Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Septembre 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
cette histoire s’est déroulée il y a quelques années en Irlande, où, à l’âge de 20 ans, j’avais décidé de passer une année à l’université pour perfectionner mon anglais. La famille d’accueil qui m’avait reçu était composée de quatre personnes: Gabriel, le père avait une cinquantaine d’années, il était marié avec Marjorie et ils avaient deux enfants, Paula, qui avait le même âge que moi et suivait les mêmes cours et Sean qui en avait 15 ans.
Je fus un peu surpris par la climat familial en arrivant mais je réussis à m’y habituer. Gabriel avait été séminariste et même je crois bien prêtre, puis il avait rompu ses vœux. L’ambiance du foyer était donc très pieuse, voire austère. C’était plutôt le genre col de chemise fermé jusqu’en haut, prière avant tous les repas et messe bien sûr le dimanche. Par ailleurs, Marjorie était une maniaque absolue du ménage et de la propreté. Tout brillait dans la maison, y compris ses habitants. J’avais donc réussi à me plier à ses rites, cela avait même freiné ma sexualité qui n’était pas très développée. Si en France j’avais l’habitude de me branler dès que je bandais, notamment le soir ou le matin, ici j’avais à peu près arrêté, de peur de laisser des traces compromettantes.
Je n’arrivais pas trop à m’intéresser à des vraies relations sexuelles avec des filles, je n’avais couché que deux fois. Pour la forme, j’avais tenté de draguer Paula mais cette dernière était un vrai bloc de glace avec moi. Assez rarement, la famille avait fait des repas de fête, dont bien sûr pour Noël, où exceptionnellement on avait droit de boire ces délicieux whiskys locaux. Bref, l’année s’écoula, relativement terne, et je commençais à me préparer à passer l’examen final, attendre les résultats, puis fêter mon départ.
On y arriva doucement et puis un jour fut fixé. Je sentais que Marjorie stressait car elle voulait que tout soit impeccable. Sean, qui m’avait toujours semblé triste, le paraissait de plus en plus. Quant à Gabriel, il restait toujours aussi distant. Le soir venu, je contemplai l’organisation de la salle à manger. La table avait été poussée contre un mur, on y avait placé des sandwiches, un saladier contenant un liquide alcoolisé. Il y avait quelques cotillons. Ils étaient tous installés dans le coin salon sur le canapé et se levèrent pour venir m’embrasser. J’allai avec Paula dans la cuisine pour l’aider au service quand celle-ci me glissa dans l’oreille que pour que ce soit plus fun, elle avait corsé le cocktail. Cela m’émoustilla un peu, il y allait avoir de quoi s’amuser. Et en effet, Gabriel se servait copieusement, en ne m’oubliant pas.
À un moment, il voulut me faire goûter une liqueur traditionnelle locale. Tous me regardèrent avec curiosité ou amusement quand je commençai à déguster. C’était à la fois doux et onctueux mais traître car je sentis une grande chaleur en moi. Petit à petit, j’avais de plus en plus soif et seul l’alcool me rassasiait. Paula avait mis la musique et dans un brouillard naissant, je la voyais qui commençait à danser. À un moment, il me sembla qu’elle avait enlevé tee-shirt et sous-tif. Quelques minutes plus tard, je la vis soulever sa jupe. Je crus qu’elle y glissait un objet. Ce fut ensuite le trou noir.
Quand je repris conscience, avant même d'ouvrir les yeux, je sentis que j'étais allongé sur quelque chose de dur, que j'étais entravé et quelque chose me passait sur les lèvres. Une odeur très forte finit par me faire émerger. Je crus être dans un rêve, cela m'arrivait souvent d'en faire d'érotiques, mais je finis par prendre conscience que Gabriel me passait sa queue en semi-érection sur le visage. Je voyais son slip un peu abaissé et à voir la couleur, je compris l'origine de la senteur. En fait, j'étais allongé nu sur la table, mes mains et mes pieds attachés par des cordages. J'étais placé de telle façon que ma tête pendait un peu en arrière, ce qui me permettait de voir Gabriel par en dessous, du haut de ses cuisses à son torse puisqu'il avait sa chemise ouverte. Mes jambes pendaient dans le vide de l'autre côté, mes fesses étant juste sur le rebord.
