Le blog de babaslebatard

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Parrain s’est levé tôt. Il est venu dans ma chambre. Je dors toujours à plat ventre. Je ne portais que le plug. Il a commencé par bouger doucement le plug, ce qui m’a réveillé à moitié, puis comme la veille au soir m’a enculé, mais plus lentement. Il a mis un oreiller sous mes fesses et m’a enculé un bon moment, ce qui était un réveil très agréable. Puis il a joui en moi. Il est resté dans mon cul jusqu’à ce qu’il débande. Il a remis aussitôt le plug. Il a approché sa bite de ma bouche. Je l’ai sucée, ou plutôt nettoyée, du sperme qu’il y avait dessus. Il m’a dit que j’étais une bonne chienne et m’a dit qu’il revenait dans quelques jours. Puis il est parti.

La journée au lycée fut longue. Difficile de rester plusieurs heures sur une chaise en bois sans bouger, le plug me faisait bander. Sensation très curieuse.

Le soir, je descends au Cours Dillon. Je n’ai qu’une envie: me faire remplir partout. Le plug m’a tenu excité toute la journée. Mon homme me voit arriver et se lève sans rien dire. Je le suis de loin. Il va vers les tables en bois. À côté, il y a un groupe de clochards qui picolent… Je me sens mal. Très mal. Si la veille, dans le «feu de l’action», un clodo pouvait me sodomiser et j’aurais même sucé une bite puante, là, je ne m’en sens pas capable. Un autre homme est à côté de «mon homme», un africain. Ils se tiennent tous les deux debout devant la table en bois. Je les rejoins. Mon homme me dit: «Tu es une chienne, et n’importe quelle bite doit pouvoir se vider en toi. Hier, tu étais prêt à ce qu’un clochard sale et puant vienne jouir en toi. Là, ils sont une dizaine. Thierry est là pour éviter que ça dégénère. Si tu es vraiment la chienne que tu dis, tu enlèves ton jean et tu te mets le cul à l’air contre cette table.»

Je ne saurai jamais pourquoi mais j’avais envie de ces bites, même sales et répugnantes dans mon cul. J’ai enlevé mon jeans sans quitter mes baskets. Mon homme m’a dit: «Tu ne mets plus de slip, c’est bien.» Je me suis allongé contre la table et avec mes mains, je tenais mes fesses bien écartées. Mon homme a vu le plug. Il a pris la base dans sa main et m’a dit: «Tu l’as trouvé où?» Je lui ai dit que c’était un cadeau de mon oncle. Mon homme a retiré le plug lentement. Il a dit que mon cul devenait une vraie chatte. Thierry a dit qu’il fallait la graisser et m’a enculé d’un coup jusqu’à la garde. J’ai hurlé. Mon homme m’a dit: «C’est bien, tout le monde te regarde, tu vas en avoir de la bite de clochard. Je lui dis: «Je suce et me fait enculer par n’importe qui, n’importe où, n’importe quand, je suis une chienne, ma bouche et mon cul ne sont que des trous à bites.» Il me caresse les cheveux et me dit: «Jouis, petite chienne, prends ton pied, jouis.» Thierry a joui rapidement dans mon cul. Il s’est retiré et a dit aux clochards: «Si quelqu’un veut se vider les burnes, c’est maintenant!»

Un qui était debout, une bouteille de bière à la main, a demandé ce qu’il pouvait faire. Mon homme lui a dit qu’il pouvait m’enculer. Il est parti vers ses copains et a hurlé: «Eh les mecs, on peut y péter le cul à la gonzesse!» Ils me prenaient pour une fille! Ils se sont levés et voulaient tous m’enculer en premier. Thierry a fixé un ordre. Mon homme m’a demandé d’écarter mes fesses avec mes mains. Le premier s’est approché de moi. Il puait. Il a positionné sa bite dans mon cul recouvert du sperme de Thierry, a gueulé à ses copains: «Putain les mecs, elle est chaude, elle mouille!» et m’a pénétré jusqu’à la garde. J’ai joui contre la table comme jamais. J’étais devenu la reine des chiennes. Il a joui très vite et s’est retiré en gueulant «Suivant!» Ils étaient huit. J’ai joui dès le premier et jusqu’au dernier, ma bite était dure comme du roc et me faisait mal. Lorsque le huitième s’est retiré, mon homme a renfoncé le plug en moi et m’a renfilé mon jeans.

Il a senti ma bite dure comme du bois. Il a dit à Thierry: «Ma petite chienne n’a pas eu sa dose.» Il m’a fait m’accroupir et m’a dit: «Suce moi.» J’ai ouvert son pantalon, pris sa bite dans ma bouche. Il a joui assez rapidement. Je lui ai montré ma bouche pleine. Il m’a dit: «N’avale pas, tu as droit à une double dose.» Thierry s’est approché et m’a donné sa bite à sucer. Sensation curieuse de sucer avec la bouche pleine de sperme. Thierry a joui. Ma bouche était pleine à exploser. Je leur ai montré ma bouche. Mon homme m’a dit: «Relève toi et n’avale pas. Suis-nous.» On s’est éloigné des clochards.

On a longé le bord de Garonne. Un mec nous regardait arriver en se branlant. Mon homme l’a regardé, m’a regardé et m’a dit: «Va montrer ta bouche au Monsieur, puis tu avales, et tu le suces. Tu reviens nous voir la bouche pleine.» Je me suis avancé vers cet inconnu. Je lui ai montré ma bouche, il a eu l’air surpris, j’ai avalé et me suis agenouillé devant lui. Il m’a demandé ce que je voulais. Je lui ai dit que j’étais un vide-couilles et que je voulais le sucer et qu’il se vide dans ma bouche. Il m’a dit que j’étais une salope. Je lui ai répondu que j’étais une chienne, que je suce et me fait enculer par n’importe qui, n’importe où, n’importe quand et que ma bouche et mon cul ne sont que des trous à bites. J’ai à peine eu le temps de prendre sa bite dans ma bouche pour recueillir son sperme. Je suis revenu vers mon homme et Thierry la bouche pleine. Mon homme m’a dit: «C’est bien, avale.» J’ai avalé. Thierry est parti en me disant qu’il faudrait que je revienne au foyer. Mon homme lui a dit que c’était prévu.

Mon homme m’a demandé si j’avais aimé me faire enculer par des clochards. Je lui ai dit que oui. Une bite est une bite, Peu importe l’homme. Il m’a demandé si j’étais prêt à recommencer et si j’étais capable d’y retourner pour les sucer. Je lui ai dit oui. Il m’a dit: «Je sais que tu en es capable, tu es une chienne.» Puis on a parlé de mon parrain. Il m’a dit que le plug était une super idée, ma chatte allait devenir toute souple. Il m’a fixé rendez-vous pour le lendemain soir chez lui. Il m’a dit qu’il aurait une surprise pour moi.

Je suis rentré chez moi. Autour du plug, le sperme des huit clochards suintait. J’étais fier de moi. J’étais la reine des chiennes.

À suivre...

Mar 26 jun 2012 Aucun commentaire