Le blog de babaslebatard

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Pour des raisons que je ne connaîtrai qu'à mes dix-huit ans, dès mes dix ou onze ans, moi, le petit Vincent, je semblais gêner mes parents, surtout certains week-ends. Ils avaient trouvé le filon pour m'éloigner de la maison familiale : m'envoyer chez mon tonton Michel, le plus jeune frère de papa, qui habitait à dix minutes.

Heureusement, je m'entendais très bien avec tonton Michel, il m'aidait pour mes devoirs et mes leçons, il jouait beaucoup avec moi, trouvait toujours de quoi m'occuper, et les fins de semaine passaient même trop vite, au point que j'attendais avec impatience ma prochaine visite chez lui.

 

Chez tonton Michel, je pouvais me promener tout nu si je le voulais, et lui aussi se mettait régulièrement en tenue de peau. Tonton Michel me lavait tous les soirs sous la douche ou dans la baignoire, j'adorais ça, et quand un jour, il m'a dit que j'étais assez grand pour me laver tout seul, j'ai tellement pleuré qu'il m'a promis qu'il continuerait à me laver aussi longtemps que je le voudrais.

Quand il me lavait, c'était en entier bien sûr, et c'était la seule fois où il touchait mon zizi, pour vérifier si je décalottais bien, car j'avais quelques difficultés de ce côté-là et je n'avais pas envie de me faire opérer, il faisait ça très doucement, vu que ça me faisait mal, mais je savais que c'était pour mon bien. A part ça, jamais il ne jouait avec mon zizi, d'ailleurs, je ne l'aurais pas laissé faire.

J'aimais bien jouer à me battre avec tonton Michel, il avait toujours le dessus et je me retrouvais coincé sous lui, j'aimais bien. Un jour, je lui ai dit que je voulais jouer au prisonnier, il m'a ligoté les mains et les chevilles avec des bouts de tissu, j'ai adoré ça.

J'avais un lit dans la chambre d'amis, mais je dormais tout le temps avec tonton Michel, on était tout nu, et je me blottissais dans ses bras, je me sentais protégé de tout. Parfois le matin, mon zizi était tout dur et celui de tonton Michel aussi, il m'a dit que c'était tout à fait normal, que ça arrivait quand on devait faire très fort pipi, ou quand on tripotait trop son petit truc. Je n'ai jamais vu tonton Michel se tripoter, mais moi, je le faisais souvent et il m'a dit que je pouvais le faire quand j'en avais envie, même devant lui. La vie était toute simple, je pouvais être moi-même, je n'avais rien à cacher à tonton Michel, je pouvais lui parler de tout, et il répondait honnêtement à toutes mes questions.

Comme tout gamin, il m'arrivait de faire des bêtises, même si je connaissais le tarif : une fessée ; je devais me mettre nu si je ne l'étais pas, je devais me coucher, mon ventre sur sa cuisse gauche et mes jambes sur sa cuisse droite, mon zizi étant coincé entre ses jambes, puis la fessée commençait. Il n'y allait pas de main morte, tonton Michel, mais j'acceptais cette punition car elle était méritée et juste, je me mettais vite à crier, à pleurer, mais il continuait, et si je gigotais trop, il entravait mes poignets et mes chevilles d'une bande de tissu, et le décompte recommençait à zéro. Malgré la douleur sur la peau de mes fesses, mon zizi devenait tout dur à chaque fois, et après la fessée, tonton Michel me consolait dans ses bras, et c'étaient les seules fois où il caressait doucement mes fesses et mon ventre.

 

Quand j'ai eu treize ans, j'avais de plus en plus souvent envie de me tripoter, tonton Michel m'a expliqué comment faire aller mes doigts le long de ma tige, et j'ai ressenti quelque chose de tout nouveau pour moi, comme si une boule s'était formée dans mon ventre, c'était tellement fort que j'ai crié, faisant sourire tonton Michel. Il m'a expliqué comment les garçons étaient faits, que j'allais commencer mon adolescence, que j'aurais bientôt du sperme, des poils, et tout et tout, il m'a donné les noms justes pour chaque chose ayant trait au sexe. Quand je lui ai demandé comment c'était le sperme, et s'il voulait bien me le montrer, il a dit que je devais patienter un peu, mais qu'il me le montrerait quand je serais plus grand.

