Le blog de babaslebatard
Voici comment s’est passé ma première fois avec un mec. J'avais 20 ans.
Mon nom est Sam, je suis à moitié algérien et français. À l’époque, je vivais chez ma mère et pour les grandes vacances, je décidai de monter deux mois chez mon cousin Joris (25 ans, sportif, boxe et muscul, 1m81, 75 kg, brun et super bogoss).
Fin juin, j'arrivais chez lui avec une simple valise. Il me laissa le canapé comme lit. Après quelques jours de recherche de taff, je ne trouvais rien sauf un simple boulot chez McDo, le rêve quoi, ça ne gagnait pas grand chose. Le soir, je lui ai raconté ma journée, mais il en avait rien à faire, lui ce qu'il voulait, c'était être prêt pour son combat de boxe ce weekend. Il était juste en survêt et torse nu en train de faire des pompes, et moi j'étais en train de le matter grave. Pourtant à l’époque, je n'avais jamais couché avec un mec.
Le soir du combat, il rentra complètement défoncé. Il avait bien sûr gagné et il avait bien fêté ça avec ses potes. Moi j’étais en train de dormir, je pigeais rien de ce qu il me disait.
— Ça va Joris? Ton combat s’est bien passé?
— Je l'ai défoncé grave, ce bâtard!
Il avait le visage quand même un peut gonflé, il avait dû s'en manger plus d’une bonne quand même.
— Et après avec les pote, on est allé en boîte fêter ça, et il y avait une putain de meuf! Trop bonne, avec un bon p’tit cul!!!
Il s’avança vers moi, me regarda le cul.
— Limite comme le tien Sami, et il me plota le cul.
— Oui mais je suis pas une meuf Joris! Bon allez, bonne nuit cousin! Il est super tard et je suis cassé et en plus je taff moi demain!
— Tu as rien foutu de la journée et tu es cassé!!! Tu pourrais au moins t’occuper de moi un peu! Putain!
Il puait l’alcool, je l'aidais à lui retirer ses basket, son jean. J'étais assez gêné car il ne portait pas de slip et je voyais sa queue. Elle ne bandait même pas mais elle était super grosse avec de bonnes couilles mais il y avait pas un poil. Joris me regarda:
— Allez cousin, suce moi, j'ai vu que tu arrêtais pas de mâter la dernière fois! Allez pompe moi, putain je suis trop chaud!
— Oui c’est ça Joris, bonne nuit!
En vérité, j'en avais grave envie, mais bon, je me cassais asse vite car je commençais à avoir ma queue raide dans mon boxer.
Deux minutes plus tard, je n'entendais plus rien. Il devait être en train de dormir. Moi je bandais toujours. J'ai commencé à me branler et quelques minutes plus tard, j'avais joui et je m'endormais en pensant à mon cousin et sa queue.
Quand d'un coup on m'arracha les cheveux et je me pris une baffe dans la gueule, je tombai au sol.
— Tu es vraiment une pute comme toutes les filles. Tu mates et tu fais rien!
Et là, je me pris un coup de pied dans les côtes. Il me prit la tête, me mit un bon coup de poingt dans la geule. Je tombais sur le canapé complètement sonné.
— Comme j'ai pas sauté cette pute en boîte, c’est toi que je vais sauter. Tu as le même cul et tu dois être encore plus serré qu’elle du cul.
Je pigeais vraiment rien de ce qu'il pouvait se passer. Je sentis mon caleçon partir à une vitesse et il me le mit direct dans la bouche.
— Et ne gueule pas trop fort, tu vas voir je suis sûr que tu vas l'aimé, toute les filles l'aiment ma queue. Je vois pas pourquoi pas toi.
J’avais le corps posé sur le canapé, le cul et les jambes qui dépassaient, il me cracha sur mon cul.
— En plus tu es comme les filles, tu n'as pas de poil, je kiff trop ça!
Il me cracha sur ma rondelle, il y mit un doigt et là déjà j'avais mal. Il avait l'air d'avoir une putain de grosse queue, j'ai su plus tard qu'elle faisait 22 cm et super épaisse. Il commença à me travailler le cul avec un deuxième puis un troisième.
— Ça y est, tu es enfin prête salope, tu vas aimer j'en suis sûr, et même tu en redemanderas encore plus.
Il approcha son gland de ma rondelle et poussa d'un coup sec jusqu'au bout. Je me mis à gueuler comme si j'avais reçu un coup de poignard, même mon caleçon n'arrêtait pas le son de ma voix. Il me prit la tête et me la plaqua face contre le canapé pour étouffer les cris, mon cul était déchiré en deux. Il me mit un coup de poingt dans le côté, ce qui me bloqua la respiration.
— Putain tu vas aimé être ma pute je te jure, tu vas être accro de ma queue!
Et il commença à me ramoner le cul. J'avais tellement mal que je n'entendais limite plus tout les insultes qu'il était en train de me dire. Il était en train de me pistonner de plus en plus fort, je sentais ses couilles me taper le cul. Il me claquait les fesses avec force que j’en oubliais le mal que me faisait mon cul.
