Le blog de babaslebatard

raclette5

En 2007, je m'étais inscrit sur un site un peu hard, Xtremboy. J'ai pratiqué ponctuellement le SM mais à cette époque, j'avais surtout dans l'idée de rencontrer des passifs un peu soumis pour des baises plus hard que la moyenne. C'est en mai que j'ai été contacté pour la première fois par un mec d'une trentaine d'année dont le pseudo était un truc du genre «Bâtard69».

 

Après deux ou trois échanges de messages, je lui demandai ses trips. Il voulait être surtout bousculé. Ce n'était pas un problème. J'aime les rapports un peu violents si le partenaire en a envie bien sûr. Je me souviens avoir fait durer le plaisir. Je lui ai demandé de se décrire en détails, de m'envoyer des photos de sa gueule et j'ai fini par lui donner mon numéro de téléphone. Il ne traîna pas et m'appela tout de suite :

«Salut. Tu recherches quoi ?»

«Un bon petit passif, salope, soumis.»

«T'as vu mes photos, je peux te plaire ?»

«Ouais, t'es mignon.»

«Tu es libre quand ?»

«Maintenant. Tu reçois ?»

«Oui...»

 

Il me donna son adresse. Il habitait le sixième pas très loin de chez moi. J'enfilai un caleçon, un jean et un tee shirt blanc, mon blouson en cuir, des baskets et je me mis en route. Volontairement, je ne lui avais pas donné mon prénom et ne lui avais pas demandé le sien.

 

L'immeuble n'avait pas d'interphone. Je montais l'escalier et entrai dans l'appart dont la porte était entrouverte. L'appartement était un peu obscur mais je pouvais le voir. Il était nu, à quatre pattes dans le couloir comme je lui avais ordonné. Il était petit, trapu, mignon, il me plut tout de suite. Je m'approchai. Il se releva un peu et commença à sniffer ma braguette ce qui me fit bander instantanément. Je décidai de le me la jouer dominateur. Je lui pris la tête et lui frottait contre ma braguette sans considération pour lui. Il bandait comme un malade.

 

«Tu veux sucer ma queue ?»

Pour toute réponse, il sortit sa langue et descendit le long de ma jambe jusqu'à ma basket et commença à lécher.

«T'aimes les skets garçon ?»

«Ouais...»

«Lèche !»

Il ne se fit pas prier. Je l'entraînai jusqu'au salon que je pouvais apercevoir et m'installai sur le canapé, jambes écartées. Il se vautra à mes pieds et commença à lécher consciencieusement l'un de mes baskets alors que je posai mon autre pied sur sa nuque.

«Bouffe !»

Tandis que je le bloquais dans cette position humiliante, je défis les boutons de ma braguette. Je ne tenais plus dans mon jean tant ma bite était raide.

 

«Viens sucer...»

Il se redressa un peu. Sa queue était très raide et humide, je pouvais voir son gland mouiller terriblement. Il sortit sa langue tout en me regardant et lécha mon boxer. Je me souviens même de ce que je portais. C'était un dim bleu électrique et sa salive le trempa en une seconde ce qui m'excita encore plus. Délicatement, il baissa mon pantalon et mon boxer, je me soulevai légèrement pour le laisser faire. Il commença à passer sa langue sur mes couilles.

«Applique-toi. Fais-moi bander.»

Il obéit. Chacun de ses coups de langue faisait durcir ma queue encore plus fort. C'était trop bien. J'adorai.

«Enlève mes pompes !»

Mon ton était dur, un peu vulgaire. J'aime ce genre de plan et je joue mon rôle à fond. Il fit ni une ni deux et retira mes baskets en en sniffant l'intérieur longuement. Il sortit une petite fiole de poppers d'un tiroir de la table basse qu'il respira en même temps. Il me le tendis. Je le relevai et le giflai légèrement :

«Comment ça tu te sers avant moi ???»

«Pardon...»

La claque le fit bander encore plus fort. Je lui crachai sur le visage. Il ouvrit la bouche et je récidivai. Je remarquai ses pupilles dilatées. Il s'était déjà défoncé au poppers avant mon arrivée.

 

Je respirai à mon tour. Je bandais comme un malade lorsqu'il embrassa mes pieds en chaussettes. Il remonta et me suça avec un savoir-faire terrible. Je lui mis les mains sur la tête et le fit sucer en fond de gorge. C'était excellent. Il suffoquait un peu mais ne lâchait pas ma queue. Je lui claquai les fesses assez brutalement. Le poppers décuplait mon désir. Il était vraiment très mignon et me plaisait beaucoup. Je lui titillai le trou. Il s'ouvrit presque trop facilement mais j'étais si excité que je n'eus qu'une envie, le baiser à fond.

«Mets-moi une capote.»

Tel un petit clebs, il obéit et déchira l'emballage d'un préservatif qui se trouvait sur le tapis. Il l'enfila sur mon sexe avec sa bouche.

«Allez, à quatre pattes !»

Il monta sur la table basse et cambra son cul.

«C'est de la bite que tu veux ?»

«Oui Monsieur...»

Le «Monsieur» me surprit un peu mais je trouvai ça excitant. Je lui crachai dans le cul et lui massai le trou. Il grognait.

«Ta gueule !»

J'entrai en lui sans aucun problème. Je le saisis par les hanches et commençai à le pilonner. Il me tenait les cuisses avec ses pieds. Mon jean en bas des jambes me gênait un peu mais je ne voulais pas ressortir de son cul. Il se retourna pour me regarder et je le giflai à nouveau.

«Encore ?»

«Oui Monsieur.»

 

Il haletait, soufflait. Je lui interdis de se branler tant que j'étais dans son cul. J'y allai plus fort. Il gémissait mais pas d'une manière efféminée. Bâtard il était mais viril quand même. Je me souviens m'être demandé quel âge il pouvait bien avoir. Au début j'aurais dit la trentaine mais il faisait un poil plus jeune. Je me retirai pour ne pas jouir dans la capote et la jetai sur le tapis.

«Bouffe-moi les couilles !»

Il s'exécuta. C'était trop bien. Très excitant. Je n'eus pas à me toucher tant que ça pour lui éjaculer sur le visage. J'étais un peu mort mais je trouvai encore la force de lui pincer très fortement les tétons. Il jouit presque illico sur la table basse. Je lui donnait une petite claque sur la tête et remontai mon calbut et mon jean. Je remis mes baskets et retrouvai mon blouson puis sortit sans lui dire un mot.

 

Quelques heures plus tard. Il me laissa un message sur le site. «Merci, c'était super. Je peux te recontacter ?»

 

J'acceptai et nous nous sommes revus plusieurs fois dans les mêmes conditions puis je suis reparti bosser quelques temps sur Paris et je le perdis de vu

 

STANLYON

Jeu 10 avr 2014 Aucun commentaire