Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Je m’appelle Lionel et j’ai vingt-et-un ans. et je vis en province. Je n’ai jamais eu beaucoup de mecs parce que je suis très timide. Et aussi parce que je fantasme toujours sur des mecs que je n’ose pas aborder et qui me font peur. Je veux dire les hommes très virils, les motards, les moustachus au système pileux très développé, les grandes baraques pleines de muscles. J’ai beau me raisonner, il n’y a qu’eux qui m’excitent à mort. Parfois, je vais mater discrètement dans un café qui est connu comme le rendez-vous des motards. Après, je vais me branler sur mon lit ou dans les chiottes du café si c’est trop urgent. Je croyais que j'étais très discret et que personne ne m’avait remarqué. Mais ça a changé, samedi.
J’avais passé une heure dans le café devant une bière, un peu à l’écart, comme je le fais toujours. Un motard est entré dans le bar et j’ai senti mon cœur s’emballer. Ce mec était vêtu d’une combinaison de cuir noir vraiment très moulante, fermeture-éclair ouverte sur une poitrine velue et large. Le casque intégral à la main, il a enlevé ses gants et j’ai vu ses mains larges et musclées. Au moment où il commandait un demi, on a entendu le choc un peu sourd d’une bécane qui tombe ou que l’on cogne. Le mec est sorti. Je le voyais depuis la fenêtre. Un autre motard avait bousculé sa moto. Il n’y a pas eu beaucoup de mots mais une baston rapide. J’ai vu “mon” motard envoyer son poing dans la gueule de l’autre, esquiver quelques coups et balancer son poing une nouvelle fois dans la gueule de l’autre, et lui fendre la lèvre en lui disant:
— Maintenant tu te tires ou je t’écrase la gueule!
L’autre mec est parti en titubant et "mon” motard est rentré dans le bar pour boire sa bière comme s’il ne s’était rien passé. Moi, j’avais la bite dressée dans mon pantalon, prête à exploser. Je me faisais mon cinéma: je me disais que c’était l’homme qu’il me fallait. Mais, en même temps, réellement j’ai peur de ce genre de mec violent. Je ne vous raconte pas le choc de ma vie lorsque, alors que je sortais discrètement du café, ce type m’a accosté. J’ai pâli. Il m’a dit:
— T’as un faible pour les gros durs?
J’ai bafouillé que non et je suis devenu écarlate, et je me suis payé la honte de ma vie. Je l'ai entendu rire. Il m’a pris par le bras et m’a poussé vers sa bécane.
— Je t’emmène faire un tour!
Il m’a dit ça d’un ton tellement autoritaire que je n’ai rien rétorqué.
On s’est arrêté à une dizaine de kilomètres de Nîmes. Plus j’avais peur, plus j’avais la bite qui remuait. Quand on est arrivés chez lui, je tremblais comme une feuille. Il m’a dit:
— Tu te fous pas à poil? Faut que j’le fasse?
Et moi j’étais paralysé. Il s’est approché de moi. J'ai pensé que j'allais me faire cogner, j’ai baissé la tête. Il m’a pris la tête entre ses mains et m’a dit:
— T’as peur de quoi?
Avant que j’ai eu le temps de répondre, j’ai senti ses lèvres se refermer sur les miennes. Sa bouche toujours soudée à la mienne, il a commencé à me déshabiller, sa main est venue sur ma ceinture et m’a attrapé la queue à travers le caleçon, j’ai cru que j’allais décharger. Sa main était très chaude et très dure aussi. Elle est passée sous le caleçon et est remontée doucement vers l’anus. En sentant les doigts passer dessus, je me suis un peu contracté. Mon motard m’a dit:
— T’as encore peur? Tu sais pourtant que je vais te mettre, et que tu vas gueuler de plaisir!
