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Samedi 24 novembre 6 24 /11 /Nov 17:58

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Ma vie se poursuivit ainsi longtemps: je travaillais en tant que conseiller personnel de mon patron, normalement sans aucune différence avec un autre conseiller, lorsque les portes étaient ouvertes, et quelques petits aménagements lorsqu’elles étaient fermées.

Souvent, Monsieur aimait à me voir travailler en slip et torse nu. Parfois il a même exigé que je sois complètement nu. Mais les sodomies qu’il me faisaient et fellations qu’il exigeait que je lui fasse n’étaient pas quotidienne, c’était selon son humeur, ses envies...

Souvent lorsqu’un coup de fil traînait ou l’énervait, il me faisait signe de m’approcher, sans attendre d’autres gestes, j’étais devant lui à genoux, sortant de son pantalon, sa queue déjà en demi-érection et de ma langue je m’appliquais à lui donner une bonne vigueur, pour ensuite l’emboucher entièrement et la pomper avec délectation.

Lors d’une période particulièrement stressante pour Monsieur, il lui arrivait très régulièrement de me pénétrer sur le bureau, sans ménagement, jusqu’à 6 fois sur une journée, profitant selon son envie, de mon cul. Mais je finissais par m’ennuyer. Ce sexe fonctionnel dirais-je, ne m’attirait plus, il manquait de piment, de vie.

Oui, bien sûr, il y avait les sorties, une ou deux fois par semaine, au restaurant pour affaire mais même les serveurs trop polis ou trop guindés pour paraître intéressés ne me laissaient plus goûter à l’exhibition. Je crois que mon patron s’en rendait compte. Lors d’un contrat quelconque, Monsieur faisait affaire avec un autre monsieur, très gentil, très correct qui venait toujours accompagné d’un homme plus jeune. Cet homme, dans le début de la vingtaine tout comme moi, assez mignon, aux yeux souriants, semblait trouver mon corps très à son goût. Et ses coups d’œil, sourires et autres commentaires eurent vite fait de me faire comprendre ses envies à mon égard. Pour la première fois depuis longtemps, je me sentais vraiment désiré. Ma verge n’en demanda pas plus pour se mettre à durcir sous l’effet du désir. Mais la réalité est là et je sais que cet homme n’entendra pas ma voix lui dire de me prendre, de me baiser.

Le soir quand mon patron me demande d’approcher, je sens qu’il y a quelque chose qui le tracasse. Tout de suite, il baisse mon pantalon et passe sa main dans mon slip, se rendant compte de mon érection.

— Hé bien! Qui t’a donc mis dans cet état?

Ce disant, il m’avait attiré sur le fauteuil, à sa place, m’asseyant et me plaçant les jambes sur les accoudoirs, il avait une vue complète sur mon anus mouillé par l’excitation.

— Dis-moi, mon beau, tu n’es pas en train de tomber amoureux, j’espère?

Cette idée me fit l’effet d’une bombe.

— Non, j’ai juste envie de sa queue.

La réponse était sortie sans même être réfléchie dirais-je. Mon patron sourit...

— C’est bien Tom, c’est bien... Caresse-toi un peu....

Je ne me fis pas prier, mes doigts allant et venant sur ma queue, s’arrêtant un peu sur mes couilles, puis repartant pour s’enfoncer dans mon anus, en ressortir complètement trempés et recommencer à jouer avec ma queue.

Ce jour-là, mon patron semblait particulièrement heureux... Il fit un chose à laquelle je ne m’attendais pas: il se mit à genoux devant moi et se penchant, se mit à me lécher la queue. Longuement sa langue un peu râpeuse m’a léché la queue, le gland, puis s’attardant sur mes couilles, m’approcha d’une éjaculation fulgurante, il s’arrêta juste avant, alors que je commençais déjà à haleter comme un chien en chaleur....

Me redressant, il m’amena au canapé, m’y coucha et me pénétra sans aucune difficulté. Il ne lui fallut pas plus de quelques coups de reins pour m’arracher des cris de jouissance. Il me regarda jouir, puis me disant de me retourner, il revint se coucher sur moi pour me prendre comme il le dit lui même: "Le petit salop que j’ai engagé et qui soupire après le premier mâle venu." Il m’encula. Je sentis très vite son sperme s’épandre en jets chauds en moi.

Lorsqu’il se releva il me dit:

— Demain, ne prévois rien de ta soirée. J’aurai besoin de toi.

La situation, et la phrase, étant habituelle, je ne me posais aucune question. Le lendemain, la journée se passa assez simplement: resto pour fêter avec les deux messieurs la signature du contrat de 13h à 16h. classique en dîner d’affaire. Les regards de mon vis-à-vis de table m’en disaient longs sur ses pensées. Plus d’une fois je sentis mon visage s’empourprer.

Quittant la table, nous passons déposer ces messieurs à l’hôtel où ils résidaient. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je m’aperçus que l’homme le plus jeune resta dans notre voiture. Après les salutations et remerciements d’usage, nous repartons. Le chauffeur nous conduit chez nous.

Je sors.

— Tom, Monsieur B. souhaite profiter de votre hospitalité cette nuit. Je pense que vous n’y verrez pas d’inconvénient.

Je me sens trembler des pieds à la tête, l’homme sort en vainqueur de la voiture, sourire presque carnassier, je rougis.

— Laissez les lumières allumées, Tom. Merci

Je monte les quelques marchent avant l’ascenseur devant monsieur B que je n’ose toujours pas regarder. L’ascenseur s’ouvre, je le sens qui me suit, qui se colle à moi alors que la cabine est spacieuse. Il en profite pour laisser ses mains se perdrent sur mes fesses. Arrivés à mon étage, nous sortons, je me vois dans le miroir du couloir, on dirait un gamin pris en faute, qui attend sa correction.

