Visiteur de mon blog

Compteur Global

 

 

Profil

  • babaslebatard
  • Le blog de babaslebatard
  • cuir pisse jus batard
  • bon batard de reims

Jeux

ATT00002.jpg

logo_gratorama_fr_0.png

12.gif

jeux.png

Bannières bonne adresse a reims

logo.png

521281_366782503376505_1942711169_n.jpg

photo.jpg

logo-tunnel.png

buffalo_logo.png

L'actu presse

logoUAOK.jpg

images--1-.jpg

 

Bannières amis

  • DOIGT.gifpurb2900eeb4a6afc14.gifpur1b553514b074d3af.gifpur7ab41e1511b08c74.gifpurcf76acf32979b5dd.gifpurf6797784ad9b0907.gif

Bannières

874401315506344-7Ebp--1-

allredallblack.jpg

158 1 (1)

20131001024554M

9-gay-beur-gay-rebeu-gay-arabe-bledar

mathieu-ferhati-atlant-adam-gabriel-paris-sketboy-sneaker-g.jpg

 

1667 sponsor

Bannière site pisse

tumblr_mnkoogm3hK1r1u480o1_1280.jpg

Bannière cite zoo

Images Aléatoires

First 7Frist 4

tumblr mxmor5s1ng1ruyqizo1 400

tumblr mwnua4a7Di1t1p07co1 r1 400

tumblr mfv493YkjL1s15ugoo1 500

l6UaXmLnqO6s

Bannières site scat

tumblr mw610yeM4F1t1p07co4 1280

scatphil
tumblr_mpbfj2MdZB1ryonkio1_500.jpg

photo-fetes-drapeau-gay,5203

livre d or

dyn004 original 200 129 gif 2622397 5183987aa208da-copie-1

Moi au Maroc

2055 1095388427767 1318285446 280200 5342 n

CATÉGORIES

Bannières site fist

tumblr mjf9an9elq1qg4n09o1 400

GAY_FISTING_EXTREME_FIST_DOUBLE_Felix_Barca_Schaaf-copie-1.jpg

tumblr mmhh1oAr821s35h5io1 400

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

fan de histoires de mec

Jeudi 26 janvier 4 26 /01 /Jan 19:10

tumblr_ogwjmmao4c1tgd4euo1_500.jpg

Je rêvais depuis longtemps de devenir une bonne chienne, une pute à jus, soumise à toutes les queues que mon Maître me présenterait. Le problème était de trouver ce Maître. Et ça, ce n’était pas évident! Je me suis mis à fréquenter les lieux glauques... J’ai surfé des heures sur des sites hards... Après de nombreuses recherches, il m’a semblé avoir trouvé, enfin, la perle rare. Le mec avait la petite quarantaine, un look skin et sport, dominateur, bien foutu et pourvu d’une longue et large bite bien dure.

Il m’a proposé une première rencontre et on s'est vu sans baiser. Il m’a observé et questionné. Nos fantasmes respectifs coïncidaient assez bien. Il voulait une lope à son service et il m’a fait comprendre que les moments de cul avec lui seraient dénués de tendresse et de pitié.

— Tu n’es que de la viande, mec! Deux trous avec de la viande autour! Point! Avec moi, pas de blabla...

Son attitude m'excitait encore plus. Je voulais vraiment devenir SA chose. Il me fixa donc un premier rendez-vous «baise». J’ai attendu deux jours avant ce baptême du sexe avec lui. Rien qu'en pensant à ce qu’il allait me faire, mon coeur battait la chamade et mon fion mouillait et se dilatait.

— Aucun regret? Tu es toujours décidé à aller jusqu’au bout de tes fantasmes? m’a-t-il demandé.

— Oui.

— Oui qui?

— Oui, Maître!

— J’ai tout prévu pour que cette nuit soit inoubliable pour toi. Suis moi...

Il m’emmena sur un chantier désert où il avait fait venir des potes à lui.

— Tu vas connaître la meilleure nuit de ta vie, petite pute! Fous-toi à poil... Garde seulement tes boots, cockring et ton collier de chien! Installe-toi sur ces palettes... à quatre pattes, cul bien cambré...

Une fois bien installé, chatte en l'air. il prit soin de me mettre un bandeau sur les yeux et de me graisser le fion avec du gel.

— Tu ne bouges pas. Je vais chercher du mâle pour ton trou.

Je suis resté là plus de dix minutes à attendre. L’excitation était très forte. Quelqu’un pouvait me surprendre là dans cette position. Enfin, il revint avec plusieurs mecs. La sarabande commença dans mon cul: une première queue, une deuxième, une troisième... le poppers me rendait glouton et je mouillais du fion. Je sentais des giclées sur tout mon corps et le jus que je me prenais me rendait accroc.

— T’en veux encore?

— Oui, encore! J’en veux plus!

J’avais la rondelle de plus en plus dilatée, coulante de mouille et les mecs défilaient avec différents calibres mais généralement de bonne taille. Ils se succédaient en m'insultant de traînée, me crachant sur le dos. Je recevais du sperme et de la pisse. J’étais en état de grâce.

Mon maître ne me laissa jamais seul avec les mecs. Maintenant, ils arrivaient d’eux même, sans doute par le bouche-à-oreille. Mon Maître me titillait le fion entre les queues et il me faisait pomper son gros zob quand j'avais l'arrière occupé.

— On ne laisse jamais un trou vide trop longtemps! me dit-il.

Il me donnait une claque s'il n'était pas satisfait, me faisant sentir toute sa force et sa supériorité.

C’était vraiment la première fois que je jouissais de la chatte aussi fort. J’avais le fion dégoulinant et bien ouvert. Quelle sensation incroyable de soumission!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Samedi 21 janvier 6 21 /01 /Jan 17:31

tumblr mpbmpvk91J1qg4n09o1 500

La fin de cet été-là fut mémorable. Dans la fraîcheur de mes 19 ans, je me trouvais sur le bord de l’autoroute Marseille-Lyon en attente d’une âme charitable qui me rapprocherait de ma ville: Saint Étienne. Finies les vacances à Hyères, finis les émois de ma première vacance naturiste... J’en garderai toujours une sorte de répulsion pour les vêtements, quels qu’ils soient. Vivant nu chez moi, l’été comme l’hiver, je saisis toujours la moindre occasion pour me débarasser de mes fringues, ce qui fait que dans les lieux de drague je suis, la plupart du temps, dans mon plus simple appareil.

 

Je poireautais, donc, le long de l’autoroute, à poil sous mon short en jeans, mon sac sur le dos, des sandales aux pieds. Il était peut-être deux heures de l’après-midi lorsqu’enfin un poids lourd m’ayant repéré s’est arrêté. Il était temps... Une main, tout là haut m’a fait signe de monter. Je me suis empressé d’escalader ce gros engin pour atteindre la cabine du chauffeur.

 

Au premier coup d’oeil, j’ai cru avoir une hallucination: devant moi un mec blond, massif, la quarantaine souriante, poilu à souhaît, la moustache abondante, les cheveux mi-longs, trônait au volant entièrement à poil, une paire de tongues aux pieds et un foulard jaune au cou.

 

— Salut! Vous allez vers Lyon-Saint Étienne?

 

— Ouais mec. Monte et claque bien la portière.

 

Je me suis exécuté aussi violamment que je le pouvais et je me suis assis sur l’ample banquette, un peu intimidé.

 

— Fais chaud c’t aprèm!

 

— Ouais putain. Par ce temps là, je me fous toujours à poil. Ça te gêne pas?

 

— Non non, au contraire! Je reviens, justement d’une vacance naturiste, alors vous pensez bien que j’apprécie...

 

— En ben, met-toi à l’aise aussi, n’hésite pas...

 

Je ne me le fis pas répéter deux fois. En un clin d’oeil j’ai tombé mon short et abandonné mes sandales, que je me suis baissé pour déposer au sol.

 

Le chauffeur venait de redémarrer et je sentais l’air chaud caresser mes jeunes poils bruns. Accroupi là dessous, je sentais que je commençais à bander... et que ça se verrait. En me relevant, mon nez s’est trouvé à la hauteur du pied droit que mon chauffaur venait de poser négligemment sur la banquette, tout en accélérant, imperturbable, du pied gauche. J’ai dégluti et entendu sa voix ferme qui me disait:

 

— Lèche moi ça, ça t’occupera.

 

J’étais si surpris et excité... J’ai embouché son gros orteil de blond en le suçant comme un biberon. Il devait vachement apprécier parce que, de sa main gauche, il a commencé à se tripoter les couilles.

 

— Bien entre les doigts, voilà, passe bien ta langue entre mes doigts de pied, c’est ça.

 

Son panard était délicieux, un peu salé, des résidus bien goûteux entre les plis des doigts... Un vrai régal. Pour bien lui lécher la plante du pied j’ai glissé par terre en me rapprochant de ses jambes. Heureusement le volant était assez haut et j’ai pu ainsi me glisser entre ses jambes en le léchant sans géner la conduite.

 

— Tu sais y faire, ma poule, on dirait que tu aimes bien ça!

 

— Mmm, Mmm...

 

Je venais d’emboucher sa belle bite. Elle bandait à moitié, bien dessinée, droite, un gros gland charnu et circoncis, des couilles énormes très poilues, rondes, parfumées et certainement pleines à craquer... Je ne fus pas long à l’engloutir jusqu’aux couilles, 20 cm de bonne chair bouillante dans ma bouche.

 

— Putain quelle suceuse! T’as l’air d’en avoir déjà bien bouffé de la bite pour un petit jeune... T’as vraiment une bouche d’enfer, ma poule. Je sens qu’on va pas s’ennuyer... Continue, voilà, prend-la bien en fond de gorge, c’est ça, fais-moi bien sentir ta langue.

 

Sa bite était maintenant bandée à fond. Pendant que je nous régalais par un va-et-vient lent et baveux, je lui massais les tétons qu’il avait durs et petits, sous une épaisse touffe de poils blonds tout bouclés.

 

— Arrête, putain, tu vas me faire jouir. Fous-toi plutôt à plat ventre sur la banquette, que je voie ton petit cul de pédé pendant que tu m’astiques la tige.

 

Je l’ai alors enjambé avec précaution, histoire de ne pas heurter le volant, et je me suis étendu comme il le voulait, la bite à plat sur le siège et ma bouche à nouveau empalée sur son dard. Je me régalais. De sa main droite, il a commencé à me palper les fesses, pendant que je léchais bruyamment ses burnes.

