Le blog de babaslebatard

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J'ai 34 ans, je fais 1m72, 85kg, musclé. Je revenais d'une troisième mi-temps, la nuit était tombée, une nuit d'août chaude et humide. L'autoroute était déserte à cette heure-ci. Il me restait encore une centaine de kilomètres à parcourir, j'étais fatigué et j'avais envie de pisser. Un panneau m'indiqua une aire de repos; je décidais de m'y arrêter.

L'aire de repos était vide, seul un poids lourd de déménagement était stationné. Je me dirigeais vers les chiottes pour me soulager; elles étaient vides. Devant l'urinoir, j'ouvris ma braguette à boutons, je défis ma ceinture et je me mis à pisser. La chaleur était étouffante, j'étais en sueur, l'odeur de pisse m'excitait.

Je me mis à me caresser; d'une main je me branlais doucement, de l'autre, je jouais avec mes tétons. J'étais parti dans mon plaisir, je ne faisais plus attention à rien, mon pantalon tomba sur mes chevilles.

— Hé les mecs! Vous avez vu cette salope qui se paluche.

Trois hommes se tenaient derrière moi, visiblement les déménageurs: 30-35 ans, 1m90, 95kg, musclés. Joe, Marc et Fred.

— Faut pas te gêner, tu veux qu'on aide? dit Fred.

Je voulais remonter mon pantalon mais...

— Tu vas pas t'arrêter! T'as pas joui, dit Fred.

— On va t'aider, dit Joe. Branle toi salope!

— Il est en sueur, faut le doucher, dit Marc.

Ils avaient tous les 3 sorti leur bites, énormes, j'en avais jamais vu aussi longue et grosse. Marc se mit à me pisser sur le cul, la pisse coulait le long de mes jambes et trempait mon pantalon et mon slip. Je voulus m'écarter mais...

— Ne bouge pas, t'as aucune chance; on est 3, tu vas être bien gentil, dit Fred.

Je me mis à transpirer encore plus, mais pas par la chaleur.

— Fous-toi à poil ou on te cogne, dit Fred.

Ils étaient 3 baraqués, je n'avais aucune chance effectivement. Je retirais mon tee-shirt, mon pantalon et mon slip humide de pisse. Je m'apprêtais à les ranger loin de l'urinoir...

— Non bâtard, tes fringues dans l'urinoir et toi à plat ventre dedans, dit Marc.

Fred et Joe se mirent à me pisser dessus de la tête aux pieds.

— Tourne toi, ouvre la bouche. Je suis sûr que t'as soif, dit Joe.

— Regardez! Il bande ce salaud, dit Marc.

Ils étaient déssapés tous les 3, leurs corps musclés ne me laissaient pas de marbre. J'étais trempé de pisse, j'avais le goût dans la bouche, l'odeur dans le nez, ça m'excitait. Marc se coucha sur le dos et me dit:

— Suce moi bâtard...

Je me jetai sur sa matraque de chair chaude et odorante. Comme j'étais à quatre patte, Fred se mit à me bouffer le cul et Joe à me sucer; j'étais aux anges. Marc mouillait abondamment, Fred me préparait le cul avec sa langue et 2 doigts.

— Son cul est large, on va pouvoir l'enculer à deux. Empale toi sur Marc, dit Fred.

Je me relevais et présentais ma rosette à la matraque de Marc; une douche chaleur envahit mon cul; j'étais empalé jusqu'à la garde, je ne pus m'empêcher de gémir de plaisir. Marc présenta à son tour son énorme bite et poussa.

— Haaaaaaaaaarrrrrrrr! Non pitié, c'est trop gros!

Je criais, la douleur était à la taille de leur bite, pourtant je ne voulais pas qu'ils se retirent.

— Hum... hum... hummmmm...

La douleur se transformait en plaisir intense, je gémissais sans pouvoir m'arrêter.

— Regarde cette salope, il prend son pied, il est en train de mouiller comme un malade! Ça me coule sur le ventre, dit Marc.

— C'est une chienne en chaleur, je vais chercher le matos et Roger! dit Joe.

Mer 26 sep 2012 Aucun commentaire