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Samedi 21 janvier 6 21 /01 /Jan 17:31

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La fin de cet été-là fut mémorable. Dans la fraîcheur de mes 19 ans, je me trouvais sur le bord de l’autoroute Marseille-Lyon en attente d’une âme charitable qui me rapprocherait de ma ville: Saint Étienne. Finies les vacances à Hyères, finis les émois de ma première vacance naturiste... J’en garderai toujours une sorte de répulsion pour les vêtements, quels qu’ils soient. Vivant nu chez moi, l’été comme l’hiver, je saisis toujours la moindre occasion pour me débarasser de mes fringues, ce qui fait que dans les lieux de drague je suis, la plupart du temps, dans mon plus simple appareil.

 

Je poireautais, donc, le long de l’autoroute, à poil sous mon short en jeans, mon sac sur le dos, des sandales aux pieds. Il était peut-être deux heures de l’après-midi lorsqu’enfin un poids lourd m’ayant repéré s’est arrêté. Il était temps... Une main, tout là haut m’a fait signe de monter. Je me suis empressé d’escalader ce gros engin pour atteindre la cabine du chauffeur.

 

Au premier coup d’oeil, j’ai cru avoir une hallucination: devant moi un mec blond, massif, la quarantaine souriante, poilu à souhaît, la moustache abondante, les cheveux mi-longs, trônait au volant entièrement à poil, une paire de tongues aux pieds et un foulard jaune au cou.

 

— Salut! Vous allez vers Lyon-Saint Étienne?

 

— Ouais mec. Monte et claque bien la portière.

 

Je me suis exécuté aussi violamment que je le pouvais et je me suis assis sur l’ample banquette, un peu intimidé.

 

— Fais chaud c’t aprèm!

 

— Ouais putain. Par ce temps là, je me fous toujours à poil. Ça te gêne pas?

 

— Non non, au contraire! Je reviens, justement d’une vacance naturiste, alors vous pensez bien que j’apprécie...

 

— En ben, met-toi à l’aise aussi, n’hésite pas...

 

Je ne me le fis pas répéter deux fois. En un clin d’oeil j’ai tombé mon short et abandonné mes sandales, que je me suis baissé pour déposer au sol.

 

Le chauffeur venait de redémarrer et je sentais l’air chaud caresser mes jeunes poils bruns. Accroupi là dessous, je sentais que je commençais à bander... et que ça se verrait. En me relevant, mon nez s’est trouvé à la hauteur du pied droit que mon chauffaur venait de poser négligemment sur la banquette, tout en accélérant, imperturbable, du pied gauche. J’ai dégluti et entendu sa voix ferme qui me disait:

 

— Lèche moi ça, ça t’occupera.

 

J’étais si surpris et excité... J’ai embouché son gros orteil de blond en le suçant comme un biberon. Il devait vachement apprécier parce que, de sa main gauche, il a commencé à se tripoter les couilles.

 

— Bien entre les doigts, voilà, passe bien ta langue entre mes doigts de pied, c’est ça.

 

Son panard était délicieux, un peu salé, des résidus bien goûteux entre les plis des doigts... Un vrai régal. Pour bien lui lécher la plante du pied j’ai glissé par terre en me rapprochant de ses jambes. Heureusement le volant était assez haut et j’ai pu ainsi me glisser entre ses jambes en le léchant sans géner la conduite.

 

— Tu sais y faire, ma poule, on dirait que tu aimes bien ça!

 

— Mmm, Mmm...

 

Je venais d’emboucher sa belle bite. Elle bandait à moitié, bien dessinée, droite, un gros gland charnu et circoncis, des couilles énormes très poilues, rondes, parfumées et certainement pleines à craquer... Je ne fus pas long à l’engloutir jusqu’aux couilles, 20 cm de bonne chair bouillante dans ma bouche.

 

— Putain quelle suceuse! T’as l’air d’en avoir déjà bien bouffé de la bite pour un petit jeune... T’as vraiment une bouche d’enfer, ma poule. Je sens qu’on va pas s’ennuyer... Continue, voilà, prend-la bien en fond de gorge, c’est ça, fais-moi bien sentir ta langue.