 

À 19 ans, j’avais déjà le goût pour la bonne purée... je n’avais qu’une envie: boire son jus jusqu’à la dernière goutte. Et il ne tarda pas à m’en remplir la gueule. Quatre longs jets épais, âcres et salés, que j’ai savouré bien en bouche avant d’avaler. J’avais pas fini de lui astiquer la queue poisseuse que, de sa main droite, il m’a attiré contre lui pour me rouler une pelle comme aucun mec ne me l’avait fait avant. Sa langue était longue, enveloppante, il me l’a fourrée au plus profond de la gueule pour bien goûter à son propre foutre. J’étais si excité... j’ai failli jouir sous moi sans même me toucher.

 

— Tiens, bois un peu de bière, ça te calmera.

 

Et il me tendit sa canette à moitié entamée. J’avais soif effectivement et j’avalai 3 ou 4 gorgées.

 

— Pas tout, n’avale pas tout! J’ai soif moi aussi... Rends-moi celle que tu as dans la bouche.

 

Pigé le trip, je me suis penché vers sa bouche et lui ai recraché dans la gueule toute la bière qui me restait. Il l’a avalée sans en perdre une goutte et m’a léché les lèvres avant de me faire signe de me rasseoir. Je n’avais pas encore joui, mais après de telles émotions j’appréciais une petite pose.

 

La route continuait à défiler rapidement. Il devait être à peu près 3h et demi de l’après-midi. Depuis que j’étais parti, vers 9 heures du matin, je n’avais pas fait de pauses pipi, de peur de rater un véhicule qui s’arrêterait.

 

— Tu t’arrêtes tous les combien? (Vu les circonstances, le tutoiement m’était venu spontané).

 

— Pourquoi, tu n’es pas bien là, près de moi?

 

— Non, c’est pas ça, c’est que j’ai vraiment envie de pisser, après cette bière...

 

— Là, il est trop tard pour qu’on s’arrête avant Lyon. Mais pas de problème, tu n’as qu’à passer à l’arrière... Tu trouveras ton bonheur!

 

— T’as des toilettes à bord! Chouette, j’y vais tout de suite.

 

Derrière le siège avant, un rideau dissimulait, en effet, une cabine assez spacieuse avec une couchette dans le fond.

 

— Viens-là mon petit, viens te soulager...

 

Interloqué, je cherchai des yeux d’où venait cette voix et je vis au fond de la cabine un grand mec à poil, en débardeur, allongé sur la couchette: la cinquantaine athlétique, les cheveux poivre et sel très courts, une barbe de 3 jours, sinon presque imberbe. Il me toisait en passant la langue sur ses lèvres charnues et entrouvertes...

 

— T’affoles pas petit, j’ai soif, alors tu vas gentiment me donner à boire, veux-tu? Tu verras, tu vas adorer!

 

Il m’a alors attiré doucement vers lui, m’a happé la bite et, sans me sucer, il l’a gardée en bouche en me faisant signe de la main de me laisser aller. J’étais si surpris, que j’ai débandé et ayant la vessie qui explosait depuis de longues heures, j’ai commencé à lui lâcher ma pisse chaude dans la gueule. Il était allongé sur le côté, la bouche arrondie autour de mon gland et il recevait ma pisse, gorgée après gorgée, comme s’il buvait à un robinet ouvert. Ce petit jeu commençait à me chauffer à fond! Il s’est bruyamment léché les babines en lançant à haute voix à son coéquipier:

 

— Il est fameux notre jeune donneur, pas vrai?

 

— Ouais, il est chaud comme on les aime, et déjà bien déprav en plus...

 

J’allais enjamber le siège avant pour retourner à ma place lorsque le buveur m’a attiré vers lui en me retournant pour m’enlacer les reins.

 

— Ne t’en vas pas! Viens plus près, mon petit, j’ai pas fini de te faire ta toilette...

 

Et avant que je puisse réaliser ce qui se passit, il avait déjà fourré sa grosse langue rapeuse dans mon trou du cul, en aspirant de toutes ses forces ma rondelle. J’avais, dans cette position, la tête qui ressortait du rideau, vers l’avant de la cabine et le cul complètement offert à cette bouche gourmande qui commençait à souffler dans mes entrailles comme on soufflerait dans un ballon. Pendant qu’il me remplissait le fion de son souffle, il me malaxait les couilles et caressait ma bite qui rebandait à mort.

 

— Ouvre-toi à fond, petit, tu m’a déjà donné à boire, maintenant tu vas me donner à bouffer, pas vrai?

 

— C’est ça, ma poule, lâches-toi bien, me dit le chauffeur. Ça va te plaire, fais mois confiance.

 

Je n’en revenais pas. J’étais là, à poil dans un poids lourd avec deux mecs vicelards et hyper bandants qui voulaient à tout prix me vider de mon foutre, de ma pisse et de ma merde! Et ça m’excitait un max! Le chauffeur s’est alors retourné de trois quarts et, tout en continuant à conduire, il m’a pris le menton avec deux doigts et m’a roulé une pelle bien baveuse, tandis que son pote continuait à me branler en gardant sa langue profondément dans le trou du cul.

 

— Chie un bon coup, mec, vas-y, pousse...

 

Et j’ai lâché mon premier étron: une sensation de plénitude m’a envahi aussitôt, j’étais excité comme jamais je ne l’avais été auparavant, j’étais au bord de l’orgasme. Et soudain, j’ai senti la langue du mec à l’arrière lapper ma rondelle merdeuse, dans un bruit d’engloutissement goûlu. Il venait d’avaler ma merde, ce putain de camionneur! J’ai alors lâché un deuxième paquet de brune, plus conséquent, qu’il n’a pas dû prendre en bouche parce que j’ai tout de suite senti sa langue qui m’astiquait la rondelle et qui me nettoyait comme une lavette tiède.

 

Je me suis alors retourné et je l’ai vu, à genoux, la face tout encrassée, étalant ma merde sur son torse et son sexe. Il m’invitait à approcher de lui. Je me suis senti complètement subjugué. Je humais l’odeur forte de mes fèces, et je ne trouvais pas ça désagréable... Je me suis alors accroupi pour approcher de son visage, et on s’est embrassés, langoureusement, ma merde dans nos bouches, amère et sucrée, crémeuse comme je n’aurais jamais pu l’imaginer... Ça en était trop. Le camion s’arrêta brusquement et d’un bond le chauffeur blond nous rejoignit à l’arrière.

 

— Alors ma poule, tu gardes ton meilleur seulement pour mon pote?

 

Et on s’est roulé un patin à trois hyper bandant! J’étais littéralement en transe. L’odeur de ma merde, son goût, sa consistance me rendaient fou et j’ai commencé à sucer ma propre merde de la bite du quinquagénaire. Il était super bien monté le salaud! Pendant ce temps, le blond s’était positionné derrière moi et me lappait le cul en y goûtant ce qui restait de mes excréments.

 

Soudain, j’ai ressenti quelque chose de chaud qui forçait ma rondelle. Ouvert comme je l’étais, j’ai à peine senti sa bite me forcer le cul. Un liquide bouillant me remplit aussitôt les entrailles, en dégoulinant le long de mes jambes. Mon chauffeur me pissait dans le cul, tandis que son pote me jutait en pleine gueule. Je n’en pouvais plus et j’ai joui dans un râle de plaisir. Inoubliable.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Dimanche 15 janvier 7 15 /01 /Jan 14:46

tumblr_nrs52oZYl11u1fbkyo1_500.jpg

J'ai 18 ans 1m83 72 kg imberbe et ultra passif je suis dans le 93 depuis 1 ans et je dois dire que je suis assez surpris ont m avait mis en garde sur plein de choses mais pas sur ce point des fois je me demande si le fait que je sois gay ne clignote pas sur mon front. La première fois en sortant du Framprix il ne faisait pas très beau j'avais deux ans de moins j étais charger niveau sac je rentre donc chez moi et arriver a la moitié du chemin il y avait une bande de mec black et rebeu qui parlaient entre eux mais j'ai croisé qu'un regard insistant d'un des rebeus assez grand crâne rasé.
je continue mon chemin sans faire attention et sans regarder derrière moi arrivé a la porte de mon bâtiment je tape mon code et d'un coup le rebeu en question m'ouvre la porte il me demande si j ai besoin d'aide je lui répond que non.
Toujours très timide je répondis doucement et je rentrai très vite dans le couloir pour ouvrir la boite aux lettres le mec attendait a coté de moi il me dit :
- bon je vais être clair je t'ai repéré et t'as une bouche a pipe qui laisse pas indifférent alors soit tu me suce soit je te défonce la gueule.
J'ai pris panique et je lui demande de m attendre il me dit « je te suis tu crois quoi salope! »
Il me suit, monte dans l'ascenseur qui était vraiment serré il continue à me regarder et me dit t'as vraiment une bonne tête de chienne bâtard.
L'ascenseur arrive a mon étage et je lui dis qu'il vaut mieux faire ça dans la cave je ne voulais pas qu'il rentre chez moi.
Il accepta donc je dépose mes sacs dans le couloir, referme la porte et ont redescend par les escaliers jusqu'à la porte de la cave j'ouvre et là il me pousse je descends le reste des escaliers en courant de la chance que je ne sois pas tombé là il descend son jogging et me montre une queue comme jamais j en avais vue du 25 cm un truc de fou.
Il me dit « allez suce sale Pd »
 Il me prend la tête et m'enfonce sa tige dans la bouche tellement profond que j'en est envie de vomir mais il s'en fout il fait des vas et vient et me défonce la bouche j'ai l impression que sa bite arrive a mon estomac tout rentre là il me dit :
- Tu as une gorge bien profonde salle pute va y bouffe.
Et il me met une baffe dans la gueule j'en pleure tellement j'ai la gorge en feu puis il me dit retire ton jean je le fais mais pas assez pour lui il prend un couteau et me déchire le haut de mon tee-shirt et la ceinture, il voit que je ne porte pas de sous vêtement, tout de suite le mec me dit « je savais que tu étais une chienne en manque, tu pues le Pd a 100 mètres » (original non !!)
Il écarte mes fesses me crache sur la rondelle est rentre sa queue bizarrement doucement car je pense qu'il a conscience que 25 cm ca rentre pas comme ca.
Il me ramone petit à petit tout en rentrant de plus en plus loin et au bout de quelques minutes, les 25 cm sont en moi.
Il me dit « ça te fait quoi d'avoir le cul rempli de rebeu salle pute » et d'un coup il sort sa queue et la rentre à fond plusieurs fois j'étais électrocuté à chaque fois. C'était bon, avouant que je prenais mon pied il se met à me défoncer plus rapidement en me disant :
 » Je vais te remplir tes entrailles salope »  je sens un coup plus fort, il se vidait au fond de moi.
il sortit sa bite qui était déjà demi molle il me demanda de laver et nettoyer sa queue avec ma langue ce que je fis tout en sentant couler sur mes cuisses le sperme mon cul était tellement ouvert.
En partant il me fit un sourire et me dit bonne soirée pour ma part j'étais fier de pouvoir me dire que je pouvais prendre du 25 cm dans le cul.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Lundi 22 août 1 22 /08 /Août 19:34

tumblr my9nqcvQkj1rnzo34o1 500

C'est une histoire réelle qui s'est passée au mois de juin dernier dans une ville du Sud de la France.

