Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Juin 2025 | ||||||||||
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Je lime bien son trou prochaine video j arrose son trou au jus et je doigte bien cette pute
L’histoire que je vais maintenant raconter s’est déroulée cet automne. Alors que je revenais de Paris où j’avais passé une semaine chez mes parents, je décide de faire une halte sur une aire d’autoroute pour me libérer d’un besoin pressant. J’avais une envie de pisser que je ne pouvais plus contenir. Je m’arrête donc et fonce vers le bloc des sanitaires.
En entrant, je remarque un jeune mec à côté des lavabos mais n’y prête aucune attention. Je pénètre dans les toilettes et sans demander mon reste, me vide la vessie. Putain que ça fait du bien! J’ai l’impression que je ne vais jamais m’arrêter. Et finalement si.
Je sors alors des chiottes et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains et en profiter pour me rafraîchir un peu la gueule. On a beau être fin septembre mais le soleil tape et il fait bien chaud. Arrivé devant les lavabos, mon regard croise celui du jeune mec. Il semble avoir à peine quinze ans (il en avait en réalité 17), les cheveux courts et vêtu d’un jean assez large et d’un polo, style skater. Il ne fait rien de particulier, appuyé contre l’un des lavabos. Un peu troublé, je me lave les mains tout en continuant de le mater dans la glace.
Au moment de vouloir m’essuyer les mains, je cherche désespérément une serviette ou autre, mais en vain. C’est alors que le gamin me demanda dans un français approximatif si j’avais une clope. Surpris, je mis du temps à réagir mais finis par lui en offrir une. Le dialogue s’instaura alors et il me dit qu’il allait vers le nord. Cela tombait bien, c’était aussi ma destination. Il cherchait quelqu’un pour l’emmener et était prêt à rendre service s’il le fallait. À partir de cet instant, je ne sais pas ce qui s’est passé mais les idées les plus folles ont commencé à tourbillonner dans ma tête. Et pas que dans ma tête. Je m’entendis lui répondre que j’étais d’accord pour l’aider à faire une partie de la route mais à une seule condition: il allait devoir faire exactement ce que je voulais. Je n’en revenais pas moi-même d’avoir dit cela! Et le pire est qu’il me répondit avec un grand sourire qu’il était d’accord. Je ne pense pas qu’à ce moment il savait ce qui l’attendait.
Nous reprîmes donc la route ensemble. Ce môme m’excitait vraiment et j’avais envie de me taper un délire avec lui, de le transformer en un jouet sexuel. Tout en conduisant, je l’observais de la tête aux pieds, et je sentais ma queue gonfler dans mon pantalon. Nous discutions de choses et d’autres lorsque je lui demandais de remonter son polo pour me montrer son ventre et ses seins. Il se tourna alors vers moi et je pus lire dans ses yeux une interrogation. Voyant qu’il ne réagissait pas plus, j’attrapais son polo de la main droite et alors que je le lui remontais, il commença à se débattre, empêchant ma manœuvre. Il me dit qu’il n’était pas homo et qu’il ne voulait pas faire ça. La situation m’excitait de plus en plus. Tout en continuant de conduire, je le saisis alors par les cheveux et lui intimais l’ordre de faire ce que je venais de dire s’il ne voulait pas que je lui en colle une. Il essaya de se reculer mais l’espace de la voiture ne le lui permettait pas. Il était pris au piège et ne pouvait pas faire grand chose. Voyant qu’il ne bougeait pas plus, je lui balançais une claque à réveiller un mort. Par réflexe il porta ses mains sur sa joue mais il était trop tard.
— Vire ton polo et dépêche-toi, sinon t’en reprend une!!!
Dés lors, il comprit qu’il n’avait plus le choix. Il défit sa ceinture de sécurité et lentement, il s’exécuta.
— Le t’shirt aussi!!! Je veux te voir à poil!!!
Le ton était donné et je m’étonnais moi-même. Tout allait si vite que je perdais carrément le contrôle de la situation. Il était maintenant torse nu, ses affaires en boule sur ses genoux, le regard droit devant, fixant la route. Je le laissais dans cet état un instant puis attrapais ses affaires pour les jeter à l’arrière de la voiture.
— Maintenant vire ton froc.
— Non, non, s’il vous plait je veux descendre.
— Trop tard mon gars, il fallait réfléchir avant!!! Allez, vire-moi ton froc!!!
Comme il ne réagissait pas, je lui envoyais une deuxième baffe en travers de la gueule. Cela eut pour effet de le faire se recroqueviller prêt de la porte. J’en profitais alors pour lui mettre une main au paquet en attrapant sa bite à travers la toile de son jean. De peur de recevoir une autre baffe, il ne bougea pas, se protégeant le visage. J’en profitais pour lui malaxer le paquet. Très vite, je lui défis sa ceinture et fit sauter les boutons de se braguette. Je glissais une main à l’intérieur de son pantalon et je sentis sa queue sous la toile de son slip. L’endroit était humide et il faut dire qu’il était pas trop mal monté. Je malaxais sa bite et ses couilles pendant un moment avant de lui redemander de retirer ses fringues. Voyant qu’il ne pouvait pas faire grand chose d’autre, il s’exécuta. Il descendit son jean à mi cuisses et me regarda.