 

Sa bite était maintenant bandée à fond. Pendant que je nous régalais par un va-et-vient lent et baveux, je lui massais les tétons qu’il avait durs et petits, sous une épaisse touffe de poils blonds tout bouclés.

 

— Arrête, putain, tu vas me faire jouir. Fous-toi plutôt à plat ventre sur la banquette, que je voie ton petit cul de pédé pendant que tu m’astiques la tige.

 

Je l’ai alors enjambé avec précaution, histoire de ne pas heurter le volant, et je me suis étendu comme il le voulait, la bite à plat sur le siège et ma bouche à nouveau empalée sur son dard. Je me régalais. De sa main droite, il a commencé à me palper les fesses, pendant que je léchais bruyamment ses burnes.

 

À 19 ans, j’avais déjà le goût pour la bonne purée... je n’avais qu’une envie: boire son jus jusqu’à la dernière goutte. Et il ne tarda pas à m’en remplir la gueule. Quatre longs jets épais, âcres et salés, que j’ai savouré bien en bouche avant d’avaler. J’avais pas fini de lui astiquer la queue poisseuse que, de sa main droite, il m’a attiré contre lui pour me rouler une pelle comme aucun mec ne me l’avait fait avant. Sa langue était longue, enveloppante, il me l’a fourrée au plus profond de la gueule pour bien goûter à son propre foutre. J’étais si excité... j’ai failli jouir sous moi sans même me toucher.

 

— Tiens, bois un peu de bière, ça te calmera.

 

Et il me tendit sa canette à moitié entamée. J’avais soif effectivement et j’avalai 3 ou 4 gorgées.

 

— Pas tout, n’avale pas tout! J’ai soif moi aussi... Rends-moi celle que tu as dans la bouche.

 

Pigé le trip, je me suis penché vers sa bouche et lui ai recraché dans la gueule toute la bière qui me restait. Il l’a avalée sans en perdre une goutte et m’a léché les lèvres avant de me faire signe de me rasseoir. Je n’avais pas encore joui, mais après de telles émotions j’appréciais une petite pose.

 

La route continuait à défiler rapidement. Il devait être à peu près 3h et demi de l’après-midi. Depuis que j’étais parti, vers 9 heures du matin, je n’avais pas fait de pauses pipi, de peur de rater un véhicule qui s’arrêterait.

 

— Tu t’arrêtes tous les combien? (Vu les circonstances, le tutoiement m’était venu spontané).

 

— Pourquoi, tu n’es pas bien là, près de moi?

 

— Non, c’est pas ça, c’est que j’ai vraiment envie de pisser, après cette bière...

 

— Là, il est trop tard pour qu’on s’arrête avant Lyon. Mais pas de problème, tu n’as qu’à passer à l’arrière... Tu trouveras ton bonheur!

 

— T’as des toilettes à bord! Chouette, j’y vais tout de suite.

 

Derrière le siège avant, un rideau dissimulait, en effet, une cabine assez spacieuse avec une couchette dans le fond.

 

— Viens-là mon petit, viens te soulager...

 

Interloqué, je cherchai des yeux d’où venait cette voix et je vis au fond de la cabine un grand mec à poil, en débardeur, allongé sur la couchette: la cinquantaine athlétique, les cheveux poivre et sel très courts, une barbe de 3 jours, sinon presque imberbe. Il me toisait en passant la langue sur ses lèvres charnues et entrouvertes...

 

— T’affoles pas petit, j’ai soif, alors tu vas gentiment me donner à boire, veux-tu? Tu verras, tu vas adorer!

 

Il m’a alors attiré doucement vers lui, m’a happé la bite et, sans me sucer, il l’a gardée en bouche en me faisant signe de la main de me laisser aller. J’étais si surpris, que j’ai débandé et ayant la vessie qui explosait depuis de longues heures, j’ai commencé à lui lâcher ma pisse chaude dans la gueule. Il était allongé sur le côté, la bouche arrondie autour de mon gland et il recevait ma pisse, gorgée après gorgée, comme s’il buvait à un robinet ouvert. Ce petit jeu commençait à me chauffer à fond! Il s’est bruyamment léché les babines en lançant à haute voix à son coéquipier:

 

— Il est fameux notre jeune donneur, pas vrai?

