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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 22:25

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Depuis le décès de maman il y a sept ans, je vivais avec papa. Nous étions heureux ensemble, bien que l’absence de ma mère nous pesait à tous les deux. J’avais 21 ans, je poursuivais mes études à l’université voisine, papa était cadre dans une entreprise de la ville. Nous partagions les différentes tâches ménagères, mais aussi certains plaisirs.

L’année de mes seize ans, nous avions dîné en tête-à-tête, la vaisselle faite et rangée, nous nous étions installés devant la télé, nous regardions une émission qui rapidement s’avéra être sans intérêt. Papa me proposa de regarder un film qu’il avait enregistré la veille au soir. Pensant que la cassette était restée en place, il lança le magnétoscope,

Sur l’écran deux gars se suçaient avidement. Papa me regardait d’un air interrogateur, j’étais rouge de confusion; il souriait attendant mes explications. Il n’avait pas arrêté le film et maintenant l’un des gars enculait son compère. Voyant que mon père attendait toujours une explication, je me lançais:

— J’ai trouvé cette cassette en rageant TA bibliothèque! Je l’ai trouvée super! J’ai invité un copain à venir la visionner cet après-midi...

— Ah bon... et il a aimé?

— Oh oui beaucoup!

— Et qu’avez-vous fait en la visionnant?

— Comme sur la vidéo!

— Vous vous êtes sucés et enculés?

— Oh oui! Plusieurs fois même!

— Tu aimes ça?

— J’adore! Mon copain aimerait revenir!

Nous étions assis côte à côte, mon regard allait de l’écran télé où les deux gars continuaient leurs ébats au jogging de papa déformé par sa queue raide. Je bandais aussi, mon jogging de la même manière ne cachait pas grand chose de mon érection. Papa avait glissé sa main dans son pantalon, il se triturait la bite doucement. Je savais que les jeux homos ne le dérangeaient pas, compte tenu du nombre de cassettes vidéo qu’il avait sur le sujet.

J’avais moi aussi glissé une main dans mon jogging pour me branler lentement, papa l’avait vu. Il se rapprocha de moi, glissant sa main sur ma queue au travers du tissu. Je le laissais faire. Il descendit l’élastique de mon pantalon, je me contorsionnais pour l’aider, dans le même temps il avait dégagé sa pine. Puis il de penchait pour enfourner ma queue, il me suçait en douceur. J’étais heureux d’avoir oublié la cassette dans le magnétoscope.

Rapidement nous nous sommes retrouvés en 69, l’un suçant l’autre et nous doigtant mutuellement le cul. Je n’étais pas du tout gêné que ce soit avec mon père que je faisais l’amour. Il me demanda si je voulais bien l’enculer. Quel bonheur pour moi de découvrir qu’il aimait ça lui aussi. Nous avons passé la nuit ensemble à nous prendre à tour de rôle, nous sucer, nous caresser, qui mieux que lui pouvait parfaire mon éducation?

Nous étions devenus totalement complices. À sa demande, mon ami avait participé à nos ébats pour le plaisir de tous les trois.

Après avoir fêté mes 18 ans, comme j’étais majeur, papa me proposa d’aller voir un film porno mais dans une salle de cinéma cette fois. C’était un samedi. Nous étions descendus au sous-sol, dans une salle aux sièges usés. La salle était juste éclairée par la lumière du film, je m’étais vite habitué à la pénombre. Papa m’avait amené au dernier rang qui était vide. Devant nous, trois autres hommes étaient assis.

Rapidement je me rendis compte que les trois mecs se branlaient mutuellement. De temps en temps, celui du milieu se penchait vers un de ses voisins pour le sucer, ceux-ci lui rendaient alternativement la pareille. Papa avait sorti sa bite puis la mienne. Le premier, il me suça avant d’attirer ma tête vers sa queue. Ni l’un ni l’autre ne voulions jouir trop vite. Au bout d’un moment, un homme vint s’asseoir à côté de moi. Visiblement un très grand gaillard, je constatais qu’il était black. Il avait sorti sa bite pour se branler, je ne la voyais pas, l’éclairage était trop faible. Le gaillard ayant vu que j’échangeais des caresses avec mon autre voisin, lançait une main vers ma queue, puis il se penchait pour me sucer. C’était bon et être sucé par un inconnu m’excitait plus encore! Papa se penchait à mon oreille pour me demander de branler mon nouveau voisin moi aussi; je ne me fis pas prier.

Ouawhh! quelle bite! Un mandrin très long et d’une grosseur que je n’imaginais pas, mes doigts faisaient difficilement le tour. De la caresser, j’en avais des frissons partout, ça me picotait le ventre, quelle sensation! Je me penchais pour la sucer, j’avais du mal à la saisir entre mes lèvres. Je voulais partager ça avec papa. Je me levais et je demandais au gars de venir à ma place entre nous deux. L’exclamation de mon père en touchant ce mandrin ne me surprenait pas, il se penchait à son tour. Il réussit lui à prendre le gland dans sa bouche, moi je me contentais de masser la tige. C’était géant de triturer ces énormes couilles surmontées d’un pareil engin. Passif, le black nous laissait faire. Malgré la pénombre, j’avais vu papa fouiller dans une de ses poches puis il jouait avec son cul; il devait se lubrifier le cul avec de la crème qu’il avait prise avant notre départ de la maison. Il n’allait quand même pas s’enfiler cet engin?

