Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Super ton blog !
Salut !
Un GRAND bravo pour ton blog, que je viens de découvrir. J'en ai parcouru 50 pages, ça m'a pris des heures, des heures de bonne branle et de bonheur.
Nous avons visiblement EXACTEMENT les mêmes goûts en matière de vidéos, et c'est un vrai plaisir de découvrir à chaque page des vidéos plus dingues les unes que les autres !
Surtout continue de l'actualiser comme ça, que je puisse continuer à me vider en matant les vidéos que tu proposes !
merci a toi
Mon maitre me voyait intrigué devant le coffre de la voiture béant. Normalement, je m'asseyais à l'arrière et profitais du voyage sur les sièges en cuir, mais là, j'allais devoir me contorsionner dans le coffre. Sous le regard sévère de mon maitre, je rentre lentement dans ce cocon. Je me mets en position foetale et il ferme le coffre. Le bruit du moteur - c'est une Ferrari - m'empêche de laisser mon esprit vagabonder. C'est une superbe position de bondage à laquelle je n'ai jamais pensé et qui s'améliore avec les secousses que je ressens à chaque gendarme couché. De plus, dans le noir total, on perd très rapidement le sens de l'orientation. En d'autres termes, je suis totalement à la merci de mon maitre.
Je sens la voiture s'arrêter. Mon maitre m'ouvre le coffre, me prend par le ventre et me sort du coffre sans que j'aie pu quitter ma position. De là où je suis, je vois son bras droit musclé et poilu et cela m'excite énormément. Il me pose par terre et m'ordonne de me lever. Ensuite, il me prend fermement par le bras gauche et me tire jusqu'à un ascenseur bancal et délabré. Il me pousse dedans et commande le troisième étage. Une fois arrivé, c'est à travers un dépôt de matériel de bordage qu'il me traîne.
— Alors comme ça, tu nous ramène un nouveau. C'est le troisième en un an, tu sais, tu devrais peut-être te calmer. Mais bon, une fois terminé, tu vas le donner à qui, celui là ? Moi, j'en ai pas encore eu et puis là, tu comprends, ça fait depuis longtemps…
— Pas touche à celui-ci ; c'est ma propriété privée. C'est mon fils, c'est moi qu'il va servir.
Je suis abasourdi de ce que je viens d'entendre. Ainsi, mon maitre avait déjà eu plusieurs esclaves en sa possession… Je suis alors très excité par le fait de servir un homme ayant utilisé d'autres personnes de la même condition morale que moi.
Avec la discussion, je compris que le type ayant voulu m'avoir pour esclave s'appelait Patrick, 39 ans, cheveux roux, bras musclés, gros ventre, poilu, barbe occupant tout son visage mais ne tombant pas, Irlandais d'origine. Il portait slip vert flashy avec un trèfle à quatre feuilles à l'arrière et l'inscription "Irish Ass" en écriture gothique au dessus. J'étais à genoux à droite de mon père durant tout ce temps. Trop déconcentré par la beauté de l'irlandais, je ne perçus que quelques bouts séparés de la discussion. On allait ainsi me faire "Une mise en condition totale" avant de "me choisir deux-trois bricoles" et pour conclure, j'allais subir "un traitement de faveur pour mon petit cul". Je compris aussi que lui et un autre groupe dont je ne connais pas la constitution. Mon propriétaire dit :
— Bon, ben je crois qu'il y a plus qu'à…
— Y'a plus qu'à ! Suis-moi, Julien.
— Tututututut, c'est ESCLAVE Julien maintenant. Mais je vais pas t'emmerder avec ça, appelle le comme tu veux.
— Bon, alors suis-moi, slaveboy.
Il m'emmène dans une sorte d'arrière boutique et m'ordonne de me déshabiller. J'enlève uniquement mon polo et mon jeans et garde ma "seconde peau".
— Écoute, c'est bien que tu ait compris l'utilité de ça, mais quand je te dis de te déshabiller, TU TE DÉSHABILLES, OK ?!?!?!
Je suis effrayé par la puissance de sa voix. S'il contracte une telle voix pour une simple histoire de vêtements, je n'ose même pas imaginer ce qu'il adviendra de moi si je ne suis pas ses directives à la lettre. Je m'exécute donc et, rapidement, je me mets debout devant lui, droit, mains derrière le dos.
— C'est bien, tu comprends vite, slaveboy. Maintenant, tu te couches sur la table d'opérations.
Je m'exécute. Il m'annonce alors qu'il va me raser entièrement sauf la tête et, devant mon expression anxieuse, il me demande ce qui ne va pas.
— Ben… C'est que mes quelques poils, j'en ai très peu, oui, mais c'est toute ma virilité et si…
— Tu n'as pas l'air d'avoir compris la situation. Tu es un esclave, pas un homme. Tu n'a donc PAS de virilité et tu dois accepter ce qu'on t'impose, compris ?!?
