lèvre d'en bas et ouvris grand la bouche. Il éjacula dans ma bouche. Je n'en perdis pas une goutte et terminai en engloutissant une dernière fois son sexe.

— Merci, c'était très bon, lui dis-je.

— Tout le plaisir était pour moi.

J'étais très heureux de ce qui venait de se passer, je n'en revenais vraiment pas. Je me sentis pousser des ailes.

— Merci jeune homme. Je pense que tu vas être en retard à La Poste...

Merde! La Poste! Complètement oublié! Je l'embrassai une dernière fois, le remerciai de tout mon cœur pour ce moment incroyable de plaisir et partis en courant espérant rentrer avant la fermeture. Arrivé devant La Poste, elle était déjà fermée. J'eus donc droit à quelques remontrances le lendemain. J'expliquai que, en avance sur ma tournée, je m'étais permis de m'arrêter chez un ami et que je n'avais pas vu le temps passé...

Heureusement, ils m’ont cru...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 17:58

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Ma vie se poursuivit ainsi longtemps: je travaillais en tant que conseiller personnel de mon patron, normalement sans aucune différence avec un autre conseiller, lorsque les portes étaient ouvertes, et quelques petits aménagements lorsqu’elles étaient fermées.

Souvent, Monsieur aimait à me voir travailler en slip et torse nu. Parfois il a même exigé que je sois complètement nu. Mais les sodomies qu’il me faisaient et fellations qu’il exigeait que je lui fasse n’étaient pas quotidienne, c’était selon son humeur, ses envies...

Souvent lorsqu’un coup de fil traînait ou l’énervait, il me faisait signe de m’approcher, sans attendre d’autres gestes, j’étais devant lui à genoux, sortant de son pantalon, sa queue déjà en demi-érection et de ma langue je m’appliquais à lui donner une bonne vigueur, pour ensuite l’emboucher entièrement et la pomper avec délectation.

Lors d’une période particulièrement stressante pour Monsieur, il lui arrivait très régulièrement de me pénétrer sur le bureau, sans ménagement, jusqu’à 6 fois sur une journée, profitant selon son envie, de mon cul. Mais je finissais par m’ennuyer. Ce sexe fonctionnel dirais-je, ne m’attirait plus, il manquait de piment, de vie.

Oui, bien sûr, il y avait les sorties, une ou deux fois par semaine, au restaurant pour affaire mais même les serveurs trop polis ou trop guindés pour paraître intéressés ne me laissaient plus goûter à l’exhibition. Je crois que mon patron s’en rendait compte. Lors d’un contrat quelconque, Monsieur faisait affaire avec un autre monsieur, très gentil, très correct qui venait toujours accompagné d’un homme plus jeune. Cet homme, dans le début de la vingtaine tout comme moi, assez mignon, aux yeux souriants, semblait trouver mon corps très à son goût. Et ses coups d’œil, sourires et autres commentaires eurent vite fait de me faire comprendre ses envies à mon égard. Pour la première fois depuis longtemps, je me sentais vraiment désiré. Ma verge n’en demanda pas plus pour se mettre à durcir sous l’effet du désir. Mais la réalité est là et je sais que cet homme n’entendra pas ma voix lui dire de me prendre, de me baiser.

Le soir quand mon patron me demande d’approcher, je sens qu’il y a quelque chose qui le tracasse. Tout de suite, il baisse mon pantalon et passe sa main dans mon slip, se rendant compte de mon érection.

— Hé bien! Qui t’a donc mis dans cet état?

Ce disant, il m’avait attiré sur le fauteuil, à sa place, m’asseyant et me plaçant les jambes sur les accoudoirs, il avait une vue complète sur mon anus mouillé par l’excitation.

— Dis-moi, mon beau, tu n’es pas en train de tomber amoureux, j’espère?

Cette idée me fit l’effet d’une bombe.

— Non, j’ai juste envie de sa queue.

La réponse était sortie sans même être réfléchie dirais-je. Mon patron sourit...

— C’est bien Tom, c’est bien... Caresse-toi un peu....

Je ne me fis pas prier, mes doigts allant et venant sur ma queue, s’arrêtant un peu sur mes couilles, puis repartant pour s’enfoncer dans mon anus, en ressortir complètement trempés et recommencer à jouer avec ma queue.

Ce jour-là, mon patron semblait particulièrement heureux... Il fit un chose à laquelle je ne m’attendais pas: il se mit à genoux devant moi et se penchant, se mit à me lécher la queue. Longuement sa langue un peu râpeuse m’a léché la queue, le gland, puis s’attardant sur mes couilles, m’approcha d’une éjaculation fulgurante, il s’arrêta juste avant, alors que je commençais déjà à haleter comme un chien en chaleur....

Me redressant, il m’amena au canapé, m’y coucha et me pénétra sans aucune difficulté. Il ne lui fallut pas plus de quelques coups de reins pour m’arracher des cris de jouissance. Il me regarda jouir, puis me disant de me retourner, il revint se coucher sur moi pour me prendre comme il le dit lui même: "Le petit salop que j’ai engagé et qui soupire après le premier mâle venu." Il m’encula. Je sentis très vite son sperme s’épandre en jets chauds en moi.

Lorsqu’il se releva il me dit:

— Demain, ne prévois rien de ta soirée. J’aurai besoin de toi.

La situation, et la phrase, étant habituelle, je ne me posais aucune question. Le lendemain, la journée se passa assez simplement: resto pour fêter avec les deux messieurs la signature du contrat de 13h à 16h. classique en dîner d’affaire. Les regards de mon vis-à-vis de table m’en disaient longs sur ses pensées. Plus d’une fois je sentis mon visage s’empourprer.

Quittant la table, nous passons déposer ces messieurs à l’hôtel où ils résidaient. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je m’aperçus que l’homme le plus jeune resta dans notre voiture. Après les salutations et remerciements d’usage, nous repartons. Le chauffeur nous conduit chez nous.

Je sors.

— Tom, Monsieur B. souhaite profiter de votre hospitalité cette nuit. Je pense que vous n’y verrez pas d’inconvénient.

Je me sens trembler des pieds à la tête, l’homme sort en vainqueur de la voiture, sourire presque carnassier, je rougis.

— Laissez les lumières allumées, Tom. Merci

Je monte les quelques marchent avant l’ascenseur devant monsieur B que je n’ose toujours pas regarder. L’ascenseur s’ouvre, je le sens qui me suit, qui se colle à moi alors que la cabine est spacieuse. Il en profite pour laisser ses mains se perdrent sur mes fesses. Arrivés à mon étage, nous sortons, je me vois dans le miroir du couloir, on dirait un gamin pris en faute, qui attend sa correction.

J’ouvre ma porte et sans même me poser de questions, me dirige vers la chambre. Puis soudain je me rends compte que j’aurais pu ne pas l’y inviter, que j’aurais pu rester au salon. Qu’est ce que je fais? Je suis fou! Mais je sens mon cul palpiter, j’ai envie... Je me retourne, il est à l’entrée de la chambre.

Je le regarde droit dans les yeux. Je retire mon veston, le lâche sur le sol. Je commence à déboutonner ma chemise qui s’entrouvre peu à peu, laissant voir mon torse imberbe. Je dégrafe le bouton de mon pantalon, le laisse glisser au sol. Je ne suis plus vêtu que de ma chemise ouverte. La bosse dans son pantalon est plus qu’explicite...

Je m’approche de lui, place mes bras autour de son cou et pose mes lèvres sur ses lèvres. Cela le met en route, en furie plutôt. Il me soulève, me porte au lit, descend la fermeture-éclair de son pantalon, ne le retire même pas, sort sa queue qu’il m’enfonce d’un coup dans l’anus. La brusquerie me fait un peu peur, m’arrache un cri...

Après quelques coups de queues rapides, il se calme et sans sortir sa queue du fourreau où elle est, il se redresse un peu et commence à me caresser le torse d’une main. Il écarte totalement ma chemise, puis approchant sa bouche du mamelon, commence à le lécher, presque tendrement. Sa queue reste bien au chaud. De temps en temps, sa queue me fait sentir sa présence par un petit mouvement doux. Le laissant continuer à ce rythme qui me change et me ravit, j’entreprends de lui retirer sa veste. Il se laisse faire... Cravate...

Toujours affairé auprès de mes mamelons, je le sens de nouveau s’exciter plus... Il les relâchent, il se redresse, libère sa queue de mon cul et ouvre sa chemise sans s’occuper des boutons qui disparaissent dans tous les coins, retire d’un coup son pantalon et ce qu’il avait dessous avant de s’abattre une nouvelle fois sur moi, replonger sa queue au chaud et accompagnant par des coups rapides de queue ses mouvements, il se met à me mordiller les seins, l’un après l’autre. Jamais on ne m’avait fait cela. La sensation m’électrise, j’ai l’impression que je brûle de l’intérieur.

Je sens sa queue qui accélère encore son mouvement. Je regarde d’un coup d’œil vers la fenêtre... Mon patron est là... Mmm je sens que cela vient. J’éjacule en poussant de petits cris. Ne voulant pas rester en arrière, sa cadence prend plus d’ampleur, plus de force. Je sens enfin son foutre me remplir l’anus, c’est chaud, c’est doux.

Sa tête se pose sur mon épaule, ses doigts jouent avec mon téton, la tempête est passée, le repos du guerrier. Mon patron est toujours là, un verre à la main... il me regarde droit dans les yeux... J’ai encore envie de me montrer à lui, j’ai encore envie de jouir. Apparemment mon envie se sent puisque mon amant se réveille et se met à m’embrasser dans le cou. Il se redresse un peu pour prendre une position plus confortable sans doute mais je profite de l’occasion pour fuir de l’autre côté du lit... Il tente un coup de patte, dirait-on pour me rattraper. Pas encore bien réveillé, il se laisse aller sur le dos. Je m’approche, à quatre pattes, regarde cette queue à moitié débandée. Je commence à la lécher à la manière d’un chat, à petits coups de langue. Il aime ça, je le vois, je le sens... Très vite sa queue grandit, grossit pour atteindre une taille très confortable.

Monsieur B semble aux anges. Il sourit béatement mais j’ai envie qu’il se réveille, moi. Alors de ma langue douce je passe à la bouche active. Je le suce, je le pompe laissant ma bouche serrée autour de son membre, puis parfois je le mords un peu... Juste pour tester les réactions. Intéressant, il semble avoir du mal à rester en place... j’essaye donc le même traitement plus bas, sur ces deux couilles charnues qui s’offre à mon regard.

