Visiteur de mon blog

Compteur Global

 

 

Profil

  • babaslebatard
  • Le blog de babaslebatard
  • cuir pisse jus batard
  • bon batard de reims

Jeux

ATT00002.jpg

logo_gratorama_fr_0.png

12.gif

jeux.png

Bannières bonne adresse a reims

logo.png

521281_366782503376505_1942711169_n.jpg

photo.jpg

logo-tunnel.png

buffalo_logo.png

L'actu presse

logoUAOK.jpg

images--1-.jpg

 

Bannières amis

  • DOIGT.gifpurb2900eeb4a6afc14.gifpur1b553514b074d3af.gifpur7ab41e1511b08c74.gifpurcf76acf32979b5dd.gifpurf6797784ad9b0907.gif

Bannières

874401315506344-7Ebp--1-

allredallblack.jpg

158 1 (1)

20131001024554M

9-gay-beur-gay-rebeu-gay-arabe-bledar

mathieu-ferhati-atlant-adam-gabriel-paris-sketboy-sneaker-g.jpg

 

1667 sponsor

Bannière site pisse

tumblr_mnkoogm3hK1r1u480o1_1280.jpg

Bannière cite zoo

Images Aléatoires

First 7Frist 4

tumblr mxmor5s1ng1ruyqizo1 400

tumblr mwnua4a7Di1t1p07co1 r1 400

tumblr mfv493YkjL1s15ugoo1 500

l6UaXmLnqO6s

Bannières site scat

tumblr mw610yeM4F1t1p07co4 1280

scatphil
tumblr_mpbfj2MdZB1ryonkio1_500.jpg

photo-fetes-drapeau-gay,5203

livre d or

dyn004 original 200 129 gif 2622397 5183987aa208da-copie-1

Moi au Maroc

2055 1095388427767 1318285446 280200 5342 n

CATÉGORIES

Bannières site fist

tumblr mjf9an9elq1qg4n09o1 400

GAY_FISTING_EXTREME_FIST_DOUBLE_Felix_Barca_Schaaf-copie-1.jpg

tumblr mmhh1oAr821s35h5io1 400

Recherche

Calendrier

Avril 2025
L M M J V S D
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30        
<< < > >>

fan de histoires de mec

Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 17:00

la-bite-de-mon-daddy.pngpassifplangarage.coco.fr-8187.jpg

Bonjour, je me présente: je suis Benjamin, j’ai 19 ans, je suis étudiant. Mon histoire est, somme toute, banale, mais elle révèle quelques surprises. Comme beaucoup d'étudiants peu aisés, je me suis trouvé dans l’obligation de gagner de l’argent pour subvenir à mes besoins, mais je ne voulais pas mettre en danger mes études. J’ai donc commencé chez McDo, mais cela ne me convenait pas pour des raisons d’horaires. Puis j’ai essayé la garde d’enfants, trop peu pour moi, je ne sais pas leur dire non. Bref à Noël j’étais revenu à mon point de départ.

Je tentai alors de réaliser un fantasme qui pourrait peut-être m’aider. Je me suis inscrit sur un site de rencontre qui accepte les «pros» et j’ai tenté une relation rémunérée. Je suis plutôt mignon (1m78 pour 65 kg, sportif, cheveux courts). J’eus plusieurs réponses à mon annonce. L’une d’elle attira mon attention: «Monsieur 55 ans cherche à retrouver sa jeunesse pour un instant dans les bras d’un jeune éphèbe». Je me suis laissé tenté et le rendez-vous fut pris pour un mardi soir dans un hôtel. Il devait arriver avant moi, prendre la chambre et m’attendre à la réception.

Le mardi soir arrive. Je me prépare, je suis à la fois anxieux et excité. J’arrive à l’hôtel et retrouve mon «client». C’est un monsieur soigné avec une calvitie et des lunettes; il aurait pu être mon père. Nous faisons connaissance devant un verre, il est surpris par ma jeunesse mais enchanté par ce qu’il imagine être la suite. Enfin nous montons dans la chambre. À peine entré, il commence à se coller contre mon torse et commente:

— Hum, tu as l’air joliment fait. Vas-y, mets-toi à poils mon grand que je vois ce que j’ai payé!

Surpris par la réflexion, je m’exécute. Puis, nu devant lui, il me donne des ordres:

— Sur le lit, écarte les jambes et montre ta belle bite. Humm joli, bien grosse, tu bandes ma petite pute. Branle-toi devant moi pendant que je me déssape.

Rouge de gêne, je commence à me toucher le sexe. Je me caresse les couilles, fais des va-et-vient sur mon gland humide et commence à me branler. Petit à petit, je ne suis plus moi, je trouve un plaisir malsain à me donner en spectacle. Je me titille le trou, relève mes fesses et me doigte l’anus tout en le fixant. Là, je baise les yeux, il a une bite honorable, je suis même surpris qu’elle soit si grosse et dure à son âge. Je n’en peux plus, je bande comme jamais. Lui me regarde et enfin il se met à genoux et me lèche la bite comme un dieu. Il lèche, suce mon gland, mordille la hampe, me doigte, il me lèche le «petit trou»… On ne me l’avait jamais fait, je jouis véritablement de l’anus, je n’avais jamais ressenti ça. Il se relève et me donne sa bite à sucer. Je m’exécute, je l’aspire, lèche le gland, masse les bourses, je titille le méat, et là il prend ma tête et enfonce son sexe le plus loin possible.

— Tu vas me sucer comme une vraie salope! Allez!

Vexé, je l’avale. Il touche le fond de ma gorge mais je résiste et je le prends tout. Il râle, je lui mets un doigt et il éjacule dans ma gorge. Je me retire et j’en prends plein le visage, les yeux le nez. Il me regarde, me dit: «Pardon, c’était trop excitant!» puis éclate de rire… Je ressemble, paraît-il «à toutes ces salopes qu’on voit dans les films porno». Je me lève pour me laver, il m’arrête et me lèche le visage, il lèche son sperme. Surpris, je le laisse faire. Il ne bande plus mais me demande de le reprendre en bouche pour essayer un «second coup»; je le fais bien volontiers.

C’est bizarre un sexe mou dans la bouche, on dirait un petit oiseau malade, fragile, mais je fais de mon mieux pour le rendre à la vie et ça marche! J’en suis fier! Il rebande et là, après le préservatif d’usage, il me fait couler du gel dans le cul puis se positionne pour une sodomie en levrette. Je ne sais que faire, je n’ai jamais pratiqué. Je me détends, pousse un peu, il entre; c’est gros… Il me dit de me branler, de me détendre. Ça y est, tout en dedans, j’ai mal mais ne veux rien dire, je gémis un peu. Lui commence ses va-et-vient, lentement mais bien à fond. Bientôt un plaisir commence à poindre chez moi, il s’enfonce bien, me flatte les fesses. Je gémis un peu même si la sensation n’est pas toujours désagréable. Il continuait à me pilonner le trou puis en sort et me re-pénètre d’un coup lent et profond… Je sens monter l’orgasme, je jouis, lui me pistonne toujours, il ne s’arrête pas cela dure longtemps. Je ne sent plus mon cul mais je hurle une nouvelle jouissance. Il grogne, il se retire et jouit sur mes fesses. Après le visage, c’était la totale. Mais c’était grandiose.

Après avoir retrouvé mon calme, je pris une bonne douche et mes 200 euros. Lui me complimenta et m’assura qu’il n’avait jamais autant pris de plaisir avec une pute (la galanterie c’est avant la baise, pas après).

De retour dans mon studio, je pris la décision de continuer ce «job» mais en ne prenant que des quinquas ou plus car j’avais aimé avec lui. Tout se passa bien j’eus plusieurs soirée bien «prises» jusqu’au jour où…

Voilà ma mésaventure: un de mes «clients» connaissait mon oncle et lui parla de moi sans savoir qui j’étais. Ce que je ne savais pas, c’est que mon oncle aimait le sexe. Il prit donc rendez-vous avec moi mais comme il est VRP dans l’hôtellerie, il me donna rendez-vous soi-disant chez lui (en fait, chez un collègue qui lui prêtait son appart).

À 15h comme prévu, je vins sonner à l’adresse indiquée. Je m’annonce à l’interphone, la voix me donne l’étage. J’entre dans l’immeuble et arrive devant la porte qui est entrouverte. Je sonne, j’entends «Entrez!» Cette voix me semble connue mais sans plus. J’avance dans la pièce et là, stupeur, je vois mon oncle qui ferme la porte. Il se retourne et nous restons quelques instants aussi stupéfaits l’un que l’autre. Il rompt le silence:

— Alors comme ça, la petite pute c’est toi? Si je m’attendais!

— Attends tonton, ne te fâche pas. Je vais t’expliquer.

— Expliquer quoi? J’ai payé, tu bosses comme d’habitude!

— Mais pas toi! Je ne peux pas!

— Ho oui! Tu vas le faire et bien le faire même!

Il sortit son sexe tendu et me dit:

— Vas-y, suce moi!

— Tonton non, s’il te plaît...

— Suce-moi ou je dis partout ce que tu fais!

Je me mets à genoux et commence à pomper la bite de mon oncle. Il grogne, il aime ça en plus!

— Va, suce! Suce à fond la bite à tonton! Oui, lèche le gland, j’aime ta bouche Benjamin...

Il me tient la tête, je le suce, le branle. Le côté pervers m’excite. Quand tout d’un coup, il se retire, et me dit:

— À poil maintenant. Montre-moi comme tu as grandi.

— S’il te plaît, non!

La honte me reprend mais je m’exécute. Je suis nu devant mon oncle.

— Le petit pédé! Mais c’est qu’il bande comme un taureau! Je vais te bouffer la bite, te baiser, t’enculer comme jamais! Tu vas voir, tonton c’est du bon.

Sur ce, il me prit dans ses bras, me posa sur le lit et commença une pipe d’enfer. Ma bite néavait jamais été aussi dure!

— Tu aimes la bouche à tonton hein? Dis-le!

— J’aime ta bouche tonton.

— Tu es une vraie salope hein?

— Je suis une vraie salope.

Il me lèche la queue, me bouffe les couilles, me baise le cul avec sa langue, me doigte. J’en peux plus! Je jouis de chaque parcelle de mon corps jusqu’à un orgasme intense et foudroyant, et je làache toute ma sauce sur son visage. Il profite de tout mon sperme.

— Tu m’as mouillé tout le menton! Tu vas lécher!

Il s’approcha de ma bouche, je me mis à lécher son visage, a goûter à mes sécrétions sur sa peau, il en profita pour me rouler une pelle.

— Bien passons aux choses sérieuses. À quatre pattes pédé. Voilà! Que je puisse voir ton trou, humm qu’il est appétissant. Dis-moi que tu aimes te faire prendre...

— J’adore ça mais… Vas-tu résister longtemps? Répondis-je par bravade.

— Et bien tu vas voir Benjamin, tonton va te faire reluire!

Il commença sa sodomie, il pointa sa bite sur mon trou et s’y enfonça sans trop de résistance.

— Mais c’est qu’il a un cul accueillant mon neveu!

Il commença ses va-et-vient, de plus en plus rapides. Il me tient par les hanches, de temps en temps me claque les fesses. Il n’arrête pas de parler.

— Tu aimes la bite à tonton hein? Que oui tu aimes te faire enculer! Tu es un vrai garage à bite, ma petite pute!

Plus je l’entendais et plus j’aimais. Je me suis mis à me remuer, à aller à la rencontre de sa queue dans mes fesses et j’ai crié mon plaisir sans retenue. Tonton continuait:

— Alors joli petit cul, j’ai pas résisté? Tu prends ton pied ma salope!

— Oui tonton, tu encules bien mais surtout continue, ne t’arrête pas!

— Demande gentiment èa tonton. Tonton, s’il te plaît, encule-moi encore. Allez!

— Tonton, s’il te plaît, encule-moi encore!

