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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !

Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 15:05

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— Vous avez une très grosse queue, monsieur!

Jamais je n’aurais pu imaginer entendre un jeûnot de 17 ans me faire une pareille remarque... encore moins sous mon propre toit. Pourtant, ce matin-là, dans ma salle de bain, j’ai compris qu’il existait encore des choses à découvrir... À 53 ans, j’avais du bonheur devant moi!

Je m’appelle Martin mais tout le monde m’appelle Many. J’ai donc 53 ans, je suis veuf et père de deux enfants. Luc a 35 ans et est lui-même père de Christophe qui a 16 ans. Ma fille Nancy a 32 ans et a 3 enfants. Je suis un jeune papy heureux. J’aurais pu l’être plus encore si ma chère épouse n’était pas partie pour l’autre monde il y a 15 ans... Si je ne me suis jamais remarié, je n’ai jamais fait voeu de chasteté et ma vie sexuelle a été (et est toujours) bien remplie. J’ai eu plusieurs maîtresses régulières et d’autres passagères. J’ai un corps bien entretenu et viril: une toison distinguée recouvre mes cuisses et mon torse ainsi que mes fesses et mes avant-bras.

Il y a trois mois, mon fils a obtenu un poste d’infirmier en chef dans un hôpital à l’autre bout du pays et, après de nombreuses discussions, il a été décidé de me confier Christophe, mon petit-fils. Celui-ci, en pleine année scolaire, ne désirait pas suivre ses parents à Marseille. Je pense surtout qu’il n’avait pas envie de quitter son cercle de copains avec qui il avait grandi. Parmi eux, un certain Romain que j’avais entrevu quelques fois et qui semblait être un garçon «rangé» et de bonne fréquentation. À plusieurs reprises, Christophe coucha chez son copain avec mon approbation. Lorsque mon petit-fils me demanda si Romain pouvait dormir chez moi pour deux ou trois nuits en l’absence de ses parents, je ne pus qu’accepter. Le premier matin, Christophe fit «grasse matinée» tandis que son copain me rejoint assez tôt dans la cuisine. Le gaillard m’apparut vêtu uniquement d’un mini short qui moulait parfaitement son service trois pièces. Un beau spécimen, ce Romain. Les filles devaient en raffoler. Ses attitudes étaient toutefois bizarres. Il me tournait autour en me frôlant et en mettant bien en valeur sa plastique impeccable: pectos saillants, torse large et finement velu, cuisses fermes et gueule d’ange. Je mentirais si je disais qu’il ne me troublait pas. Il me faisait même de l’effet: je me mis à bander. De temps en temps, sa main glissait dans l’échancrure de son short comme pour remettre ses «outils» en place ou s’assurer qu’ils sont toujours là. Petit-déj’ pris, je lui dis qu’il prenne son temps pour prendre le sien et que j’allais me doucher à l’étage. Il me lança un grand sourire et me regarda sortir de la pièce.

Dans la salle de bain, je me suis regardé dans la glace comme pour me poser une question. Est-ce que je rêvais ou est-ce que ce garçon me draguait? Mon trouble ne finissait pas de grandir et ma queue se dressa lorsque j’ôtai mon pantalon. Machinalement, je me suis mis à me caresser... revenant sur terre, j’ai réglé le jet de la douche et je me suis lavé à l’eau presque froide. J’en avais besoin. Quelle ne fut pas ma surprise de voir Romain jaillir dans la salle de bain quelques instants plus tard!

— Ça vous ennuie si je me lave les dents pendant que vous prenez votre douche?

— Euh... (J’étais scié, perdu, sans voix...) C’est à dire que... (Devais-je avoir l’air con et prude.) Non... Non, vas-y!

— C’est aimable à vous.

Tout en faisant mine de s’occuper de ses dents, le garçon me matait dans la glace et se tripotait l’avant du short chaque fois qu’il le pouvait. Il avait une belle érection et n’essayait même pas de la cacher. C’est là que tout bascula. Il se retourna vers la cabine de douche et me lança:

— Vous avez une très grosse queue, monsieur!

— Je... je n’ai jamais eu à me plaindre.

— Et encore, là, elle est au repos!

— Ce n’est pas comme la tienne!

— C’est à cause de vous, m’sieur!

— De moi?!!

— Vous m’impressionnez!

— Ah bon!

— Vous n’avez pas du tout l’air d’être le grand-père de Christophe. Si vous voulez savoir, vous êtes même drôlement mieux foutu que mon père et la plupart de ses amis. Excusez-moi d’être aussi franc mais...

— Au contraire, c’est très gentil... et c’est agréable d’entendre ça dans la bouche d’un jeune gars...

Ma douche terminée, j’attrapais la serviette pour commencer à m’essuyer. Mon sexe devenait lourd. Je le sentais s’épaissir. Je redoutais l’érection et, en même temps, je l’espérais... Orgueil de mâle! Un mec de 53 ans qui peut montrer une belle érection à un gamin de 17 ans!