Sans appel, cette solution: monsieur B se redresse avec une queue bien dressée, bien raide. Ravi, je lui présente de nouveau mon cul, mes fesses attirent ses mains. C’est dans mon anus que sa bite retourne. Il s’active... tenant mes hanches dans ses mains, ses coups de boutoir sont forts, rapides... j’aime ça. Je sens que le plaisir monte.

Il jouit, m’inondant une seconde fois... En mâle repu, il se couche sur le côté. Je suis déçu, frustré. Le téléphone sonne, je décroche, c’est mon patron.

— Passe-le moi!

Sans un mot, Monsieur B me repasse le téléphone et commence à s’habiller.

— Laisse-le partir. Tu veux le revoir?

— Non.

— Ne te lave pas, ne bouge pas, j’arrive.

B part après un rapide baiser sur mes lèvres, je reste allongé. Mon patron arrive...

— Alors, il t’a plu?

— Bof....

— Tu n’as pas assez joui?

— Non...

— Laisse toi faire alors...

Il m’écarte les jambes, m’amène au bord du lit... Et se mettant pour la seconde fois à genoux devant moi il se met à me lécher, à aspirer tout le sperme qui occupe mon cul, à jouer avec mes couilles... Je crois avoir ce soir-là joui cinq ou six fois d’affilée sous sa langue experte. Je sentais ma tête me tourner, je voulais refermer les jambes mais il me les maintenait ouverte continuant encore et encore.

— J’ai aimé le spectacle. Nous recommencerons.

Je me suis endormi, épuisé, sur ces mots...

Et il a tenu sa promesse.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 23:43

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Ma sœur et Brodie sont restés ensemble deux ans avant d’annoncer leurs fiançailles. Depuis que je l’avais baisé, mon beau-frère avait changé d’attitude envers moi. Pendant de nombreuses semaines, il m’avait évité, détournant les yeux lorsque j’étais dans la pièce, puis petit à petit j’ai pu remarquer son regard se poser de nouveau sur moi. Il se remit à me donner des petits noms qui m’agaçaient mais je devinai rapidement qu’il cherchait à renouveler notre première expérience. Cela n’a pas tardé pour que nous rebaisions ensemble, et depuis, nos jeux ont évolué. Si la première fois je n’avais fait que l’enculer, maintenant je n’hésite pas à lui prendre la queue en bouche avant de le monter.

J’ai toujours peur que ma sœur découvre notre petit manège, mais je ne peux résister à son air viril et à ses manières de macho. Elles me rendent dingues et m’invitent à me venger davantage. Pourtant jusqu’à présent, personne n’a découvert notre relation de désir et de passion réciproque. Il n’y a pas de véritable amour entre nous, il n’y a que du cul. L’amour il le réserve à ma sœur, c’est pour cela qu’après deux ans de rencontre ils décidèrent de se marier. J’eus une réaction étrange ce jour là. J’étais à la fois content que Brodie ne s’éloigne pas de la famille mais aussi frustré de me dire que ma sœur allait pouvoir profiter davantage de ses attributs. Je fus fier pourtant lorsqu’il me demanda d’être son témoin.

Les fiançailles ne durèrent pas, ils se marièrent rapidement si bien que je ne pus préparer une véritable soirée d’enterrement de garçon. Mais depuis je me suis rattrapé.

Le matin de la cérémonie, je retrouvai Brodie chez lui pour l’accompagner jusqu’à la mairie. Ma sœur avait été dormir chez nos parents comme le veut la coutume. J’étais entré dans l’appartement pour découvrir mon amant allongé sur un fauteuil, en jean, t-shirt et pieds nus. Il avait dû s’endormir comme ça. Je m’approchai de lui pour venir le réveiller mais de le voir dans cette tenue de bad-boy mon désir pour lui se ranima. Je pouvais sentir mon sexe sous le tissu de mon boxer. Je me penchai vers lui pour venir poser mes lèvres sur les siennes. Il ne devait pas véritablement dormir car il répondit à mon baiser avec passion. Je fis glisser ma main sur son bras, remontant son épaule pour venir prendre sa tête. Il fit de même. Notre baiser était fougueux. Nos lèvres se cherchaient, nos langues se nouaient, nos mains se caressaient et notre désir pour l’autre nous envahissait. Je fis glisser ma main sous son t-shirt à la recherche de sa peau, sentant ses côtes et ses muscles sous ma paume. Nous gémissions à l’unisson faisant part de notre désir à l’autre. Il me fit basculer sur le fauteuil afin de se retrouver au dessus de moi ce qui libéra ses fesses que je pus malaxer en passant mes mains sous le jean. Il s’assit sur moi et je pus faire glisser son t-shirt au dessus de ses épaules. Nos lèvres ne s’étaient pas quittées pendant cette parade amoureuse. Lorsque je lui fis enlever son haut, il vint me bécoter dans le cou puis il s’allongea sur moi de tout son poids me faisant sentir sa force. Il se déhanchait sur moi en reprenant mes lèvres. Il avait appris à faire monter mon désir. Je me demandais s’il pratiquait de la même manière avec ma sœur.

Ma queue était bandée sous mon pantalon, je le désirais intensément et je fus libéré lorsqu’il me redressa pour venir embrasser mon torse. J’enlevai rapidement mon t-shirt afin de lui laisser toute liberté. Il ouvrit mon jean en déposant sa bouche sur la moindre parcelle de mon ventre. Je pouvais admirer de ma position la musculature de ses épaules. Je passais mes mains sur ses cheveux qu’il avait coupés courts. Je me mordis les lèvres lorsqu’il sortit enfin ma queue de mon jean. Il joua avec mon gland, le suçant. Depuis la première fois que je l’avais fait me sucer, il avait gagné en expérience. Je ressentais un plaisir immense.

— Vas-y, Brodie, suce-moi.

Il ne me répondait que par des gémissements. Il me fit glisser le jean, ce qui l’obligea à lâcher ma queue. Le temps que le tissu passe mes pieds, il m’embrassa les cuisses.

— La queue, salope ! Lui ordonnai-je.

Il l’a repris en bouche comme un enfant bien obéissant. Il jouait avec mon gland me tenant la queue entre la main mais moi j’avais envie de plus. Je posais ma propre main sur son crâne et accompagnais son mouvement autour de ma hampe. Ensuite, je le redressai rapidement, faisant descendre son jean et son boxer sur ses mollets, puis le retournai face à son lit. J’embrassais son dos pendant qu’il se plaçait à quatre pattes me montrant sa croupe. Tout en tirant son jean, je passais mes lèvres sur ses fesses. Il sentait bon, le petit salaud avait dû préparer tout ce qu’il fallait pour être baisé ce matin. Je vins lécher sa rosette qui avait un petit gout sucré. Il gémissait comme une femelle en chaleur donnant parfois des petits coups de bassin en avant. J’introduisis un doigt pour venir l’ouvrir davantage. Je le fis tourner en salivant bien. Il se cambrait bien.

— J’ai envie de ta queue, me dit-il.

Je me redressai pour venir déposer ma queue sur ses fesses. Il bougeait son arrière train quémandant mon pieu. Je me suis dit qu’il allait me faire souffrir en disant oui à ma sœur dans la journée si bien que l’idée de le prendre violemment germa en moi. J’approchai mon gland de son trou, le tenant par la taille, entrant lentement puis donnant un grand coup pour le faire hurler. Il fut tellement surpris qu’il se lança en avant. Je le rattrapai par l’épaule et l’attirai vers moi. Je le défonçai pendant qu’il lâchait des « Oh ! Putain ! ». Je ralentis mes coups, content de mon effet pour me pencher sur son dos, venir embrasser ses épaules et attirer son visage vers moi pour venir l’embrasser pendant que j’étais planté en lui. Nous nous sommes embrassés quelques instants puis je repris un mouvement lent entre ses fesses. Ses gémissements étaient clairs et puissants.

— Vas-y montre moi que tu aimes ma queue, Brodie.

Il se mit à gémir de plus belle. J’aimais l’entendre, c’était pour moi une preuve de son désir et de son statut de salope. Je le pris dans plusieurs positions. Parfois moi allongé sur le fauteuil afin qu’il vienne s’enfiler par lui-même, parfois lui allongé sur le dos, les cuisses écartées afin de plonger mes yeux dans les siens. Dans cette position, j’aimais me pencher sur lui pour venir l’embrasser puis lui glisser à l’oreille :

— T’es qu’une femelle en chaleur. Tu sais ça ?

— J’ai trop besoin de ta queue, me répondait-il.

Je plaçais alors ses cuisses sur mes épaules et lui faisait remonter le bassin pour me plonger dans son trou. Parfois je devinais une grimace sur son visage et je sentais ses mains tenir mes cuisses comme s’il souhaitait me repousser mais alors je lui disais :

— Tu es à moi, t’es ma pute.

J’accélérais le mouvement jusqu’à ce qu’il se mette à gémir davantage encore. Lorsque je l’eus bien baisé, je devins davantage vulgaire encore.

— T’es ma petite salope.

— …

— Un bon bâtard en chaleur, hein ?

— Oui ! Me répondit-il.

— Tu n’es qu’un trou pour moi, hein ?

— Oui.

— Et encore ?

— Une sale chienne en chaleur…

Je le défonçais.

— Prêt à tout pour avoir ta queue.

— Ouais ! Et t’aimes ça, salope.

— Oui, je suis qu’un putain d’enculé.

J’attrapai davantage ses cuisses contre mon torse et giclai dans son trou pendant qu’il lâchait sa purée entre ses doigts. Un plaisir immense envahit mon corps, puis je me penchai vers Brodie pour l’embrasser. Notre baiser fut plus tendre que les fois précédentes. Nous recherchions la plénitude. Il me dit :

— Va falloir que j’aille me vider maintenant.

— Pas question ! Lui répondis-je avec un large sourire. Garde mon sperme en toi toute la journée et ce soir au repas je viendrais vérifier.

Il m’attrapa la tête pour écraser mes lèvres sur les siennes. Il nous fit relever ensuite puis se pencha vers sa commode.

— Puisque tu m’as fait un cadeau ce matin, j’en ai un pour toi.