J'ai donc continué à me masturber pour avoir des orgasmes secs, c'est comme ça qu'il avait appelé ça, je le faisais parfois plusieurs fois par jour, ce qui irritait mon engin. Quelques mois plus tard, je lui ai dit que je le tremperais bien dans du beurre pour que ça glisse mieux, et là, il a eu une idée, il a commencé à se masturber pour la première fois devant moi, j'ai enfin pu voir du sperme, il l'a récupéré et en a enduit mon sexe, puis il m'a dit de me masturber, c'était nettement mieux qu'à mains nues, et c'est ce jour-là que j'ai eu pour la première fois du jus qui est sorti, pas beaucoup, bien sûr, mais j'étais devenu un homme sous les yeux de tonton Michel, je n'ai jamais été aussi fier de moi.

Il m'a pris dans ses bras, m'a caressé sur tout le corps, et un peu aussi sur ma tige. Le lendemain, il est venu avec un tout petit pot en plastique avec un couvercle, il a dit qu'on y mettrait chacun son sperme, et qu'on garderait ça précieusement en souvenir de ma première éjaculation, il s'est masturbé, a enduit ma tige de son sperme et en a déposé un peu dans le petit pot, et c'est lui qui m'a masturbé et y a déposé tout ce qui est sorti de moi, c'était encore mieux que quand je le faisais moi-même.

Au fur et à mesure des week-ends passés chez lui, j'ai très vite grandi, en taille, et entre les jambes. Quand j'ai eu l'idée de demander à mes parents si je pouvais aller tous les week-ends chez tonton Michel, j'avais aussi décidé d'aller chez les scouts le dimanche, ce qui était une bonne raison d'aller chaque semaine chez mon tonton, car il y avait une troupe scoute tout près de chez lui, et en fait, mes parents n'ont émis aucune objection, au contraire, cela semblait bien leur convenir. Je partais donc chaque vendredi soir chez lui et il me conduisait à l'école le lundi matin, j'avais des vêtements chez lui. Et bien sûr, à chaque congé ou période de congés, j'étais tout le temps chez lui.

Tonton Michel me caressait sur tout le corps de plus en plus souvent, et quand j'avais envie de me masturber, je lui demandais de sa bonne huile qu'il me donnait avec plaisir. Parfois je lui demandais de me masturber, et le jus que je donnais devenait impressionnant en quantité ; un jour, je lui ai demandé si je pouvais le toucher lui aussi, et sans vraiment attendre sa réponse, je l'ai d'abord touché timidement, puis j'ai commencé sur lui les mouvements qui me faisaient tellement de bien, et je l'ai fait éjaculer, tout heureux de ma prouesse, puis j'ai mis son sperme sur mon sexe et je lui ai demandé de me masturber, ce qu'il a fait. Depuis lors, on se l'est fait l'un à l'autre presque chaque fois, et de plus en plus en même temps, c'était dans le salon, dans la douche ou la baignoire, ou au lit avant de nous endormir.

J'avais de plus en plus envie de l'embrasser, j'ai commencé par des baisers près de la bouche, puis sur les commissures de ses lèvres, et quand nos lèvres se sont enfin collées les unes aux autres, j'ai sorti ma langue pour les lécher, il a ouvert la bouche et sa langue a caressé la mienne et j'ai exploré sa bouche, comme il a découvert la mienne. Ce soir-là, je me suis mis sur son ventre, et j'ai fait se toucher nos queues, nous avons joui tous les deux, puis j'ai continué à me frotter à lui, on avait du sperme partout.

