Le blog de babaslebatard

La chienne au travail Se jour là j’étais sur mon lieu de travail. Un immeuble de quatre étages en construction en périphérie de la ville. Le chantier est occupé par plusieurs entreprises, des électriciens, des peintres, des carreleurs et des plombiers. Je suis chef d’équipe et je travaille avec mes collègues d’entreprise. Nous sommes trois plombiers pour l’avancement des travaux et il y a beaucoup d’ouvriers dispersés sur tout le site.
Il est quinze heures et dans l’escalier je croise mon voisin René. Par le biais de mon entreprise il s’était renseigné ou je travaillais pour pouvoir me joindre avec un prétexte quelconque. J’étais surpris de le voir et encore plus quand il m’a dit que Jacques attendait en bas avec son jeune disciple. Ils sont venus à trois pour une raison bien précise: me voir me goder ! Pour cela, René avait prit une bouteille de vin blanc et du gel. Je devais trouver un endroit tranquille et m’assoir dessus pendant qu’ils m’observeraient. L’idée me faisais bander, mais trouver un endroit tranquille n’était pas évidant !
Je les ai emmenés dans les combles en passant par une échelle que j’ai tiré une fois en haut. De se fait personne ne nous dérangerait. Le disciple de 19 ans était déjà venu chez moi, c’est lui qui a enduit de gel la bouteille pendant que j’enlevais mon pantalon et mon slip. Je bandais comme un taureau en attrapant la bouteille, j’ai posé le goulot sur le sol et je me suis assis dessus. Directement huit centimètres sans préliminaires en serrant les dents pour ne pas laisser passer le désir trahir nos présences. Autour le bruit des ouvriers nous parvenait. La bouteille bien enfoncée me dilaté le cul et de voir observer m’excité divinement. J’aime qu’on me regarde faire la chienne et en plus j’étais payé. Avec le cul rempli de la sorte je ne bandais plus. Par contre eux oui ! René et Jacques ont sortis leur bites du pantalon et sont venues me la mettre dans la bouche. Le jeune s’est agenouillé et a participé à l’action. On sucé en silence puis René a voulue savoir jusqu’à quel point je pouvais garder mon silence. Il m’a fait mettre à quatre pates et m’a tringlé le cul à toute vitesse en tenant la bouteille par le goulot et en me relevant la tête par les cheveux. Je cambrais mes reins en prenant un plaisir fou de cette situation. Jacques se faisait sucer par le gamin et je devais faire un gros effort pour ne pas gueuler.
René n’a pas pu s’empêcher de dire;
_ » Regarde moi cette pute. Elle en prends plein le cul pendant que les autres bossent. Se bâtard de merde donne des ordres à ses copains et s’est une vrai chienne. J’ai envie de les appeler pour qu’ils voient ça!!! Tu veux que je les appelle? Que j’appelle tout le monde? Connard, tu vas bouffer mon jus et ensuite tu lécheras ta merde sur la bouteille. »

Je n’avais nullement envie d’ameuter tout le monde, je suis une chienne d’accord, mais qu’avec certaines personnes. J’ai avalé le sperme de René en même temps que l’autre avalé celui de Jacques. J’ai sortie la bouteille enduite de merde et je l’ai léché comme on lèche une glace. Sous l’ordre de Jacques le gamin est venue m’aider et sa bouche pleine de merde il m’a roulé des pelles. Je me suis relevé et je lui ai mis ma queue dans la bouche pour me faire sucer. Bien sur cette idée ne venait pas de moi, mais de René. J’ai envoyé la purée dans sa petite gueule et avant d’avaler il m’a roulé un patin. Se petit mélange de sperme avec un relent de merde n’était pas désagréable. Une graine de chienne aussi celui la!
Avant de remettre l’échelle en place René m’a chopé les couilles en les serrant pendant que je m’habillais;
_ » Qu’est-ce qu’on dit bâtard? »
_ » Merci Maitre. »
_ » Tu veux que je dise à tes copains que t’es un mangeur de merde? »
_ » Non Maitre, je n’appartiens qu’à vous. »
_ » Alors fout toi à poil, on va te pisser dessus. La prochaine fois tu boufferas la merde de Mathieu avant de retourner au travail. T’as compris connard? »
_ » Oui Maitre je ferais se que vous voudrez. »
_ » T’as plutôt intérêt, sinon je préviens tes copains, mange merde. »

Pas besoins de menaces je le ferais sans problèmes. En attendant je me suis déshabillé entièrement pour me faire arroser copieusement par ses trois messieurs. J’ai avalé se que je pouvais et je me suis habillé sans me sécher. J’étais heureux d’être une chienne. Je les ai accompagnés jusqu’à leur voiture et avant de monter René m’a craché dessus:
_ » Bâtard ! »

C’était sa façon de me dire au revoir. Je les ai regarder partir, je me suis essuyé le visage et j’ai rejoins mes collègues de travail qui cherchaient après moi. Et si je les mettais au courant? Je pourrais me faire fister tout les jours…. 
Jeu 15 mar 2012 Aucun commentaire