Il sortit une bague du tiroir qu’il me tendit. C’était une réplique parfaite de l’alliance qu’il avait acheté pour son mariage.

— Cette alliance est pour toi, elle me lie à toi et à tes désirs.

Je fus surpris sur le coup mais une joie immense fit place à ce sentiment d’incrédulité. Il m’annonçait ainsi que même après son mariage avec ma sœur nos aventures continueraient et qu’il était prêt à se donner corps et âme à mes désirs et j’en avais.

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Vendredi 23 novembre 5 23 /11 /Nov 00:16

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C'est toujours une joie de venir voir ma soeur. Elle m'invite régulièrement pour le repas du dimanche midi. Elle peut me dire d'arriver à 12h30 ou à 11h30, je me débrouille toujours pour débarquer au moins trente minutes en avance pour la surprendre alors que rien n'est prêt. Elle râle mais cela m'amuse. Elle doit penser que je le fais exprès pour qu'elle se mette à ronchonner mais la raison est tout autre. Comme à son habitude, elle me dit d'aller voir Brodie qui doit être dans leur chambre et qui lui doit être prêt. Elle rajoute que lui va pouvoir s'occuper de moi et comme à notre habitude, nous allons pouvoir discuter de choses qui ne la regarde pas. Si elle pouvait savoir...

Je me dirige alors vers leur chambre et découvre invariablement Brodie en slip, la queue déjà gonflée sous le vêtement. Il me sourit et je commence à me dévêtir pendant qu'il se caresse le paquet doucement. Je ferme la porte derrière moi et ferme le loquet au cas où ma soeur débarquerait, ce qu'elle ne fait d'ailleurs jamais, plus occupée par sa cuisine qu'autre chose. J'aime voir ce jeune mec de 29 ans, châtain aux yeux verts, couvert d'un joli tatouage qui va de son bras gauche à son sein. Il me regarde et je peux lire le désir sur son visage qu'il n'a pas rasé. Il sait que j'aime le voir non rasé de la veille. Cela énerve ma soeur mais me fait monter davantage le désir. Je m'approche alors de lui pour passer ma mains sur sa queue. J'en ai vu des bien mieux mais elle doit faire un bon 20cm. Il gémit alors doucement en prenant ma queue. Mon premier désir est de le prendre en bouche. Je m'agenouille alors, attrapant sa queue entre mes lèvres et le suce en le caressant.

— Oh putain, tu suces mieux que ta soeur, me dit-il souvent.

Il aime que je lui suce la queue, il nous regarde souvent dans le miroir de la pièce. Lorsque je l'ai bien chauffé, je peux enfin faire tout ce que je veux de lui. Je me redresse et lui intime l'ordre de me montrer son cul. Il se penche alors sur le fauteuil de la pièce. J'écarte alors ses fesses pour y venir planter ma langue.

— Tu aimes ça salope, je lui demande.

Il me répond invariablement par un gémissement de satisfaction. Ma langue s'insinue en lui, dans son trou fraîchement nettoyé, le lubrifiant pour la suite. Quand je ne peux plus attendre, je m'allonge sur le petit fauteuil et lui dis :

— Viens t'enculer sur ma queue.

Il vient lui-même glisser mon gland dans son trou, se plaçant face au miroir pour se voir se faire sauter. J'aime le prendre dans différentes positions, le mettre à quatre pattes pour le prendre en levrette. Je m'introduis doucement puis le lime lentement. Parfois il me demande d'arrêter mais je n'en ai cure, je veux lui faire sentir qu'il est sous ma domination. D'ailleurs il le sait bien, c'est comme un jeu entre nous. Invariablement, je le fais s'allonger sur le fauteuil et viens me glisser en lui avec ses jambes velues autour de mes cuisses. Il ferme les yeux mais je lui ordonne rapidement :

— Regarde moi ! Regarde le mec qui te saute.

Il ouvre alors les yeux avec un grand sourire me montrant sa satisfaction. Il se branle lentement. J'aime le prendre ainsi. Je me penche parfois et lui demande :

— T'aimes ma queue ?

— Oui.

— T'es quoi ?

— Une petite pédale, me murmure-t-il.

J'accélère alors le mouvement et viens plaquer mes lèvres aux siennes pour l'empêcher de hurler. Il cherche ma langue de la sienne. Je le baise ainsi accélérant ou ralentissant le mouvement, sortant entièrement ma queue pour lui réintroduire à fond jusqu'à ce qu'il me lâche :

— Suis un putain d'enculé.

À chaque fois qu'il dit cette phrase, je gicle instantanément dans son trou le remplissant ainsi. Il ne tarde pas à jouir à son tour sur son ventre. Avant de venir l'embrasser, je ramasse son sperme avec mes doigts et lui fais lécher. Notre baiser langoureux dure quelques secondes puis on se relève pour se rhabiller. Brodie reste toute la journée avec mon jus en lui. Ma soeur ne se doute de rien...

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Jeudi 22 novembre 4 22 /11 /Nov 22:56

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Je me souviens souvent de la première fois où j’ai rencontré mon beau-frère. Ma sœur sortait avec lui depuis quelques semaines lorsqu’elle l’a invité chez nous pour la présentation officielle aux parents. Mes parents n’ont pas vraiment été ravis la première fois qu’ils l’ont rencontré, il avait un look de Bad-boy avec sa barbe non rasée de quelques jours. De plus il entretenait ce look avec son jean déchiré au genou. On pouvait y voir dépasser sa pilosité brune. Moi j’eus une impression assez bizarre. Autant il me paraissait avoir du charme autant j’ai de suite pensé que c’était un beauf.

Ma première impression s’est révélée exacte. Pendant tout le repas, nous avons eu le droit à des blagues dégradantes sur les femmes et parfois même sur les homos. Même mon père qui est un bon vivant, semblait rire jaune. Assis en face de lui, j’ai largement pu le détailler et notamment observer le tatouage qui sortait de son t-shirt largement échancré. Pourtant je décidai que je n’allais pas apprécier ce gros con.

Les semaines ont passé et ma sœur ne s’est pas lassée de son mec. J’arrivais de moins en moins à le supporter. Il faut dire qu’il s’obstinait à me faire des réflexions qui avaient le chic de me faire sortir de mes gonds. J’avais régulièrement le droit à des surnoms comme « petite pédale » ou « tafiole » lorsqu’il passait près de moi et que personne ne pouvait l’entendre ou parfois en présence de mes parents ou de ma sœur j’avais le droit à « ma chatte ». Je me demande encore comment il a pu imaginer que j’étais gay alors que pour tout le monde j’étais hétéro.

Au moins le traitement qu’il m’infligeait m’a incité à me rendre plus viril en faisant du sport et en gagnant de la masse musculaire. Il avait beau avoir trois ans de plus que moi, il n’était pas question qu’il m’impressionne. Parallèlement à mes entrainements en salle de muscu, j’ai suivi des cours de self défense.

Un après-midi de juillet alors que tout le monde était dans le jardin, moi je m’étais mis au frais à l’intérieur. Je pouvais entendre mes parents, ma sœur et Brodie discuter à bâtons rompus. Alors que je commençais à m’assoupir, mon beau-frère s’arrêta devant la porte de ma chambre et comme à son habitude j’eus droit à une réflexion :

— Alors ma chatte, on se la coule douce.

Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais il fut temps de ne plus le laisser faire. Je n’avais qu’une envie à ce moment là, c’était de lui faire payer toutes les humiliations que j’avais dû subir. Malgré les règles qu’on m’avait enseignées, et notamment de ne pas me servir de mes cours de combat contre autrui, je sautai de mon lit tel un félin et attrapai l’objet de mon courroux prestement. Je lui fis une clef de bras ce qui l’immobilisa de suite.

— Mais c’est que ça se rebelle ! Me dit-il.

J’amplifiai la torsion de son bras ce qui le fit souffrir.

— Aie !

— Ça t’amuse de me faire chier ?

— Ouais, osa-t-il répondre.

— À mon tour alors…

Je l’entrainai vers la fenêtre dont les volets avaient été mis en cabane. Je me plaçai derrière lui et m’approchai de son corps pour accentuer encore la douleur. Bien sûr, pour ne pas perdre la face, il fermait sa bouche. Collé à lui, je lui murmurai :

— Alors, c’est qui la tapette maintenant ?

— …

— Tu voulais jouer avec moi !

Ces quelques mots furent soufflés dans son oreille. J’eus soudain une idée de ma vengeance.

— Tu va jouer la tapette pour moi, hein, mon mignon.

Je glissai ma main dans son jean qu’il avait bien sûr très large ainsi que dans son boxer et commençai à palper ses fesses. Celles-ci étaient velues tout comme ses cuisses mais aussi musclées sous ma paume.

— On travaille son petit fessier, tout comme les nanas. C’est mignon ça !

Il essaya de résister mais j’accentuai ma pression sur son bras.

— Tout doux, tu ne voudrais pas qu’on découvre que t’es une petite pédale qui aime se faire sauter.

Je cherchai alors juste à lui faire peur. Je voulais qu’il implore ma clémence pourtant il résistait. Je décidai alors de passer ma main entre les globes de ses fesses. Il avait sa rosette aussi poilue que le reste. Il me fallait l’humilier davantage, je glissai alors un doigt dans sa fente et découvrit une peau soyeuse. La chaleur avait dû le faire suer car son trou était bien humide. Je rentrais difficilement mon doigt mais je lui glissai à l’oreille :

— Humm, un petit cul vierge comme celui-ci. Je sens que je vais me régaler.

Il ne répondit pas mais haleta. Mon doigt entrait davantage encore. Dehors, on pouvait entendre ma famille en pleine discussion. Je fis glisser le jean de mon beau-frère sur ses cuisses et repris mon doigtage. Il semblait prendre plaisir à cette caresse ce que je découvris plus tard. Encore maintenant, j’aime lui ouvrir le cul de mes doigts et l’entendre gémir jusqu’à ce qu’il m’implore de l’enculer.

Je me rendis compte que la pression de mon bassin sur sa cuisse et la situation m’excitait au plus haut point. J’en bandais. Avant cet événement je n’avais jamais imaginé prendre du plaisir avec un mec, mais ce type qui m’avait temps emmerdé me faisait triquer. Je l’ai doigté au moins dix minutes jusqu’à pouvoir y entrer trois doigts. Il soufflait comme un bœuf, ruisselant de sueur. Il me rendait fou. Il résistait sans m’implorer. J’eus une idée plus dégueulasse encore. Je sortis ma queue et lui dis :

— Il est temps que tu me serves.