Je n’étais plus qu’un corps ayant envie de jouissance. Il accéléra, décula pour m’enculer de nouveau. Il pinça mes fesses, il reprit son monologue:

— Petite pute de neveu! Si j’avais su plus tôt, ton cul est superbe, que c’est bon d’enculer un petit cul familial!

Il accéléra de plus en plus, je jouis de nouveau. Il se retira, sortit son préservatif.

— Avale mon foutre, salope.

Il se place devant moi, j’ouvris la bouche et pris tout son sperme dedans. Je me fis un plaisir de l’avaler.

— Et bien dis donc, tu aimes ça la queue Benjamin?

En disant cela, il avait un petit sourire tendre. Il me mit sur ses genoux comme quand j’étais petit, mais là j’étais nu et j’avais 19 ans!

— Bon Benjamin, c’est pas tout ça. Mais maintenant, je ne veux pas que tu puisses avoir honte de la famille...

— C’est de moi que j’ai un peu honte.

— Je ne parle pas de ça mais je t’ai promis de tenir le coup et de t’impressionner par ma vigueur. Alors il faut que je m’y tienne. Suce moi mon grand!

— Tu es un gros cochon tonton.

Et je le pris en bouche. Là je le regardais pendant mon ouvrage; il apprécia et se remit à bander.

— Allez, écarte les jambes. Que c’est beau un petit cul plissé sans poils. Tu crois qu’il ressemble à celui de ton frère?

— Tonton arrête, baise-moi puisque tu le veux!

— Et plutôt deux fois qu’une; le temps de mettre le capuchon...

Il se coucha sur moi et me pénétra d’un seul coup. J’étais tellement dilaté qu’il n’eut aucun mérite à cet exploit mais comme tous les "vieux", pour une deuxième éjaculation, il devait limer longtemps et il me bourra très longtemps. J’eus plusieurs mini-jouissances dans le bas-ventre avant que lui même eut la sienne.

— Et bien petit, tu es une vraie salope toi!

— Merci tonton, mais tu es bien aussi!

— Tu as le plus joli cul des gigolos du coin et je le connais.

— Monsieur est trop bon.

— Bon je te donne 300 euros, tu les mérites, mais je reviendrai!

— Non tonton, s’il te plaît, ne fais pas ça...

— Pourquoi? Je suis un client comme un autre et dans cette relation, tu es une pute comme une autre!

Je baissai la tête.

— Ne le prends pas mal mais comme cela, c’est clair. Au fait, je parlerai de toi à ton père!

— Non, fais pas ça...

— Ne crains rien, je parlerai du gigolo, pas du neveu!

La semaine qui suivit, je ne pris aucun client. J’angoissais à l’idée de croiser mon oncle à la maison. Le dimanche, il se fit un malin plaisir de venir voir la famille et son jeune neveu qui était bien courageux de faire ses études. Je ne savais où me mettre. Il s’isola pour parler à mon père, j’eus très peur mais en les voyant revenir en riant, je me suis détendu et le reste de la journée se passa le plus normalement du monde.

Quinze jours après la «visite» de mon oncle, celui-ci me contacta pour un nouveau rendez-vous que je refusai. Il entra dans une colère noire et me menaça de tout révéler. Sûr qu’il bluffait, je ne cédais pas à ses menaces. Je reçus alors par mails des photos de moi suçant son collègue. Je ne me rappelais plus de ces photos, c’est vrai le salaud avait voulu me photographier pendant que je le suçait et pendant la sodomie. Mon oncle me tenait. Je pris le portable et l’appelai:

— Tonton, ok tu as gagné, quand et où?

— Changement mon grand! Nous serons trois à la fois. Tu arriveras le premier, et tu nous attendras nu sur le lit, jambes écartées. C’est bien compris?

— Trois? Mais j’ai jamais fait ça!

— Nous te paierons chacun notre dû, tu ne peux pas refuser cela à ton tonton, mon petit...

— Ok, ok… Où?

— Demain 15h même endroit que la dernière fois, la porte sera ouverte.

— Ok.

— À demain. Humm, je bande déjà!

— Salaud!

Le lendemain, je me rendis au rendez-vous et, effectivement, la porte est ouverte. Je m’installe nu, jambes écartées et j’attends. J’entends la porte s’ouvrir et la voix de mon oncle qui demande à ses copains de se taire, de se déshabiller dans le couloir et d’attendre qu’il les appelle, sans rien dire. Cela me surprend. Qu’a-t-il bien pu inventer? Il entra dans la chambre nu comme un ver.

— Bonjour mon beau, alors prêt?

— Bonjour Tonton.

— Je me mets sur l’oreiller et tu vas commencer à me sucer à quatre pattes, le cul face à la porte.

Je m’exécute et le suce, anxieux. Mes fesses sont face à la porte: en entrant, ils me verrons offert et dans une position humiliante. J’ai envie de le mordre, mais je suce. Il me tient la tête et dit:

— Vous pouvez entrer mais ne dites rien, j’aime sa soumission.

Je le déteste, mais j’aime aussi ça. Je le suce de mon mieux, j’entends les hommes entrer. Mon oncle me tient toujours la tête, des mains touchent mes fesses, mes couilles, une main enserre ma bite bandée, un doigt entre dans mon cul. Quand mon oncle me lâche la tête et me fait me retourner:

— Surprise!

Horreur, nu bandant devant moi, mon père et mon voisin. C’est même mon père qui me doigtait.

— Benjamin! Toi, une pute!?

— Oh Papa! Non, le salaud!

— Benjamin, pourquoi?

Je me suis mis à pleurer et là mon oncle a pris la parole:

— Bon c’est un petit étudiant qui joue à la pute, mais aujourd’hui c’est son jour pute, alors profitons-en!

— Ça va pas? Pas avec mon fils!

— Mais non, oublie le fils et vois la pute, il est très doué tu sais!

— Je ne sais pas, je ne veux…

— Justement essaye, regarde, Benjamin suce-moi!

J’étais en pleurs, je ne savais que faire.

— Benjamin, suce-moi, montre comment tu aimes la bite.

Et il me mit sa bite devant la bouche. Par réflexe peut-être, j’ai ouvert mes lèvres et je l’ai prise, il allait et venait comme dans un cul.

— Regarde, il aime ça, ça se voit, profites-en, touches-le, regarde comme il bande!

Mon voisin s’approcha:

— Moi ce n’est pas pareil, je profite!

Et sans rien dire d’autre, il me mit un doigt dans le cul, puis un autre, lubrifia sa bite avec sa salive et me prit. Je me retrouvais à quatre pattes, mon voisin derrière et mon oncle devant, tout cela devant mon père, quand tout à coup il se leva:

— Benjamin, arrête, et viens ici!

Je me dégageais, et vins devant lui.

— Il n’y a aucune raison que je ne connaisse pas tout de toi, à genoux et suce moi!

— Quoi?

— Tu as compris, alors fais-le!

Je me suis mis à genoux et j’ai sucé mon père. Sa bite redevenait dure. Il appela les deux autres pour que je les branle en même temps. Il se mit à parler:

— Tu suces très bien, mieux que ta mère! Vas-y, la langue, les couilles, suce mon fils, suce!

— Et tonton?

— Tonton il attend, honneur au voisin. Benjamin occupe toi de Lucien.

Je relâchai mon père pour engloutir la bite de Lucien. Pendant ce temps, mon père et mon oncle se sont parlés et là j’ai compris:

— Benjamin, en temps que père, je ne peux que réprimander ce genre de comportement, mais puisque nous sommes dans une situation aussi embarrassante devant des tiers, et ce uniquement par ta faute, je ne peux que te demander de te soumettre à ces messieurs. Aussi Tonton va t’enculer, et toi et moi Lucien, nous allons partager sa bouche, ça te va?

— Super, c’est un suceur de première le petit.

— Non, vous n’avez pas le droit, je ne veux pas!

— Tais-toi et obéis à ton père!

Je fus mis sur le bord du lit, mon oncle sous moi, je me suis empalé dessus. Une fois sa queue en moi, mon père est venu se positionner debout devant mon visage aux côtés de Lucien:

— Allez Benjamin, un effort pour papa, ouvre la bouche!

— Mmmh comme ton cul est accueillant!

Mon oncle me pistonnait le cul pendant que mon père et notre voisin me fourraient la bouche à tour de rôle.

— Doucement, tonton tu me fais m...

Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase que Lucien reprenait sa place dans ma bouche, mon père attendant à côté, la bite d’une taille qui m’impressionnait et dure comme du roc. Je commençais à trouver ça bon, et entre deux succions:

— Oui, doucement! C’est bon.

— Tu vas voir qu’il va aimer, cette salope!

— Ne parle pas de mon fils comme ça! Enculé oui, salope non.

— Comme tu veux, mais dieu qu’il est bon!

— Et encore, sa bouche est un délice!

Les trois commentaient comme si je n’étais pas là. Puis mon père prit la place de mon oncle et moi je sentais le plaisir venir et je ne me retins plus:

— Papa plus fort! Encule moi, vas-y, jouis-moi dessus, ouiiii!

Je me démenais sur la bite de mon père tout en suçant ces deux grosses queues comme un assoiffé. Je prenais un super pied, trempé de sueur, et bientôt je jouis tout mon sperme d’un orgasme plus intense que jamais. Lorsque je repris doucement mes esprits, ils étaient là les trois toujours bandants.

— Benjamin, Lucien n’a pas eu sa gâterie...

Je me suis mis à le sucer comme un expert, à avaler, aspirer, gober ses couilles. Lucien ne tint pas longtemps à ce régime et jouit dans ma bouche.

— Avale et vient finir ton père!

Je m’y remis de plus belle. Je voulais qu’il soit fier de sa salope de fils. Quand il jouit, j’ai ouvert ma bouche pour qu’il voit son sperme avant que je l’avale.

— Ooooooh Oh! C’est trop bon. Tu suces divinement! Mmmmh… À tonton maintenant!

— Alors toi, je te réserve une surprise!

Je le pris en bouche et juste avant qu’il ne jouisse, je l’ai mordu.

— Aïe, le con! Il m’a mordu.

Son sperme ne sortit pas dans ma bouche mais par terre.

— Je ne voulais que du sperme de qualité supérieure...

— Mon fils, bon tu es une petite salope, c’est vrai, tu as choisi de payer tes études en faisant ça, ok. Nous ne dirons rien, même pas Lucien, je compte sur toi!

— Oui bien sûr!

— Par contre, j’ai deux choses à te demander...

— Oui papa, vas-y.

— La première, tu seras assez gentil pour recevoir de temps en temps Lucien avec un rabais, ainsi que ta famille proche; ton oncle et moi.

— Ok, merci papa, et excuse moi...

— De rien. Tu sais, j’ai bien aimé t’enculer et ta mère me l’a toujours refusé alors, dis-toi que c’est comme un service à ton petit papa...

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 15:11

gory71.coco.fr-2234.jpg

Je m'appelle Thierry, j'ai 45 ans; avec mon fils Gaétan et son petit cousin dont nous avions la garde, un bébé de 8 mois, nous avons traversé en décembre la France et sommes tombés en panne de voiture dans une région que je ne nommerai pas. Nous étions dans la France profonde et à 21h, impossible de trouver quelque chose d'ouvert. Avec la neige et le froid, nous avons été heureux de voir des lumières dans une ferme toute proche.

Un homme d'une cinquantaine d'année vint nous ouvrir la porte, il nous fit entrer et on se retrouva dans une grande pièce où trois autres hommes jouaient aux cartes en buvant. Le propriétaire était grand et avait l'air autoritaire, les trois autres étaient aussi de solides gaillards; la quarantaine et visiblement un peu éméchés. Le maître des lieux regarda bizarrement Gaétan quand il retira son manteau; il faut dire que mon fils a des traits forts féminin et, si j'ai un air un peu macho et viril on devine sans mal que lui est homosexuel. Cela ne m'a jamais posé problème... D'ailleurs, il m'est arrivé d'en profiter, depuis que sa mère est morte il y a quelques années, quand je me sentais seul le soir. Nous nous sommes souvent branlés ensembles devant un bon porno: lui fantasmant sur la bite de l'acteur et moi j'avoue que je bandais autant à la vue de l'actrice qu'à la vue de mon fils se masturbant.