Il m’a dessapé complètement, et puis lui s’est ensuite mis à poil. Je ne m’étais pas trompé; il était vraiment très beau et très musclé. Il m’a demandé que je lui taille une pipe. J’ai pris dans la bouche son membre très gonflé, aux veines saillantes. Il sentait encore l’odeur du cuir de la combinaison, et puis il m’a fermement renversé sur le plancher. Il faisait chaud et je commençais à transpirer. Il a plongé sa main entre mes cuisses, et j’ai senti qu’il avait mis du lubrifiant au bout de ses doigts, un gel un peu froid sur mon anus et les doigts qui massaient autour très doucement. J’ai commencé à gémir, peut-être parce que je ne m’attendais pas à cette douceur, c’était comme décuplé.
Je sentais qu’un doigt appuyait un peu plus sur les bords de la rosette et glissait dans mon cul très facilement. Je me suis fait branler le cul de cette façon avec deux et trois doigts, et c’était de plus en plus excitant. J’avais envie de me faire mettre. J’ai remonté les fesses un peu. J’avais encore un peu la trouille, mais le désir était plus fort que tout.
À ce moment-là, j’aurais pu me faire défoncer le fion avec une bouteille, je crois, sans rien dire. Mais c’est un long sexe chaud que j'ai senti me pénétrer, très très lentement et très profondément. J'avais l'impression qu'on ne m'avait jamais enculé comme ça. C’était une sensation nouvelle. Il m’enculait fermement mais doucement à la fois. Il a commencé à aller et venir en moi, et, avec une main, à me branler la queue. Je sentais le foutre qui me montait dans la queue. J’ai déchargé tout de suite, et au moment où je déchargeais, il a accéléré les mouvements de sa queue dans mon cul. Ce fut génial.
Après, il a continué à me limer plus tranquillement, et ma bite a repris du volume. J’avais l’impression que je ne serais jamais rassasié! J’avais envie que ça dure encore longtemps. Je voulais encore sentir sa main me branler la bite. Il me la serrait de plus en plus fort à mesure qu’il était prêt à jouir, et il a craché en moi en me la broyant presque. Moi aussi j’ai craché. Il s’est écrasé de tout son poids sur moi. Et puis il a commencé à me lécher la sueur sur la peau. C’était très doux. Il m’a léché partout sur le corps. Et je sentais que le plaisir allait se rallumer encore.
On s’est caressés longtemps, presque sans bouger. Je n’en pouvais plus. Je crois que de la tendresse comme ça, j’avais jamais eue. Au bout d’un moment, on rebandait tous les deux comme des cerfs. On a baisé tout l’après-midi et il m’a appris des choses. On doit se revoir ce soir. Quand je le vois, je suis fier. Avec son allure, il fait peur. Mais maintenant je sais que c’est un vrai mec très tendre quand il baise.
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Je n’avais jamais fait l'expérience avant. Le contact du caoutchouc noir. Ça m’a plu. Avant d'aller plus loin, que je me présente: Alex, vingt-neuf ans, parisien. Je suis bien foutu, plus blond que châtain, yeux noisette, et plus minet que butch survitaminé.
À propos du latex, c’est le toucher qui m'a lait bander en premier. J'étais dans un petit bar de la rue de Turgot près de Montmartre quand j’ai vu le type en question y entrer. Sur le coup, je n’ai pas fait trop attention, je me suis dit qu'il n'était pas mal avec ses joues mal rasées et ses yeux verts en amande, mais peut-être un peu mastoc. C’est au sous-sol, dans la minuscule backroom, que je me suis mis à genoux. Quand j'arrive, je passe tout de suite ma main au niveau des braguettes pour tâter les calibres. Quand ça vaut le coup, je me baisse et je me sers; c’est assez rare de tomber sur une bite qui refuse qu'on la salive un peu. Quand j'ai ouvert la braguette du mec au regard vert, j’ai été surpris de tomber sur une espèce de short en latex noir qu’il portait sous son jean crade. C’était complètement déformé par une monstrueuse bandaison. J'ai commencé à caresser et à mordiller la grosse bosse, persuadé qu’au bout d’un moment il baisserait le short pour que je puisse le sucer vraiment. Mais j’y ai pris goût à lécher cette souple matière. J’ai trouvé que l'odeur se mariait bien avec l'odeur habituelle des bites. Si il avait finalement voulu retirer son short, c'est moi qui l'aurais refusé. J'ai commencé à bien palper le braquemart, à prendre plaisir à le sentir s'agiter comme un gros serpent derrière la matière noire. Rien que le renflement suffisait à m'exciter, c'était pas croyable. Je passais et repassais ma langue sur le latex déformé, ça m'excitait de plus en plus. J’ai fini par sortir ma bite pour me branler un peu. J’ai levé la tête, et j'ai vu le type me sourire sans dire un mot. J'ai commencé à imaginer la bite, couverte d'une pellicule de sueur. Puis je me suis mis à la prendre avec mes mains pour la faire bouger à l'intérieur, pour la frotter contre la paroi souple, ensuite à pincer le gland en même temps. Le mec soupirait d'aise, la tête appuyée en arrière contre le mur.
Puis il me relève, et je m’aperçois qu'il porte un tee-shirt en latex sous son bomber. C'est un débardeur un fait, et d'autorité il me colle le nez sous ses aisselles, mais avec douceur, presque de la tendresse. L'odeur, forte, su mélange avec celle du caoutchouc. Je suis contre lui, et il me frappe le cul à coups lents et réguliers. Ensuite il s'est penché un peu pour me mordre les tétons comme une brute. J'avais conscience d'être le centre d'intérêt de la backroom, d'être la chienne de l’endroit, de me donner au plus macho comme une bonne salope, et que tout le monde allait me prendre pour une pute quand je remonterais. J'ai gueulé, moitié souffrance, moitié plaisir teinté d'un peu d'exhib. Ses grosses pognes me malaxent le cul, et je sens ma bite frotter contre la sienne, seulement séparées par la frontière du latex. Tout d'un coup, il m'a dit: “On va dans les chiottes, t'as l’air d'un bon lécheur de trous, toi! Vas-y, passe-moi la langue, montre-moi que tu mouilles de la gueule...”
J'étais hyper-excité. J’ai suivi de la langue le contours de ses bonnes fesses musclées derrière le latex, et j'ai pointé ma langue, durcissant le bout pour tenter d'atteindre son trou de balle que j’imaginais bien poilu et moite de sueur. Mais ça ne l’a pas trop amusé, on a fini par remonter. Il m’a payé une bière et m'a proposé d’aller rue Keller. J’ai accepté, et on y est allé vite avant que le bar ne ferme à deux heures. C'est là que j'ai vécu ma véritable initiation. Après m'avoir fait boire une double vodka et m’avoir fait respirer du poppers, il m’a fait mettre à genoux au fond du bar et il m'a fait avancer comme une chienne. Dès qu’il voyait un autre client en latex ou en cuir, il me le faisait renifler, il me claquait le cul en me disant qu’il allait bientôt s’en occuper. Ça le faisait marrer. Bien qu'excité par ce mâle, je me sentais honteux d’être traité comme un esclave devant tout le monde. Mais quand j’ai vu dans ce bar des mecs qui se faisait marcher dessus ou d'autres qui se faisaient arroser dans les chiottes sans que personne ne les juge, je me suis laissé aller à lécher tous les glands à ma portée. Je me suis fait remplir la gueule, je me suis frotté contre toutes les paires de bottes, j’ai caressé tous les latex présents. J’ai fini par jouir presque sans me toucher tellement j’étais allumé. Quand le bar a fermé, Guy m’a emmené chez lui, dans le Douzième. Là, il m’a ordonné de passer un jockstrap en latex et des grandes bottes de chasse kaki. C'est là qu’il m'a défoncé la rondelle tout en lenteur en me faisant sucer un énorme gode en caoutchouc noir. J’ai pris un pied pas possible à me faire limer par sa grosse matraque odorante. C'est après que j’ai vu une cagoule et un masque à gaz près du lit. Il m’a proposé de me pisser dessus dans la baignoire, mais là, j’ai refusé. Ça et les masques, on verra peut-être plus tard. Je ne me sens pas encore prêt à aller jusque là.
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