— J’aimerais vous ressembler plus tard.

— J’ai l’impression que tu seras même mieux. À ton âge, je n’étais pas aussi bien foutu...

— Vrai?! Enfin, c’est vrai que vous me trouvez... euh... que vous me trouvez bien!

— Je suis sûr que pas mal de filles ont dû te le dire! Et que tu en as largement profité!

— Pour me le dire, c’est sûr! Pour ce qui est d’en profiter, voilà autre chose... Ce n’est pas trop mon trip...

— Qu’est-ce qui n’est pas ton trip? L’amour?

— Oh si, l’amour j’adore ça... Mais pas avec une fille... Avec un mec!

Voilà, c’était tombé! Vlan! Ce que je redoutais arrivait... Je crus défaillir...

— Tu en es sûr?

— Sûr et certain! Oh, mais ne craignez rien... Entre Christophe et moi, c’est seulement de l’amitié. Votre petit-fils est 100% hétéro et moi j’aime les hommes, les vrais... comme vous!

— Mais tu as essayé avec...

— Avec les filles? oui... plusieurs fois... mais, voyez-vous, avec aucune ceci (Il me montrait la bosse dans son short.) n’arrivait. Pas moyen de bander! Tandis qu’avec des hommes...

— C’est donc moi qui te mets dans cet état?

— Oh oui, m’sieur! J’ai tellement envie...

— De quoi as-tu envie?

La réponse ne fit jamais mais il tomba à genoux devant moi, embouchant d’un coup ma queue qui n’en revenait toujours pas. En trente secondes, elle lui remplit la bouche à l’étouffer. Depuis des années, je n’avais connu pareille excitation. Ce petit gars savait y faire; il s’occupait de mon gland, de la longueur de la queue, des couilles avec brio. Jouant comme un pro avec sa langue, il me prodiguait les soins les plus savants. Sa fellation dura plus de dix minutes et lorsqu’il me sentit prêt à jouir, il s’arrêta et se releva...

— Pas comme ça! Pas aujourd’hui, en tout cas... Ce matin, je veux vous sentir en moi... ailleurs...

Mon regard sondait le sien. Il n’y avait aucun doute là-dessus, Romain voulait que je l’encule, que je le possède...

— Je veux être à vous... à toi...

— Je ne sais pas si...

— Moi, bien je sais!

Son short tomba lorsqu’il en desserra le cordon et il se pencha pour fouiller dans une poche. Il me montra un préservatif et se colla contre moi. Cette chaleur! Cette douceur et cette force à la fois!

— Il n’y a aucun piège, je te jure. C’est ce que je veux depuis longtemps... serre-moi contre toi!

Il s’est blotti contre ma poitrine et mes bras l’ont enveloppé doucement. Sa bouche a embrassé un de mes tétons dressés et la langue s’est mise à jouer avec. Mon corps se réveillait à la jouissance. Si je ne m’étais pas retenu, j’aurais pu jouir, là, d’un seul coup. Mais je voulais lui donner ce qu’il voulait. Il m’a pris par la main pour m’entraîner dans ma chambre, sur mon lit... Je réalisais alors la présence de mon petit fils sous mon toit. Romain comprit et dit...

— Si c’est à Christophe que tu penses... Il sait... Il m’a aidé à avoir ce que je désirais le plus au monde... C’est mon ami, un vrai... Il ne sortira pas de sa chambre avant que...

Je n’en revenais pas. Mon petit-fils avait arrangé cette rencontre! Il avait poussé son meilleur ami dans les bras de son grand-père! Décidément, j’allais de surprises en surprises...

— Viens, Many, viens me faire l’amour!

— Je vais te faire l’amour, mon agneau...

Ces mots étaient sortis avec une telle aisance. Je n’avais pas honte à les dire et encore moins à les penser. Il me saisit la bite, en souriant, et m’attira dans ma chambre. Il était éblouissant de beauté et j’étais fou d’excitation. Mes yeux ne quittaient plus cet adorable petit cul rond et ferme... où il allait m’aspirer. J’ai refermé la porte de la chambre et lorsque je me suis retourné, il était à quatre pattes sur le lit... mon lit! Il m’offrait une des plus belles visions que je n’avais jamais eue. Ses deux mains caressaient ses globes fessiers puis les écartaient sensuellement. Ce garçon si «rangé» et de bonne fréquentation se transformait en petite «femelle» prête à tout. Je me suis approché de lui et je lui ai flatté le cul d’abord avec douceur...

— Claque-moi les fesses! Je suis un vilain garçon avec des idées sales en tête, Many! Punis-moi... Donne-moi une fessée...

Ce garçon réclamait une punition, la revendiquait. La situation était follement excitante. J’ai appuyé au bas de son dos pour qu’il creuse plus fort la cambrure de ses reins.