Notre hôte se présenta ainsi que ses amis: «Je m'appelle Victor, et voici René, Germain et Robert.» Après nous être présentés à notre tour, il nous fit asseoir au bout de la table et nous servit quelque chose de chaud, mit les couverts et alla dans la cuisine chercher à manger. Je suis allé voir s'il voulait de l'aide et au moment où j'allais entrer dans la cuisine, je l'ai vu verser une poudre dans une assiette dont le bord était ébréché. Revenu dans la pièce principale, l'homme apporta les deux assiettes et posa devant moi celle dont le bord était légèrement cassé. Le vin coula à flot pendant le repas et je m'arrangeais pour que l'on ne me voit pas verser doucement ma soupe par terre où le chien de la maison était trop content d'avoir quelque chose à lécher...

Durant le repas, les hommes présents discutèrent avec mon fiston et le regardait comme s'ils n'avaient pas vus de corps désirable depuis longtemps... Depuis si longtemps qu'ils n'avaient à l'évidence aucune envie de faire les difficiles quant au sexe de leur proie: homme ou femme, ils n'en avaient cure. Le vin aidant, Gaétan avait les joues roses et je vis bien qu'il n'était pas dans son état normal; pour ma part, je feignis d'être très fatigué et je me mis à bailler. Je fis semblant de tituber et notre hôte me dit de le suivre jusqu'à la chambre qu'il nous prêtait à l'étage; Gaétan quant à lui devant changer le bébé avant de me rejoindre (il était convenu que c'était lui qui s'occupait de son cousin ce jour là). Après avoir remercié le propriétaire de la ferme, j'ai fis semblant de m'écrouler sur le lit et quand l'homme fut reparti, je me suis relevé et c'est en chaussettes que je redescendis l'escalier.

Gaétan changeait son jeune cousin sur la table et les hommes présents étaient autour de lui, notre hôte s'approcha alors et lui dit: «Et bien mon p'tit monsieur, vous êtes bien joli... Avec un cul aussi rebondi, vous devez sûrement aimer les hommes virils dans notre genre, non?... Allez... Faites nous voir...» Comme les hommes présents commençaient à laisser leurs mains se balader, Gaétan cria pour m'appeler mais Victor ricana en lui disant: «Tu peux toujours crier petit bourge, avec le somnifère que j'ai refilé à ton père, il va dormir un moment crois-moi... Et puis je te préviens, si t'es pas sage avec nous, je vous flanque dehors, toi et ce môme... Alors fais ce qu'on te dit ou alors ça va barder... Fais nous voir ton cul!»

Mon fils recoucha le bébé dans son couffin puis les hommes s'emparèrent de lui et l'emmenèrent de force vers le canapé. Là, il fut déshabillé et apparut très vite en boxer blanc moulant qui laissait bien deviner la forme de son sexe et le rebondi de son cul. Celui qui était derrière lui tira son boxer vers le bas avant qu'il ne réagisse. Gaétan se retrouva tout nu devant les quatre hommes. Les hommes sifflèrent et commencèrent à le palper, lui caressant la poitrine, tirant ou pinçant les téton, malaxant ses fesses et essayant de lui caresser le petit trou. Les grosses mains de Victor s'insinuèrent entre ses jambes et mon fils cria quand un de ses doigt entra dans son cul. Il essaya de se dégager mais l'autre était trop fort; il souleva mon fils au bout de ses doigts et celui-ci gémit. Il rigola en disant: «Alors, on bande à ce que je vois... Et ton trou s'ouvre tout seul, salope... Tant mieux, avec ce je vais te mettre, t'as intérêt...»

Les hommes se déshabillèrent et je vis que leurs sexes étaient déjà en érection, celui de Victor semblait très impressionnant, au moins 22 ou 23 cm et très épais, les autres étaient plus petits certes mais de bonne taille quand même. Gaétan fut assis et dût sucer les queues qui se présentaient devant lui. Mon fils fit la grimace quand Victor lui présenta son mandrin, mais une gifle lui fit ouvrir la bouche et l'autre en profita pour faire entrer sa bite le plus loin qu'il put. Gaétan eut un haut-le-coeur mais son violeur s'en fichait et utilisait sa bouche comme un cul, allant et venant.

Ensuite, mon fiston fut mis à genoux sur le canapé et Victor, en qualité de propriétaire fut le premier à le pénétrer, après avoir craché sur son trou pour le lubrifier. Il ouvrit la bouche pour chercher de l'air quand le sexe monstrueux entra dans son petit trou. Germain monta sur le canapé et se fit sucer pendant que les autres malaxaient ses tétons en se branlant. Victor prit son temps mais il réussit néanmoins à rentrer 10 bons centimètres de sa bite, après quoi il saisit mon fils par les hanches et lui imprima des va-et-vient de plus en plus rapide, s'enfonçant un peu plus à chaque fois. Au bout de cinq minutes, la totalité de son sexe disparut dans le cul de Gaétan et ce dernier couina comme il ne l'avait jamais fait avec aucun de ses copain (je les écoutais souvent baiser dans la chambre à côté de la mienne). L'autre s'en rendit compte car en lui donnant des claques sur les fesses, il lui dit: «Alors salope; t'as l'air d'aimer ça? Tu t'es jamais fait bourrer par une bite comme ça, hein?... Je parie que ton mec en a une beaucoup plus petite non?... Tu réponds dis!...» Entre deux gémissements, Gaétan lui répondit: «C'est vrai... Vous êtes très gros... Plus gros que tous les mecs que j'ai eu... Même plus gros que mon père... Aaaahhhh... Oooouuuuuhhh...» L'autre accéléra ses mouvements, se crispa et envoya tout son sperme au fond du ventre de ma progéniture. Celui-ci gémit et dès que Victor se retira, ce fut René qui prit la place. Germain, toujours devant Gaétan lui ordonna d'ouvrir la bouche, s'approcha et lui éjacula dans le gosier. René se démena dans le cul élargi de mon fils et éjacula à son tour.

Puis ce fut Robert qui le retourna, lui attrapa les chevilles et remonta ses jambes à la verticale. Il le pénétra et fit quelques aller retour puis il ressortit, invita Germain qui rebandait déjà à placer sa bite contre la sienne, ils mirent leurs deux sexes sur l'anus de Gaétan qui le supplia: «Non... S'il vous plait... Pas à deux... Je l'ai jamais fait... S'il vous plait... Non...» Robert demanda de l'aide aux autres qui immobilisèrent mon fils en lui écartant les jambes puis ils introduisirent leur sexe dans le cul de Gaétan qui cria; l'autre lui dit de se taire et lui mit une claque puis se mit à le pistonner en faisant des commentaires salaces. Ils éjaculèrent dans le cul de mon fils en riant tandis que celui-ci pleurait et Victor s'approcha pour se faire sucer, puis il s'assit sur le canapé et demanda aux autres de déposer mon fils sur sa bite dressée. Gaétan fut de nouveau empalée sur ce pieu énorme, Victor savourant pour la deuxieme fois le viol de ce petit cul.

C'est à ce moment là que le bébé se mit à pleurer, mon fils leur dit qu'il avait faim, Robert alla donc chercher le petit dans son couffin et lui présenta. Il le prit, se saisit du biberon qui était toujours prêt dans la sacoche, et le bébé se mit à téter, indifférent au fait que son grand cousin était en train de se faire enculer.

René remonta sur le canapé pour se faire sucer et éjacula dans la bouche de Gaétan au bout de quelques minutes. Le bébé ayant fini son repas, Germain le prit dans ses bras, lui fit faire son rôt et le recoucha, pendant que Victor se déchaînait sous mon fils, le soulevant de 15 cm à chaque coup de reins. Il râla en se vidant de nouveau mais mon pauvre fils n'en avait pas fini car Robert lui remonta les jambes et lui mit sa bite dans le cul plein de sperme.

Je suis resté encore 30 minutes à regarder mon fils se faire sodomiser, prendre en sandwich ou bien avaler le sperme des pipes qu'il faisait. J'ai dû éjaculer deux ou trois fois, puis suis remonté sans faire de bruit. Je me suis recouché et j'ai attendu patiemment encore deux bonnes heures avant de voir la porte s'ouvrir et Gaétan venir se coucher. Il se tourna et s'endormit presque tout de suite.

Le lendemain matin, nous nous sommes levés en même temps et quand je demandai à mon fils si il s'était couché tard, il me répondit non; pourtant, il avait des cernes sous les yeux. Nous avons repris nos affaires et Victor prit en remorque notre voiture avec son 4x4, puis en nous laissant chez le garagiste le plus proche, il nous laissa en nous disant de repasser quand on le voudrait... Là-dessus, il s'adressait surtout à Gaétan qui baissa les yeux et ne répondit rien.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 13:13

tumblr m9csj2hmUX1qg4n09o1 500

Je me présente, je m’appelle Sylvain, j’ai 17 ans et je suis en train de vivre une expérience pas banale...

Mes parents et moi (je vis seul avec eux puisque mon frère aîné est parti étudier à l’étranger pendant un an) avons déménagé il y a 3 mois dans une belle maison en ville. Le rez-de-chaussée est spacieux et confortable mais il y a moins de place aux étages; il y a le bureau de mon père, la salle de bain, la chambre de mes parents et ma chambre est à côté de la leur... et je commence sérieusement à croire que le hasard n’y est pour rien. En effet, le mur entre les deux chambres à coucher est plutôt fin et tous les bruits se transmettent d’une pièce à l’autre. J’ai bien dit TOUS les bruits!

Comme vous l’aurez compris, cela faisait donc 3 mois que j’entendais - voire écoutais - mes parents faire l’amour de l’autre côté de la cloison. Et quand je dis «faire l’amour», c’était plutôt bestial, ils baisaient comme des bêtes, surtout! Plusieurs fois par semaine, quand ce n’était pas plusieurs fois par jour, je collais mon oreille au mur et les écoutait baiser en me branlant frénétiquement. Et ils étaient assez bruyants, mes parents! «Salope, tu la sens bien, ma grosse pine! Je te bourre ta chatte de grosse putain, t’aimes ça, hein! Pétasse!» ou «Oooh oui, vas-y mon beau, qu’est-ce que t’es bon, qu’est ce que t’es gros, tu me remplis bien le trou du cul, c’est trooop!» etc... Vous pensez bien que je ne résistais jamais longtemps et il m’arrivait de me masturber plusieurs fois de suite rien qu’à les entendre.

Un jour, je n’y tins plus et j’osai m’aventurer jusque dans le couloir pour les observer par la porte entrouverte (encore une fois, j’appris plus tard que cette porte était ouverte intentionnellement!). Je m’agenouillai sur le tapis du couloir et reluquai les bribes de spectacles qu’il m’était donné de voir. Mon père, de derrière, faisait de larges mouvements de va-et-vient dans la chatte reluisante de ma mère, en levrette sous lui. Je voyais les belles fesses de mon paternel bouger de plus en plus vite et ma mère qui gémissait, qui gémissait de plus en plus fort. Et puis soudain, je fis craquer le bois du sol... Prêt à m’enfuir à toutes jambes, je remarquai qu’ils ne s’arrêtaient pas. Ma mère cessa juste de gémir et mon père dit d’une voix forte mais chaleureuse: «Viens Sylvain, tu es le bienvenu, tu sais!»

Je croyais avoir mal compris, et j’étais très gêné par ce que j’avais cru entendre, je retournai donc dans ma chambre, histoire de passer inaperçu, rouge de honte et de confusion. Je passai la demi-heure suivante à me poser des questions en les entendant hurler leur désir et leur passion animales.

Nous n’avons pas parlé de cette histoire durant toute une semaine, mais il me semblait que mes parents avaient une attitude inhabituelle, bien que je décidai de ne pas y prêter attention. Par exemple, mon père se baladait maintenant en caleçon à peine rentré à la maison, alors qu’il n’avait jamais fait ça, comme pour s’exhiber. Et il ne se gênait pas pour se gratter ou se peloter les bijoux de famille en notre présence. Ma mère ne semblait pas le remarquer, je décidai donc de faire comme si de rien n’était.

