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Dimanche 29 décembre 7 29 /12 /Déc 23:30

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J'étais parti en vacances à pas moins de 200km de chez moi. J'y étais allé en train, et j'avais normalement prévu assez pour rentrer en train aussi ; mais j'avais explosé mon budget durant ce séjour, m'étant ainsi condamné à rentrer en auto-stop.

Beaucoup de voitures me passaient devant sans même freiner, et y étant depuis 15h de l'après-midi, je commençais à perdre patience... Je m'étais mis à marcher depuis deux heures, et je commençais à en avoir marre.

J'étais arrivé à une aire de repos où je rentrai dans les WC pour me rafraichir et me soulager. Je m'aspergeai le visage d'eau, puis je pénétrai dans une cabine. Quelques secondes après, j'entendis quelqu'un rentrer dans les toilettes voisines des miennes et, tournant la tête par réflexe, je remarquai un trou dans la paroi entre les deux cabines. À travers ce trou, je vis un homme de forte corpulence (pour ne pas dire gros) qui se baissait en enlevant son pantalon ; il me dévoila une impressionnante verge. Le type disparut presque de ma vision en s'asseyant : je ne voyais plus que ses jambes nues et incroyablement poilues. Je ne pus m'empêcher de regarder ses jambes ; j'étais bizarrement fasciné. Le type se pencha et me vit en train de le mater. Je détournai mon regard et j’attendis une dizaine de secondes avant de jeter un coup d'œil pour voir sa réaction ; il sourit et me regarda droit dans les yeux.

 Je soutins ce regard jusqu'à ce qu'il se lève pour venir placer sa bite molle et puant la pisse dans le glory-hole. J'hésitai quelques secondes ; mais, réfléchissant à ma situation, je décidai d'essayer de profiter de ce type qui était sûrement motorisé et qui pourrait m'avancer.

Je me mis donc à genoux et attrapai sa bite dans ma main. Je commençai par faire de lents va-et-vient avec ma main avant de lécher cette masse de chair qui commençait à durcir entre mes doigts. Cet homme était incroyablement bien monté, bien plus que je l'imaginais, et je peinais à rentrer sa verge bandée dans ma bouche : j'arrivais à peine au milieu de sa bite alors que son gland me titillait déjà la glotte.

Apparemment, ma façon de sucer plaisait au type, qui exprimait son contentement par des râles de plaisir. Je sentais qu'il voulait y mettre du sien en imprimant de légères pressions quand j'étais au maximum. Rapidement, il retira sa verge, ce qui me désola puisque passé le premier dégoût provoqué par la forte odeur et l'endroit, l'excitation l'avait emporté et je m'étais mis à bander sans même me toucher.

Je sortis de la cabine et me dirigeais hors des WC quand je fus surpris par une poigne de fer qui me tira et me jeta du côté des pissotières : c'était ce type ! Il avait encore le pantalon baissé et sa bite bandée se dressait fièrement vers moi comme pour que je la reprenne en bouche. De là, je pouvais dire qu'elle avoisinait les 25cm de longueur pour environ 7cm de largeur. Le type me demanda où je comptais aller en le laissant ainsi ; je ne répondis pas. Il m'attrapa par les cheveux et me força à ravaler sa bite, jusqu'à la base cette fois-ci. Je faillis m'étouffer tant elle pénétra profondément ; une larme coula sur ma joue, mais il ne relâcha la pression sur ma tête que quand un spasme me secoua.

J'avais de la bave tout autour de la bouche et je haletais ; mais il me reprit la tête et me baisa violement la bouche pendant quelques minutes avant de me refourrer sa pine au fond de la gorge pour lâcher de puissants jets de foutre directement dans l'œsophage. Il se retira, me laissant haletant et crachotant, du sperme plein la bouche. J’en avalai le maximum, mais il en restait qui coulait de ma bouche ou qui tombait quand je toussais. Le type me regardait : j'étais allongé sur le sol. Il attendit que je puisse respirer normalement puis me présenta sa queue à nettoyer, ce que je fis méticuleusement.

Une fois le nettoyage fini, il me dit de venir avec lui dans son camion. Je me relevai et le suivis sans trop réaliser ce qu'il se passait. Il me fit monter à l'arrière de son camion ; il monta à ma suite et referma derrière lui. Il alluma un néon puis il m'attrapa et me jeta sans ménagement au fond du camion. Il revint vers moi tout en se déshabillant ; quant à moi, je ne réagissais pas, tétanisé. Il me tira vers le haut, me déshabilla aussi et me rattrapa la tête pour que je suce encore son engin, qui avait un peu débandé, mais cette fois-ci plus doucement. Quand sa queue eut repris de la vigueur, il me retourna et l'appuya contre ma rondelle. Une douleur me déchira l'anus quand il me pénétra : il y allait sans ménagement, me défonçant le cul comme un marteau-piqueur ne l'aurait pas mieux fait. Très rapidement, la douleur se transforma en plaisir ; je sentais sa pine coulisser en moi, j’en devinais chaque veine et je me mis à gémir comme la chienne que j'étais.