— Cambre-toi bien! Montre-moi bien ce que tu as à m’offrir...

— Je veux te donner tout. Tout est à toi. Tu dois prendre tout. Je suis... je suis...

— Tu es quoi?

— Ta petite pute!

— Mmmm, c’est vrai ça?

— Oh oui, Many, je suis ta pute...

— Et tu as de vilaines pensées, c’est ça?

— Oui. Je pense sans arrêt au sexe.

— Explique-moi ça en détails!

Et ma main claqua sur la rondeur de sa croupe bien cambrée. Il gémit de bonheur.

— Je pense à des grosses queues, Many... des grosses queues comme la tienne... qui s’enfoncent en moi...

Seconde salve. Plus forte. Il geint.

— Elles me prennent par tous les trous... et je prends du plaisir à les sentir glisser en moi... Ma gorge s’étouffe... Mon cul souffre mais c’est mon désir...

— Et tu voudrais que je te fasse ça, n’est-ce pas?

— Oui, Many! J’aimerais que tu me...

— Baises?

— Oui, Many!

— Ce n’est pas de l’amour que tu veux alors?

— Oh si! si! Je ne conçois l’amour qu’ainsi... Tu es mon Maître, mon amant... Tu as tous les droits sur moi...

— Celui de te baiser?

Ma main claqua plus fort, laissant une trace rouge sur ses fesses douloureuses. Il n’en pouvait plus.

— Prends ma chatte de mec, Many! Enfonce ta grosse bite dans ce trou, TON trou...

— Il ne sera plus qu’à moi CE trou?

— Oh oui, c’est mon plus cher désir!

— J’ai du mal à le croire. Je crois que tu es une petite chienne en chaleur et que tu t’abandonneras à toutes les grosses tiges que tu rencontreras.

— Mais tu me puniras, Many! Tu feras de moi un brave garçon...

— Alors je vais te baiser puisque tu le mérites...

Je me suis agenouillé derrière lui et j’ai enfoui mon visage dans sa raie tendre et duveteuse. Un régal! Une odeur juvénile et masculine à la fois... Ma langue lécha la fente offerte et titilla le petit trou frippé. N’en pouvant plus, il réclama que je l’introduise en lui. Une nouvelle claque le calma.

— Ce sera lorsque j’en aurai envie, petit! Seulement lorsque ce sera MON désir.

— Oui.

Mon travail de la langue reprit de plus belle. J’enfonçais la pointe d’abord au pourtour puis très loin dans le fourreau serré. Il se tortillait en poussant des cris de jouissance. Je pris un malin plaisir à prolonger cette séance pendant dix à quinze minutes, le poussant au paroxysme de l’excitation (et moi aussi par la même occasion).

— Donne-moi la capote! lui ai-je ordonné.

Il déchira l’enveloppe et me tendit la rondelle de caoutchouc. Lorsque je la fis glisser sur ma bite bien droite et raide, je le vis me mater par-dessous ses cuisses en se passant la langue sur les lèvres. Son regard brillait d’envie. J’avais devant moi une espèce de Jekyll and Hyde, un mec au double-visage: d’un côté le petit étudiant clean et de l’autre la pute en chaleur. Cette petite pute allait en avoir pour son argent.

— Maintenant, parce que j’en ai très envie, je vais te baiser.

Je me suis positionné, derrière sa croupe, en conquérant, et j’ai forcé en douceur son intimité. Son trou, comme je l’avais imaginé, aspira littéralement mon sexe gainé. Il avait été très bien préparé par ma bouche.

— Oh ouiiiiiii, Many, prends-moi à fond!

— Viens doucement à ma rencontre, mon bébé! Pousse ton petit cul vers mon ventre...

— C’est bon... c’est délicieux... Tu me remplis jusqu’au bout...

— Tu aimes ça, hein?

— Ouiiiii!

— C’est ça que tu voulais?

— Ouiiiii!

Au début, même sous l’emprise de l’excitation, j’avais peur de lui faire mal et de le blesser, le déchirer. Comme je le sentais réceptif, je me suis permis de passer à la vitesse supérieure. Mes coups de reins s’enhardirent. Mes mains glissaient sur la soie douce de son dos et pétrissaient ses muscles saillants. Je goûtais avec délectation - pour la première fois - aux joies du sexe entre mâles. Car c’était bien à un petit mâle bourré de testostérone que j’avais affaire. Il prenait seulement du plaisir à se la jouer «femelle» face au macho que je suis... Tout ça n’était qu’un jeu: jeu de rôles et de séduction; jeu pervers et ambigu... dans lequel je plongeais avec joie.

— Laboure-moi! Force-moi le cul avec ton mandrin, Many!

— Tu en veux toujours plus, c’est ça?

— Oui

— Et quand je t’aurai donné ce que tu veux, tu iras chercher plus ailleurs, n’est-ce pas?