— Non… Pas comme ça. Dit-il avec une petite voix.

— Mais si, ma chatte.

Je lui léchai le cou remontant vers son oreille.

— Avec un préservatif, je t’en supplie. Je veux rien attrapé…

Brodie me donna l’impression d’être clean et d’avoir peur des maladies. Je savais que j’étais aussi moi clean vu que jusqu’à présent j’avais baisé mes copines avec des préservatifs. Je voulus alors lui faire peur.

— Qu’est ce que j’en ai à foutre moi.

Je crachai dans ma main et badigeonnai ma queue de salive. Je me plaçai dans le dos de Brodie.

— Alors ma belle, prêt à se faire monter par un étalon.

J’introduisis mon gland dans le trou de mon beau-frère et donnai un violent coup en avant ce qui le fit gémir de douleur.

— &Ccdeil;a va Brodie ? Demanda ma sœur de l’extérieur.

— …

— Brodie ?

— Oui, je me suis juste fais mal au pied, chérie, lui répondit-il.

Ce petit macho ne disait rien sur sa position. Il faut dire qu’elle était suffisamment humiliante pour lui. Moi je découvrais une sensation nouvelle. Son fondement était chaud et son anus entourait ma verge avec délice. Collé à lui, je sentais les poils de ses fesses sur mes cuisses et le bas de mon ventre. Je fis un petit mouvement mais replongeai en lui immédiatement. Il se mit à gémir. Je continuais mon va et vient, profitant de chaque sensation. Je découvrais que j’aimais le baiser et que lui semblait apprécier. Je lâchai son bras et pris ses hanches des deux mains. Il dégagea son bras et recula son cul pour se cambrer.

— Oh putain ! Lui dis-je.

— Quel pied, je prends, répondit-il.

Je l’ai enculé peu de temps car je vins rapidement tellement le plaisir était intense. Au moment où je giclai en lui, il se mit à jouir à son tour dans sa main.

Je sortis de lui et me rhabillai alors qu’il essayait de se revêtir avec sa seule main de libre, l’autre pleine de sperme. Il s’est tourné vers moi avec un large sourire et j’ai deviné que notre relation allait changer.

Encore maintenant, lorsque je repense à cet événement, je me dis que tout aurait pu être différent et que ça aurait pu mal se terminer mais je regarde la chance que j’ai su saisir au bond et notamment d’avoir gagner un amant qui m’en demande toujours plus.

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Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 00:37

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Je suis bisexuel mais je souhaite vous raconter une aventure de jeunesse qui m'est arrivée quand j'étais lycéen. Ma curiosité‚ mon goût pour le sexe, m'ont permis d'en connaître beaucoup d'autres depuis.

Chaque jour, matin, midi et soir, pour me rendre au lycée, je traversais un très grand parc public, lieu apprécié pour les promenades. Un jour de printemps, l'année de mes 17 ans, alors que je rentrais comme chaque midi déjeuner chez mes parents, je fus pris d'une "envie" extrêmement urgente. Mon ventre était douloureux, je serrais les fesses sans espoir, je savais que je n'aurais pas le temps de rentrer assez vite chez moi. Je repérais le panneau "Toilette" et m'y précipitai.

Cachés dans un massif d'arbustes, les WC en forme de rotonde comportaient plusieurs cabines. Je me précipitais vers une porte entr'ouverte, refermais vivement et descendis prestement mon pantalon. Installé sur la cuvette je me libérai de mon urgence. En partie soulagé, je regardais autour de moi les murs tapissés de graffitis et de dessins obscènes: une queue pointée vers une paire de fesses, une autre vers une chatte de femme, ou encore des sodomies en chaîne. Je lisais des petites annonces écrites dans tous les sens:

— "JH cherche jeune chatte à lécher"

— "H ch JH pour branler et sucer, de 12 à 14h, ici"

— "Cple rencontrerait F ou Cple pour plaisirs divers"

— "Cple ch mec bien monté - rdv ici"

— "Branle et suce jeunes mecs, ici tous les jours, le midi ou le soir"

Les murs et les portes étaient barbouillées de ces annonces dont certaines paraissaient anciennes, d'autres récentes; des réponses proposaient des rendez-vous. Il y avait un trou de cinq centimètres dans la porte, à 80 centimètres du sol. L'idée que quelqu'un pouvait espionner dans les toilettes m'amusait beaucoup. Je me rendis compte rapidement, qu'il y avait aussi un trou de la taille d'un oeuf percé dans chacun des murs sur les côtés, à hauteur des genoux. Poussé par la curiosité, je me penchais pour regarder au travers de l'un d'eux: la cabine était vide. Je voyais le rebord de la cuvette du WC.

Je me tournais vers le second trou, j'eus l'impression de voir un oeil qui s'effaçait, puis je vis nettement une cuisse; quelqu'un était assis sur le WC de la cabine voisine. Je me reculais vivement, rougissant. Mais poussé par une curiosité viscérale, je regardais à nouveau. La cuisse semblait être celle d'une fille ou d'un adolescent: ferme, mais sans poils. Je m'avançais un peu pour mieux voir et je vis une main qui massait lentement un sexe dressé de taille moyenne au gland bien dégagé, tout rosé. L'autre main triturait doucement les couilles. Mon voisin se masturbait en toute tranquillité, assis sur le bord de la cuvette.

Ma tension montait violemment, Je me surpris à bander à mon tour. Je glissais une main sous ma queue et me masturbais aussi. Mon voisin continuant de s'astiquer, s'était penché sur le côté, avec un peu de recul pour vérifier si je l'observais. Je croisais son regard amusé. Il accélérait sa masturbation, avançant sa queue bien en face du trou. J'étais hypnotisé, rouge de confusion, ne sachant plus ce que je devais faire, fuir ou continuer. Le spectacle m'excitait trop, je me branlais de concert.

Il me fit signe de montrer mon sexe. Intimidé j'hésitais; lui insistant, me montrait le sien avec impudeur. Je m'avançais un peu, lui présentant le profil de ma bite dressée, au gland congestionné. Mon voisin, vint placer son sexe face au trou, l'avançant au travers de la mince cloison. Une douzaine de centimètres dépassait sous mon nez. Attiré par cette chaire inconnue, j'osais une caresse timide, moi qui n'avait jamais touché un autre sexe que le mien. À ce contact doux et chaud, une violente bouffée de chaleur m'envahit. Je faisais glisser délicatement la peau sur le gland, comme j'aimais me le faire moi-même.

L'inconnu se reculait et me fit signe de faire comme lui. Je glissais mon sexe dans l'orifice. Surprise! Ce n'étaient pas ses doigts qui avaient saisi ma bite mais sa bouche tiède et humide. Il aspirait, malaxant de ses lèvres, sa langue chatouillant mon prépuce. Ma tête tourbillonnait, je sentais mon sperme monter dans ma verge. J'allais me retirer, il me retenait par sa bouche. Je sentis mon sexe exploser, j'accompagnais mon éjaculation de coups de ventre saccadés contre la cloison. Vidé je m'asseyais sur la cuvette pour récupérer.

Quelques instants plus tard, j'entendais la porte voisine s'ouvrir. Je me rhabillais, pensant que celui qui m'avait donné autant de plaisir était parti. J'attendis quelques instants avant de sortir pour ne pas le rencontrer.

Le rouge aux joues, je sortais à mon tour, un peu étourdi. À ma plus grande surprise mon voisin m'attendait. Je reconnus un gars de mon lycée! Je le connaissais seulement de vue car nous étions un millier d'élèves et nous n’étions pas dans la même classe. Il était aussi grand que moi, bien que mon cadet d'un an. Voyant ma gêne, il vînt vers moi, la main tendue:

— Je m'appelle Alain, je viens souvent ici, on y fait des rencontres sympas, des gars, mais aussi parfois des femmes ou des filles.

Il continuait:

— Tu as aimé? Apparemment oui! On peut se retrouver ici après déjeuner? Je reprends à 15h et toi?

— Moi aussi je reprends à 15h, répondis-je sans réfléchir. J'aurai fini de déjeuner à 13h15.

— OK, j'attendrais... 13h30, sur le banc dehors, en face.

Avec un large sourire, il s'éloigna. L'esprit embué, j'accélérais cependant mes pas pour aller déjeuner. Je n’avais pas donné mon accord, mais mon envie de revenir était trop forte.

À l'heure convenue, j'étais de retour. Alain me demandait d’emblée de le suivre dans les toilettes. Il m'entraînait dans la cabine la plus éloignée de l'entrée et verrouillait la porte derrière nous. Prestement débarrassé de son pantalon et de son slip qu'il accrocha à une pointe derrière la porte, Alain, la bite fière et dressée, s'avançait vers moi et s'attaquait à la ceinture de mon pantalon. En un tournemain, j'étais débarrassé aussi de mes vêtements. Ma queue bandée à faire mal, j'attendais la suite des évènements. Alain avait jeté un regard par le trou du mur, pour savoir si nous étions tranquilles. Il s'agenouillait devant moi, aspirant mon sexe à pleine bouche; il me pompait à merveille. Quel délice! Adossé au mur, j'étais tendu comme un arc. Inconsciemment, je caressais la tête de mon compagnon. Il avait glissé une main sur mes fesses. Séparant les globes, il descendait vers mon anus qu'il agaçait d'un doigt mais constatant ma contraction, il en restait là.

Une nouvelle fois je déchargeais dans sa bouche, il avalait mon sperme avec délice. J'y avais moi-même goûté et trouvais le goût très agréable. Alain se redressa en disant que c'était super. Je ne voulais pas être en reste, je m'agenouillais à mon tour. Maladroitement je le suçai. Comprenant que c'était la première fois que je suçais une queue, il me conseillait et me guidait dans mes gestes, j'assimilais vite. Rapidement Alain m'informait qu'il allait éjaculer, me demandant si je préférais qu'il se retire. Moi je souhaitais aller jusqu'au bout. Un jet de sperme gicla contre mon palais. Je suffoquais un peu mais continuais à pomper et avalai avec plaisir la semence épaisse.

