Le blog de babaslebatard
Je suis l'amant de mon ami d'enfance, le beau Frédéric, de ses 1.75 et son poids de 59 kl, musclé comme un beau sportif, ces cheveux bruns/blonds bouclés et ses beaux yeux bleus et surtout son beau gros 20 cm uncut que j'adore sucé et avalé, lui préférant surtout défoncer mon petit cul, qu'il a eu juste pour et vierge.
Comme il me dit, mon surnom amical, qu'il m'a donné, bout d'cul. Me va bien de mes 1.80 pour 60 kl j'ai les cheveux noirs d'un noir charbon et un beau 18 cm, qu'il aime bien manger.
Presque tous les jours, au retour de nos cours, Frédéric passe chez moi, dans ma chambre, sans ce douché, comme il dit, il aime ma senteur de bout d'cul et de mon cul, qu'il aime lécher en bon 69, avant de me pénétré à fond de son beau gros 20 cm. Pour me faire hurler, plus je gueule, plus ca le rend mâle et viril.
Ce jour là. Il était grimpé par-dessus moi et m'enculait à fond de son super 20 cm grognant que j'avais, un si beau petit cul chaud, me faisant crier,
— Encore plus à fond, encore, oui Prend moi Frédéric, je suis à toi mon amour.
Comme j'ai entendu mon père me crié?
— Martin, que fais-tu là.
— Papa...
— Mon fils est entrain de se faire baisser par un autre homme.
— Mais, papa, je...
— En plus, tu lui dis, encore et encore. Donc tu aime ça
— Oui, papa, je suis GAI...
Frédéric étais déjà à remettre ses jeans, quand mon père lui à dis.
— C'est bien ton nom, le jeune, qui encule mon propre fils, dans ma maison.
— Frédéric, Monsieur.
— Alors Frédéric, reste à poil et fini ce que tu as commencé.
— Mais, Monsieur, ça pas de sens.
— Je t'es dis fini ton travail, en homme où préfère tu, que ton père vienne nous rejoindre, pour lui permettre de voir son fils enculé mon fils.
— Non, Monsieur pas ça, s.v.p.
— Alors. Montre-moi, ton savoir-faire.
Frédéric, rouge comme une tomate trop mûre, débandé, revient vers le lit, ne sachant quoi faire... Mon père, nous dit sucé vous en 69 et après encule mon fils, que je vois ça, les préférences sexuels de mon fils. Nous avons commencé un 69 et à se sucé, nous avons re-bandé raide et mon père m'à dit d'offrir mon cul a Frédéric, je me suis levé, debout bien penché et offrant mon cul a Frédéric, mon père c'est approché de moi et m'a dis, de son timbre de voix calme.
— Si mon fils, peut sucer un homme, il peut sucer son père.
Il baissa ses pantalons et sorti un super très gros 8" qu'il me mit dans la face et j'ai ouvert ma bouche, pour lui mangé sa belle grosses queue bandé raide, tout en lui cajolant ses deux grosses couilles poilus, tout en étant bien enculé pas mon amant Frédéric, mon père se tourna, pour que je lui lèche et mange son cul poilu...
Frédéric a crié.
— Je vais jouir...
— Non, pas si vite mon gars, si tu peux enculé mon fils, tu peux te faire enculer par son père, installe-toi comme Martin.
— Mais Monsieur, je ne...
— Pas de MAIS, penche toi et offre ton cul a son père, oubli pas que mon fils viens de cette queue là, alors pour apprécié encore plus mon fils, tu te dois de sentir et goûter la queue qui la conçu, alors penche-toi.
Frédéric, tout penaud, se pencha me regardant dans les yeux, lui qui n'avait jamais été enculé, mon père se cracha dans la main, se passa la main sur son gros gland et dans la craque des fesses de Frédéric et aussitôt lui poussa sa queue dans son cul vierge, bien à fond, d'un seul coup... Frédéric, ne dis pas mot, mais a voir les grimaces dans sa face, j'ai compris sa douleur, il en avait les yeux tout mouillés, dans un silence total, mon père lui a littéralement défoncé son cul vierge et il a continué son manège de va et vient pendant plus de dix minutes et même Frédéric avait retrouvé son sourire que j'aime tant, mon père lui a dis tourne-toi, maintenant tu va avalé le sperme qui à engendré mon fils que tu aime tant, Frédéric se tourna et se mit a sucé la grosse queue de mon père qui lui donna de 5 a 6 grandes giclées de sperme a avalé et Frédéric avala tout en silence. Mon père dit.
Maintenant a toi mon fils de goûter a la queue de ton père, met toi à quatre pattes et il m'encula aussitôt a fond de son gros 22 cm, (super de sentir en soi, la propre queue qui vous à créé) il me défonça virilement pendant de longues minutes avant de me faire tourner et de me faire avaler le même sperme qui avait fais de moi, ce que je suis.
Mon père remis ses pantalons et nous dis.
— Mes enfants aimés vous, comme vous le mérité, mais de grâce, laissé votre mère hors de ça, baissé autant que vous voulez. Mais soyez prudent, mes fils.
— Merci, papa.
— De rien mon fils et je te demande, juste une chose, n'oublie pas que ton père aussi aime le sexe, surtout que ta mère est devenue frigide.
— Pas de problèmes papa, quand vous voudrez, n'est-ce pas Frédéric.
— Oui, monsieur, quand vous voudrez.
— Parfais, je vais vous organiser une fin de semaine de pêche à trois, que vous n'oublierez pas de si tôt...
Cette extraordinaire fin de semaine de pêche, ou nous n'avons même pas pêché, est à venir... Mon père nous avais préparé toute un fin de semaine inoubliable.