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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 19:36

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Je m'appelle Kevin, j'ai 18 ans suis brun et imberbe. Je suis assez fin ce qui contraste avec mon père, 51 ans, qui est une véritable armoire à glace en plus d'être très poilu. Il a un visage assez sévère.

Sa grosse barbe noire, taillée en bouc, durcit un peu plus son visage. Il est costaud car il travaille sur les chantiers. Il est en effet chef d'équipe. Il commande huit à dix gars d'origine diverse-des blacks et des beurs principalement.

Afin de ma payer quelques leçon de permis, je dois cet été travailler sur le chantier, histoire de me faire un peu de blé. Ce n'est pas un boulot qui me branche mais je compte bien joindre l'utile à l'agréable : je dois en effet avouer que je suis pédé attiré par des vrai mâles – tout l'inverse de moi !

Le premier jour de travaille, je n'ai pas trouvé mieux que d'arriver en retard ! J'étais mal mais bon, en même temps, je travaille pour mon père, alors… ! Alors que je me rendais à pied vers le chantier, Charles m'interpella à bord de la camionnette qu'il conduisait. Lui aussi allait au boulot. Il m'invita donc à prendre place à coté de lui ce qui m'arrangeait bien. Chemin faisant, il me demanda si je n'étais pas trop stressé pour ce premier jour. Pendant qu'il me parlait, je l'observais à la dérobée. C'est qu'il était pas mal, Chacha, comme on l'appelait tous ! 45 ans environ, châtain – un des rares céfrans sur le chantier. Ayant eu déjà l'occasion de le voir torse nu, je savais qu'il était bien foutu. De plus, une épaisse toison débordait de sa chemise.

J'ai commencé alors à triquer méchamment dans mon froc en espérant que Charles ne s'en aperçoive pas trop. Il continuait à me parler comme si de rien n'était. Il m'avoua que, lorsqu'il était plus jeune et qu'il était stressé, il avait un truc imparable pour être cool après. Alors que je le regardais silencieusement, il m'expliqua que le meilleur moyen pour un mec de se calmer était…de se branler ! Il s'aperçut alors de mon silence troublé. Je pus alors lui demander, d'une voix étranglé, s'il lui arrivait d'être encore souvent stressé. Il me répondit que oui car le chef, mon père, n'était jamais commode.

Il s'arrêta alors de parler et freina brusquement non loin d'un parking un peu paumé.

''Ça te dirait ?'' me demanda-t-il, les yeux brûlant de vice. Je lui avouai alors que j'étais très stressé et que j'aimerais bien me calmer un peu.

'' J'ai un remède pour ça, je te l'ai dis !'' Insista-t-il tout enlevant sa chemise. On passa à l'arrière de la camionnette. Il m'enleva mon t-shirt assez violemment et me demanda d'enlever mon froc. J'obéis rapidement.

''Oh mais t'es vraiment angoissé mon gars ! Une branlette n'y suffira pas. Dans ton état, je ne vois qu'une chose…Pompe-moi ça !''

Tout en disant cela, Charles retira lui aussi son froc et son slipbard un peu tachée. Il s'adossa contre l'habitude et, à poil, me commanda :

''Viens un peu ici me sucer le dard ! Ton con de père me fait chier alors tu vas trinquer un peu ! ''Ajouta t'il, menaçant.

Je dus m'exécuter, le cœur battant. En fait, j'étais comblé ! J'allais sucer une bonne queue de mâle ! Un collègue de mon père en plus ! J'étais aux anges !

Pendant que je le pompais, j'admirais son torse poilu.

Il avait rasé ses couilles, le salaud !

Je pompais avec joie le gland tout en lui malaxant les joyeuses. Il devait apprécier car il ne cessait de m'encourager de la façon la plus vile qui soit :

''Vas-y pédé ! Prends-la bien dans la bouche…Si ton con d'père te voyais !''

Et il se marrait drôlement tout en pensant à cela !

Je lui dis alors que j'étais sa pute, qu'il devait se venger de mon gros salaud de père et qu'il avait bien raison de profiter de son pédé de fils !