Après quelques caresses échangées sur les tétons, les fesses et le ventre, nous nous sommes rhabillés pour rentrer au collège.

Alain devenu un ami, venait à la maison pour étudier ou écouter de la musique pensaient mes parents, nous pouvions nous enfermer dans ma chambre sans être dérangés. Alain était même autorisé à rester dormir à la maison, avec moi bien entendu.

Nos jeux évoluèrent rapidement: mon ami me sodomisait, je lui rendais la pareille. Cela ne nous empêchait pas de nous retrouver fréquemment dans nos toilettes préférées ou nous avons vécu d'autres aventures piquantes que je vous raconterai plus tard.

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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 22:25

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Depuis le décès de maman il y a sept ans, je vivais avec papa. Nous étions heureux ensemble, bien que l’absence de ma mère nous pesait à tous les deux. J’avais 21 ans, je poursuivais mes études à l’université voisine, papa était cadre dans une entreprise de la ville. Nous partagions les différentes tâches ménagères, mais aussi certains plaisirs.

L’année de mes seize ans, nous avions dîné en tête-à-tête, la vaisselle faite et rangée, nous nous étions installés devant la télé, nous regardions une émission qui rapidement s’avéra être sans intérêt. Papa me proposa de regarder un film qu’il avait enregistré la veille au soir. Pensant que la cassette était restée en place, il lança le magnétoscope,

Sur l’écran deux gars se suçaient avidement. Papa me regardait d’un air interrogateur, j’étais rouge de confusion; il souriait attendant mes explications. Il n’avait pas arrêté le film et maintenant l’un des gars enculait son compère. Voyant que mon père attendait toujours une explication, je me lançais:

— J’ai trouvé cette cassette en rageant TA bibliothèque! Je l’ai trouvée super! J’ai invité un copain à venir la visionner cet après-midi...

— Ah bon... et il a aimé?

— Oh oui beaucoup!

— Et qu’avez-vous fait en la visionnant?

— Comme sur la vidéo!

— Vous vous êtes sucés et enculés?

— Oh oui! Plusieurs fois même!

— Tu aimes ça?

— J’adore! Mon copain aimerait revenir!

Nous étions assis côte à côte, mon regard allait de l’écran télé où les deux gars continuaient leurs ébats au jogging de papa déformé par sa queue raide. Je bandais aussi, mon jogging de la même manière ne cachait pas grand chose de mon érection. Papa avait glissé sa main dans son pantalon, il se triturait la bite doucement. Je savais que les jeux homos ne le dérangeaient pas, compte tenu du nombre de cassettes vidéo qu’il avait sur le sujet.

J’avais moi aussi glissé une main dans mon jogging pour me branler lentement, papa l’avait vu. Il se rapprocha de moi, glissant sa main sur ma queue au travers du tissu. Je le laissais faire. Il descendit l’élastique de mon pantalon, je me contorsionnais pour l’aider, dans le même temps il avait dégagé sa pine. Puis il de penchait pour enfourner ma queue, il me suçait en douceur. J’étais heureux d’avoir oublié la cassette dans le magnétoscope.

Rapidement nous nous sommes retrouvés en 69, l’un suçant l’autre et nous doigtant mutuellement le cul. Je n’étais pas du tout gêné que ce soit avec mon père que je faisais l’amour. Il me demanda si je voulais bien l’enculer. Quel bonheur pour moi de découvrir qu’il aimait ça lui aussi. Nous avons passé la nuit ensemble à nous prendre à tour de rôle, nous sucer, nous caresser, qui mieux que lui pouvait parfaire mon éducation?

Nous étions devenus totalement complices. À sa demande, mon ami avait participé à nos ébats pour le plaisir de tous les trois.

Après avoir fêté mes 18 ans, comme j’étais majeur, papa me proposa d’aller voir un film porno mais dans une salle de cinéma cette fois. C’était un samedi. Nous étions descendus au sous-sol, dans une salle aux sièges usés. La salle était juste éclairée par la lumière du film, je m’étais vite habitué à la pénombre. Papa m’avait amené au dernier rang qui était vide. Devant nous, trois autres hommes étaient assis.

Rapidement je me rendis compte que les trois mecs se branlaient mutuellement. De temps en temps, celui du milieu se penchait vers un de ses voisins pour le sucer, ceux-ci lui rendaient alternativement la pareille. Papa avait sorti sa bite puis la mienne. Le premier, il me suça avant d’attirer ma tête vers sa queue. Ni l’un ni l’autre ne voulions jouir trop vite. Au bout d’un moment, un homme vint s’asseoir à côté de moi. Visiblement un très grand gaillard, je constatais qu’il était black. Il avait sorti sa bite pour se branler, je ne la voyais pas, l’éclairage était trop faible. Le gaillard ayant vu que j’échangeais des caresses avec mon autre voisin, lançait une main vers ma queue, puis il se penchait pour me sucer. C’était bon et être sucé par un inconnu m’excitait plus encore! Papa se penchait à mon oreille pour me demander de branler mon nouveau voisin moi aussi; je ne me fis pas prier.

Ouawhh! quelle bite! Un mandrin très long et d’une grosseur que je n’imaginais pas, mes doigts faisaient difficilement le tour. De la caresser, j’en avais des frissons partout, ça me picotait le ventre, quelle sensation! Je me penchais pour la sucer, j’avais du mal à la saisir entre mes lèvres. Je voulais partager ça avec papa. Je me levais et je demandais au gars de venir à ma place entre nous deux. L’exclamation de mon père en touchant ce mandrin ne me surprenait pas, il se penchait à son tour. Il réussit lui à prendre le gland dans sa bouche, moi je me contentais de masser la tige. C’était géant de triturer ces énormes couilles surmontées d’un pareil engin. Passif, le black nous laissait faire. Malgré la pénombre, j’avais vu papa fouiller dans une de ses poches puis il jouait avec son cul; il devait se lubrifier le cul avec de la crème qu’il avait prise avant notre départ de la maison. Il n’allait quand même pas s’enfiler cet engin?

Papa s’était mis debout, il vint placer son anus sur le nœud énorme, et poussait lentement, soupirant sous l’effort. Il était descendu de quelques centimètres poussant toujours, j’imaginais cet engin le dilatant à l’extrême. À force de patience, il réussit à s’asseoir sur les genoux du black, l’engin était totalement planté en lui il resta quelques instants sans bouger. J’en profitais pour sucer la bite de mon père, Puis doucement, il se mit à entamer une cavalcade qui accéléra très vite. J’imaginais ce truc qui devait le fouiller jusqu’au fond de lui, lui remonter l’estomac. Cette idée me procurait des frissons agréables. J’avais repris la bite de papa en bouche et calquais mon rythme sur le sien. Quand le black l’agrippa aux hanches pour jouir, je sentis les palpitations de la bite de mon père, il allait jouir lui aussi. Un flot de sperme me claqua le palais, j’avalais tout, il ne bougeait plus. J’avais l’impression de sentir les giclées de son partenaire dans son cul.

Le black s’était essuyé après avoir libéré le cul de papa, puis il est sorti. Nous étions de nouveau côte à côte, il me glissa à l’oreille: "C’était géant!" Pour que je ne reste pas sur ma faim, il me suça, se régalant de mon foutre. Rentrés à la maison, je tartinais le cul de mon père de crème adoucissante car visiblement la pénétration le cuiusait encore.

Quelques jours plus tard en semaine, en début de l’après-midi, je retournais seul au cinéma porno, c’était presque désert. Je m’installais à nouveau au dernier rang. J’avais sorti ma pine et me caressais, espérant l’arrivée d’un voisin. L’attente ne fut pas trop longue, un gars vint s’asseoir près de moi, il semblait avoir une quarantaine d’année, bien habillé.

Aussitôt assis, il sortit sa bite déjà raide pour se branler et sans manière, il posa sa main sur ma queue, attirant la mienne sur la sienne. Il se pencha pour me sucer, puis se redressant, m’attrapait par la nuque avec autorité pour que je le suce à mon tour. Cela faisait un moment que nous alternions les rôles sans avoir vu ne bribe du film, médiocre au demeurant. Le souvenir de papa assis sur la bite du black me revint à l’esprit. Je me levais pour aller de moi-même m’asseoir sur la bite du mec, m'empalant seul sur sa tige. Ravi, les mains plaquées à mes hanches, il rythmait mes allées et venues. Bien qu’il se soit avancé sur son siège, la position lui semblait inconfortable. À l’oreille, il me demandait de me mettre à genoux entre les fauteuils. Il s’était mis lui aussi à genoux, m’enculant en levrette. C’était bien plus agréable pour tous les deux. Le gars prenait son temps, il m’enfilait par à-coups, se dégageant presque totalement pour s’enfoncer en moi jusqu’aux couilles. Mon partenaire s’était penché et me murmurait à l’oreille: "Tu es une vraie petite salope! Une vraie vicieuse! Tu aimes ça, dit le petit vicieux! Quelle chienne tu fais! Une vraie femelle! Que tu es bonne!" Il alternait compliments et insultes.

Deux hommes s’étaient installés sur la rangée de sièges devant nous et mataient en se branlant. J’adorais cette situation, la façon dont j’étais pris, mais aussi les odeurs particulières qui flottaient ici. Celles de la sueur mélangée à celle des relents de foutre. Le gars avait accéléré, me serrant plus fort aux hanches. Il me pistonnait maintenant à une cadence bien plus rapide. Je me régalais de cette queue qui me fouillait les entrailles. Que c’était bon! Soudain il se cabra, restant plaqué à mon cul. Je sentais les palpitations de sa pine qui lâchait son foutre, il déchargeait en moi. Nous nous étions redressés pour nous rasseoir, il me caressait la tête, les joues, le ventre. Se penchant vers moi, il me glissait à l’oreille: "J’habite tout près d’ici, si ça te dit de venir jusqu'à chez moi! Tu es une vraie chienne, je veux te faire connaître d’autres plaisirs que tu ne connais peut-être pas!" La curiosité autant que mon envie de continuer avec ce nouveau partenaire qui m’avait si bien enculé m’ont poussées à le suivre.