Je suis un mec de 55 ans viril, passif soumis, bonne salope vicieuse, j'aime les plans cul hard et sniffer les bonnes odeurs de mecs (aisselles, bite, couilles, cul, panards, chaussettes, baskets ou autres.

Je stationne ma voiture sur un parking du centre de la ville pour aller faire quelques courses. Une fois descendu de voiture j'allume une cigarette. Je remarque sur un banc sous les arbres des sans domicile fixe. L'un d'eux, un beur âgé d'environ 30 ans,  arrive vers moi et me dit :

- T'as pas une cloque s'il te plait ?

- Oui bien sûr et je lui tends mon paquet de cigarette tout en matant son paquet à lui bien gonflé dans son jean.

Il prend une cigarette et me dit :

- T'aimes la queue salope ?

- Oui mec j'aime ça.

- Parfait, j'ai les couilles pleines et j'aimerais que tu me les vidanges à fond.

- OK mec, je fais mes courses, je reviens à ma voiture et on va chez moi.

- OK je t'attends, moi c'est Kamel, et toi ?

- Pascal.

Lorsque je reviens sur le parking avec mes courses Kamel m'attend adossé au capot de ma voiture.

Je lui dit de monter côté passager, ce qu'il fait.

Il faisait chaud ce jour là et une fois Kamel assis dans ma voiture j'ai pu sentir ses bonnes odeurs de mâle ; il n'avait pas dû prendre de douche depuis un certain temps. Je me mets à bander et il voit mon short serré se gonfler au niveau du paquet.

- Tu me kiffes mec, me dit Kamel.

- Oui Kamel, j'adore les beurs et en plus j'aime les bonnes odeurs de mâle.

- Parfait mec, je sens que je vais prendre mon pied avec toi.

Aussi rentré dans mon appartement je pose mes courses et Kamel me dit :

- A mes pieds salopes, vient sniffer et décrasser mes bonnes odeurs avant de t'occuper de ma bite.

Je m'exécute, je le déshabille complètement tout en sniffant et léchant son corps des pieds aux aisselles, ça l'excitait et il bandait dur. Il avait une grosse queue 23x6, heureusement que j'ai la chatte bien dilatée.

- C'est bien salope, tu décrasses bien t'es un bon bâtard. Maintenant on passe aux choses sérieuses, ouvre ta gueule que j'y enfourne ma queue.

- Oui c'est ça bouffes bien ma queue, lèches mes couilles, après je vais m'occuper de ta chatte.

Après un long moment de ce régime, pendant qu'il me faisait les tétons ou me doigtait la chatte, il me dit :

- Retournes toi je vais t'engrosser salope.

Il me mollarde le trou comme il faut et rentre sa queue à fond d'un seul coup. J'avais beau avoir sniffé du popers j'avais quand même la chatte en feu. Mais après un intense ramonage j'ai commencé à prendre mon pied.

Quant il a eu joui dans mon cul, il a sorti sa bite pour me la fourrer dans la bouche.

- Allez nettoies ma queue salope avec ta langue.

Je m'exécutes et presque aussitôt je sens sa pisse chaude me remplir la bouche. J'avale tant bien que mal au fur et à mesure.

- C'est bien bâtard t'es un bon chiotte aussi.

Il se rhabille et sort de mon appartement en me disant :

- A très bientôt bâtard je reviendrais m'occuper de toi avec mes potes, t'auras intérêt à nous laisser entrer.

J'ai attendu mais je ne l'ai jamais revu. Pourtant j'aurais bien aimé qu'il revienne avec ses potes pour me remplir les trous.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
Ecrire un commentaire
Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 07:32

lCaDRkpDvZDW

Wesh Mec. Moi quand je passe à Paname j’en profite à fond : y a tellement de gars en chaleur ! A chaque fois c’est le même délire : je viens en me disant que je vais aller m’acheter des fringues, faire un musée, des restos… et puis je finis par passer tout mon temps libre à enculer des ptits mecs. J’y peux rien, j’aime trop taper dans tous ces culs de hipsters parigots.

Un samedi soir, je suis dans la capitale avec mon pote Abdel et il me motive à sortir : « Sérieux gros, pour une fois on peut juste aller danser et kiffer. On a déjà bien niqué depuis hier ». Ca fait un moment que je suis pas allé en boîte et je suis chaud. On se retrouve devant l’un des grands clubs à la mode du moment. La file d’attente est super longue, on a pas pensé à prendre des pré ventes, ça me casse les couilles. Abdel est trop motivé alors je dis rien… On entre, y a encore une attente de malade pour poser ses trucs au vestiaire… Abdel me dit : « C’est bon garde ton blouson, on y va trankil » mais moi ça me saoule de pas être totalement à l’aise pour danser. Il va se prendre un verre et moi j’attends… C’est pas une soirée gay mais je repère un petit gars un peu efféminé, avec une super belle gueule. Il me mate, je fais genre de pas le voir mais en scred je regarde un peu comment il est. Il porte un jean slim et a un petit cul dans lequel je me vois bien taper… J’essaie de me calmer, suis pas venu pour niquer, Abdel va avoir la rage si je le plante pour tringler une lope.

Mes affaires déposées, je retrouve mon poto, on trinque et on kiffe sur la piste. Le son est pas mal, je fais mon bogosse, y a des meufs qui commencent à venir se coller à moi. Ca me fait marrer, si elle savait ce que j’ai fait aux culs que je croise… Abdel est déchaîné et improvise des pas de danse, on se marre. Je capte au bout d’un moment que le ptit mec du vestiaire est pas loin de moi en train de danser aussi et qu’il continue à me zieuter. Alors qu’Abdel commence à sympathiser avec des inconnus, j’en profite pour rendre ses regards au ptit gay. Il baisse la tête puis finit par oser me fixer. Il comprend que je suis chaud, je le fixe à mort, fait un mouvement de la tête pour lui indiquer de me suivre. Me dirige vers les chiottes, là aussi faut encore attendre. Fais chier, moi qui voulait me faire pomper en scred ! Le ptit gars débarque et je sais pas quoi faire… Je me mets à lui parler. On cause, il est cool mais bon moi je suis pas là pour faire l’amitié donc je finis par le recentrer un peu « En fait je t’aurais bien mis ma bite dans ta bouche mais y a trop de monde aux chiottes là, c’est grillé ». Il me propose d’aller chez lui mais y a pas moyen, j’vais pas planter mon pote. Il réfléchit et puis me dit « Si tu peux attendre encore une heure y aura moins de monde ». Je réponds « Je sais pas ». Je suis impatient c’est comme ça… Le ptit gars sent qu’il perd mon intérêt. Il s’approche et me dit dans l’oreille : « S’il te plaît, on se retrouve dans une heure suis sûr y aura plus grand monde. J’ai envie de ta queue ». Ce ptit con commence à me faire bander. Je décide de le chauffer un peu pour voir jusqu’où il est prêt à aller et aussi jauger si ça vaut le coup que j’attende : « T’as envie de te faire niquer comme une chienne ? ». Il me sourit et me dit cash « Je suis une chienne, je veux être ta pute ». Le rendez-vous est pris !

Je retourne sur la piste et je danse avec Abdel et les autres. C’est un autre DJ qui joue et le son déchire. Je vois pas le temps passer. Alors que je commence à voir la boîte se vider doucement je me rends compte que je suis à la bourre. Je vais vers les chiottes et là je vois attendant comme un malheureux mon ptit gars. Il me voit arriver, il sourit. « Pardon j’ai pas vu le temps passer. T’es toujours chaud ? ». Il me fait signe que oui. C’est cool y a personne qui attend et plusieurs cabines sont dispos. On s’enferme dans celle qui est la moins crade. D’emblée le mec se fout à genoux et me regarde comme pour implorer que je déballe mon paquet. J’ouvre la braguette, ma teub sort, je bande déjà un peu, il prend le morceau en bouche et se met à gémir. Trop bien : même quand je sors trankil je trouve de la tepu ! Le ptit gars me la suce avec des airs de chienne, nettoie bien mon gland avec sa langue, se laisse faire quand je décide de passer en mode fond de gorge. Je perds pas de temps, je sors une capote, je le retourne, je mollarde vite fait son trou et je m’enfonce. Pour pas qu’on se fasse griller, je recouvre toute sa bouche avec ma main comme ça j’étouffe ses couinements de salope pendant que je le fourre. Il a un bon petit cul imberbe qui encaisse bien, il adore quand je lui pince les tétons, il trique comme une bonne lope heureuse de se faire défoncer. Je suis pas loin de jouir quand il se retire. Je le regarde, suis vénère qu’il ait pris l’initiative d’enlever mon zob sans me demander mon avis. « Tu fais quoi là ? ». Il se met à genoux et se met à quémander « Pisse-moi dessus ! ». J’avoue l’uro c’est pas trop mon délire d’habitude. Je reste un peu con mais je bande fort. Tu peux pas imaginer la gueule du mec à ce moment-là : il tirait la langue et prenait un air de petite traînée… « T’as envie que je te douche à la pisse c’est ça ? ». Il répond oui. J’ajoute « Ca se mérite le liquide du maître, fais ta salope, montre ce que tu vaut ! Allez doigte toi ton cul, je veux te voir te déchirer la rondelle tout seul, que tu mouilles en implorant ma pisse ». Il obéit et se doigte à fond. Il se met à couiner, je lui balance une claque « Tu veux qu’on se fasse griller ou quoi ? ». Je le mate, là au sol, comme un larbin. Le contraste avec le moment où je l’ai aperçu la première fois est ouf. C’est comme s’il avait perdu toute son humanité : il n’est plus qu’une petite raclure, une chiennasse en manque qui vient de se faire déboîter à la bite et qui a besoin de se faire souiller à la pisse. Il a besoin de ma queue, il a besoin de mon urine, il a besoin d’un mâle pour lui faire sentir quelle petite putain il est. Je me sens comme une bête, ma pisse sort toute seule. J’en mets partout, je crade toute la cabine. Mais surtout je veille bien à diriger un max de jets sur sa gueule de bâtard. Alors que je me déverse, je vois qu’il jute en se faisant inonder. Il reste là, tremblant après son orgasme. Je le saisis « Maintenant que t’as mon odeur sur toi tu vas me redonner ton cul ». Il bronche pas et tend sa raie : nickel. Je retourne faire un tour dans sa chatte. Ca daube la pisse mais c’est la mienne alors ça va et pendant que je l’enfourche je me dis que c’est vraiment une bonne salope, qu’elle est à moi, qu’elle a surkiffé se prendre mes jets. Ca me chauffe, je gicle.

