Le blog de babaslebatard

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— Tu vas voir, mon joli, je vais bien te faire jouir!

Le frère de ma mère m’avait hébergé pour quelques jours dans le centre de Paris et il en avait profité pour me mettre dans son lit. Ce cochon m’avait attaché les mains derrière le dos pour mieux abuser de moi.

— Tu vas goûter aux délices de ma grosse bite, Rudy!

Il arrêta de parler pour prendre dans sa bouche le bout de mon téton droit.

Il m’avait plié vers l’avant, les jambes bien écartées, le cul offert.

Depuis plusieurs jours, j’avais senti que la tension montait et qu’il me préparait quelque chose. J’avais des pulsions sexuelles et le sexe des garçons m’intriguait. Celui de mon oncle - qu’il ne manquait jamais d’exhiber pour un oui et pour un non - m’intriguait plus encore. Il était là, dressé, long et dur qui frappait contre mes fesses.

— Tu vas adorer, fiston!

Il me retourna et m’obligea à me mettre à genoux.

— Allez, commence par la sucer...

Mes lèvres humides aspirèrent son gland et ma langue se mit à tourner timidement. C’était bizarre. Agréable! Je me suis mis à apprécier le goût de sa bite à un tel point que je n’aurais pu m'arrêter.

— Tu te débrouilles drôlement bien, Rudy! Un vrai suceur de bites! et tu bandes, mon garçon...

Il s’est penché et a cherché à attraper ma queue pour la branler du bout des doigts. J’ai eu envie de le branler à mon tour, faisant glisser mes doigts sur son gland énorme.

— Alors, tu as toujours peur?

J’agitais la tête négativement tout en lui suçant le jonc. Il gémissait et, pour me permettre de bien me positionner, ses jambes s'écartaient d'avantage.

— Avale-la bien! Il faut qu’elle cogne au fond de ta gorge, gamin!

— Je vais vomir!

— C’est juste une impression...

Son bassin ondulait et j’aspirais à nouveau l’engin. J’avais envie de lui faire plaisir... sans doute parce quelque chose me disait que mon plaisir sera là aussi.

— Il y a plein de trucs à faire entre mecs, tu sais!

Il me releva et me caressa le visage. C’était drôle, il devenait plus beau. Il ne me dégoûtait plus. Il avança sa bouche vers la mienne, l'explora de sa langue, me regarda et me caressa délicatement les fesses.

— Tu vas en prendre une grosse dans le cul... Tu aimeras à crever! Mais avant, je veux goûter à tous tes trésors...

Il s’agenouilla et embrassa mon gland, puis, il prit toute ma tige dans sa bouche.

— Alors, tu apprécies?

Je sentais mon gland buter contre le fond de sa gorge. Il me pompait tandis que ses doigts travaillaient ma rondelle. Je grimaçais plus de dégoût que de mal. Ses doigts rentraient et sortaient de mon cul sur un rythme saccadé.

— Empoigne-moi la tige et branle-la! m’ordonna-t-il en me détachant les mains.

Son sexe se mit à frétiller dans ma main Je trouvais la sensation extraordinaire. Je n’avais jamais touché d’engin si gros et bien chaud. Au bout d’un moment, il nous fit changer de position et il me coucha sur le dos. Il s’installa au-dessus de mon bassin. Il guida ensuite ma tige qui s'enfonça dans son cul. Il était complètement empalé sur mon sexe raide.

— Vas-y, neveu! Pistonne ton oncle!

C'est moi qui menait le mouvement, doucement puis plus vigoureusement. Il se pencha pour m'embrasser à nouveau.

— C’est bon, mon lapin! Tu es doué pour baiser ton oncle. Tu aimes ça?

J’ai agité la tête puis j’ai repris ses lèvres. Ça me rendait fou de l’embrasser tout en le limant. Il étouffe ses petits cris dans ma bouche.

— Allez, à ton tour de te faire bourrer! a-t-il dit en se relevant. Tu as peur?