Il habitait une appartement confortable à trois pâtés de maisons du cinéma. Il ouvrait la porte en parlant à voix haute, me fit entrer. Débarrassés de nos manteaux, de nos vestes, il me fit asseoir dans une canapé. Il avait servi des rafraîchissements, me disant: "Déshabille-toi, mets-toi à l’aise." Lui-même était allé se mettre en robe de chambre, il était visiblement nu dessous. J’étais resté en slip et en tee-shirt, il m’enlevait rapidement le slip. Nous nous caressions mutuellement, nous embrassant goulûment.

Paul, c’était son nom, lança un bref coup de sifflet. Par une porte entrebaîllée, je vis arriver un berger allemand. Il s’approchait de mon ami, vint directement renifler entre ses jambes et se mit à lui lécher la pine déjà raide. "Je te présente Wolf." Le bout rouge de la bite du chien émergeait de son fourreau. Surpris par le spectacle, j’observais. Puis Paul se plaçait à quatre pattes, ramenant sa robe de chambre sur ses reins. L’animal vint lui gratifier le cul de larges coups de langue dont mon ami vantait les bienfaits.

Le chien s’était arrêté de lécher, se dressant sur ses pattes arrières. Il montait sur son dos, visiblement habitué à cette pratique, s’agrippant aux hanches. Paul avait attrapé le fourreau de la pine, il plaçait le bout rouge qui avait pris du volume contre son petit trou. Wolf d’un coup sec l’empalait et se mit à limer à une cadence infernale. Je voyais sa bite enfoncée jusqu’aux couilles prendre du volume. L’homme et la bête étaient magistralement accouplés. Quel spectacle, je ne pouvais que me branler, la situation ne m’avait pas choqué, seulement excité.

Wolf s’était arrêté, haletant, il ne bougeait plus, essayant de se retirer avec un peu de difficulté. Puis du cul dilaté, je vis sortir lentement une énorme boule. Quand elle se dégagea, la pine sortit d’un coup, libérant un flot de foutre qui inondait le sol en laissant des traînée sur les cuisses de mon nouvel ami. Le chien était venu nettoyer le cul et les cuisses de Paul à grands coups de langue. Ce dernier, l’air ravi, me dit: "Si ça te dit d’essayer? Une chienne comme toi devrait aimer! C’est géant! Mais il va falloir attendre un moment que Wolf récupère!"

À grands coups de langue, le chien recroquevillé en demi cercle faisait rentrer sa bite dans son fourreau. Pendant ce temps, Paul s’était essuyé et m’avait rejoint sur le canapé. Il me caressait partout, puis comme s’il craignait que je refuse l’expérience, il me disait: "Tu vas voir comme c’est bon! Tu vas te sentir chienne, totalement femelle! Une salope comme toi devrait se régaler!" Dans ma tête, j’avais l’envie folle de le faire, de m’accoupler avec l’animal. J’étais vraiment décidé à essayer.

Sous les directives de Paul, je m’étais installé à quatre pattes. Wolf avait compris, il me gratifiait à mon tour de grands coups de sa langue râpeuse. Elle me procurait déjà un plaisir formidable. Puis il s’emparait de mes hanches entre ses pattes avant. Mon ami guidait sa pine pointue dans mon anus, elle pénétra d’un coup sec avant que commence le rythme infernal de la saillie. L’idée d’être ainsi embroché par un animal provoquait en moi une confusion d’idée. C’était d’une perversité totale, je n’étais plus qu’une femelle, une chienne en chaleur, j’allais être son "vide-couilles". Wolf me pilonnait à coups de reins rapides, sans état d’âme évidemment. Je sentais son sexe qui enflait en moi, sa boule dilatait mon anus. Ses poils frottaient sur mes fesses et son ventre chaud contre mon cul: c’était génial. Il lâchait ses giclées de sperme par saccades incessantes, je sentais palpiter son membre à chacunes d’elles. J’étais fou, j’étais dingue, mais que j’étais bien! L’excitation du chien était communicative.

Paul s’était allongé sous moi. Il me suçait, essayant de suivre la cadence du chien. Comment résister à ces traitement. J’explosais dans un long râle de plaisir, j’avais la sensation de me vider totalement, je jouissais de manière inhabituelle. Un explosion d’étoiles m’embuait la tête. Je n’aurais jamais imaginé un tel plaisir. Wolf s’était arrêté il cherchait à se dégager. Moins habitué que Paul à de tels calibres, le nœud était plus long à sortir. Mais quelle sensation quand il se libéra dans un bruit de sucion étonnant. Je sentais le liquide poisseux qui dégoulinait sur mes cuisses, puis une langue très douce bien que râpeuse, vint calmer le feu de mon anus. Wolf me nettoyait consciencieusement le cul et les jambes avant de se lécher lui-même.

Nous étions de nouveau assis dans le canapé sirotant un rafraîchissement bienvenu. Je remerciais Paul de m’avoir fait découvrir ce nouveau plaisir. Ile me remerciait lui aussi, me donnant son numéro de téléphone pour revenir quand il me plairait. Je lui expliquai la relation intime que j’avais avec papa. Du coup, il me proposa de lui parler de Wolf et si ça lui tentait de faire l’expérience aussi.

Papa avait entendu parler de ces plaisirs mais n’avait jamais eu l’occasion de les découvrir en réel; il voulait rapidement essayer aussi. Son plaisir fut aussi grand que le mien. Je ne fus donc pas surpris de le voir arriver un jour avec un gros chien qu’il venait d’acquérir à la SPA, âgé d'un an. Il serait facile à "former" et vite opérationnel.

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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 01:05

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Je suis l’amant d’une jolie brune aux gros nichons. J’adore la bourrer chaque soir. En surfant sur le Net, j’ai découvert la bisexualité virtuelle. J’ai commencé à bander en matant des bites... surtout des grosses. J’ai répondu à l’annonce d’un type qui m’a expliqué que si j’étais bisexuel comme lui, on pourrait se rencontrer et apprendre...

Je l’ai contacté hier pour lui dire que j’étais prêt à le rencontrer et que je devais passer quelques jours à Paris. Le soir convenu, je me suis rendu chez lui. J’étais fébrile.

— Entre! Avance par là!

Dans le living, je découvris deux hommes nus assis sur le canapé. Je fus surpris et il remarqua mon mouvement de panique.

— T’es un mec ou une lopette? me demanda-t-il.

— Il n’était pas question de faire ça à quatre.

— Nous n’allons pas faire ça à quatre mais à six. J’attends encore deux personnes.

— Tu es carrément malade!

Un pas vers l’avant, trois vers l’arrière. Je veux savoir si je suis «bi» mais j’ai la trouille de savoir. C’est ça ton problème!

— Bon, je me tire!

J’ai voulu quitter le living et il s’est interposé.

— Plus moyen de reculer! Fous-toi à poil!

— Pas question!

Ceinturé, immobilisé, je me suis senti dépouiller de tous mes vêtements. J’ai un peu gueulé mais j’ai fini par me résoudre à cette situation excitante. Une fois nu, mon mentor m’obligea à montrer mon cul à ces messieurs.

— Joli petit cul!

— Et vierge en plus!

— On va se régaler...

Le type de l’annonce s’approcha de moi et il mit sa main gauche derrière ma nuque.

— Donne tes lèvres à ton Maître!

Il plaqua ses lèvres contre les miennes et m’embrassa vigoureusement. C’était mon premier baiser avec un mec. Tout en me roulant cette pelle baveuse, il laissait courir ses mains vicieuses sur mon corps. Je m’abandonnais à ses caresses. Il me pinça un téton d’une main et palpa mes fesses avec son autre main. Je me mis à bander.

— 80% des mecs ne résistent pas à une excitation des tétons! Bienvenue au club, mec!

Un des autres mecs me cria:

— Viens me sucer!

M’agenouillant, je saisis son pénis et le mis maladroitement dans ma bouche sous les insultes des deux autres. Je suçais très mal et le type me le fit comprendre en me balançant une claque.

— Tu ne pourrais pas t’appliquer un peu plus? Si ta bonne femme te suce ainsi, y’a de quoi te flinguer!

Je tentais d’améliorer mon travail mais je n’étais visiblement pas très performant car le type que je suçais me saisit la tête à pleines mains et il m’imprima de vigoureux mouvements.

— Ça c’est du rythme!

Il pilonna ma bouche en envoyant son sexe cogner au fond de ma gorge. J’ai essayé de garder ce rythme.

— Bon! Voilà qui est beaucoup mieux. On va peut-être arriver à faire quelque chose de toi!

Quelques instant plus tard, toujours occupé à pomper, je sentis que des mains écartaient mes fesses et un liquide froid coula sur mon anus. Ma réaction fut vive. Je me mis à serrer les cuisses. Les deux autres mecs me les écartèrent avec force.

— Putain, tu ne vas pas recommencer! T’es ici pour apprendre alors laisse-toi faire. T’as bien compris?

La claque me calma.

— Pas sans capote! ai-je supplié.

— Tu la prendras comme on veut que tu la prennes, salope! On ne met pas de gants avec les truies de ton espèce...

Nouvelle baffe. Je sentis tout de suite un sexe appuyer sur ma rondelle très serrée.

Le type que je suçais m’obligea à avaler sa queue jusqu’à la glotte, m’étouffant presque. Derrière, l’énorme bite dilatait mon anus et commençait à me pénétrer. Je pleurais de douleur mais aucun son ne sortit de ma bouche bien remplie. J’esquissais un regard vers l’arrière. C’était le métis qui m’enculait. Il avait une bite énorme. Il progressa doucement et plus le temps passait plus la douleur s’atténuait.

— Là, je suis à fond! grogna-t-il.

Il se mit à donner des coups de bassin. Je fermais les yeux, ballotté sous les coups de l’avant et de l’arrière. Au bout d’un moment, un certain plaisir me gagna. Je m’abandonnais à mes violeurs qui disposaient de mes deux trous vierges. Le type qui me baisait la gueule m’envoya ses saccades de sperme dans la gorge. Je voulais me dégager mais il hurla:

— Avale tout, petite salope. Ne fais pas ta mijaurée! On ne gaspille pas du bon jus de couilles... Gobe!

Un peu paniqué, j’avalais tout consciencieusement.

La sonnette retentit et l’hôte alla ouvrir. Un superbe black entra.

— Déjà au boulot, je vois!

— On t’attendait Marcus... Max l’a un peu assoupli du fion mais c’est toi qui nous le calibrer.

Avec le black, il y avait un cinquième mec tatoué, qui prit sa place dans ma bouche sans tarder.