— Oui.
Une claque s'abat sur ma tête.
— Pour le moment, tu dois tous nous appeler maitre, compris ?
— Oui, maitre, je ne suis qu'un esclave soumis sans virilité et j'accepterais tout ce que vous me direz.
— C'est bien, tu progresses. Maintenant, tais-toi et laisses-toi faire.
Sur ce, il s'area de mousse à raser et d'un rasoir électrique. Il commence par me raser les dessous des aisselles, me retourne pour me raser les poils du cul et enfin s'occupe de ma toison pubienne. Une fois terminé, il me passe un jet d'eau froide sur tout le corps et me dit :
— En général, on rase absolument tout mais toi, tu pourrait être très sexy avec des poils sur le corps et une barbe comme la mienne, et c'est uniquement pour cela que tu en a encore quelques uns. Maintenant, je vais te tatouer ton inscription. J'ai obtenu de ton père qu'on fasse cinquante-cinquante, en gros qu'on te partage équitablement. Je vais donc te tatouer "slaveboy", "slave Julien" et un trèfle à quatre feuilles en gros sur le dos. Retourne-toi.
Une fois son travail terminé, maitre Patrick m'ordonne de me lever et m'emmène dans la salle ou mon père m'a laissé. Ils parlent :
— Alors, t'en penses quoi ? Il est bien avec ce tatouage ; ça montre bien sa condition, non ?
- Ouais, c'est stylé. En plus,les anciens étaient trop sobres à mon gout. Tu les décores bien, dis-donc. La prochaine fois, rappelle moi de te laisser t'occuper de ça.
Ils rient et s'embrassent. Moi, je suis hypnotisé par la beauté de mes deux maitres. Soudain, ils me choisissent quelques tenues en latex couvrant le bas, le haut ou tout le corps. Selon eux, me mettre une cagoule serait dommage et les empêcheraient de voir le beau petit esclave que je suis. Il me tendirent une série de cockring que je devait changer chaque matin et un collier en cuir que je ne devrait mettre que quand on me l'ordonne.
- Bon alors cinq bas, deux hauts, huit intégrales et douze cockrings, ça nous fait …
- Rhôôô, Patrick, s'il te plait…
- ça va, je déconne.
Ils rient. Soudain, maitre Paul s'adresse à moi.
- Slave Julien, prépare-toi à passer un week-end fantastique. Lundi matin, tu recevras tes première bites dans le cul, mais pour cela, nous te préparerons.
Pour le retour, même voyage qu'à l'allée, hormis le fait que je me réjouis encore plus de servir mes maitres et de leur apporter le plus de plaisir possible. Une fois arrivé, ils m'emmènent dans la salle de bains pour me forcer à tout évacuer de ce qui traine dans mon cul. Pour commencer, ils me forcent à avaler un médicament qui fait cet effet, puis me rentre un tuyau au bout de cet orifice et allument l'eau. C'est glacial et insupportable, mais tout d'un coup, tout s'arrête et j'expédie toute l'eau que j'ai "avalée" ; Mon cul est désormais totalement prêt à recevoir.
— Bien, dit Patrick, pour que tu profite pleinement de ta première sodomie, nous avons pris congé lundi et mardi, et nous ne feront rien en rapport avec le sexe pour être totalement prêts. Quant à toi, après une douche, tu va passer le week-end attaché le cul en position de présentation et les yeux bandés sans rien boire ni manger, ce qui te permettras de penser pleinement à ta condition d'esclave et au fait que tu est notre objet, à notre disposition et la uniquement pour nous servir.
— Bien, maitres, je suis heureux d'être un petit esclave utilisable par des maitres comme vous.
Je prends alors une douche rapide devant eux, mets une tenue en latex couvrant tout le corps et me laisse sagement bander les yeux et conduire dans la salle. Je n'ais aucune idée d'où je suis.
— Ah, on allait oublier ; on passeras une fois par heure, même la nuit pour te donner chaque fois cinq énormes fessées, pour que ton cul soit fin prêt pour son traitement.
Il me bâillonne et me met des boules quiets qui m'empêchent d'entendre quoi que ce soit, même si on me le criait dans les oreilles. Je ne peux même pas bouger d'un millimètre quelle partie du corps que ce soit. Le week-end s'annonce magnifique...
Un jeune mec poilu se fait défoncer dans toutes les positions par son pote bien zobé.Scène bareback au final avec une belle évacuation de foutre.
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Ce jeune sportif, seul dans son vestiaire, a une forte poussée de testostérone et déchire son survet pour s’enfiler un énorme gode black dans le cul et se secouer la tige le fion chargé à bloc.