Quand il vit que j'étais éveillé, Gabriel commença à bander. Son gland décalotté laissait voir qu'il n'avait aucune hygiène intime. Cela me surprit, mais ce n'était pas cela qui me préoccupait le plus. Qu'allait-il m'arriver? Il me saisit alors par le cou et parvint à me faire ouvrir la bouche où il engouffra son gourdin qui durcit encore en y entrant. Je n'eus même pas le réflexe de mordre et de toute façon, je crus pendant quelques secondes que j'allais étouffer. Intuition naturelle? Je sentis ma langue appuyer le dard et monter le long du gland. De toute façon cela ne dura pas longtemps quand j’aperçus sa crème se déverser en moi. Il se retira, son sperme épais commençant à me dégouliner le long des commissures. L'alcool devait faire de l'effet car je trouvais ça tout à fait normal, je me sentais extérieur à moi-même.
Sa bite n'avait pas eu le temps de ramollir qu'il se dirigea vers mon cul et reprit son manège. Il me la passait de haut en bas dans la raie. Tout en m'injuriant copieusement il me cracha sur l'anus et quand il estima qu'il était prêt, il me perfora d'un coup net. Je ne pus m'empêcher de hurler, des larmes me montèrent aux yeux. Malgré ma vision brouillée, je vis quelqu'un se relever du canapé où il devait être allongée, c'était Paula qui nous regardait en souriant bêtement. Son père se déchaîna en moi. Pour que ça glisse mieux, il versait du reste du punch qui était dans le saladier et pour faire taire mes cris qui s'étaient transformés en gémissements; il m'en faisait couler aussi dans la bouche. En effet, la chaleur du ramonage me procurait des sensations extraordinaires. Je m'étais mis moi aussi à bander et sans me toucher, j'éjaculai par de longs jets dont l'un vint s'écraser sur mon visage. Gabriel était rouge vif. Dans un dernier ahanement, il se retira pour s'écraser sur moi. Je sentais son sperme chaud s'étendre sur mon ventre. Il partit et s'affala sur le fauteuil où 30 secondes plus tard il se mit à ronfler.
Tout à coup, je sentis les liens se distendre et je parvins à me libérer. Je marchai en écartant les jambes car j'avais le cul bien éclaté pour m'approcher du canapé où était Paula. Lorsque je la vis, je fus soufflé par le spectacle. Marjorie était couchée, les yeux révulsés, se passant la langue mécaniquement sur la bouche comme si elle était en transe pendant que sa fille la léchait avec avidité tout en se doigtant. Elles jouissaient toutes les deux en symbiose et cela m'excitait. Je voulus m'approcher mais Paula me repoussa. Une certaine nausée due à l'alcool s'empara de moi et je décidai de monter à ma chambre en titubant.
Il y eut un second trou noir et quand j'ouvris les yeux je me retrouvai allongé sur mon lit. Combien de temps s'était passé depuis l'épisode de tout à l'heure? De plus, Sean était lové contre moi, je sentais sa jeune verge bien dure qui frémissait contre ma cuisse. La tournure des événements devenait extraordinaire, sortais-je d'un rêve? En recommençais-je un? Il entreprit de me lécher le cul et je compris malgré la douceur et la fraîcheur de sa langue que celui-ci avait bel et bien été forcé. Je me décidai à l'arrêter et lui posai des questions.
— C'est ton père qui m'a fait ça? Je ne l'ai pas imaginé?
— Non, m'avoua-t-il. Mais je suis là pour que tu lui pardonnes; prends-moi à ton tour.
Sa tendresse m'avait excité, et tout ce temps passé sans me vider régulièrement les burnes me poussèrent à accepter son offre. Je voulais être plus attentif que son père. J'ouvris ses petites fesses musclées qui cachaient un petit trou imberbe. J'appuyai par petits coups pour qu'il puisse petit à petit me laisser entrer. Quand j'y fus, j'étais délicieusement serré. J'entrepris de le pilonner de plus en plus fort. L'envie me poussait à devenir plus exigeant. Je le voyais se serrer les lèvres, je lui fis mordre un de mes doigts. J'accélérai alors encore la cadence et je finis par me répandre en lui. En passant ma main pour lui caresser le sexe, je me rendis compte qu'i avait joui aussi. Je pris tout de même son sexe en bouche pour le lui nettoyer. Il avait un goût frais et je dirais, fleuri. Je lui fis remarquer que par rapport à son père, c'était le jour et la nuit. Il avoua alors que Gabriel, par croyance, ne se touchait jamais le sexe, ni lorsqu'il se lavait, ni même lorsqu'il pissait, de même il ne changeait de sous-vêtements que très peu. Nous finîmes par nous endormir après bien des révélations.