Cela faisait maintenant 2 ans, au moins, que je savais que j’étais plus attiré par les hommes, j’avais eu beaucoup de mal à assumer cela, et encore à ce moment-là, je n’étais vraiment pas sûr de moi, au point qu’aucun de mes amis, personne dans la famille, aucune de mes connaissances, en fait, n’était au courant de ce qui était pour moi une honte. Mais le manège de mon père ne faisait qu’aggraver les choses. Parfois, je repérais même une bosse dans son caleçon moulant, et je commençais à bander dur, alors je me précipitais (relativement peu discrètement) dans ma chambre ou dans les toilettes pour me soulager.

Une semaine après cet événement inattendu, les choses changèrent. Mes parents m’annoncèrent qu’ils sortaient ce soir-là et que je passerais la soirée seul. Après les recommandations d’usage, il me laissèrent seul. Dès qu’ils furent partis, je filai dans ma chambre et je me dévêtis en vue d’une branlette magistrale. J’étais très excité car lorsque j’étais rentré dans la cuisine, juste avant que mes parents partent, j’avais surpris ma mère assise sur mon père qui était, lui, sur une chaise, en train de faire tous les mouvements suggestifs d’une baise. Ils ne m’ont pas vu (ou ont fait semblant?) et je les ai un tout petit peu regardé, puis je me suis éclipsé, la queue dans un état pas possible, mon boxer trempé de sueur et de mouille.

J’en étais donc à me palucher lentement en me remémorant ces images terriblement salaces, quand mon père est rentré d’un coup dans ma chambre. Je sus par après qu’ils avaient tous les deux simulés une sortie pour mieux revenir en douce et en silence, sachant que je serais excité au maximum par le show qu’ils m’avaient fait, et sachant donc qu’ils pourraient me surprendre en pleine masturbation adolescente.

En attendant, mon père s’approchait lentement de moi, une lueur cochonne dans le regard, pendant que mon sexe débandait entre mes doigts et que j’essayais de me cacher honteusement de lui sous mes couettes. Il me retirai d’un mouvement toutes les couvertures et, ma nudité dévoilée, me regarda d’un œil pervers. Je commençai à avoir peur, mais il me dit de ne pas m’en faire, qu’il ne m’arriverait rien, mais que je devais aller au salon, et comme ça, entièrement nu! Accablé par la honte et l’inquiétude, je le précédai au salon où je dus m’asseoir sur le canapé. Il appela ma mère qui vint de la cuisine en nuisette rouge, il la coucha sur la table du salon, sortis sa bite de son pantalon et l’enfourcha devant moi, d’un coup puissant. Il la pénétrait en face de moi et rugissait de bonheur, comme si l’idée même de se donner en spectacle, surtout à son fils, lui donnait une vigueur de taureau en rut. Malgré moi, je me mis à rebander, de plus en plus dur, de plus en plus ferme, devant leur accouplement torride.

Je voyais l’énorme engin de mon papa entrer, puis sortir complètement du trou béant de ma mère, il s’astiquait une ou deux fois, puis l’enfourchait de nouveau, avec un grand «HAN!» de bûcheron. Ma mère, quant à elle, criait son bonheur de se faire foutre et se tortillait, elle jouissait sous les coups de boutoir de son mari. Moi, j’essayais de cacher mon érection mais elle se faisait de plus en plus grosse, et de plus en plus apparente.

Mon père décida alors de changer de place, ma mère se plaça à quatre pattes par terre et il la prit en levrette, tandis que la tête de ma mère se rapprochait de mon pubis. Mon père rugit que je devais me laisser faire, je laissai donc ma mère engloutir mon sexe et jouer de sa langue experte sur mon gland, sur mes bourses, sur mon nombril et sur ma hampe toute entière pendant que ses doigts essayaient d’atteindre mon anus. Je fus très gêné au début, puis le plaisir m’envahit vite et je laissai aller ma tête en arrière pour profiter au maximum du bonheur que ma mère me procurait. Je ne pus donc voir mon père qui sortait de sa chatte et qui vint s’asseoir à côté de moi. Je sentis sa main chaude et virile me caresser le torse, puis les tétons, je rougis tellement il me faisait du bien. Il était le premier homme à me toucher et il le savait. Ma mère vint l’embrasser pendant qu’elle nous branlait tous les deux. Il lui malaxa les seins, alors que je restai immobile, à moitié apeuré, me demandant ce que je faisais là, à moitié excité par la situation, être enfin avec mes parents quand ils baisaient, c’était jouissif, je n’aurais jamais osé l’espérer. D’un coup, mon père prit ma main et la pose sur son ventre, la dirige vers sa toison jusqu’à ce qu’elle heurte son magnifique sexe au garde-à-vous.

D’un coup je me mets à bander plus fort et je le branle délicatement. Ma mère me laisse faire en m’approuvant d’un sourire et se met à se branler à genoux sur le sol. Mon père se caresse le torse d’une main, et de l’autre, il prend ma tête et l’approche de sa bite luisante. Je fais mine de refuser, de résister, mais il devient violent. Il me couche sur le dos et met d’autorité sa grosse queue sur mes lèvres. Plein de désir et d’appréhension, je commence à le léchouiller timidement. Il m’attrape alors les couilles à pleine main et me les serre. Cela me fait un peu mal mais je trique trois fois plus. Il profite de mon trouble pour m’enfoncer d’un coup sa saucisse jusqu’au fond de la gorge, et je suis obligé de faire des va-et-vient, j’y prends d’ailleurs de plus en plus de plaisir, le sentir se contracter dans ma bouche est merveilleux, surtout que ma mère recommence sa pipe sur mon sexe érigé plus qu’il ne l’a jamais été.

J’imagine que c’est mon père qui me suce et je sens que je vais venir à cette idée. Je jouis dans un énorme cri, je râle, je n’en peux plus de jouir et ma mère avale tout. Quant à mon paternel, il s’est levé, attend que ma mère finisse de me nettoyer la queue, et me fait me mettre de force à quatre patte sur la petite table du salon. Je prends peur, je tente de résister mais ma mère a déjà pris possession de ma volonté en me léchant le trou du cul qui est très exposé, dans cette position. Mon père me caresse comme si j’étais sa jument et sa queue tressaute d’impatience. Quand ma mère s’arrête, je n’ai qu’un désir, c’est qu’on s’occupe de mon petit trou, bien ouvert par la salive et l’excitation. Mon père place alors son énorme gland violet contre ma rosette et commence à entrer. Cela ne me fait même pas mal, je ne sens qu’une immense vague de satisfaction qui m’envahit, je me sens enculé, je suis un enculé, enfin, j’en rêvais depuis si longtemps sans oser me l’avouer. C’est bon, c’est trop bon, et mon père me malaxe les fesses, me les gifle presque tendrement. J’ai à peine senti ma mère qui s’était glissée sous moi et qui resuce ma pine dure comme du fer en me broyant les burnes. J’adore ça! Je sens les couilles de mon père cogner mon cul à chaque fois qu’il me bourre bien à fond, et il me crie des mots orduriers, tellement que j’en ai presque peur pour les voisins:

— Eh bien, petite pédale! Tu la sens ma putain de grosse queue! Je te la bourre à fond, hein, mon pédé! Alors, fils, on ne voulait pas dire qu’on est un gros pédé?! Pour ta punition tu te fais pilonner le trou à merde par ton enfoiré de père, t’aimes ça, hein!

— Oooh oui! Oui, papa, J’adore que tu m’encules! Je sens ta grosse bite, ton énorme bite au fond de mes intestins, c’est trop bon!!! Encule moi, fourre moi plus fort, plus loin, vas-y, je suis ta salope, ton trou à bite, j’aime! Ouiii! Oooh je viens, encore, je jouis!

Et j’éjacule mon jus d’adolescent dans sur la table du salon, et sur ma mère qui me mordait la peau des couilles en me branlant. En m’entendant jouir et en sentant les spasmes de mes intestins sur sa pine, mon père pousse un énorme râle et jouit à grands bouillons dans mon intérieur, il y a tellement de jus que ça déborde même de mon trou et ça coule le long de mon périnée en une délicieuse caresse, jusqu’à mes couilles. Il me retourne alors et me lèche le cul, les fesses, jusqu’aux couilles pour recueillir sa semence et la partager avec moi dans un long et langoureux baiser. Je n’aurais jamais cru ça possible, mais j’ai pris mon pied comme je l’avais encore jamais pris! J’ai joui autant du cul que de la queue, et encore de toutes les parcelles de ma peau.

Après nous être un peu rafraîchi, ma mère m’annonça qu’elle avait voulu profiter une seule et une dernière fois de son fils car elle s’en allait, elle déménageait pour un nouveau job qu’on lui avait proposé. Elle qui cherchait du travail depuis tellement longtemps, elle avait sauté sur l’occasion, même si ça voulait dire ne plus voir son mari et son fils cadet avant longtemps. Elle m’a ensuite confié que mon père était bi et très attiré par moi, sans doute autant que moi j’étais attiré par lui, et que nous pourrions nous contenter sexuellement, surtout maintenant qu’elle serait loin. J’étais attristé par le départ imminent de ma mère mais en même temps terriblement excité et content de ce futur prometteur avec mon père. Ma mère partit donc avec la promesse de revenir nous voir régulièrement et que nous baiserions alors tous les trois comme des bêtes.

En attendant j’étais seul avec mon père, et dès le soir même, j’allai me coucher avec lui, dans sa chambre, dans son lit, où nous fîmes l’amour plus calmement que la dernière fois.

À suivre...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 11:07

tumblr_m9csj2hmUX1qg4n09o1_500.jpg

Quelques semaines plus tard, je me rendis compte qu’un de mes copains de longue date se comportait étrangement avec moi. Je n’avais plus peur d’assumer mon homosexualité, je m’habillais donc un peu plus moulant qu’avant, plus sexy, comme mon père adorait que je m’habille, pour mettre mon beau corps en valeur. Et de temps en temps je tortillais un peu du cul en marchant. Rien de bien grave, et quand il m’arrivait de me faire chambrer par mes camarades, je leur répondais du tac au tac. Voyant qu’ils ne me mettaient pas mal à l’aise et que je m’assumais sans difficulté ni gêne, ils ne recommencèrent pas et me laissèrent en paix. Cela renforça même les liens que j’avais avec eux, puisque cela devenait un sujet de blagues et de taquineries de leur côté autant que du mien.

Tout allait donc pour le mieux, si ce n’était Jérôme qui s’éloignait de moi peu à peu. J’en étais très attristé, et je l’invitai donc à venir s’expliquer à ma maison, lui racontant que mon père nous laisserait tranquille puisqu’il serait dans son bureau. Je dus insister pas mal, mais finalement il vint. Arrivés chez moi, après avoir bu un verre, je lui demandai tout de go pourquoi je le rendais mal à l’aise. Il rougis soudain, et je compris, en voyant son trouble, que je ne le laissais pas indifférent. Ne laissant rien paraître, je lui dis que nous serions mieux dans ma chambre, il vint et s’assit sur un coin de mon lit. Doucement, je m’assis derrière lui et commençai à lui masser le dos. D’abord très tendu, stressé et cambré, il se laissa ensuite faire, et petit à petit je vins à bout de ses résistances, en l’embrassant dans le cou, en le caressant doucement le torse à travers sa chemise.

Il fermait les yeux et soupirait de plaisir, il était magnifiquement beau, avec ses cheveux foncés, sa peau halée et ses muscles tendres que je sentais distinctement. Je l’embrassai alors sur la bouche, il se laissa faire d’abord, puis me rendis le baiser, ce long baiser d’amoureux que nous échangèrent. Je le caressai sur le torse, lui enlevai sa chemise, et m’assis sur son jeans tendu. Je me mis ensuite langoureusement nu. Puis je le débarrassai des quelques vêtements qui lui restaient. Une fois nu tous les deux, nous nous frottâmes longuement le pubis l’un contre l’autre. Puis je le branlai, je le suçai, et, dans un soixante-neuf fabuleusement érotique, nous avons tous les deux joui presque en même temps dans la bouche l’un de l’autre.

