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fan de histoires de mec

Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 00:08

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Avant tout je me présente: Matthieu, chabin, 1m83, très mince et au visage assez angélique, ce sont mais deux principaux atout. Je suis de la Guadeloupe au lycée de Baimbridge pour les connaisseurs. Je suis en première et je vais vous raconter une histoire qui c'est passer en novembre 2015. J'étais inviter au baptême de la nièce et filleule d'une amie. En temps normale cela m'ennui mais j'ai dit oui car je savais qu'avec elle j'allais bien m'amuser puis qu'elle est aussi conne que moi XD.


Deux semaine après l'invitation reçu j'arrive au baptême, bien habiller mais pas trop pour ne pas voler la vedette, un chemise blanc ultra slim pour bien souligner mon tour de taille d'une finesse exemplaire, un pantalon marron foncé qui allait très bien avec mon teint mais surtout qui me faisait de belle fesse ronde et des choses a talonnette qui malheureusement je le déplore n'était pas assez haut (2 cm). Médélya ma reçu avec une sourire don elle à le secret, on parla un peu mais elle du vite aller accueillir les autres invité, je me retrouva seul puis que ma mère n'était pas venu. Grand amateur culinaire que je suis ,ou plutôt de tout ce qui est mangeable, je me dirigea vers le buffet où étais exposer mille et un amuse bouche, j'entrepris donc de remplir une assiette et une fois fait je chercha une place dans la salle une place pour m'asseoir tranquillement. vous voyez ce moment où tout-le-monde vous regarde de haut en bas comme si vous étiez habiller en 1980, et bien c'était exactement ce moment là. Alors je décida de faire comme à mon habitude marcher tel un modèle tant bien même que ce soit mon déhancher naturel et alla m'asseoir à une place au hasard et le "publique" retournas  à son occupation parler. Au moment même de prendre ma première boucher mon amie venu me voir pour me demander si tout allais bien, je pense que mon défiler à du lui rappeler que j'étais là, je lui dit que oui puis que je mange, elle rigola et reparti à d'autre occupation. Après trois ou quatre canapé mon voisin me dérangea avec un " bonjour Matthieu c'est ça?" pour entamer une conversation. Perturbé dans ma dégustation et en contemplation devant son visage je mit un cour instant a réagir pour sorti un bête

-M:" oui c'est moi même"

-R:"Enchanter, moi c'est Rayan"

-M:"Ravi de te rencontrer"

Il était beau métisse au yeux noisette juste un peu plus grand que moi et juste musclé comme je les aime.

-R:"Tu fait parti de la famille?"

-M:"Non non je suis un amie de la marraine"

-R:"Ah comme moi"

Nous continuâmes à parler jusqu'à 4 h de matin car lui aussi était venu seul et ne connaissais pas grand monde tout comme moi, et il dut partir à mon grand regret. c'est alors qu'une personne dont j'ignorais la présence et dont j'aurai préféré l'ignorer encore est venu me parler car une de mes conquête passer que je regrette appart au lit.

-Y:"Matthieu c'était qui le canon qui vient de partir là?

-M:"Yohan mais qu'est-ce que tu fait ici?"

-Y:" Je suis l'invité d'un invité..."

-M:"En gros tu t'incruste, ça ne m'étonne pas de toi..."

-Y:"Ouais bref ! C'est qui?"

-M:"Ou tro maco !!!"

Expression créole signifiant: tu est vraiment trop curieux. Le reste de la soirée ce passa tranquillement et je rentra chez moi en continuant à penser à mon beau Rayan et en imaginant 1001 aventure a ses coter.


Je retourna a ma vie quotidienne quand quelques jours plus tard je rencontra Rayan au CDI du lycée étant donner que nous n'étions pas seul car mes amis étais avec moi je ne lui dit pas bonjour et lui trop concentrer dans ses révision ne me remarqua pas sur la table. Une amie ,qui visiblement avait succomber à sont charme, n'arrêtais pas de faire des commentaire pour le moins explicite passant de son visage à ses épaules et son cul en disant un peu trop fort "Mi on bonda!!!" (traduction: Mais quel cul!!!). À ce moment là il fini par réagir dans l'humour et la discussion s'engagea autour de la table sans pour autant préciser que nous nous connaissions avant. 14H sonne et mes camarade doivent aller en cours, moi tout contant de rester avec lui doit quand même aller au toilettes après 2 bonne heures de rigolade, il acquiesce en me disant qu'il va rester surveiller nos affaire. Arriver au toilettes je m'engouffra dans les WC mais ne ferma pas la porte a clé (c'est une de mes habitude coquine) et sorti mon javelot après avoir descendu mon jeans et mon boxer jusqu'à mes chevilles. Étonnamment je bandais et mes 17 cm sur 5 se voyais bien et tant bien que mal je me transforma en fontaine a jus de pomme.  À peine eu-je le temps de finir que la porte qui se trouvait derrière moi et et que me séparait sans sécurité du reste de lycée s'ouvrit et de sursaut en me retournant je vis que c'était mon beau Rayan qui sois disant m'attendais au CDI et ne se dérangea pas pour s'inviter à ma séance de tire. À la vu de mon membre il me dit:

-R:"Dit donc tu est sur que tu faisais bien pipi?"

-M:" ben oui c'est ta faute là a toujours être sexy, en plus je ne suis pas le seul, on dirait que tu t'es préparé pour me rejoindre."

-R:"Fais moi plaisir, arrête de parler et utilise ta bouche pour autre chose"

J'entrepris donc une bonne pipe sur une bite de 22 cm sur 5. J'étais en pleine dégustations quand il me dit d'arrêter.

-R:"Viens suis moi c'est pas assez excitant ici, y a pas assez de monde!"

À ces mots il remonta sa fermeture éclaire de son pantalon qui avait du mal à dissimuler les effets de ma bouche sur son membre. Il sorti alors des toilettes tout-à-fait normalement, il pris même le temps de ce laver les mains et monta au 7ème étage du bâtiment pendant que je le suivait juste derrière. Là avait lieu une dizaine de cours sur tout l'étage et sans stresse il me plaqua contre le rebord du balcon me déshabilla et me prit a sec! il n'y avait ni douleur, ni souffrance tellement il était expert. Le stress de se faire voir à tout moment par quelqu'un qui montais les escaliers ou qui sortait de sa salle rendis le plaisir encore plus immense. Je pouvais même voir en bas les autres lycéens qui passait ignorant la situation qui devait se lire sur mon visage et mes cri de jouissance étouffer au maximum pour ne pas alerter les autres. Après plus de 20 minute à me bourré il décida de changer de position et de contre le mur dans la position du loup je passa à celle de l'union suspendu pour les connaisseur. C'est a ce moment que 2 mecs arriva et dit à Rayan

-G:"Vous êtes monter haut quand même"

-R:"Vous en avez mis du temps vous aussi, aller dépêchez vous j'en ai plus pour très longtemps"

Et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit je me retrouva avec 2 espadons dans le cul et 1 dans la bouche. Pendant 15 minutes je me suis fait boucher les orifice en procurant et en ayant du plaisir à mes invités. Une personne dont nous n'avions pas entendu l'arriver se mise à me sucer et me fit jouir dans sa bouche, il n'avala pas mais m'embrassa et me fit avaler ma propre semence et s'en alla sans rien dire. Quelque minutes après mes trois camarades jouissèrent à l'unissons remplissant ainsi mes cavité d'une quantité incroyable de sperme. Je me rinça la bouche et en retournant au CDI fit comme si de rien était, Même si je sentais encore le sperme coulé de mon trou et ce jusqu'en arrivant chez moi.

Depuis il m'arrive souvent de baiser au lycée avec eux.

MANOU

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 07:12

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Pierre, 24ans, plutot mignon (170cm et 60kg) et de nature passif en règle géneral. Présentation faite voici l'histoire de ma soirée avec un mec inattendu. Tout commence sur un site de chat reconnu. Cela faisait quelques temps que j'y traînais sans trouver homme à mon goût et surtout répondant à mes désirs. Jusqu'à ce que je reçoive un message d'un mec sans photo se décrivant comme brun, la quarantaine, bi discret, 180cm pour 75 kg, poilu. Message court mais donnant ses intentions :"salut petite pute ça va ?". En même temps, mon profil était précis disant que je souhaitais vider de bonne tiges. Je lui répond classiquement "oui même si j'aurai bien aimé avoir une queue à m'occuper". Réaction immédiate de sa part :"je te ramène la mienne si tu veux". Je met fin à la discussion en lui disant que je dois aller au travail et que si il a vraiment une bonne queue j'en serait ravie. De la j'éteins l'appli, me prépare et fonce au travail. Je n'y pensait plus trop durant le début de matinée puis à la pause discrètement je revait sur l'appli. Je vois des messages en attente dont ce de l'inconnu. "t'inquiètes pas pour cela, je suis plutôt bien monté, ma femme ne sent plein pas. Et la elle est partis en formation donc j'aimerais bien me vider à une bonne salope aimant la queue". Direct cela m'exite et me demandant également une photo je lui envoie sans me poser de questions de mon visage et de mon petit cul. En général j'hesite avant d'envoyer photo surtout visage mais il faut dire que j'étais en manque. Je vois qui se connecte et me demande ce que j'aime chez les mecs et mes fanstasmes. Je lui répond que j'aime les vrais mec qui veulent se vider, et que si ils ont un uniforme ou si ils me traitent comme une lope soft je serais le plus ravie. Je lui demande une photo mais je n'ai eu aucun retour. Du coup tous l'apres midi j'ai attendu mais sans rien en retour. Je replonge dans mon travail servant les clients et répondant à leur demandes du mieux que je peux.

Puis en fin d'apres midi juste avant de fermer l'agence, le mec à une de mes collègues arrive et discute avec un autre collègue et dit qu'il vient récupérer un dossier pour sa femme qu'elle lui a demandait pour qu'elle s'en occupe ce week end. Ils rigolent sur le fait que sa femme est absente et d'autres blabla. Du coup vu l'heure, et ne voulant pas recevoir des clients tardif je ferme l'agence pendant qu'ils discutent. Puis il vient me voir me demandant ou se trouve le dossier, étant que sa femme à le bureau juste à côté je lui montre après avoir cherche pendant bien 5min. Mes collègues en on profiter pour sortir et la je voie que le comportement du mec change. Il me parle de ma vie privée, me demandant si j'ai quelqu'un... Je trouvais cela bizarre et un peu déstabilisant du fait que je le connais pas vraiment. Bref, il finit par partir et profitant d'être seul je range mon bureau tout en me connectant sur l'appli et je recois au même moment, "plutôt sexy dans ce pantalon qui te moule ton cul de salope. Passe chez moi dans 30min". Un peu abasourdi, je me dis que le mec m'a croisé au travaille et que j'aurai pas du lui envoyer ma photo voulant rester discret et éviter un pervers surtout à mon boulot. Je lui redemande une photo mais pour seul retour j'ai une adresse suivi d'un message "t'inquiètes je cherche du discret et toi à vider mes couilles donc je t'attend car elles sont pleines d'une semaine". Malgré mon inquiétude, je me décide à y aller mais avant passage chez moi pour me préparer.

 

A l'heure indiqué, stress montant mais ma curiosité prenant le dessus et surtout l'envie d'assouvir un mec je me jette à l'eau et vais à l'adresse indiqué. Je marche 5min et arrive devant cette maison familiale, j'hesite puis prenant mon courage sonne à la porte. J'entends une voie masculine me disant d'entrer. Je rentre et je me dis que je ne peux plus faire marche arrière. j'enlève mes chaussures et mes pied une enveloppe mettant destiné au vu de l'intitulé "pour la petite pute". Je me dis que cela doit être un pervers, ou un mec vieux n'arrivant pas a séduire et payant du coup ses coup d'un soir mais non il s'agissait de consigne simple.

"Bonjour petite pute, je souhaite rester discret donc des que tu partiras on fait comme si on ne se connaissait pas. J'ai pris le risque de t'inviter malgré que tu puisses me connaitre mais j'ai envie d'une bonne salope pour me vider donc si tu es OK rejoins moi au salon". Je décidais de foncer au moins pour voir a qui j'avais à faire, mais je ne trouvais qu'un mec assis dos à moi avec un verre de whisky à la main.