— Elle est comment la pute?

— Elle se rebiffe! Alors on la baffe un peu pour lui faire comprendre qu’ici on ne discute pas les ordres.

Le tatoué me cracha à la figure. Sa queue de grande dimension me força à ouvrir la bouche plus largement.

— On va bien te dresser, ma salope! me lança-t-il avec un nouveau mollard.

J’étais comme un pantin manipulé de toutes parts. Ça s’agitait derrière moi et je sentis la queue du black forcer mon anus encore très serré. Des mains puissantes me tenaient fortement par les hanches et la queue du black frottait ma rondelle. Mon anus à peine dilaté laissa difficilement passer l’engin XXL.

— Alors, c’est bon? On découvre la sensation d’être une pute à jus?

— Oh Gilles, comment lui parles-tu là? Ce monsieur voulait découvrir s’il était «bi»... et toi tu lui parles de «pute»!

— On s’est trompé alors! Tant pis, on va assumer et aller jusqu’au bout. Qu’est-ce qu’on peut lui offrir comme compensation?

— Cinq bonnes doses dans ses deux trous.

Le langage cru et vicelard me mettait dans un état second, à tel point que je ressentit du plaisir à me faire limer. Je compris que j’étais peut-être fait pour être passif. Le black accéléra sa baise et pilonna mon cul. La jouissance me transporta au septième ciel. Par derrière, on me plaça un bandeau sur les yeux. Je me retrouvais donc dans le noir.

— Ça va pimenter la situation, mon chéri! me dit un des mecs.

On me retourna comme une crêpe. Sitôt fait, mes deux trous furent réinvestis. Je ne savais plus qui était dans ma bouche. Dans mon cul, je reconnaissais le sexe épais du black. J’ai à nouveau senti mon anus se dilater comme s’il allait exploser. Le plaisir ne tarda pas à suivre. Le temps passa doucement. Je subissais. Je prenais du plaisir en alternance. J’étais la chose de ces cinq mâles en rut. J’étais à leur entière disposition.

On m’obligea à respirer un produit qui accéléra mes pulsations cardiaques. Je me suis retrouvé dans un état euphorique. Je ne sais dire combien de temps cela dura mais j’ai compté quinze éjaculations: sept dans ma bouche et huit dans mon cul. Ce dernier me faisait horriblement mal et en y passant la main je sentis l’épais mélange des jus mélangés. Je me souviens de leurs dernières paroles:

— T’as aimé te faire doser par des vrais mâles? Hein, t’as aimé, sale pute? Parce que t’as plus à te poser la question... T’es pas un mec, t’es pas un «bi», t’es une fiote...

— Oui, une pute juste bonne à se faire doser à la chaîne! Là, t’es bien calibré et la prochaine fois on pourra passer à la vitesse supérieure... Vingt mecs! On va te trouver de bons bourrins bien membrés et bien excités... T’en connais plein, hein, Max!

— Tu rigoles, je ne connais que ça! Sur les chantiers où je bosse, y’a que des vicelards aux couilles gorgées de foutre bouillant. Du bon jus pour les fions de salopes...

Quand je me suis réveillé au petit matin, j’étais à poil dans un terrain vague et mes vêtements étaient en boule à côté de moi. Mes chaussures avaient disparu et mon slip était déchiré. Dessus il était écrit: «Une salope a le cul nu».

Le message était passé. La prochaine fois, si je ne voulais pas morfler, j’avais intérêt à me passer de sous-vêtements.

À suivre...

 

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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 17:14

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Depuis cette première séance de dosage avec Maître Kurt, je suis dans un état pas croyable. À la fois très excité par l’expérience qui m’a donné du plaisir et paniqué pour avoir accepté de pratiquer le sexe à risques!

Maître Kurt m’a contacté dès le lendemain. Il m’assure que ma santé n’est pas en danger car il est certain de ses «clients». Je ne suis nullement rassuré et pourtant je sais déjà que je vais accepter son prochain plan. Ce second plan aura lieu chez lui mais il y sera seul.

Me voilà donc devant sa porte à enlever les rares vêtements qu’il m’a autorisé à porter pour me rendre chez lui. Nu, je sonne et me mets à genoux.

La séance va durer trois heures et sera plus éprouvante que la première. C’est dans la douleur qu’il me fait évoluer vers mon état de lope. Je subis de nombreux outrages et tortures mais j’arrive à passer le test.

Je passe plus d’une heure attaché dans une position inconfortable à suer comme un bœuf. Il me pisse à la gueule et me verse de la cire brûlante sur les parties les plus sensibles de mon corps endolori. Des pinces et des poids sont suspendus à mes tétines maltraitées et étirées. Je vogue entre douleur et plaisir. Il me rend accro à ses coups de bite. Je l’implore de m’enculer et il fait durer l’attente. Le remplissage de mes trous devient pour moi une drogue, un besoin impérieux. Je dois mériter l’honneur d’être baiser par sa bite de Maître. Ma chatte n’est pas son seul souci. Il me fait comprendre que des lopes comme moi, il en a plusieurs. Il est près de minuit lorsque je m’effondre sur la moquette et que je lèche mon sperme sur ses boots. J’ai le goût âcre du jus et du cuir sur la langue. Il caresse ma croupe. Je le sens fier de moi.

— Monte sur le lit! dit-il avant de quitter la chambre.

J’attends. Il ne revient pas. Je n’ose bouger. Je m’endors sur son lit et c’est pelotonné dans ses bras puissants que je m’éveille au milieu de la nuit. Je me sens comme une femelle dans les bras de son mâle dominant. J’ai l’impression de rêver mais non, Kurt me sourit amicalement, presque amoureusement.

— Je sais aussi être tendre et récompenser les mérites de mes lopes.

Il m’embrasse avec passion et je réponds à son baiser. Je bande. Il me fait rouler sur le dos, me demande de me détendre et glisse un coussin sous mes reins. Il me relève les jambes sur ses épaules. Mon cul ainsi offert, il n’a aucun mal à me pénétrer. Ce qui est génial c’est qu’ainsi je le vois entrer en moi et me pilonner comme une pute. Ses injures me comblent et avec sa permission je me masturbe doucement.

— Tu ne jouis qu’avec ma permission!

Pendant ma saillie, je lui trouve l’air heureux. Je le suis moi aussi de le voir pendant qu’il me prend.

— Je te bourre bien, hein, ma salope?

— Oui, Maître! Votre queue est bonne. J’aime la sentir me limer.

Soudain il se raidit.

— Pute! Chienne! Sale garce!

Son visage se crispe et je sens les saccades de son sperme m’envahir. Épuisé, il s’écroule sur moi. Quand je suis parti, Kurt m’a embrassé délicatement.

— Ta prochaine séance sera en extérieur. Tu seras moins considéré qu’une chienne. À toi de voir si tu veux continuer.

Il n’y a plus de contrainte mais j’ai envie de le revoir et de revivre des moments intenses avec lui et ses amis.

Je dois retourner à Paris dans 15 jours. Je ne sais pas encore si je dois, ou si je vais en profiter pour revoir Marc.

 

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Lundi 19 novembre 1 19 /11 /Nov 13:38

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À l’occasion du mariage de mon meilleur ami, j’avais organisé une soirée sympa pour son enterrement de vie de garçon. Nous avons 22 ans tous les deux et nous sommes très proches depuis notre tendre enfance. Matt est un hétéro macho mais notre amitié est si forte que même lorsqu’il a appris que j’étais homo il ne m’a pas tourné le dos.

La fête avait été organisée chez moi et j’avais invité quelques amis et parents. Nous étions une douzaine de mecs prêts à nous éclater en cette belle soirée de mai. La soirée commença doucement. Conversations autour d’un «pot» et de quelques «amuse-bouche», musique sympa et dansante... Tout se passait à merveille!

Inévitablement, lorsque l’alcool nous désinhiba et lorsque la fatigue opéra, la conversation dérapa sur un thème de mecs: le cul. Chacun y allait de son histoire excitante pour faire monter son ego. De petites histoires en histoires cochonnes, les derniers récits étaient nettement graveleux. Comme j’étais resté plus ou moins sobre, j’écoutais avec intérêt et je me faisais une petite idée de ce que chacun des mecs appréciait en matière de sexe. Je trouvais ça très intéressant!

— Finalement, tu es peinard, toi, Michel!

— Pourquoi?

— Pas de problèmes avec les nanas...

— Ce qui ne veut pas dire que je n’ai pas de problèmes du tout! Les mecs sont aussi parfois compliqués!

— Au fait, en baise, tu fais la femme ou l'homme?

J’ai souri.

— Ça intrigue toujours les hétéros ce genre de trucs, hein?

— On ne veut pas mourir idiots!

— Moi, je suis passif. Mais il y a des tas d’homos qui sont les deux: actifs et passifs. Ils ont autant de plaisir à se faire enculer qu’à enculer.

— Toi, c’est uniquement passif?

— Oui.

— Donc, on a aucune crainte avec toi... Tu ne risques pas de nous surprendre par derrière?

Le mec se mit à rire. Mon ami Matt s’énerva un peu.

— T’es vraiment trop con, Ludovic!

— Je sais mais j’ai été fabriqué ainsi!

Le père de Matt qui était de la soirée embraya sur le sujet.

— Et bien, à 50 ans, moi, je n’ai jamais vu deux mecs baiser ensemble... Je veux dire dans un film!

— Mais Michel en a sûrement des films comme ça... pour meubler ses longues soirées d’hiver! Non?

— J’en ai quelques-uns, oui!

— Tu pourrais combler un vide chez le père du marié!

Re-rires.

— Je ne suis pas certain que ce genre de films soit du goût de tous!

— Évidemment, un film de tapettes c’est sûrement rasoir!

— Eh petit con, j’aime les mecs... les vrais...

— Oui, et il les aime musclés et poilus! ajouta Matt.

— Tu es au courant de ça, toi, Matt?

— À ton avis? Michel est mon ami depuis plus de quinze ans... On n’a pas tellement de secrets l’un pour l’autre!

— Et vous avez...?

Là, j’étais exaspéré de tant d’ignorance.

— Ludovic, être ami d’enfance ça n’a pas de sens pour toi? Avec Matt, on s’est confié des tas de trucs sans pour autant les partager... physiquement.