Il rentra chez lui, visiblement content de son après-midi, et me jura qu’il repasserait le lendemain, voire même sans doute pour la nuit. Je courus évidemment raconter tout ça à mon père, ce qui l’excita au plus haut point. Il me laissa finir mon histoire en s’astiquant lentement, puis, voyant qu’il n’en pouvait plus, je vins m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue énorme. Après quelques aller et retour, il jouit toute sa semence dans mon cul et je jouis une deuxième fois, dans sa bouche. Un peu calmé (mais rien qu’un peu!) nous nous mîmes d’accord sur un plan pour «piéger» le beau Jérôme le lendemain soir (rien de bien grave, rassurez vous).

À 19h, donc, mon ami arrive à la maison, nous mangeons tous les trois, avec mon père, tranquillement, puis mon père se lève, se met torse nu pour, dit-il, «se mettre à l’aise», et il va au salon pour «voir le match de foot». Jérôme, hyper intimidé par les muscles saillants et le beau torse de mon paternel, a une bosse dans le pantalon qui ne laisse présager que du bon. Avec un clin d’œil lubrique, je lui dis qu’on devrait aller prendre une douche. Il est évidemment d’accord, et, ne se doutant de rien, il m’accompagne à la salle de bain.

Une fois arrivé là, nous nous déshabillons tendrement en nous embrassant puis, une fois entièrement nu, je lui dit que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre, et que je reviens tout de suite. Sans qu’il s’en aperçoive, je prends ses vêtements et les miens et les emporte dans ma chambre, pour revenir ensuite à pas feutrés jusqu’au couloir, à côte de la porte de la salle de bain. Mon père arrive, sans bruit, lui aussi et entre d’un coup sec après m’avoir jeté un clin d’œil plein de sous-entendus. J’entends Jérôme pousser un hoquet de surprise, chercher ses vêtements, et mon père lui demander d’une voix d’ogre ce qu’il fait là, nu comme un ver. Lui ne sait que répondre, je l’imagine rougir, et pense qu’il doit être on ne peut plus mignon, dans cette position insolite.

Je me déplace un peu pour pouvoir voir sans être vu, et j’observe Jérôme tenter de cacher sa nudité comme moi il y a quelques semaines. Mon père le traite de tous les noms, le prend par le bras (pas trop violemment) et le pousse sous la douche et allume celle-ci en lui disant que, de toute façon, il est là pour ça. Jérôme obéit, il n’a pas le choix, et mon père, après s’être mis nu en un temps record, le rejoint sous le jet d’eau chaude. Jérôme est mort de trouille et il ne se calme pas en voyant l’énorme mandrin de mon père le menacer du haut de son érection. Mon père l’agenouille en silence mais avec une main ferme et l’oblige à le sucer. Mon père est donc face à l’entrée de la salle de bain, avec Jérôme à ses pieds en train de lui prodiguer une fellation qui doit être fameuse, à en juger par les cris du sucé.

Moi aussi nu, j’entre alors en silence, mon père coupe le jet d’eau et, comme convenu avec mon père, je me mets à pisser sur Jérôme, sur son dos, sur ses belles fesses. Lui n’est d’abord qu’à peine surpris de sentir un autre jet de liquide chaud sur lui, et est entièrement accaparé par la pipe qu’il fait à mon père. Puis il se rend compte de quelque chose, se retourne, et reçoit mon jet de pisse jaune et brûlant sur la gueule. D’abord dégoûté, il voit que c’est moi, il se rassure, et sans doute se dit comme mon père et moi, que la situation est très excitante, il reçoit donc en gémissant mon urine sur le visage. Puis, quand j’ai fini, c’est mon père qui prend le relais. Comme je frotte ma pine toute molle d’avoir pissé contre le visage de Jérôme, nous recevons tous les deux de la pisse chaude et puante de mon père, lui sur la gueule, dans la bouche, il avale et il a l’air d’aimer ça, et moi sur ma pine qui grossit de plus en plus.

Ensuite, mon ami se lève et il vient se frotter à moi, je lui lèche le visage plein d’urine, je caresse son corps trempé et mon père colle sa queue érigée contre ses fesses et se masturbe ainsi, le gland contre la rosette de Jérôme. Nous sortons alors de la douche, je colle mon copain contre le mur et, après lui avoir léché le trou de cul, je le pénètre violemment, dans un cri de sa part comme de la mienne. Ensuite, mon père vient derrière moi, malaxe mes couilles qui se balancent pendant que j’encule mon second amant puis il m’enfourne aussi, sans préparation, d’un grand coup brutal. Je hurle, d’abord de douleur, puis de plaisir. Nous formons une brochette d’enculades et nous jouissons tous les trois dans d des gémissements sans retenue. Epuisés, nous allons nous reposer, sentant que le lendemain, nous pourrons profiter pleinement de notre envie de sexe jamais assouvie. Nous dormons tous les trois dans le grand lit de mes parents, enlacés, après nous être encore baisé; Jérôme m’a enculé pendant que je suçais mon père, puis mon père a enculé Jérôme alors que je m’occupais de la queue de ce dernier.

Le lendemain, après une baise matinale, Jérôme est rentré chez lui et mon père a eu un nouveau plan lubrique dans la tête. Il n’a rien voulu me dire, il m’a juste fait monté dans sa voiture, un bandeau sur les yeux, en me promettant une belle surprise. Très curieux, j’ai patienté, il m’a fait sortir de la voiture, m’a emmené sur un chemin assez caillouteux jusqu’à un intérieur qui ne sentait pas très bon... J’ai mis du temps à me rappeler où j’avais déjà senti cette odeur, puis il m’a enlevé le bandeau et les souvenirs me sont revenus aussitôt: nous étions dans le box de notre cheval, un étalon noir, magnifique, que nous avions acheté longtemps auparavant et qui nous aimait autant que nous l’aimions. Voyant mon père tout excité, je me suis dit qu’il voulait que nous baisions dans le foin, dans l’odeur de bêtes, et même devant notre étalon, et je me suis rendu compte que cette idée m’excitait pas mal aussi...

Mon père m’a ordonné de me déshabillé et d’être son esclave. Emoustillé par ce petit jeu, je me suis plié à ses désirs et je me suis mis à genoux, nu sur la paille fraîche, devant lui qui avait enfilé une salopette sur sa peau nue, sa grosse queue pointant par l’ouverture de l’entre jambe. Il me cria de faire un tour à quatre patte, jusque sous le ventre de Nuage, notre cheval. Je savais qu’il n’y avait aucun risque de ruade, car il me connaissait bien et qu’il était doux comme un agneau avec nous.

Une fois sous son flanc, mon père m’ordonnai de caresser son ventre d’un coté à l’autre, ce que je fis avec plaisir, Nuage soufflant de plaisir. Ensuite il me cria de lui caresser les bourses. Je le regardai, surpris, puis me dis «après tout, pourquoi pas? C’est un mâle comme les autres finalement!» Je commençai donc à lui effleurer doucement les burnes, qu’il avait noires, puis, pris par le jeu, et par l’excitation grandissante, je commençai à les humer et me surpris à aimer ça. La bite de mon cheval commençait à sortir de son fourreau, à grandir et grossir, et mon esprit autant que ma volonté m’échappait totalement. Je me demandais ce que je faisais, j’étais honteux de mes actes, mais tellement excité que je voulais à tout pris continuer, jusqu’au bout, jusqu’à ce que je pourrais faire de plus lubrique! Mon père n’en espérait peut-être pas tant, mais je commençai ensuite à lécher amoureusement les énormes mandarines, puis la hampe sans fin de mon étalon adoré. Jamais je n’avais connu une aussi grosse bite et je bandais à m’en faire mal tellement cela m'échauffait les sens.

Mon père se mit alors nu aussi, et vint s’occuper de l’énorme pine de notre cheval. Lécher une tel engin était jouissif et nous n’osions pas nous toucher de peur de jouir sur le champ. Nuage n’en pouvait plus, il soufflait par les naseaux, s’agitait, et soudain, sa bite se mit à tressauter dans tous les sens, je la branlai du mieux que je pouvais, avec mes deux mains, et il jouit! Sa semence de cheval gicla sur la paille, sur mon père, sur moi, il y en avait des litres! j’en avais jusque sur les cheveux et mon père en avait plein le visage et le ventre. Je me roulai sur lui pour m’en étaler sur lui et l’embrasser à pleine bouche. Le sperme de Nuage sentait bon, il était brûlant, nous en avions partout et nous nous léchâmes le corps pour nous nettoyer et, surtout, nous soulager. Nous éjaculâmes tous les deux en peu de temps, tellement l’excitation avait été grande.

Puis nous allâmes nous coucher sur la paille, pas loin de Nuage qui se remettait très bien de ses émotions. Petit à petit, nous recommençâmes à nous toucher, à nous caresser et nous étions repartis pour baiser quand l’étalon se manifesta bruyamment en hennissant; il en voulait encore. Nous nous délaissâmes donc pour retourner vers le cheval, sa queue était à nouveau bandée bien dur, très longue, elle était magnifique. Mon père s’occupait de lui lécher le gland, qui avait la grosseur d’un melon, et il se frottait à cet organe magnifique, pendant que, passé derrière Nuage, je lui léchai l’arrière des couilles. Puis, voyant qu’il levait la queue d’une manière suggestive, j’eu une idée totalement insensée. Je remontai avec ma langue le long de son périnée, puis j’arrivai à son trou de cul. Il était bien serré, mais je le léchai sans vergogne. Je le léchais, je le léchais, et je bandais de plus en plus dur de voir que cela excitait énormément Nuage, son anus s’ouvrait de plus en plus, plus il était mouillé, plus il s’ouvrait, comme une fleur, prêt à recevoir un cadeau...

Mon père, sentant que l’étalon prenait un plaisir immense, me demanda ce que je lui faisais. Quand je lui dit, il vint me regarder, la langue dans le trou du cheval, tout en le masturbant. Sentant que le cheval allait jouir, il lui lâcha la bite et me dit de l’enculer. J’ouvris de grands yeux, et mon père me dit qu’il l’avait déjà fait, étant adolescent, il avait l’habitude d’enculer le cheval qu’il avait alors, et cela procurait énormément de plaisir, autant à l’animal qu’à l’humain. Je rentrai donc un doigts, puis deux, puis toute ma main dans l’anus dilaté de Nuage qui, manifestement, prenait son pied royalement. Je bougeai mon poing dans son trou du cul puis, je la sortis, pleine de crottin. Totalement excité, et n’en revenant pas de ce que je faisais, j’étalai toute la merde du cheval sur mes fesses, puis sur mon ventre et mon bas ventre, j’approchai ma queue de son anus, et je pénétrai mon étalon doucement, jusqu’au bout, jusqu’à la boule de crottin qui se terrait au fond de ses intestins. Nuage trépignait de se sentir enculer, et mon père, sentant qu’il allait à nouveau jouir, se mit sous lui pour recueillir ses litres de jus sur son corps.

Quand il en fut remplit, il vint m’en enduire et m’enculer à l’aide de ce lubrifiant. Avec tous ces stimulants, je jouis très vite dans le cul de Nuage, puis m’en retirai. À temps, car il devait visiblement chier. Ce qu’il fit, après avoir essayé de s’éloigner, mais d’un geste je lui avait fait comprendre de rester près de moi. Il envoya donc toute sa merde à mes pieds, et je me couchai sur le monticule puant, sous les yeux de mon père qui rebandait dur. Il se coucha sur moi, nous nous couvrîmes de crottin, puis je me mis ventre dans la merde, la tête dedans, et mon père m’encula jusqu’à jouir une dernière fois. Je jouis dans la merde et nous nous endormîmes ainsi.