Cet homme me défouraillait avec une rare violence ; chacun de ses coups m'arrachait un cri de jouissance mêlé à un peu de douleur. Après quelques minutes de défonce intensive, je jouis ; je ne m'étais même pas touché : je libérai mon sperme sur le plancher de son camion tandis que les contractions de mon cul le faisaient gicler à son tour dans mon anus. Je sentis des jets de sperme puissants me remplir le cul. Quand il en sortit, une quantité impressionnante de liquide s'écoula sur le sol.

 Il me fit lécher ces souillures, puis me fit nettoyer sa bite. Là, il se rhabilla et me demanda quelle était ma destination. Je lui répondis et voulus attraper mes vêtements, mais il m'empêcha de les prendre et me donna juste une serviette pour que j’aille me nettoyer aux WC. Il précisa qu'on allait faire une escale, et qu'il faudrait que j'obéisse aveuglément si je ne voulais pas qu'il me laisse nu au bord de la route. Je partis me nettoyer. Une fois revenu, il me refit monter à l'arrière où il m'enferma. Je sentis le camion s'ébranler et prendre de la vitesse ; nous étions sur la route... Le sommeil m'emporta bientôt.

 

Je fus réveillé par l'ouverture de la porte qui m'aveugla ; je vis des silhouettes entrer puis la porte se referma. Mon baiseur – et accessoirement chauffeur – me dit de me lever, que c'était l'heure d'obéir. Je me levai et observai les gens : ils étaient cinq, avec celui que je connaissais déjà. Le premier qui s'avança, un Noir, ouvrit sa braguette et sortit un membre d'une taille conséquente. M'attrapant par la tête, il m'avança la tête sur sa bite ; comme je n'ouvrais pas la bouche, il força un peu le passage et me fourra son engin dans la bouche et entama des allers-retours. Pendant ce temps, je vis un autre type, blanc celui-ci, sortir sa bite et me passer derrière ; mon cul avait dû rester bien ouvert car je ne sentis aucune résistance quand il m'encula, si bien qu'il y alla le plus fort possible sans réussir à me faire mal.

Je commençais à peine à comprendre ce qui se passait et à ressentir du plaisir quand un troisième s'allongea sur le sol et me tira sur lui en faisant coulisser sa verge en moi. Le mec que je suçais me remit sa bite dans la bouche pendant que celui qui me sodomisait le premier tentait de rentrer sa bite pour me faire une double pénétration anale.

 Quand il réussit, en me déchirant l'anus, je criai à la fois de joie et de souffrance. Sa bite m'avait déchiré la rondelle, mais je me sentais plus rempli que jamais. Je suçais donc un mec pendant que deux autres m'enculaient, m'arrachant des gémissements de petite chienne que je ne pouvais pas retenir. Je sentis la bite que j'avais dans ma bouche se contracter, puis du sperme chaud vint m'asperger la gorge et la langue. J'avalai tout, me délectant de ce nectar ; puis une autre verge vint abuser de ma bouche : je me remis à sucer avec gourmandise, bien que rapidement il me baisa la bouche.

 Je sentis d'autres jets de sperme dans mes entrailles, puis une queue se retira, laissant une seule bite dans mon cul ; celle-ci ne tarda pas à lâcher sa semence : je la sentis elle aussi noyer mes entrailles.

Là, ce fut mon chauffeur qui prit la place, sans préparation : je n'en avais pas besoin. Il me pénétra, et bien que j'avais le trou de balle ouvert, je le sentis à l'étroit dans mes entrailles. Il me lima à fond l'anus pendant que la bite dans ma bouche lâchait sa semence sur ma glotte.

 À force de sentir cette énorme bite coulisser dans mon intestin, je jouis. Un des mecs, me voyant venir, vint avaler ma semence. Le proprio du camion cessa de me sodomiser ; il m'attrapa par la nuque et m'enfonça son engin au fond de la gorge puis gicla. Je sentis son foutre me tapisser la gorge et descendre directement dans mon estomac pendant que je m'étouffais. Il sortit sa bite et m'imposa un dernier coup de langue, histoire de la nettoyer avant de me rendre mes habits et de me permettre de sortir.

Nous étions arrivés dans ma ville. Je rentrai chez moi, le cul plein de foutre, l'estomac rempli aussi, et n'arrivant plus à marcher normalement

RACHID

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
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