— Non, Many! Pas si tu me tiens bien. Je voudrais tellement t’appartenir... Etre à toi et rien qu’à toi... Vénérer ton corps de mâle et ta bite d’étalon... Tu fais si bien l’amour...

Une claque sur ses reins cambrés. Il gémit.

— Je pensais que c’était de la baise!

— Dis-moi que tu aimes t’occuper de mon cul, Many! Je suis le premier, n’est-ce pas?

Je n’avais pas envie de répondre à ses questions. J’étais le mâle dominant et il n’avait qu’à subir. Pourtant mon coeur fondait comme du sucre... Ce petit mec m’avait tourneboulé et je ne savais plus trop où j’en étais. Christophe me revint à l’esprit et je me mis à me demander s’il entendait nos ébats. Cela me troublait encore plus.

— Je voudrais que tu me prennes sur le dos... pour te voir!

— J’ai encore mieux pour toi! lui ai-je dit.

Je me suis couché sur le dos, la tête relevée par l’oreiller, et je lui ai donné l’ordre de s’empaler sur ma queue. Il s’est installé au-dessus de mon bas-ventre, jambes écartées et ployées, pour descendre doucement vers l’objet de tous ses désirs. La position qu’il m’offrait était tout bonnement jouissive. Ce corps superbe qui allait à ma rencontre, à la rencontre de ma virilité, c’était si beau...

Je me suis fait plus tendre, l’amenant à s’autovioler.

— Viens doucement, bébé! Descends sur ma queue et avale-la. Je sais que tu ne vis que pour ça... pour cette belle grosse tige luisante...

— Oh oui, elle glisse à fond...

— Tu peux faire mieux que ça, bébé! Il reste un morceau.

— C’est si long.

— Tu dois tout prendre, bébé. Toute la longueur doit entrer dans ton cul... Un vrai cul de salope ça prend tout...

— Oui, Many!

Et mon petit gars, le visage pourpre et tordu de douleur, s’est empalé par petits coups sur mon mandrin dressé... Il l’a branlé durant une heure à la force de ses sphincters endoloris. Il le voulait et il l’a eu. Nous avons changé plusieurs fois de position et finalement nous avons atteint l’ultime jouissance en choeur. Lui sur mon ventre et moi sur son visage béat. Nous étions vidés de nos forces et de notre substance. Il s’est blotti à nouveau contre moi, enchevêtrant ses longues jambes poilues dans les miennes. Il déposa un tendre baiser sur ma poitrine en remontant vers ma bouche.

— Many, je t’aime!

Et c’était vrai!

 

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 14:29

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 14:19

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 13:27

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 13:04

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 13:03

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 12:57

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Ma sensation la plus forte a été quand j’ai vu, pour la première fois, le sexe de mon beau-père s’enfoncer dans le cul de son fils, mon mec! Vous suivez? Non? Bon, je vais tout vous expliquer...

J’en bande encore en y pensant et en me rappelant ces images. Ce qui est extraordinairement excitant, c’est de s’apercevoir qu’il faut très peu de choses pour qu’un père de famille accepte d’avoir des rapports avec son propre fils et arrive même à transformer celui-ci en une véritable salope qui se donne sans retenues à plusieurs hommes à la fois.

Étienne, mon mec, dit m’avoir toujours été fidèle depuis notre rencontre. Je n’ai pas de raisons de ne pas le croire. Bien sûr, lorsque je l’ai rencontré, il était loin d’être vierge. Il est grand, mince, bien foutu, très mignon. Il n’avait jamais eu de mal à se trouver un partenaire. Dans le milieu gay, il avait la réputation d’une vraie salope. C’est un peu ce qui m’a attiré vers lui. Après notre première nuit d’amour, j’ai compris que chez Étienne, il y avait autre chose... Nous sommes tombés amoureux fous et nous nous sommes mis en ménage. J’ai fait la connaissance de son père très tard car Étienne et lui ne s’entendaient pas fort. Le père ne supportait pas d’avoir un fils pédé et il considérait que la vie de celui-ci était vide et obscène...

Au fil du temps, Robert – que j’appellerai mon beau-père – a fini par m’apprécier et est devenu moins bourru. Il m’a dit un jour que je faisais du bien à son fils. Je lui ai répondu:

— Je l’espère bien!

Ça l’a fait sourire. De mon côté, j’ai aussi appris à connaître ce grand bonhomme de 48 ans aux tempes grises et au charme désarmant. Nos conversations pouvaient durer des heures et toujours avec intérêt et respect. Robert m’avait réellement adopté.

