Le blog de babaslebatard
Le couple d’ami qui m’entretenait aussi bien côté cul que côté bouche proposa à mon oncle de m’envoyer faire un stage au couvent des sœurs qui se trouvait pas très loin. Ils connaissaient le directeur du couvent qui leur avait demandé à me connaître. Mon oncle se dit que c’était là un moyen de gagner un peu d’argent. Il accepta.
Je fus conduis au couvent où m’attendait le père supérieur et la mère supérieure. Ils ont demandé aux amis si je savais ce que j’allais faire, ils répondirent non. Je ne pouvais entrer sans passer une visite médicale poussée! La mère supérieure m’emmena dans le cabinet et me fit déshabiller. Une fois à poil, elle s’aperçut que j’avais un gros gode dans les fesses qu’elle retira sans ménagement puis elle demanda:
— Il est profond?
— Très! répondis le copain.
Elle me fit allonger sur une table génécologique avec les jambes bien relevées puis elle relève sa bure et vient s’asseoir sur ma bouche.
— Voyons comment il suce!
J’avais ses poils de chatte qui rentraient dans ma bouche et elle mouillait comme une salope. Pendant ce temps, le copain lui en profita pour m’enculer à fond. C’était super! La femme suçait le cul de son mari quand arriva le père supérieur qui en profita pour enculer la femme. Tout le monde était rempli! Après cet intermède, je découvris la queue du père qui était énorme, un vrai cheval! Après avoir enculé la femme, il vint m’enculer aussi et la soeur se faisait baiser par la femme. L’examen fut concluant, ils veulent me garder une semaine.
Le soir, je fus présenté à l’assemblée, habillée d’une bure trouée pour laisser passer ma queue, mon cul. Je dus parcourir la salle pour me montrer et me faire monter au passage car les moines étaient tous noirs et membrés comme des ânes. En un rien de temps, je fus remplie de sperme autant dans la bouche que dans le cul. Après avoir satisfait tout le monde, 23 quand même, je fus attaché à quatre pattes au milieu de la pièce et un moine amena deux gros chiens que je dus d’abord sucer et puis me faire monter. Leurs queues étaient très raides mais elles entraient facilement; avec ce que j’avais pris dans le cul, ça glissait bien! Je sentais le chien et ils m’ont demandé d’aboyer comme une chienne. Je pris un peu de repos tout en continuant de recevoir du sperme dans ma bouche.
Puis, en fin de soirée, cela a débordé. Ils voulaient m’enculer à deux, à trois, enfin tous! Un des moines qui devait faire au moins 2m se mit sur le dos et je dus sucer son manche de pioche énorme. Il était très raide, je me suis empalé dessus, il m’a défoncé à fond puis il m’a penché en avant pour que je suce un moine puis je sentis une queue énorme aussi s’appuyer sur mon cul. La place était prise mais il a voulu entrer aussi et petit à petit, mon cul s’est ouvert encore plus. Pour finir, j’étais enculé par des moines avec des matraques énormes. Ils ont déchargé un flot de spermes; je n’en pouvais plus.
Après un temps de répit, ils ont inspecté mon cul et m'ont emmenée à l’écurie où se trouvait un cheval. Ils m’ont fait sucer le cheval qui m’a rempli de sperme tellement il en avait puis avec un sac sur le dos, ils m’ont installé sous le cheval et ils ont branlé la bête. Sa queue énorme reprit de la vigueur et je la sentais battre sur mon cul. Un moine présenta la queue au bord de mon trou et le cheval m’encula d’un coup. J’ai cru que j’étais fendu en deux avec trente centimètres de chair bien chaude dans mon cul. Il allait et venait puis il s’enfonça plus et je reçus une décharge de sperme énorme. Puis il se retira, emmenant avec lui une grosse quantité de jute. J’étais mort, les moines me ramenèrent dans une chambre et ils m’ont enfoncé une bouteille de coca d’un litre dans le cul et je dus dormir avec. J’étais trop fatigué pour protester puis j’aime bien être défoncé.
Les autres jours de la semaine, ils m’ont baisé sans arrêt, même avec les chiens. Le chien m’enculait en même temps que son maître. Mon cul était très ouvert car cela ce terminait toujours de la même façon.
À la fin de semaine, ils m’ont attaché sur une croix et ils se sont vidés les couilles les uns après les autres puis ils m’ont fouetté avec un fouet spécial qui est fait da lanière très longues et larges. Le moine était très adroit car il m’a fouetté que dans la raie qu’ils avaient pris soin d’écarter au maximum. Je sentais les lèvres de mon cul se gonfler et quand il s’arrêtait, un moine m’enculait. Quel délice! Je venais de découvrir qu’un coup de fouet dans la raie du cul provoquait la jouissance...