Le blog de babaslebatard

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Tu m'as demandé de raconter... alors voilà ce qui c'est passé:

Un soir, il y a 2 mois environ, on se prépare à sortir, puis à un moment, tu changes de ton et tu exiges que je me laisse faire. Tu me fais mettre à genoux dans un coin du salon avec les mains sur la tête. Tu mets un bandeau sur mes yeux. Ça sonne à l'interphone, tu y vas et tu dis: "Ok il est presque prêt, on descend." Il est tard, dans les 23h/minuit...

Tes mains prennent mon bras et me forcent à me lever. Tu me passes les menottes devant et tu déposes un imper dessus afin que l'on ne les voit pas. Tu trifouilles dans la chambre et tu reviens avec un truc que tu mets dans la poche de ton blouson. On quitte l'appartement, l'ascenseur, et on traverse le jardin; tu me guides car j'ai les yeux bandés. Je suis juste vêtu d'un jeans sans rien dessous et d'un t-shirt.

On arrive à une voiture, tu ouvres la porte arrière et tu me pousses à l'intérieur en m'ordonnant de m'allonger sur la banquette. Tu fais le tour et tut t'assoies à côté du conducteur que tu embrasses:

— Ça va?

— Tu vois il est prêt...

— On y va?

Et c'est parti... la voiture roule, fais des tours, je ne peux plus savoir où on est. Elle s'arrête, vous descendez tous les deux. Je suis seul dans cette voiture et là, je commence vraiment à mouiller de trouille et d'excitation. Je vous entends revenir en discutant avec quelqu'un: un accent assez prononcé... La porte s'ouvre et tu me tires dehors. Je trébuche, je suis toujours aveuglé et toi et ton copain me prenez chacun sous un bras. Précédés du type avec un accent, on s'enfonce je ne sais où, dans un terrain qui me paraît herbeux ou plein de terre...

Une porte qui s'ouvre et je distingue une légère lueur, des respirations... La porte se referme sans que nous soyons entrés. On s'éloigne, une autre porte. Vous me poussez contre une table. Je sens le rebord contre mon pubis. Les menottes sont enlevées.

— Écarte les mains, penche-toi et allonge-toi le plus possible sans soulever tes pieds.

Des cordes autour de chaque poignet et je me sens étiré, solidement attaché aux pieds de la table. Je commence à vraiment avoir peur. Je sens tes mains qui tâtonnent, qui passent sous mon ventre et qui tirent le jeans vers le bas. Tu m'obliges à soulever une jambe, je sens que ma chaussure est enlevée et que tu enlèves une des jambes du jeans. Je suis exposé; le cul bien en arrière, le pantalon baissé. Une légère lueur me montre qu'il y a un peu d'éclairage. Je sens ta présence, celle de ton copain et sans doute une troisième personne.

Tu ouvres ton blouson et je sens que tu prends le fameux paquet que tu as récupéré avant de partir de la maison. Tout à coup, je t'entends dire: "Écarte lui les fesses, s'il te plait." Des mains dures m'écartèlent et je sens un contact froid et glissant; tu es en train de me graisser le cul. Tu entres les doigts, tu masses et tu répartis bien le gel tout autour et à l'intérieur... Tu poses le tube sur la table à côté de moi.

— Donne moi les préserv', on va en ouvrir une douzaine... Ça y est, il est prêt. Dis à ton pote le chef qu'il peut y aller...

Je te sens te mettre à côté de moi, tu as ta main sur mon dos, mais de toute façon, je ne peux pas bouger... À ce moment, le mec avec l'accent te remercie, j'entends un froissement d'étoffe... Le claquement du préserv' sur la tige et craaaaaaaac, je me prends une queue dans le cul! Il rentre à fond et commence à limer, il accélère et me défonce à grands coups de queue... Quelques minutes, une sensation de chaleur à travers le préserv'... il se retire et je l'entends qui enlève le préserv et qui s'essuie...

— Une bonne salope! dit-il. J'appelle les autres...

Et ça recommence, la porte s'ouvre etc... Un froissement ou une glissière qui s'ouvre, un préserv qui claque sur une queue, une sensation brûlante de la queue qui me défonce les entrailles... Je ne les compte plus, je suis vanné.. Ma queue est dure.

Tout à coup, plus rien... Ton copain te dit: "Bon il est plein de gel et il a le cul en choux-fleurs... Mais sa bouche? Hein?" Et toi tu réponds: "Vas-y, tu verras, il suce comme une vraie reine..." Et voilà, une grosse tige qui m'écarte les lèvres et qui plonge à fond... Il lime, il lime, puis je sens le préserv qui se remplit de foutre chaud...

C'est fini... tu me détaches. Les yeux sont toujours bandés, tu remets les menottes remonte le pantalon, remets les chaussures, l'imper. La porte qui s'ouvre, sensation de frais... J'ai du mal à marcher: je suis ankylosé et j'ai le cul en compote. Ton ami et toi, vous discutez:

— Tu as vu, il s'est pris les bites de tout le chantier et il y en avait au moins 3 ou 4 qui avaient des super bites... Faudra le ramener quand il y aura d'autres ouvriers. Tu sais ils sont seuls et leur famille est loin... Un petit cul de salope comme ça, ils adorent se vider les couilles dedans... Faudra que je vois avec Ahm... s'ils aimeraient pas aussi lui défoncer la glotte avant de le tirer... Tu ne crois pas?

— P'tain tu avais raison, une bonne salope...

La voiture, la porte, la maison... Il est parti et je ne sais même pas qui il est. Tu me remets au coin. Je n'ai toujours pas joui. J'ai mal d'envie de partir, mais toi, tu n'es pas d'accord.

— Alors petite pute? Tu t'en as pris plein le fion? Hein petite salope... Et en plus, tu y as pris du plaisir alors que tu n'aurais pas dû... En plus t'es toute sale, espèce de cochonne... Attends!

Tu m'enlèves les menottes mais en gardant le bandeau, et tu m'ordonnes de me foutre complètement à poil. J'entends le plastique que tu déplies, tu m'obliges à m'allonger dessus: sensation du plastique froid...

— Tu es une petite salope deguelasse... Je vais te laver moi...

Et tu commences à pisser... partout, sur moi sur mon corps, dans ma bouche que tu me forces à fermer tout en parlant.

— Voilà, maintenant tu es bien propre hein? Et attends demain, ce n'est pas fini, tu vas voir ton cul...

Je crois que tu seras satisfaite, c'est vraiment comme ça que ca c'est passé non?

Dim 28 oct 2012 Aucun commentaire