Étienne et moi, nous sortions peu mais, les rares fois où nous le faisions, j’ai souvent constaté que des hommes le lorgnaient d’un air intéressé. Cet état de fait m’énervait et m’excitait à la fois. Un soir que nous étions au restaurant, Étienne qui était encore plus désirable que d’habitude, avait attiré bien des regards. J’avais même vu un frôlement de la part du patron du resto... Dans la voiture, je lui avais fait quelques reproches et nous avions fait l’amour très fort, tout de suite en rentrant à la maison. Il m’avoua qu’il aimait beaucoup que des hommes le regarde et aient envie de lui.

— Tu sais, il m’est arrivé plusieurs fois de me faire «toucher» les fesses dans le métro!

— Tu ne m’as jamais rien dit!

— Je sais me défendre, mon amour... Je suis un grand garçon!

— Comment voudrais-tu que ça ne me rende pas jaloux?

— Je sais aussi que ça t’excite d’avoir un mec qui suscite le désir. Dis que je mens!

— Tu as toujours le don de retomber sur tes pattes, hein!

— Et puis ces mecs qui me frôlent, ils ne sont pas dangereux! Ils ne font que passer... Et moi ça m’amuse!

— Dis plutôt que ça t’excite!

— Aussi, oui! Je sais que je suis un petit obsédé du cul... J’y pense souvent... Il m’arrive même de penser à des trucs... franchement déplacés... enfin des trucs qui devraient me dégoûter!

— Raconte!

— Je fais des rêves cochons où... putain, ça me gêne d’en parler...

— Trop tard! Tu as commencé... crache le morceau...

— Je fais des rêves bizarres... des rêves où mon père me baise.

— Ton père?!

— Tu connais mon père et tu sais à quel point il a difficilement accepté mon homosexualité. C’est un homme assez rigide et jamais il n’a fait quoi que ce soit qui puisse... Enfin, tu comprends!

— Ton père est un veuf de 48 ans qui a été blessé lorsqu’il a appris ton homosexualité. Je pense qu’aujourd’hui, il a avalé le morceau. Toi, tu dis qu’il est rigide et froid; moi, qu’il a un charme fou et un charisme hors normes...

— On pourrait croire que tu en es amoureux!

— Ça t’étonne?

— Pas trop, non! Je sais que tu l’apprécies et que c’est réciproque.

— Donc, ton père te fais fantasmer!

— Nooooon!

— Siiiiiiiiiii! Ne joue pas à ce jeu idiot... Ton père te fais fantasmer. Point. Franchement, Étienne, moi aussi, je le trouve bandant. Je parie qu’il a une bite encore plus grosse que la tienne... et c’est déjà pas mal!

— Arrête de parler de ces choses!

— Je te signale que c’est toi qui a commencé... Il est bien foutu: belle gueule virile, torse solide et poilu, tétons dressés, cuisses musclées... Vraiment bandant, je te confirme!

Notre conversation s’arrêta deux ou trois minutes plus tard car la sonnerie de notre appartement retentit. Il était minuit trente et nous trouvâmes ça curieux. En regardant par la fenêtre côté rue, je vis mon beau-père sur le trottoir.

— Quand on parle du loup!

— C’est mon père?!!

Je le confirme. J’ai ouvert la fenêtre et j’ai crié:

— Je vous ouvre la porte!

— Merci.

Je lui ai donc ouvert. Il était particulièrement bien habillé et comme d’habitude, avait beaucoup de classe.

— Si je n’avais pas vu de la lumière, je ne me serais pas permis de sonner. Je reviens d’un vernissage et je passais en voiture.

— Entrez, Robert! lui ai dit en lui serrant la main. Intéressant ce vernissage?

— Pas trop. Un petit con qui se prend pour le nouveau Mondrian et qui est juste bon à faire du coloriage...

Il est entré et s’est dirigé vers le living où il est allé embrasser son fils. Mon chéri était bien embarrassé après ce qu’il venait de m’avouer.

— Vous étiez de sortie également?

— Un resto simplement...

— Je ne vais pas vous embêter longtemps.

— Vous ne nous embêtez pas, Robert. Asseyez-vous, nous allons prendre un verre...

— C’est gentil... J’ai à peine bu... le vin blanc était bouchonné!

— Ah! c’était la totale dirait-on!

Nous avons entamé une conversation sur l’Art puis sur le cinéma... J’ai fait en sorte que le verre de mon beau-père ne soit jamais vide. Il semblait de fort bonne humeur et prêt à s’amuser un peu. Je voulais mettre mon amoureux mal à l’aise... et m’amuser avec ses révélations. Robert s’est rendu compte de mon petit manège:

— Tu veux me saouler?

— J’aime vous voir de bonne humeur. L’alcool vous rend gai.

Je laissais un regard à mon chéri qui venait de comprendre le double sens de ma réflexion.

— Je ne vais plus pouvoir conduire si j’en bois encore un.

— Vous pouvez dormir ici. Il y a de la place.

— Non! Je n’ai pas l’intention de vous déranger...

— Pourquoi croyez-vous que vous nous dérangez?