- Je vois que tu es restés, vient t'asseoir

Je m'assois et la je vois Alain, le mec à ma collègue. Décomposé je m'assois sur le canapé, mais c'est vrai qu'il est attirant donc je reste tous de même malgré un silence qui vient de s'installer.

- J'ai hésité avant de t'inviter mais j'avais envie de prendre du plaisir avec un mec comme toi et il faut dire que tu m'a un peu chauffé.

- T'inquiètes je souhaite discrétion absolut. Et puis c'est toi qui a attaqué.

- Donc comme sa tu aimes les vrais mecs ?

- Oui, dis je timidement, surtout ce qui veulent un vide couille, échappais je.

- Ben viens me montrer tes talents de pute, dit il tous en se touchant son paquet.

Je me levais pour m'avancer vers lui et me mettre a quatre pattes devant lui. Ma main se posa sur son entrejambe qui avait l'air bien fournie et je le caressai tout en le regardant dans les yeux. Ses mains enlacèrent les miennes, puis il commença a dégrafer son jean et l'enleva. Il se mit debout et enleva son tee shirt et mes yeux se retrouvèrent face a sa queue serait dans son slip. Il posa sa main sur mes cheveux et me la poussa sur son slip et commença des mouvements afin que mon visage frotte son entrejambe. Je sentais cette odeur qui m'enivrait et m'excitait.

- Tu veux ma queue salope ?

- Oui s'il te plait, laisse moi y goûter.

Il lacha mes cheveux et descendit son slip, qui fit jaillir sa queue courbé et veineuse. Elle était longue et épaisse et je comprit que j'allais passer une bonne soirée et mon côté salope ressortit direct. Je la pris direct en bouche, essayant de l'avaler en entier. j'activais des va et vient, jouant avec son gland, montrant le plus grand intérêt comme si ma vie en dépendait.

- T'es une bonne pute qui aimes la queue toi ? hein ? Vas y dis le que t'aimes sa!

- Oui j'aimes la bite et surtout la tienne. Je suis la pour te vider.

- Je vais te rassasier, que tu ne vas pas en redemandait de si tôt.

Il mit la main sur mon menton m'obligeant a le regarder droit dans les yeux et il me cracha a la geule avant de me remettre sa queue en bouche.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 11:09

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Moi c'est Jay. 29 ans, black 1m83 pour 76 kg. Je ne me considère pas comme un beaugoss mais je plais pas mal. Et puis il y a le mythe du black à la grosse queue qui excite ceux qui y ont déjà gouté et ceux qui rêvent d'y gouter. La mienne fait un bon 20cm assez large, circoncis, ce qui plait bien aux lopes que j'aime baiser direct... et aux autres aussi. 
Seul soucis, c'est un peu dur d'avoir de bonnes odeurs de teubs car c'est l'un de mes kiffs alors à défaut, j'ai toujours un slip qui sentent bon la traspi et la pisse.

Revenons à mon histoire. La semaine dernière, après une grosse période de boulot, je me suis accordé une petite semaine de vacances à Nice. Manque de chance, le temps n'était pas au rendez-vous, alors autant vous dire tout de suite qu'avec mes gros besoins sexuels il ne m'a pas fallu longtemps pour transformer cette semaine de détente en pure semaine de baise.

Ça ne fait pas 3 heures que j'ai lancé une application sur mon tél qu'un mec vient me parle. Je vous fais grâce des détails du dials, mais le mec me plait bien. 1m78 70kg, brun, cheveux courts et il me dit aimer les plans directs, les plans uro, aimer le jus et avoir de bonnes odeurs car il ne s'est pas douché depuis 3 jours... Le me parfait pour commencer ma semaine de vacances.  Arrive le moment de se fixer rendez-vous et là... le mec ne donne plus signe de vie. Ok... next ! Ce n'était pas la seule touche de la soirée.

Mais plutôt que de perdre mon temps sur les réseaux je me décide à aller là où les mecs savent ce qu'ils veulent et me dirige vers un bar cruising. 
Entrée payée, conso prise et pas un mec... soirée loose. Je reprends mes affaires, décide de partir. 
A peine j'ai passé la porte que je rallume l'appli. Retour de mon petit fan d'uro. Son coloc était rentré entre temps et bla bla bla bla... 

N'ayant pas envie de perdre encore mon temps je lui demande si il est seul. Ce à quoi il me répond : 
« Mon coloc est parti bosser. Seul et cho ! Envie de me faire remplir ! Je suis au 10 rue xxxxx dans le vieux nice. Tu as un tel ?»

Pas besoin de réfléchir longtemps ! Entre mon envie de baiser, la bière qui commence à appuyer sur ma vessie et l'idée de lui faire le cul pour m'avoir fait galérer en début de soirée je prends la route de chez lui. 
Sur le chemin on chat encore un peu histoire de bien entretenir sa chaleur et je lui dit de me préparer une bière pour quand j'arrive.

10 min plus tard je suis devant chez lui. Je pousse la grille d'entrée qu'il avait laissé ouverte et frappe à sa porte direct. 
Le mec est mieux que sur sa photo. Bonne gueule de lope, un regard plein de vice et à en croire son petit sourire je lui plait bien aussi.

Apres un rapide « salut » je colle ma langue dans sa bonne bouche et laisse couler ma salive pour voir si il est réceptif... cette petite pute me bouffe carrément la langue en gémissant ! Le ton est donné !

Je l'attrape par l'arrière de la tête.

  • Ouvres ta gueule ! Je lui dis. Et sans attendre lui lâche un bon mollard entre ses lèvres ouvertes. Le petit keum se lèche les lèvres.

Il fait super chaud dans son appart. Je prends le temps de poser mes affaires et le chope par la taille pour le ramener vers moi et place une main sur son petit cul. Putain ! il est ferme et le voilà qui bouge sous mes doigts.
De mon autre main je commence à déboutonner son jean pendant que lui me malaxe la queue à travers mon fut. Il n'a pas menti putain ! Rien qu'en ouvrant son fute je prends ses odeurs de teub en pleine gueule.

Ses boutons ouverts, je le recule un peu. Je sors ma queue, il me regarde...
« Bouges pas, j'ai trop envie de pisser. »  et là je me vides sur son boxer. Son jean's commence à être trempé et ma lope d'un soir est en plein kiff. 
Il fait descendre son fute et se tourne pour recevoir ma pisse fumante sur le cul. Il se cambre bien,  et ça m'excite à mort.

« Allez viens un peu t'occuper de ma queue » lui dis-je. Direct, il se met à genou et lape les dernières gouttes de pisse, puis il se met à lécher toute ma queue. Je kiff entendre ses petits gémissements de lope. Et c'est parti pour une bonne pipe. Le mec sait y faire. Il prends en fond de gorge, crache sur ma queue, lèche mes couilles, joue avec mon gland, ... c'est tellement bon qu'il me rend bavard :
« Putain, t'as une bouche de ouf ! Je vais te baiser la gueule et ensuite je m'occuperai de ton cul. Je vais bien te le remplir comme il faut, t'inquiète pas. 

  • Oui, baise moi la gueule ! »

Sans plus attendre je commence alors à lui limer la bouche, je vois ma queue pleine de sa bave entrer et sortir à ma guise. Parfois je bloque sa tête pour qu'il ait ma bite bien au fond de la gorge et parfois je l'empêche de la sucer, laissant mon gland sur le bout de sa langue. Je me calme un peu et décide de le laisser faire pendant que je chope la bière qu'il m'avait sorti.
Au bout d'un moment il sort sa queue de ma bouche :
« J'ai envie de pisser. Me dit-il.

  • lèves toi et attends un peu. »

Je l'aide en le prenant sous les bras. En deux secondes, me voilà en jock à genou devant lui. Le premier truc qui me fait décoller c'est l'odeur qui se dégage de son fute. Il aurait du from que je ne serais pas surpris. Sa transpiration, ma pisse, sa pisse, tout ça me fait bander vraiment dur. Sa queue par contre ne bande pas tant il doit avoir envie de pisser.

« vas-y lache toi. Lui dis-je, la bouche déjà collée à son boxer déjà bien humide de ma pisse. 
Je sens sa pisse à travers le coton. J'aspire pour en récupérer le plus possible et recrache le tout sur son torse. Je recommence encore une fois et la troisième gorgée se sera pour lui verser dans la gueule. On en profite pour se relouer une bonne pelle, mélangeant sa pisse et nos baves. Ce plan m'excite vraiment. Ma queue est tendue au max et la sienne commence prendre de l'ampleur. Il a une belle queue et son prépuce est bien long comme j'aime. Elle doit faire 18 cm, pas très large mais bien faite. 
Je me remets à genou et je reprends sa queue en main. Je passe mes doigts dans son prépuce pour titiller son gland. J'admire vraiment cette queue mais l'envie de le pomper à mon tour est trop forte. D'un coup, je lui gobe la queue. Jusqu'aux couilles. Côté gorge profonde, ça fait plus de 10 ans que je suis passé pro en la matière. J'ai une main sur ses couilles, l'autre qui cherche un téton et sa queue bien au fond de la gorge. Il n'en faut pas plus pour que mon petit mec se mette à gueuler son plaisir. Pas vraiment gueuler d'ailleurs, c'est plutôt des gémissements de femelle.

Je ressors sa queue de ma bouche et tire dessus pour libérer son gland, un bon gros gland (sans from malheureusement) mais que je reprends aussitôt pour une bonne pipe à l'image de la sienne. 
Le mec se dandine sous mes coups de langue et mes aspirations. Mais s'en est trop... 
Je recommence à avoir envie de pisser et son cul m'intéresse aussi.

« Allez, mets toi à 4 pattes j'ai bien envie de m'occuper de ton cul maintenant
-Oui, c'est trop bon, bouffe moi le cul. Baise moi. 
-T'inquiète, mais avant on va nettoyer tout ça. »

Il vire ses fringues aussi vite que j'ai pu le faire tout à l'heure et se retrouve à 4 pattes, dos tourné. La vue de ce mec offert m'excite à mort mais ne m'empêche pas de commencer à lui pisser sur le dos et le revoilà qui gémit :
« Ohhhh ! Oui arrose moi ! C'est trop bon de sentir ta pisse. Arroses mon trou »
Il a lu dans mes pensées. Je contrôles mon jets pour faire durer le plaisir et je m'accroupi derrière lui. 
« Colles ta gueule au sol et écartes ton cul ».

J'ai à peine fini ma phrase que le mec est en position. Je n'ai plus qu'à laisser aller ma pisse sur son petit trou lisse. Le mec doit se raser le cul souvent. Je ne tiens plus et commence à lui claquer le cul pendant que mon jet de pisse passe de son trou au haut de son dos :
« Putain mec c'est pas un trou que tu as, c'est une vraie chatte. Je vais kiffer te remplir. »

Une fois ma vessie vidée, je commence à lui bouffer le cul. Le mec est toujours à 4 pattes. Il s'est redressé mais a toujours la chatte tendue. Je commence à passer ma langue et son trou s'ouvre tout seul. Pas besoin de trop lui travailler le cul. Parfait car je vais pouvoir le baiser rapide.

Je me relève et viens lui présenter ma queue : 
« Baves bien dessus. Car dans pas longtemps c'est ton cul qu'elle va remplir. Je vais bien te baiser, tu vas kiffer, tu verras. »

Je ne sais pas pourquoi je dis tout ça, le mec prend déjà son pied et à en voir l'ouverture de son cul c'est clair qu'il aime se faire mettre. Pendant que sa bouche est bien à fond sur ma queue, je commence à jouer avec son cul, un, puis deux et enfin trois doigts facile. Parfois je crache sur ma main pour lubrifier mes doigts et son trou mais c'est plus par kiff que par besoin. Sa pipe est tellement bonne que je resterais bien encore à lui claquer le cul et lui dire à quel point je vais le démonter mais j'ai vraiment trop envie de passer à la baise. 
« Allez tournes toi, montres moi ce cul. »
Direct le mec est docile. Il se tourne et cambre à fond. Je le sens vraiment cho et impatient de se prendre ma queue. Il bouge son cul comme si il la cherchait déjà. Comme si il voulait s'empaler dessus. 
Je le calme un peu, en lui tiens le cul d'une main et de l'autre je chope ma queue que je tape contre son trou. Ça l'excite et le revoilà qui gémit. 
« hummmm ! Baise moi ! Fais moi sentir ta queue !