Après quelques heures, nous nettoyâmes le box puis nous rentrâmes à la maison, tout en nous promettant de revenir pour des parties de jambes en l’air torrides, et qui sait, peut être y emmènerions nous Jérôme?

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 12:13

gayactifisteur.coco.fr-4908.jpg

J'aime l'exhibition, mais je n'avais pas encore pratiqué. Je trouve très excitant de se retrouver nu à la vue de tout le monde et bien sûr qu'on profite de moi à sa guise, selon sa volonté et son envie.

Un samedi en fin de matinée je me connecte via minitel à un serveur gay pour m'amuser (comme beaucoup d'ailleurs). Après quelques échanges, j'établis un contact avec une personne de Rouen (j'y habite, avis aux amateurs). Nous discutons depuis une dizaine de minutes et celui-ci me propose de l'appeler, il me donne son téléphone et je raccroche. Je n'ai pas l'habitude des contacts par minitel mais je me décide à l'appeler, il se prénomme Henri. Le téléphone sonne et une voix très grave me répond.

— Bonjour, c'est toi Alain ?

— Oui, on vient de se parler via le minitel.

— Exact, tu veux que l'on se rencontre ? Tu es passif ?

— Je n'ai jamais rencontré de gars après le minitel, mais j'aimerais essayer, cet après midi ? Au fait je suis passif et j'aime particulièrement me faire travailler le cul.

— Ok pour cette après midi, 15h à l'entrée du sauna.

Nous nous décrivons mutuellement pour nous reconnaître. Je déjeune rapidement et à 15h je suis devant le sauna. Henri est là, il m'attend, environ 45 ans, mais la différence d'âge m'importe peu (j'ai 30 ans).

Nous rentrons dans le sauna et allons aux vestiaires. Je me déshabille totalement et prend une serviette. Henri se déshabille également, il a une superbe queue, très épaisse comme je les aime et me prend ma serviette.

— Tu m'as bien dis que tu aimais l'exhibition. Surtout ici, pas de serviette pour toi.

Nous pénétrons dans le sauna, il y a une bonne dizaine de personnes et nous nous asseyons dans un coin mais Henri prend garde que tout le monde puisse nous voir.

— J'aimerais que tu me suces et me lèche les couilles, tu te mets à quatre pattes, ton cul bien orienté vers les autres, ok ?

Rien que le fait de l'avoir dis, je sens mon sexe se dresser. Bien évidemment je me mets dans la position voulue et je commence à le sucer. Son sexe est parfumé. Il commence à grossir et j'en profite pour lécher et sucer ses couilles.

— Excellent, continue mais uniquement avec ta bouche, avec tes mains tu écartes tes fesses pour que tout le monde voie ton trou.

Je m'exécute, je sens mon anus s'ouvrir un peu et j'englobe encore plus son sexe. Au bout de quelque minutes je sens une présence auprès de moi. Deux hommes se sont approchés et regardent avec attention mon travail. Ça excite encore plus Henri qui se vide dans ma bouche à gros jets. J'apprécie et avale tout, pas une goutte ne m'échappe. Un sperme bien épais, pas aigre, j'en garde un peu dans ma bouche pour le montrer à Henri et aux spectateurs qui nous entourent puis je l'avale.

— Au suivant de ces messieurs, Alain est un bon suceur, avis aux amateurs.

Henri se lève et laisse sa place, je n'avais pas prévu cela, mais une nouvelle queue est déjà devant moi et je la prend dans la bouche en me disant qu'elle subira le même sort.

— Bon tu m'as dis que tu aimais le travail anal alors écarte encore un peu je vais commencer.

Avec la chaleur, mon cul est en sueur comme le reste de mon corps. Henri passe son doigt sur mon petit trou plusieurs fois, salive sur mon cul et badigeonne mon anus avec sa salive. Bientôt un doigt me pénètre, il salive de nouveau et pénètre encore. Mon cul est maintenant ouvert, j'adore cette sensation, j'écarte encore plus mes fesses pour faciliter la pénétration. Henri me dit qu'il en est à trois doigts et que maintenant j'ai le cul bien ouvert et préparé à un autre diamètre.

Je sens un sexe contre mon anus, la pénétration est forte, j'ai senti mon anus résister pour se relâcher. Le sexe m'a pénétré entièrement, je relève la tête surpris. Mais on me demande de reprendre la fellation. Une seconde giclée de sperme m'inonde la bouche et une troisième personne prend place. Je me sens juste être une machine à faire jouir et j'aime cela.

— C'est une superbe salope que tu nous as amené, Henri. Pas comme celui de la semaine dernière.

Je comprend maintenant qu'Henri est un habitué et que chacun à leur tour ramène quelqu'un pour profiter de lui. Cela ne me dérange pas et reprend ma fellation, cette queue est plus fine mais plus longue, elle tape au fond de ma gorge.

Mon cul accepte de mieux en mieux ce sexe qui me laboure le cul sans se préoccuper de mon désir. Un grognement me signale qu'il est en train de jouir dans mon cul, il se retire. Henri prend sa place appuie sur mes reins afin de bien présenter mon trou maintenant bien ouvert. Il crache plusieurs fois dedans et à chaque fois fait pénétrer sa salive dans mon anus. Puis il me pénètre avec deux doigts, puis trois, puis quatre et enfin la paume de sa main et commence un va-et-vient. Je sens encore mon anus se dilater, je me relâche complètement pour faciliter cette pénétration.

— Superbe cul bien ouvert, tu as déjà essayé le fist complet ?

— Non, mais je veux bien essayer si tu fais doucement.

— Ok on y va.

Il reprend son va-et-vient, sort complètement sa paume puis me pénètre de nouveau comme si sa main était un sexe. Mon anus accepte de mieux en mieux cette pénétration. Il retire sa main, crache de nouveau dans mon anus, ferme à demi son poing et commence à me pénétrer. Doucement sa main entre, force le passage, j'ai un peu mal mais beaucoup moins que je le pensais et je sens tout à coup que sa main est complètement entrée.

Il commence aussitôt un va-et-vient mais sans sortir.

— J'élargi ton intérieur, ne t'inquiète pas.

Je n'en peux plus, je transpire à grosses gouttes. Enfin mon troisième partenaire jouit, j'avale encore un peu mais laisse couler du sperme sur mon visage. Le sien est très liquide.

Henri retire sa main doucement et je sens de nouveau mon anus s'ouvrir pour laisser le passage.

— Maintenant tu es vraiment ouvert, mets ton cul en l'air, creuse tes reins. Venez voir les autres.

Sept ou huit personnes approchent et constatent l'ouverture de mon cul. J'adore ce moment, sentir le regard de tout le monde sur moi. Henri se penche, crache dedans et invite les autres à faire de même. Tout le monde le fait et tout à coup je sens une nouvelle main qui me pénètre.

Ce n'est pas moi me dit Henri mais un copain. Sa main s'enfonce, me pénètre et commence à entrer et sortir. Tout à coup j'urine, je suis surpris mais Henri me précise que c'est normal. Ce massage interne dure et s'arrête pour laisser place à une superbe queue, celle d'Henri qui a repris toute sa vigueur. Il s'enfonce sans aucun problème au plus profond de moi et à un rythme infernal. Bientôt il explose et se retire. Je peux enfin m'asseoir.

— Masturbe toi, tu l'as bien mérité.

Je m'exécute. Sept gars m'imitent juste devant moi. J'éjacule dans ma main et la porte à ma bouche pour avaler mon sperme. Le premier éjacule sur moi, puis bientôt les autres. Je suis couvert de sperme, je me lève et me dirige vers les douches. Je me lave et Henri me regarde.

— Tu t'es bien amusé ?

— Oui c'était super, mais tu avais prévu le coup ?

— Oui, mais cela ne marche pas tout le temps, tu veux bien faire une dernière chose ?

— Dis moi.

— Mets toi ce plug dans le cul, puis tu t'habilles et on va prendre un pot.

— Ok.

Il m'enfile le plug à fond dans l'anus. Nous nous habillons et allons dans un bar. En m'asseyant, le plug qui était un peu sorti reprend sa place au fond de mon cul. J'apprécie cette pénétration et le dis à Henri. Un copain à lui arrive, nous discutons tous les trois et Henri raconte mes exploits de cet après midi. Je vois son copain très intéressé. Il m'invite à le suivre. Nous sommes dans les toilettes, il ouvre sa braguette et me présente sa queue. Je m'agenouille et lui fait une fellation rapide en alternant ma main et ma bouche. Il me prend la tête et m'enfonce sa queue dans la gorge et en profite pour éjaculer.

Nous retournons voir Henri, celui-ci plaisante encore et ils partent. Je reste seul dans le bar. Je me lève pour payer et vais me rasseoir. Je sens de nouveau le plug dans mon anus et je me dis qu'Henri devra un jour venir je chercher.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 2 commentaires
Ecrire un commentaire
Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 00:04

tumblr_mcevzveTIk1rbnjouo1_500.jpg

Tout d'abord, laissez-moi me présenter: je m'appelle Seb, 22 ans, 1m76 pour 85 kg (oui un peu enrobé). À l’époque, je devais avoir 17 ans et mon cousin Jimmy était plus jeune que moi de 6 mois.

Mon père et mon cousin avaient une passion en commun: la chasse. Alors il arrivait très souvent après que mon cousin ait passé son permis de chasse, qu’il vienne dormir le samedi soir à la maison pour partir dès l’aube avec mon père le dimanche matin.

Mon cousin habitait en campagne et moi en ville, mais avec nos âges proches, nous étions très complices lorsque nous nous voyions... Aussi bien pour faire des bêtises ou pour se raconter nos petits secrets…

Jimmy était un tombeur auprès des filles. Faut dire que son 1m85, blond aux yeux bleus et un corps de rêve dû à ses nombreuses activités agricoles qui lui permettaient de développer tous ses muscles et de bronzer tout l'été... hmmm! Un vrai régal.

Ce soir là, mes parents s’étaient absentés et on décida de regarder un film d’horreur dans le salon. C’est le genre de film dont je suis gourmand, mais pas Jimmy. Afin de le récompenser de sa témérité, je lui demandai s’il voulait qu’on se matte un autre film plus à son goût... Un "western" comme on disait entre nous pour parler des films pornos. Sa réponse ne se fit pas attendre! Je mis la cassette et on commença à regarder en commentant quelques scènes et en rigolant maladroitement des positions farfelues des acteurs. Je n'ai pas besoin de vous dire qu'au bout de 10 minutes, je bandais déjà comme un fou et à voir la bosse qui se profilait sous le jeans de mon cousin, je n’étais pas le seul…

Après quelques scènes assez répétitives, je lui fis remarquer l’heure et lui proposai d’aller nous coucher afin qu’il ne soit pas trop fatigué le lendemain… Nous nous sommes couchés très rapidement dans mon grand lit et avons continué à discuter sur tout et rien… Jimmy ne mit pas longtemps à s’endormir mais moi, j’avais toujours cette gaule et ce désir insatisfait qui m’empêchait de trouver le sommeil… Et puis, je ne pouvais m’empêcher de repenser à la bosse de Jimmy… Pour avoir autant de conquêtes féminines, avait-il autre chose q’un sourire ravageur?

Des images souillèrent mes pensées… Et si jamais j’osais ne fut-ce que le toucher? Apparemment, il dormait a poings fermés… Je m’approchai de lui tout en faisant croire que je m’agitais dans mon sommeil et glissai une main au niveau de son sexe… Je sentis la chaleur de son corps se dégager, à peine j’effleurais son slip (et oui, c’est un beauceron le gars). J’attendis un peu avant de continuer mon exploration et tout en retenant mon souffle, j’approchais mes mains de lui. Doucement, je commençai à le caresser du bout des doigts… Je sentis sa grosse bosse qui n’avait pas dégonflé ou très peu.

