Le blog de babaslebatard

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J'ai 19 ans j'habite à Paris dans le 13ème, un soir en sortant de chez mon mec je prends le métro pour rentrer me coucher. Dans le wagon je repère un beau beur en survet‚ bien musclé, rasé, je décide donc de m'asseoir en face de lui alors que le métro est complètement vide.

Il me regarde de haut en bas, je lui souris, un vrai sourire de mec en manque de queue.

Après trois stations sans arrêter de le regarder discrètement le mec se met bien en face de moi écarte les jambes et pose sa main tout prêt de sa bite, il se caresse les boules du bout des doigts.

Je ne peux pas enlever mon regards de sa queue, je vois qu'il commence a bander, il a l'air dans cacher une belle sous son jogging. Il se retourne pour vérifier qu'il n'y a personne dans le wagon, il me regarde et me dit « t'as envie de la têter avoue », je ne répond pas mais mon regard en dit long. Il me dit qu'il descend dans deux stations et me dit de le suivre en laissant de la distance entre nous deux.

Il sort, je le suis, après plusieurs minutes de marche je me demande si j'ai eu raison de le suivre, mais c'est trop tard je suis trop excité et devant une bonne bite je ne sais pas dire non. Il rentre dans un parking souterrain, je rentre, je ne le vois plus, il fait très sombre, j'avance encore, il est juste derrière moi adossé au mur avec deux autres mecs, un autre rebeu et un noir, casquettes, baskets, un en jean et l'autre en jogging, il leur dit « alors comment vous la trouvé la salope cette fois ? », les deux autres rigolent. Celui qui m'a fait venir ici se caresse la bite, je m'approche sans vraiment savoir pourquoi je ne pars pas en courant. Arrivé à son niveau il m'appui violemment sur la tête, je me retrouve a genoux au sol, la tête devant son sexe. Il me colle la tête sur son survet‚, je lui baisse, prend sa bite en main, il me la met de force dans la bouche, j'adore ça, je commence a faire des vas et viens, le renoi sort sa queue et commence a se branler, l'autre s'est

mis derrière moi je ne vois pas ce qu'il fait. Je prend la bite du noir pour le branler en même temps, celui de derrière m'enlève mon sweat, il me met debout et en quelque secondes je me retrouve à poil dans un parking avec trois lascars autour de moi. Le rebeu de derrière me penche en avant tout en gardant mon cul à hauteur de sa queue, les autres me mettent leur deux queues dans la bouche et en même temps le troisième fout une capote et commence a rentrer sa queue dans mon cul, ça me fait mal, il force je gémis mais ne peux rien faire d'autre avec deux gros morceaux comme ça dans la bouche c'est impossible. Il est entièrement rentré il fait des vas et viens, je sent ces boules taper contre mon cul. Je gémis, de plaisir cette fois, ils ressortent leurs bites, j'en prend une dans chaque main et les suce a tour de rôle, le renoi me fait des gorges profondes en tenant fermement ma tête. Les vas et viens dans mon cul s'accélèrent, il me tape les fesses et m'insulte, «t'aime ça salle pute », « t'en veux d'autres salope ». Les vas et viens deviennent si violent que je ne peux même pas gardé une bite en bouche, jusqu'au moment où il garde mon boule collé à lui en émettant de gros râles. Mes jambes ne tiennent plus, je me retrouve de nouveau à genou à terre, le noir frappe sa bite sur ma joue et me lance, « crois pas que c'est fini, on va tous te passer dessus, pendant que je me vide tu nettoies bien la bite de mon pote et tu continu de t'occuper de Fouad ». Il se met derrière moi, fout lui aussi une capote, lève mon cul et entre sa queue, elle est plus grosse, ça force un peu mais pas longtemps cette fois. Après le noir accélère le rythme, je prend tellement mon pied que je jouis sans même me toucher. Je sens que le noir va jouir pendant que je continue de sucer ses deux potes.. Les boules de Fouad me tapent contre le menton, il se met à gémir, sort sa bite et me crache trois gros jets de sperme sur la joue. En moins d'une minute ils ont remonté leurs pantalons et sont en train de partir sans même se retourner. En partant j'entend Fouad dire, « vous voyez que je suis capable de trouver des bonnes salopes ».

Moi je me dépêche de m'essuyer avec mon boxer et de me rhabiller et je reprends le métro en sens inverse pour rentrer chez moi. Je m'endors aussitôt mais malgré ma fatigue je rêve déjà de les recroiser.

 

Jeu 14 nov 2013 Aucun commentaire