Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
voila son texte : voila si tu peux me passer cela rapide pour trouver des bonnes tiges pour mardi . merci a toi et bravo pour ton blog son mail :petit89@hotmail.com
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(*la teub de mon oncle)
Cette histoire s'est déroulée il y a bien des années, à une époque où on n'avait pas toutes les possibilités actuelles de voir (photos, films, sites) ou d'entendre parler des homos. Bref, j'avais 16 ans, j'étais passionné par la nature et je me suis retrouvé à partir une semaine en camping sauvage avec mon oncle Paul, en semi-montagne. Paul était un grand gaillard de presque deux mètres, super musclé, sportif, il jouait dans un club de rugby, était très poilu avec la touffe qui dépassait du col de ses chemises ou de ses pulls, toujours l'ombre d'une barbe naissante et une grosse moustache. J'étais très naïf et émerveillé par sa virilité.
Le premier soir de camping après le repas, je n'avais pas hésité à lui caresser le poil sous le menton et ma main avait glissé sur son torse puissant. Ça m'avait électrisé tandis que lui rigolait. Le même soir, je lui fis la bise avant de dormir, comme je faisais à mes parents chaque soir et je me fis traiter de bébé.
Le lendemain, un brusque changement de température me donna si froid, qu'il décida d'accrocher nos deux sacs de couchage ensemble. Je fus un peu troublé de voir entrer son grand corps musclé et couvert de poils, juste vêtu d'un mini-slip d'où dépassait une forte toison dans le duvet. Je me suis réveillé le matin blotti contre lui, la tête sur sa poitrine et la queue en érection. En se réveillant, il heurta ma bite et rigola. Je vous ai dit que j'étais naïf, je lui ai répondu droit dans les yeux: ça te fait rire mais pas moi, je ne sais pas ce qui m'arrive, ça le fait de plus en plus souvent, d'ailleurs quand je pense à toi ça augmente et cette nuit j'ai rêvé de toi et ça me serrait dans mon slip.
Il m'a regardé un peu interloqué et m'a proposé de me montrer comment faire pour faire retrouver à mon sexe son état «naturel»; il m'a branlé doucement et très peu de temps après, j'avais deux gros jets qui ont éclaboussé mes vêtements posés à quelques mètres. C'était la première fois, je me sentais tout bizarre. Nous n'en avons pas parlé de la journée mais le soir quand je me suis retrouvé avec lui dans le duvet, ça a recommencé. Toujours aussi idiot, j'ai demandé à Paul la même chose que le matin mais il a grommelé: "Tu peux le faire toi même." Je me suis donc exécuté en prenant garde d'avoir un mouchoir pour récupérer ce liquide inconnu.
Mais au petit matin, en bougeant, j'ai senti que c'était Paul qui avait besoin que je m'occupe de son sexe et avant même qu'il ne se réveille, j'ai commencé à le branler. J'étais très impressionné par sa taille, ce poil, ces deux grosses couilles que j'avais sorties de ce son slip trop petit. Il s'est réveillé soudainement en arrêtant ma main et en me disant: "Mais qu'est-ce que tu fais?" J'étais tout content de moi, alors je lui ai répondu: "Mais je te rends la pareille, il ne faut pas?" et j'ai repris sur le champ mon travail. Il a dégorgé quelques secondes plus tard, mais sans jet, il avait plein de sperme entre son nombril et sa queue. Très curieux, j'ai mis ma main dedans et je l'ai étalé un peu. Il m'a demandé alors de chercher une serviette.
Il a fini par m'expliquer qu'on pourrait continuer à le faire tous les deux mais qu'il ne fallait pas le dire. J'étais ravi! J'ai attendu le soir et là ça c'est passé différemment. Paul me branlait, je lui ai dit que ça allait venir quand il a pris ma bite dans sa bouche et a tout récupéré. Je sentais les poils de sa moustache, quelle extase! Il est sorti de la tente pour cracher et j'avis envie de lui faire la même chose, même si sa «sucette» m'impressionnait. Il était là allongé nu sur son duvet, je me suis couché sur lui, j'avais la tête au niveau de ses aisselles. Je me suis laissé emporter, tout a été naturel, je lui ai léché le dessous des bras, c'était dense, humide, puis il m'a fait arrêter sur ses seins. Après, ma langue a tenté de se frayer un passage entre ses poils pour arriver au nombril. Paul gémissait.
Arrivé à sa queue, il a pris ses couilles entre ses mains et a remonté ses jambes. J'avais en ligne de mire son gros dard et sa raie où le poil humidifié m'attirait, j'y ai passé la main puis surmontant mon appréhension, j'ai commencé à le lécher. Il s'est légèrement cambré et je me suis retrouvé face à son anus. Il m'a alors redressé la tête et m'a fait prendre sa bite en bouche, je ne pouvais engloutir que le gland d'où perlait un peu de precum. Nous nous sommes mis en 69 et là j'étais complètement grisé, sans plus savoir ce qui se passait. Nous nous sommes embrassés, puis avons repris nos fellations simultanées. J'ai joui rapidement dans sa bouche. Il est venu alors se servir de mon sperme pour me lubrifier l'anus puis il a approché son sexe énorme qui était prêt à exploser. J'ignorais tout jusqu'à cette soirée, j'ai tout découvert d'un coup. Il a glissé en moi doucement, centimètre par centimètre et sans même faire de va-et-vient quand tout a été entré il a joui. J'ai senti son bonheur.
Nous avons continué toute la nuit, il m'a laissé le prendre, malgré mon sexe plus petit que le sien, car il voulait faire de moi un homme.
À la fin du séjour, Paul a retrouvé sa femme et ses enfants et moi je ne souhaitais que partager ce nouveau savoir.
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