Il se retira d’un coup, il me prit par les cheveux et me fouta debout contre le mur. Je chialais comme un môme, lui disait plutôt comme une bonne meuf qui vient de se faire dépuceler. Il me retira mon caleçon de la bouche, m'écarta les jambes et pointa sa queue contre mon cul encore en feu. Il rentra encore une fois d'un coup, mais cela me fit moins mal que la première fois.
— Allez salope! Bouge ton cul sur ma queue!
Il me claqua encore une fois le cul. Les mains posées contre le mur, je commençais à bouger mon cul d’avant en arrière, lui posait les siennes sur les mienne et parlait comme une pute dans le creux de l’oreille.
— Tu aimes ça hein? Dis le moi.
Je n'arrivais pas à sortir un seul mot mais je començais à trouver un certain plaisir.
— Allez Sam, dis le moi, tu aimes te faire mettre?
En réponse, j'accélérais le mouvement de mon cul sur sont pieu.
— Oui c’est ça salope, bouge bien ton cul. Ça prouve que tu aimes ça. Allez plus vite!
Je commençais à gémir de plus en plus, je sentais que j'allais jouir sans même me toucher. Joris lui ne parlait plus mais il me pilonnait de plus en vite et de plus en plus fort quand il se raidit et m’écrasa la gueule contre le mur et là, je sentis une vague de chaleur dans mon cul. Moi les mains toujours bloquées par les siennes, je me mis à jouir et déchargeais tout contre le mur et poussai un râle en même temps.
Joris se retira de mon cul sans rien dire et repartit dans sa chambre et ferma la porte. Moi, les jambes en coton, je glissais contre le mur. Je me mis à pleurer. J’avais le cul en feu et qui coulait du sperme de mon cousin et j'avais la joue posée contre le mur dans mon sperme.
Je réussis à peine à dormir cette nuit là et le lendemain matin, je partis direct bosser au McDo. Mais je me disais: Putain, comment ça va se passer ce soir quand je vais rentrer du taffe?
Vaches : j'ai adoré ton histoire !
Ça m'a rappelé la première fois que j'ai baisé avec un de mes cousins aussi…
+ Exactement, je me suis fait baiser ! en fait.
OK : pas aussi violemment que dans ton histoire…
J'avais 15 ans. Il devait en avoir 17.
Il savait que j'étais plutôt bi voire gay… On avait déjà discuté de ça ensemble.
Bref : un soir bien arrosé tous les 2. (À la bière en veux-tu en voilà…)
De fil en aiguille… on s'est palpé le pacson…
Je sentais nettement la différence d'âge. Il était nettement + formé que moi. Obligé !
Même si jamais eu à rougir de mon entrejambe ! mdr
de fil en aiguille… Moi je lui cachais pas que j'prenais du plaisir. Lui reste réservé en mode « grand cousin « je suis l'aîné » !
Style : on s'amuse et c'est sous contrôle…
Puis : il me dit : avoue que t'a envie d'y goûter, à mon zeb !
moi, malgré son ton un peu sévère… J'ai dit ben pourquoi pas ! L'occasion était trop belle… Un peu comme le paquet que j'avais palpé sous mes doigts… mdr
Et là direct : il s'est dessappé… en même temps c'était vite fait. On était torse nu en bermuda… lol
et il m'a excité avec le bout de sa queue sur les lèvres… J'en pouvais plus : je me suis emparé de son pieu bien raide et je l'ai fourré direct en bouche…
Et là, le truc classique : il m'a chopé la tête… voyant que j'étais pas du tout contre (au contraire !).
Il a commencé à me limer la bouche puis la gorge… Je bavais de partout… En râlant de plaisir…
Bref : c'était hyper jouissif… Je saisissais ses fesses charnues… Je l'obligeais à s'enfoncer en moi… Et rapidement : il a déchargé au fond de ma gorge… Tout en me faisant sentir que c'était lui le maître du jeu ! Je surkiffais la situation. (Je me rappelle encore comment je mouillais dans mon boxer…)
Juste le truc que j'imaginais pas : il m'a relevé aussitôt : et il m'a roulé une pelle de ouf… On a échangé son jus tous les deux dans un long baiser… Ça je pensais pas qu'il aurait fait…
Détail de ouf : son jus, mélangé à nos 2 salives… Dégoulinait partout sur le menton… C'était hyper hyper excitant !
Souvenir souvenir.
On a recommencé à se tripoter par la suite… Et puis de fil en aiguille : il m'a souvent testé la rondelle !
C'est un peu comme tous les soirs saufs que tout en douceur… Au final.
Maintenant, on en parle des fois vite fait en mode souvenir. Lui il est marié…
Aujourd'hui, j'ai 24 ans. J'ai cassé il y a peu avec ma copine. Et maintenant je me fais prendre par tout un tas de mecs… J'avoue… Mais ça été lui ma première fois. ;-)