Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
MR AHMED
Je m'appelle Alex et j'ai 25 ans aujourd'hui après des mois de galère pour trouver un taff je viens enfin de trouver, en passant par hasard dans un bar de quartier tenu par un algérien qui a accepté de me prendre à l'essai.
Je me présent donc le lendemain comme prévu à 17h pour qu'il m'explique ce que je doit faire:
- bonjour Mr Ahmed
- bonjour mon gars tu est prêt ?
- oui monsieur
- bien ! Tu servira les clients en salle et tu t'occupera d´entretenir le bar, la salle et les chiottes.
Le première journée fut difficile mais c'était mieux que de ne pas avoir de taff et en plus il n'était pas desésagréable Mr Ahmed était assez autoritaire mais était un homme juste.
Les semaines passaient et je savait maintenant très bien ce que je devait faire et Mr Ahmed me faisait confiance.
Un jour plutôt calme il partis comme il le faisait de temps en temps
- je reviens dans une heure mon gars
- très bien Mr ahmed
Je m'occupais de faire un peu de ménage et comme il n'y avait personne je décidais de m'occuper des arrières où il y avait nos casiers c'est en nettoyant que je m'appercu que le vestiaire ou Mr Ahmed laissais affaires était rester ouvert, Piqué par la curiosité je me décidais a regarder dedans, a peine avais je ouvert la porte une forte odeur de mâle s'en dégagea, ce qui m'excita immédiatement, mon slip me paraisait étroit soudainement Poussé par l'excitation je me mis a fouillé je tombais sur une paire de chaussette blanches enfin qui n'avait plus grand chose de très blanc mais plutôt jauni, et aussi un slip blanc mis en boule qui était tâché au niveau de la poche de trache jaunâtre je ne pu m'empêcher de le porter à mon nez.
Ce mélange de vielle pisse et de jus sécher mélanger à la sueur d'un dure labeur me mis dans tous mes états et je me mis à me Branler à travers le tissu, mais porter par l´excitation je dégrafais mon jeans pour pouvoir être plus à l'aise.
Je pris la paire de chaussette qui rejoint le slip dans ma mais pour pouvoir humer ce concentré d'homme, cette odeur faisait durcir encor plus ma bite et portait mon excitation encore plus haut.
- eh qu'est ce que tu fait !
Je me retourne et vois Mr Ahmed Ne sachant pas quoi dire je restais immobile la bite a la main avec le slob et les chaussettes de mon patron.
-alors petit pervert ça te plais les odeurs de mâles ?
Sans même me laisser le temps de répondre il me dit
-fini ce que tu a commencé que je te mate
Un peu gêner je repris ma branle mais comme ça n'était pas assez convaincant et rapide pour Mr Ahmed celui ci s'approcha de moi, me pris le slob et le colla sur ma gueule
- alors petit pédé renifle bien à fond profite de cette bonne odeur de mâle ! Vous êtes tous pareil les p´tit blancs des vrai chiennes, ça fait combien de temps que tu te branle pendant que je ne suis pas là !
- c'est la 1er fois Mr
- tu crois que je vais te croire p´tite pute aller crache ce que tu as dans cette petite paire de couilles
Dit il en m'attrapent les brunes ce qui eu pour effet de me faire cracher presque immédiatement; mon jus atterris sur les baskets d'Ahmed.
- aller bâtard nettois moi ça !
Il me pris ferment par le cou et m'obligeait à lécher mon jus.
Une fois terminée je me relevais un peu gêner et ne sachant pas trop quoi faire ou dire
- bon maintenant tu va te remettre au travail et ce soir à la fermeture on va parler tous les deux.
Je passais le reste de ma soirée a servir plutôt tendu en pensant à la fermeture et Mr Ahmed passait beaucoup de temps a me regarder avec insistance et autorité, j'avais l'impression d'être comme une proie Sur le point de ce faire dévorer.