— Mais si j’avais aimé les mecs, je pense que Michel aurait pu être mon mec. Il est génial comme ami... il l’est certainement comme amant...

Il m’avait scié, Matt.

— Bon, ce n’est pas tout mais, nous, on a entendu parler d’un film de cul entre mecs et on voudrait voir.

— Allez, Michel, on va se marrer!

— Moi, je ne regarde pas ça pour me marrer, les gars!

— Il dit n’importe quoi, cet abruti! On veut en voir un parce que... parce que ça existe et que...

— Cherche pas trop d’excuses, Étienne! lança Matt. Finalement, le cul même entre mecs ça excite les hétéros! Allez, Michel, vas-y... Mets leur un de tes films!

— Bien!

J’ai ouvert un meuble ou j’en avais une bonne vingtaine bien alignés. J’ai choisi un excellent film de la maison de production Titan et je l’ai glissé dans le lecteur DVD. Dès le générique, j’ai senti monter l’excitation.

— «Tresspass»! C’est un film de cul, ça? On dirait un western!

— Ferme-la, Ludo! cria Matt. Regarde et ferme-la.

Je me suis installé sur le côté et je les ai un peu tenus à l’œil. Ils s’étaient tous calés dans les canapé et fauteuils du living. Bien entendu, le début fut assez laborieux: boutades, sifflements, rires gras, provocation... Certains montraient à quel point ils étaient mal à l’aise. Moi, je rigolais intérieurement car je savais que nombre d’entre eux étaient bien excités. J’en voyais même qui bandaient ferme.

À la deuxième scène, tout changea. Constatant que les acteurs étaient de vrais mâles baraqués, super bien montés et très actifs, les spectateurs se calmèrent. Enfin, il la fermèrent. Je voyais que tous les yeux étaient rivés sur l’écran.

— Bordel, quelle scène! lança Matt tout excité.

— Je verrais ces gars dans la rue, j’imaginerais pas qu’ils...

— Ta gueule!

— En plus, ils ont l’air de vraiment prendre leur pied!

— Qu’est-ce que tu croyais? Qu’ils faisaient semblant?

Le frère de Matt – que j’ai toujours soupçonné d’en pincer pour moi – commençait à se toucher à travers son short.

— Putain! Cette connerie de film va finir par me fait bander.

— Finir!? Tu rigoles! Tu bandes depuis dix minutes! que je lui ai dit.

— Merde! Mais il me mate, ce cochon!

— Je vous mate tous et je rigole à mon tour.

Ils se regardèrent tous. Les visages étaient rouges et les braguettes gonflées. Le rire recommença... pour détendre l’atmosphère.

— Eh, les mecs, une bonne branlette entre mâles ça fait de mal à personne.

— Cédric a raison! ajouta Matt enhardi.

La plupart avaient déjà sorti leur queue et se caressaient en continuant de regarder le film. À la troisième scène – assez chaude, je l’avoue – les bites étaient dressées et dures. Moi, je flottais dans l’irréalité du moment. Je matais autour de moi pendant qu’ils mataient le film.

— Michel, tu ne nous accompagnes pas? demanda Ludovic d’un air intéressé.

— Tu veux voir une vraie bite de pédé c’est ça? ai-je répondu.

— Eu, non, je... je voulais simplement...

Il s’est tut.

Brisant un long moment de silence, le père du futur marié lança:

— C’est assez original comme enterrement de vie de garçon! Moi, j’ai toujours considéré que c’était la dernière fois qu’il était permis de braver des interdits. Mon fils, avant ton mariage, tu devrais baiser avec un mec! Essayer pour être certain de ne pas avoir raté quelque chose d’extraordinaire...

— Papa!

— Ton père a raison! continua Louis.

— J’aurais dû commander un gogo-boy! ai-je dit d’un air ironique.

— Pourquoi? Tu es là, toi!

— Eh! mais...

— Michel, ose dire que tu n’y a jamais pensé?

— Vous êtes fous!

— Non. Réalistes! Juste réalistes!

— J’y ai pensé... une ou deux fois mais...

— Moi aussi, j’y ai pensé! a clôturé Matt. Mais notre amitié était trop belle pour risquer de... Putain! Qu’est-ce que vous me faites dire!

Tout le monde nous regardait fixement, Matt et moi... comme si la suite dépendait de nous... Et elle dépendait effectivement de nous.

Matt s’avança vers moi et me prit la main. Il l’embrassa avant de la diriger vers son bas-ventre. Là, il la pressa contre sa bite bien dure. Bon sang quel morceau!

— C’est de ça que tu rêvais? me demanda-t-il.

— Il rêve de plus, Matt! Il la veut à un endroit bien précis.

— Ta gueule, Ludovic! ai-je vomi d’un air mauvais.

Ludovic ne l’ouvrit plus une seule fois. Mes doigts ont commencé à jouer sur le relief de la bite et j’ai regardé Matt droit dans les yeux.

— Et toi, c’est de ça que tu rêvais?

— Je peux te dire que c’est plus qu’agréable.

— Attends de voir ce que je peux faire avec ma bouche.

J’ai senti un frisson sur tous les occupants de la pièce.

— Vous savez ce qu’on dit... rien ne vaut une pipe de pédé, les femmes ne leur arrivent pas à la cheville...

— Putain, Michel, je n’aurais jamais pu ima...

J’ai mis un doigt sur ses lèvres pour l’obliger à se taire.

— Vas-y, Michel, sors-la et branle-la! a dit le père de Matt.

J’ai tiré l’engin de Matt à l’extérieur et je me suis mis à le branler doucement. Il gémissait doucement en fermant les yeux.

— Ne ferme pas les yeux, Matt! Ne les ferme pas où j’arrête...

— Excuse-moi... Je ne les fermais pas pour ne pas te regarder mais parce que c’est trop bon.

— Alors? demanda le père.

— Oh, papa, je peux te dire qu’il sait y faire!

— On peut participer? a demandé Cédric.

— Michel? m’a demandé Matt.

— Pourquoi pas! C’est la fête pour tout le monde.

Cédric et le frère de Matt s'approchèrent de nous... Ils me caressèrent les fesses et le dos à travers mes vêtements. Je sentais leurs respirations dans ma nuque.

— Enlevez ses vêtements! dit Matt.

Ils enlevèrent ma chemise, mon pantalon puis mon slip. Alors que j’aspirais la queue raide de mon pote, je sentais une dizaine de mains s’activer sur mon corps. C’était divin comme sensation. Le frère de Matt se mit à me sucer et il s’y prenait bien l’enfoiré. Ça n’était pas sa première pipe. Le père de Matt, lui, nous regardait en se branlant. De temps en temps, il y allait d’un commentaire ou d’un ordre bien viril. J’étais le seul à être complètement nu et j’avais le cul bien cambré.

— Putain! dit Cédric. Ce cul est superbe. Regardez au milieu... on dirait presque la chatte d’une nana. Je parie que c’est même plus serré...

Moi, je suçais Matt avec passion tout en dodelinant du cul pour bien les exciter.

— Qu’est-ce qu’on fait là? dit Cédric.

J’ai lâché la bite de Matt pour répondre.

— C’est ça qui différencie les pédés des hétéros. Nous on n’hésite pas, on sait directement ce qu’on doit faire... Y’a jamais de temps mort.

Les avais-je vexés? Toujours est-il qu’ils se sont déchaînés dans la minute qui suivit. Les vêtements ont volé dans tous les coins et ils se sont rués dans la «bataille» des corps. Ludo et Louis me caressaient le cul. Je sentais un puis deux doigts tenter une entrée dans mon intimité.

— Allez-y!

Le frère de Matt les poussa.

— Vous allez le rendre dingue à poireauter comme ça!

Il m'écarta les fesses, cracha sur la rondelle et poussa sa bite recouverte d’une capote.

— Ça c’est un vrai mec! ai-je lancé. Baise-moi bien, mec! Vas-y à fond. Je suis bien profond! Profite de toute la longueur...

Matt encouragea son frère à bien me limer.

— Je serai le suivant, frérot! Prépare-moi bien le terrain!

En réalité, il fut le troisième car son père se leva et vira ses frusques.

— Ça fait des années que je n’ai pas été aussi excité que ça! Bouge-toi, fiston, j’ai envie d’essayer moi-aussi.

Il m'enfila d'un coup. Il me fit un peu mal car sa queue était de bonne taille. Matt me retint la tête sur sa bite.

— Pompe, Michel, et ne pense pas trop! Ça va passer!

Ce que j’ai bien essayé de faire mais en vain. À chaque coup de reins, j’étais torturé.

— Oh putain! putain de bordel de... Matt, je suis coupé en deux! La bite de ton père est si épaisse et si longue qu’elle me scie...

Les autres s'était mis de chaque coté de notre trio. Je voyais leur bite dressées qui attendaient leur tour. C’était devenu un abattage.

— On dira ce que l’on veut, un cul de mec c’est le paradis! dit le père qui m’enculait moins sauvagement. Tu t’habitues, Michel?

— Oui, m’sieur! ça va mieux... Votre femme a du mérite!

— Et nous? demanda Cédric, un peu frustré.

— Laisse-moi encore un moment et puis tu auras la place.

— Vous pourriez demander à Michel, tout de même! continua Matt.

— Le suivant ce sera le marié! ai-je tranché.

Le père se retira et Matt prit place derrière moi. J’avais envie de lui depuis si longtemps. Contrairement à son père, il ne m'empala pas d'un trait... Il gagna centimètre par centimètre les profondeurs de mon conduit anal, jouant délicatement du bassin. Lorsque je fus bien rempli, il me laissa m’habituer à son calibre avant de le faire coulisser. Ce qu’il m’offrit fut géant! Je me suis même demandé si cette fête n’avait pas été plus belle pour moi que pour lui. Je sus plus tard que non.

C'est ainsi que je m'offris toute la nuit à un groupe d’amis hétéros pour leur permettre de goûter à des plaisirs qu’ils croyaient interdits et malsains. Certains eurent une vraie révélation et me remplirent plusieurs fois dans la soirée...

Nous n’avons jamais reparlé de cette nuit entre nous... sauf Matt... S’il s’est marié le lendemain, il est également devenu mon amant occasionnel. Lorsqu’il revient dans notre village, il fait un saut chez moi... pour me «sauter»... Il fait si bien ce genre de sport, mon Matt...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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