Mon petit discours produisit les effets escomptés. Charles était en feu et je sentais qu'il allait bientôt larguer la purée. J'augmentais alors le va-et-vient. Ce fut décisif : Charles se leva légèrement, manqua de peu de se fracasser la tête contre le toit de la camionnette, se branla encore deux ou trois fois puis commença à décharger dans ma bouche. Le pied total !

Deux gros jets de sperme vinrent s'écraser sur ma joue droit. Je sentis le foutre couler en cascade le long de mon visage vers mon cou. Un autre jet, plus puissant, atteignit mon nez. Je continuais  cependant mon travail de pute : je léchais ainsi le gland crémeux de Charles pendant quelque instant. Ce dernier s'amusait à passer son pieu plein de foutre sur mon visage et m'ordonnait de continuer à le lécher :

''Tiens, y en a encore ! C'est bon le yop, hein mon gars ?''

Charles me traita une dernière fois de tapiole puis égoutta sa bite sur ma gueule. Il récupère ses fringues qu'il avait balancées et commença à se rhabiller. Tout en faisant, il m'intima l'ordre de me presser :

''Magne-toi, salope ! Tu veux faire gueuler ton abruti de père ? ''

J'étais malmené mais heureux : un mois à bosser au milieu d'hommes du même tonneau que Charles !

Ça allait être ma fête !

''T'avise-pas à raconter ça à tout le monde, morpion, surtout à ton père…Tu n'aimerais pas qu'il me vire, pas vrai ? ''Ajouta-t'il, un brin vicelard.

''N'oublie-pas que, si tu veux encore gouter une fois à ma queue, tu dois la fermer. P' t'être bien que la prochaine fois, je te la foutrais dans ton cul !'' me dit-il en guise de promesse, tout en mettant le contact.

Je me rhabillais en vitesse et m'installais sur le siège passager, Charles accéléra et nous fîmes route vers le chantier de mon père à vive allure…

Charles se gara à proximité d'un des deux baraquements présents sur le chantier. Nous descendîmes tous deux de la camionnette rapidement. Charles conservait son petit sourire narquois ce qui m'agaçait un peu.

Il se dirigea vers le plus petit  des deux baraquements qui était le bureau de fortune de mon père. J'allais lui emboîter le pas mais je me ravisais : je n'avais pas vraiment envie de me retrouver face à mon père qui ne manquerait pas de m'engueuler pour mon retard. Aussi, je décidais de rester à l'extérieur, histoire de mater un peu autour de moi.

Comme  il était prés de 9 heures, la plupart des ouvriers étaient déjà bosser sur d'autres sites. Alors que je pensais qu'ils étaient tous partis, mon attention fut captée par un gars que je n'avais jamais vu.

Curieusement, de loin il ressemblait un peu à papa mais il était dix ans plus jeunes. Même stature, même barbe fournie noire. Mais pas poilu, à mon grand regret, il était simplement vêtu d'un jean, d'une casquette et de grosses chaussures.

Pendant que je l'observais, il alluma ce qu'il me sembla un cigare-ben voyons ! il ne s'emmerde pas celui-là…A mon avis, il ne fera pas de vieux os ici…

Je ne pouvais néanmoins détacher mon regard de ce beau mâle vigoureux. Je m'attardais tout particulièrement sur son paquet que j'estimais imposant. Des idées perverses m'assaillirent. Je venais de sucer Charles et voila que mes sens étaient déjà en émoi ! Vraiment, je resterais pédé jusqu'au bout !

Tandis que je m'abandonnais à des coupables idées, une voix de stentor éclata. C'était évidemment papa qui mettait son grain de sel. L'homme s'approcha de mon père qui était sorti du baraquement avec Charles. Ce dernier me semblait toujours aussi arrogant. Avait-il raconté à mon père ce qui venait de se passer ? Non, il risquait sa place. Mais comment être sur ?

Papa discuta un moment à voix basse avec l'inconnu. Puis celui-ci et Charles montèrent dans la camionnette qui m'avait emmené ici : sans doute un nouveau chantier en perspective ! Restaient papa et moi. Il me fit signe d'entrer dans son bureau ce que je m'empressais de faire : j'allais recevoir une soufflante !