Vers 1h du matin Ahmed fermât le bar et tira le rideau métallique.
Il pris une chaise qu'il installa dans l'arrière bar
- vient ici p’tit batard, assis toi !
Cette phrase résonnait comme ordre, et faisait monter mon angoisse un peux plus
- maintenant que je sais à qui j'ai à faire et si tu veux garder ta place il va falloir exécuter quelques règles suplementaire,
- je suis désole Mr Ahmed
- ta gueule bâtard ! Dans les jours qui vont venir je vais te donner des consignes que tu devras exécuter sans rechigner si c'est pas le cas je te vire direct c'est compris !?
- oui Mr Ahmed !
- bien d'abord tu va me donner tu Nº de portable, ensuite tu m'appellera maître, sauf quand il y aurait des clients au cafe.
- oui Mr Ahmed je n'avais pas fini que je venais de prendre une baffe
- oui maître
- voilà c'est mieux bâtard, levé toi et fout toi à poil
J´enlevais mon polo, mon jeans et mes chaussettes et me retrouvais maintenant en boxer
- qu'est ce que tu attend enlever moi ça vite
Je fit glisser mon boxer sur mes chevilles Ahmed donna un coup de pied dans mes fringues pour libérer l'espace autour de moi. Je me retrouvais là à poil devant mon patron, enfin mon maître maintenant.
Il se mît à tourner lentement autour de moi comme pour juger de la marchandise cela dura un moment enfin cela me paru une éternité, puis il s´assit sur la chaise
- à genoux bâtard et lèche mes skets
Je me mis a lui lécher les skets soigneusement, pendant qu'il fumait
- lèche les semelles p´tite pute et régale toi sort bien ta langue.
Une fois que j'ai eu terminé de lécher ses semelles il me fit enlever ses skets
- bien maintenant reniflé bien à fond je veux t'entendre te régaler avec les odeurs de ton maître
Cette odeur m'excita à nouveau et mon sex ne mis pas longtemps a durcir, le pied Ahmed ce mis a jouer avec mes couilles et ma bite commençait à mouiller
- debout je suis fatiguer on se voit demain rhabille toi et vite.
J´ était sur le point de remetre mon boxer quand Ahmed me dit
- qu´est ce que tu fait le boxer tu le laisse ici toi tu refout ton jeans comme ça
J'exécutait sans rien dire; on partis moi toujours aussi exciter ma queue ce voyais très bien sous mon jeans, avant de partir Ahmed me dit qui me donnerait ces consignes,par sms dés demain, et je suis rentre chez moi. Sur le trajet la toile de mon jeans ne faisait que maintenir mon excitation que certain mecs croisés ne manquèrent pas de remarquer.
La chaleur était suffocante. J’arrivais en Martinique et je dois dire qu’à peine avais-je posé un pied au sol qu’un air suffocant m’embrassa.
Je venais pour découvrir cette magnifique île et j’avais trouvé une famille qui pourrait m’héberger sur Internet. En contre partie je devais faire le prof pour leurs enfants.
Physiquement, j’était fin, 1m75, un look vraiment androgyne mais pas du tout efféminé, simplement quelqu’un de discret et calme.
La famille vint m’accueillir et ma timidité disparut avec leur bonne humeur et leur facilité a mettre de l’ambiance… Tout vint très vite, j’arriva chez eux, une grande maison très moderne et ils me présentèrent au reste de la famille. Tout le monde était venu pour me voir et faire ma connaissance. Je repéra un homme qui je le compris plus tard était un ami proche de la famille, il devait avoir un peu moins de 40 ans, très grand, très beau et très musclé. Son regard au moment ou il me vis me fit l’effet d’être unique. Il me dévora des yeux. Cependant je fis fi, faisant comme si de rien était.
L’heure du dîner arriva et l’ambiance était incroyable. De plus je sentait qu’il n’arrêtait pas de me fixer. Les autres ne s’apercevaient de rien, pourtant il était loin d’être discret.
Je fini de manger et monter directement dans ma chambre, je feignis d’être fatigué à cause de décalage horaire, en vérité le regard de cet homme me gênait vraiment ! Cet homme beau, mûr et viril me trouvait peut-être un air trop androgyne, trouvant cela répugnant ou étrange, je n’en savais rien. Bref je monta dans ma chambre, m’installa sur le lit, pris mes écouteurs et mis le volume de mon Ipod à fond. Je n’entendis pas que l’homme toqua à ma porte.
« Excuse moi je peux rentrer ? » dit-il une fois à l’intérieur….
Je me releva précipitamment, enleva mes écouteurs, et fit un oui timide de la tête.
« ….. m’a demandé de prendre des couvertures dans le placard de ta chambre, je reste dormir ici. Ma journée demain promets d’être épuisante et, il faut que je dorme un maximum. Du coup Martine m’a proposé de rester…
-Oh, d’accord. »
Il se dirigea vers l’armoire, je remarquais à cet instant qu’il pouvait s’il le voulait me faire tomber grâce à une pichenette : Une véritable armoire à glace.
Il prit donc sa couverture et en ressortant m’adressa un clin d’œil, la porte se referma mais mon cœur n’arrêtait pas de tambouriner !
Je décida d’aller prendre une douche et de me coucher pour chasser toutes les images érotiques qui me venaient. La douche fut très agréable et je retourna dans ma chambre avec seulement un boxer. Evidemment, j’aurai du y penser, IL se trouvait à l’intérieur, enfouit dans un lit en train de lire.
« Oh, mais qu’est ce que tu fais là ? » dis-je gêné, tout en mettant le premier vêtement qui me tomba sous la main. Je n’avais pas remarqué mais c’était son T shirt . Il avait une douce odeur de monoï ! Le bas m’arriva au genoux tellement il était grand.
« Excuses moi ! Martine m’a dit que je pouvais dormir ici si ca ne te dérange pas, bien-sûr.
-Ah, non pas du tout, j’ai juste été surpris ! »
Je courus dans mon lit, m’enfouit dans les draps et éteignit ma petit lumière de chevet sans prêter à la lecture de mon camarade de chambre. Il me fixait entre deux lignes qu’ils lisaient, je le sentais. Et pour rien arranger, je bandais…
Cependant je réussis à m’endormir.
Vers 4 heures du matin, j’avais trop chaud ! Je me réveillais et alla boire dans la salle de bain, en faisant le moindre bruit possible. En revenant dans mon lit, je failli crier. Il était dans mon lit et me plaqua une main sur ma bouche
« T’inquiète c’est moi… Je veux récupérer mon T shirt ! Enlève le ! »
J’obéis. Il me caressa les abdos. Je ne savais pas quoi faire. J’essaya de le repousser. 100 kilos de muscles… Pas gagné ! Je l’entendis rigoler. Il me plaqua le visage dans l’oreiller, tout en me maintenant les bras avec une seule main. J’étais maintenant de dos, collé contre son torse musclé et poilu. Son bras m’entourant. Il continuait a me caresser les abdos, il descendit, puis vint m’attrapait ma bite. Elle était dur.
« Putain, mais tu bandes ! Je le savais ! Voyons voir ça »
Il m’arracha mon boxer et me colla mes fesses contre son caleçon.
« Hausse la voix une seconde et je te fous la tête dans l’oreiller. J’ai jamais baisé un homme…» Il rigolait, étant sur que j’aimais ça.
Il n’avait pas tout à fait tord…
J’entendis le bruit de sa braguette Puis il m’entraîna sous les couvertures ! Il ma plaqua sur le dos, lui sur moi. Je ne répondais plus de moi, caché sous les couvertures à l’abris de tout, seul avec lui. Alors que j’aurai du crier, m’enfuir, je voulais profiter de lui comme il profitait de moi. Grâce à mes pieds je lui arracha son pantalon, je sentais qu’il bandait. Il commençait à transpirer et son odeur se répandait sous les couvertures ! Je lui arracha son boxer ! Sa bite était très large !
Je leva les jambes et il fit pression pour me la mettre. Elle ne rentrait pas !
« Suce moi d’abord ! »
Je descendis encore plus profondément dans le lit et il ne s’attarda pas. Il commença a faire des va et vient dans ma bouche, le bruit de succion l’exciter ! Quand à moi, une sensation d’explosion me prit dans le ventre, je voulais que nos deux corps fusionnent, ne faire plus qu’un, l’excitation était à son paroxysme ! Je voulais qu’il rentre en moi ! Après environ 20 minutes, il me remonta facilement, grâce à un seul bras ! Il me prit pas les épaules et m’embrassa en sortant sa langue qu’il rentra complètement dans ma gorge ! Son accent créole me fit fondre !
« Hey mais tu es plus docile maintenant.
-Prends moi !
-Tu l’as veux hein ? »
Il me retourna, j’entendis le bruit d’un objet qu’on referme et après un autre bruit de succion. Il se lubrifiait. Il en mis entre mes fesses et poussa en grognant.
« Tu l’as sens ? »
Je n’eu pas à répondre ! Je faillis hurler ; je me retins cependant pour ne pas réveiller tout le monde ! Il avait été trop brusque mais il allait tellement vite dans ses va et vient que la douleur ne dura pas 10 secondes. Cela m’excitait encore, encore et encore ! J’attrapa sa tête : Il transpirait beaucoup. Ses cheveux crépus était mouillés.
« Embrasse moi
-Viens la ! »
Il m’embrassa ! Puis je ne compris pas, d’un coup, il ouvrit les couvertures et se leva ! Il m’attrapa sans rien me dire, et debout, il me fit sauter dans ses bras ! Il rentra à nouveau sa bite et recommença ses va et vient ! Grimpait sur ce perchoir, je n’en pouvais plus. Je l’embrassait, lui touchait son torse poilu et transpirant. Le pinçant, lui attrapant ses énormes bras. ! Après quelques instants il me reposa sur le lit et continua. Il s’allongea sur moi, j’étouffais de tout son poids, mais j’aimais ça ! Il continua à m’embrassait. D’un coup il me cracha dans la bouche, avec sa langue il reprit sa salive et je lui repris… Ce petit jeu dura assez longtemps.
Puis a bout, je sentis que la puissance de mon excitation qui grimpait à l’intérieur de moi gagnait ma bite, qui se redressa d’elle même et qui cracha tout son foutre sur son torse
Il regarda avec fascination, Il attrapa tout ce liquide, le prit en bouche et vint me l’écraser en m’embrassant !
« Fais moi jouir maintenant ! »
Je redescendis vers sa bite énorme ! Je le suçais du mieux que je pus en le branlant rapidement. Je voulais le voir éclatait ! D’un coup sa bite se tendit, il grogna en me serrant le coup et lâcha tout son foutre sur mon visage. Il lécha tout, me poussa violemment sur le lit et sortit.
J’entendis le bruit de l’eau. Il devait prendre sa douche : Il était 05HOO du matin. Il allait partir.. Je ne voulais pas.
Mes draps étaient trempés ! Je courus donc dans son lit, tout en m’essuyant. Après environ une demie heure, il rentra dans la chambre en fermant la porte. Il me cherchait, et quand il me vit dans son lit, vint s’écrasait sur moi.
« Bébé, qu’est-ce que tu fais ? J’ai cru que tu t’étais enfuit ! » Il rigolait et m’embrassa
Il prit sa main et me fit attrapait sa bite.
« Tu me fais encore bander ! A ce soir »
Sans aucune autres formes de politesse, il s’habilla et partit.
Fin
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