  • Tu la désire ma queue hein ?! Ca arrive, tu vas la sentir, je vais te baiser comme il faut mais laisse moi regarder comme t'es chienne avant !
  • J'en peux plus, je suis trop excité, donne moi ta queue ! »

Je le suis tout autant que lui, alors sans plus attendre je colle mon gland sur son trou. Je sens que c'est souple et que ça va rentrer sans soucis. 
Le mec pousse toujours des gémissements de femelle. Il sent que dans deux secondes il va l'avoir profond et il a raison. Je rentres ma queue d'un coup dans son cul et la ressort direct. 
Apres son cri, de plaisir je penses...il tend son cul et en redemande. Et c'est le début d'une baise terrible. 
Son cul est vraiment bon, cho comme le mec, souple mais pas trop ouvert. Pendant que je kiff sentir ma queue bien au fond de son cul, lui commence à gueuler. Je redouble d'excitation et de force dans mes coups. J'alterne bonne baise rapide et moments ou je sors complètement de son cul pour rentrer d'un coup ensuite. 
J'ai vraiment envie de m'amuser avec son cul et quand je commence à laisser mon gland juste à l'entrée de son trou et à donner des petits coups de reins ça le fait décoller.

Ses cris me motivent à le baiser longtemps, je veux que ça dure, pour mon plaisir et le sien. Mais je sais par expérience que je suis assez endurant et que passé la demi heure de ce traitement, les culs s'échauffent. 
Son cul est vraiment bon et finalement je me laisse aller. Je le baise, me branle la queue avec son cul. Parfois je le pilonne, parfois je laisse bouger sur ma queue. 
Je sens la jouissance arriver :
« Putain mec je vais te remplir le cul, je sens mon jus monter ! Tu vas être rempli 
-Oui vas y fais toi plaisir au fond de mon cul. Rempli moi, je suis une bonne lope à jus. 
-Ohhh putain ! ça vient !!!!! »

Je sors ma queue et lui arrose le cul dans un cri puissant. 5 bons jets de mon jus bien chaud viennent s'écraser sur sa chatte de mec et direct je rentre ma queue. Je le pilonne encore un peu : 
« Putain mec ton cul est génial ! À ton tour de jouir. »

il se redresse et ma queue reste plantée dans son cul, je passe une main sur son torse et attrape sa queue encore bien raide. J'avais presque oublié ce prépuce qui me fait kiffer. Je commence à le branler énergiquement quand je sens une envie de me soulager. Je lâche sa queue, me penche un peu en arrière et me laisse aller à lui remplir le cul de ma pisse :  
« Je vais te remplir de ma pisse maintenant, vas-y branle toi, vides toi les couilles pendant que je te remplis le cul une deuxième fois.
-Ohhh oui ! putain c'est trop bon ! ohhhh putain mec ! je sens ta pisse, putain !!!!! »

Et pendant que je suis toujours dans son cul je le sens se contracter et je vois 3 bons jets de jus partir tout droit sur le sol, se mélanger à la pisse de notre baise. 
Je sors ma queue de son cul bien ouvert pendant qu'il est encore sous le coup de la jouissance et ma pisse coule entre ses cuisses. C'est vraiment kiffant de le voir se répandre sur le sol, tant par la queue que par le cul. 
Je me relève et lui aussi. On se roule une pelle terrible. La fatigue a raison de nous, mais l'excitation est encore là. 
On fini par prendre une douche ensemble, en discutant un peu. On est tous les deux d'accord que ce que l'on vient de partager était vraiment génial. Une baise de dingue. 
Je veux l'aider à ranger mais il me dit qu'il s'en chargera lui même. Alors je mets mes fringues et je repends la route de l'hôtel pour me reposer de cette première nuit de vacances. La première d'une semaine de baise dans tous les styles à 2, à 3 et plus même.

Voilà les mecs, c'est ma première histoire. N'hésitez pas à laisser vos commentaires. Si ça vous a plu je continuerais de vous raconter comment s'est passée ma semaine de baise.

Ah oui, et pour l'histoire... plus tard il m'a dit qu'il s'était fait juter une deuxième fois, allongé dans la pisse et son jus avant de se décider à nettoyer l'appart.

A +

JAY

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 19:36

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Je m'appelle Kevin, j'ai 18 ans suis brun et imberbe. Je suis assez fin ce qui contraste avec mon père, 51 ans, qui est une véritable armoire à glace en plus d'être très poilu. Il a un visage assez sévère.

Sa grosse barbe noire, taillée en bouc, durcit un peu plus son visage. Il est costaud car il travaille sur les chantiers. Il est en effet chef d'équipe. Il commande huit à dix gars d'origine diverse-des blacks et des beurs principalement.

Afin de ma payer quelques leçon de permis, je dois cet été travailler sur le chantier, histoire de me faire un peu de blé. Ce n'est pas un boulot qui me branche mais je compte bien joindre l'utile à l'agréable : je dois en effet avouer que je suis pédé attiré par des vrai mâles – tout l'inverse de moi !

Le premier jour de travaille, je n'ai pas trouvé mieux que d'arriver en retard ! J'étais mal mais bon, en même temps, je travaille pour mon père, alors… ! Alors que je me rendais à pied vers le chantier, Charles m'interpella à bord de la camionnette qu'il conduisait. Lui aussi allait au boulot. Il m'invita donc à prendre place à coté de lui ce qui m'arrangeait bien. Chemin faisant, il me demanda si je n'étais pas trop stressé pour ce premier jour. Pendant qu'il me parlait, je l'observais à la dérobée. C'est qu'il était pas mal, Chacha, comme on l'appelait tous ! 45 ans environ, châtain – un des rares céfrans sur le chantier. Ayant eu déjà l'occasion de le voir torse nu, je savais qu'il était bien foutu. De plus, une épaisse toison débordait de sa chemise.

J'ai commencé alors à triquer méchamment dans mon froc en espérant que Charles ne s'en aperçoive pas trop. Il continuait à me parler comme si de rien n'était. Il m'avoua que, lorsqu'il était plus jeune et qu'il était stressé, il avait un truc imparable pour être cool après. Alors que je le regardais silencieusement, il m'expliqua que le meilleur moyen pour un mec de se calmer était…de se branler ! Il s'aperçut alors de mon silence troublé. Je pus alors lui demander, d'une voix étranglé, s'il lui arrivait d'être encore souvent stressé. Il me répondit que oui car le chef, mon père, n'était jamais commode.

Il s'arrêta alors de parler et freina brusquement non loin d'un parking un peu paumé.

''Ça te dirait ?'' me demanda-t-il, les yeux brûlant de vice. Je lui avouai alors que j'étais très stressé et que j'aimerais bien me calmer un peu.

'' J'ai un remède pour ça, je te l'ai dis !'' Insista-t-il tout enlevant sa chemise. On passa à l'arrière de la camionnette. Il m'enleva mon t-shirt assez violemment et me demanda d'enlever mon froc. J'obéis rapidement.

''Oh mais t'es vraiment angoissé mon gars ! Une branlette n'y suffira pas. Dans ton état, je ne vois qu'une chose…Pompe-moi ça !''

Tout en disant cela, Charles retira lui aussi son froc et son slipbard un peu tachée. Il s'adossa contre l'habitude et, à poil, me commanda :

''Viens un peu ici me sucer le dard ! Ton con de père me fait chier alors tu vas trinquer un peu ! ''Ajouta t'il, menaçant.

Je dus m'exécuter, le cœur battant. En fait, j'étais comblé ! J'allais sucer une bonne queue de mâle ! Un collègue de mon père en plus ! J'étais aux anges !

Pendant que je le pompais, j'admirais son torse poilu.

Il avait rasé ses couilles, le salaud !

Je pompais avec joie le gland tout en lui malaxant les joyeuses. Il devait apprécier car il ne cessait de m'encourager de la façon la plus vile qui soit :

''Vas-y pédé ! Prends-la bien dans la bouche…Si ton con d'père te voyais !''

Et il se marrait drôlement tout en pensant à cela !

Je lui dis alors que j'étais sa pute, qu'il devait se venger de mon gros salaud de père et qu'il avait bien raison de profiter de son pédé de fils !

Mon petit discours produisit les effets escomptés. Charles était en feu et je sentais qu'il allait bientôt larguer la purée. J'augmentais alors le va-et-vient. Ce fut décisif : Charles se leva légèrement, manqua de peu de se fracasser la tête contre le toit de la camionnette, se branla encore deux ou trois fois puis commença à décharger dans ma bouche. Le pied total !

Deux gros jets de sperme vinrent s'écraser sur ma joue droit. Je sentis le foutre couler en cascade le long de mon visage vers mon cou. Un autre jet, plus puissant, atteignit mon nez. Je continuais  cependant mon travail de pute : je léchais ainsi le gland crémeux de Charles pendant quelque instant. Ce dernier s'amusait à passer son pieu plein de foutre sur mon visage et m'ordonnait de continuer à le lécher :

''Tiens, y en a encore ! C'est bon le yop, hein mon gars ?''

Charles me traita une dernière fois de tapiole puis égoutta sa bite sur ma gueule. Il récupère ses fringues qu'il avait balancées et commença à se rhabiller. Tout en faisant, il m'intima l'ordre de me presser :

''Magne-toi, salope ! Tu veux faire gueuler ton abruti de père ? ''

J'étais malmené mais heureux : un mois à bosser au milieu d'hommes du même tonneau que Charles !

Ça allait être ma fête !

''T'avise-pas à raconter ça à tout le monde, morpion, surtout à ton père…Tu n'aimerais pas qu'il me vire, pas vrai ? ''Ajouta-t'il, un brin vicelard.

''N'oublie-pas que, si tu veux encore gouter une fois à ma queue, tu dois la fermer. P' t'être bien que la prochaine fois, je te la foutrais dans ton cul !'' me dit-il en guise de promesse, tout en mettant le contact.

Je me rhabillais en vitesse et m'installais sur le siège passager, Charles accéléra et nous fîmes route vers le chantier de mon père à vive allure…

Charles se gara à proximité d'un des deux baraquements présents sur le chantier. Nous descendîmes tous deux de la camionnette rapidement. Charles conservait son petit sourire narquois ce qui m'agaçait un peu.

Il se dirigea vers le plus petit  des deux baraquements qui était le bureau de fortune de mon père. J'allais lui emboîter le pas mais je me ravisais : je n'avais pas vraiment envie de me retrouver face à mon père qui ne manquerait pas de m'engueuler pour mon retard. Aussi, je décidais de rester à l'extérieur, histoire de mater un peu autour de moi.

Comme  il était prés de 9 heures, la plupart des ouvriers étaient déjà bosser sur d'autres sites. Alors que je pensais qu'ils étaient tous partis, mon attention fut captée par un gars que je n'avais jamais vu.

Curieusement, de loin il ressemblait un peu à papa mais il était dix ans plus jeunes. Même stature, même barbe fournie noire. Mais pas poilu, à mon grand regret, il était simplement vêtu d'un jean, d'une casquette et de grosses chaussures.

Pendant que je l'observais, il alluma ce qu'il me sembla un cigare-ben voyons ! il ne s'emmerde pas celui-là…A mon avis, il ne fera pas de vieux os ici…

Je ne pouvais néanmoins détacher mon regard de ce beau mâle vigoureux. Je m'attardais tout particulièrement sur son paquet que j'estimais imposant. Des idées perverses m'assaillirent. Je venais de sucer Charles et voila que mes sens étaient déjà en émoi ! Vraiment, je resterais pédé jusqu'au bout !

Tandis que je m'abandonnais à des coupables idées, une voix de stentor éclata. C'était évidemment papa qui mettait son grain de sel. L'homme s'approcha de mon père qui était sorti du baraquement avec Charles. Ce dernier me semblait toujours aussi arrogant. Avait-il raconté à mon père ce qui venait de se passer ? Non, il risquait sa place. Mais comment être sur ?

Papa discuta un moment à voix basse avec l'inconnu. Puis celui-ci et Charles montèrent dans la camionnette qui m'avait emmené ici : sans doute un nouveau chantier en perspective ! Restaient papa et moi. Il me fit signe d'entrer dans son bureau ce que je m'empressais de faire : j'allais recevoir une soufflante !

Papa s'assit dans un vieux fauteuil en cuir et poussa divers papiers qui encombraient  son bureau. Il se tourna alors vers moi et son visage se durcit :

''Alors, on se prend du bon temps ?'' me demanda-t-il, les traits tirés. Du bon temps, comment ça ? Charles avait donc craché le morceau ? Pendant que je réfléchissais, il ajouta :''pour ton premier jour, tu aurais pu arriver à l'heure !''

