Le blog de babaslebatard

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Depuis cette première séance de dosage avec Maître Kurt, je suis dans un état pas croyable. À la fois très excité par l’expérience qui m’a donné du plaisir et paniqué pour avoir accepté de pratiquer le sexe à risques!

Maître Kurt m’a contacté dès le lendemain. Il m’assure que ma santé n’est pas en danger car il est certain de ses «clients». Je ne suis nullement rassuré et pourtant je sais déjà que je vais accepter son prochain plan. Ce second plan aura lieu chez lui mais il y sera seul.

Me voilà donc devant sa porte à enlever les rares vêtements qu’il m’a autorisé à porter pour me rendre chez lui. Nu, je sonne et me mets à genoux.

La séance va durer trois heures et sera plus éprouvante que la première. C’est dans la douleur qu’il me fait évoluer vers mon état de lope. Je subis de nombreux outrages et tortures mais j’arrive à passer le test.

Je passe plus d’une heure attaché dans une position inconfortable à suer comme un bœuf. Il me pisse à la gueule et me verse de la cire brûlante sur les parties les plus sensibles de mon corps endolori. Des pinces et des poids sont suspendus à mes tétines maltraitées et étirées. Je vogue entre douleur et plaisir. Il me rend accro à ses coups de bite. Je l’implore de m’enculer et il fait durer l’attente. Le remplissage de mes trous devient pour moi une drogue, un besoin impérieux. Je dois mériter l’honneur d’être baiser par sa bite de Maître. Ma chatte n’est pas son seul souci. Il me fait comprendre que des lopes comme moi, il en a plusieurs. Il est près de minuit lorsque je m’effondre sur la moquette et que je lèche mon sperme sur ses boots. J’ai le goût âcre du jus et du cuir sur la langue. Il caresse ma croupe. Je le sens fier de moi.

— Monte sur le lit! dit-il avant de quitter la chambre.

J’attends. Il ne revient pas. Je n’ose bouger. Je m’endors sur son lit et c’est pelotonné dans ses bras puissants que je m’éveille au milieu de la nuit. Je me sens comme une femelle dans les bras de son mâle dominant. J’ai l’impression de rêver mais non, Kurt me sourit amicalement, presque amoureusement.

— Je sais aussi être tendre et récompenser les mérites de mes lopes.

Il m’embrasse avec passion et je réponds à son baiser. Je bande. Il me fait rouler sur le dos, me demande de me détendre et glisse un coussin sous mes reins. Il me relève les jambes sur ses épaules. Mon cul ainsi offert, il n’a aucun mal à me pénétrer. Ce qui est génial c’est qu’ainsi je le vois entrer en moi et me pilonner comme une pute. Ses injures me comblent et avec sa permission je me masturbe doucement.

— Tu ne jouis qu’avec ma permission!

Pendant ma saillie, je lui trouve l’air heureux. Je le suis moi aussi de le voir pendant qu’il me prend.

— Je te bourre bien, hein, ma salope?

— Oui, Maître! Votre queue est bonne. J’aime la sentir me limer.

Soudain il se raidit.

— Pute! Chienne! Sale garce!

Son visage se crispe et je sens les saccades de son sperme m’envahir. Épuisé, il s’écroule sur moi. Quand je suis parti, Kurt m’a embrassé délicatement.

— Ta prochaine séance sera en extérieur. Tu seras moins considéré qu’une chienne. À toi de voir si tu veux continuer.

Il n’y a plus de contrainte mais j’ai envie de le revoir et de revivre des moments intenses avec lui et ses amis.

Je dois retourner à Paris dans 15 jours. Je ne sais pas encore si je dois, ou si je vais en profiter pour revoir Marc.

 

Lun 19 nov 2012 Aucun commentaire