Le blog de babaslebatard

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J’aimais mettre tout nu mon petit goret.

Je caressais son petit ventre rond rempli de mes matières préférées et descendait son slip daubé que je gardais toute la semaine pour que son odeur ne me quitte pas.

Une fois encore, son slip révélait sa négligence à se torcher les fesses, ses non retenues de vessies et ses bonnes traces de branlette qui maculaient le devant.

Je ne pus m’empêcher de le porter à mes narines.

Hum, déjà je sentais bouillonner la lave brûlante dans mes couilles.

Ma queue se raidissait et me faisait mal d’être aussi dure.

Ma langue lécha le devant et le derrière et je roulai rapidement une belle pelle à mon petit pourceau.

Nos langues s’accouplèrent et nos salives abondantes se mélangèrent.

Je m’accroupis devant lui pour décalotter son sexe, le humer et faire le tour de son gland pour me nourrir de son fromton de la semaine.

Je nettoyais la petite tige qui sans retenue gicla d’une belle pisse dorée que je bus à grandes gorgées.

Son pipi coulait en moi et apaisait ma soif en révélant davantage ma faim qui commençait à faire grouiller mon ventre.

Sa queue se raidit et ne tarda pas à expulser du bon sirop sur ma langue. J’aspirais ce petit dard pour en extirper toutes les gouttes de nectar.

Je le retournais et ses petites fesses potelées s’offrirent à mon regard.

J’écartais les belles portions et glissa la langue sur l’anus rose et goûteux.

De joyeux pets sortirent de cet orifice fait pour les offrandes.

Ma bouche devint plus gourmande, ma langue plus insistante.

Je ventousais sa rosette attendant le mets suprême.

Un pet plus long, plus fort, plus odorant m’avertit de l’arrivée prochaine du fruit de ses entrailles.

La bouche ouverte sous ses fesses accroupies, je voyais son trou s’élargir pour laisser passer un énorme colombin qui se logea avec une extrême précision jusqu’au fond de ma gorge.

Je le pipai, il était moulé à souhait, concocter depuis trois jours par mon petit goret préféré.

Son goût était excellent, exquis et je le croquai sans retenue pour l’avaler.

Ma langue se remis à l’ouvrage sur son anus chocolaté.

Un autre en formation rapidement rejoignit son compagnon.

Je me gavai de ses déjections succulentes..

Ses fesses glissèrent sur mon ventre pour me peindre le sexe et les couilles avec sa petite chiasse toute chaude.

Mon sexe pointait et il s’empala dessus.

Je coulissais dans son conduit moite et chaud. Il s’enculait en faisant bouger son postérieur sur ma bite majuscule.

Mes couilles bouillonnaient et je ne pus empêcher l’éruption qui explosa au fond de son trou accueillant.

De suite, il se déplanta me mit son cul à la bouche que je lécha et me prit la queue qu’il me pompa en aspirant les dernières gouttes

Nos bouches s’unirent pour mélanger nos substances, nos queues s’élevèrent pour libérer une fois encore nos liqueurs qui brûlèrent nos ventres.

Nous sommes restés enlacés longtemps en rêvant aux fois prochaines.

Lun 3 fév 2014 Aucun commentaire