Le blog de babaslebatard

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Je rentrais chez moi tant bien que mal, le trou explosé, des crachats sur la gueule que j'essuyais avec mon tee shirt et du sperme dégoulinant de mon cul, cela me faisait une auréole sur mon jeans.

Il était tard quand je rentrais chez moi, je n'habitais pas tout près de là où je fus sodomisé et la route me parut interminable. Soudain, une voiture s'arrêta à ma hauteur et je reconnus au volant un des blacks qui avait abusé de moi dans la cave. Il ouvrit sa vitre et me demanda où j'allais. Il avait sans doute attendu que je parte pour me suivre et voulait sans doute recommencer une autre partie de baise…

Ce mec me demanda: « Tu vas où mec ? Je peux te conduire chez toi si tu veux, on connait ton adresse de toute façon, j'ai encore envie de ton cul de blanc bec... » Quoi dire à une telle demande, rien, je me laissais faire par mes hormones et mon désir d'être une chienne à blacks, je montais donc en voiture et on démarra. Ce mec avait été amené par les deux blacks qui m'avait enfermé dans la cave. Il était grand, fortement charpenté par de la musculation et bien monté avec une bite de 23cm. Dans la cave, il m'avait d'abord pissé dessus et envoyé sa purée dans ma bouche avant de me défoncer le cul dans toutes les positions. Ce mec savait y faire pour faire couiner une pute. Il me regarda monter en voiture et compris mon désir d'être une pute à blacks. Il me regarda d'un air entendu, et mit aussitôt sa main sur ma cuisse et mon cul. Je voyais la bosse se former sous son jeans, et il me prit la tête pour me faire courber sur cette bosse afin de humer la bonne odeur de foutre et de pisse que je lui avait fait sortir quelques minutes plus tôt. Il voulait continuer le plaisir seul avec moi encore quelques temps. Il me dit : « Tu sais mec, tu es une bonne pute, j'ai envie de te faire le trottoir mec et de me servir de toi pour mes besoins personnels de sexe. Je recherche un cul blanc comme le tien pour mes potes aussi et servir de vide-couilles. » Il me dit cela coincé sur sa bosse par sa main, et je pus répondre à son offre et me contentant de grogner, il me dit: « De toute façon tu n'as pas le choix, mec ! »

Et il me laissa respirer un peu, je le regardais et lui demandais : « Mais je vais pas être une pute à blacks toute ma vie, j'ai mes études à faire… » Je commençais à avoir peur... Il me regarda alors et me prit la gorge avec sa main et me dit : « T'es à nous maintenant mec, tu n'as plus rien à dire, on va faire de toi ce que l'on veut, mais t'inquiète pas, tu continueras à faire ta vie de ton côté mais côté cul, tu es notre pute et à notre merci. Quand on aura besoin de toi pour nous vider les couilles, tu seras obligé de venir nous les vider, c'est clair, petite pute ? » C'était très clair pour moi maintenant, j'allais servir de vide-couilles à des blacks superbement montés et cela me faisait bander, il le vit et me dit : « Tu vois, tu bandes déjà salope, tu aimes l'idée d'être offert à des mâles et d'être troué et enfoutré... Salope... »

On s'arrêta devant chez moi, il coupa le contact et on descendit. On monta les deux étages pour arriver devant le porte de mon studio, il me mit la main au cul de suite devant la porte et me fit mettre à genoux devant lui avant d'ouvrir. Il sortit alors sa queue et me la mit en bouche. Je sentais son sexe grossir dans ma bouche et le fait d'être sur le palier et qu'un voisin pouvait me voir ainsi à la merci d'un beau black me faisait bander. Il me prit les clés de mes mains, ouvrit la porte et me fit entrer dans mon appart. J'allumais la lumière et vit mieux mon black et maître maintenant… Il avait environ la trentaine, 1m85 pour 90kg environ de muscles, bien charpenté et monté 23cm bien dure et large.

Il s'avança de moi, m'enleva mon blouson, mon tee shirt taché et mon jeans. En boxer, il me fit mettre à genoux devant sa queue et me la rentra de nouveau dans la bouche, me l'enfonçant dans la gorge. J'étouffais, mais voulant faire plaisir à mon nouveau maître, je me mis à saliver dessus pour le faire glisser profondément dans ma gueule de lope et je m'attaquais au gland volumineux qui laisser couler une quantité impressionnante de mouille. Il était proche de l'éjaculation quand il me prit la tête de ses deux mains et m'enfonça son sexe à fond et se mit à décharger une coulée de foutre, avec laquelle je m'étouffais, recrachant une bonne partie, j'eus des hauts-le-coeur, mais repris aussitôt la queue en bouche pour avaler le reste de sa décharge. Six gros jets plus tard au fond du gosier, il me dit que j'étais à lui maintenant, que j'étais sa femelle et que quand il aurait besoin de moi, il m'appellerai à n'importe quelle heure et que je devrais obéir à ses ordres.

Il me dit son nom : il s'appelait Mohamed, et habitait la cité chaude de la ville où je faisais mes études. Il essuya son sexe sur mon visage, me cracha un dernier glaviot dans la bouche et je nettoyais sa queue avec. Il rangea sa bite dans son jeans, et me flatta la tête, en me disant avoir la chance de baiser une bonne pute qui avale tout et d'en faire une bonne chienne à blacks.

« Je te rappelle mec, très bientôt, j'ai des potes du Cameroun qui arrivent bientôt et ils voudront sans doute un peu de sexe pour se vider les couilles du voyage, tu seras bien docile avec eux… Je te rappelle, bâtard... »

 

Lun 6 aoû 2012 Aucun commentaire