Quand je me réveillai, je m'aperçus que j'avais retrouvé mon pantalon de pyjama habituel. Je descendis prendre mon petit-déjeuner et ils étaient tous les quatre à table comme d'habitude. Nous fîmes la prière et je commençais à penser que j'avais décidément rêvé. Mais alors pourquoi lorsque je m'assis sur les chaises pourtant confortables, je sentis une douleur m'élancer aux fesses?
J’étais sorti avec Sylvain (j’étais désormais avec Anna), un lycéen comme moi n’avait pas forcément encore choisi vers quel sexe il se destinerait. D’ailleurs, ça ne me gênait pas et c’était de notoriété publique. Anna le comprenait très bien et quand nos relations devinrent plus poussées, elle me présenta à David, son père. Ce dernier vivait seul, de petits boulots, on aurait cru un ado attardé malgré ses 42 ans. Je sympathisai rapidement malgré quelques détails qui ne me plaisaient pas trop. Il draguait ouvertement les amies de sa fille, me parlait beaucoup de sexe dans nos discussions particulières avec force détails, parfois bien gras. Je savais qu’il lisait des revues de sexe, regardait beaucoup de films X, était souvent branché sur Internet sur des sites pornos.
Nous avions décidé de faire se rencontrer nos familles respectives, si bien que l’été suivant, on loua une maison à la campagne. David entreprit de séduire ma mère et il y parvint car un soir que je me promenais seul à attendre Anna, je le vis entre les jambes écartées de maman en train de la lécher. Et dire que mon père ne se rendit compte de rien!
Deux jours après, j’étais en train de nettoyer la douche, enfermé dans la cabine, quand j’entendis quelqu’un entrer et fermer la porte derrière lui. Comme il y avait également des WC, je sortis pour prévenir de ma présence. C’était David; il ne fut même pas décontenancé. Il baissa son short, s’assit sur les toilettes et commença son œuvre. Il avait une revue X dans les mains et était venu pour se branler. Il se prit sa queue qui était décalottée et bien droite et commença son va-et-vient. J’étais interloqué. Il me dit qu’entre mecs, ce n’était pas gênant, qu’il se masturbait une à trois fois par jour depuis qu’il était ado, qu’il l’avait fait plus d’une fois devant d’autres, notamment dans son club sportif et que je n’avais qu’à le faire aussi, ça l’exciterait moins qu’une fille se doigtant mais c’était toujours entraînant. C’était un rapide car il éjacula rapidement et se réajusta aussi vite. Il me dit en partant: "Tu devrais faire pareil, je parie que tu as la gaule!" Et en sortant, il me saisit le paquet qui en effet était à l’étroit. Je restai seul comme un idiot et je poursuivis mon nettoyage. En regardant dans la cuvette des WC, je vis qu’il y avait encore une petite coulée de sperme. J’y mis mon doigt et je l’approchai de mon nez. Ça me rappelait mes quelques expériences gaies.
Cet épisode renforça «l’affection» de David vis-à-vis de moi. Il me parlait désormais souvent de ses branlettes, me demandait quand je le faisais, la taille de ma queue, etc...
À l’issue des vacances, Anna et moi ne nous retrouvâmes pas dans la même classe. Elle eut de nouveaux amis et plus particulièrement Sonia et Franck. Sonia était superbe et me troublait, mais que dire de Franck qui faisait craquer toutes les filles et sans doute bien des garçons. Sonia et Franck n’étaient pas ensemble et je compris que ni Anna, ni son père n’y étaient comme moi insensibles. David m’avoua qu’il voulait la baiser et était prêt à un plan à trois avec ces deux-là. Anna s’écarta de moi petit à petit. Et puis un jour elle me dit qu’elle voulait rompre pour aller avec Franck. J’étais déçu mais nous restâmes amis et je continuai à voir son père. Ce dernier avait essayé pas mal de trucs pour séduire Sonia.
