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Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 21:53

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cette histoire s’est déroulée il y a quelques années en Irlande, où, à l’âge de 20 ans, j’avais décidé de passer une année à l’université pour perfectionner mon anglais. La famille d’accueil qui m’avait reçu était composée de quatre personnes: Gabriel, le père avait une cinquantaine d’années, il était marié avec Marjorie et ils avaient deux enfants, Paula, qui avait le même âge que moi et suivait les mêmes cours et Sean qui en avait 15 ans.

Je fus un peu surpris par la climat familial en arrivant mais je réussis à m’y habituer. Gabriel avait été séminariste et même je crois bien prêtre, puis il avait rompu ses vœux. L’ambiance du foyer était donc très pieuse, voire austère. C’était plutôt le genre col de chemise fermé jusqu’en haut, prière avant tous les repas et messe bien sûr le dimanche. Par ailleurs, Marjorie était une maniaque absolue du ménage et de la propreté. Tout brillait dans la maison, y compris ses habitants. J’avais donc réussi à me plier à ses rites, cela avait même freiné ma sexualité qui n’était pas très développée. Si en France j’avais l’habitude de me branler dès que je bandais, notamment le soir ou le matin, ici j’avais à peu près arrêté, de peur de laisser des traces compromettantes.

Je n’arrivais pas trop à m’intéresser à des vraies relations sexuelles avec des filles, je n’avais couché que deux fois. Pour la forme, j’avais tenté de draguer Paula mais cette dernière était un vrai bloc de glace avec moi. Assez rarement, la famille avait fait des repas de fête, dont bien sûr pour Noël, où exceptionnellement on avait droit de boire ces délicieux whiskys locaux. Bref, l’année s’écoula, relativement terne, et je commençais à me préparer à passer l’examen final, attendre les résultats, puis fêter mon départ.

On y arriva doucement et puis un jour fut fixé. Je sentais que Marjorie stressait car elle voulait que tout soit impeccable. Sean, qui m’avait toujours semblé triste, le paraissait de plus en plus. Quant à Gabriel, il restait toujours aussi distant. Le soir venu, je contemplai l’organisation de la salle à manger. La table avait été poussée contre un mur, on y avait placé des sandwiches, un saladier contenant un liquide alcoolisé. Il y avait quelques cotillons. Ils étaient tous installés dans le coin salon sur le canapé et se levèrent pour venir m’embrasser. J’allai avec Paula dans la cuisine pour l’aider au service quand celle-ci me glissa dans l’oreille que pour que ce soit plus fun, elle avait corsé le cocktail. Cela m’émoustilla un peu, il y allait avoir de quoi s’amuser. Et en effet, Gabriel se servait copieusement, en ne m’oubliant pas.

À un moment, il voulut me faire goûter une liqueur traditionnelle locale. Tous me regardèrent avec curiosité ou amusement quand je commençai à déguster. C’était à la fois doux et onctueux mais traître car je sentis une grande chaleur en moi. Petit à petit, j’avais de plus en plus soif et seul l’alcool me rassasiait. Paula avait mis la musique et dans un brouillard naissant, je la voyais qui commençait à danser. À un moment, il me sembla qu’elle avait enlevé tee-shirt et sous-tif. Quelques minutes plus tard, je la vis soulever sa jupe. Je crus qu’elle y glissait un objet. Ce fut ensuite le trou noir.

Quand je repris conscience, avant même d'ouvrir les yeux, je sentis que j'étais allongé sur quelque chose de dur, que j'étais entravé et quelque chose me passait sur les lèvres. Une odeur très forte finit par me faire émerger. Je crus être dans un rêve, cela m'arrivait souvent d'en faire d'érotiques, mais je finis par prendre conscience que Gabriel me passait sa queue en semi-érection sur le visage. Je voyais son slip un peu abaissé et à voir la couleur, je compris l'origine de la senteur. En fait, j'étais allongé nu sur la table, mes mains et mes pieds attachés par des cordages. J'étais placé de telle façon que ma tête pendait un peu en arrière, ce qui me permettait de voir Gabriel par en dessous, du haut de ses cuisses à son torse puisqu'il avait sa chemise ouverte. Mes jambes pendaient dans le vide de l'autre côté, mes fesses étant juste sur le rebord.

Quand il vit que j'étais éveillé, Gabriel commença à bander. Son gland décalotté laissait voir qu'il n'avait aucune hygiène intime. Cela me surprit, mais ce n'était pas cela qui me préoccupait le plus. Qu'allait-il m'arriver? Il me saisit alors par le cou et parvint à me faire ouvrir la bouche où il engouffra son gourdin qui durcit encore en y entrant. Je n'eus même pas le réflexe de mordre et de toute façon, je crus pendant quelques secondes que j'allais étouffer. Intuition naturelle? Je sentis ma langue appuyer le dard et monter le long du gland. De toute façon cela ne dura pas longtemps quand j’aperçus sa crème se déverser en moi. Il se retira, son sperme épais commençant à me dégouliner le long des commissures. L'alcool devait faire de l'effet car je trouvais ça tout à fait normal, je me sentais extérieur à moi-même.

