Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Suspendu à un palan, il offre son torse à la cire noire d’ une bougie.
Comme demandé, j'attends nu sur mon lit, un plug de taille moyenne bien en place et en vue dès la porte de la chambre franchie car si je ne verrai pas qui est avec mon maître, ceux-ci découvriront leur objectif en franchissant la porte.
Depuis près d'un an que nous nous sommes rencontrés sur le net puis après quelques séances de "prise en main", je suis maintenant sous son influence car il a trouvé comment satisfaire mes besoins sexuels et m'a révélé mon penchant de soumis. Je sais juste que ce soir, il ne sera pas seul – il m'a annoncé qu'ils seraient plusieurs avec lui – et il m'a donné l'ordre de prendre un RTT lundi car 3 jours pour me remettre ne seraient pas de trop. Cette dernière remarque m'a fait un peu flipper, mais je sais que je peux lui faire confiance.
Ça y est, j'entends la serrure de mon appartement, puis des voix. Mon maître entre dans la chambre et me présente comme la "pute à dispo de ce soir" ; aux bruits de pas, ils sont bien nombreux, il me semble entendre des bruits de respiration tout autour de mon lit que j'ai dû tirer au centre de la pièce aujourd'hui.
En précisant que toutes les pénétrations, tant anales que buccales, se feront avec capote et que celles-ci se trouvent au quatre coins du lit, tout comme les poubelles pour les éliminer, il commence à jouer avec le plug et me demande si j'ai suivi ses ordres à la lettre: lavement suivi d'une lubrification en profondeur à l'aide d'un gode puis mise en place du plug. Après ma réponse positive, il me retire le plug, quelqu'un se capote puis me pénètre d'un coup jusqu'au fond – heureusement que je suis bien préparé. Mon maître prend la parole et dit que c'est ainsi que l'on pénètre une pute ; la soirée promet d'être longue. Mon maître se retire immédiatement de mon cul et une nouvelle bite me pénètre immédiatement – elle est plus courte mais plus large que la sienne. Mon enculeur précise que je sais bien recevoir une queue même si je suis encore un peu étroit et précise avec un rire sadique que ce ne sera plus le cas à la fin de la soirée.
Au moment où je tente de protester, une autre queue me rempli instantanément la bouche, je suis comblé. Il semble que mon maître n'a choisi que des queues volumineuses... car ces deux là ainsi que celles qui suivent, elles sont nombreuses et changent si souvent d'orifice que j'en perds le compte, sont soit épaisses, soit longues soit les deux.
On sonne à ma porte, mon maître quitte la chambre et une nouvelle personne entre, salue les présents puis une queue plus fine m'est donnée à sucer et cela me paraît étrange, mais pas pour longtemps car après que l'un d'entre eux se soit glissé sous moi et m'ait pénétré, mon maître précise que nous changeons d'étape et que je vais vivre ma première double pénétration anale et que pour se faire, je ne devais pas avoir de queue en bouche afin de laisser libre cours à mon corps.
Après quelques mouvements du lit, je sens qu'une deuxième queue, celle plus fine qui vient de quitter ma bouche, se glisse sur celle déjà en moi. Au bout de quelques tentatives, le gland passe mon sphincter en m'arrachant un cri. Après quelques secondes d'arrêt, la queue poursuit sa pénétration ; une fois au fond, mes enculeurs s'immobilisent et mon maître me demande de décrire mes sensations. Le fait de sentir deux verges est bien plus intrigant que ne l'est la douleur de la pénétration, je ne suis pas sûr que les deux queues ensemble aient forcément un diamètre supérieur au plus gros des godes que j'ai dû accepter dans mon cul depuis que je connais mon maître. Le peu d'air qui glisse entre la forme des deux queues et mon sphincter crée une sensation de "chaud-froid" qui est loin d'être désagréable.
Puis les deux queues se mettent à coulisser en moi et dès que mes partenaires ont cadencé leurs mouvements, je sens monter en moi une jouissance comme je n'ai encore jamais connue. N'ayant rien à faire de ma jouissance, ils continuent à me pilonner jusqu'à ce que l'un puis l'autre s'enfonce jusqu'à la garde en moi puis se retirent lentement. Mon trou ne reste pas longtemps inoccupé, une première bite – bien épaisse celle-là me perfore d'un coup et je sens très rapidement le lit bouger sous moi et une deuxième – tout aussi large – la rejoint. Je ne peux m'empêcher de pousser un hurlement, bientôt étouffé par une autre queue ; cela ne semble ne pas vouloir s'arrêter et je perds le compte des pénétrations. Au bout de ce qui me semble une éternité, mon maître annonce une pause tout en précisant que cela ne me concerne pas : je vais étrenner un nouveau plug permettant de conserver mes "progrès" de ce soir. La mise en place n'est pas exempte de douleur.