Au moment où je vire la capote avec toute ma semence dedans et que le ptit bâtard se relève, j’entends taper à la porte de la cabine. « Messieurs, veuillez sortir s’il vous plaît ». Putain la merde : y a une grosse flaque de pisse au sol, le gars de la boîte va péter les plombs en voyant le carnage. Résigné, j’ouvre la cabine : c’est Abdel qui est là et qui se marre, il avait pris une autre voix. Le con ! « Tu peux pas t’en empêcher, fallait que tu baises ! ». Il se tait quelques secondes et me lance : « Gros tu t’es lâché ! Tu pisses sur les keums maintenant ? ». Le ptit gars sort maladroitement de la cabine, un peu honteux. Abdel le reluque et se permet : « T’as kiffé ou quoi ? ». Il sourit. Et Abdel de surenchérir : « Tu veux pas rentrer avec nous ? Je te doucherai bien la gueule moi aussi ». Le mec dit rien mais nous suit comme un clébard. Il s’est fait souillé par Abdel, juste à côté de moi jusqu’au lever du jour. Ah les lopes de Paris…

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 17:00

tumblr nkleq4wN2O1sr0k0go1 400

Je me présente, max 22 ans 165, 58, yeux noisettes, chataîn plutôt fin on me dit charmant, j'ai eu pendant deux ans une relation très tumultueuse avec mon ex, Fredo.

 

Un mec très macho, plutôt viril physiquement, 186 84 brun yeux vert une bite plutôt pas mal 18/5, au début nous avions une relation normal,puis avec le temps il a commencé a exiger des choses , des tenues, des godes de plus en plus gros, puis il a fait venir un copain a lui a la maison , il a réussi a me convaincre de coucher avec eux deux.

 

Au début pas très convaincu mais pendant cette soirée il m'a chauffé grave , bref ça c'est fait , et ça m'a grave plus, après ça les insultes et la brutalité qu'il m'était dans nos rapport ce sont généralisés, et j'y prenais goût, mais il devenait de plus en plus dominant, dans la vie de tous les jours.

 

Bref j'ai fini par ne plus accepter cette situation qui devenait quotidienne alors je l'ai quitté.

 

Je suis resté seul pendant près d'un an et j'ai eu plusieurs relations mais aucune ne me convenais, j'ai donc commencé a chercher sur le net des plans sexe avec des mecs dominants, et oui cela me manquait, j'ai eu quelques plans excitants mais tjrs pas le bon et un jours une annonce m'a attiré, mec dominant cherche petit soumis pour l'amener le plus loin possible.

 

J'ai alors commencé a discuter avec lui...

 

Moi: Salut je suis plutôt soumis j'aimerais développer mon coté lope

 

Lui: Salut je suis dominant aucune limite, tu aimes quoi, et tu as déjà essayé quoi, tu dit plutôt soumis?

 

Moi: Ben j'ai était amené a être soumis avec mon ex, gode, plug, collier de chien, il m'a prêtait a un de ces potes, double sodos

 

Lui: Humm intéressant, tu es prêt a quoi?

 

Moi ben je ne sais pas encore jusqu'où je peux aller

 

LUi: tu aimesplan exterieur? exhib? plan a plusieurs? uro? tu veux être mon soumis ?

 

MOI: hummm c'est excitant, je ne sais pas trop a voir je n'ai pas fait la moitié mais prêt a essayer

 

Lui : bon décrit toi, ton prénom?

 

moi je me décris et lui dit que je m'appel Max, et là plus de réponse j'attends un peu , il fini par écrire

 

Lui: on va faire un teste je veux que tu te foute a poil que tu m'attende avec un bandeau sur les yeux un plug dans le cul a 4 pattes en laisse

 

MOI ça m'a grave excité, je lui demande la tout de suite il me dis oui je lui file mon adresse code ect il me dit que je ne le verrais pas du début a la fin, je trouve ça excitant je dis "ok"

 

une heure plus tard il me bip il me dit qu'il est là, il monte je l'attendes en position comme demandée, je le sens s'approché a pris la laisse en main et ma dirigé la tête vers sa queue, que j'ai commencé a pomper comme si ma vie en dépendait, je l'ai entendu rigolé puis tjrs pendant que je le pompais il a commencé a me tripoter le cul, il jouait avec le plug, puis l'a enlevé.

 

Puis il m' a me filer des claques sur le cul, moi je comencais a gémir comme une chienne je l'ai encore entendu rigoler, il a alors changer de position moi tjrs a 4 pattes

 

Je l'ai entendu cracher sur ma rondelle, puis il m'a mis un, deux doigts moi je gémissais encore plus donc il m'en a mis un troisième, avant de m'enculer comme une bête.

 

Il me labourer littéralement le cul, je couiné encore plus, le fait de ne rien voir m'excitais du plus haut point.

 

Il ma alors attraper par les cheveux vers l'arrière sans ménagement ce qui ma fait cambrer un max,

 

je pouvait le sentir encore plus et là il a commencé a me fourrer un doigt en même temps que sa queue j'adore cette sensation d'être rempli au max,donc il a continué sa progression, il ma foutu trois doigts plus sa queue puis il s'est arrêtais je ne l'entendais plus jusqu'à ce que je sente un jet chaud sur mon visage là il rigolé encore une fois.

 

La seule parole qu'il prononcer c'est "ouvre", un peu rétissent j'ai fini par le faire; il me remplissais la bouche de pisse, il rigolais encore

 

puis il ma foutu sa queue dans la bouche, il finissais de pisser j'ai du avaler puis il a commencer a me baiser la bouche jusqu'a ce qu'il jouisse, je n'ai pu qu'avaler son sperme tellement il me maintenait la tête sur sa queue.

 

Je l'ai entendu se rhabiller et la porte ce fermer.

 

je me trouver un peu con sans avoir joui humilier mais très excité, cinq minute après j'ai reçu un message:

 

lui: très bien salope, tu as fais tout ce que j'ai voulu sans broncher je pense que tu es prés pour être une bonne lope.

 

moi: merci, c'était trop bon et très excitant.

 

lui: je savais que t'était une chienne la prochaine fois je veux tes godes, plugs, et tout ce que tu as chez toi prés a l'emploi

 

moi: ok pas soucis je mettrais tout a ta dispo

 

lui: comment ça a TA DISPO? TU ME VOUVOIES a partir d'aujourd'hui compris chienne

 

moi: pardon excusez moi d'accord

 

lui: c'est mieux, donc demain je te veux tjrs a poil la tête sur le sol, cul bien en évidence, je vais t'ouvrir au max sale chienne

 

moi exciter vu que je n'avais pas joui je lui réponds ok

 

lui: et mets tjrs ton bandeau sur les yeux

 

moi: d'accord

 

le lendemain le téléphone bippe

 

lui: prépare toi j'arrive dans une heure

 

moi: ok

 

Une heure plus tard je me mets donc en position quand il arrive, je sens directe une grosse claque sur le cul puis direct un doigt sur mon trou puis une autre claque, j'entends qu'il prend quelque chose sur la table, là je sens du gel sur ma rondelle puis un ,

 

deux, et enfin trois doigts rentrent dans mon cul ce que je ne comprend pas de suite c'est qu'il me dis face a moi:

 

- C'est bien sale chienne tu va te faire éclater aujourd'hui ",

 

Alors qu'il est sensé être derrière moi , donc je comprends vite qu'il n'est pas seul, malgrès la peur je commence a être très exciter par la situation, les doigt font placent a un gode , il, enfin je ne sais pas qui, me lime a fond avec; le gode glisse de plus en plus facilement donc il change pour un plus gros.

 

Là mon maître je pense que c'est lui que j'ai devant moi me dis:

 

- Relèves toi et pompe moi pendant que tu te fais bien ouvrir sale pute

 

ce que je m'empresse de faire et là j'entends mon maître dire:

 

- Putains t'as raison c'est une vrai chienne

 

Je comprends donc que celui devant moi n'est pas mon maître. Je me demande popurquoi c'est lui qui parle et m'ordonne des choses mais je me laisse faire. Mon maître donc enlève le gode et me rentre sa queue direct ils commencent alors tout les deux a me limer, un la bouche, l'autre le cul, mon maître recommence a me foutre un puis deux doigt et enfin trois doigts en même temps.

 

- Putains il encaisse grave , c'est mieux on va pouvoir l'enculer a deux tranquillement là.

 

Mon maître s'arrête mais reste a l'interieur et je sens qu'il veux me rentrer quelque chose , putains il me met un gode en même temps

 

une fois rentré, il recommence a me limer je couine la bouche pleine puis celui que je suce me dis:

 

- Ouvre ta gueule, il parraît que tu bois autre chose que du jus je veux voir ça.

 

Je m'executes sans brocher, et là je sens qu'il commence a pisser, il rigole tous les deux jusqu'à ce que mon maître tire sur mon bandeau

 

j'ouvre les yeux et j'entends

 

- Lève les yeux sale chienne...