— Un peu...

— Tu ne dois pas! Tu vas adorer ça!

Très vite, je me suis retrouvé avec sa grosse matraque encapotée au fond de mon trou bien lubrifié au gel. Il a été doux et compréhensif. Je devais l’exciter beaucoup car déjà je sentais le flot de son jus chaud qui inondait mon ventre et mes cuisses écartées. Je me suis laissé aller à mon tour et j’ai joui.

— Tu as trouvé ça comment?

— Bon! Très bon.

— Tu préfères prendre ou être pris?

— Ça c’est difficile à dire... J’ai adoré te pistonner mais lorsque tu m’a enculé je commençais à prendre du plaisir.

— On dirait que nous avons là un petit versatile!

Mon oncle caressa mes fesses dures et en apprécia un instant la rondeur et la douceur.

— Ça va beaucoup servir ces choses-là!

— J’espère bien, mon oncle!

— Tu baises aussi les filles?

— Avant, je ne faisais que ça...

L’oncle vicieux retrouvait ses forces et il enfila sans prévenir un doigt dans mon cul. J’ai sursauté puis je me suis mis à gémir le nez fourré dans l’oreiller. Je me suis rappeler que depuis très longtemps, lorsque je me masturbais dans mon lit en solitaire, je prenais du plaisir à m'assouplir la rondelle avec un doigt ou autre chose. J’ appréciais maintenant les allées et venues du doigt de mon oncle.

— J’espère qu’on ne va pas s’arrêter à un doigt!

— Deux alors?

— Pffff!

— Trois?

— Il y a des choses plus grosses, non!

— Plus longues aussi.

— C’est de ce genre de choses que j’ai envie.

La porte de la chambre s’est ouverte et mon père est apparu. J’ai réalisé très vite tout l'embarras de la situation et j’ai rougi violemment. Le monde s’écroulait sous le poids de mon corps. J’ai regardé mon père et j’ai attendu qu’il ouvre la bouche pour hurler sa colère. Il quitta mes yeux pour croiser ceux de son beau-frère. Lui aussi allait en prendre plein les oreilles.

— Je suis heureux de constater qu’il s’intéresse enfin à autre chose que la télé et les jeux vidéo!

Je devais avoir mal entendu!

— Papa, écoute... je t’assure que...

— Garde tes forces pour ce qui t’attend, mon fils! Avec Mike, nous avons décidé de faire de toi... un homme!

— Mais...

— Mike! Continue à le doigter, on dirait qu'il aime ça.

— Il adore, tout mon chéri! C’est tout le portrait de son père.

J’ai alors compris ce qui se passait, ce qui s’était tramé derrière mon dos. Mon oncle et mon père étaient amants et ils avaient voulu me faire découvrir leurs plaisirs inavoués. J’aurais pu me révolter et crier au scandale. Lorsque j’ai vu la queue paternelle jaillir du slip blanc, je n’ai eu qu’une idée... La sucer illico! Ce que j’ai fait!

— Pas si vite, mon fils! Suce doucement mon gros sucre d’orge. C’est grâce à lui que tu es là...

— Oui, pa!

— Allez, relève bien ton cul que ton oncle puisse t’enculer pendant que tu me pompe. Ça c’est le pied intégral...

Oncle Mike entra une deuxième fois en moi.

— Mmm, mon petit lapin, tu es si bon, tu es si étroit! gémit-il en progressant en moi.

— Oooooohhh, je jouis...! C’est trop bon... Vous êtes géniaux tous les deux! ai-je crié. Embrasse-moi, papa!

Quand il sentit s'apaiser mon corps, mon oncle en sortit sa bite et il éjacula sur mes fesses. Papa fit de même sur mon visage béat.

— Vingt minutes de repos! cria mon père. Et puis, on reprend...

Ce fut le début de ma nouvelle vie.

Ven 29 jun 2012 Aucun commentaire