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Jeudi 22 novembre 4 22 /11 /Nov 22:56

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Je me souviens souvent de la première fois où j’ai rencontré mon beau-frère. Ma sœur sortait avec lui depuis quelques semaines lorsqu’elle l’a invité chez nous pour la présentation officielle aux parents. Mes parents n’ont pas vraiment été ravis la première fois qu’ils l’ont rencontré, il avait un look de Bad-boy avec sa barbe non rasée de quelques jours. De plus il entretenait ce look avec son jean déchiré au genou. On pouvait y voir dépasser sa pilosité brune. Moi j’eus une impression assez bizarre. Autant il me paraissait avoir du charme autant j’ai de suite pensé que c’était un beauf.

Ma première impression s’est révélée exacte. Pendant tout le repas, nous avons eu le droit à des blagues dégradantes sur les femmes et parfois même sur les homos. Même mon père qui est un bon vivant, semblait rire jaune. Assis en face de lui, j’ai largement pu le détailler et notamment observer le tatouage qui sortait de son t-shirt largement échancré. Pourtant je décidai que je n’allais pas apprécier ce gros con.

Les semaines ont passé et ma sœur ne s’est pas lassée de son mec. J’arrivais de moins en moins à le supporter. Il faut dire qu’il s’obstinait à me faire des réflexions qui avaient le chic de me faire sortir de mes gonds. J’avais régulièrement le droit à des surnoms comme « petite pédale » ou « tafiole » lorsqu’il passait près de moi et que personne ne pouvait l’entendre ou parfois en présence de mes parents ou de ma sœur j’avais le droit à « ma chatte ». Je me demande encore comment il a pu imaginer que j’étais gay alors que pour tout le monde j’étais hétéro.

Au moins le traitement qu’il m’infligeait m’a incité à me rendre plus viril en faisant du sport et en gagnant de la masse musculaire. Il avait beau avoir trois ans de plus que moi, il n’était pas question qu’il m’impressionne. Parallèlement à mes entrainements en salle de muscu, j’ai suivi des cours de self défense.

Un après-midi de juillet alors que tout le monde était dans le jardin, moi je m’étais mis au frais à l’intérieur. Je pouvais entendre mes parents, ma sœur et Brodie discuter à bâtons rompus. Alors que je commençais à m’assoupir, mon beau-frère s’arrêta devant la porte de ma chambre et comme à son habitude j’eus droit à une réflexion :

— Alors ma chatte, on se la coule douce.

Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais il fut temps de ne plus le laisser faire. Je n’avais qu’une envie à ce moment là, c’était de lui faire payer toutes les humiliations que j’avais dû subir. Malgré les règles qu’on m’avait enseignées, et notamment de ne pas me servir de mes cours de combat contre autrui, je sautai de mon lit tel un félin et attrapai l’objet de mon courroux prestement. Je lui fis une clef de bras ce qui l’immobilisa de suite.

— Mais c’est que ça se rebelle ! Me dit-il.

J’amplifiai la torsion de son bras ce qui le fit souffrir.

— Aie !

— Ça t’amuse de me faire chier ?

— Ouais, osa-t-il répondre.

— À mon tour alors…

Je l’entrainai vers la fenêtre dont les volets avaient été mis en cabane. Je me plaçai derrière lui et m’approchai de son corps pour accentuer encore la douleur. Bien sûr, pour ne pas perdre la face, il fermait sa bouche. Collé à lui, je lui murmurai :

— Alors, c’est qui la tapette maintenant ?

— …

— Tu voulais jouer avec moi !

Ces quelques mots furent soufflés dans son oreille. J’eus soudain une idée de ma vengeance.

— Tu va jouer la tapette pour moi, hein, mon mignon.

Je glissai ma main dans son jean qu’il avait bien sûr très large ainsi que dans son boxer et commençai à palper ses fesses. Celles-ci étaient velues tout comme ses cuisses mais aussi musclées sous ma paume.

— On travaille son petit fessier, tout comme les nanas. C’est mignon ça !

Il essaya de résister mais j’accentuai ma pression sur son bras.