Je continuais à aimer mes petits jeux du prisonnier, et je le suppliais de me masturber quand il m'avait attaché, je voyais qu'il bandait aussi fort que moi. Et un jour, au lieu de me masturber, il a pris ma queue dans sa bouche et m'a fait jouir par le mouvement de ses lèvres, et il a tout avalé, je n'ai jamais crié aussi fort de plaisir. Un autre jour, il a approché sa queue de ma bouche, j'ai hésité un peu pour entrouvrir mes lèvres, mais quand son gland a touché mes lèvres, j'ai sorti ma langue pour le lécher, puis j'ai avancé ma tête d'un coup, je voulais avoir toute sa queue en bouche, et je l'ai sucée comme un fou, j'allais enfin connaitre son goût, j'ai gardé son jus dans ma bouche pour l'avaler lentement petit à petit. Je lui ai quand même dit que je n'aimais pas trop sentir ses poils sur ma langue, il m'a dit que je pouvais l'attacher et le raser, ce que je ne me suis pas fait prier de faire, j'ai aussi rasé mon pubis et mes bourses, car ma pilosité commençait à devenir importante, puis je me suis mis au-dessus de lui, mais à l'envers, et on s'est sucés tous les deux en même temps, on a encore joui, c'était phénoménal. Je l'ai détaché puis on s'est endormis corps contre corps, bouche contre bouche.

Je lui ai demandé un jour s'il voudrait bien me donner la fessée, comme quand j'étais petit, ça ne l'a pas surpris, je crois même qu'il s'y attendait. J'ai dû choisir le nombre de claques par fesse, j'ai choisi vingt ! Il m'a attaché les poignets derrière le dos et les chevilles et m'a fait mettre en place, ma queue bandait déjà entre ses cuisses. A la quinzième claque, je l'ai supplié d'arrêter, mais il a continué, et c'est en pleurant et criant que j'ai joui par terre. Il m'a détaché, pris dans ses bras, et m'a caressé comme il le faisait il y a quatre ou cinq ans, j'ai encore éjaculé une fois sous ses doigts.

A quinze ans, chez les scouts, je m'étais fait quelques amis de "jeu", tonton Michel m'avait permis de les faire venir à la maison, ils venaient maximum à deux et dormaient dans la chambre d'amis. Ils ont très vite appris à rester nus et à jouer avec leur corps devant tonton Michel. Rapidement, on a "joué" à quatre, mais un jour, l'un d'entre eux a demandé à tonton Michel s'il m'avait déjà enculé, on a rougi tous les deux en répondant non, mais j'ai dit à tonton Michel que j'en avais envie, il m'a dit que lui aussi en avait envie, mais que pour la première fois, on le ferait que quand on ne serait rien qu'à deux.

En réalité, on ne l'a pas fait tout de suite, tonton Michel m'a expliqué qu'on devait se découvrir mutuellement à cet endroit-là, on a commencé par s'enfoncer mutuellement un doigt dans l'anus, puis on l'a refait quand on se suçait en 69, ça décuplait le plaisir de l'orgasme. Puis on est passés petit à petit à deux, puis trois doigts ; il m'a léché et m'a appris à le faire entre ses fesses aussi. Je m'impatientais de plus en plus et le suppliais d'entrer en moi. Il m'a fait coucher sur le dos, j'ai relevé mes jambes, il a approché sa bouche et a léché mon petit trou, je gémissais de plaisir, puis avec ses doigts, il a mis du lubrifiant sur et dans mon petit trou, en y allant avec trois doigts, puis il m'a regardé dans les yeux, tout mon visage l'invitait à me pénétrer, son gland s'est approché, je sentais que tonton Michel tremblait d'émotion tout autant que moi. Au premier contact, j'ai senti un bien-être total, je me suis relâché le plus possible et il a essayé de faire entrer son gland, ce ne fut pas aisé, il a dû s'y reprendre à plusieurs reprises, puis, soudainement, le gland est entré, mais j'avais eu mal, tonton Michel a caressé tout doucement ma queue puis il a pu s'enfoncer beaucoup plus facilement jusqu'au bout, et quand j'ai senti ses boules toucher mes fesses, j'ai crié un "youpi" de soulagement, mais surtout de joie, tonton Michel possédait son neveu, j'étais tout à lui. Quand il a vu que j'acceptais totalement son sexe en moi, il a commencé à me limer doucement, épiant chacune de mes réactions, chacun de mes gémissements, il m'a fait l'amour, les yeux dans les yeux, lentement, profondément, intensément. Pendant plus de trente minutes, nos corps ont joué la danse de l'amour, et j'ai joui sans qu'il ne me touche, il m'a suivi de quelques secondes, nos cris de plaisir ont envahi la chambre. On s'est embrassés, serrés et j'ai chuchoté à son oreille "tonton Michel, je t'aime, je veux toujours être avec toi", il m'a répondu qu'il attendait que je lui dise ça depuis si longtemps, qu'il m'avait toujours aimé depuis que j'étais petit.

C'est le lendemain que je lui ai rendu la pareille, j'ai pu entrer en lui très facilement ; pendant près de trois quarts d'heure, ma queue a exploré ses muqueuses intimes, je voulais qu'il jouisse avant moi, et j'y suis arrivé, et quand je me suis vidé en lui, j'ai senti un bonheur à nul autre pareil. J'ai plongé ma bouche vers son ventre, et lui ai léché tout son sperme, avant qu'il ne me nettoie la queue avec sa langue. Nous avons décidé que le lendemain, nous éjaculerions dans le petit pot de ma première éjaculation, comme pour nous jurer fidélité l'un à l'autre. On l'a donc sorti du congélateur et il est resté toute la nuit et une partie de la journée suivante au milieu de la table de la cuisine. Il a éjaculé de ma main et moi de la sienne, et le petit pot a été rempli. Nous nous sommes embrassés et serrés pendant plus de deux heures, nous disant notre amour. C'est de ce jour que "tonton Michel" est devenu "Michel", et moi, je n'étais plus son petit neveu mais son amoureux Vincent.

A ma demande, Michel m'attachait de plus en plus souvent, puis il me fessait, me masturbait, me fourrait sa queue en bouche et s'y vidait, ou m'enculait, parfois sauvagement. Mes cris de douleur l'excitaient, et moi, je jouissais de lui être totalement soumis, d'offrir tout mon corps à ses caprices. De la fessée, on est passés au martinet, il me bâillonnait pour étouffer mes cris, d'autres fois, il me bandait les yeux, je ne pouvais pas savoir ce qu'il allait me faire.

Dans sa cave, il a fixé un anneau au plafond, et deux au sol, écartés de cinquante centimètres, il m'y attachait, bras en l'air, soit debout, soit à genoux, et il profitait de mon corps à sa guise, c'étaient des moments grandioses pour moi. Il attendait parfois des heures avant de me faire jouir jusqu'à ce que ma queue me fasse trop mal, puis il me détachait et on se faisait de longs et tendres câlins.

J'amenais de plus souvent des amis scouts à la maison, on était souvent à la cave, j'étais attaché devant eux, et Michel s'occupait de mon corps. Quand le scout était un peu dominant, Michel me laissait entre ses mains, et quand le scout était de nature plus soumise, Michel l'attachait aux mêmes anneaux face à moi, ou dos à dos. Je m'arrangeais pour qu'ils viennent à deux, un dominant et un soumis, et les deux dominants s'occupaient des deux soumis. Tout y passait : le rasage des sexes, le martinet jusqu'à ce que nous criions et pleurions, les gifles, les godes de plus en plus gros que Michel avait achetés, les cages de chasteté que nous devions porter pendant des heures et qui nous faisaient horriblement mal quand nous bandions, et Michel et mon copain scout ne se gênaient pas pour faire l'amour sous nos yeux.

Parfois, nous devions nous mettre à quatre pattes, avec un gode double dans le cul, tandis qu'ils nous faisaient les sucer jusqu'à éjaculation. Parfois aussi, on devait se coucher sur le dos, bouche ouverte, et ils nous couvraient et nous abreuvaient d'urine, puis, nous devions nous lécher tout le corps avec la langue. Quand parfois, l'un d'entre nous se refusait à obéir, Michel versait une goutte d'éther sur le gland, ce qui le faisait hurler de mal, mais calmait immédiatement ses velléités.

Quand nous étions enfin libérés, mes deux copains faisaient l'amour dans leur chambre, et Michel et moi dans la nôtre, ou alors les deux couples faisaient l'amour dans le salon.

J'essayais chaque fois de trouver d'autres grands scouts pour participer à nos jeux, on se retrouvait parfois à huit ou dix dans la cave, et les deux soumis étaient livrés aux frasques des dominants. Un jour, les chefs de la troupe ont eu vent de nos activités du samedi, et j'ai réussi à les faire venir. Ils avaient dix-huit et dix-neuf ans et étaient tous les deux de nature plutôt soumise, nous les avons attachés et les huit scouts présents sont devenus pour l'occasion tous dominants, je vous laisse imaginer que nous donnions libre cours à nos envies, nous avons dû les bâillonner et ils ont eu droit à l'éther, car ils ne voulaient pas nous obéir en tout. Pour le final, à huit, nous avons enculé et fait goûter notre sperme à nos chefs. Nous les avons détachés quand ils nous étaient entièrement soumis, puis nous les avons caressés, doigtés, branlés et sucés pour leur donner un maximum de plaisir. Ce sont eux qui ont passé la nuit dans la chambre d'amis, et Michel et moi les avons entendu s'aimer durant une partie de la nuit. Ils sont revenus souvent, même sachant qu'une dizaine d'autres scouts seraient présents, ils ont pu enculer leurs scouts aussi.

 

Michel et moi continuions à nous aimer de toutes les façons possibles, nous ne pouvions plus nous passer de la présence de l'autre, Michel continuait à me laver tous les jours, comme il me l'avait promis quelques années plus tôt, mais maintenant, on se lavait mutuellement, à mains nues, bien sûr. Nous pensions de plus en plus à pouvoir vivre en permanence ensemble, mais avions peur d'en parler à mes parents.

Quand j'ai eu dix-huit ans, mes parents ont voulu me parler de choses sérieuses. Ils m'ont avoué que, depuis toujours, ils allaient dans des clubs échangistes ou invitaient des amis à la maison. Et qu'en plus, ma grande sœur, depuis qu'elle avait eu dix-huit ans, participait à ces orgies. Ils m'ont demandé si, maintenant que j'étais majeur, je voulais y participer.

Je me suis plié en deux de rire, et je leur ai dit que ça ne m'intéressait pas du tout, et que j'avais trouvé chaussure à mon pied ; je leur ai raconté sans trop de détails l'amour qui nous unissait, tonton Michel et moi. Ils n'ont pas eu l'air étonnés, d'ailleurs c'eût été malvenu de leur part d'émettre la moindre critique sur mon homosexualité et sur Michel qui m'avait entouré de tout son amour depuis mon enfance, et m'avait accompagné sur les chemins de mon adolescence. Par contre, ils semblaient ennuyés que je ne veuille pas participer à leurs jeux sexuels, mais j'ai vu un large sourire apparaître sur leur visage quand j'ai annoncé que je voulais aller vivre avec tonton Michel.

Le lendemain, ils ont invité Michel pour dîner, et nous avons embarqué toutes mes affaires, ne laissant qu'un minimum dans ma chambre, pour les fois où Michel et moi viendrions dormir chez eux, ils ont promis qu'ils mettraient un grand lit pour nous deux.

 

J'ai aujourd'hui quarante ans et Michel dix de plus, nous parlons souvent de mes années d'enfance où il avait totalement respecté mon intimité, et d'adolescence où il avait accompagné ma découverte du plaisir, il me lave toujours, il me soumet à ses caprices pour notre plus grand plaisir, et nous faisons l'amour chaque jour, en alternant un jour sur deux, car les réserves s'épuisent plus vite qu'à quinze ans, mais on n'en a cure, on s'aime comme au premier jour.

FIN.

Sam 7 jui 2012 1 commentaire

T'as vraiment une famille formidable !

Allex26 - le 07/07/2012 à 19h30