Le blog de babaslebatard

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Auguste passe à plusieurs reprises le produit pour cautériser la plaie et qui empêche que ça cicatrise. La douleur est atroce mais je me dis que c’est le prix à payer pour que mon cul devienne enfin une chatte toujours ouverte. Puis, il me passe une crème anesthésiante. La douleur se calme enfin. Auguste nettoie le sang qui a coulé sur mes cuisses et me dit que mon épilation n’est pas top. Mon homme me dit qu’à y être, il peut m’épiler. Avec l’anesthésiant, je ne sens rien.

Quand il a fini, il me dit que ma chatte est prête, que je peux l’utiliser mais sans trop forcer, sinon ça va continuer à me déchirer et ça ne sera plus une chatte mais un gouffre. Je demande à mon homme s’il veut utiliser ma chatte. Il me dit que non, qu’il faut attendre un peu. Auguste me dit qu’il va me mettre un écarteur. Le problème, c’est que mon cul va rester grand ouvert et je vais me chier dessus. Je lui dis que ce week-end, je pars pour les vacances chez mon Parrain et que justement, il doit me faire réaliser par un de ses amis un bouchon anal. Auguste me dit qu’il faut quand même trouver une solution jusque-là.

Auguste a alors une idée: "coller un bout de latex dans l’écarteur". Ça fera écarteur et bouchon. Sitôt dit, presque sitôt fait. Il faut que la colle sèche. Dans l’attente, mon homme garde mon cul écarté avec ses doigts. Auguste pose l’écarteur. Je ne sens rien. Je remets mon jeans. Auguste a visiblement une belle bosse dans son pantalon. Je lui demande si je peux le soulager. Auguste dit oui, mais pas là.

Il me fait descendre. On va sur les allées. Beaucoup de circulation. Auguste me demande me m’accroupir entre deux voitures en stationnement. Mon homme est derrière moi, debout. Auguste sort sa bite. Je le suce. De loin, je pense que l’on ne voit que deux hommes qui discutent. Ils parlent de moi. De la chienne que je suis, de mon cul qui est une chatte, de mes prestations au foyer avec les clochards. Ils cherchent le moyen de rendre mon cul public. Comme une pissotière mais prévu pour le sperme. Auguste dit qu’il a une idée. Je ne la connaîtrai pas mais ça l’a fait jouir. Mon homme me dit de ne pas avaler, de faire demi-tour et de le sucer. Double ration. Je m’exécute.

Auguste explique alors son idée à mon homme. Me mettre à disposition tout un après-midi dans un sex-shop. Mais il y a un hic. Je n’ai pas 18 ans. Auguste dit qu’il connaît un gérant de sex-shop qui ne sera pas trop regardant sur mon âge. L’idée consiste à me placer dans un espèce de tonneau. Mon cul sera accessible d’un côté et de l’autre, ma bouche. Personne ne pourra me voir. Tout le monde pourra en profiter. L’idée visiblement plaît: mon homme jouit. Je garde la bouche bien ouverte. Mon homme me dit d’avaler puis de bien nettoyer leurs bites. Je nettoie les deux. Je rentre alors chez moi.

Sur le chemin du retour, mon voisin est dans son jardin. Je lui dis bonsoir. Il me demande si j’ai deux minutes pour l’aider. Je lui dis que je suis toujours à sa disposition. Je le suis et on rentre chez lui. Sa femme sort acheter le pain. Il lui dit que je viens l’aider à continuer à descendre les cartons. Elle me remercie chaleureusement, dit à son mari d’en faire peu, sinon il va se fatiguer, et qu’elle passe chez moi prévenir que je serai retardé.

Elle sort. Mon voisin me dit que l’on a que cinq minutes. Je m’accroupis devant lui, ouvre sa braguette, sort sa bite déjà raide et le suce. Il me traite de tous les noms, de salope, de trou à bites, de vide-couilles et jouit très vite. Je le suce jusqu’à ce qu’il ramollisse. Je lui montre ma bouche pleine. Il me dit:

— Avale salope.

J’avale, reprend sa bite pour bien la nettoyer. Puis je la remets dans son pantalon, referme sa braguette et me relève. Il me passe la main sur le visage en disant que je suis vraiment un bon garçon. On descend un carton. Puis il me dit de rentrer en ajoutant qu’à cette vitesse, on en a pour des mois à tout ranger. Je pars en lui disant que je ne suis pas pressé.

Arrivée à la maison, maman me félicite d’être aussi gentil et serviable. Si elle savait… Elle me dit qu’elle a tout prévu pour aller chez parrain. Je voyagerai en train de nuit. En couchette. Il me tarde d’être à Paris. Parrain m’a promis trois jours et trois nuits non-stop à me faire baiser.

Mon cul a visiblement cicatrisé vite. Je peux passer le doigt ça ne fait pas mal. Je sens la déchirure. Le contact de mes doigts sur cette zone est agréable. Même en sortant de la douche, deux doigts entrent sans forcer. Mon cul est une chatte: "ouvert en permanence".

Vendredi enfin. Ce soir train et Paris. Sur le chemin de la gare, papa m’explique qu’il y a six couchettes par compartiment. Que je voyagerais avec cinq autres hommes. Ça, ça ne me gêne pas… Arrivé au train, trouver le wagon et le bon compartiment. Ma couchette est au milieu, côté droit. Je suis le premier installé. Papa veut quand même voir qui va voyager avec moi. Deux blacks arrivent. Ils ont les couchettes du dessus. Je reconnais l’un deux. Il était devant le foyer! Il est super poli avec papa puis il part fumer sur le quai avec son copain. Papa me dit que je n’aurai pas de problèmes, ils ont l’air très gentil… Papa descend du train après m’avoir souhaité un bon voyage.

Les deux blacks sont remontés. Le train démarre. Le contrôleur passe. Il nous dit qu’il n’y aura pas d’autre voyageur dans notre wagon. On peut verrouiller et passer une bonne nuit. Le black me regarde en disant que l’on va passer une très bonne nuit. Le contrôleur sort et verrouille le compartiment. Le black me demande ce que je suis.

— Un vide-couilles prêt pour tous tes désirs, je réponds.

Il me dit:

— À poil!

Je me déshabille et enlève discrètement l’écarteur. Il dit à son copain:

— Encule le direct à sec. C’est une salope de première.

Il se positionne derrière moi et m’encule d’un coup, jusqu’à la garde. Aucune douleur. C’est la première bite dans ma "chatte". Aucune douleur, mais putain que c’est bon! Mon enculeur est surpris. Il dit à son copain:

— Ce n’est pas un cul, c’est une chatte!

Il me lime lentement. L’autre sort sa bite et me la donne à sucer. On va ainsi passer la moitié de la nuit. Ils vont me prendre dans toutes les positions. Ils jouiront plusieurs fois dans ma bouche. Je suis chargé de mission pour le réveil: les sucer. Le mec du foyer se colle derrière moi pour dormir et m’encule. Il veut que sa bite reste au chaud.

Jeu 28 jun 2012 Aucun commentaire