 

là je vois le pote a mon ex un portable à la main grand sourire au lèvre, je ferme automatiquement la bouche , une gifle s'en suit et marc (le pote de mon ex)me dis:

 

- Qui t'as dis de fermer ta gueule, ouvre grand de tout façon tout a était filmé grosse pute et t'aime ça en plus, alors obéi si tu veux pas être sur le net.

 

J'ouvre alors ma bouche, mon maître continuait de me baisé et marc de me remplir la bouche, jusqu'à ce que mon maître s'arrête et rejoigne marc.

 

Là quel stupeur de voir mon ex, non , non ,non, c'est pas possible mon maître c'était Frédo depuis le début, putains qu'elle honte

 

là ils se mettent a rigoler

 

mon ex F: alors tu te fais baisé comme ça par un mec que tu connais pas , que tu ne vois pas, et tu fais tout ce qu'il te dis sans bronché

 

tu vois que t'es une salope totale, et tu va l'être d'orenavant, tu n'es qu'un trou a remplir et la il se mets a pisser et me dis avale tout... ce que j'ai

 

Bien sur l'histoire ne s'arrête pas là si vous voulez que je continue a vous raconter, n'hésitais pas avec vos commentaires merci

 

MAXXOU09

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 3 commentaires
Ecrire un commentaire
Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 17:40

tumblr o15bwfeUcL1ukco32o1 400

Tout d'abord, je me présente : je m'appelle Frédéric, j'ai 25 ans, je mesure 1m85 pour 62 kilos, les cheveux châtains courts et les yeux bleus/gris. Je ne suis pas une bombe de beauté mais je me débrouille plutôt bien au vu de mes nombreuses conquêtes...
Je suis étudiant et, comme il se doit, il m'est arrivé de travailler pour pouvoir manger et payer mes factures. Notamment en tant que maître d'internat.
J'étais alors surveillant dans un foyer de lycéens professionnels. Mes élèves allaient de 18 à 27 ans. J'ai eu à surveiller de tout : petits et grands, gros et maigres, bruns et blonds, etc.
Je suis plutôt difficile en garçons mais je dois dire que très nombreux étaient ceux qui me faisaient kiffer. Ces derniers étaient tous mignons, sympas et surtout bien dessinés au niveau du corps avec un peu de muscles...
J'ai eu maintes fois l'occasion de les admirer, sans même jouer les voyeurs puisqu'ils venaient spontanément dans ma chambre pour me parler, très souvent en petite tenue, vêtus simplement d'un slip, d'un boxer ou même d'une serviette autour de la taille lorsqu'ils sortaient de la douche (qui était juste à côté de ma chambre...).
Vous imaginez dans quel état je pouvais être lorsqu'ils venaient ainsi à moi... Idem lorsque je faisais le tour des chambres, du moins des dortoirs (car ils sont 10 à 15 par chambre...), le soir, au moment de les coucher.
Beaucoup étaient alors en slip, caleçon ou boxer sur leur lit, les jambes souvent bien écartées, ce qui m'a amené à me rendre compte que la plupart étaient bien membrés et que leurs petites amies devaient en redemander !!!
Pour ma part, afin de ne rien laisser transparaître, je me forçais à ne pas trop les regarder, si ce n'est dans les yeux. Mais il arrivait que mon regard s'égare un peu...
Je me souviens tout particulièrement d'un garçon : Ludo, 18 ans, châtain court, les yeux noisettes, 1m75 pour 65 kilos, bien musclé (il faisait du rugby...), très gentil et timide.
J'ai tout de suite sympathisé avec lui, à parler pendant des heures car nous avions beaucoup de points en commun.
Au point que nous sommes devenus très proches. Malheureusement, il avait une copine à laquelle il tenait visiblement énormément et semblait rétif vis à vis des homos...
Un soir, il m'a demandé de venir le voir dans sa chambre pour me faire voir des dessins de sa création. Il était alors vêtu d'un simple boxer. Je me suis assis à ses côtés, jusqu'à être cuisse contre cuisse. Il sentait terriblement bon et avait une peau tout à la fois hâlée et délicate.
Je n'ai pu retenir une érection qui pointait tout naturellement.
Le fait est que je portais un survêtement avec rien en dessous et qu'il s'est donc rendu compte de mon état, sans broncher néanmoins. Je ne suis pas resté longtemps car nous n'étions pas seuls et j'étais assez troublé.
Un dimanche soir, alors que j'accueillais les quelques élèves qui viennent en toute fin de semaine, il me demanda de l'aspirine pour calmer un violent mal de tête. Comme j'étais occupé et que je lui faisais confiance, je lui ai confié les clés de ma chambre en lui disant qu'il pouvait s'y servir et m'y attendre au cas où il voudrait discuter un peu.
Arrivés 23 heures, je fermais l'entrée pour ensuite faire le tour des étages supérieurs puis regagner le mien. Du fait des grèves, ce dernier était peu occupé ce jour là : hormis Ludo, je n'avais à surveiller directement que 4 autres garçons qui dormaient déjà.
Au moment de pénétrer dans ma chambre, je m'aperçus qu'elle n'était pas vide. J'eus en effet l'agréable surprise d'y trouver Ludo qui s'était endormis sur mon lit. Il avait l'air d'un ange. Il était précisément sur le dos, habillé d'un seul boxer noir. Je m'asseyais à côté de lui pour le regarder lorsque la tentation s'empara de moi. Je résistais comme je pouvais, car la situation n'était pas sans risque surtout que Ludo  m'avait avoué qu'il avait le sommeil très lourd mais la tentation était trop grande.
Ainsi ma main gagna-t-elle son torse qui s'offrait à moi dans toute sa splendeur. Tout doucement, mais sûrement, je lui caressais désormais le téton gauche.
Je sentais alors un léger duvet qui était particulièrement agréable au toucher.
Comme il ne réagissait pas, je poursuivais mon exploration interdite en passant au sein droit puis en descendant, toujours doucement, vers des abdos qu'il avait saillant.
J'étais dans tous mes états comme vous pouvez l'imaginer !! Je le massais ainsi pendant quelques minutes, jusqu'à ce que mes doigts atteignent le fameux et bien mal nommé "Chemin des Dames", fin filet de poils pubiens qui annonce des plaisirs voluptueux...
Une lutte s'engagea de nouveau en moi entre ma raison qui me disait d'en rester là et de le réveiller pour qu'il rejoigne sa chambre, et mes hormones qui me commandaient de poursuivre vaille que vaille.
N'étant qu'un faible être humain, les secondes l'ont bien évidemment emporté !!
Ainsi mes doigts glissèrent vers son boxer jusqu'à ce que je sente son pénis puis ses testicules.
Ma main était désormais toute entière sur son sexe que je malaxais amoureusement. Soudain, je sentis que sa verge prenait du volume, mes caresses lui faisaient visiblement de l'effet.
En un instant, je vis un joli barreau se dessiner sous le boxer. C'était plus que je ne pouvais en supporter.
Craquant complètement, je me mis face à lui, entre ses jambes, pour lui embrasser la verge au travers du tissu.
Toujours très doucement, je m'emparais alors de son boxer pour le lui descendre, laissant apparaître un gland bien rouge surmonté d'une goutte de précum.
Son sexe à l'air, je me mis à lui lécher la hampe pour remonter vers le gland que j'engloutis en un instant. Il ne disait toujours rien...
Sa bite était chaude, douce et sentait vraiment bon. Ainsi me suis-je mis à la dévorer !!
Je commençais donc des va et vient lorsque je sentis une main se poser sur mon crâne. Il s'était réveillé !!!!
Bien loin de m'arrêter, il me commanda de continuer en m'appuyant sur la tête. Je ne me fis pas prier !!
Il poussa alors quelques gémissements puis, en un éclair, ma gorge fut aspergée par 5 ou 6 jets de sperme légèrement sucré.
Lorsque je me relevais, j'étais très gêné car j'avais tout de même abusé de lui. Je fus vite réconforté lorsqu'il m'embrassa à pleine bouche en même temps qu'il me caressait le sexe à travers mon pantalon. Je n'en croyais pas mes yeux, ou du moins ma bite !!
Lui qui était si prude m'étonnait grandement. Il me demandait de me coucher pour me rendre la pareille.
Afin de lui faciliter la tâche, je me déshabillais entièrement. Je ne pouvais plus revenir en arrière désormais...
Il m'embrassa d'abord le nombril puis descendit vers ma queue qui n'en pouvait plus !! Il me dit alors très innocemment que c'était la première fois qu'il suçait un mec.
Je le rassurais en lui disant que ce n'était pas difficile, sachant qu'il devait simplement faire attention aux dents...
Je sentais alors sa langue s'emparer de mon gland puis de ma hampe qu'il avala d'un coup. C'était exccccceellllent !!!!
Il me suça pendant quelques minutes puis s'arrêta net à ma grande surprise... Je me dis qu'il n'aimait peut-être pas et désirait s'en tenir là.
En fait, il me demanda simplement de... le prendre !!!
Il désirait en effet en connaître les sensations.
Je lui dis donc de se mettre sur le lit à 4 pattes en écartant bien les fesses. Je lui embrassais alors le cul, qu'il avait bien musclé, pour m'attaquer ensuite à sa rosette.
Ma langue la fouillait dans tous les sens, ce qu'il apprécia grandement car il se tortillait en poussant de petits gémissements roques.
Ceux-ci s'intensifièrent quand je me mis à le doigter.
Son anus se dilata ainsi suffisamment pour que je commence le travail.
Je me mis donc un peu de gel sur ma bite et dans son cul. Craignant qu'il ne crie lors de la première pénétration et qu'il n'alerte les 4 autres, je le mis en garde et lui conseillais d'étouffer ses possibles sons.
L'entrée ne fut pas trop difficile car je l'avais bien travaillé. Mais il eut tout de même mal et me demanda d'attendre un peu.
Je le réconfortais en lui disant que la douleur finirait par laisser place au plaisir, ce qui se produisit très vite.
Son trou était délicieux car juste à la bonne taille de ma bite (qui fait environ 20 cm contre 21 pour la sienne, soit dit en passant) et particulièrement chaud et humide. Je me régalais, au point d'en oublier le reste et de le pilonner maintenant à fond.
Plus je forçais, plus je l'entendais crier :
"C'est bon", "continues", "enfonces moi", "j'adore ta queue" !!!
Je lui pris alors le sexe pour le branler car il avait repris de la vigueur sous mes coups de butoir... Il était tellement en extase qu'il me vint dans la main en quelques secondes, poussant un long soupir de plaisir.
Il n'en fallut pas plus pour que je lui  remplisse le cul de 7 jets de liquide séminal bien visqueux...
Je me retirais alors de lui et, de nouveau à ma grande surprise (c'est incroyable de voir à quel point certains peuvent changer du tout au tout quand il est question de sexe !!!), il se retourna, puis me lécha le sexe avec gourmandise.
Bien que je débandais progressivement, ce qui n'était pas son cas, il recommença à me sucer, jouer avec mes couilles et mon anus qu'il titillait de sa main droite. Ses lèvres étaient devenues quasi expertes, au point que je bandais de nouveau.
Il quitta alors ma queue pour mes bourses puis chercha à se frayer un chemin vers ma rosette.
Comprenant où il voulait en venir, je lui facilitais le travail en écartant les jambes et en me mettant sur le côté puis sur le dos. Je sentais alors sa langue me pénétrer l'anus. Je vibrais tellement c'était bon !!
Il me mit ensuite un doigt, puis 2, puis 3. Je commençais à gémir.
D'un coup, il  m'enfonça son pieu sans ménagement. J'eus assez mal mais c'était si excitant de le sentir en moi.
Il me massa les fesses puis se mit à me pilonner avec vigueur en faisant des petits "aaahhh""". Je me serais cru dans un film x !!!!
Il m'encula pendant un bon quart d'heure avant de sortir de mon cul et de balancer tout son jus sur mon dos. Je jouis peu de temps après.
Il m'embrassa en me disant "merci" et partit aussitôt se coucher dans sa chambre.