— Tout doux, tu ne voudrais pas qu’on découvre que t’es une petite pédale qui aime se faire sauter.

Je cherchai alors juste à lui faire peur. Je voulais qu’il implore ma clémence pourtant il résistait. Je décidai alors de passer ma main entre les globes de ses fesses. Il avait sa rosette aussi poilue que le reste. Il me fallait l’humilier davantage, je glissai alors un doigt dans sa fente et découvrit une peau soyeuse. La chaleur avait dû le faire suer car son trou était bien humide. Je rentrais difficilement mon doigt mais je lui glissai à l’oreille :

— Humm, un petit cul vierge comme celui-ci. Je sens que je vais me régaler.

Il ne répondit pas mais haleta. Mon doigt entrait davantage encore. Dehors, on pouvait entendre ma famille en pleine discussion. Je fis glisser le jean de mon beau-frère sur ses cuisses et repris mon doigtage. Il semblait prendre plaisir à cette caresse ce que je découvris plus tard. Encore maintenant, j’aime lui ouvrir le cul de mes doigts et l’entendre gémir jusqu’à ce qu’il m’implore de l’enculer.

Je me rendis compte que la pression de mon bassin sur sa cuisse et la situation m’excitait au plus haut point. J’en bandais. Avant cet événement je n’avais jamais imaginé prendre du plaisir avec un mec, mais ce type qui m’avait temps emmerdé me faisait triquer. Je l’ai doigté au moins dix minutes jusqu’à pouvoir y entrer trois doigts. Il soufflait comme un bœuf, ruisselant de sueur. Il me rendait fou. Il résistait sans m’implorer. J’eus une idée plus dégueulasse encore. Je sortis ma queue et lui dis :

— Il est temps que tu me serves.

— Non… Pas comme ça. Dit-il avec une petite voix.

— Mais si, ma chatte.

Je lui léchai le cou remontant vers son oreille.

— Avec un préservatif, je t’en supplie. Je veux rien attrapé…

Brodie me donna l’impression d’être clean et d’avoir peur des maladies. Je savais que j’étais aussi moi clean vu que jusqu’à présent j’avais baisé mes copines avec des préservatifs. Je voulus alors lui faire peur.

— Qu’est ce que j’en ai à foutre moi.

Je crachai dans ma main et badigeonnai ma queue de salive. Je me plaçai dans le dos de Brodie.

— Alors ma belle, prêt à se faire monter par un étalon.

J’introduisis mon gland dans le trou de mon beau-frère et donnai un violent coup en avant ce qui le fit gémir de douleur.

— &Ccdeil;a va Brodie ? Demanda ma sœur de l’extérieur.

— …

— Brodie ?

— Oui, je me suis juste fais mal au pied, chérie, lui répondit-il.

Ce petit macho ne disait rien sur sa position. Il faut dire qu’elle était suffisamment humiliante pour lui. Moi je découvrais une sensation nouvelle. Son fondement était chaud et son anus entourait ma verge avec délice. Collé à lui, je sentais les poils de ses fesses sur mes cuisses et le bas de mon ventre. Je fis un petit mouvement mais replongeai en lui immédiatement. Il se mit à gémir. Je continuais mon va et vient, profitant de chaque sensation. Je découvrais que j’aimais le baiser et que lui semblait apprécier. Je lâchai son bras et pris ses hanches des deux mains. Il dégagea son bras et recula son cul pour se cambrer.

— Oh putain ! Lui dis-je.

— Quel pied, je prends, répondit-il.

Je l’ai enculé peu de temps car je vins rapidement tellement le plaisir était intense. Au moment où je giclai en lui, il se mit à jouir à son tour dans sa main.

Je sortis de lui et me rhabillai alors qu’il essayait de se revêtir avec sa seule main de libre, l’autre pleine de sperme. Il s’est tourné vers moi avec un large sourire et j’ai deviné que notre relation allait changer.

Encore maintenant, lorsque je repense à cet événement, je me dis que tout aurait pu être différent et que ça aurait pu mal se terminer mais je regarde la chance que j’ai su saisir au bond et notamment d’avoir gagner un amant qui m’en demande toujours plus.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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