J’ouvre ma porte et sans même me poser de questions, me dirige vers la chambre. Puis soudain je me rends compte que j’aurais pu ne pas l’y inviter, que j’aurais pu rester au salon. Qu’est ce que je fais? Je suis fou! Mais je sens mon cul palpiter, j’ai envie... Je me retourne, il est à l’entrée de la chambre.

Je le regarde droit dans les yeux. Je retire mon veston, le lâche sur le sol. Je commence à déboutonner ma chemise qui s’entrouvre peu à peu, laissant voir mon torse imberbe. Je dégrafe le bouton de mon pantalon, le laisse glisser au sol. Je ne suis plus vêtu que de ma chemise ouverte. La bosse dans son pantalon est plus qu’explicite...

Je m’approche de lui, place mes bras autour de son cou et pose mes lèvres sur ses lèvres. Cela le met en route, en furie plutôt. Il me soulève, me porte au lit, descend la fermeture-éclair de son pantalon, ne le retire même pas, sort sa queue qu’il m’enfonce d’un coup dans l’anus. La brusquerie me fait un peu peur, m’arrache un cri...

Après quelques coups de queues rapides, il se calme et sans sortir sa queue du fourreau où elle est, il se redresse un peu et commence à me caresser le torse d’une main. Il écarte totalement ma chemise, puis approchant sa bouche du mamelon, commence à le lécher, presque tendrement. Sa queue reste bien au chaud. De temps en temps, sa queue me fait sentir sa présence par un petit mouvement doux. Le laissant continuer à ce rythme qui me change et me ravit, j’entreprends de lui retirer sa veste. Il se laisse faire... Cravate...

Toujours affairé auprès de mes mamelons, je le sens de nouveau s’exciter plus... Il les relâchent, il se redresse, libère sa queue de mon cul et ouvre sa chemise sans s’occuper des boutons qui disparaissent dans tous les coins, retire d’un coup son pantalon et ce qu’il avait dessous avant de s’abattre une nouvelle fois sur moi, replonger sa queue au chaud et accompagnant par des coups rapides de queue ses mouvements, il se met à me mordiller les seins, l’un après l’autre. Jamais on ne m’avait fait cela. La sensation m’électrise, j’ai l’impression que je brûle de l’intérieur.

Je sens sa queue qui accélère encore son mouvement. Je regarde d’un coup d’œil vers la fenêtre... Mon patron est là... Mmm je sens que cela vient. J’éjacule en poussant de petits cris. Ne voulant pas rester en arrière, sa cadence prend plus d’ampleur, plus de force. Je sens enfin son foutre me remplir l’anus, c’est chaud, c’est doux.

Sa tête se pose sur mon épaule, ses doigts jouent avec mon téton, la tempête est passée, le repos du guerrier. Mon patron est toujours là, un verre à la main... il me regarde droit dans les yeux... J’ai encore envie de me montrer à lui, j’ai encore envie de jouir. Apparemment mon envie se sent puisque mon amant se réveille et se met à m’embrasser dans le cou. Il se redresse un peu pour prendre une position plus confortable sans doute mais je profite de l’occasion pour fuir de l’autre côté du lit... Il tente un coup de patte, dirait-on pour me rattraper. Pas encore bien réveillé, il se laisse aller sur le dos. Je m’approche, à quatre pattes, regarde cette queue à moitié débandée. Je commence à la lécher à la manière d’un chat, à petits coups de langue. Il aime ça, je le vois, je le sens... Très vite sa queue grandit, grossit pour atteindre une taille très confortable.

Monsieur B semble aux anges. Il sourit béatement mais j’ai envie qu’il se réveille, moi. Alors de ma langue douce je passe à la bouche active. Je le suce, je le pompe laissant ma bouche serrée autour de son membre, puis parfois je le mords un peu... Juste pour tester les réactions. Intéressant, il semble avoir du mal à rester en place... j’essaye donc le même traitement plus bas, sur ces deux couilles charnues qui s’offre à mon regard.

Sans appel, cette solution: monsieur B se redresse avec une queue bien dressée, bien raide. Ravi, je lui présente de nouveau mon cul, mes fesses attirent ses mains. C’est dans mon anus que sa bite retourne. Il s’active... tenant mes hanches dans ses mains, ses coups de boutoir sont forts, rapides... j’aime ça. Je sens que le plaisir monte.

Il jouit, m’inondant une seconde fois... En mâle repu, il se couche sur le côté. Je suis déçu, frustré. Le téléphone sonne, je décroche, c’est mon patron.

— Passe-le moi!

Sans un mot, Monsieur B me repasse le téléphone et commence à s’habiller.

— Laisse-le partir. Tu veux le revoir?

— Non.

— Ne te lave pas, ne bouge pas, j’arrive.

B part après un rapide baiser sur mes lèvres, je reste allongé. Mon patron arrive...

— Alors, il t’a plu?

— Bof....

— Tu n’as pas assez joui?

— Non...

— Laisse toi faire alors...

Il m’écarte les jambes, m’amène au bord du lit... Et se mettant pour la seconde fois à genoux devant moi il se met à me lécher, à aspirer tout le sperme qui occupe mon cul, à jouer avec mes couilles... Je crois avoir ce soir-là joui cinq ou six fois d’affilée sous sa langue experte. Je sentais ma tête me tourner, je voulais refermer les jambes mais il me les maintenait ouverte continuant encore et encore.

— J’ai aimé le spectacle. Nous recommencerons.

Je me suis endormi, épuisé, sur ces mots...

Et il a tenu sa promesse.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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