Ils me laissent seul ; ils doivent avoir pris de quoi se restaurer car je n'ai rien eu à préparer. En leur absence, et malgré la douleur, je m'endors, toujours les fesses en l'air et la tête écrasée sur mon lit.
Je me réveille en un hoquet : une queue est au fond de ma gorge et m'étouffe presque. Mon maître demande à celui qui me baise la gueule d'y aller mollo, car c'est de mon cul que l'on s'occupe ce soir.
Le plug est retiré délicatement et je sens plusieurs doigts qui testent l'élasticité de ma caverne. L'un des hommes dit que je ne suis pas encore prêt et qu'il faut continuer avec les doubles pénétrations. Mon maître acquiesce et je suis en un instant à nouveau embroché par deux queues.
Après quelques pénétrations supplémentaires, la porte sonne à nouveau et mon maître dit que se sont "les jumeaux démolisseurs". Devant mon air interrogatif, l'un des hommes présents m'explique qu'il ne s'agit pas de vrais jumeaux, mais que leurs queues le sont et que je comprends sûrement à quoi la deuxième partie de la dénomination peut faire référence.
Il est interrompu par une voix grave qui demande si la pute est prête. Mon maître répond par un simple tout est OK mais que le double risque de "coincer" un peu au début. La voix demande à ce que mon cul soit tiré vers le bord du lit et que l'on me mette un bâillon. Une fois cela fait – et après un bruit de pochette de préservatif – il annonce: "attention, j'arrive!" J'ai à peine le temps d'évaluer la taille du gland, qu'il m'a pénétré d'un coup avec une queue énorme et longue. Sans attendre un instant, il se met à me pilonner brutalement puis se retire complètement et laisse sa place à son "jumeau". Je me pose la question comment je vais pouvoir prendre ces deux queues ensemble en moi.
La réponse est donnée par mon maître au bout de quelques instants quand il annonce qu'il va me mettre un peu de pommade anesthésiante sur ma rondelle. Une sensation de froid se diffuse lentement et avant que je puisse m'habituer, je sens le lit bouger, puis suis soulevé par les hanches et enfoncé sur l'une de ces queues monstrueuses. Mon maître propose de faire en premier un test avec lui avant de laisser le deuxième me pénétrer.
Malgré la pommade, je pousse un hurlement étouffé par le bâillon. Après quelques va et vient, mon maître décide que je suis prêt et cède sa place. Le deuxième gland force – mon cul résiste – la pression se fait plus intense et d'un coup, tout le gland est en moi. Ils ne bougent pas durant de longs instants puis le deuxième Priape commence sa lente pénétration. Une fois qu'il est tout au fond, il s'immobilise – et c'est mon corps qui réclame, en ondulant, que les deux formidables queues se mettent à bouger, bien que leurs mouvements m'arrachent des cris.
Les commentaires fusent ; on parle de l'ouverture de mon cul, de mon obéissance, de ma facilité de progression. Mon maître précise que ce sera tout pour ce soir, que la séance sera terminée après la jouissance des "jumeaux", qui elle tarde me semble-t-il à venir. Puis je sens une première queue me quitter puis la deuxième. Je suis retourné sur le lit puis je sens des flots de sperme me couvrir le torse.
Mon maître s'occupe de ma toilette, me passe différentes pommades sur le cul et me félicite une fois que tous les autres sont partis. Une fois qu'il m'a mis au lit, je comprends pourquoi il a exigé que je prenne mon lundi.
Un abattoir abandonné depuis plusieurs années… des murs taggés, des carcasses de voitures. Le lieu est fait pour le sexe en extérieur. J’emmene là une pute à fister. On se posera dans plusieurs salles pendant qu’à coté, des taggeurs font rouler les billes dans leurs bombes. Je ne sais pas s’ils nous ont entendu mais s’ils nous ont apreçu, ça ne les a pas géné !
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Un abattoir abandonné depuis plusieurs années… des murs taggés, des carcasses de voitures. Le lieu est fait pour le sexe en extérieur. J’emmene là une pute à fister. On se posera dans plusieurs salles pendant qu’à coté, des taggeurs font rouler les billes dans leurs bombes. Je ne sais pas s’ils nous ont entendu mais s’ils nous ont apreçu, ça ne les a pas géné !
Un abattoir abandonné depuis plusieurs années… des murs taggés, des carcasses de voitures. Le lieu est fait pour le sexe en extérieur. J’emmene là une pute à fister. On se posera dans plusieurs salles pendant qu’à coté, des taggeurs font rouler les billes dans leurs bombes. Je ne sais pas s’ils nous ont entendu mais s’ils nous ont apreçu, ça ne les a pas géné !
Un abattoir abandonné depuis plusieurs années… des murs taggés, des carcasses de voitures. Le lieu est fait pour le sexe en extérieur. J’emmene là une pute à fister. On se posera dans plusieurs salles pendant qu’à coté, des taggeurs font rouler les billes dans leurs bombes. Je ne sais pas s’ils nous ont entendu mais s’ils nous ont apreçu, ça ne les a pas géné !
Chouette, enfin les vacances ! J'ai trois semaines à ma seule disposition et bien que je n'aie pas les moyens de partir, ce repos va me faire du bien. "Mon" maître ayant quitté ma ville définitivement, sans volonté de poursuivre notre relation et m'ayant laissé carte blanche, je suis totalement libre de mes mouvements. Après deux longues nuits pour me reposer, je commence à arpenter les lieux de drague, à la recherche de sexe et, pourquoi pas si l'occasion s'en présente, d'une relation quelque peu plus suivie.
Au bout de quelques heures, je suis prêt à jeter l'éponge et à me rendre dans un sauna quand une main se pose sur mon épaule. Je n'ai ni vu ni entendu arriver l'homme qui me saisis comme ça et me pose la question si je suis prêt à le suivre chez lui. Avant de répondre, je me retourne et me retrouve face à un homme massif, du muscle mais pas que, de ma taille, chauve avec de yeux d'un bleu très clair. Il "pue" le sexe; il ne semble être fait que pour le sexe… tout à l'opposé de moi qui ne pratique qu'un peu de vélo et de natation et suis de ce fait beaucoup plus fluet.
Je bégaie un "oui" à peine audible et compréhensible et il me propose d'aller boire un verre afin de faire un peu connaissance avant. Pour des raisons pratique, il me propose de boire ce verre chez lui, je ne le sais pas encore, mais le piège vient de se refermer sur moi.
Il habite un pavillon en périphérie de la ville, une impression de calme et quiétude se dégage de l'extérieur. Une fois le hall passé, l'intérieur est lui beaucoup plus sombre: cuir, bois brut et chaines sont les éléments principaux du décor. Il me fait comprendre qu'il est déjà trop tard pour reculer. Il m'offre le verre promis en me questionnant sur mes pratiques sexuelles, mes préférences tout en éludant les réponses à mes questions. De mes réponses, celles qui l'ont fait le plus sourire sont ma préférence pour la soumission ainsi que le fait que j'aie déjà expérimenté la double pénétration, avec différents partenaires et que j'en aie tiré, malgré tout, grand plaisir.
Puis il me demande de débarrasser les verres et de ne ressortir de la cuisine qu'entièrement dévêtu, après avoir mis toutes mes affaires dans la petite malle qui se trouve à côté de la porte du garage, que je dois fermer à l'aide du cadenas qui se trouve sur la table et dont seul lui a la clé. Je ne lui montre pas mon hésitation, mais la tentation de fuir, une fois la cuisine atteinte, est grande. Mon besoin de sexe prenant le dessus, j'exécute l'ordre donné et retourne nu au salon en baissant la tête en signe de soumission.
Il attend de nombreuses minutes avant de s'adresser à moi. Il commence par m'ordonner de me mettre à genoux puis m'annonce qu'après un test de "résistance" il décidera s'il me garde pour la durée de mes vacances ou s'il me met dehors et qu'en cas de révolte de ma part, ce sera nu.
Dans le silence qui suit, je me permets de lui dire "je suis à votre disposition, Maître, et ferai tout mon possible pour vous plaire" puis me tais et attends. Il prend son temps puis se lève et me dit que c'est la dernière fois que j'ai eu le droit de parler sans y être autorisé et que dès cet instant c'est lui qui décide de tout. Je fixe le sol et ne dit rien.
Il me demande de m'approcher, ce que je fais à quatre pattes; dès qu'il le peut, il m'attache un collier de cuir autour du cou, puis une laisse et se lève. Je le suis en direction du sous-sol. Une fois au bas des escaliers, il ouvre la porte de son donjon, pièce que je ne vais pas quitter dans les semaines qui suivent. Avant même que je puisse commencer à appréhender ce nouvel environnement qu'il me donne sa queue à "bouffer" – en fond de gorge. Une fois complètement érigée, je manque de m'étouffer car elle est à son image : large (et de longueur appréciable). Au vu de ses soupirs, je ne dois pas trop mal m'en sortir; puis il s'immobilise avec juste son gland dans ma bouche, m'ordonne de tout prendre mais m'interdit d'avaler immédiatement. Une fois qu'il a jouis, il m'amène un bol et me demande de tout cracher, puis m'engueule d'avoir accepté de mettre ma vie en danger ! Il me précise que j'ai maintenant l'obligation de me rincer la bouche et que dès à présent tout sera SSR. Si j'apprécie son souci pour ma santé, je suis déçu du fait qu'il se soit laissé aller si vite, j'aurai préféré plus d'endurance.
D'ici à ce que j'ai fini de me laver, il bandait à nouveau ! Il m'a dit de ne pas bouger car il souhaitait faire connaissance avec mon autre trou. Après un léger doigtage nécessaire pour mettre le gel, il a enfilé une capote et m'a pris en un seul grand coup, de toute la longueur de sa queue – ce qui après quelques va et viens est devenu des plus agréables. Après près de 15 minutes, il s'est retiré, m'a félicité et demandé de me mettre dans le sling accroché au centre du donjon. Il m'a à nouveau pénétré, mais brièvement seulement puis m'a annoncé qu'il allait tester un peu plus mes capacités. Il a amené un chariot fermé et en a ouvert les portes – hors de ma vue – puis m'a annoncé: "voilà n°1" – et j'ai senti un gode légèrement plus gros que sa bite me pénétrer, une fois en place au fond de mon trou, il l'a laissé en place et a quitté le donjon.
Il est revenu quelques temps plus tard en annonçant qu'il allait changer le gode et passer progressivement jusqu'à n°4 en attendant l'arrivée des autres, ce qu'il fit. N°2 étant plus long que n°1, n°3 plus épais que le précédent et n°4 à nouveau plus long; puis il varia l'ordre dans lequel il plongeait les godes dans mon cul jusqu'à ce qu'une cloche sonne. Il me laissât avec le n°4 bien en place.
Il est revenu accompagné d'au moins trois hommes (aux voix entendues). Il rentre seul dans la pièce, me bande les yeux avant que j'aie eu le temps de voir (ou compter) ses accompagnants et m'annonce que les règles édictées avant notre venue dans le donjon restent valables, tout comme l'annonce après la première pipe. Avec ces derniers mots, je sens une queue sous latex qui force ma bouche, rejointe peu après par une autre venant remplacer le gode. Puis je suis rapidement abandonné et je les entends murmurer…
Deux mains me tirent hors du sling et me guident vers un matelas ou je suis mis à quatre pattes. Je sens le tout bouger et un des hommes se place sous moi et me pénètre; une queue rejoint mes lèvres puis une autre tente de rejoindre la première dans mon cul, qu'elle pénètre au bout de deux ou trois tentatives. Les hommes se relaient dans mes trous puis je sens que la bite qui tente et réussi à rentrer en deuxième dans mon cul est plus épaisse: il s'agit sûrement de mon Maître. Ils se retirent tous et j'ai le droit à une douche de sperme sur mon torse après m'être retourné. Un gode plus gros que les précédents est entré dans mon cul – et il entre sans trop forcer. Il est équipé de sangles qui l'empêchent de ressortir.
Mon maître me demande d'attendre qu'ils soient tous sortis pour enlever mon bandeau et me doucher puis de l'attendre dans le sling.
A son retour, je suis déjà somnolant vu la longue attente. Il m'annonce une dernière épreuve avant un peu de sommeil, détache le gode et le bouge dans mon cul endolori par ce qu'il a déjà subis ce soir. Il est rapidement remplacé par un plus épais imitant un poing qui rentre difficilement. Mon maître me donne un peu de poppers et mon cul accepte l'intromission avec légèrement moins de difficultés. Voyant cela, mon maître dit qu'il va changer ses plans: je vais dormir avec un gros plug dans le cul et mon premier fist sera pour demain matin. Aussitôt dit, aussitôt fait… Il précise que je dormirais entravé dans le donjon sur un petit tapis qui me servira de matelas. Il m'installe et me laisse seul une fois qu'il est certain que je ne peux pas me libérer seul.
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