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 01:00

tumblr m43x76TUB21qg4n09o1 500

Salut les gars. Ca fait quelques temps que je lis les histoires ici et je décide de raconter certains de mes plans les plus chauds. D'abord, une petite présentation. Je m'appelle Nicolas, cefran, 33 ans, 183, 76 kg, bien foutu. Châtain, les yeux bleus, look 100% hétéro. Je suis viril voire macho en temps normal mais pas au pieu. Du moins, plus depuis que je suis devenu gay et très passif et pas mal soumis.

J'ai découvert le plaisir du sex avec les mecs assez tard, mais a partir de 25 ans, je n'ai quasiment plus touché une meuf. Au début j'étais 100% actif, mais ca a bien changé !

Un de mes plans les plus chauds c'est passé à Paris, vers Colonel Fabien. J'habitais vers jaures et un soir en manque de queues, je me suis mis en quête de trouver un bon zboub de black ou de rebeu. Je suis remonté quasiment jusqu'à la villette et n'ai rien trouvé de très engageant. Quelques vieux dégeu à gerber tournaient mais pas ma cam. Je n'avais pas envie de renoncer pour autant et pas envie de rentrer chez moi bredouille. Je me suis donc posé sur un banc à fumer un petit pétard. J'étais déjà bien bourré.

J'ai choisi un banc proche d'un petit groupe de lascards blacks qui étaient en train de squatter la aussi. C'était le début de l'été et il faisait chaud malgré les 2 heures du mat. Je me suis mis à une distance raisonnable, une quinzaine de mêtres, et pas directement en face d'eux pour pouvoir mater tranquillement. Je m'imaginais leurs queues dans leurs survets. Je matais tranquillement leur entrejambes avec une boule au ventre. J'étais partagé entre le désir de jouer avec l'un d'entre eux, et la peur de ce qu'ils pourraient me faire s'ils découvraient que j'avais envie d'eux. Peur qu'ils veuillent casser du pd pour passer le temps.

J'étais en pleine rêverie quand l'un d'entre eux, celui qui parlait le plus, qui faisait marrer les autres et qui manifestement était le chef de la bande s'est levé d'un bond et s'est ramené vers moi. Il avait l'air vénère et a lâché : « qu'est-de tu veux ? Tu veux ma photo ». Putain, je m'étais fait griller en train de bloquer sur eux. J'ai flippé direct, et tout gêné, je lui ai que non, que j'étais fonsdé et que je bloquais sur eux parce qu'ils avaient l'air de bien tripper ». Pas rassuré j'ai bégayé qu'un pote devait pas tarder a arriver que j'allais bouger. Le gars s'est marré et m'a dit « ouais c'est çà, on les connaît les pd qui viennent ici chercher du zob, t'es qu'une lope toi ! ».

J'ai flippé grave ! Je n'ai pas l'air gay pourtant, et le gars m'avait rodave ! Je me suis levé en disant « non, non désole, c'est pas çà » et j'allais barré. Je flippais d'autant plus qu'on m'a souvent demandé quand je voulais pécho dans la rue de quoi fumer si je n'étais pas flic. Je me rappelle m'être dit que s'ils me pensaient flic ou pd, dans tous les cas, ils kifferaient me casser la gueule. Mais le gars a soudainement changé d'atitude. Il a éclaté de rire avec un énorme sourire et une bouche a craquer et m'a dit « t'inkiet je suis pas un méchant, je les connais les lopes comme toi, et je sais c'est de la bite de bonhomme que tu cherches » et me dis «  tu vois, ca fait 2 semaines que je me suis pas fait sucer, et les mecs comme toi c'est des vraies chodasses, des vraies bouffeuses de queue alors, je veux pas te faire du mal, je veux que tu me fasses ce que tu sais le mieux faire ». J'ai marqué un temps d'hésitation. Je savais pas trop quoi faire. D'un coté j'avais grave envie de ce bonhomme qui devait faire dans les 2 mêtres, 100 kf, 24 ou 25 ans avec un bon style de macho à vénérer, de l'autre, j'avais une boule au ventre tellement grosse que je me demandais si j'allais pas vomir sur place. J'ai regardé autour de moi, et en direction de ses 4 potes sur le banc. Ils disaient plus rien. Ils étaient silencieux et sérieux. Ni surpris pas la tchatche de leur pote, ni amusés, ni vénères. Impassibles. Ils attendaient de voir ce qui allait se passer mais ils étaient hyper calmes. Inexpressifs. J'ai alors pensé que s'ils voulaient me faire du mal ils se seraient regroupé autour de moi pour m'intimider ou se chauffer les uns les autres a voir qui me dominerait le mieux. Mais non, ils étaient zen. Ils me donnaient l'impression d'être des mecs assez cools, qui squattent faute de mieux et qui prennent les plaisirs de la vie comme ils viennent.

Le boss a vu que je prennait le temps de réfléchir et que je matais en direction de ses potes. Ca lui a confirmé qu'il avait vu juste, que j'étais là pour du zob, mais que j'avais peur. Il m'a souri a nouveau de son sourire à tomber par terre et m'a dit « allez viens, on a un endroit tranquille. Onva pas te faire de mal, et c'est même pas sur que mes potes veuillent jouer avec toi. Juste tu me tailles une bonne pipe tranquille ». Et j'ai cédé !

Je lui ai dit okay. J'étais transi de peur et d'envie. J'avais des vertiges et la tête qui me tournait. Un bourdonnement dans les oreilles en plus de l'alcool et de la weed faussaient mes repères. Mon ouïe était altérée et je vascillais sur place. Mais je l'ai suivi. On a marché cote a cote pendant 500 mêtres sans un mot. Il m'a juste dit « t'inkiet tu vas kiffer ». Je lui ai dit « J'ai grave envie de te pomper mais j'ai peur ». Il m'a redit « t'inkiet ». Ses 4 potes nous suivaient et avaient recommencé à parler, rigoler, et faisaient semblant de se disputer pour des broutilles. Ils tchachaient quoi.

On est arrivé devant un petit immeuble de 4 étages et on est monté au premier par les escaliers. Ses potes toujours derrière. Devant la porte, un des mecs est passé devant nous et a ouvert. Il est entré, a allumé les lumières et a ouvert la voie vers le salon. Celui qui m'avait accosté m'a pris le bras et m'a entrainé devant lui. Les 3 autres sont entrés ensuite. Le chef s'est alors posé sur une chaise dans un coin du salon, cuisse écarté et m'a dit, «  Allez, viens faire ta pute, t'es venu pour ca non ». Il se tâtait le paquet et je me suis mis direct a genoux devant lui. J'ai commencé à mordiller sa queue a travers son survet. J'avais déjà l'habitude de faire ma lope, et a bouffer des queues, mais là j'arrivais pas a identifier comment était callé sa teub dans son caleçon. Il y avait un gros gros paquet en face de mon visage, mais je n'arrivais pas à savoir ou elle commençait et ou elle finissait. Elle semblait énorme et je trouvais pas le gland a suçoter a travers le survet.

Les autres se sont posés sur deux canaps dans la pièces, on t mis du son et on servi des verres et commencé à rouler des joints. Ils se chamaillaient encore pour savoir à qui c'était le tour de rouler, et qui avait payé la dernière bouteille de sky. Pendant ce temps la mon boss a fini par sortir sa bosse. Il a juste sorti sa queue et ses boules, l'élastique du calebut passant au dessous. Il avait pas de grosses couilles, du moins, elles paraissaient petites par rapport à sa queue. ENORME. Un bon 24 cm bien large. Pour me faire une idée ce qu'elle mesurait je l'ai branlé a deux mains, il y avait autant de son barreau de chaire qui dépassait de mes mains que ce qu'enserrais avec passion. Et là, je me suis régalé. Je l'ai pompé, léché, branlé avec une bouche bien baveuse, des petits gémissements de lope et un regard de pd affamé. Lui il était tranquille, il m'encourageait en disant « c'est bien ma pute, t'es une bonne chienne, vas y régale toi, fais plaisir à ton boss ». et moi je suçais, pompais, aspirais, léchais. Je me régalais et voulais que ce moment ne finisse jamais. Dans la position ou on était ses potes pouvait pas voir sa queue, je leur cachais. Enfin, je pense que par moment elle devait dépasser de ma silhouette mais je crois pas que le boss avait particulièrement envie que ses potes voient sa queue pourtant énorme et dont il pouvait être carrément fier. Non, il était la à m'encourager et a discuter avec ses potes de moi et d'autres choses. Il a demandé  l'un d'entre eux de lui servir un verre et qu'on lui passe un  bédot. Un gars s'est approché et a lâché « a ouais qd même, ca a l'air d'une bonne suceuse ! ». Et moi j'ai gémis d'approbation pendant que le gars répondait « grave, c'est de la bonne pute qui fait plaiz ». J'avais quasiment pris confiance, parce que tout se passait pour le mieux, mais j'avais un peu peur de la réaction du boss une fois qu'il se serait vidé, et surtout, je me demandais ce que les 4 autres allaient vouloir et s'ils allaient être aussi cool que le boss.