Papa s’était mis debout, il vint placer son anus sur le nœud énorme, et poussait lentement, soupirant sous l’effort. Il était descendu de quelques centimètres poussant toujours, j’imaginais cet engin le dilatant à l’extrême. À force de patience, il réussit à s’asseoir sur les genoux du black, l’engin était totalement planté en lui il resta quelques instants sans bouger. J’en profitais pour sucer la bite de mon père, Puis doucement, il se mit à entamer une cavalcade qui accéléra très vite. J’imaginais ce truc qui devait le fouiller jusqu’au fond de lui, lui remonter l’estomac. Cette idée me procurait des frissons agréables. J’avais repris la bite de papa en bouche et calquais mon rythme sur le sien. Quand le black l’agrippa aux hanches pour jouir, je sentis les palpitations de la bite de mon père, il allait jouir lui aussi. Un flot de sperme me claqua le palais, j’avalais tout, il ne bougeait plus. J’avais l’impression de sentir les giclées de son partenaire dans son cul.

Le black s’était essuyé après avoir libéré le cul de papa, puis il est sorti. Nous étions de nouveau côte à côte, il me glissa à l’oreille: "C’était géant!" Pour que je ne reste pas sur ma faim, il me suça, se régalant de mon foutre. Rentrés à la maison, je tartinais le cul de mon père de crème adoucissante car visiblement la pénétration le cuiusait encore.

Quelques jours plus tard en semaine, en début de l’après-midi, je retournais seul au cinéma porno, c’était presque désert. Je m’installais à nouveau au dernier rang. J’avais sorti ma pine et me caressais, espérant l’arrivée d’un voisin. L’attente ne fut pas trop longue, un gars vint s’asseoir près de moi, il semblait avoir une quarantaine d’année, bien habillé.

Aussitôt assis, il sortit sa bite déjà raide pour se branler et sans manière, il posa sa main sur ma queue, attirant la mienne sur la sienne. Il se pencha pour me sucer, puis se redressant, m’attrapait par la nuque avec autorité pour que je le suce à mon tour. Cela faisait un moment que nous alternions les rôles sans avoir vu ne bribe du film, médiocre au demeurant. Le souvenir de papa assis sur la bite du black me revint à l’esprit. Je me levais pour aller de moi-même m’asseoir sur la bite du mec, m'empalant seul sur sa tige. Ravi, les mains plaquées à mes hanches, il rythmait mes allées et venues. Bien qu’il se soit avancé sur son siège, la position lui semblait inconfortable. À l’oreille, il me demandait de me mettre à genoux entre les fauteuils. Il s’était mis lui aussi à genoux, m’enculant en levrette. C’était bien plus agréable pour tous les deux. Le gars prenait son temps, il m’enfilait par à-coups, se dégageant presque totalement pour s’enfoncer en moi jusqu’aux couilles. Mon partenaire s’était penché et me murmurait à l’oreille: "Tu es une vraie petite salope! Une vraie vicieuse! Tu aimes ça, dit le petit vicieux! Quelle chienne tu fais! Une vraie femelle! Que tu es bonne!" Il alternait compliments et insultes.

Deux hommes s’étaient installés sur la rangée de sièges devant nous et mataient en se branlant. J’adorais cette situation, la façon dont j’étais pris, mais aussi les odeurs particulières qui flottaient ici. Celles de la sueur mélangée à celle des relents de foutre. Le gars avait accéléré, me serrant plus fort aux hanches. Il me pistonnait maintenant à une cadence bien plus rapide. Je me régalais de cette queue qui me fouillait les entrailles. Que c’était bon! Soudain il se cabra, restant plaqué à mon cul. Je sentais les palpitations de sa pine qui lâchait son foutre, il déchargeait en moi. Nous nous étions redressés pour nous rasseoir, il me caressait la tête, les joues, le ventre. Se penchant vers moi, il me glissait à l’oreille: "J’habite tout près d’ici, si ça te dit de venir jusqu'à chez moi! Tu es une vraie chienne, je veux te faire connaître d’autres plaisirs que tu ne connais peut-être pas!" La curiosité autant que mon envie de continuer avec ce nouveau partenaire qui m’avait si bien enculé m’ont poussées à le suivre.

Il habitait une appartement confortable à trois pâtés de maisons du cinéma. Il ouvrait la porte en parlant à voix haute, me fit entrer. Débarrassés de nos manteaux, de nos vestes, il me fit asseoir dans une canapé. Il avait servi des rafraîchissements, me disant: "Déshabille-toi, mets-toi à l’aise." Lui-même était allé se mettre en robe de chambre, il était visiblement nu dessous. J’étais resté en slip et en tee-shirt, il m’enlevait rapidement le slip. Nous nous caressions mutuellement, nous embrassant goulûment.