 

— Ouais, il est chaud comme on les aime, et déjà bien déprav en plus...

 

J’allais enjamber le siège avant pour retourner à ma place lorsque le buveur m’a attiré vers lui en me retournant pour m’enlacer les reins.

 

— Ne t’en vas pas! Viens plus près, mon petit, j’ai pas fini de te faire ta toilette...

 

Et avant que je puisse réaliser ce qui se passit, il avait déjà fourré sa grosse langue rapeuse dans mon trou du cul, en aspirant de toutes ses forces ma rondelle. J’avais, dans cette position, la tête qui ressortait du rideau, vers l’avant de la cabine et le cul complètement offert à cette bouche gourmande qui commençait à souffler dans mes entrailles comme on soufflerait dans un ballon. Pendant qu’il me remplissait le fion de son souffle, il me malaxait les couilles et caressait ma bite qui rebandait à mort.

 

— Ouvre-toi à fond, petit, tu m’a déjà donné à boire, maintenant tu vas me donner à bouffer, pas vrai?

 

— C’est ça, ma poule, lâches-toi bien, me dit le chauffeur. Ça va te plaire, fais mois confiance.

 

Je n’en revenais pas. J’étais là, à poil dans un poids lourd avec deux mecs vicelards et hyper bandants qui voulaient à tout prix me vider de mon foutre, de ma pisse et de ma merde! Et ça m’excitait un max! Le chauffeur s’est alors retourné de trois quarts et, tout en continuant à conduire, il m’a pris le menton avec deux doigts et m’a roulé une pelle bien baveuse, tandis que son pote continuait à me branler en gardant sa langue profondément dans le trou du cul.

 

— Chie un bon coup, mec, vas-y, pousse...

 

Et j’ai lâché mon premier étron: une sensation de plénitude m’a envahi aussitôt, j’étais excité comme jamais je ne l’avais été auparavant, j’étais au bord de l’orgasme. Et soudain, j’ai senti la langue du mec à l’arrière lapper ma rondelle merdeuse, dans un bruit d’engloutissement goûlu. Il venait d’avaler ma merde, ce putain de camionneur! J’ai alors lâché un deuxième paquet de brune, plus conséquent, qu’il n’a pas dû prendre en bouche parce que j’ai tout de suite senti sa langue qui m’astiquait la rondelle et qui me nettoyait comme une lavette tiède.

 

Je me suis alors retourné et je l’ai vu, à genoux, la face tout encrassée, étalant ma merde sur son torse et son sexe. Il m’invitait à approcher de lui. Je me suis senti complètement subjugué. Je humais l’odeur forte de mes fèces, et je ne trouvais pas ça désagréable... Je me suis alors accroupi pour approcher de son visage, et on s’est embrassés, langoureusement, ma merde dans nos bouches, amère et sucrée, crémeuse comme je n’aurais jamais pu l’imaginer... Ça en était trop. Le camion s’arrêta brusquement et d’un bond le chauffeur blond nous rejoignit à l’arrière.

 

— Alors ma poule, tu gardes ton meilleur seulement pour mon pote?

 

Et on s’est roulé un patin à trois hyper bandant! J’étais littéralement en transe. L’odeur de ma merde, son goût, sa consistance me rendaient fou et j’ai commencé à sucer ma propre merde de la bite du quinquagénaire. Il était super bien monté le salaud! Pendant ce temps, le blond s’était positionné derrière moi et me lappait le cul en y goûtant ce qui restait de mes excréments.

 

Soudain, j’ai ressenti quelque chose de chaud qui forçait ma rondelle. Ouvert comme je l’étais, j’ai à peine senti sa bite me forcer le cul. Un liquide bouillant me remplit aussitôt les entrailles, en dégoulinant le long de mes jambes. Mon chauffeur me pissait dans le cul, tandis que son pote me jutait en pleine gueule. Je n’en pouvais plus et j’ai joui dans un râle de plaisir. Inoubliable.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : babaslebatard - Voir les 0 commentaires
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