Ouf !ce n'était que pour mon retard !

Comme je reprenais un peu d'aplomb et que je voulais éviter une nouvelle engueulade, je décidais de détourner l'attention de mon père sur un autre sujet :

''T'as engagé un nouveau type ? Je ne connais pas le gars qui est parti avec Chacha.''

La repose de p'pa fut tranchante :

''Pourquoi ? Tu compte te le faire aussi ?''

Merde ! Il savait ! Comment Charles avait pu…

Papa ne me laissa pas réfléchir davantage :

''J'en ai entendu de belles sur ton compte, tu sais ! J'avais deviné certains trucs chez toi mais je n'avais pas compris à quel point tu n'étais qu'un sale pédé !''

Alors que j'aurais voulu disparaître sous terre, mon père s'adossa plus confortablement dans son fauteuil lequel grinça. Visiblement, il prenait son pied à me torturer de la sorte ! Il commença à sourire d'une façon bizarre, un peu comme Charles tout à l'heure :

''Tu sais, Charles m'a tout raconté…Il m'a dit ce que vous avez fait tout à l'heure…Et ça me fait bien bander, pédé !''

Puis il porta ses mains sur son entrejambes et entreprit de se masser le paquet sous mes yeux stupéfaits ! Il dégrafa son jean déchiré et commença à se taper une queue devant moi !

Quoi ? Mon vieux se branlait devant moi ?

Pour la première fois, je le voyais en action. Oh, bien sur, j'avais déjà eu l'occasion de mater discrètement sa queue à diverses occasions. Mais là, je n'avais pas besoin de me planquer ! J'étais hypnotisé par le va-et –vient de la main droite de mon père. Il se branlait carrément devant moi, sans vergogne ! Ce faisant, il se caressait également le téton gauche tout en grognant de façon bestiale. Un vrai ours !

Papa transirait maintenant : je le voyais à la sueur qui coulait de son front. Il accéléra la branle puis arrêta brusquement :''Non, je ne vais pas juter maintenant ! Je serais con de jouir maintenant alors que j'ai une pute à ma disposition !'' La pute en question, c'était moi ! Et bien, il allait en avoir pour son argent mon père !

Papa enleva sa grosse chemise en toile et se leva. Il baissa son futal à ses genoux. Il portait un jockstrap ce que j'ignorais. Je croyais qu'il était plus traditionnel et qu'il portait plutôt des slips kangourou ! Mais je n'étais pas au bout de mes surprises !

''Pompe-moi ! me dit-il. Il avait employé son ton de commandement qui, chez lui, était inné. Je ne pouvais qu'obéir et ce, à double titre. Il était à la fois mon père…et mon employeur !

Je m'agenouillai donc devant lui et commença à le pomper.

Papa avait sorti sa bite du jockstap. Je pus voir qu'il portait également, à la base de sa queue un cockring. Décidément, mon père était dans le coup ! Ce n'était donc pas le vieux con que je croyais ! Il accentua sa position dominante en mettant de façon délibérée sa grosse main calleuse sur ma tête. Il voulait me faire comprendre que c'était lui le chef ! Ne voulant pas du tout le contrarier sur ce point, j'exécutais tous ses désirs.

Papa me baisait la bouche de toute la masse de ses 90 kilos ! Je sentais toute son énergie concentrée dans sa queue qui me remplissait totalement la gueule. Je ne pouvais le décevoir, moi, son fils ! Aussi, accélérais-je la fellation. Mais p'pa avait d'autres idées encore plus lubrique ! Il me releva de force, m'entraina vers une table à dessin d'où il retira quelque plan. Je fus plaqué contre la table. Papa se baissa et, non, je n'y croyais pas ! Il s'agenouilla à son tour mais au lieu de s'occuper de ma bite, il débuta un sévère léchage de fion !

Je sentais sa grosse langue fourrager mon cul. Sa barbe drue m'arrachait des cris de jouissance ! Se faire bouffer le cul, c'est bon mais par un mec barbu, ça devient orgasmique !

Je remarquais que mon père ignorait superbement ma queue. Seul mon cul semblait l'intéresser. Reste hétéro ? Probable sinon comment interpréter cela ? Pour ma part, peu m'importait, j'étais comblé. De toute façon, j'étais à 100% passif alors mon cul en priorité…Et papa avait deviné cela !

''on dirait que ça te plait de te faire bouffer le cul ?'' me dit-il entre deux grognements ''puisque tu me sembles si sensible du cul, je vais m'occuper de son cas !''

Aussitôt dit…aussitôt fait !

Papa se releva et força sans prélude mon anus. J'étais dans un état second. Afin de l'exciter davantage, mais en avait il encore besoin, je mis mon pied gauche sur la table à dessin afin de prendre une pose encore plus provocante.

''Prend-la dans ton cul, pédé de fils ! ''Me dit il sans manière. Je serrais les dents car papa l'avait plutôt grosse.

Je subis un enculage profond pendant longtemps. Je m'étais quelquefois amusé à me doigter ou goder avec divers instruments mais rien de comparable avec ce qui m'arrivait à présent ! Alors que j'allais crier grâce, mon papa sortit sa queue de mon cul et me demanda de m'allonger au sol.

Je compris que je n'étais pas le seul à être en feu ! L'éjaculation était toute proche !

Je ne me trompais pas ! p'pa me faisait virilement face, les jambes écartées. Il était debout et se masturbait énergiquement. Il se pinça le téton droit cette fois et, les yeux mi-clos, juta sur le corps de son fils. Je ne pouvais me retenir davantage : j'éjaculais à mon tour dans la plus totale dépravation. Mon sperme gicla comme jamais !

Ma jouissance fut immense ! De gros paquets de foutre s'écrasèrent sur mon torse et se mêlèrent à ceux de mon géniteur. La boucle était bouclée, si je puis dire ! Je sentais même par moment le gout tenace du sperme de Charles dans ma bouche. Vraiment, quelle matinée ! Mon seul regret : ne pas m'être fait le bel inconnu ! Je le confiais à mon père qui éclata de rire :

''Tu veux aussi te faire David, le fils de Charles, après ce que Charles et moi on t'a mis ? T'es vraiment un enculé de première, tu sais fiston ? '' Ainsi, il s'appelait David, et en plus le fils de Charles…Et bien le prochain su ma liste, ce sera lui…A moins que…

''J'ai cru comprendre que Ali et Mohamed avaient des vues sur ton petit cul de salope…''rajouta mon père, goguenard. Ainsi la plupart des mecs étaient au courant ? Bien, ça allait faciliter grandement ma tache ! Mais, au fait pourquoi mon père avait bien voulu m'engager sur son chantier s'il savait tout cela ? Je lui posai la question ce à quoi il me répondit ironiquement :

'' J'ai remarqué que les mecs obéissaient mieux quand ils avaient les couilles vides…Va savoir pourquoi !

Du coup, au lieu de payer des putes, ce qui m'aurait couté cher, j'ai préféré me débrouiller avec les moyen du bord !''

J'allais don être le pédé, la pute, en titre du chantier de mon père ? 15 à 20 gars à  soulager quotidiennement !

J'allais être vanné en fin de journée…

Quoique…en s'y prenant à plusieurs…Papa et moi nous relevâmes. Puis, le regard tourné vers l'extérieur, nous attendîmes tranquillement le retour des ouvriers.

Mes en les attendant, je ne suis pas resté inactive longtemps, j'ai de nouveau sucé mon père avec gourmandise.

Depuis avec mon père nos relation on bien changer, je suis devenu sa pute, des que ma mère et pas là, je me fais défoncer la bouche et le cul par mon père ''et j'aime ça''.

Et il me traite de pute discrètement, même quand ma mère et là.

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Mercredi 20 janvier 3 20 /01 /Jan 18:32

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Moi j''habite dans une cité.

Un jour, par hasard, je suis allé boire un verre dans un bar d'un quartier chic pendant le boulot.

Le troquet était fréquenté par des petits mecs de 19-20 ans.

En fait j'ai appris qu'il y avait un lycée privée juste à coté, un endroit très chicos, pour fils à papa friqués.

Il y avait beaucoup de beaux mecs sur le lot.

Les petites salopes étaient mignonnes aussi, fringuées modes et sexy, mais c'est pas mon truc les filles.

Je reluquais juste les minets.

Parmi eux, j'avais repéré un petit brun assez efféminé.

Il était avec ses copains mais il ne parlait pas, comme s'il s'ennuyait.

Nos regards se sont croisés plusieurs fois.

Pour être sur de l'intérêt qu'il me portait, je me suis rendu aux toilettes, non sans l'avoir fixé intensément en passant devant lui.

J'avais la bite à la main et je pissais à gros jet lorsqu'il est arrivé.

Il s'est installé à la pissotière voisine. Du coin de l'œil, j'ai vu qu'il matait ma queue.

Je me suis mis de trois quart pour lui faire plaisir et, sans le regarder, j'ai dit d'une voix autoritaire : « t'as envie de la sucer peut être ? ».

Le mec n'a rien répondu mais il s'est dirigé vers une des cabines qui fermait à clé.

Je l'ai rejoint sans rentrer mon zob qui dépassait toujours de ma braguette.

Je pensais l'embrasser et le toucher un peu mais il ne m'en a pas laissé le temps.

Déjà il s'était courbé sur moi pour attraper mes couilles dans sa main.

Sa bouche en cœur s'est posée sur mon gland.

Se faire pomper la queue par un mec, c'est déjà un plaisir, mais le lever aussi facilement et se faire donner la turlutte dans un endroit pareil, et qui plus est par un fils de bonne famille, ça c'est vraiment le grand pied.

Mon chibre s'était mis en position « gros dard » et le petit s'en occupait à merveille.

Au bout de quelques minutes de pompage intense, j'ai du le prévenir : « Si tu veux pas m'avaler t'as intérêt à t'arrêter ». Il a fait mine de ne rien entendre, se goinfrant encore plus goulument de mon sexe.

Puisqu'il en était ainsi, je ne me suis pas retenu, libérant les vannes de mes couilles pour lui envoyer la sauce bien profond dans la bouche.

Ensuite je l'ai enlacé amoureusement en lui proposant : « tu veux continuer ? » Il a répondu : «normalement j'ai cours mais je peux faire sauter ».

Au fait je m'appelle David ». Evidemment ça me branchait bien de tirer un coup avec David chéri.

Le seul problème c'est que je savais pas ou l'emmener pour baiser tranquille. Lui, il connaissait un endroit.

C'était pas un palace vous pouvez me croire, mais suffisamment discret pour faire notre petite affaire en toute tranquillité.

David était un bon amant, à la fois bien élevé et bien vicieux. Je l'ai revu presque tous les jours.

Il m'a présenté ses amis. Tous sont du même milieu social que lui.

La plupart sont homos. Mon look un peu voyou et mes manières rudes de livreur semblent les exciter. C'est comme ça que j'ai découvert le pouvoir que j'exerçais sur eux. Pas un n'y résiste. Je peux exiger tout ce que je veux, comme un roi avec son harem ou un maquereau avec ses putes.

La dernière fois, j'ai eu envie de m'offrir une petite baise en groupe.

Nous nous sommes retrouvés dans une splendide villa en plein Paris. Les parents de Christophe, un ami de David, 2taient absents, A mon avis ils seraient bien surpris s'ils apprenaient que leur fils organise des partouzes homos quand ils ont le dos tourné.

En parlant de dos tourné, c'est exactement la position qu'occupait David. Il était courbé sur un immense billard et il me provoquait de son petit cul cambré.

Je me suis collé à lui pour qu'il sente ma pine bandée. Christophe nous a apporté son aide, tout comme Guillaume, un autre minet.

Et oui, j'avais trois petits mecs pour moi tous seul. Y a des moments comme ça dans la vie où on a l'impression de vivre un rêve.

David s'est retrouvé cul nu. Mes deux « assistants » me branlaient et me suçaient gentiment. Moi je doigtais la rondelle du petit allumeur.

J'ai demandé à Guillaume de guider ma queue au bon endroit. Il tenait mes couilles dans sa main et il tirait sur le paquet, en douceur, pour m'introduire dans le fion d David qui gémissait de volupté.

Quand à Christophe, il s'était relevé pour me rouler une pelle et caresser mon torse velu.