Paul, c’était son nom, lança un bref coup de sifflet. Par une porte entrebaîllée, je vis arriver un berger allemand. Il s’approchait de mon ami, vint directement renifler entre ses jambes et se mit à lui lécher la pine déjà raide. "Je te présente Wolf." Le bout rouge de la bite du chien émergeait de son fourreau. Surpris par le spectacle, j’observais. Puis Paul se plaçait à quatre pattes, ramenant sa robe de chambre sur ses reins. L’animal vint lui gratifier le cul de larges coups de langue dont mon ami vantait les bienfaits.

Le chien s’était arrêté de lécher, se dressant sur ses pattes arrières. Il montait sur son dos, visiblement habitué à cette pratique, s’agrippant aux hanches. Paul avait attrapé le fourreau de la pine, il plaçait le bout rouge qui avait pris du volume contre son petit trou. Wolf d’un coup sec l’empalait et se mit à limer à une cadence infernale. Je voyais sa bite enfoncée jusqu’aux couilles prendre du volume. L’homme et la bête étaient magistralement accouplés. Quel spectacle, je ne pouvais que me branler, la situation ne m’avait pas choqué, seulement excité.

Wolf s’était arrêté, haletant, il ne bougeait plus, essayant de se retirer avec un peu de difficulté. Puis du cul dilaté, je vis sortir lentement une énorme boule. Quand elle se dégagea, la pine sortit d’un coup, libérant un flot de foutre qui inondait le sol en laissant des traînée sur les cuisses de mon nouvel ami. Le chien était venu nettoyer le cul et les cuisses de Paul à grands coups de langue. Ce dernier, l’air ravi, me dit: "Si ça te dit d’essayer? Une chienne comme toi devrait aimer! C’est géant! Mais il va falloir attendre un moment que Wolf récupère!"

À grands coups de langue, le chien recroquevillé en demi cercle faisait rentrer sa bite dans son fourreau. Pendant ce temps, Paul s’était essuyé et m’avait rejoint sur le canapé. Il me caressait partout, puis comme s’il craignait que je refuse l’expérience, il me disait: "Tu vas voir comme c’est bon! Tu vas te sentir chienne, totalement femelle! Une salope comme toi devrait se régaler!" Dans ma tête, j’avais l’envie folle de le faire, de m’accoupler avec l’animal. J’étais vraiment décidé à essayer.

Sous les directives de Paul, je m’étais installé à quatre pattes. Wolf avait compris, il me gratifiait à mon tour de grands coups de sa langue râpeuse. Elle me procurait déjà un plaisir formidable. Puis il s’emparait de mes hanches entre ses pattes avant. Mon ami guidait sa pine pointue dans mon anus, elle pénétra d’un coup sec avant que commence le rythme infernal de la saillie. L’idée d’être ainsi embroché par un animal provoquait en moi une confusion d’idée. C’était d’une perversité totale, je n’étais plus qu’une femelle, une chienne en chaleur, j’allais être son "vide-couilles". Wolf me pilonnait à coups de reins rapides, sans état d’âme évidemment. Je sentais son sexe qui enflait en moi, sa boule dilatait mon anus. Ses poils frottaient sur mes fesses et son ventre chaud contre mon cul: c’était génial. Il lâchait ses giclées de sperme par saccades incessantes, je sentais palpiter son membre à chacunes d’elles. J’étais fou, j’étais dingue, mais que j’étais bien! L’excitation du chien était communicative.

Paul s’était allongé sous moi. Il me suçait, essayant de suivre la cadence du chien. Comment résister à ces traitement. J’explosais dans un long râle de plaisir, j’avais la sensation de me vider totalement, je jouissais de manière inhabituelle. Un explosion d’étoiles m’embuait la tête. Je n’aurais jamais imaginé un tel plaisir. Wolf s’était arrêté il cherchait à se dégager. Moins habitué que Paul à de tels calibres, le nœud était plus long à sortir. Mais quelle sensation quand il se libéra dans un bruit de sucion étonnant. Je sentais le liquide poisseux qui dégoulinait sur mes cuisses, puis une langue très douce bien que râpeuse, vint calmer le feu de mon anus. Wolf me nettoyait consciencieusement le cul et les jambes avant de se lécher lui-même.

Nous étions de nouveau assis dans le canapé sirotant un rafraîchissement bienvenu. Je remerciais Paul de m’avoir fait découvrir ce nouveau plaisir. Ile me remerciait lui aussi, me donnant son numéro de téléphone pour revenir quand il me plairait. Je lui expliquai la relation intime que j’avais avec papa. Du coup, il me proposa de lui parler de Wolf et si ça lui tentait de faire l’expérience aussi.

Papa avait entendu parler de ces plaisirs mais n’avait jamais eu l’occasion de les découvrir en réel; il voulait rapidement essayer aussi. Son plaisir fut aussi grand que le mien. Je ne fus donc pas surpris de le voir arriver un jour avec un gros chien qu’il venait d’acquérir à la SPA, âgé d'un an. Il serait facile à "former" et vite opérationnel.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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