Je commence à perdre la notion du temps. Mes maîtres sont partis, oui, mais depuis quand ? 5 minutes ou 1 heure ? Je commence à ne plus sentir certaines parties de mon corps. Je suis en train de réaliser mon rêve : être attaché et totalement soumis à la volonté de deux maîtres. Ma tenue de latex me serre de plus en plus, cela me fait mal, je veux jouir mais je ne peux pas à cause de cette tenue.
Moment 1 : Je ne sais plus quelle heure il est. Je ne sais plus si j'ai faim ou pas. Je ne sais plus si je dois dormir ou pas. Tout ce que je sais, c'est que je dois servir mes maîtres car je leur appartiens.
Moment 2 : Je me rends de plus en plus compte de ce que signifie mon état d'esclave ; cela ne consiste pas uniquement à servir un ou plusieurs maîtres et en jouir, c'est jouir à travers le maître. La puissance qu'il exerce sur nous ne fait que nous donner encore plus envie de le satisfaire, C'est au travers de son bonheur non seulement que l'on jouit, mais aussi que l'on vit. Or, jouir est optionnel pour un esclave : si le maître croit que cela est bon pour lui, il peut l'autoriser à le faire afin de connaître la jouissance par soi-meme afin de savoir ce que le maître ressent et ainsi mieux le servir. Or, si le maître ne le veut pas, c'est qu'il juge inutile que l'esclave connaise le bonheur car son but n'est pas d'être satisfait mais de satisfaire.
Moment 3 : La porte s'ouvre. Quelqu'un vient m'enlever les boules Quies et repart en fermant la porte.
Moment 4 : Quelle heure est-il ? Sommes-nous vendredi soir ou samedi matin ? Je commence à réflechir plus lentement et mes fonctions cérébrales diminuent.
Moment 5 : Tout d'un coup, j'entends une voix. Une nouvelle voix. C'est un homme. Comme il n'y a presque pas de bruit, cela occupe tout le volume auditif.
— Tu es un esclave. Ton seul but est de servir et de cela en découle ta volonté ; d'être dominé.
Pourquoi cette voix ?
Moment 6 :
— Tu n'es là que pour servir des maîtres et tu aimes cela. Tu aimes faire plaisir à des hommes car tu n'es qu'un petit pédé, doublé d'un esclave ; tu n'es qu'un esclave gay.
Moment 7 :
— Tu es un objet sans valeur appartenant aux hommes. Tu n'as été créé que pour servir des mâles. Tu es l'esclave des hommes.
Moment 8 :
— Personne ne fait attention à toi. Personne ne t'aime mais toi, tu aimes cette vie. Tu l'aimes car elle te permet d'atteindre ton seul but : servir des hommes.
Moment 9 :
— Tu es issu d'une sous-race : les esclaves. Il y a longtemps, les hommes et les esclaves étaient deux races différentes et bien distinctes. Mais, suite à la fuite des esclave, ils se sont répartis partout et on ne peut pas tous les retrouver. Lorsqu'un maître voit un esclave, il est du devoir du maître de le soumettre à sa volonté et d'en faire un objet à servir.
Moment 10 :
— Tu es un esclave, conçu pour servir les mâles.
Moment 11 : Cette voix semblait s'etre arretée. Comme mon cerveau était ralenti, je ne comprenais quasiment rien de ce que la voix disait, mais je voulais rencontrer cet homme et le servir car tel est mon but.
Moment 11 : Quelle heure est-il ? J'ai dormi ? Je ne sais plus.
Moment 12 : Je pense que l'heure approche. Mais pour quoi ? J'ai oublié. Je sens mon pantalon devenir plus serré et me gratter. Un courant chaud sur mes jambes. J'étais en train de me pisser dessus sans m'en rendre compte ! Comme quoi la soumission peut amener l'esclave dans des états d'âme absolument géniaux.
La porte s'ouvre. Tout d'un coup, je sens quelque chose de dur entrer dans mon cul. Je m'étais déja godé mais là, rien à voir. Je sens des mains sur mes hanches et j'aime cette sensation d'être pris en main par un homme. Mais... attendez... Il y a DEUX bites en moi !!! Oui 2 bites qui m'enc... non... c'est pas vrai... TROIS BITES QUI M'ENCULENT POUR MA PREMIERE SODOMIE !!! Je suis désormais un vrai petit esclave gay né pour servir.
On m'enleve le baillon, me retourne sur le ventre et ils continuent leurs oeuvres. Je sens un max de sperme sur mon ventre et ma poitrine, puis des mains l'étalent sur moi. On me débande les yeux.
— Esclave Julien, voici un nouveau maître, Richard !
Cinquantaine, cheveux gris, barbe comme Patrick mais en plus petite, casquette de flic en cuir, chemise noire rentrée dans le pantalon en cuir, bottes en cuir. C'est l'homme de la voix, je le sais. Sans dire un mot, je me mets à genoux devant lui et commence à le sucer...
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