— Je... je ne sais pas... Vous avez votre intimité...

— Votre présence ne gêne absolument pas notre intimité...

Et c’est là que mes lèvres se sont posées sur celles d’Étienne. Il s’est cabré car c’était la première fois qu’il m’embrassait devant son père.

— Vous voyez! ça vous choque, Robert?

— Du tout! Vous formez un très beau couple. Lorsque l’on me parle de vous, c’est toujours en bien.

Étienne est sorti du living.

— Qu’est-ce qu’il a?

— Étienne n’est jamais à l’aise avec vous. Il croit toujours que ce qu’il fait vous choque. J’ai beau lui dire que vous êtes un homme ouvert... Il se bloque! Ce baiser que je viens de lui donner devant vous, il a dû détester...

— À une certaine époque, je n’aurais pas apprécié... Le simple fait d’imaginer mon fils dans les bras d’un homme me rendait fou.

— J’ai l’impression qu’Étienne n’a pas compris que vous avez... changé!

— Allez le chercher... Je déteste qu’il soit malheureux...

J’ai donc rejoint mon chéri dans la cuisine. J’ai compris qu’il m’en voulait de l’avoir piégé.

— Qu’essaies-tu de faire, David? m’a-t-il demandé.

— Excuse-moi... C’était un jeu stupide! Je ne voulais pas te blesser.

— Tu m’as... ridiculisé devant... mon père!

— Pas du tout. Ton père a changé. Il est fier de toi, de notre couple.

— Ne change pas de sujet de conversation... Qu’essaies-tu de provoquer?

— Tu m’as dit que tu fantasmais sur ton père et j’ai voulu jouer...

— Arrête, ce n’est pas un jeu! Ce que je t’ai dit à propos de... mes rêves... il n’y a rien de vrai! Je ne ressens rien.

— Moi je crois, au contraire, que tu as du désir pour lui...

— Et quand bien même! Qu’est-ce que tu vas faire? Lui demander s’il veut bien faire l’amour à son fils?

Le silence fut court après cette réplique bien sonnée.

— Peut-être que si David est habile, il réussira à me convaincre!

Nos têtes se tournèrent vers la porte de la cuisine. Robert y était appuyé, un large sourire sur les lèvres... Il a tourné les talons et est retourné s’installer dans le canapé. Étienne resta un moment muet, interloqué. J’étais assez troublé également. J’ai finalement pris sa main et je l’ai tiré vers le living.

— Robert, dites quelque chose... Étienne a besoin d’être rassuré.

— Fiston, arrête de croire que je te déteste. Je t’aime infiniment. Je suis fier de ce que tu as fait de ta vie. Tu es un beau grand garçon bien foutu et tu me fais fantasmer. Est-ce suffisant pour te rassurer?

Silence.

— Ah oui, je t’envie beaucoup d’avoir trouvé la perle rare... un homme qui t’aime et te le prouve constamment.

Là, face à mon beau-père, j’ai commencé à déshabiller mon homme. Il s’est laissé faire. J’ai regardé Robert droit dans les yeux. Il a posé sa main sur son bas-ventre. Étienne m’embrassait. Mes lèvres suçaient les siennes et je lui disais des petits mots cochons.

— Tu as envie d’une grosse bite, hein, mon ange? D’une très grosses bite! Laisse-toi faire... Laisse-toi envahir par cette douce chaleur... Oh oui... Fais-moi bien ta petite salope! Tu la fais si bien quand tu es excité...

Silencieux, Robert assistait au spectacle que nous lui offrions, Très vite, Étienne se retrouva les fesses à l’air et mes doigts s’activaient dans sa raie.

— Tu as envie que quelqu’un me remplace pour te donner du plaisir? Dis-moi, ma petite chienne! Dis-moi si tu veux que ton papa me remplace!

Les yeux d’Étienne étaient brillants.

— Ouiiiiiiiii...

Sa réponse fut douce et soyeuse. Robert s’est levé pour s’approcher de nous et il a posé ses lèvres sur les miennes puis sur celles de son fils.

— Je vais vous laisser! ai-je dit.

— Non! a répondu Robert. J’ai très envie de faire ce que tu me proposes mais... j’ai besoin de... ta présence...

Il a commencé à caresser les fesses et le dos de son fils qui gémissait.

— Faites-lui l’amour, Robert! Il en meurt d’envie! Votre fils est un petit cochon qui adore baiser... enfin se faire baiser par des grosses bites. Nous sommes persuadés que la nature a été généreuse avec vous...

Je suis tombé à ses pieds et j’ai déboutonné son pantalon. Étienne a passé sa langue sur ses lèvres. La longue bite de Robert s’est dressée comme un ressort.

— Bel engin! ai-je dit. C’est juste ce qu’il faut à votre fils pour le calmer. Ce n’est peut-être qu’un caprice d’enfant gâté mais il ne faut pas qu’il en soit perturbé... N’est-ce pas? Je suis là... Je ne vous abandonne pas.