La scène a duré une bonne demi heure. J'en avais plein la bouche. Le boss m'a dit un « Tu kiffes la lope ? ». J'ai sorti sa queue de ma bouche et l'ai regardé avec mon regard le plus vicieux et lui ai dit « Grave, merci de me laisser te sucer ». Ca l'a fait marrer et il a recommencer me piner la gorge et me laisser le pomper tour à tour. De temps en temps, il forçait sur ma tète pour que  je pompe profond. Impossible de tout mettre, mais son gland passait régulièrement ma gorge et il faisait 5 ou 6 aller retours dedans avant de sortir son énorme queue de ma gorge pour me laisser respirer. Un vrai pro. C'est clair que j'étais pas le premier pd à lui sucer la queue, et il savait aller au max du plaisir sans dépasser la limite. Et même quand sa queue était au plus profond de ma gorge, qu'il me tenait la tête à deux mains a me traiter de salope et qu'il écartait bien les cuisses pour que j'aille cherche au plus profond son zob, il restait 10 centimètres devant mes lèvres. J'avais peur qu'il kiffe pas assez, mais lui semblait prendre son pied.

Puis il m'a dit que ca montait et qu'il allait bien me nourrir. J'ai sorti sa queue de ma bouche et lui ai dit « Non, stp, je suis clean, je kifferais te faire plaisir, mais je veux pas prendre de risque ». Et il a été cool. Il m'a répondu que c'était bien. Que je me respectais, qu'il fallait pas prendre de risques et qu'il allait me respecter lui aussi. Il a pris ma tête a deux mains et s'est branlé avec. Il se branlait tellement vite que j'ai cru qu'il allait m'arracher la tête. Je pensais qu'à deux choses, ouvir le plus grand possible la bouche pour pas lui faire mal avec mes dents et profiter un max de ce moment que je ne revivrai peut être jamais. Et j'étais aux anges. Je volais dans des nuages de plaisirs. Je ne sentais plus que du plaisir dans mon corps. Je n'était plus qu'une bouche qui tête un énorme zboub, dans un appart du 19eme, devant 4 blacks en train de picoler. Puis le boss a sorti sa queue de ma bouche, s'est branlé 3 ou 4 secondes et s'est vidé sur ma face. Je ne sais pas combien de giclées j'ai reçu. 6 ? 7 ? 8 ? 9 ? J'avais le visage recouvert de son jus. Je me demandais comment il faisait pour contenir autant de jus, et j'ai compris qu'il avait vraiment envie de se faire vider les couilles. Je suis resté deux minutes sans bougé, avec son sperme qui sentait fort sur mon visage, a genoux entre ses cuisses. Lui continuait a pousser des râles de plaisir en disant que c'était trop bon et que j'étais une trop bonne suceuse. Puis il m'a semblé qu'il rangeait son matos, il s'est levé et est revenu vers moi pour m'essuyer le visage. J'avais toujours les yeux fermés, les paupières pleines de sperme. Mon caleçon aussi était plein de sperme. J'avais jouis sans me toucher.

Je me suis relevé, j'ai regardé autour de moi, et les 4 gars me mataient avec un grand sourire morts de rire. Ils avaient un putain de regard vicieux. De vrais bo gosses. Pas un à mettre de coté. L'un d'entre eux m'a demandé si j'avais kiffé. J'ai répondu « Ouais grave, elle est trop bonne la queue de ton pote ! ». Il m'a dit « t'en veux encore ? t'as encore 4 males a soulager ! ». J'ai pas hésité, j'ai dit « oui, grave, mais est ce que je peux aller me rincer, boire un verre et fumer une cloppe avant ? ». Il m'a dit que oui, m'a dit où était la salle de bain, et qu'il allait me servir un verre. Et qu'après j'allais le vider lui aussi.

Je suis allé me rincer et souffler deux minutes dans la salle de bain. Reprendre mes esprits, me faire propre et j'ai me souri dans la glace en me disant « c'est putain de cool cette soirée ! ». J'étais bien, j'étais heureux d'être au milieu de ces 5 blacks et que la nuit était pas finie. Et puis, je suis retourné dans le salon, quasiment sur que ca se passerait bien et qu'ils me feraient aucun mal. Je me suis posé deux minutes dans un coin, j'ai bu d'un trait mon verre, allumé une cloppe sur laquelle j'ai tiré de grosses grosses lates avant de l'écrasée pas encore finie. J'ai demandé au gars que je devais sucer si je pouvais me mettre à poils. Il m'a dit de faire ma chienne. Je me suis déssapé, j'ai vidé de mes poches ce qu'il pouvait servir : une fiole de poppers, une dizaine de capotes et un tube de gel. Je me suis approché en marchant a 4 pattes et en dodinant mon petit cul de blanc imberbe devant le regard des autres mecs. Mon boss, lui s'était remis sur sa chaise et a lancé un « allez y les gars, vous allez kiffer cette pute ». j'ai reniflé la queue du deuxieme qui se branlait sans pudeur devant ses potes. Mais au lieu de me jeter dessus, j'ai pris sa main et tirer 2 grosses lates de son pétard. Puis je l'ai regardé avec mon regard de lope et lui ai lancé, « j'ai faim ».

Puis, ca a été un festival. Les bites se sont enchainées pendant des heures. Je passais de l'une a l'autre avec quasiment toujours un gars dans mon boule a pilonner. A certains moments, ils me pilonnaient tellement fort que je ne pouvait plus tenir à genoux, j'étais obligé de me coucher. A croire que ces mecs partaient pour un voyage de 2 ans dans l'espace et qu'ils voulaient baiser une lope une dernière fois avant de partir. Ils ont tous jouis au moins deux fois. Ils m'ont déchiré mais j'étais aux anges. A aucun moment je me suis senti menacé. Il est clair que je n'avais pas envie que ca s'arrête, mais je pense que si je l'avais demandé il m'aurait laissé partir. Le boss est resté un moment a mater puis s'est barré pour aller dormir. La baise a continué encore plusieurs heures après ca. Et puis un mec a jouis une dernière fois et puis c'était fini. Ils étaient rassasiés. Moi j'étais épuisé. J'avais joui du cul une cinquantaine de fois je tenais a peine sur mes jambes. J'ai pris une douche rapide et suis parti. J'ai longé le canal, il faisait bien jour déjà. J'étais tout courbaturé. Je suis rentré chez moi, j'ai fumé 2 lattes sur un joint et me suis servi un verre de sky. Je me suis endormi avant d'avoir fini l'un ou l'autre. Je me suis réveillé 24 heures plus tard avec des bleus partout et incapable de bouger mais avec une trique d'enfer. Après ça, je n'ai pas cherché de plan pendant les 2 semaines qui ont suivi. Ils m'avaient vraiment calmé et c'était vraiment incroyablement bon. Je souhaite a toute les lopes de connaître ça un jour.

Personne n'a pensé à échanger les tels a la fin de la soirée. Eux devaient avoir leur lot de lopes et pas envie que je les grille en les appelant, moi j'avais eu mon compte et ne pensais pas sur le moment à une fois prochaine. Grosse connerie car depuis, il ne se passe pas une semaine sans que je repense à ce moment et me branle. Mais si un de vous qui m'avez tellement bien lopé se reconnaît, stp, écris moi (slt.tu.ch@gmail.com). Et si un vrai bonhomme veut profiter des trous d'une bonne chienne dans un bon délire cool… bah n'hésite pas à me contacter, je suis tjs sur Paris.

C'est la première histoire que j'écris. J'ai quelques autres bonnes sessions qui feront peut être kiffer les lecteurs. Je les écrirai peut etre bientôt.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 1 commentaires
Ecrire un commentaire
Mercredi 24 février 3 24 /02 /Fév 01:30

xgay.coco.fr-9504-copie-1

J' ai 22 ans ,sans grandes expériences sexuelles , je vis seul dans mon pavillons hérité de mes parents

J' avais commandé une machine a laver , l' autre étant hs et j' étais assis sur le canapé quand les livreurs sonnent a la porte .Ils étaient deux un assez grand et blond , pas mal et l' autre un brun bronzé très typé , probablement espagnol .

Bonjour on apporte votre lave linge , ou faut il l' installer?

je les conduit au sous sol et les laissent travailler .

Apres un quart d' heure pensant qu'il doivent avoir finis , je descends les voir , ils étaient en train de se rouler une pelle !!!

Gênés ils stoppèrent aussitôt , moi légèrement troublé,(ils s' en appercurent)je leur demande s' ils avaient finis .

OUI c' est terminé il n'y a plus qu' l'essayer me dis le blond , mon collegue va vous montrer,je m' approche du lave linge et je le regarde m' expliquer.

Pendant ce temps le blond passe derrière moi et commence a me pousser vers son collègue .

Que faites vous ! arrêtez !!

T' en as envie petit , je l' ai vu dans tes yeux gourmands tout a l' heure , je suis sur que tu est chaud , puis ses bras remontent mon teeshirt et caresse mes tétons qui aussitôt se gonflent et durcissent…

Tu vois , tu aime , et il continue de me caresser, mon jean se tendait et l' autre ouvre mon zip et

sort ma queue raide et fine ,il commence a me sucer , tandis que l' autre m'enlève mon teeshirt , puis baisse mon jean , je gémissait en me demandant ce qui allait se passer , mon slip fut descendu aussi ,je me retrouvais nu au sous sol devant eux en érection .

Ca lui plait beaucoup ,on dirait dis le blond, et je le vois baisser son jean et  son slip, mets le a genoux dit il, et il me força a sucer sa queue épaisse qui ne tarda pas a se dresser énorme devant ma bouche, pris dans le délire, je commence a l' avaler a fond je devenais fous , sa bite m' excitait grave ,

pendant ce temps l' autre vient écarter mes fesses et introduit sa langue entre mes globes ,hmmm,

elle est bonne ta rosette, puis commença a glisser sa langue dans mon petit trou serré, qui se détendait peu a peu…

Moi je continuait a sucer cette queue qui avait encore grossie , il me tenait la tete et c' est lui qui donnait le mouvement m'obligeant a l' avaler au point de m' étouffer, je fondait littéralement et sentait monter en moi des spasmes comme jamais ca m' était arrivé.