Comme j’étais désormais célibataire, j’entrai dans son jeu et lui proposai un plan à quatre ou cinq pour l'émoustiller. Il me dit qu’il allait mettre ça au point puis un jour il abandonna. Je vis qu’il avait changé. Tout en restant obsédé, il était davantage réservé. Nous allions tous les cinq à la piscine une fois par semaine et je découvris les raisons de son changement.
Franck mettait toujours un temps fou pour arriver au bassin. Or ce jour là, au moment d’entrer dans l’eau, David prétexta une excuse pour retourner au vestiaire. Je laissai les filles plonger et je le suivis quelques minutes plus tard. Arrivé dans les cabines, une seule était fermée, je me penchai pour regarder et vis qu’il y avait deux personnes. Les bruits n’étaient pas équivoques: gémissements et frottis. Je n’eus pas à attendre longtemps, caché dans une autre cabine. Je vis sortir Franck et David. Il avait donc des rapports sexuels avec le petit ami de sa fille. J’enquêtai auprès de cette dernière. Elle m’avoua que Franck n’était pas intéressé par le sexe et qu’ils n’avaient pas encore couché ensemble.
Le week-end suivant, nous étions à nouveau tous les cinq. Anna et Sonia partirent se coucher et je sentis que David me poussait à faire pareil. Je fis semblant de suivre ses conseils et attendit un peu. En fait, il regardait le porno de la nuit avec Franck et à un moment, ils se mirent à baiser. David encula Franck puis lui demanda de le sucer. Je montai dans ma chambre quand je surpris d’autres bruits. J’étais vraiment naïf: Sonia et Anna couchaient ensemble! Décidément, ils me cachaient un peu trop de choses et je sentais ma part homo qui revenait.
Je repris mes questions auprès d’Anna, elle m’avoua quand je lui révélai ce que je savais. C’était son père qui, s’étant cassé les dents sur Sonia, avait dit à cette dernière d’essayer avec elle et que s’étant montrée très entreprenante, elle avait cédé et ne le regrettait pas. Je lui demandai alors si elle savait pour son père et Franck. Elle m’informa alors qu’il avait vécu avec des mecs avant de se marier avec sa mère.
Nous étions arrivés aux vacances de Noël. Franck était parti temporairement, David avait un intérim d’animation commerciale et il m’avait fait recruter en job étudiant. Il était déguisé en père Noël et accueillait les enfants sur une estrade à qui je donnais des cadeaux quand je ne faisais pas aussi un petit spectacle. Ce jour là, je jouai un grand enfant qui venait déposer sa liste. Je vins, devant tout le monde, m’asseoir sur les genoux du père Noël. Je lui demandai comme prévu ce que je voulais, tous nos petits spectateurs riaient. Mais David me répondit tout bas à l’oreille que j’étais assis sur ses parties intimes et que ça le faisait bander. Il croyait me provoquer une fois de plus? La situation me plaisait, si bien que je commençai à me dandiner pour accentuer les frottements et le plus discrètement possible je posai ma main et me mis à masser sa bite que je sentais palpiter sous son grand pantalon rouge. Il me traita de grosse vicieuse mais il ne pouvait pas s’y soustraire. Je tenais là une petite vengeance d’avoir été laissé sur le carreau et faire ça incognito m’excitait.
Lorsque nous nous retrouvâmes à la loge, David était mi en colère, mi content. "On aurait pu nous voir!" me disait-il. Et puis après un temps d’arrêt: "Maintenant je suis super excité!" J’avais perdu toutes mes inhibitions et lui lançai que je pouvais remplacer Franck. Sans réfléchir plus, je me mis à genoux et entrepris de le sucer. J’avais la queue du père Noël dans la bouche et sa barbe blanche frottait le haut de ma tête pendant que j’étais à l’œuvre!
Le soir-même nous retrouvâmes tous les deux pour une partie de sexe qui fut mémorable, et que l’on ouvrit, dès son retour de vacances, à Franck, puis à d’autres garçons et filles de tous âges.
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