C'est comme ça qu'on a niqué le premier coup. Après nous avons varié les positions et les combinaisons, et avec trois minets, je vous jure qu'on peut faire des choses.

A la fin, il y avait un joli tas de capotes souilles sur le billard.

En préservant mes forces, je me suis envoyé les trois minets, leur donnant à chacun ce qu'ils voulaient.

Depuis, je retourne presque tous les jours dans le quartier. David reste mon petit ami numéro un, mais je peux me faire les deux autres quand je veux.

J'ai juste à claquer des doigts et ils se jettent sur ma queue pour lui faire du bien. Je pourrais me taper d'autres fils à papa dans leur genre, mais pour l'instant trois petits cochons pur un seul loup, c'est bien suffisant.

Vous allez dire, il pourrait partager et nous filer l'adresse de son bar à minets pour qu'on aille tirer de bons coups nous aussi.

Je vous le dit tout de suite : n'y comptez pas ! Je le garde pour moi.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 10:18

vilareal

Les examens approchant, je sors de cours ce soir-là à 22h30, crevé d'avoir révisé toute la journée et impatient de retrouver mon mec à la maison. Je pense à lui dans le bus, à sa gueule de petite racaille macho, à ses abdos si parfaitement dessinés, à sa queue circoncise de rebeu mais aussi à l'amour infini que je lui porte. J'ai quitté la maison familiale pour m'installer avec lui très tôt et depuis, installé dans le petit deux-pièces qu'il a pu louer après avoir arrêté ses études pour commencer un boulot de réparateur en informatique, nous ne pouvons plus nous quitter. Il est capable d'une incroyable tendresse comme d'une vraie brutalité de mec de cité dominateur et c'est justement ce paradoxe que j'adore en lui.

En arrivant devant notre porte, j'entends des rires et je remarque une odeur de beuh qui se dégage jusque dans le couloir. Putain ! J'avais oublié sa soirée avec ses potes… Moi qui rêvais de me lover dans le canapé, c'est mort.

J'ouvre la porte, ils sont là, 6 rebeux entre 22 et 26 ans, avec leur look de racaille, casquette, jogging, baskets, leur verre de sky dans une main et leur joint dans l'autre. Mehdi, mon mec, lève la tête et sourit :

-       Ça va ma poule ? On parlait de toi justement !

-       Ah ouais ? J'ai bien fait d'arriver avant que ça devienne méchant alors !

-       Mais nan t'inquiète on parlait de vendredi soir dernier. Je disais que Karim t'avait méchamment abîmé, tu te souviens ? Hein Kamel ?

Près de la télé, Kamel acquiesce. Je l'aime bien Kamel, il est plutôt timide et doux comparé à ses potes mais il est mignon comme tout et il a une bonne queue. Le vendredi précédent, il m'avait baisé en plan à 3 avec mon mec et un autre, que je connais pas très bien mais que Mehdi adore. C'est vrai que putain, quand j'y repense, ce Karim était plus que domi : c'était un vrai violent. Non seulement il m'avait défoncé à coup de bite bien hard, mais en plus il me foutait des baffes, des fessées et des coups de pied de malade. J'avais morflé ce vendredi-là…

Ce soir, à part mon mec bien sûr, je ne connais que Kamel, le gentil. Les 4 autres, je ne les ai jamais vus. Ah si, celui qui est sur la droite peut-être, le grand baraqué tout en gris. Je crois que je l'ai croisé déjà. D'ailleurs Mehdi fait les présentations :

-       Les mecs, je vous présente ma poule ; ma poule, je te présente Jordan, Jean-Luc et Ahmed. Et Steph tu le connais non ? Il était là au nouvel an.

Ah oui, c'est ça. Le grand baraqué du nouvel an qui avait fini par embarquer une espèce de pouffiasse à gros seins. Je regarde vite fait les 3 autres, Jordan, super grand, très maigre, avec une barbe mal rasée et des dents déjà pourries ; Jean-Luc, assez looké avec ses strass sur la casquette ; Ahmed, un géant qui doit peser bien 100 kilos mais qui a une bonne tête.

Mon mec revient à son sujet :

-       Les gars je vous dis pas comment Karim il s'était défoulé. Mais bon c'est un pote, c'est normal, j'allais pas le priver de ça quoi.

Kamel sourit, Jean-Luc et Ahmed se marrent. Jordan, lui, ne dit rien mais lance à mon mec :

-       Mais sérieux ça te fait pas chier que ton mec se fasse tirer par d'autres keumés ? Moi ça me foutrait les boules que ma nana aille voir ailleurs.

-       Mec c'est pas d'autres keumés, c'est mes potes. Je partage. Ça me fait plaisir. Je me fais pas chier avec une meuf parce que j'ai besoin d'une bonne salope au lit ; j'en ai trouvé une je vais pas la garder que pour moi. Je suis un communiste moi !

Ils se marrent et moi avec. Bref, enfin je suis quand même crevé et je lance :

-       Bon, je vais me coucher, suis naze. Faites pas trop de bruit.

-       Attends ma poule, prends juste un verre.

Mais je vois déjà Jean-Luc, le looké, qui reprend :

-       Eh mais sérieux, si t'es ok Mehdi moi je veux bien me vider les couilles, hein ! Suis pas pédé mais t'as l'air de dire que c'est comme une meuf, quoi !

-       Mais mec c'est mieux qu'une meuf, répond mon Mehdi. Et si t'es cho vas-y, fais-toi plaiz. La chambre est à côté.

Et merde… Moi qui voulais me pieuter… Mais déjà Jean-Luc s'est levé, ses mouvements faisant briller ses strass dans la lumière du salon :

-       Bon ben les gars, à plus hein ! Mehdi t'es sûr de toi là ?

-       Putain fais pas chier et éclate-toi. T'inquiète tu peux y aller, il a l'habitude.

-       T'as des capotes ?

-       Ouais si tu veux, dans la table de nuit. Mais je te fais confiance, t'es pas obligé.

Jean-Luc passe près de moi, me fait un clin d'œil. Je passe une main sur l'épaule de Medhi qui me sourit en disant : « à tout de suite ma poule. »

 

J'entre dans notre chambre, Jean-Luc referme la porte et direct vient m'appuyer sur les épaule pour me faire mettre à genoux. Aussitôt je baisse son jogging et commence à lécher son boxer. Le paquet est plutôt prometteur. Je sens les mains de Jean-Luc sur ma tête qui me caressent les cheveux et me plaquent la bouche contre sa queue qui commence déjà à durcir.

-       Vas-y sale pute lèche bien ma queue ! Fais-moi bien bander, je vais te la mettre profond. Tu kifes les queues de rebeux hein ? T'es une bonne salope, ça se voit sur ta gueule. Je vais te déboîter la mâchoire.

Je surkife sa façon de me parler. D'une main je baisse son boxer et voit surgir une belle bite circoncise, bien longue, pas ultra large, bien mise en valeur sur des poils entretenus et de belles couilles rondes. Je me jette sur sa bite et direct il m'impose son rythme, bloquant ma tête de ses mains et faisant de grands mouvements du bassin pour me niquer la bouche en continuant à me traiter de salope, de bonne suceuse, de petite pute. Ses gestes font cliqueter sa chaîne en toc dorée. Sa bite est super douce, elle me pénètre bien jusque dans le fond de la gorge et je peux m'éclater à alterner les fonds-de-gorge avec des mouvements plus soft.

Après 5 bonnes minutes de suce, il se penche vers mon cul, passe une main sous mon jean et commence à me doigter pendant que je lui lèche les couilles. Puis je me relève, j'ai à peine le temps de virer mes fringues qu'il me jette sur le lit en lançant « Vas y sale chienne fous-toi à quatre pates que je te nique la chatte ! »

J'obéis aussitôt et je sens direct sa queue coulisser sur mes fesses ; il joue quelques secondes comme ça en crachant sur ma raie, en me doigtant pour lubrifier mon cul avec sa salive, puis il crache sur sa bite et je sens son gland qui se positionne. Je me cambre à fond, son gland essaie d'entrer, il y arrive pas ; je me prends une fessée, puis deux, il me dit de bien m'ouvrir pour accueillir sa queue ; je fais du mieux que je peux mais j'y peux rien si je suis serré. Il crache encore, me fous quelques doigts, puis je sens qu'il s'impatiente et il choisit la méthode forte : d'un coup, c'est tout son gland qui me pénètre brutalement. Je crie, d'une main il m'enfonce la tête sur le lit puis force encore pour faire entrer le reste de sa queue en une fois. Je sens ses couilles sur le bas de mes fesses et ses va-et-vient commencent aussitôt. Je me fais bien niquer par toute la longueur de sa bite qu'il fait coulisser toute entière dans mon cul, la sortant complètement, me le remettant profondément tout d'un coup, puis me baisant comme un chien, par petits à-coups avant de reprendre ses mouvement plus amples. Sa queue me fait du bien, une bonne bite de rebeu comme je les aime, assortie de ce côté macho des petites racailles de cité qui se croient super puissants parce qu'ils ont arrêté le lycée et fument des joints dans leur cave. Ses mots aussi me font du bien, ses insultes, les compliments qu'il se fait sur « sa méga bite qui me défonce bien », les compliments qu'il me fait sur « ma bonne chate de vide-couilles à doser »… Et effectivement ça ne tarde pas, je l'entends respirer plus vite, un peu plus fort, sa queue gonfle un peu dans mon cul et son râle quand il largue son jus dans mon ventre avant de s'effondrer sur mon dos…

Pendant quelques secondes il ne bouge pas, puis se retire et me lance : « Vas y nettoie-moi la queue vite fait. »

Je m'agenouille par terre et ma tête vient entre ses cuisses alors qu'il s'est assis sur le bord du lit. Il a déjà débandé mais sa queue est toujours très longue. Je suce bien son gland pour avaler les toutes dernières goutes de sperme, je lèche soigneusement toute sa bite, puis il se relève, remonte son jogging qu'il n'avait même pas enlevé et me dit en ouvrant la porte : « Putain c'est vrai que t'es bonne toi ! ».

 

J'ai à peine le temps de m'allonger sur mon lit que la porte s'ouvre à nouveau, laissant passer Jordan, le grand maigre, et Ahmed, celui qui est vraiment gros. Je souris en les voyant tous les deux l'un à côté de l'autre : deux racailles rebeux avec leurs gabarits tellement différents. Ahmed prend mon sourire pour une invitation et me lance :

-       Ton mec nous a dit qu'on pouvait venir aussi.

-       Ouais bien sûr, pas de problème.

Je suis fatigué mais je peux pas résister à un truc à trois. D'ailleurs Jordan s'avance déjà en se caressant le paquet à travers son survet. Je me remets à quatre pates sur le matelas, il choppe ma tête et la plaque contre ses couilles. C'est un vrai truc chez eux de me faire sniffer leur teub alors qu'elle est même pas sortie ! Je sors ma langue et commence à lécher par-dessus le tissu. La bosse est plutôt prometteuse. A côté, Ahmed a sorti sa queue et se branle déjà en matant. J'ai pas envie d'attendre, à deux mains je descends le fut et le caleçon de Jordan et prends en bouche sa queue à demi-molle. Elle pue un peu la pisse mais je connais mon taf. Il doit le sentir parce qu'il bande direct dans ma bouche et commence à me la baiser. Je joue avec ma langue sur son gland, je caresse ses couilles en même temps ; putain j'en reviens pas du morceau : j'ai la gueule complètement remplie et il en reste encore un bon tiers ! Et vachement épais avec ça. Je vais déguster s'il me nique, celui-là ! Je jette un coup d'œil à côté vers Ahmed qui s'est approché, pantalon sur les chevilles : c'est tout l'inverse, sa bite est bien raide mais assez courte et pas très large. C'est drôle, ça contraste avec son corps massif et sous son gros ventre ultra poilu ça a l'air encore plus petit. Après tout je m'en fous, une queue est une queue et j'ai aussi envie de lui. Il se branle toujours pendant que Jordan me défonce la bouche en silence. Après quelques minutes, je me recule moi-même pour m'occuper de la teub d'Ahmed, qui voyant ça s'écrie : « Putain t'aimes vraiment trop la bite toi ! » ; et aussitôt il me fourre la sienne entre les lèvres. Je le pompe comme une chienne pour bien lui montrer qu'il a raison, en même temps je sens les mains de Jordan qui commencent à me caresser le cul après avoir enlevé toutes ses fringues. C'est tellement bon d'avoir un mec devant et un mec derrière ! Dans ces moments-là je me dis que je suis vraiment fait pour ça. Ahmed aussi me le dit, me traitant de pute à queues, de bonne chienne à tourner, de sac à foutre. Il me claque la gueule avec ses grosses mains, me tient le menton pour que je le regarde en le suçant et me lâche de gros mollards sur le visage, qui coulent sur ma peau et s'écrasent sur mes draps. Derrière moi, Jordan me glisse deux doigts dans la chatte. Je l'entends chercher quelque chose, il ouvre la table de nuit et attrape une capote, déchire l'emballage et se la met rapidement sur la queue. Il place son gland sur mon trou et s'exclame :

-       Et merde…

-       Qu'est-ce qui t'arrive mec ? lui fait Ahmed en me baisant toujours la gueule.