J'entre ensuite un doigt, puis deux, doucement à l’intérieur de son slip, passant mes doigts dans ses poils et arrivant, au bout de quelques secondes sur sa bite… Un très bel engin que je parcourais du bout des doigts de bas en haut; un bon 18 cm… Je finis par m’arrêter sur ses bourses bien remplies que je malaxais avec plaisir, jonglant avec chacun de ses testicules…

Soudain Jimmy se mit à bouger et j’enlevai tout de suite mes doigts de son slip en jouant toujours la belle au bois dormant… Après quelques minutes, Jimmy s’arrêta de bouger… Mais je ne pouvais en rester là… Je décidais donc de retourner explorer le sexe de mon cousin… Je m'approchais de nouveau de lui en passant ma main sous la couette… Je glissai ma main jusqu'à ses hanches et là fut ma surprise… Je palpai la chair de Jimmy sans aucun obstacle! Mon cousin avait subtilement retiré son slip sans que je m’en rende compte… Ce geste m’encouragea davantage et je repris sans plus attendre mon ascension vers le Graal… et quel Graal! Jamais je n’en ai vu d’aussi grosse! Elle devait faire 21 cm une fois sortie de son écrin… Comparé à mes 15 cm, je me trouvais ridicule mais d’autant plus excité.

Je bandais à mort et je n’avais qu’une envie: le sucer, sentir son odeur, avoir son sperme dans ma bouche. Je me mis à le branler et à embrasser son torse musclé… Je descendis ensuite lentement et me mis à le sucer. Sa main vint se poser sur ma tête et j’étais complètement à lui… Il décidait de la vitesse de mes va-et-vient et parfois, pendant que je m'activais sur sa queue, il me donnait des coups de reins en me stoppant dans mon élan pour me fourrer sa bite au fond de ma gorge… C’était exquis! J’étais comme dans un de mes rêves…

Quelques minutes plus tard qui m’ont paru très courtes, il gémit et de longs filets de foutre jaillirent dans ma gueule de chienne… Je n’en perdis pas une goutte et avalai tout le sperme de mon cousin… Il n’était pas amer comme le sont certains… Ensuite, je le léchai pour nettoyer sa verge des quelques gouttes qui ruisselaient sur sa tige qui ramollissait à vue d’œil, tout en remontant tranquillement vers son torse. Mais Jimmy repoussa ma tête et remonta très vite son slip comme s’il venait de prendre conscience de notre aventure…

J’essayais à nouveau de me rapprocher de lui mais je fus vivement remis à ma place. Je compris alors que j’allais devoir me satisfaire en solo de mon côté, ce qui ne me prit guère que quelques minutes…

Le lendemain, mon cousin se leva épuisé pour aller chasser avec mon père. Quand il rentra le soir, on fit comme si de rien n'était mais cela ne nous a pas empêché de recommencer les semaines suivantes! Même si je savais que je lui servais plus de déversoir qu’autre chose. Mais quand on aime ça!

Cela fait pratiquement quatre ans que cela s’est produit. Aujourd’hui, nous nous rencontrons moins souvent mais sommes restés en bonne entente… Jimmy vient tout juste de se marier et attend son premier enfant. Nous n’en avons jamais reparlé mais je voulais au moins vous en faire profiter...

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Vendredi 30 novembre 5 30 /11 /Nov 00:47

tumblr_m7msrkfsDy1qg4n09o1_500.jpg

Ce fut, une fin de semaine complète de sexe de domination totale, il a dû vider son Labrador quatre fois, moi encore plus, avalant autant mon urine que mon sperme et la nuit du samedi, bien ligoté à son lit.

Marc fut plus que satisfait des deux bouts, aussi bien de la gueule que du cul et il en redemandait encore et encore, il est insatiable du trou de cul. Et la nuit du samedi, bien ligoté, j'ai invité deux de mes copains supers enculeurs et aussi pervers que moi. Sans oublier une surprise pour lui.

Donc ce samedi là, J'ai commencé par rafraîchir le rasage de son trou de cul et de ses petites couilles, ne lui laissant que quelques poils pubiens au-dessus de sa queue, lui rasant même la poitrine et sous les bras. Suivi d'un bon lavement de son trou de cul sale, lavement constitué uniquement de mon et son urine, qu'il gardas en lui plus de 45 minutes, avant de bien se vidé les intestins, pour l'installé à poil. Couché sur le ventre sur un bloc et mains et pieds attachés à des crochets au plancher, seul chose qu'il pouvait bouger étais sa tête, pour sucer et boire tous les liquides sortant d'une queue. Vraiment belle chienne avec ses bas de nylon, son porte jartelle et son trou de cul affamé ouvert à espéré une queue, n'importe quelle queue, une queue, belle chienne la pute à rabais. En sommes une vrai pelote à gosses.

Mes amis sont arrivés, en voyant ce beau spécimen au centre de la pièce, nous avons avalé deux bières chacun rapidement, le grand me demanda, il bois tu la pisse cette afaire là. Ma réponse fut simple, écoute bonhomme, ce n'est pas un mec comme je te disais, C'est un trou de cul, une chienne en chaleur, un urinoir, une toilette tu lui fais ce que tu veux. Comme tu veux!

Il se leva et est allé vers l'affaire au milieu de la pièce, lui donnant une bonne claque sur les fesses en passant, il sorti sa grosse queue sale bien fromagés, pour la mettre dans la bouche de notre chienne de service et il lui pissa dans la gueule plus de 4 minutes, l'urinoir vivante avalant tout, je fis de même et mon autre copain aussi qui étais bandé raide, après avoir vidé sa vessie dans sa gueule il se dirigea vers son trou de cul et sans ménagement lui planta à fond son gros 8 pouces dans le cul, la chienne à crier, elle a reçue une super bonne claque sur chaque fesse, pendant qu'il continuais à sortir et à entré dans ce trou de cul affamé, cinq minutes d' enculage viril et y se vida les couilles, suivis aussitôt de l'autre copain qui l'encula sauvagement de son gros 9 pouces, beuglant comme un déchaîné en éjaculant à son tour, suivi de moi-même, mes 8 pouces trempant dans l'abondante quantité de sperme dans ce trou de cul, je me suis vidé en moins de deux minutes.

Puis Claude a sorti de sa poche, un sac de plastique, il en sorti un linge imbibé du rut de une de ses chiennes en chaleur, qu'il passa sur les couilles et le cul bavant de sperme de notre chienne de service, il sorti du chalet et il revint avec un super beau gros labrador mâle, il lui défi sa chaîne, pour qu'il soit libre.

Il a vite senti l'odeur de notre chienne de service, il s'en approcha, lui senti le cul, il se mis à lui lécher les couilles et le trou de cul qui dégoûtais du sperme de nous trois, notre vrai chien a deux pattes y allais à fond de sa grande langue râpeuse, ma chienne de service se lamentais comme une vraie pute de basse cour, surtout quand le labrador l'à carrément monté pour lui planté sa queue dans le cul, elle gémissait et se tortillais en tous sens, plus que le chien la fourrais, elle en redemandais, le la brador lui bavais dans le dos, le pressant de ses pattes du devant, le labrador y allais à toutes vitesses dans le trou de cul de la belle chienne sale, le chien grognant lui remplissait de son jus de labrador mâle, mais la chienne de service, en voulais encore, elle se serais le cul pour retenir la queue dans labrador dans son trou de cul, le chien se libéras et mon copain fit lécher la queue du labrador pour notre pute, qui lui nettoya, en le suçant, durant qu'elle le suçait, le chien habituel de la chienne, la monta pour la fourré à son tour, bien à fond, en vrai chien mâle, pour se vidé à son tour.

Pas satisfaite, elle a demandé de le sucé, la réponse fut non, elle nous suppliât de la laissé se vidé la vessie, elle a pissé dans une cruche, nous trois avons pissé dans la même cruche, le tout bien brassé, un capuchon sur la cruche relié à un boyau et nous avons vidé complètement la cruche dans son trou de cul, et un gros butt plog pour bien bouché la tout, nous voulions l'enculé à nouveau, après un bon nettoyage du passage des deux chiens, elle se lamentais de la laissé se vidé, qu'elle avais des crampes terribles, la réponse fut: endure salope, tu chieras quand je déciderai.

Trente minutes plus tard, je l'es détaché et conduis à la salle de bain, ou elle passa plus de quinze minutes à se vidé les intestins, elle sortie de la toilette, blanche comme un drap, nous suppliant de ne plus rien faire pour ce soir.

Ta gueule maudite chienne sale, tu a trois trous de cul poilu à nettoyé de la langue de chienne, sans rien dire, soumis comme une chienne de service, à genoux elle nous à bine nettoyé nos trous cul et léché notre sueur sous nos bras, sucé nos queux bandés raides et même deux à la fois dans sa grande gueule de pute, pour l'enculé à tour de rôle et tous trois se vidé à nouveau dans son trou de cul affamé et bouillant, bien vidé, mes copains sont partis et moi j'ai conduit ma chienne de service dans sa cage pour la balance de la nuit, moi je suis monté dormir dans mon lit.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 23:19

tumblr_mb48pzGQpk1qg4n09o1_500.jpg

Mon cousin de 23 ans était venu passer une semaine à la maison, chez mes parents à Lyon. Nous sommes sortis plusieurs fois en boîte et au ciné, et puis mes parents nous ont laissés seuls le samedi; ils étaient partis chez des amis pour la journée.

Moi je jouais à la console quand mon cousin vint me voir. Il était torse nu avec un jeans. Il me demanda:

— Tu n'aurais pas un bon film de cul avec de bonnes salopes par hasard? J'ai la queue en feu!

Surpris, je répondis en bafouillant:

— Un film de cul!

— Ouais! qu'il me répondit. Il ajouta: Cela m'évitera d'aller en louer une! Alors?

Un peu frustré, je lui dis que je devais en avoir une et en même temps, je partis lui chercher. Il me le prit des mains et arrêta ma console pour regarder la cassette. Là, il lança la vidéo en s'allongeant sur le canapé et il me dit:

— Tu peux rester si tu veux!

Complètement troublé, je lui répondis:

— Je vais aller dans ma chambre.

Là il rétorqua:

— C'est vrai, toi et la chatte ça fait deux! Tu préfères la queue!

Je savais très bien que mon cousin était 100% hétéro et qu'il n'aimait pas trop les homos. Sur ces paroles, je partis dans ma chambre.

Environ 30 minutes après, je descendis de ma chambre car j'avais peur mais en même temps, je voulais mater sa queue! Malheureusement, il avait juste une main dans le froc et quand il me vit, il me dit:

— Viens t'asseoir!

Je ne voulais pas mater le film mais je m'assis quand même à côté de lui. Puis au bout de 15 minutes, il me dit:

— Ça ne te dérange pas si je me branle?

Moi je ne repondis pas, stupéfait de son sans-gêne! Il sortit sa queue de son jeans et commença à se passer la main sur la queue de haut en bas et de bas en haut. Je faisais semblant de ne pas le voir mais je regardais sa queue du coin de l'oeil. Il avait pas une queue spécialement longue (pas plus de 16 cm), mais la largeur de sa queue me surprit: au moins 8 cm de circonférence! Là, il me dit:

— Tu peux te branler aussi! Ne reste pas inactif comme ça devant d'aussi bonnes salopes!

— Je vais retourner là haut!

Là il m'attrapa la nuque, et me dit:

— Allez, suce-moi, tu en meurs d'envie.

Il me tira la tête avec force jusqu'à ce que mes lèvres touchent son gland, et me dit:

— Allez imagine-toi un esquimau! Suce! Allez, suce-moi!

Là, la tentation fut trop forte et je serrais mes lèvres sur son gland et commençai à descendre le long de sa verge. Il ôta sa main de ma nuque et me dit:

— Allez, suce-moi, p'tit pédé!

La largeur de son sexe me faisait mal aux lèvres et je ne descendais pas trop bas en le sucant. Puis, excédé, il me prit à nouveau la nuque et me donna le rythme... Un rythme plus cadencé et il appuyait sur ma nuque pour que je descende plus bas. Sous sa force, je ne pouvais résister, cela me faisait mal à la bouche, sa queue était de plus en plus moite. Je continuais à la sucer et il me disait:

— Allez p'tit pédé, t'aimes ça la queue! Allez, avale-la! Salope... Chienne de cousin!

