Le blog de babaslebatard

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C'était un samedi midi après le repas au réfectoire. Je devais être un des seuls à attendre mon père. J'errais dans les couloirs désertés du collège en essayant d'ailleurs de me rappeler s'il devait venir me chercher ou si je devais prendre le car. J'avais l'esprit particulièrement embrouillé: mauvaise semaine, mauvaises notes.

Je croisai soudainement le principal au détour d'un couloir. Ce dernier me regarda puis me demanda si tout allait bien, si j'avais bien travaillé. Je fondis instantanément en larmes. Un peu surpris, le principal me prit par l'épaule et, tentant sans succès de me consoler, m'emmena avec lui dans son bureau. Une fois arrivés, il reprit son questionnement qui devint plus insistant. Ce n'était pas normal de pleurer comme ça, j'avais dû faire une bêtise disait-il. Je ne sais ce qui me passa par la tête mais tout à coup, je lui dis que ça n'allait pas parce que j'étais pédé. Il y eut un blanc puis il vint s'asseoir à côté de moi.

Sans un mot il prit ma main et se mit à jouer avec mes doigts. Cela dura quelques instants, j'avais l'impression qu'il voulait vérifier si elle était mobile ou en parfait état de marche. Puis tout à coup, il la plaqua contre sa braguette. J'eus un mouvement de recul mais il me tenait si fermement le poignet qu'il m'était impossible de la retirer. Sous le tissu un peu rêche du pantalon de costume, je sentais une barre bien ferme. De sa main libre, il se débraguetta et fourra la mienne à l'intérieur. C'était chaud et je sentis un peu d'humidité sur son slip. C'était lui qui dirigeait la manœuvre.

Je malaxais à mon corps défendant sa bite qui ne demandait qu'à sortir. Il m'ordonna de ne pas bouger et retourna à son bureau d'où il sortit ce qu'il réservait - comme il le dit - aux élèves de mon genre. C'était une menotte qu'il fixa à un des montants métalliques de la banquette où nous étions. J'étais contraint par le lien à être assis. Il baissa son pantalon et, me prenant par les cheveux, me colla le visage sur son slip. Celui-ci était un peu petit et son gland dépassait. Je ne savais ce que je devais faire mais intuitivement, partagé entre la peur et l'excitation, je me mis à le lécher. Il enfourna alors son sexe dans ma bouche.

Nous étions tellement pris par l'action que nous n'avions pas vu Monsieur X, mon prof de sport, arriver. Le principal sursauta mais fut vite rassuré: "Ah! Ce n'est que toi... Regarde ce beau morceau qu'on a à disposition. Tu peux en faire ce que tu veux." Monsieur X était plus jeune et avait 25-30 ans, il baissa son pantalon de survêtement. Je distinguais sa bite encore molle restée dans son sous-vêtement hyper moulant et quasi-transparent. Il commença par finir de me déshabiller et me suça quelques instants. Je ne mis que quelques minutes à bander bien dur. Il ôta alors son sous-vêtement, découvrant son sexe complètement rasé. Il commença par se doigter puis me suçant les doigts, les fit pénétrer dans son cul. J'avais toujours la bite du principal dans la bouche mais je n'arrivais plus me concentrer, ce qui me valut une claque retentissante. X me positionna alors pour s'enfourcher sur ma queue pendant que j'essayais de m'améliorer. Vu leurs grognements de satisfaction, j'y arrivais!

Quand on entendit frapper à la porte, que le principal avait fermée à clé après l'intrusion de X, mes "agresseurs" suspendirent leurs action.

— C'est Auguste, monsieur le principal.

— Si c'est vous, entrez! répondit-il. Vous avez le double des clés.

Auguste était le concierge de l'établissement. Une force de la nature, un peu demeuré sur certains points. Seulement, il n'était pas seul. J'entendis la personne qui était derrière parler. Elle ne pouvait qu'avoir compris la situation vu les tenues du principal et de Monsieur X. Moi, j'étais masqué par eux. Donc j'entendis dire:

— Tiens tiens, une punition méritée?

Je faillis défaillir, c'était papa qui venait me chercher. Il sembla un peu décontenancé en me voyant sur le prof et en pleine "dégustation". Le principal tenta de se justifier mais mon père l'arrêta tout de suite.

— Vous n'avez fait que votre devoir. Je vais vous regarder à l’œuvre jusqu'à ce que vous estimiez que ce petit voyou soit suffisamment humilié.

Ma bite s'était recroquevillée et était sortie du cul de X. Cela sembla l'énerver. Heureusement, Auguste s'était déshabillé pendant que nous parlions et je pus découvrir qu'il avait une bite énorme qu'il approchait dangereusement de moi. Ouf, ce fut pour pénétrer X qui se mit à râler de plaisir pendant que le principal se mit à appuyer son gland contre mon cul pour me sodomiser. Il le fit assez doucement. Avec l'aide du tableau X/Auguste qui m'excitait, je fus vite assez lubrifié. Puis Auguste me présenta sa bite pendant que X se faisait prendre par le principal. Je ne faisais plus attention à papa quand je remarquai tout à coup qu'il avait la main dans la pantalon et que celui-ci était plus que distendu. Mais je me remis à l'ouvrage.

J'avais le principal dans le cul, X que j'avais recommencé à baiser, Auguste dans la bouche. Nous approchions de la jouissance, mon père s'était approché. X gémissait de plus belle et finit par éjaculer pendant que le principal se vidait en moi en petits spasmes. Je sentis contre mon palais le jet chaud et épais d'Auguste. Il ne restait plus que papa qui se branlait et me juta sur le visage. Je dus nettoyer leurs parties après cette séance et s'ils eurent droit à la douche. Mon père m'interdit de me laver jusqu'au lendemain...

Mar 23 oct 2012 Aucun commentaire