Papa s'assit dans un vieux fauteuil en cuir et poussa divers papiers qui encombraient  son bureau. Il se tourna alors vers moi et son visage se durcit :

''Alors, on se prend du bon temps ?'' me demanda-t-il, les traits tirés. Du bon temps, comment ça ? Charles avait donc craché le morceau ? Pendant que je réfléchissais, il ajouta :''pour ton premier jour, tu aurais pu arriver à l'heure !''

Ouf !ce n'était que pour mon retard !

Comme je reprenais un peu d'aplomb et que je voulais éviter une nouvelle engueulade, je décidais de détourner l'attention de mon père sur un autre sujet :

''T'as engagé un nouveau type ? Je ne connais pas le gars qui est parti avec Chacha.''

La repose de p'pa fut tranchante :

''Pourquoi ? Tu compte te le faire aussi ?''

Merde ! Il savait ! Comment Charles avait pu…

Papa ne me laissa pas réfléchir davantage :

''J'en ai entendu de belles sur ton compte, tu sais ! J'avais deviné certains trucs chez toi mais je n'avais pas compris à quel point tu n'étais qu'un sale pédé !''

Alors que j'aurais voulu disparaître sous terre, mon père s'adossa plus confortablement dans son fauteuil lequel grinça. Visiblement, il prenait son pied à me torturer de la sorte ! Il commença à sourire d'une façon bizarre, un peu comme Charles tout à l'heure :

''Tu sais, Charles m'a tout raconté…Il m'a dit ce que vous avez fait tout à l'heure…Et ça me fait bien bander, pédé !''

Puis il porta ses mains sur son entrejambes et entreprit de se masser le paquet sous mes yeux stupéfaits ! Il dégrafa son jean déchiré et commença à se taper une queue devant moi !

Quoi ? Mon vieux se branlait devant moi ?

Pour la première fois, je le voyais en action. Oh, bien sur, j'avais déjà eu l'occasion de mater discrètement sa queue à diverses occasions. Mais là, je n'avais pas besoin de me planquer ! J'étais hypnotisé par le va-et –vient de la main droite de mon père. Il se branlait carrément devant moi, sans vergogne ! Ce faisant, il se caressait également le téton gauche tout en grognant de façon bestiale. Un vrai ours !

Papa transirait maintenant : je le voyais à la sueur qui coulait de son front. Il accéléra la branle puis arrêta brusquement :''Non, je ne vais pas juter maintenant ! Je serais con de jouir maintenant alors que j'ai une pute à ma disposition !'' La pute en question, c'était moi ! Et bien, il allait en avoir pour son argent mon père !

Papa enleva sa grosse chemise en toile et se leva. Il baissa son futal à ses genoux. Il portait un jockstrap ce que j'ignorais. Je croyais qu'il était plus traditionnel et qu'il portait plutôt des slips kangourou ! Mais je n'étais pas au bout de mes surprises !

''Pompe-moi ! me dit-il. Il avait employé son ton de commandement qui, chez lui, était inné. Je ne pouvais qu'obéir et ce, à double titre. Il était à la fois mon père…et mon employeur !

Je m'agenouillai donc devant lui et commença à le pomper.

Papa avait sorti sa bite du jockstap. Je pus voir qu'il portait également, à la base de sa queue un cockring. Décidément, mon père était dans le coup ! Ce n'était donc pas le vieux con que je croyais ! Il accentua sa position dominante en mettant de façon délibérée sa grosse main calleuse sur ma tête. Il voulait me faire comprendre que c'était lui le chef ! Ne voulant pas du tout le contrarier sur ce point, j'exécutais tous ses désirs.

Papa me baisait la bouche de toute la masse de ses 90 kilos ! Je sentais toute son énergie concentrée dans sa queue qui me remplissait totalement la gueule. Je ne pouvais le décevoir, moi, son fils ! Aussi, accélérais-je la fellation. Mais p'pa avait d'autres idées encore plus lubrique ! Il me releva de force, m'entraina vers une table à dessin d'où il retira quelque plan. Je fus plaqué contre la table. Papa se baissa et, non, je n'y croyais pas ! Il s'agenouilla à son tour mais au lieu de s'occuper de ma bite, il débuta un sévère léchage de fion !