-       J'ai craqué le préso ; attends j'en prends un autre.

Ce qui fait, mais il n'est manifestement pas doué parce qu'il le pète aussi en se le mettant trop vite.

-       Fais chier putain.

-       Vas y t'emmerde pas baise-la à cru cette pute.

-       Ouais mais je sais pas, c'est un pédé quand même.

-       Et alors ça fait quoi ? C'est une pute, Mehdi il a dit qu'on pouvait y aller.

-       Vas y t'as raison.

J'ai à peine le temps de me cambrer qu'il m'enfonce tout son gourdin dans le cul. Je gémis grave mais suis étouffé par la petite bite d'Ahmed qu'il maintient toute entière dans ma bouche. Ils se mettent à me baiser en rythme, moi avançant vers le gros ventre d'Ahmed en me tenant d'une main à ses larges cuisses poilues quand Jordan vient jusque dans le fond de ma chatte, puis reculant quand il se retire avant de la replonger toute entière. Jordan me tient fermement par les hanches, s'agrippe violemment à la peau de mes fesses mais ne dit toujours pas un mot ; Ahmed, lui, m'insulte copieusement en se faisant plaisir dans ma bouche qu'il baise vraiment comme une chatte. Je sens ses couilles contre mon menton, c'est bon, je me sens bien, la gueule et le cul remplis par des bites de beurs en chaleur qui ne pense qu'à se vider les couilles dans mon corps, le corps du mec de leur pote qui lui-même n'a pas une seconde pensé à me demander mon accord avant de leur dire de me sauter. Je suis sa pute, je suis leur pute, et j'aime ça. Ils le savent d'ailleurs et ne se privent pas d'en profiter, me défonçant brutalement dans tous les sens avant de décider d'inverser les rôles.

Jordan se retire de mon cul d'un coup et vient devant moi pendant qu'Ahmed passe derrière. Je me jette sur la grosse bite de Jordan et le suce avec gourmandise ; c'est kiffant de passer de l'une à l'autre, si différentes. Je sens la queue d'Ahmed qui s'enfonce en moi, malgré le passage de celle de Jordan je me sens bien rempli, c'est peut-être dû au fait qu'il m'écrase avec son poids, il est penché par dessus-moi, ses grosses cuisses collées contre les miennes, son ventre sur mon dos, il me baise très vite, par des petits mouvement saccadés, en respirant très fort ; sa sueur coule de son corps et s'écrase sur ma peau. Il s'est arrêté de m'insulter. Je glisse un regard vers la droite ; le grand miroir sur le mur renvoie l'image de mon petit corps blanc tout mince, baisé d'un côté par un gros rebeu luisant et de l'autre par un grand maigre, à la peau plus foncée encore, qui fait coulisser son sexe gigantesque entre mes lèvres. Jordan m'a attrapé par les cheveux et me fait pomper sa queue à toute vitesse, l'enfonçant le plus loin possible dans ma gorge ; je kife cette façon bien macho de me démonter la gueule, je lève les yeux vers lui, il a un sourire pervers, presque sadique en me regardant le sucer, puis il relève la tête, la penche en arrière, ferme les yeux et se met à gémir doucement avant de lâcher toute sa sauce dans ma bouche tout en continuant à me faire pomper sa queue. A peine quelques secondes plus tard, Ahmed se lâche aussi, mais dans ma chatte, me remplissant de son sperme en s'effondrant complètement sur moi. J'avale consciencieusement tout en pensant que le jus d'Ahmed rejoint celui de Jean-Luc au fond de moi. Jordan s'est assis sur le lit, face à moi, sa bite toujours dans ma bouche, que je nettoie doucement. Nous restons tous les trois sans bouger pendant une minute. Je me sens tellement bien, je voudrais rester comme ça toute la nuit. Il ne manque que les mains de mon mec pour me caresser le corps et ce serait parfait. Ahmed est le premier à se relever, sa bite molle se retirant de mon cul dans un bruit mouillé ; presque aussitôt Jordan sort de ma bouche et se lève aussi. Ahmed lance « Putain ça fait du bien d'avoir les couilles vidées » en remontant son survet pendant que Jordan cherche ses fringues ; Ahmed me sourit en me disant « Allez à plus ! », Jordan me fait un check et ils sortent de la chambre.

J'entends des exclamations, des rires dans le salon, j'ai hâte que Mehdi me rejoigne pour passer la nuit avec lui. Rien ne se passe pendant plusieurs minutes à part les rires et les conversations qui continuent. Je commence à m'endormir.

 

Je suis réveillé par une voix dans mon oreille : « Ma poule ! T'es encore en forme ? » ; j'ouvre les yeux, c'est lui, mon mec, penché vers moi, qui me tend un verre d'eau : « Vas y rince toi la bouche ». J'obéis puis il m'embrasse. J'aperçois derrière lui Kamel, debout, l'air toujours aussi timide. C'est pourtant pas la première fois qu'il est invité dans notre chambre. Mon mec me murmure : « S'il te plait bébé, Kamel veut juste se faire sucer. Ok ? »

Ben oui ok. Evidemment ok. Je peux pas dire non à mon mec. Je lui dis jamais non d'ailleurs, il le sait. C'est pour ça qu'il ne pose jamais la question, ou alors pour la forme, par politesse, ou pour me faire comprendre qu'il faut que je m'active.

 

Je fais un sourire à Kamel qui, rassuré, s'approche. Mehdi va s'installer dans le fauteuil pour nous mater. Je le regarde du coin de l'œil en commençant à caresser le torse de Kamel qui a viré son t-shirt. Il me caresse tendrement la tête en sortant sa bite. Il bande déjà, ses 18 centimètres me frôlent la joue, j'ouvre la bouche et lèche son gland, puis descends jusqu'à ses couilles pour passer ma langue tout le long de sa queue avant de toute prendre d'un coup entre mes lèvres pour lui faire un fond-de-gorge direct. Il gémit doucement, je sais ce qu'il aime mon Kamel, je l'ai déjà sucé un nombre incalculable de fois, et il m'a baisé presque autant. Quand Mehdi n'a pas confiance dans certains mecs qui lui demandent de me sauter, mais qu'il n'est pas là pour rester à côté, c'est Kamel qu'il envoie me protéger. Sous ses airs timides, il est capable de bien cogner et m'a déjà sauvé deux fois de connards qui voulaient me tabasser. Alors je lui dois bien de me donner à fond sur sa queue. Il n'a pas besoin de me tenir la tête ou de me tirer par les cheveux pour que je le pompe avec passion et il le sait. Il me laisse faire. J'en profite pour y aller à mon rythme, alternant les moments où je suce tranquillement son gland en caressant ses couilles avec des temps plus rapides, plus profonds, pendant lesquels le contact du fond de ma gorge avec le bout de sa bite lui arrachent des gémissements rauques de plaisir. Quand je sens qu'il est sur le point de jouir, j'enchaîne les fonds-de-gorge puis finis par ne le sucer qu'avec son gland le plus profondément enfoncé dans ma bouche, ne faisant que des petits mouvements très rapides jusqu'à ce que je sente sa queue se gorger de sperme et lâcher sa crème qui tombe directement dans mon estomac. Il est agité de petits soubresauts en giclant, se vidant de ses dernières goutes de jus toujours calé dans ma bouche pendant que ma langue lui caresse la base du gland. Il se retire, on se sourit, il se penche pour me faire un smack.

Je vois Mehdi qui se branle tranquillement à côté, souriant. Il lance à son pote : « Tu connais le chemin mec. » Kamel sort de la chambre en refermant la porte derrière lui. Mon mec s'approche, d'une main puissante il me fout à quatre pates sur le lit et, toujours debout, m'enfonce brusquement toute sa queue dans le cul. Ses couilles s'écrasent contre mes fesses et il me baise sauvagement en gueulant « Putain de salope, t'as la chatte bien lubrifiée ! C'est trop facile de te baiser avec tout ce jus de rebeu là ! Je vais te mettre ma dose moi aussi, t'es à moi tu m'entends ? Je tasse bien tout le sperme dans ta chatte et je te remplis sale pute ! »

Je sais ce qu'il veut dire. C'est à lui de me baiser en dernier. Il ne me laisse jamais m'endormir sans son jus dans les entrailles si d'autres m'ont rempli avant lui. Il me rappelle qu'il est mon boss. Même si je n'ai pas besoin de ça pour le savoir, je ne dis rien, trop excité à l'idée qu'il s'apprête à jouir, lui aussi, à l'intérieur de moi. Il ne tarde pas à le faire, ses jets puissants giclant sur les parois de mon cul, se mêlant à ceux de ses potes, avant de s'écrouler à côté de moi, ses bras autour de mon corps, pour nous endormir tous les deux.

En sombrant dans le sommeil, j'ai une pensée pour Steph, le grand baraqué, le seul de ces 6 rebeux qui ne m'ait pas baisé ce soir. Mais la bite de mon mec encore en moi compense largement toutes les autres.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 12:44

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Bonjour à tous, voici mon histoire qui j'espère vous plaira.

Je suis un jeune minet d'à peine 20 ans, mince, brun aux yeux marrons. Un physique qui plait assez facilement dans le milieu gay, et surtout chez les plus âgés.

Cette histoire (mélange de fiction est de réalité) vous montrera ce que j'aime et ce que je suis.

Un jour, chaud comme la braise j'avais besoin de virilité, d'autorité, de testostérone. J'étais déjà depuis un moment sur une application de rencontre gay et un mec habitant pas loin de chez moi (ville en picardie) vint me parler: 35 ans, papa de deux enfants, en plein divorce. Il cherche un trou à défoncer, un minet à avoir à ses pieds. Il est grand, 1,85m brun cheveux très courts, musclé et une bite à faire baver n'importe qui!

Après avoir échangé quelques photos (plus ou moins suggestives et lui montrant ma docilité) et après l'avoir bien chauffé, l m'ordonne de lui donner mon adresse pour qu'il vienne chez moi.

Je lui donne et il me répond:

 "je suis là dans 15 minutes, prépare toi et attends moi comme il se doit salope. Je te veux nu, ça m'excite de savoir qu'un jeune cul de pute m'attend et laisse la porte ouverte je rentrerai moi-même."

Tout fou, je me déshabille (heureusement, ma toilette était déjà faite) et me met de suite face à la porte, à quatre pattes la tete regardant le sol en attendant mon baiseur. Attendre sans savoir depuis combien de temps je suis comme ça me rend encore plus salope, mon excitation est à son plus haut point.

J'entends des pas dans les escaliers, puis, juste devant moi, sans regarder je sens la porte s'ouvrir d'une manière affirmée, je sens sa présence, il est là, debout devant moi, grand, musclé, viril, dominateur. Sans le voir je suis déjà soumis à lui, sa présence m'impressionne et je ne bouge pas.

- quelle bonne petite pute, tu marques un point à m'attendre comme ça, t'es sexy salope

- merci

Et Bim, une gifle dans la gueule

- merci qui sale pute ??

- merci maître

- c'est mieux, allez lèche moi les pieds maintenant

Je me jète alors sur ses pieds, je suis au paradis. Je lui lèche à grands coups de langue ses bottines, et j'en profite pour le regarder, je vois d'abord son jeans légèrement moulant lui faisant des cuisses magnifiques et musclé avec son gros paquet moulé tellement il est imposant, puis je vois une chemise mise dans son pantalon, moulante et cintrée, développant ses pectoraux puissants d'homme viril, jeune père de famille prenant soin de lui. Et son visage, carré aux yeux noirs profonds et vicieux. Je le vois légèrement sourire et suis rassuré, il est satisfait.

