Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Paul vivait très bien. Son père était dans la quarantaine et directeur d'une banque privée, donc millionnaire. Il était fils unique et n'avait jamais connu sa mère. Ce n'est qu'à l'age de 8 ans qu'il a appris avoir été adopté et qu'il ne verrait jamais ses vrais parents. Depuis longtemps, il fantasmait sur son père adoptif. Il écrivait des récits sur eux, Julien (Le Père) dominant le jeune Paul. C'est un jour d'hiver, alors qu'il avait tout juste 16 ans, que tout a commencé…
Comme tous les mercredis, Paul rentrait chez lui et, sans prendre de repas, s'en alla dans sa chambre. Il décala son armoire d'un mètre et révéla ainsi une porte donnant sur une salle supposée inutilisée. Or Paul s'en servait de dépôt pour ses sextoys. Il prit un vibrato et un cockring et se les enfila. Il mit ensuite une tenue de latex très moulante couvrant tout le bas du corps. Puis il prit un DVD au vol, s'en alla en boitillant dans la salle de télé au sous-sol, mit le DVD dans le lecteur et alluma la télé. Il s'agissait du film "Punished Twinks 2" de Daddy Darby's (ce type le faisait fantasmer à mort). Pendant la durée du fil, il se mit à genoux (sur un coussin car il ne supportait pas facilement cette position), les mains dans le dos. Il sentait le vibrato lui torturer le cul, mais il ne voulait pas bouger. Il se concentrait sur le film et sa bite en érection tentait d'appuyer le latex pour se libérer. Il aimait ce type de douleur, mais il n'était pas entièrement satisfait : son rêve était de reproduire cette scène en servant un maître. À la fin du film, il retira le DVD du lecteur et chercha dans les fichiers un document nommé "Hypnose.mp4". Il rêvait depuis longtemps de s'essayer à cette pratique. Il appuya sur play et se remit dans la même position, mais rien ne se produisit ; il ne sentait rien de particulier. Cependant, bizarrement, il n'alla pas l'éteindre. Bien qu'il ne soit pas emballé par ceci, il laissa continuer et garda sa position. Quelques minutes passèrent. Soudain une voix : "Paul, je suis rentré plus tôt aujourd'hui". Son père. Il éteignit dans la précipitation la télévision et cacha le DVD, mais il ne pût rien faire d'autre : son père descendait les escaliers pour aller, comme tous les mercredis, regarder sa série télévisée.
1 marche, 2 marches, 3 marches.
Il pense :
— Bon, je fais quoi maintenant ? S'il me voit comme ça, je suis foutu. Je peux me déshabiller en vitesse… Non j'ai pas le temps. Aaaaaarrg, putain je fais quoi ?
4 marches, 5 marches, 6 marches, 7 marches.
— Je peux lui dire que c'est un bizutage entre potes… Ouais, c'est bien, ça, un bizutage… J'ai été obligé de le faire pour… mettons… aller aux soirées ! je suis un génie.
8 marches, 10 marches, 12 marches.
— Mais non, ça va pas marcher, je suis con… Bon, je peux essayer de me planquer derrière le canapé.
14 marches, 18 marches et voilà, Julien était là. Il s'affala sur le canapé, alluma la télé et regarda. Paul, lui, ne pouvait pas partir sans faire de bruit. Il avait éteint son vibrato mais ressentait tout de même une certaine douleur. De plus, sa position l'excitait beaucoup : à quatre pattes, le cul poussé en arrière comme s'il ne demandait rien d'autre que se faire mettre. Pour finir, l'homme de ses rêves était assis juste dans le fauteuil derrière lequel il se cachait. Bref, tout ceci lui traînait dans la tête et l'inévitable arriva : il jouit. Depuis sa première éjaculation, il avait remarqué quelque chose : il poussait à chaque fois un grand gémissement de joie. Il essaya de se retenir cette fois, mais le gémissement n'en fut que plus langoureux, plus long, plus agréable et surtout plus bruyant. Le père, tout en restant calme, se leva, alla derrière le canapé, prit la jambe de Paul et le tira de toute ses forces de sa cachette.