Je sentais sa grosse langue fourrager mon cul. Sa barbe drue m'arrachait des cris de jouissance ! Se faire bouffer le cul, c'est bon mais par un mec barbu, ça devient orgasmique !

Je remarquais que mon père ignorait superbement ma queue. Seul mon cul semblait l'intéresser. Reste hétéro ? Probable sinon comment interpréter cela ? Pour ma part, peu m'importait, j'étais comblé. De toute façon, j'étais à 100% passif alors mon cul en priorité…Et papa avait deviné cela !

''on dirait que ça te plait de te faire bouffer le cul ?'' me dit-il entre deux grognements ''puisque tu me sembles si sensible du cul, je vais m'occuper de son cas !''

Aussitôt dit…aussitôt fait !

Papa se releva et força sans prélude mon anus. J'étais dans un état second. Afin de l'exciter davantage, mais en avait il encore besoin, je mis mon pied gauche sur la table à dessin afin de prendre une pose encore plus provocante.

''Prend-la dans ton cul, pédé de fils ! ''Me dit il sans manière. Je serrais les dents car papa l'avait plutôt grosse.

Je subis un enculage profond pendant longtemps. Je m'étais quelquefois amusé à me doigter ou goder avec divers instruments mais rien de comparable avec ce qui m'arrivait à présent ! Alors que j'allais crier grâce, mon papa sortit sa queue de mon cul et me demanda de m'allonger au sol.

Je compris que je n'étais pas le seul à être en feu ! L'éjaculation était toute proche !

Je ne me trompais pas ! p'pa me faisait virilement face, les jambes écartées. Il était debout et se masturbait énergiquement. Il se pinça le téton droit cette fois et, les yeux mi-clos, juta sur le corps de son fils. Je ne pouvais me retenir davantage : j'éjaculais à mon tour dans la plus totale dépravation. Mon sperme gicla comme jamais !

Ma jouissance fut immense ! De gros paquets de foutre s'écrasèrent sur mon torse et se mêlèrent à ceux de mon géniteur. La boucle était bouclée, si je puis dire ! Je sentais même par moment le gout tenace du sperme de Charles dans ma bouche. Vraiment, quelle matinée ! Mon seul regret : ne pas m'être fait le bel inconnu ! Je le confiais à mon père qui éclata de rire :

''Tu veux aussi te faire David, le fils de Charles, après ce que Charles et moi on t'a mis ? T'es vraiment un enculé de première, tu sais fiston ? '' Ainsi, il s'appelait David, et en plus le fils de Charles…Et bien le prochain su ma liste, ce sera lui…A moins que…

''J'ai cru comprendre que Ali et Mohamed avaient des vues sur ton petit cul de salope…''rajouta mon père, goguenard. Ainsi la plupart des mecs étaient au courant ? Bien, ça allait faciliter grandement ma tache ! Mais, au fait pourquoi mon père avait bien voulu m'engager sur son chantier s'il savait tout cela ? Je lui posai la question ce à quoi il me répondit ironiquement :

'' J'ai remarqué que les mecs obéissaient mieux quand ils avaient les couilles vides…Va savoir pourquoi !

Du coup, au lieu de payer des putes, ce qui m'aurait couté cher, j'ai préféré me débrouiller avec les moyen du bord !''

J'allais don être le pédé, la pute, en titre du chantier de mon père ? 15 à 20 gars à  soulager quotidiennement !

J'allais être vanné en fin de journée…

Quoique…en s'y prenant à plusieurs…Papa et moi nous relevâmes. Puis, le regard tourné vers l'extérieur, nous attendîmes tranquillement le retour des ouvriers.

Mes en les attendant, je ne suis pas resté inactive longtemps, j'ai de nouveau sucé mon père avec gourmandise.

Depuis avec mon père nos relation on bien changer, je suis devenu sa pute, des que ma mère et pas là, je me fais défoncer la bouche et le cul par mon père ''et j'aime ça''.

Et il me traite de pute discrètement, même quand ma mère et là.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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