Il me fait avancer vers le salon, moi le suivant à quatre pattes, il s'installe dans un fauteuil et je remarque qu'il a apporté un petit sac.

- viens ici ma chienne, j'ai quelques jouets pour toi, ferme les yeux.

Je les ferme est je sens qu'il m'attache un collier et une laisse. Il se dirige ensuite vers mon cul tout épilé, il malaxe mes fesses et me rentre directement quelque chose dans l'anus. Surpris je me contracte, mais sa fessées et sa voix dominante m'ordonnant de me détendre m'oblige à accepter l'objet, je ne comprends pas très bien.

Toujours habillé, il tire la laisse et me dirige vers un miroir pour me contempler, et là je vois que le plug est une queue de chien. Je bouge mon cul comme une grosse chienne et suis ravi de ce très bel objet. Je me jète sur ses pieds en le remerciant.

Retournés au salon il m'ordonne:

- lèche mon paquet salope.. oui... comme ça c'est bien, t'es une bonne grosse pute. T'aimes ça les bites de vrai homme; t'es qu'une sous merde, un vide-couille, voilà, montre moi que tu aimes ça.

Enfin il m'autorise à ouvrir son magnifique paquet. Sa bite tant attendue me saute au visage et je la lape tel un chien. Pendant se temps, il me tate les fesses, fait bouger ma queue de chienne et m'insulte.

Puis, il retire le plug queue de chien et me doigte, me fais lécher ses doigts, et me doigte encore et encore.

- retourne toi salope, le meilleur arrive

Il appuie ma tête contre le sol et en même temps me pénètre d'un coup sec( heureusement sa bite était lubrifiée de ma salive) et me bourine jusqu'au fond avec une énergie folle.

- oh ouais, quel bon cul bien serré, t'es une vraie pute toi, t'aimes ça salope ?

- merci maître, je suis vide-couille, servez vous de moi, je suis à vous

S'en suit une séance de baise folle dans toutes les positions, il s'amuse à tirer sur la laisse et parfois je suis au bord de l'étranglement mais j'aime ça, je suis à lui, son corps me domine, son esprit me domine, il est magnifique et je suis fais pour être soumis à des hommes comme lui, virils, plus âgés et expérimentés, dominants et brutaux.

Après 25 minutes d'enculade, il sort de mon trou tout élastique et tire sur la laisse pour mettre monvvisage sous sa bite. Il me remet le plug queue de chienne dans le cul.

Il finit de se branler et jute tout son jus de mâle dominant sur ma petite gueule de pute.

- branle toi, tu as 1 minute pour juter petite chienne

je suis tellement excité qu'en 30 seconde je jute tout sur le sol et il me plaque contre mon sperme

- lèche, je ne veux plus aucune trace, dépêche toi grosse pute

Pendant que je nettoie le sol de chez moi, je sens quelque chose de chaud m'arriver dessus, il me pisse dessus!!!

- continue de lécher, lèche et bois tout ma pisse, c'est un cadeau

Quand il a eut fini de pisser, il referma sa braguette et ne s'étend pas déshabillé pour me baiser, pris une photo de moi et partit.

- à bientôt salope, reste prêt à tout n'importe quand, tu es à moi.

Et il referme la porte. Je suis nu, à quatre pattes le cul cambré avec ma queue de chienne, mon collier et ma laisse à lécher sa pisse. Et surement par réelle soumission, je finis de tout lécher comme une bonne petite chienne.

Voilà, si vous avez aimé mon histoire n'hésitez pas à m'envoyer de nombreux mails: futocouli1

A bientôt :)

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Mercredi 30 décembre 3 30 /12 /Déc 13:47

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A 18 ans, j'étais au lycée à Lille en Terminale S. La journée de cours s'achève et je sors du bahut en fumant ma clope. A l'entrée, un camion est garé, un mec d'une trentaine d'années, black, assez grand, m'interpelle :

-"Tu aurais du feu s'il te plait?

-"Oui" je lui tends mon briquet. Il allume sa clope en me remerciant.

-"Tu es élève ici?" me demande t il.

-"Oui." Il m'explique qu'il venait de livrer une marchandise au lycée. On discute un peu, il me semble très sympathique.

-"Ca doit pas être marrant de rouler tout le temps seul

-"Oui, j'aimerai avoir de la compagnie de temps en temps. Tu fais quoi là, tu veux faire un tour?

-"Ben, je vais rentrer chez moi

-"Je vais jusqu'à Bethune et revient sur Lille après, si tu veux tu peux m'accompagner?" Je ne sais pas pourquoi mais son invitation m'intriguais...Je tél à ma mère pour lui dire que je passais chez un pote avant de rentrer à la maison.

-"Cool, c'est la première fois que je monte dans un camion comme ca!"

On monte dans son bahut, qui me parait très haut, on a l'impression de tout dominer à cette hauteur et il démarre direction Béthune.

-"Tu t'appelles comment?

-"Léo et toi?

-"Djibril. T'as une copine Léo?

-"Euh...non." J'étais gêné par la question sachant que je préférais les mecs. "Et toi?"

-"Je suis marié ouais, mais je la vois que le week end avec mon boulot de routier...donc la semaine j'aime m'amuser, tu vois, j'aime pas avoir les couilles pleines...."

Je ne savais pas trop comment réagir à ce que je venais d'entendre...j'avais presque l'impression que c'était une invitation mais bon....peut être me faisais je des histoires tout seul....

-"Mais tu fais comment du coup pour rencontrer des filles?

-"J'ai pas dit que c'était des filles que je rencontrais la semaine...." Voilà qui était plus clair....Je ne le voyais plus de la même manière désormais.

-"Ah ok...tu es bi alors? " je lui demandais

-"Ouais, on peut dire ça comme ca....et toi t'aimes quoi?

-"Euh...ben....

-"Je suis sûr que t'aimes la bite Léo....Je le sens...." J'étais très gêné et mon silence approuvait ce qu'il demandait.....

-"Et tu as beaucoup d'expérience avec les mecs?

-"Euh...un peu...

-"Hmmm c'est intéressant ça.....Ca fait deux jours que j'ai pas juté tu sais...." en disant ça, il s'était mis à se toucher le paquet....

-"T'aimes sucer? te faire prendre?

-"Euh...oui ca va....

-"T'aimes les grosses bites?

-"J'en ai eu qu'une fois une grosse et oui j'ai bien aimé...." Il avait désormais baissé sa fermeture éclair de son pantalon et passé la main dedans.....La nuit commencait à tomber doucement, je regardais du coup de l'oeil son paquet....

-"Ca te dit de me faire plaisir Léo?

-"Euh...pourquoi pas...."

Djibril sort alors sa bite....Je lache un léger cri d'extase devant son membre impressionnant.....

-"Donnes ta main" Il me saisit la main et la pose sur sa bite, toujours en conduisant....Je suis impressionné devant la largeur de son chibre....il a au moins 22 cm de bite !!!

-"Alors, comment tu la trouves?

-"Euh...grosse!" Je le branlais doucement....

-"Viens, détaches toi et assis toi entre mes jambes

-"C'est pas dangereux?

-"Non, t'inquiètes". Il avait enlevé son pantalon complétement, sa grosse bite trônait entre le siège et le volant.....

Je me détache et m'insère entre ses jambes, dans le peu d'espace disponible....Il m'attrappe la tête et me plaonge sa queue dans la bouche.

-"Suces moi salope"

J'avais jamais sucé une si grosse queue....j'avais du mal à tout rentrer et j'y arrivais d'ailleurs pas....

-"Hmmm...oui comme ça, vas y.....suces là à fond...." Je bandais aussi comme un fou....Putain je sucais une bite de black dans un camion en roulant le kiff!

Au fur et à mesure, je m'habitue au diamètre de l'engin, je le pompe bien, je bave de partout....

-"T'es une bonne suceuse tu vois, t'aimes bien la bite de black hein?

-"Oui...slurp slurp....

-"Continues bébé, suces....plus fort ...encore...." je le pompe de longues minutes, je commence à avoir mal au dos dans cette position inconfortable mais dans le même temps ca me fait bien tripper...

-"Ouvres bien la bouche salope...vas y...je vais cracher et je veux pas salir mon bahut ok?? " Il me bloque même la tête et m'enfonce son gourdin en fond de gorge, je manque de m'étouffer....pas le choix que d'avaler....

-"Oh oui...Putain....avales salope...avales ma sauce!!!!!" Je recois de longs jets de foutres épais et crémeux en pleine gorge....je les avale comme je peux, essaye de reprendre ma respiration....putain le salaud il éjacule des litres en plus....J'avale tout....puis lui lèche de nouveau son gros gland....

-"Quelle pute je kiffe....Vas y rassieds toi à ta place"

Je reprends ma place, j'avais transpiré tellement je m'étais donné à fond. Djibril avait toujours le pantalon baissé, sa grosse queue avait dégonflée mais était toujours aussi impressionnante, elle reposait sur son siège entre ses grosses cuisses musclées.

-"J'aime les petites putes blanches comme toi, qui se donnent bien à fond...On arrive dans 20 minutes. Baisses ton froc

-"Euh..comment ça?

-"Enlèves ton pantalon et ton slip salope"

J'aimais sa façon de parler....Je baisse mon pantalon, et mon petit boxer blanc.....Mes 16 centimètres sont à l'air libre dans la cabine du routier qui roule toujours....heureusement qu'il fait nuit!

-"Ok, mets toi un peu de côté, ton cu tourné vers moi"

Je m'execute, me tourne un peu vers lui...

-"Plus haut le cu salope! "

Il me claque les fesses avec sa grosse main de black.

-"Hmm un bon cu de pute ça! Il glisse alors un doigt plein de gel dans mon petit trou serré....

-"Ohh le petit trou de pute....Tu t'es pas fait baisé depuis quand?

-"Euh ca fait longtemps....

-"Hmmm, on va bien ouvrir tout ça, rapproches toi de moi" Il remet du gel et renfonce son doigt dans mon cu....Puis un second....Il me pénétre le trou avec ses doigts doigts, tout en conduisant son camion d'une main.....Il passe les vitesses entre deux, laissant mon cu reprendre ses esprits entre deux doigtés....Je sens que je suis bien ouvert...Je prends même du plaisir à me faire toucher le trou comme ça....

-"Tu t'es déjà pris une grosse queue comme la mienne?

-"Non pas aussi grosse....

-"Ok tu vas voir tu vas kiffer..." Je sais pas quand et comment il comptait me la mettre mais j'étais excité.

-"Ouvres la boite à gants et prend le gode dedans bébé".

Je m'execute, et sors un gros gode en plastique de la taille de sa bite d'ailleurs....

-"Tiens, mets du gel dessus et godes toi devant moi...

-"C'est gros..." je lui dis en enduisant le gode de gel....

-"Oui, mais c'est ce que tu va ste prendre dans la chatte mon petit...."

Je me remets de côté, les fesses tournées vers mon conducteur black et me rentre doucement le gode qui m'écarte bien le cu...

-"Voilà, comme ça.....Vas y enfonces le, n'ai pas peur...." J'avais rentré que 15 cm et déjà j'avais un peu mal....

-"Allez, plus fort Léo!!" Il l'avait attrappé d'une main et l'avait enfoncé dans mon cu

-"Aie!! doucement!!!

-"T'inquiètes, vas y bébé, continues" Il me l'avait planté à fond le bâtard......Je le ressors doucement complètement....

-"Fais moi voir ta chatte " Il me touche le trou, ses doigts, deux ou trois je sais pas glissent dans mon trou bien lubrifié et ouvert...

-"Putain c'est bon, vas y continues à te goder bébé" Il s'était mis à rebander et se branlait même en m'observant me goder à ses côtés...Je m'étonnais à prendre mon pied comme ça....je couinais même dans le camion, en gémissant doucement avec ce gros gode dans le cu.....

-"T'as vu comme ma bite est bien grosse? Elle est pour toi. On arrive, Je te baise et après tu m'aides à décharger."

On arrive à proximité d'un hangar où il devait décharger sa marchandise, il se gare en marche arrière, la bite dressée toujours entre les cuisses, et moi à côté avec ce gros gode dans le cu.