— Je crois que tu me dois des explications, Paul.
— Écoute, euh, c'est pour un bizutage, et mes amis, enfin non, mes…
— Te fous pas de moi ! hurla Julien.
Paul était au bord des larmes.
— Je t'en supplie, je sais pas, je…
— Depuis combien de temps ça dure ?
— Environ un an.
— Et puis sinon, t'a déjà baisé ?
— Non, j'ai jamais essayé, je te jure…
— Je te crois. Maintenant, explique-moi ce que tu as fait dans MA salle de télé pendant un an.
— Et ben, je regarde un film…
— Quel film ?
— Je sais pas, ça change.
— Aujourd'hui ?
Il alla chercher la pochette et la lui tendit.
— Je vois le genre… et ensuite ?
— Ben, pendant le film je suis à genoux, les mains dans le dos et je regarde.
— Et ?
— Et normalement, après, je me branle et je… enfin…
— Tu quoi ?
— Je me mets, euuh… Disons sur le dos et, euuh...
— Explique
— Je plie mes jambes et je… je mets ma bite au dessus de ma… ma…
— Ta quoi ?
— Ma bouche.
— Et tu avales ton sperme ?
— Euuh…
— Réponds !
— Oui.
Paul se mit à pleurer. Or ce n'était pas de tristesse mais de joie, car il retrouvait le bonheur qu'il avait dans ses récits par le simple fait d'être à la merci de l'homme de sa vie. Julien lui ordonna d'un ton sec :
— Montre moi !
— Pardon ?
— Tu m'a très bien entendu.
— C'est que… C'est gênant…
— Rien à foutre. T'es qu'un sale petit pervers d'esclave qui a besoin d'être soumis, alors assume ta condition !
Paul n'osait pas le dire mais cela l'excitait énormément. À vrai dire, il n'espérait même pas que ceci se passa en réalité avec son père, lui qui pensait trouver un ami à la fac et se soumettre à un maître plus tard. Il se mit dans la position qu'il avait décrite et sortit sa bite de sa tenue.
— Enlève toute ta tenue.
Paul s’exécuta.
— Oooooh… Mais c'est que mon petit garçon a pensé à tout, on dirait… Un gode et un cockring… Il ne manque presque rien !
Julien alluma le vibrato et l'enfonça encore plus dans le cul de Paul. Ce dernier, en position, se branlait jusqu'à ce qu'il éjacule. Son père regardait avec plaisir cette si jolie queue se vider sur son propriétaire.
— Suis-mois, dit Julien.
Il l'emmena dans la salle de bains, lui dit de s'installer dans le jacuzzi et d'y rester quoi qu'il arrive, et il l'enferma. Lui, il allait rédiger le contrat à lui faire signer.
A quatre pattes, bouche grande ouverte et fesses écartées, ce mâle passif à la peau blanche va vivre un grand moment de bonheur entre quatre blacks aux bites épaisses et aux couilles chargées qui vont le pilonner à tour de rôle et décharger des litres de foutre dans son fion humide et dilaté. La vidéo d’un gang bang nokpote bien hard à voir absolument!
Paul se réveilla dans une salle pleine d'ustensile de bondage. Il ne se souvenait pas d'y être déjà entré. Il était couché à plat ventre, le cul relevé sur un siège ressemblant à celui d'une moto. Il se leva et constata qu'il était entièrement nu. Sa tête tourna et cela le fit tomber. Devant lui se trouvait un fichier de feuilles portant l'intitulé "Contrat d'esclavage". Il l'ouvrit :
Contrat d'Esclavage
Qu'est ce que l'esclave par rapport à son maître ?
L'esclave
L'esclave est né pour servir. Il est une propriété aussi bien physique que morale du maître. Il n'a absolument aucun droit et doit obéir à ces lois :
L'esclave doit demander la permission à son maître avant de faire quoi que ce soit.