Sa bite n'avait pas eu le temps de ramollir qu'il se dirigea vers mon cul et reprit son manège. Il me la passait de haut en bas dans la raie. Tout en m'injuriant copieusement il me cracha sur l'anus et quand il estima qu'il était prêt, il me perfora d'un coup net. Je ne pus m'empêcher de hurler, des larmes me montèrent aux yeux. Malgré ma vision brouillée, je vis quelqu'un se relever du canapé où il devait être allongée, c'était Paula qui nous regardait en souriant bêtement. Son père se déchaîna en moi. Pour que ça glisse mieux, il versait du reste du punch qui était dans le saladier et pour faire taire mes cris qui s'étaient transformés en gémissements; il m'en faisait couler aussi dans la bouche. En effet, la chaleur du ramonage me procurait des sensations extraordinaires. Je m'étais mis moi aussi à bander et sans me toucher, j'éjaculai par de longs jets dont l'un vint s'écraser sur mon visage. Gabriel était rouge vif. Dans un dernier ahanement, il se retira pour s'écraser sur moi. Je sentais son sperme chaud s'étendre sur mon ventre. Il partit et s'affala sur le fauteuil où 30 secondes plus tard il se mit à ronfler.

Tout à coup, je sentis les liens se distendre et je parvins à me libérer. Je marchai en écartant les jambes car j'avais le cul bien éclaté pour m'approcher du canapé où était Paula. Lorsque je la vis, je fus soufflé par le spectacle. Marjorie était couchée, les yeux révulsés, se passant la langue mécaniquement sur la bouche comme si elle était en transe pendant que sa fille la léchait avec avidité tout en se doigtant. Elles jouissaient toutes les deux en symbiose et cela m'excitait. Je voulus m'approcher mais Paula me repoussa. Une certaine nausée due à l'alcool s'empara de moi et je décidai de monter à ma chambre en titubant.

Il y eut un second trou noir et quand j'ouvris les yeux je me retrouvai allongé sur mon lit. Combien de temps s'était passé depuis l'épisode de tout à l'heure? De plus, Sean était lové contre moi, je sentais sa jeune verge bien dure qui frémissait contre ma cuisse. La tournure des événements devenait extraordinaire, sortais-je d'un rêve? En recommençais-je un? Il entreprit de me lécher le cul et je compris malgré la douceur et la fraîcheur de sa langue que celui-ci avait bel et bien été forcé. Je me décidai à l'arrêter et lui posai des questions.

— C'est ton père qui m'a fait ça? Je ne l'ai pas imaginé?

— Non, m'avoua-t-il. Mais je suis là pour que tu lui pardonnes; prends-moi à ton tour.

Sa tendresse m'avait excité, et tout ce temps passé sans me vider régulièrement les burnes me poussèrent à accepter son offre. Je voulais être plus attentif que son père. J'ouvris ses petites fesses musclées qui cachaient un petit trou imberbe. J'appuyai par petits coups pour qu'il puisse petit à petit me laisser entrer. Quand j'y fus, j'étais délicieusement serré. J'entrepris de le pilonner de plus en plus fort. L'envie me poussait à devenir plus exigeant. Je le voyais se serrer les lèvres, je lui fis mordre un de mes doigts. J'accélérai alors encore la cadence et je finis par me répandre en lui. En passant ma main pour lui caresser le sexe, je me rendis compte qu'i avait joui aussi. Je pris tout de même son sexe en bouche pour le lui nettoyer. Il avait un goût frais et je dirais, fleuri. Je lui fis remarquer que par rapport à son père, c'était le jour et la nuit. Il avoua alors que Gabriel, par croyance, ne se touchait jamais le sexe, ni lorsqu'il se lavait, ni même lorsqu'il pissait, de même il ne changeait de sous-vêtements que très peu. Nous finîmes par nous endormir après bien des révélations.

Quand je me réveillai, je m'aperçus que j'avais retrouvé mon pantalon de pyjama habituel. Je descendis prendre mon petit-déjeuner et ils étaient tous les quatre à table comme d'habitude. Nous fîmes la prière et je commençais à penser que j'avais décidément rêvé. Mais alors pourquoi lorsque je m'assis sur les chaises pourtant confortables, je sentis une douleur m'élancer aux fesses?

 

Par babaslebatard - Publié dans : fan de histoires de mec - Communauté : communaute gay - Voir les 0 commentaires
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