-"Vas-y enlèves ton gode" me demande t il. Je l'enlève, il me tourne un peu, et se rapproche de moi, m'éffleure un peu le cu bien ouvert et m'empale direct sa grosse bite de black dans le cu. Il y va fort...très fort même....le camion bouge au rythme de

ses pénétrations...

-"Tu la sens bien ma queue?

-"hmm...oui....oh...oui....." j'avais du mal à parler tellement c'était fort. A vrai dire, je n'avais jamais pris aussi gros dans le cu je crois mais malgré tout, elle passait bien, il pouvait la ressortir et la reglisser à fond sans capote dedans.....

-"Putain t'es bonne toi...viens me la resucer un peu bébé"

Il s'était rassis sur son siège, sa grosse pine humidifiée par les sécrétions d'excitation de ma chatte ....Je me rapproche toujours affamé de la bête et l'avale en bouche....Il me doigte avec 2/3 doigts en même temps, je sens que j'ai le trou ouvert comme jamais.

-"Allez je vais me vider dans ta chatte et on décharge, il faut se dépêcher"

Il me rallonge alors comme il peut sur mon siège et vient me replanter son gros dard....Là, ce n'est plus de la baise mais carrément un défouloir, sa bite c'est un marteau piqueur...

-"Prends ça sale puuuuuuuttttteeeeeeeeee!!!! " Je pense qu'il m'avait rempli de son jus....Il ralentit et se retire doucement....Putain mon cu relache la grosse saucée.....j'ai le cu inondé de jus...
-"Viens me la nettoyer bébé et après on y va". Je reprends sa bite toute blanchie de son sperm et la nettoie bien à fond...Je m'impressionnais à faire la pute de cette façon mais j'étais excité comme jamais...

-"C'est bien Léo...allez on décharge et on rentre! "

Le déchargement m'épuisa comme jamais après cette baise intense....Le chemin du retour fut beaucoup plus calme....je pense avoir dormi tout le trajet, épuisé!!

En me redéposant, il me dit :

-"Si tu veux refaire une livraison avec moi, no blèm...j'ai des potes routiers aussi si tu veux...."

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Samedi 26 décembre 6 26 /12 /Déc 16:01

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Je m'appelle Guillaume. J'ai 19 ans et je suis le fils unique d'une famille catholique et assez conservatrice. Mes parents ne savent pas que j'ai un penchant particulier pour les hommes, et c'est très bien comme ca.

Ils sont donc croyants et vont à l'église tous les dimanches. Depuis l'été 2015, la crise des migrants s'est accentuée, et les prêtres dans les églises ont été invités à proposer aux fidèles d'accueillir des migrants syriens chez eux. C'est ce que mes parents ont fait. Pour le meilleur et pour le pire visiblement.

Le 23 octobre, nous voilà donc en route mes parents et moi pour l'église afin de chercher les deux réfugiés syriens qui doivent venir habiter chez nous. A notre arrivée, le prêtre nous présente deux hommes, je dirais la quarantaine, typés orientaux. Ils ne se ressemblent pas plus que ca.

"-Ah bonjour. Voici donc Ahmed et Tarek. Ils ne parlent pas français, uniquement arabe et anglais. Je vous les confie. Que Dieu vous garde."

Sympa le prêtre, pas tres bavard. Enfin bon je réfléchis pendant que mon père leur montre la voiture et charge les maigres bagages dans le coffre. Mes parents ne parlent pas anglais, je suis donc le seul à pouvoir faire l'intermédiaire. Ca va être l'éclate totale ... En voiture je me retrouve donc derrière entre ces deux hommes virils. Le contraste est assez grand, entre les deux mâles barbus et moi, petit minet maigre sans un poils de barbe avec encore une peau de bébé. Ils sentent assez forts, visiblement le prêtre ne leur a pas proposé de douche depuis un bout de temps. J'avoue que c'est pas du tout mon genre d'homme, donc je ne fantasme pas sur eux.

Ma mère dit alors :

"- tu sais Guillaume, ils vont dormir dans la chambre d'amis, mais tu vas devoir partager ta salle de bain avec eux."

Et merde, j'y avais pas pensé à ça.

Les jours ont passé, ils logeaient à la maison sans vraiment être présent aux activités familiales. En fait, on ne les voyait pa beaucoup, ils passaient leur temps dans leur chambre ou dehors à sortir en ville.

Un jour, je me suis retrouvé seul dans l'appartement. Je n'avais pas baisé depuis longtemps et je bandais pour un rien. J'ai eu une envie de me branler assez forte. Je suis entré dans la chambre des syriens. Et ce que j'ai vu m'a excité au plus haut point. Des affaires sales partout sur le sol, et notamment des slips sales par terre. Je me suis assis sur leur lit et j'ai reniflé un slip qui avait été blanc. Il était plutôt jaunâtre maintenant, et il sentait très fort. Des traces de pisses, des poils noirs, et une odeur de jus et de pisse. Il ne m'en fallu pas plus pour me filer une gaule d'enfer. Ma bite de 14 cm en érection était dur comme jamais tandis que je reniflais. L'idée de poser mon nez et ma langue là où ces hommes avaient mis leur bite était tout bonnement jouissive. Je me branlais énergiquement jusqu'à cracher mon jus dans ma main. Evidement je le léchais pour ne pas en perdre une goutte. J'adore le gout du sperme, le mien particulièrement.

Souvent j'ai refais cette expérience tandis que j'étais seul à la maison. Tout du moins je pensais être seul. Un jour, Tarek est entré discrètement dans l'appartement et a passé sa tête par la porte. Il m'a vu avec son slip sur le nez et ma bite dans ma main.

La conversation qui suit a eu lieu en anglais, mais je vous la traduit.

"-qu'est ce que tu fais là ? T'es sérieux à renfiler mon slip ? Ah mais en fait t'es un petit pd ? Je le savais en te voyant marcher comme une meuf dans ton jean hyper serré !

J'essayais de me justifier.

- Non mais je voulais voir si ton slip était sale pour le mettre à la machine.

- C'est ça prend moi pour un con. Je t'ai vu, et j'ai pris une photo avec mon portable. Tu veux que tes parents soient au courant de ce que tu fais ?

- Non s'il vous plait, pas ça. Je ferai tout mais pas ça. Dis-je en sanglotant.

- Putain et tu pleures comme une meuf. Tu sais, j'ai pas baisé depuis longtemps, alors tu vas commencer par me sucer la bite."

Je tentais de refuser, mais il s'est approché et m'a forcé. Je ne faisais pas le poids, je pèse 50 kilos, lui beaucoup plus. Il m'a colé ma tête contre son paquet, et même à travers son jean je pouvais sentir une odeur particulièrement excitante. Il a baissé son jean et son slip en même temps et sa lourde et grosse bite est venu taper contre ma joue. Je me suis pris une espèce de biffle sans que ca soit vraiment volontaire.

Sa bite était grosse, circoncise, et beaucoup plus imposante que mon petit zizi. J'ai alors ouvert la bouche sans trop savoir pourquoi j'obéissais, et j'ai sucé. C'était pas ma première fois loin de là, je suis gay donc j'ai déjà couché mais quand même. Ce mec me répugnait, mais sa bite m'excitait.

J'ai sucé docilement, jusqu'à ce qu'il éjacule partout sur mon visage et sur mes cheveux blonds. Je l'ai vu prendre une photo de mon visage souillé.

"- Ca c'est la preuve que t'es une salope. Si tu m'obéis tes parents ne verront rien. Mais Ahmed doit être au courant maintenant.

J'étais trop sonné pour répliquer quoi que ce soit.

-Aller dégage de ma chambre."

Plus les jours passaient, plus j'étais excité en repensant à ce qui venait de se passer.

Mes parents partirent pour une semaine en Italie. J'étais donc seul avec mes deux syriens dans l'appartement. A peine mes parents eurent-ils fermé la porte d'entrée, que Tarek gueula dans tout l'appartement :

"- Guillaume ! Viens ici !

Je me dépêchais de le rejoindre.

Il était là avec Ahmed. Ils parlaient en arabe, je comprenais rien du tout.

-Deshabille toi ! me lança Ahmed.

J'obéis jusqu'à me retrouver nu comme un ver.

- Putain regarde sa petite bite ! Il est ridicule, on dirait même pas un garçon.

- T'as raison, il est comme tous les européens.

Et ils rigolaient entre eux, j'été humilié et rouge de honte.

Ce jour là j'ai du les sucer, mais également me faire enculer et boire beaucoup de jus.

Mais ce n'était pas terminé. J'ai du leur préparer à manger, leur lecher les pieds, les aisselles transpirantes et devenir leur boniche.

Au fond j'aimais ça, être un larbin. Le lendemain, ce fut la même chose, si ce n'est que maintenant je n'avais plus le droit de m'habiller dans l'appartement. Je devais être nu tout le temps. Et puis Tarek a fouillé dans ma chambre et il a trouvé de l'argent. Il l'a pris, volé en quelque sorte. Mais je n'ai pas bronché. Le Lendemain il m'ont demandé d'aller à la banque pour retirer de l'argent. Je l'ai fais, et j'ai du leur donner.

Cette semaine fut éprouvante, je n'ai presque pas dormi, ils ne se lavaient plus, ils étaient sales et moi j'obéissais. Je faisais le ménage, la lessive, le repas, les courses, et je devais leur donner 50 euros par jour à chacun. Ils avaient des photos et des vidéos de moi, je n'avais pas le choix.

Ils m'ont même rasé entièrement, m'ont craché dessus, et une fois même pissé dessus.

J'étais humilié, mais à ma place de pute à migrants.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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Lundi 21 décembre 1 21 /12 /Déc 18:15

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Bonsoir

 Jeune étudiant de 22 ans, passif mais pas inactif, brun 1m77 72 kg typé et beau cul. Je vais vous raconter le meilleur plan de ma vie.

 

Je rencontre Meka sur un site de rencontre gay. Ils est a 400m de chez moi, de passage chez de la famille dans le nord est.

Il a 40 ans, chauve 1m80 70 kg type lascar avec jogging et TN, bien foutu, bite 18cm bien épaisse.

 

Je l'invite à venir chez moi pour me loper. Au bout de 20min il était LÀ. Bon 1ère fois : baise normal, petit hic, pas de lubrifiant, j'avais mal lors de la pénétration, et vu que lui la capote le serrait c'était rapide mais je lui ai promis que ça se reproduirai.

 

Promesse tenue. Un soir, même chose, contacte sur le site, chez moi en 20 min.

Cette fois ci il était en Marcel bleu, quand j'ai vu le Marcel j'ai mouillé direct. A peine rentré je l'embrasse et il me rend mon baiser sauvagement

 

Moi : putain tu es sexy tu gardes ton Marcel pendant que tu me démontes

Lui : ok

 

Je lui arrache tout ses vêtements, bien sur sans le marcel et il fait pareil.

Je le suce un peu (car j'aime pas trop ça) pour le faire bander, en quelques minutes, son soldat était déjà prêt

 

Je me suis armé de mon lubrifiant et d'une capote, je la lui mets et me pénètre d'un coup

Surpris, ça ne m'a pas fait mal. A partir de là j'ai pris cher, des coup de bite tellement intenses que je pouvais plus m'empecher de hurler.

 

Il me mit sa main sur ma bouche car je faisais trop de bruit mais il ne pouvait pas continuer longtemps à me limer car la capote le serrait un peu

Je décide alors de la lui faire virer. il me regarde d'un air content et me dit : oh toi je vais te féconder comme une pute.

 

En entendant ça, je mouille encore plus. Allongé sur le dos, les jambes en l'air, je le vois entrain de me démonter et je sens bien la peau de sa belle bite dans mon trou.

Il entamme des vas en viens tellement violents que j'en pleurais de plaisir, ma bouche grande ouverte il me crache dedans, me fout une baffe et m'ordonne de me taire.

 

Je m'exécute et je lui lance : vas y t'arrête pas connard baise ce cul enfoiré de merde

 

Il me met sa main sur la bouche encore et me crache au visage.

Je sentis sa queue se raidir et ses coup s'accélérer, je le vois lever la tête au ciel il gémis et je sens un jet de foutre chaud dans mes entrailles, j'en profite pour juter à mon tour sur mon ventre.

Il sorti sa queue de mon trou se rhabilla puis reparti sans rien me dire.

 

L'enfoiré m'a ensuite bloqué sur l'appli, mais je ne sais pas pourquoi mais le fait qu'il me baise au jus puis me jette comme ça m'excite encore plus.

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