L'esclave doit porter les habits que le maître désigne pour lui.
Le maître a tous les droits sur l'esclave et ce dernier doit appliquer tout ce que son maître lui ordonne de faire à la lettre.
L'esclave n'a pas le droit d'avoir un(e) ami(e) et doit aviser son maître immédiatement s'il y a rapprochement amoureux, sexuel ou même amical.
L'esclave répond aux noms de "mon garçon", "esclave", "petit soumis", "dominé" et autres selon le choix du maître. Il doit appeler son dominateur "maître"
Le maître
Le maître est l'idéal physique et moral de l'esclave. Ce dernier ne peut pas vivre sans lui et devra tout faire pour le satisfaire.
Rôle de l'esclave
L'esclave ne sert qu'à donner du plaisir à son maître et c'est aussi son plus grand plaisir. Il n'a ABSOLUMENT AUCUNE autre aspiration. Il est obligé d'accepter tout ce qui vient du maître et ce avec le plus grand plaisir. Durant les jeux de rôles, afin de ne pas perturber l'action et ainsi déranger le maître, l'esclave doit appliquer avec le plus grand soin ce qu'il lui a été dit par le maître.
Devoirs de l'esclave
L'esclave se réveille et a le droit de sortir de sa chambre uniquement quand le maître le lui a dit. L'esclave doit ensuite aller préparer le petit-déjeuner et préparer les habits du maître. Lorsque le maître est parti, l'esclave doit aller faire les courses s'il y a lieu. L'ESCLAVE NE DOIT PAS DÉPENSER D'ARGENT DANS SON INTÉRÊT SANS L'AUTORISATION DU MAITRE. Une fois de retour, l'esclave doit se remettre dans sa tenue dite "tenue d'intérieur", définie et modifiable uniquement par le maître, et doit faire des exercices sportifs durant une heure afin de garder un corps irréprochable. Puis l'esclave doit faire le ménage. Ensuite, il a droit à environ une à deux heures de temps libre qu'il peut occuper comme bon lui semble, sauf si le maître lui a donné une quelconque directive. L'esclave doit préparer le déjeuner pour l'heure à laquelle le maître rentre à la maison. Une fois le déjeuné terminé, l'esclave veillera pendant une à deux heures au bien-être sexuel de son maître. Une fois ce dernier repartit, l'esclave devra passer quatre heures à genoux avec un gode et une tenue intégrale à regarder des films pornographiques selon le choix du maître SANS AVOIR LE DROIT DE SE BRANLER. L'esclave a encore une à deux heures de temps libre avant de préparer le dîner. Une fois ce dernier terminé, l'esclave doit satisfaire et donner un maximum de plaisir à son maître et à ses éventuels invités.
Punitions de l'esclave
Le maître peut, à tout moment, infliger une correction à son esclave sans aucun besoin de se justifier. Pour mettre en garde l'esclave, voici un petit récapitulatif des punitions :
Fessée,
Coups de fouet,
Privation de temps libre,,
Privation de repas
Enfermement dans une cage durant plusieurs heures, voire plusieurs jours,
Et autres selon le bon-vouloir du maître.
Note finale
En signant ce contrat, je renonce à tous mes droits ainsi qu'à l'exercice de ma raison en faveur de mon maître.
Signature et nom de l'esclave :
Signature et nom du maître:
NB : Bien que le maître puisse décider à tout moment d'interrompre le contrat, l'esclave ne le peut en aucun cas.
Paul n'en croyait pas ses yeux. Il rêvait depuis longtemps d'être réduit à l'esclavage par un homme viril le dominant totalement, et son rêve devenait réalité. Il décida alors de signer.
— Ça y est ! hurla-t-il, yes ! J'ai un maître ! Enfin !
Mais sa tête se remit à tourner et il tomba au sol. Il sentit lentement ses paupières se fermer.
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