Je me suis éloigné pour aller m’asseoir dans un fauteuil en spectateur et laisser mes deux hommes faire ce qu’ils avaient à faire... Étienne sentait les mains de son père galoper sur son corps et se laissait faire en me regardant de temps en temps.

— Votre fils est très sensible des tétons et de la chatte.

Robert sourit.

— Eh oui, cher Robert, j’appelle son petit trou... sa chatte! Sa chatte de mec, toute douce et chaude...

Robert rentra un puis deux doigts dans le cul de son fils, Il lui pinça les seins et lui claqua les fesses. Il était un peu maladroit mais il suivait mes conseils et surtout se laissait guider par les gémissements d’Étienne. Ils se sont installés tous les deux dans le canapé en face de moi.

— Vas-y, mon chéri, fais bien ta salope... Excite-moi en te faisant sauter par ton père...

J’avais sorti mon sexe et je me masturbais. J’avais l’impression de flotter. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle mon beau-père avait accepté ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux de voir mon Étienne ainsi offert à son géniteur. Étienne me regardait de temps en temps et je m’aperçus qu’il tremblait.

— Robert, il faut y aller maintenant! Étienne n’en peut plus... Il la veut votre grosse matraque. Il veut savoir ce qu’elle a procuré comme plaisir à sa mère lorsque vous l’avez engrossée.

Robert s’écarta de son fils et il enleva son pantalon et son slip. Il les jeta sur le sol. Il prit Étienne, nu, dans ses bras et le transporta dans notre chambre. Il marcha bien droit avec la queue dressée. Je les suivis doucement. Il déposa celui qu’il allait baiser sur le lit et lui écarta les cuisses.

— Oh mon fils, tu as un cul superbe... bien rond et musclé... C’est un endroit où les hommes doivent aimer entrer.

Il se tourna vers moi et me dit:

— David, vous avez beaucoup de chance...

Et j’osais la question qui me brûlait les lèvres:

— Ce n’est pas votre premier homme, n’est-ce pas, Robert?

Il me répondit que d’un large sourire.

Étienne était en position d’attente. Une position que je lui connais depuis le début de notre liaison. C’est l’appel de la bite. Robert caressait le dos de son fils en admirant sa beauté et sa sensualité. Je me suis penché vers mon mec et lui ai dit:

— Vas-y, mon amour, fais bien ta garce... Fais ta petite pute! Montre à ton papa comme tu as été un bon élève... Dis-nous ce que tu veux?

Étienne ferma les yeux. Je passais les mains sous son torse à la recherche de ses deux tétines dressées. Je me mis à les pincer pour le rendre dingue.

— Dis à tes deux hommes ce que tu veux le plus au monde!

— Je veux que... que vous me baisiez tous les deux...

— Ah voilà qui est bien, mon ange!

Je me mis à l’embrasser sous le regard de Robert. Maintenant, Étienne s’offrait sans pudeur, conscient d’avoir passé le cap le plus difficile. Robert le contourna et se plaça face à son fils. Je me suis écarté pour lui laisser la place. Pendant que j’ôtais doucement mes vêtements en me caressant, je l’ai vu présenter sa longue queue devant la bouche de son fils en extase. Étienne n’en revenait pas. Cette bite qui l’avait «fabriqué» et sur laquelle il avait fantasmé était là sous son nez. Comme s’il avait encore un doute, pour se rassurer peut-être, Robert lui demanda doucement:

— C’est ce que tu veux, mon fils, c’est ce que tu veux vraiment?

— Oui, papa!

— Si c’est ça que tu veux, mon amour? Dis-le encore! ai-je ajouté.

— Je veux que tu me baises... que vous me baisiez tous les deux.

— Nous allons te satisfaire, mon fils!

La queue raide de Robert entra dans la bouche de son fils. Étienne ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la suçait. Je m’étais assis à un mètre d’eux et je me touchais doucement. Robert accéléra ses coups de reins et Étienne sembla apprécier d’être un peu malmené par son père. J’étais fasciné par cette bite qui lui violait la bouche. Je me suis levé et me suis placé derrière Étienne.

— Pendant que tu prépares la grosse bite qui va te trouer, mon chéri, je vais préparer ton petit cul... ton adorable cul de salope... Tu veux la langue ou la queue?

— Ta queue. Viiiiiite...

J’ai posé mon gland sur sa pastille et, d’un coup, comme chaque soir, je l’ai embroché. Il a poussé un petit cri en ondulant des reins. Signe de son approbation.

— Tel que vous le voyez là, Robert, il est au paradis!

Maintenant, il était baisé par les deux trous. Robert et moi, nous allions et venions en lui en ahanant. Robert se pencha un peu pour regarder ma bite entrer et sortir du cul de son fiston.

— Tu as beaucoup de chance d’avoir un amant si bien membré, mon fils! Cette belle tige semble faite expressément pour ton petit trou.

— Vous allez voir, Robert, comme c’est bon de baiser cette petite chienne.

En me penchant, je voyais le bord plissé de son anus que je limais avec ferveur. Je souriais à mon beau-père qui était maintenant tout à fait conquis par les divines sensations de la fellation filiale. Je n’arrivais pas à croire que c’était lui qui était là. Tout avait commencé comme un jeu ridicule entre Étienne et moi... et puis peu de temps après, le sexe de mon beau-père se faisait téter par Étienne.

— Je le crois à point, Robert. Venez me remplacer! Il en meurt d’envie...

— C’est vrai, mon fils, que tu en meurs d’envie?

— Oui, papa. Fourre-moi ta grosse bite dans le fion.

Robert posa ses lèvres sur le front de son fils et changea sa place avec la mienne. Je caressais la tête de mon chéri en lui parlant:

— Voilà, mon ange, tu vas obtenir ce que tu voulais depuis si longtemps. Tu vas être comblé au propre comme au figuré. La belle grosse bite de ton papa dans le cul! Elle va te donner du plaisir ...

— Oh oui! a-t-il répondu. Je la veux.

Il était fébrile et donnait l’impression d’être un gamin capricieux. J’ai trituré ses tétons pour faire encore monter l’excitation. Robert avait déroulé une capote sur sa queue et il la positionna devant l’entrée. Étienne frissonna à son contact.

— Tu l’as bien fait bandé en tout cas! ai-je ajouté. Sa queue est toute raide! Allez-y, Robert... Poussez! Un coup sec!

Ce qu’il fit en me regardant droit dans les yeux. Étienne poussa un cri et Robert se cabra.

— Ne craignez rien, il aime...

— Tu es sûr que...

— Continue, papa. Baise ta salope de fils! Tu n’imagines pas à quel point j’aime ça... les grosses bites...

— Je crois qu’il commence à s’en rendre compte, mon bébé! lui ai-je dit à l’oreille. Allez, tu es bien là... tu te laisses porter par la vague de plaisir... Ouais, c’est bon...

Je me caressais la queue tout en commentant la situation. Étienne adore ça. Ma queue était plaquée contre mon ventre et j’avais du mal à l’en détacher. La vague de plaisir nous emportait tous les trois.

— Je te veux en bouche, mon amour! me dit Étienne. Je les veux ensemble dans mes trous.

J’ai exaucé son vœu.

— Allez, tète, mon ange! Tète la queue de ton chéri...

Il a sucé mon dard avec sa passion habituelle. Je regardais l’excitant tableau comme s’il sortait d’un rêve. Ce ne pouvait être mon chéri qui était à quatre pattes sur ce lit avec la bite de son père dans le cul! Il se faisait besogner et gémissait de plaisir sous les coups de butoir de son séduisant papa. Robert, l’ex homophobe, le bourrait ardemment en caressant ou claquant ses lobes fessiers. Il fouillait cette chatte que je connaissais si bien. J’éprouvais un plaisir extraordinaire à le voir ainsi, possédé devant moi. Il me cocufiait avec son père et cela m’excitait. Étienne était près de la jouissance. Son cul serra la bite de son père. Il cria pendant que son orgasme l’emportait. Il haletait:

— David, mon amour, je jouis, il me fait jouir!... Je jouis, tu me vois! Papa m’aime et il me fait jouir... oh, c’est bon!... Tu aimes qu’il me baise, David?... Tu le vois?... Je sens sa queue qui cogne tout au fond de mon cul...

— J’adore ça, mon amour! Ton papa t’aime et il te fait bien l’amour.

— Il me défonce... J’aime... Tu vois comme il me baise bien à fond?... Tu aimes quand il me fait jouir?... Toi aussi tu vas me baiser... tu veux bien, David?... J’en ai envie...

— Oui, je vais te baiser aussi...

— C’est trop bon, David! Je veux qu’on m’aime, qu’on me baise... Tous les hommes que tu voudras, mon chéri,... tous... pourvu que tu sois là... je suis une salope... j’aime qu’on me baise devant toi... donne-moi... je suis une pute... c’est trop bon...

Les propos de son fils avaient excité Robert et il le besognait de plus en plus vite. Il était très excité et râlait. Il poussa un grognement en jouissant. Il sortit du cul, arracha la capote et lui déchargea tout son sperme sur le ventre.

— Robert! Un geyser! Qu’est-ce que tu lui as mis!

— C’est bon de se laisser aller... C’est à ton tour maintenant, David! Tu ne crois pas qu’il a assez attendu?

— David, prends-moi, viens me baiser. J’ai encore envie...

 

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Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 12:06

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Samedi 17 novembre 6 17 /11 /Nov 23:56

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