Je continuais de le sucer de bas en haut et de haut en bas, la largeur de sa queue me faisait de plus en plus mal aux lèvres, car il appuyait toujours sur ma nuque avec une force colossale! Puis il m'attrapa les cheveux et me tira la tête vers l'arrière et là, il se leva et se branla sur moi et je reçus tout son foutre sur le ventre et le corps. Puis il ajouta:

— T'as de la chance d'être mon cousin sinon je t'aurais tout fait avaler!

Il partit se laver. Moi pendant ce temps, je suis resté allongé sur le canapé. Il sortit de la salle de bain et me dit:

— Alors, tu as aimé? C'était ta première pipe?

Je lui dis:

— Si on m'avait dit que ma première pipe, je la ferais à mon cousin!

Il rajouta:

— Va te laver maintenant! Et tu as intérêt à garder ça pour toi!

Quand je sortis de la salle de bain, mes parents étaient rentrés et mon cousin préparait ses affaires car il devait maintenant repartir!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 22:51

tumblr_m6ipz6YKur1qg4n09o1_500.jpg

Ce jour là,j'étais seul chez moi et comme souvent je mattais un film de cul tout en me masturbant. Je n'ai pas entendu mon grand frère se ramener avec son pote et pour être con, j'avais l'air con, quand ils se sont pointés en face de moi tout hillares. Je me jete sur mes fringues mais son pote me stoppe et me dit:

— Attends, j'ai envie de jouer avec toi!

Je regarde mon frère et il me sourit.

— Vas-y, dit-il à son pote, je te regarde...

Le gars me fout alors une grande claque dans la tête:

— Tu fais, tout ce que je te dis ou ta mère va avoir du mal à te reconnaitre!

— OK, fis-je.

Sans plus attendre, il se fout à poil et sa queue droite se dirige vers moi. Il me prend par le cou et je le suce. Deux minutes plus tard, il râle et son sperme envahit ma gorge. Comme il me tient toujours, j'avale. En moi, je me dis: "Enfin il a joui, il vont me foutre la paix" mais non, mon frère prend sa place et je comprends que je vais le sucer aussi, alors je me mets au taf. Lui aussi je joui dans le gosier. et ils se cassent sans s'occuper de moi.

Depuis, quand ça leur prend, ils viennent vers moi mais maintenant ils me sodomisent, jouissent sur moi, m'enfoncent leur main dans le cul, quand ils ne me pissent pas dessus! M'enfin! De toute façon, maintenant j'arrive à prendre mon pied avec eux sans même me toucher la bite et ça, c'est le principal!

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 22:57

ier3.coco.fr-4462.jpg

Me voilà couché dans mon lit au coté de mon frère et je ne peux m'empêcher de humer son odeur. Nous dormons ensemble parce qu'il s'est fait jeter de chez lui par sa petite amie, voilà comment nous nous retrouvons dans le même lit chez nos parents alors que je suis en vacances. Nous avons 7 ans de différence et j'avoue qu'il a gardé, malgré ses 29 ans, une certaine fraicheur adolescente, j'ai souvent fantasmé sur lui quand j’étais plus jeune et lui encore adolescent, mais la barrière morale m'a toujours empêché de tenter quoique se soit.

Et ce soir, il est là dans le même lit que moi, je regarde le plafond et je ne peux m'empêcher d'être anxieux sur ce qui pourrait éventuellement se passer, je dirais même que je suis excité mais trop paralysé par la peur pour tenter quoi que se soit... J'ai l'impression que son odeur emplit la pièce, je rêve, je fantasme et je commence doucement à m'endormir quand soudain il se retourne et met son bras gauche sur ma poitrine. Je crois que mon torse va éclater tellement mon coeur bat fort et là il commence à descendre sa main sur ma poitrine dénudée, je sens que sa main tremble, mais je ne dis rien et fais semblant de dormir, mais je crois qu'il sait que je ne fais que feindre. Il continue à me caresser le torse et je trouve cela vraiment très agréable, j'avoue que je bande comme jamais, c'est si dur que j'en ai mal.

Je me mets alors à lui caresser le bras du bout de mes doigts et tout d'un coup ça s’accélère, je me tourne vers lui et nous commençons à nous embrasser langoureusement, je sens sa langue dans ma bouche et j'éprouve une sensation vraiment étrange, c'est comme s'embrasser soi-même mais c'est également très différent. Nous nous enlaçons et je trouve cela vraiment très agréable, je caresse surement le corps le plus agréable que j'aie caressé, nos mains fouillent chaque centimètres de nos corps et j'avoue que je suis très impressionné par son cul, je ne l'aurais jamais deviné mais il a un superbe fessier, très ferme et rebondi, ce qui m'excite encore plus. Je crois que je perds à un moment donné la notion du temps ou un truc du genre car je suis entièrement concentré sur son corps, sa peau, ses muscles, c'est comme si c'était une immense jouissance permanente et tout ça grâce à mon propre petit frère.

Mon frère me plaque soudain sur le dos et se met à cheval sur moi puis il commence à descendre ses lèvres sur mon torse, chaque contact est vraiment électrique, puis il s'arrête un instant, je me dis que ça y est il est devenu conscient de ce que nous étions en train de faire, du tabou que nous étions en train de briser, mais non, je sens soudain ses lèvres sur mon gland, c'est si chaud et il descend lentement sur ma queue et je dois dire que pour un hétéro il suce divinement bien malgré la grosseur de ma queue (5cm de diamètre), sentir sa bouche sur ma queue est fantastique, je n'ai jamais été aussi bien sucé. Je veux lui arracher ma queue de ses lèvres car je sens que je vais jouir mais je n'y arrive pas et il prend toute ma semence dans sa bouche et j'avoue que malgré la présence de mes parents à l'étage du dessus je ne peux m'empêcher d'émettre un râle de jouissance, c'est tellement puissant que j'en ai la tête qui tourne, mais sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il me soulève le bassin, se crache dans la main et me doigte assez violemment mais je n'oppose aucune résistance quand tout à coup je sens un truc chaud qui pousse sur mon trou, je devine qu'il s'agit de son gland, je pense soudain que je vais me faire défoncer par mon frère.

Puis il pousse et je sens sa queue qui a l'air beaucoup plus fine que la mienne pénétrer dans mes entrailles, je trouve cela divin. Sa pénétration n'en finit pas, il a une queue apparemment très longue. Ça y est, sa queue est entièrement en moi. Il vient soudain m'embrasser et commence à me défoncer lentement, je sens sa queue aller et venir dans mon trou, je sens mon jeune frère perforer mon cul avec beaucoup de virilité, je suis sur une autre planète, comme en transe, mon frère me fait l'amour, me défonce, m’embrasse et me pince les seins, c'est mon fantasme qui se réalise. Il a vraiment une queue fantastique, très droite, très raide, je sens vraiment chaque centimètre, et une onde de chaleur m'inonde, elle irradie en moi, c'est tout simplement un orgasme, je suis en train de jouir comme jamais je n'ai joui, pourtant je ne bande pas, je suis là, les jambes en l'air et je jouis, je sens même un liquide chaud dégouliner de mon ventre, c'est mon foutre, je viens de comprendre que je viens de jouir physiquement...

Mon frère se déchaine dans mon trou puis il se crispe et lâche son foutre en moi sans un bruit, j'ai l'impression que sa jouissance n'en finit pas, puis il s'effondre sur moi et nous restons comme cela une bonne partie de la nuit, j'avoue que je n'ai pas fermé l'oeil, j'étais ailleurs, comme anesthésié...

Je vois que le matin pointe son nez, mais je vois surtout que la queue de mon frère pointe fièrement sous les draps, et j'ai envie de la voir de près, je repousse les draps et je vois exactement l'inverse de ma propre queue, la sienne est très longue et fine, cela me donne envie de la lécher et je ne me prive pas pour lui rendre la pareille de cette nuit, je la gobe d'un seul coup, mon dieu elle est bouillante et j'adore sucer cette queue raide. Il me regarde en train de le sucer, il se mordille les lèvres, je suppose que sa copine n'a pas dû lui faire souvent des pipes à gorge profonde. Il me prend la tête et m'enfourne sa queue encore plus profondément et lâche son foutre dans un râle qui en dit long sur son plaisir. Je décide de faire comme lui, je le soulève et lui introduit mon majeur dans l'anus, à ma grande surprise il se laisse faire, je décide alors, de lui lécher le trou, apparemment il ne connait pas ça, car je vois qu'il a un regard étonné. Je commence à faire parcourir ma langue sur ce joli trou vierge, quel plaisir de lécher ce joli trou rose sur ce splendide cul rebondi, quand à mon frère, il n'arrête pas de pousser des petits gémissements de plaisir qui en disent longs sur le pied qu'il prend, il adore ça et j’adore introduire ma langue dans ce jeune trou vierge, mais qui ne va pas le rester bien longtemps.

Je crache sur ma grosse bite et je pose mon gland à l'entrée de son trou, puis je pousse doucement, je le vois grimacer, je comprends qu'il a un peu mal, mais vu ma grosseur, je le comprends, mais je ne m'arrête pas et je pousse encore davantage, je sens son cul se décontracter et céder petit à petit sous mon assaut. Me voilà à fond dans mon frère, dans ce cul vierge et je commence mon va et vient, mon dieu, que c'est bon, cela fait des années que je n'avais pas pris un tel pied, je dois dire que son trou est vraiment très serré et qu'il moule ma queue comme un gant, c'est fabuleux, je manque de jouir à chaque coup de bite. Quand à mon frère, il est rouge pivoine, et il ne cesse de me fixer le pénétrer, je vois qu'il prend son pied car il se mord littéralement le lèvres pour étouffer ses cris de plaisir et je vois également sa bite bien raide qui ne cesse d'être agiter de soubresauts. Dans ce moment de folie, je me mets à lui lécher l'intérieur de la cuisse et à accélérer le mouvement de ma bite dans son cul, je prends mon pied comme jamais et d'un seul coup sa longue bite crache son foutre comme un geyser et s'écrase sur son joli visage, il en a partout, sur son torse et son visage et là il ne peut retenir un long cri de jouissance. Alors qu'il jouit, je sens que son anus est pris de soubresauts, ce qui entraine ma propre jouissance et elle est fulgurante, je crache mon foutre à n'en plus finir, j'ai l'impression que cela ne va jamais s’arrêter, je sens même mon trou se décontracter et le foutre de mon frère couler entre mes jambes. Je suis vidé dans tout les sens du terme puis je m'écroule sur mon frère comme une masse, je lèche le foutre qu'il y a sur ses lèvres et l'embrasse avec, c'est absolument divin, puis nous restons enlacés comme cela un petit moment...

Je redoute le moment où on va devoir émerger et reprendre notre vie normale, j'ai peur de son regard et de celui de mes parents, même si je sais qu'ils ne sauront rien, mais j'appréhende quand même. Nous nous levons chacun d'un coté du lit, je lui passe un vieux tee-shirt pour qu'il essuie son foutre, le silence est pesant quand dans un murmure il me dit :

— C'était la première fois pour moi, j'avais eu l'idée il y a très longtemps quand j'ai su que tu étais gay, j'avais eu envie de tester les mecs, mais j'avais peur.

— Je me doutais que c'était ta première fois, mais tu as été super, c'était fantastique, c'était l'un de mes fantasmes depuis très longtemps aussi, j'en avais honte.

— Tu sais je n'allais pas bien, j'avais envie que quelqu'un soit là pour moi, j'ai vraiment adoré, mais cela ne restera qu'une expérience, une très agréable expérience, mais une expérience, tu vois ce que je veux dire ?

— Oui je vois, ne t'inquiète pas, cela restera entre nous pour toujours...

Ensuite nous sommes allées à la douche à tour de rôle, puis nous avons fait comme si de rien n'était, nous avons eu quelques regards gênés, mais nous sommes restés les deux frères que nous étions, c'est à dire assez distant, mais cette nuit là restera gravée à jamais dans ma mémoire.

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
Ecrire un commentaire
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés