Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
.
Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Je me présente, je m’appelle Sylvain, j’ai 17 ans et je suis en train de vivre une expérience pas banale...
Mes parents et moi (je vis seul avec eux puisque mon frère aîné est parti étudier à l’étranger pendant un an) avons déménagé il y a 3 mois dans une belle maison en ville. Le rez-de-chaussée est spacieux et confortable mais il y a moins de place aux étages; il y a le bureau de mon père, la salle de bain, la chambre de mes parents et ma chambre est à côté de la leur... et je commence sérieusement à croire que le hasard n’y est pour rien. En effet, le mur entre les deux chambres à coucher est plutôt fin et tous les bruits se transmettent d’une pièce à l’autre. J’ai bien dit TOUS les bruits!
Comme vous l’aurez compris, cela faisait donc 3 mois que j’entendais - voire écoutais - mes parents faire l’amour de l’autre côté de la cloison. Et quand je dis «faire l’amour», c’était plutôt bestial, ils baisaient comme des bêtes, surtout! Plusieurs fois par semaine, quand ce n’était pas plusieurs fois par jour, je collais mon oreille au mur et les écoutait baiser en me branlant frénétiquement. Et ils étaient assez bruyants, mes parents! «Salope, tu la sens bien, ma grosse pine! Je te bourre ta chatte de grosse putain, t’aimes ça, hein! Pétasse!» ou «Oooh oui, vas-y mon beau, qu’est-ce que t’es bon, qu’est ce que t’es gros, tu me remplis bien le trou du cul, c’est trooop!» etc... Vous pensez bien que je ne résistais jamais longtemps et il m’arrivait de me masturber plusieurs fois de suite rien qu’à les entendre.
Un jour, je n’y tins plus et j’osai m’aventurer jusque dans le couloir pour les observer par la porte entrouverte (encore une fois, j’appris plus tard que cette porte était ouverte intentionnellement!). Je m’agenouillai sur le tapis du couloir et reluquai les bribes de spectacles qu’il m’était donné de voir. Mon père, de derrière, faisait de larges mouvements de va-et-vient dans la chatte reluisante de ma mère, en levrette sous lui. Je voyais les belles fesses de mon paternel bouger de plus en plus vite et ma mère qui gémissait, qui gémissait de plus en plus fort. Et puis soudain, je fis craquer le bois du sol... Prêt à m’enfuir à toutes jambes, je remarquai qu’ils ne s’arrêtaient pas. Ma mère cessa juste de gémir et mon père dit d’une voix forte mais chaleureuse: «Viens Sylvain, tu es le bienvenu, tu sais!»
Je croyais avoir mal compris, et j’étais très gêné par ce que j’avais cru entendre, je retournai donc dans ma chambre, histoire de passer inaperçu, rouge de honte et de confusion. Je passai la demi-heure suivante à me poser des questions en les entendant hurler leur désir et leur passion animales.
Nous n’avons pas parlé de cette histoire durant toute une semaine, mais il me semblait que mes parents avaient une attitude inhabituelle, bien que je décidai de ne pas y prêter attention. Par exemple, mon père se baladait maintenant en caleçon à peine rentré à la maison, alors qu’il n’avait jamais fait ça, comme pour s’exhiber. Et il ne se gênait pas pour se gratter ou se peloter les bijoux de famille en notre présence. Ma mère ne semblait pas le remarquer, je décidai donc de faire comme si de rien n’était.
Cela faisait maintenant 2 ans, au moins, que je savais que j’étais plus attiré par les hommes, j’avais eu beaucoup de mal à assumer cela, et encore à ce moment-là, je n’étais vraiment pas sûr de moi, au point qu’aucun de mes amis, personne dans la famille, aucune de mes connaissances, en fait, n’était au courant de ce qui était pour moi une honte. Mais le manège de mon père ne faisait qu’aggraver les choses. Parfois, je repérais même une bosse dans son caleçon moulant, et je commençais à bander dur, alors je me précipitais (relativement peu discrètement) dans ma chambre ou dans les toilettes pour me soulager.
Une semaine après cet événement inattendu, les choses changèrent. Mes parents m’annoncèrent qu’ils sortaient ce soir-là et que je passerais la soirée seul. Après les recommandations d’usage, il me laissèrent seul. Dès qu’ils furent partis, je filai dans ma chambre et je me dévêtis en vue d’une branlette magistrale. J’étais très excité car lorsque j’étais rentré dans la cuisine, juste avant que mes parents partent, j’avais surpris ma mère assise sur mon père qui était, lui, sur une chaise, en train de faire tous les mouvements suggestifs d’une baise. Ils ne m’ont pas vu (ou ont fait semblant?) et je les ai un tout petit peu regardé, puis je me suis éclipsé, la queue dans un état pas possible, mon boxer trempé de sueur et de mouille.
J’en étais donc à me palucher lentement en me remémorant ces images terriblement salaces, quand mon père est rentré d’un coup dans ma chambre. Je sus par après qu’ils avaient tous les deux simulés une sortie pour mieux revenir en douce et en silence, sachant que je serais excité au maximum par le show qu’ils m’avaient fait, et sachant donc qu’ils pourraient me surprendre en pleine masturbation adolescente.
En attendant, mon père s’approchait lentement de moi, une lueur cochonne dans le regard, pendant que mon sexe débandait entre mes doigts et que j’essayais de me cacher honteusement de lui sous mes couettes. Il me retirai d’un mouvement toutes les couvertures et, ma nudité dévoilée, me regarda d’un œil pervers. Je commençai à avoir peur, mais il me dit de ne pas m’en faire, qu’il ne m’arriverait rien, mais que je devais aller au salon, et comme ça, entièrement nu! Accablé par la honte et l’inquiétude, je le précédai au salon où je dus m’asseoir sur le canapé. Il appela ma mère qui vint de la cuisine en nuisette rouge, il la coucha sur la table du salon, sortis sa bite de son pantalon et l’enfourcha devant moi, d’un coup puissant. Il la pénétrait en face de moi et rugissait de bonheur, comme si l’idée même de se donner en spectacle, surtout à son fils, lui donnait une vigueur de taureau en rut. Malgré moi, je me mis à rebander, de plus en plus dur, de plus en plus ferme, devant leur accouplement torride.
Je voyais l’énorme engin de mon papa entrer, puis sortir complètement du trou béant de ma mère, il s’astiquait une ou deux fois, puis l’enfourchait de nouveau, avec un grand «HAN!» de bûcheron. Ma mère, quant à elle, criait son bonheur de se faire foutre et se tortillait, elle jouissait sous les coups de boutoir de son mari. Moi, j’essayais de cacher mon érection mais elle se faisait de plus en plus grosse, et de plus en plus apparente.
Mon père décida alors de changer de place, ma mère se plaça à quatre pattes par terre et il la prit en levrette, tandis que la tête de ma mère se rapprochait de mon pubis. Mon père rugit que je devais me laisser faire, je laissai donc ma mère engloutir mon sexe et jouer de sa langue experte sur mon gland, sur mes bourses, sur mon nombril et sur ma hampe toute entière pendant que ses doigts essayaient d’atteindre mon anus. Je fus très gêné au début, puis le plaisir m’envahit vite et je laissai aller ma tête en arrière pour profiter au maximum du bonheur que ma mère me procurait. Je ne pus donc voir mon père qui sortait de sa chatte et qui vint s’asseoir à côté de moi. Je sentis sa main chaude et virile me caresser le torse, puis les tétons, je rougis tellement il me faisait du bien. Il était le premier homme à me toucher et il le savait. Ma mère vint l’embrasser pendant qu’elle nous branlait tous les deux. Il lui malaxa les seins, alors que je restai immobile, à moitié apeuré, me demandant ce que je faisais là, à moitié excité par la situation, être enfin avec mes parents quand ils baisaient, c’était jouissif, je n’aurais jamais osé l’espérer. D’un coup, mon père prit ma main et la pose sur son ventre, la dirige vers sa toison jusqu’à ce qu’elle heurte son magnifique sexe au garde-à-vous.
D’un coup je me mets à bander plus fort et je le branle délicatement. Ma mère me laisse faire en m’approuvant d’un sourire et se met à se branler à genoux sur le sol. Mon père se caresse le torse d’une main, et de l’autre, il prend ma tête et l’approche de sa bite luisante. Je fais mine de refuser, de résister, mais il devient violent. Il me couche sur le dos et met d’autorité sa grosse queue sur mes lèvres. Plein de désir et d’appréhension, je commence à le léchouiller timidement. Il m’attrape alors les couilles à pleine main et me les serre. Cela me fait un peu mal mais je trique trois fois plus. Il profite de mon trouble pour m’enfoncer d’un coup sa saucisse jusqu’au fond de la gorge, et je suis obligé de faire des va-et-vient, j’y prends d’ailleurs de plus en plus de plaisir, le sentir se contracter dans ma bouche est merveilleux, surtout que ma mère recommence sa pipe sur mon sexe érigé plus qu’il ne l’a jamais été.
J’imagine que c’est mon père qui me suce et je sens que je vais venir à cette idée. Je jouis dans un énorme cri, je râle, je n’en peux plus de jouir et ma mère avale tout. Quant à mon paternel, il s’est levé, attend que ma mère finisse de me nettoyer la queue, et me fait me mettre de force à quatre patte sur la petite table du salon. Je prends peur, je tente de résister mais ma mère a déjà pris possession de ma volonté en me léchant le trou du cul qui est très exposé, dans cette position. Mon père me caresse comme si j’étais sa jument et sa queue tressaute d’impatience. Quand ma mère s’arrête, je n’ai qu’un désir, c’est qu’on s’occupe de mon petit trou, bien ouvert par la salive et l’excitation. Mon père place alors son énorme gland violet contre ma rosette et commence à entrer. Cela ne me fait même pas mal, je ne sens qu’une immense vague de satisfaction qui m’envahit, je me sens enculé, je suis un enculé, enfin, j’en rêvais depuis si longtemps sans oser me l’avouer. C’est bon, c’est trop bon, et mon père me malaxe les fesses, me les gifle presque tendrement. J’ai à peine senti ma mère qui s’était glissée sous moi et qui resuce ma pine dure comme du fer en me broyant les burnes. J’adore ça! Je sens les couilles de mon père cogner mon cul à chaque fois qu’il me bourre bien à fond, et il me crie des mots orduriers, tellement que j’en ai presque peur pour les voisins:
— Eh bien, petite pédale! Tu la sens ma putain de grosse queue! Je te la bourre à fond, hein, mon pédé! Alors, fils, on ne voulait pas dire qu’on est un gros pédé?! Pour ta punition tu te fais pilonner le trou à merde par ton enfoiré de père, t’aimes ça, hein!
— Oooh oui! Oui, papa, J’adore que tu m’encules! Je sens ta grosse bite, ton énorme bite au fond de mes intestins, c’est trop bon!!! Encule moi, fourre moi plus fort, plus loin, vas-y, je suis ta salope, ton trou à bite, j’aime! Ouiii! Oooh je viens, encore, je jouis!
Et j’éjacule mon jus d’adolescent dans sur la table du salon, et sur ma mère qui me mordait la peau des couilles en me branlant. En m’entendant jouir et en sentant les spasmes de mes intestins sur sa pine, mon père pousse un énorme râle et jouit à grands bouillons dans mon intérieur, il y a tellement de jus que ça déborde même de mon trou et ça coule le long de mon périnée en une délicieuse caresse, jusqu’à mes couilles. Il me retourne alors et me lèche le cul, les fesses, jusqu’aux couilles pour recueillir sa semence et la partager avec moi dans un long et langoureux baiser. Je n’aurais jamais cru ça possible, mais j’ai pris mon pied comme je l’avais encore jamais pris! J’ai joui autant du cul que de la queue, et encore de toutes les parcelles de ma peau.
Après nous être un peu rafraîchi, ma mère m’annonça qu’elle avait voulu profiter une seule et une dernière fois de son fils car elle s’en allait, elle déménageait pour un nouveau job qu’on lui avait proposé. Elle qui cherchait du travail depuis tellement longtemps, elle avait sauté sur l’occasion, même si ça voulait dire ne plus voir son mari et son fils cadet avant longtemps. Elle m’a ensuite confié que mon père était bi et très attiré par moi, sans doute autant que moi j’étais attiré par lui, et que nous pourrions nous contenter sexuellement, surtout maintenant qu’elle serait loin. J’étais attristé par le départ imminent de ma mère mais en même temps terriblement excité et content de ce futur prometteur avec mon père. Ma mère partit donc avec la promesse de revenir nous voir régulièrement et que nous baiserions alors tous les trois comme des bêtes.
En attendant j’étais seul avec mon père, et dès le soir même, j’allai me coucher avec lui, dans sa chambre, dans son lit, où nous fîmes l’amour plus calmement que la dernière fois.
À suivre...
Quelques semaines plus tard, je me rendis compte qu’un de mes copains de longue date se comportait étrangement avec moi. Je n’avais plus peur d’assumer mon homosexualité, je m’habillais donc un peu plus moulant qu’avant, plus sexy, comme mon père adorait que je m’habille, pour mettre mon beau corps en valeur. Et de temps en temps je tortillais un peu du cul en marchant. Rien de bien grave, et quand il m’arrivait de me faire chambrer par mes camarades, je leur répondais du tac au tac. Voyant qu’ils ne me mettaient pas mal à l’aise et que je m’assumais sans difficulté ni gêne, ils ne recommencèrent pas et me laissèrent en paix. Cela renforça même les liens que j’avais avec eux, puisque cela devenait un sujet de blagues et de taquineries de leur côté autant que du mien.
Tout allait donc pour le mieux, si ce n’était Jérôme qui s’éloignait de moi peu à peu. J’en étais très attristé, et je l’invitai donc à venir s’expliquer à ma maison, lui racontant que mon père nous laisserait tranquille puisqu’il serait dans son bureau. Je dus insister pas mal, mais finalement il vint. Arrivés chez moi, après avoir bu un verre, je lui demandai tout de go pourquoi je le rendais mal à l’aise. Il rougis soudain, et je compris, en voyant son trouble, que je ne le laissais pas indifférent. Ne laissant rien paraître, je lui dis que nous serions mieux dans ma chambre, il vint et s’assit sur un coin de mon lit. Doucement, je m’assis derrière lui et commençai à lui masser le dos. D’abord très tendu, stressé et cambré, il se laissa ensuite faire, et petit à petit je vins à bout de ses résistances, en l’embrassant dans le cou, en le caressant doucement le torse à travers sa chemise.
Il fermait les yeux et soupirait de plaisir, il était magnifiquement beau, avec ses cheveux foncés, sa peau halée et ses muscles tendres que je sentais distinctement. Je l’embrassai alors sur la bouche, il se laissa faire d’abord, puis me rendis le baiser, ce long baiser d’amoureux que nous échangèrent. Je le caressai sur le torse, lui enlevai sa chemise, et m’assis sur son jeans tendu. Je me mis ensuite langoureusement nu. Puis je le débarrassai des quelques vêtements qui lui restaient. Une fois nu tous les deux, nous nous frottâmes longuement le pubis l’un contre l’autre. Puis je le branlai, je le suçai, et, dans un soixante-neuf fabuleusement érotique, nous avons tous les deux joui presque en même temps dans la bouche l’un de l’autre.
Il rentra chez lui, visiblement content de son après-midi, et me jura qu’il repasserait le lendemain, voire même sans doute pour la nuit. Je courus évidemment raconter tout ça à mon père, ce qui l’excita au plus haut point. Il me laissa finir mon histoire en s’astiquant lentement, puis, voyant qu’il n’en pouvait plus, je vins m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue énorme. Après quelques aller et retour, il jouit toute sa semence dans mon cul et je jouis une deuxième fois, dans sa bouche. Un peu calmé (mais rien qu’un peu!) nous nous mîmes d’accord sur un plan pour «piéger» le beau Jérôme le lendemain soir (rien de bien grave, rassurez vous).
À 19h, donc, mon ami arrive à la maison, nous mangeons tous les trois, avec mon père, tranquillement, puis mon père se lève, se met torse nu pour, dit-il, «se mettre à l’aise», et il va au salon pour «voir le match de foot». Jérôme, hyper intimidé par les muscles saillants et le beau torse de mon paternel, a une bosse dans le pantalon qui ne laisse présager que du bon. Avec un clin d’œil lubrique, je lui dis qu’on devrait aller prendre une douche. Il est évidemment d’accord, et, ne se doutant de rien, il m’accompagne à la salle de bain.
Une fois arrivé là, nous nous déshabillons tendrement en nous embrassant puis, une fois entièrement nu, je lui dit que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre, et que je reviens tout de suite. Sans qu’il s’en aperçoive, je prends ses vêtements et les miens et les emporte dans ma chambre, pour revenir ensuite à pas feutrés jusqu’au couloir, à côte de la porte de la salle de bain. Mon père arrive, sans bruit, lui aussi et entre d’un coup sec après m’avoir jeté un clin d’œil plein de sous-entendus. J’entends Jérôme pousser un hoquet de surprise, chercher ses vêtements, et mon père lui demander d’une voix d’ogre ce qu’il fait là, nu comme un ver. Lui ne sait que répondre, je l’imagine rougir, et pense qu’il doit être on ne peut plus mignon, dans cette position insolite.
Je me déplace un peu pour pouvoir voir sans être vu, et j’observe Jérôme tenter de cacher sa nudité comme moi il y a quelques semaines. Mon père le traite de tous les noms, le prend par le bras (pas trop violemment) et le pousse sous la douche et allume celle-ci en lui disant que, de toute façon, il est là pour ça. Jérôme obéit, il n’a pas le choix, et mon père, après s’être mis nu en un temps record, le rejoint sous le jet d’eau chaude. Jérôme est mort de trouille et il ne se calme pas en voyant l’énorme mandrin de mon père le menacer du haut de son érection. Mon père l’agenouille en silence mais avec une main ferme et l’oblige à le sucer. Mon père est donc face à l’entrée de la salle de bain, avec Jérôme à ses pieds en train de lui prodiguer une fellation qui doit être fameuse, à en juger par les cris du sucé.
Moi aussi nu, j’entre alors en silence, mon père coupe le jet d’eau et, comme convenu avec mon père, je me mets à pisser sur Jérôme, sur son dos, sur ses belles fesses. Lui n’est d’abord qu’à peine surpris de sentir un autre jet de liquide chaud sur lui, et est entièrement accaparé par la pipe qu’il fait à mon père. Puis il se rend compte de quelque chose, se retourne, et reçoit mon jet de pisse jaune et brûlant sur la gueule. D’abord dégoûté, il voit que c’est moi, il se rassure, et sans doute se dit comme mon père et moi, que la situation est très excitante, il reçoit donc en gémissant mon urine sur le visage. Puis, quand j’ai fini, c’est mon père qui prend le relais. Comme je frotte ma pine toute molle d’avoir pissé contre le visage de Jérôme, nous recevons tous les deux de la pisse chaude et puante de mon père, lui sur la gueule, dans la bouche, il avale et il a l’air d’aimer ça, et moi sur ma pine qui grossit de plus en plus.
Ensuite, mon ami se lève et il vient se frotter à moi, je lui lèche le visage plein d’urine, je caresse son corps trempé et mon père colle sa queue érigée contre ses fesses et se masturbe ainsi, le gland contre la rosette de Jérôme. Nous sortons alors de la douche, je colle mon copain contre le mur et, après lui avoir léché le trou de cul, je le pénètre violemment, dans un cri de sa part comme de la mienne. Ensuite, mon père vient derrière moi, malaxe mes couilles qui se balancent pendant que j’encule mon second amant puis il m’enfourne aussi, sans préparation, d’un grand coup brutal. Je hurle, d’abord de douleur, puis de plaisir. Nous formons une brochette d’enculades et nous jouissons tous les trois dans d des gémissements sans retenue. Epuisés, nous allons nous reposer, sentant que le lendemain, nous pourrons profiter pleinement de notre envie de sexe jamais assouvie. Nous dormons tous les trois dans le grand lit de mes parents, enlacés, après nous être encore baisé; Jérôme m’a enculé pendant que je suçais mon père, puis mon père a enculé Jérôme alors que je m’occupais de la queue de ce dernier.
Le lendemain, après une baise matinale, Jérôme est rentré chez lui et mon père a eu un nouveau plan lubrique dans la tête. Il n’a rien voulu me dire, il m’a juste fait monté dans sa voiture, un bandeau sur les yeux, en me promettant une belle surprise. Très curieux, j’ai patienté, il m’a fait sortir de la voiture, m’a emmené sur un chemin assez caillouteux jusqu’à un intérieur qui ne sentait pas très bon... J’ai mis du temps à me rappeler où j’avais déjà senti cette odeur, puis il m’a enlevé le bandeau et les souvenirs me sont revenus aussitôt: nous étions dans le box de notre cheval, un étalon noir, magnifique, que nous avions acheté longtemps auparavant et qui nous aimait autant que nous l’aimions. Voyant mon père tout excité, je me suis dit qu’il voulait que nous baisions dans le foin, dans l’odeur de bêtes, et même devant notre étalon, et je me suis rendu compte que cette idée m’excitait pas mal aussi...
Mon père m’a ordonné de me déshabillé et d’être son esclave. Emoustillé par ce petit jeu, je me suis plié à ses désirs et je me suis mis à genoux, nu sur la paille fraîche, devant lui qui avait enfilé une salopette sur sa peau nue, sa grosse queue pointant par l’ouverture de l’entre jambe. Il me cria de faire un tour à quatre patte, jusque sous le ventre de Nuage, notre cheval. Je savais qu’il n’y avait aucun risque de ruade, car il me connaissait bien et qu’il était doux comme un agneau avec nous.
Une fois sous son flanc, mon père m’ordonnai de caresser son ventre d’un coté à l’autre, ce que je fis avec plaisir, Nuage soufflant de plaisir. Ensuite il me cria de lui caresser les bourses. Je le regardai, surpris, puis me dis «après tout, pourquoi pas? C’est un mâle comme les autres finalement!» Je commençai donc à lui effleurer doucement les burnes, qu’il avait noires, puis, pris par le jeu, et par l’excitation grandissante, je commençai à les humer et me surpris à aimer ça. La bite de mon cheval commençait à sortir de son fourreau, à grandir et grossir, et mon esprit autant que ma volonté m’échappait totalement. Je me demandais ce que je faisais, j’étais honteux de mes actes, mais tellement excité que je voulais à tout pris continuer, jusqu’au bout, jusqu’à ce que je pourrais faire de plus lubrique! Mon père n’en espérait peut-être pas tant, mais je commençai ensuite à lécher amoureusement les énormes mandarines, puis la hampe sans fin de mon étalon adoré. Jamais je n’avais connu une aussi grosse bite et je bandais à m’en faire mal tellement cela m'échauffait les sens.
Mon père se mit alors nu aussi, et vint s’occuper de l’énorme pine de notre cheval. Lécher une tel engin était jouissif et nous n’osions pas nous toucher de peur de jouir sur le champ. Nuage n’en pouvait plus, il soufflait par les naseaux, s’agitait, et soudain, sa bite se mit à tressauter dans tous les sens, je la branlai du mieux que je pouvais, avec mes deux mains, et il jouit! Sa semence de cheval gicla sur la paille, sur mon père, sur moi, il y en avait des litres! j’en avais jusque sur les cheveux et mon père en avait plein le visage et le ventre. Je me roulai sur lui pour m’en étaler sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Le sperme de Nuage sentait bon, il était brûlant, nous en avions partout et nous nous léchâmes le corps pour nous nettoyer et, surtout, nous soulager. Nous éjaculâmes tous les deux en peu de temps, tellement l’excitation avait été grande.
Puis nous allâmes nous coucher sur la paille, pas loin de Nuage qui se remettait très bien de ses émotions. Petit à petit, nous recommençâmes à nous toucher, à nous caresser et nous étions repartis pour baiser quand l’étalon se manifesta bruyamment en hennissant; il en voulait encore. Nous nous délaissâmes donc pour retourner vers le cheval, sa queue était à nouveau bandée bien dur, très longue, elle était magnifique. Mon père s’occupait de lui lécher le gland, qui avait la grosseur d’un melon, et il se frottait à cet organe magnifique, pendant que, passé derrière Nuage, je lui léchai l’arrière des couilles. Puis, voyant qu’il levait la queue d’une manière suggestive, j’eu une idée totalement insensée. Je remontai avec ma langue le long de son périnée, puis j’arrivai à son trou de cul. Il était bien serré, mais je le léchai sans vergogne. Je le léchais, je le léchais, et je bandais de plus en plus dur de voir que cela excitait énormément Nuage, son anus s’ouvrait de plus en plus, plus il était mouillé, plus il s’ouvrait, comme une fleur, prêt à recevoir un cadeau...
Mon père, sentant que l’étalon prenait un plaisir immense, me demanda ce que je lui faisais. Quand je lui dit, il vint me regarder, la langue dans le trou du cheval, tout en le masturbant. Sentant que le cheval allait jouir, il lui lâcha la bite et me dit de l’enculer. J’ouvris de grands yeux, et mon père me dit qu’il l’avait déjà fait, étant adolescent, il avait l’habitude d’enculer le cheval qu’il avait alors, et cela procurait énormément de plaisir, autant à l’animal qu’à l’humain. Je rentrai donc un doigts, puis deux, puis toute ma main dans l’anus dilaté de Nuage qui, manifestement, prenait son pied royalement. Je bougeai mon poing dans son trou du cul puis, je la sortis, pleine de crottin. Totalement excité, et n’en revenant pas de ce que je faisais, j’étalai toute la merde du cheval sur mes fesses, puis sur mon ventre et mon bas ventre, j’approchai ma queue de son anus, et je pénétrai mon étalon doucement, jusqu’au bout, jusqu’à la boule de crottin qui se terrait au fond de ses intestins. Nuage trépignait de se sentir enculer, et mon père, sentant qu’il allait à nouveau jouir, se mit sous lui pour recueillir ses litres de jus sur son corps.
Quand il en fut remplit, il vint m’en enduire et m’enculer à l’aide de ce lubrifiant. Avec tous ces stimulants, je jouis très vite dans le cul de Nuage, puis m’en retirai. À temps, car il devait visiblement chier. Ce qu’il fit, après avoir essayé de s’éloigner, mais d’un geste je lui avait fait comprendre de rester près de moi. Il envoya donc toute sa merde à mes pieds, et je me couchai sur le monticule puant, sous les yeux de mon père qui rebandait dur. Il se coucha sur moi, nous nous couvrîmes de crottin, puis je me mis ventre dans la merde, la tête dedans, et mon père m’encula jusqu’à jouir une dernière fois. Je jouis dans la merde et nous nous endormîmes ainsi.
Après quelques heures, nous nettoyâmes le box puis nous rentrâmes à la maison, tout en nous promettant de revenir pour des parties de jambes en l’air torrides, et qui sait, peut être y emmènerions nous Jérôme?
Derniers Commentaires