Je sentis qu' un doigt s' introduisait dans mon trou , et bougeait en va et vient, malgré la queue dans ma bouche je commence a couiner, une brusque chaleur m' envahie et je laisse partir une giclée…

Regarde comme , elle aime ca cette petite sainte nitouche ,dit il en continuant ses aller retour,

a mon tour maintenant ,il vient devant moi en présentant sa queue , pendant ce temps l' autre toujours bandé passe derriere moi , et m' attrappe par les hanches et balade son gland sur ma raie

La queue de l' autre dans ma bouche , je gémissais il en profita pour me titiller les tetons et l'autre en profita, d'un grand coup de rein m' enfonça son pieu au plus profond en me tirant a lui, ,

Lorsqu'il toucha ma prostate ,un grand jet de sperme gicla de ma queue, qui bandait toujours,cela me fit l' effet d' une bombe ,j' allait au devant de ses coups de bite, tout en suçant l' autre qui m' etouffait de sa queue puis , le blond me tenant par les hanches s' allongea par terre en me cramponnant , il se mit sur le dos , m' empalant d' uncran encore …

Je couinait comme une chienne tandis qu' il me bourrinais, je sautais sous ses coup de boutoir pendant ce temps , le deuxieme se plaça devant nous , relva mes jambes , et commenca a appuyer son chibre sur ma rondelle , déjà remplie d' une queue …

Non , pas deux , je pourrai pas!

Mais si dit il , en m' arrosant de gel , puis se fraya un passage , j' avais l' impression qu' un tgv s' introduisait dans mon trou ,je criai, tout en couinant ,il s' enfonça encore , puis commença

a me pilonner a fond , je n' était plus qu' une chienne qui reclamait son plaisir ,oui oui encore

je part ,ma tete dodelina de droite et gauche,je respirai par saccades, puis ensembles, ils s' enfoncerent profondement en lachant de grands jets dans mon fondement,et la je partis sur une autre planete, agité de soubressauts , et plusieurs spasmes me firent ejaculer .

Le calme revint ensuite , j' etais transformé par l'extase , je flottait, il se rabillerent et me dire au revoir en carressant mon petit cul ," a la prochaine dirent ils"

Je crois que je vais acheter un seche linge aussi …

FRINCHYE

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 10:45

tumblr ny6dtyrNfL1uv45q5o1 1280

Novembre 2014, retour en train depuis l'Alsace pour Lyon. Train bondé pas de place assise, je suis dans la plate-forme entre deux wagon. Je fais ce voyage depuis 4 mois , 35 ans sportif, 1m75 72 kg imberbe, yeux noirs cheveux noirs courts, ingénieur informatique je suis en déplacement à Strasbourg et comme chaque fin de semaine, pressé de retrouver mon ami pour un week end câlin. Mais pour mon aventure le sort en avait décidé autrement. J'étais assis sur mon sac de sport appuyé contre la portière. De nombreux voyageurs défilaient devant moi espérant trouver une place dans d'autres wagons...

C'était peine perdu et je les voyais parfois revenir en sens inverse.. Après une heure de voyage un jeune mec avec une grosse valise arrive. »vous êtes seul ici ? me demanda t il « Oui pourquoi ? » « je suis avec trois potes quatre wagons plus loin et nous sommes 7 dans la plate-forme, je cherche de la place «  « installe toi ici si tu veux mais laisse tes potes ou ils sont sinon terminé la tranquillité. »  « ok d'ailleurs ils ont entrepris une partie de tarot et je n'aime pas jouer » Voilà les présentations faites, moi yannick lui explique l'objet de mon voyage, lui Jordy 23 ans, 1m 60 maxi type crevette imberbe peut être 50 kg maxi, châtain cheveux rebelles, taches de rousseurs, yeux marrons,. me dit qu'étudiant à la fac de médecine de  Strasbourg il rentre chez lui à Lyon. Vers 21 h la nuit était bien installée et nous discutions au faible éclairage de notre plate forme. Tout à coup grand coup de frein, roues du train bloquées pour un arrêt d'urgence, puis noir complet. Au bout d'une ½ heure nous nous posions des questions sur le motif de l'arrêt en pleine campagne.

Bientôt le  faisceau d'une lampe électrique se braqua sur nous, c'était un agent SNCF « désolé un caténaire a cédé nous ne pouvons plus avancé et attendons les secours, nous vous tiendrons informé mais cela risque d'être long »  Jordy et moi prenions cela avec philosophie. Cependant pas de lumière, pas de chauffage et au bout d'une heure le froid commençait à poindre. Je devinais Jordy dans le noir mais ne le voyais pas « Tu n'a pas froid toi ? » lui dis je. «  je suis frigorifié je suis en short et tee shirt et les clefs de ma valise sont dans ma sacoche vers mes potes, je me les petes grave, si nous devons passer le nuit ici je claque ! » Il fallait trouver une solution . Fouillant dans mon sac de sport je tirais mon duvet que je redescendais pour le pressing à Lyon, je poussais la valise de Jordy vers mes pieds , posais mon sac de sport contre la porte et proposais une solution précaire « Tiens Jordy je vais ouvrir le sac de couchage et nous allons nous coincer entre ta valise et mon sac en nous serrant, nous limiterons le froid. » L'idée le séduisait et nous nous installâmes .

Je me posais sur le dos et Jordy se recroquevilla contre moi ;ma main droite touchait sa cuisse. «  Et bien tu avais vraiment froid ! heureusement que tu as rencontré un Saint Bernard ! »…. et le temps passait ni l'un ni l'autre ne dormait mais la chaleur de nos deux corps commençait à être presque confortable. La morphologie de la petite crevette a coté de moi me faisait phantasmer , et la douceur de la peau de sa cuisse contre ma main me tétanisait. Je bougeait mes doigts caressant sa jambe prétextant des crampes dans la main, ce subterfuge me permit de glisser ma main à la hauteur de son entre jambe. La promiscuité de la situation n'éveillait visiblement  pas ses soupçons..  Nous continuions à discuter de tout et de rien, et naturellement le thème de la vie privée et sexuelle arriva sur le tapis. J'appris qu'il vivait seul chez ses parents et du fait de ses études, était en panne de copine depuis plusieurs mois. Je tentais de répondre évasivement sur ma situation ne voulant pas afficher que j'étais gay. Mais Jordy n'était pas carabin pour rien et bientôt me posait la question « mais ton ami c'est une amie- e - ou un ami ? » je ne pouvais éluder la réponse . Jordy ne semblait pas choqué du tout «  Et bien il est préférable que les choses soient claires, pourquoi cacher la vérité ? » me dit il ; Le silence retombait pendant un long moment. Je me demandais comment il allait maintenant réagir avec ma main à la hauteur de sa braguette.. Tout a coup, nouvelle arrivée de l 'agent SNCF « Impossible de réparer nous sommes bloqué ici jusqu'à demain matin »

Jordy se mit à rire «  eh bien yannick au moins nous sommes fixés, nous n'avons plus qu'a dormir. »il  posa sa tête sur mon épaule et sa main droite sur ma poitrine. »bonne nuit me dit il. Je tremblais de tout mes membres de sentir cette crevette contre moi et sa longue main sur mes pectoraux. Le silence régnait tout autour de nous, chacun semblait accepter la situation. Doucement, je sentais la main de Jordy descendre le long de mon torse, maintenant il appuyait sur mes abdos et je ne bougeais toujours pas. Par contre je sentais contre ma main droite le volume de sa braguette gonfler ; il bandait. Bientôt je sentis sa main se poser sur mon chibre tendu. Il fit sauter le bouton de mon jean, fit glisser la fermeture éclaire et pris ma queue à pleine main,(  je ne porte jamais de sous vêtement) .Jordy me glissa à l'oreille «  putain tu es bien monté ! » « et toi ? » lui répondis je et plaquant ma main sur sa braguette. Le petit con ! il avait ouvert son short et j'avais ma main déjà sur sa queue humide : au touché je disais 16/17 tout au plus, humide sans poils avec de petites valseuses comme je les aimes.

Jordy commençait à me masturber doucement en décalottant mon prépuce et passant le doigt sur la mouille qui en sortait Je fis de même avec sa mignonne petite bite, mais je n'avais pas fait 10 allez retour que ma main se remplissait de son jus, visqueux. »excuse me glissa t il à l'oreille, s'était trop bon. Je me léchais les doigts pour sucer son foutre. Jordy me posa un bisou sur la joue « c'était super, dans un  train c'est la première fois ! » Moi qui n'avais pas jouie ma queue était douloureuse. Je le dis à ma petite crevette, sa réponse ne se fit pas attendre. «  viens » me dit il . et tout a coup il se tournait et plaquait son cul sur ma bite. Il avait baissé complètement son short. Je palpais ce petit cul imberbe et lisse, cherchais de mon indexe sa rondelle dans laquelle mon doigt entra facilement. Jordy pris ma bite dans sa main et la dirigeât vers son fion. Gonflé le minou pensais je. Je n'eu aucune difficulté à faire pénétrer mes 18 cm dans ce fourreau doux et chaud. Et comme la situation était extraordinaire, il ne me fallut pas plus d'une dizaine de coup de queue pour lui remplir les sphincters.

Aussitôt, il remonta son short pour garder l'humidité me dit il. Il se retourna, ses lèvres face aux miennes et je sentis sa langue chercher la mienne. Je lui pris la tête dans mes mains et lui roula une merveilleuse gamelle. Sur le coup de 5 heure du matin, la lumière du train s'eclaira, le haut parleur se mit en route, la réparation était terminée nous allions repartir. Toujours sous notre duvet, la main dans la main je pouvais voir le sourire beat de mon petit Jordy. « Tu sais yannick,  je t'ai menti, je n'ai pas de copine,  je suis gay moi aussi depuis toujours et je cherche les mecs comme toi, notre nuit d'amour est la plus extraordinaire que j'ai faite. » 2 heures plus tard nous étions à Lyon, nous avions naturellement échangé nos adresses . Nous nous sommes revus une dizaine de fois. J'ai alors découvert avec lui mille et une positions, toute plus jouissives les unes que les autres. Il ne veut pas vivre toujours avec un mec mais je suis son amant régulier et la situation me vas très bien.

YANNICK

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés