Le blog de babaslebatard
Quand ce veuf, nouveau riche a engagé la nouvelle servante il a autorisé celle-ci à emménager avec son fils. Denis avait alors 15 ans et le maître de maison avait estimé qu’il pourrait être un compagnon d’étude et de jeu pour son fils qui venait lui d’avoir 16 ans. Le maître de maison n’appréciait pas trop les attitudes ‘nouveau riche’ de son fils et espérait secrètement que les origines modestes de Denis aurait un effet bénéfique sur son fils car même la sévérité avec laquelle il avait élevé Axel n’avait rien changé à sa mentalité de fils de riche.
Par contre, aux yeux de sa mère, la servante, Denis, son fils, avait beaucoup de chance ; ne vivrait-il pas dans une belle maison et dans une belle chambre car, monsieur Antoine avait décidé au grand dam de son fils, que Denis partagerait ses appartements comme il avait l’habitude de nommer les deux chambres et la salle de bain réservés pour son fils.
Axel ne discuta pas longtemps la décision de son père ; ce qui en fait était de très mauvaise augure……
Monsieur Antoine donna les instructions pour faire ajouter un lit dans la chambre d’Axel et Denis muni de son petit sac à dos et de sa petite valise – ses seuls bagages – prenait possession de sa nouvelle vie.
Dans les ‘appartements’, une pièce servait de chambre et l’autre pièce servait de salle d’étude, de salle de jeu mais aussi de salle à manger car, monsieur Antoine a toujours eu horreur d’avoir des enfants ou des ados à sa table.
— Mon cher Denis, ta présence m’irrite vraiment ; je ne comprends pas que mon père soit d’accord que tu fasses partie de ma vie, dit Axel. Pour moi, tu es un être inférieur et j’exige que dès le début de notre courte vie ensemble, tu m’appelles Maître et malgré les souhaits de monsieur mon père tu ne seras jamais mon égal, ni mon compagnon de jeu et surtout pas mon ami !
— Axel, ceci est totalement en contradiction avec les vœux de ton père.
Et Denis de se coucher sur son lit, les mains derrière la tête.
— Monsieur votre père me considère presque comme votre frère et…… .
Mais Denis n’a pas le temps de continuer qu’Axel qui est nettement plus costaud et sportif le vire du lit et il se retrouve au sol, le matelas sur lui. Axel, s’assoit dessus et dit :
— Tu n’as pas l’air de vouloir comprendre, mon grand nigaud.
Après une bonne dizaine de minutes, Axel se lève et lance
— tu as franchement intérêt à m’écouter en quittant la chambre.
Denis se contente de hausse les épaules, remet le matelas en place et se recouche sur son lit.
Quand Axel revient 15 minutes plus tard il a le sourire et pas 3 minutes après, on frappe à la porte ; c’est la servante….la mère de Denis.
— Excusez-moi monsieur Axel, pourrais-je parler à Denis en privé s’il vous plaît.
Il fait signe de la tête et Denis sort en compagnie de sa mère.
La mère et le fils s’éloigne un peu de la chambre et la mère sermonne son fiston.
— Denis, mon garçon, on est à peine une demi journée ici et je dois déjà entendre des remarques. Tu sais qu’il n’est pas facile de trouver un boulot de servante avec un fils à charge et ici, toi, tu as la chance de pouvoir vivre avec le fils du patron. C’est une occasion unique car monsieur Antoine t’a déjà inscrit au collège que son fils fréquente pour la rentrée de septembre. Tu as une chance unique ici. Te souviens-tu encore comment nous vivions précédemment ? As-tu envie que je perde ma place à cause de toi ? Non n’est-ce pas ! Alors je ne veux plus que tu fasses le difficile…
Denis semble étonné.
— Et que me reproche-t-il ce petit crétin ?
La mère gifle son fils en ajoutant :
— D’abord tu ne traites pas le fils de mon patron de cette façon. Ensuite, j’apprends que tu fais la fine bouche quant au choix de ton lit par exemple…
— Mais c’est un mensonge !
Et Denis d’encaisser une nouvelle gifle et sa mère ajoute :
— Je m’en moque et je t’ordonne de faire ce qu’on te demande, un point c’est tout. Tu as compris ?
— Oui, maman.
— D’autre part, ajoute-t-elle, avec mon accord bien sûr, monsieur Antoine te prendra en charge comme son propre fils en ce qui concerne la discipline et tes résultats scolaires et je te serai gré de suivre à la lettre le règlement intérieur que monsieur Antoine ou monsieur Axel te remettra.
Denis ne sait pas de quoi sa mère parle et sans rechigner, il regagne la chambre. Entretemps, Axel a vidé son sac et sa valise. Ses frusques traînent par terre et Axel, qui s’est emparé de son journal intime, commence à lire un extrait à haute voix.
Lundi 23 janvier 1988; j’ai douze ans aujourd’hui et je commence mon journal intime. Madame Ogez, la patronne de ma mère, m’a permis de manger avec le personnel et j’ai reçu une montre. Quand j’étais au lit vers 20 heures, j’ai joué avec mon zizi et à ma grande surprise, celui-ci est devenu dur et après pas mal de temps j’ai senti comme si mon estomac qui se tournait en moi et un liquide blanc est sorti de ma verge. J’avais chaud aux joues mais je me sentais très bien, heureux en fait.
— Ca c’est ta première branlette mon petit Denis !
31 mars 1989. Aujourd’hui, ma mère étant de service jusqu’à minuit, je suis resté tout l’après-midi habillé en servante. Je porte la robe de service de ma mère orné du petit tablier blanc. En-dessous de la robe, je suis à poil et je n’ai pas pu m’empêcher de me branler dans cette tenue et en pensant à René.
— Mais en plus il est pédé ! Je vais sûrement bien m’amuser avec toi, ma petite Denise, crie Axel.
1 juillet 1991. Ma mère a trouvé une nouvelle place. Je dois encore la suivre. J’en ai marre. Il paraît que son patron a des enfants. Ca ne peut pas être pire que ces 6 dernières années où je me suis retrouvé toujours entouré de vieilles tartes.
— Ici, ma petite Denise, pas de vieilles dames mais cela sera peut être pire tu sais.
Denis est furieux, il a envie de casser la gueule d’Axel mais il a promis à sa mère d’écraser et de subir. Aussi quand Axel referme son journal intime et qu’il prend la parole, Denis se tait et écoute :
— Je suppose que ta mère, ma servante, t’a parlé ?
— Oui.
— Je suppose que tu vas être raisonnable maintenant ?
Mais Denis ne répond pas ; il se contente de baisser la tête.
— Donc, à partir de maintenant, tu es ma servante personnelle. Ma petite Denise va s’occuper de tout pour moi, va faire tout ce que je demande : tu feras mon lit, tu mettras mon linge en place, tu m’apporteras boissons et nourriture. N’est-ce pas mon petit Denis ? Et bien plus encore, car comme un esclave, tu me serviras de souffre-douleur et de vide-couille ; et cela tu apprécieras mon petit Denis ; toi qui aime les garçons ! Et, quand tu ne seras pas assez obéissant à mon goût, j’irai voir ta mère. N’est-ce pas mon petit Denis. As-tu envie d’être giflé chaque jour par ta mère ? Non n’est-ce pas ?
— ...
— Et sache aussi que mon vieux ne vient jamais, au grand jamais dans nos apparts. Seule la bonne venait jusqu’à présent pour m’apporter mes repas et pour faire le ménage mais je vais convaincre mon vieux que nous allons – toi et moi - entretenir nous-mêmes nos chambres sous un prétexte quelconque et toi tu iras aux cuisines trois fois par jour pour aller chercher nos repas et tu nettoieras mes appartements privés. Mon paternel m’a aussi chargé de te dire que tu dois être dans son bureau avec moi chaque mercredi à 14 heures et chaque samedi matin à 8 heures. Je serai là aussi car ce sont les moments où le paternel règle ses comptes. Mais je prendrai le temps de t’expliquer ma petite servante. Mais revenons au temps présent. Comme il n’est que 15 heures et que le souper ne sera prêt que pour 19 heures, je dispose donc de 4 heures pour te mettre à ma main.
Axel s’approche de Denis qui était resté debout près de la porte. Tout en le regardant droit dans les yeux, il lui met sa main sur son paquet. Denis est surpris et essaye de se défendre mais déjà Axel menace d’aller se plaindre chez sa mère. Du coup, Denis lâche prise et cette fois, avec ses deux mains, Axel, lui défait sa braguette, passe sa main dans l’ouverture de son slip et prend sa bite molle en main, la serre fortement et se dirige vers la salle d’eau et Denis doit suivre évidemment. Axel sent bien que la bite de Denis ne reste pas indifférente au traitement. Et tout en gardant la bite en main, Axel demande à Denis d’enlever son pull, sa chemise, de déboutonner complètement sa culotte qui lui tombe sur les chevilles. Enfin Axel le lâche et l’oblige à ôter ses chaussures, ses chaussettes et enfin son caleçon. C’est un vrai caleçon classique blanc ; ce qui le fait sourire. Bien sûr, Denis a protesté quand il a dû enlever son caleçon mais à nouveau Axel l’a menacé et très gentiment Denis s’est retrouvé à poil devant son maître la queue raide à l’horizontale. Cela amusait fortement Axel qui frappait toutes les dix secondes sur la bite bandante pour la garder en forme.
— Sauf contre-ordre de ma part, tu resteras toujours à poil quand tu es ici ; c’est ta nouvelle tenue de servante, ma petite Denise.
Denis ne réagit pas. Alors, Axel, passe derrière lui et sans autre forme de procès frappe ses fesses à toute volée.
- Et bien tu ne réponds pas Denise ? Veux-tu une bonne correction ?
Et Denis de répondre :
— Je dois être tout nu quand je suis dans tes appartements.
Alors, Axel, l’attrape par le bras, le ramène dans la chambre s’assoit sur le lit et couche de force Denis sur ses genoux et une fois en place lui frappe les fesses très fortement et tout en frappant il lui rappelle que lui, Axel, est son Maître et qu’il veut entendre clairement ce mot maître dans la bouche de Denis.
Axel frappe tellement fort que Denis essaye de se protéger les fesses mais le fesseur l’en empêche et frappe maintenant de plus belle. Denis crie, hurle presque mais essaye de retenir ses larmes et ce n’est que lorsque enfin il a supplié 10 fois Axel, avec les mots, «pitié, maître, je vous en supplie maître» que la fessée s’arrête. Denis s’effondre en larme ; ses fesses font mal mais c’est surtout l’humiliation qui le vexe. Alors, Axel, veut le casser totalement, veut l’écraser. Il le pousse à terre et l’oblige à se mettre à genoux devant lui. Denis bande encore pas mal aussi Axel prend cette bite en main et commence à le branler. Denis tente bien mollement d’échapper à cette branlette forcée appliquée par son maître mais il se contente de pleurer encore plus et comme son excitation est très grande, il crache son nectar très rapidement et les deux premiers jets arrivent même sur les cuisses d’Axel qui ni une, ni deux, prend Denis par le cou et l’oblige à lécher son propre jus sur les cuisses d’Axel.
— Tu vois que j’ai été très gentil avec toi, n’est-ce pas ? J’aurais aussi pu t’obliger à te branler devant moi ; mais non, je t’ai fait jouir de mes mains. Avoue que tu es en compte avec moi maintenant.
— Oui, Maître, réponds Denis.
— Alors à toi maintenant.
Et Axel de se diriger vers son lit, d’obliger Denis de le dévêtir complètement, de se mettre à genoux entre ses jambes sur le lit et de le sucer longuement tout en douceur. La bite d’Axel était déjà dure avant que Denis le déshabille mais comme il s’est déjà fait plaisir 3 ou 4 fois aujourd’hui et la dernière fois juste avant l’arrivée de Denis dans sa vie, son plaisir est complet et de longue durée et quand il sent qu’il arrive au point de non retour, il bloque la tête de Denis sur sa queue et envoie tout son jus dans la bouche de son esclave. Il doit y avoir pas mal de foutre car Denis s’étrangle presque mais finit par tout avaler.
— Tu aimes ça, hé petit salaud, on le voit parce que cela te fait bander, dit Axel.
— Oui, Maître, répond Denis en baissant la tête.
Axel tenait absolument à humilier Denis au maximum ; c’est vrai qu’il avait déjà pensé à demander à son père d’avoir une sorte de majordome personnel mais maintenant qu’il avait un jeune esclave à sa disposition et cette présence qui l’irritait hier encore le faisait quasi bander en permanence maintenant. Et l’imagination ne lui manquait pas. Outre le fait d’obliger Denis à courir tout nu dans ses apparts, il lui avait imposé d’aller chercher leurs repas en cuisine chez sa mère vêtu uniquement d’un caleçon et lorsqu’ils sortaient Denis devait obligatoirement porter le boxer, les chaussettes que lui Axel portait la veille. Cela le faisait bander terriblement ! Il avait déjà emmené Denis dans son club de tennis très sélect et l’avait ouvertement présenté comme son ‘boy’ personnel et sous forme de boutade il avait lancé :
— Dommage il n’est pas noir mais c’est une vraie petite salope.
Il utilisait Denis comme ramasseur de balle et l’obligeait à courir pieds nus et torse nu sur le court. Et, dans les vestiaires, en présence de ses copains, il l’obligeait à se foutre à poil et à se mettre à genoux en attendant que son maître se lave. C’est dans les vestiaires également en présence de son meilleur copain Yves, qu’il a obligé Denis à boire sa pisse. Il venait de se laver et comme il avait un besoin pressant à satisfaire et surtout pour épater son copain il s’est mis devant Denis qui se trouvait à genoux, lui a ordonné d’ouvrir la bouche et très calmement il lui a pissé dans la bouche. Yves était surpris mais aussi excité car il n’a pas pu dissimuler sa queue bandante et sans gêne aucune il s’est mis à se branler devant Axel et Denis, l’esclave.
Denis, n’a pas du tout bronché. Il a subi en silence. Il était totalement humilié mais il ne voulait que sa mère doive chercher une autre place de gouvernante ou de servante à cause de lui. Il en voulait à mort à ce petit con d’Axel. Bien sûr, devant ses copains Axel n’abusait pas sexuellement de Denis ; non, il se contentait de le fesser ou de l’humilier de l’une ou l’autre façon. Axel ne voulait pas du tout passer pour un pédé aux yeux de ses copains mais se faire sucer ou enculer était bien plus excitant que de se branler tout seul ou en présence d’un autre garçon.