— Retire tout, entièrement!! Je t’ai dit de te mettre à poil. Tu comprends pas le français? Allez magne-toi.
Il retira alors ses baskettes, puis son jean et son slip. Je saisis alors l’ensemble pour l’envoyer valdinguer à l’arrière avec le restant. Il était maintenant complètement nu et entièrement à ma merci.
— Écartes les jambes!!!
Toujours de la main droite je lui attrapais la bite et commençais à jouer avec. Je le masturbais, lui tirais les couilles après les avoir bien malaxées entre mes doigts. Rouge de honte, il se laissait faire, laissant échapper de temps en temps de petits cris, sûrement dus à la douleur. Il faut dire que je n’y allais pas de main morte, surtout lorsque je lui ai décalotté le gland d’un coup sec. Je le pelottais tant que je pouvais, lui pinçant les seins, les cuisses, les couilles. Puis je lui ai demandé de bien écarter les jambes pour me présenter son cul. Sans préambule, je lui enfonçais un doigt dans le cul qu’il avait bien serré. Ma bite me faisait mal et il était temps que je trouve un endroit pour m’arrêter. Je repérais une nouvelle aire d’autoroute et fort heureusement celui-ci était pratiquement vide. Je choisis l’endroit le plus à l’écart prêt d’un sous bois et arrêtais la voiture. Je me suis alors tourné vers lui. Il était en train de pleurer, le visage écarlate par les coups qu’il avait pris.
— Descends! On va aller faire un tour!!
— Mais...
— Ta gueule, descends si tu veux pas que ça soit moi qui t’éjecte!!
J’ouvris sa portière et le poussai dehors. Je sortis à mon tour et l’attrapant par les cheveux je le conduisis sous les arbres, à l’abri des regards. Poussant des petits cris il suivi tant bien que mal. Je le poussais ventre à terre et lui écartai les jambes pour bien voir son trou du cul. Je crachais alors sur sa rondelle et lui enfilais deux doigts d’un coup. Comme il n’était pas préparé, je sentis une résistance et forçai un peu plus pour le pénétrer. Il poussa un cri de douleur me demandant entre deux pleurs d’arrêter. Il ne se doutait pas que cela m’excitait encore plus. J’entamais alors des va-et-vient avec mes doigts, lui écartant les fesses de ma mains libre. Il gigotait et essayait de résister à l’intrusion mais rien n’y faisait. J’enfonçais mes doigts bien au fond de son cul et les ressortaient complètement pour les réintroduire de nouveaux. Très vite, je rajoutais un puis deux doigts. J’étais en train de lui éclater le cul et je n’avais plus qu’une envie c’était d’y mettre la main complète. Mes quatre doigts lui pilonnait les entrailles avec force, sans tenir compte de ses plaintes et de ses pleurs.
Alors que je tentais de lui introduire le pouce, il essaya de se dégager et je le saisis par les cheveux, tirant fortement en arrière pour le maintenir en place. À grosses doses de salive, j’arrivais à faire entrer ma main dans ses entrailles et lui labourait le cul. Ce mec avait un cul vraiment élastique et ma main entrait et sortait assez facilement. Il n’allait pas oublier cet instant de si tôt. Il pleurait toujours mais restait calme et j’en profitais alors pour lui attraper la bite et pour le masturber. À mon grand étonnement sa queue se mit à gonfler. Sans retirer ma main de son cul je le fis s’allonger sur le dos. Sa queue était maintenant tendue vers le ciel, droite comme un I. Je continuais de le fister et en même temps le branlais lorsque je me rendis compte qu’on nous observait.
Un mec était là, gros, type routier, une queue énorme à la main en train de se branler. Je lui ai alors fait signe de s’approcher. Il s’agenouilla devant le gosse et lui attrapa la tête pour lui enfiler son pieu dans la gorge. En de grands va-et-vient violents, il lui défonça la bouche de sa grosse pine. Le môme manquait de s’étouffer à chaque pénétration tellement la queue était énorme et longue. Cela ne dura pas très longtemps. Le mec se retira pour éjaculer sur la gueule du gamin. Il en avait partout et le sperme lui dégoulinait sur les joues. Je ne pus me retenir plus longtemps et devant cette vision j’éjaculais dans mon slip sans me toucher. Je retirais alors ma main du cul de mon jouet et me relevai. Je sortis ma pine encore gluante et lui pissai dessus. Il ne bougeait pas, allongé sur le côté il recevait ma pisse sur lui sans rien dire. Celle-ci ce mélangea avec le sperme du routier.
Puis je l’ai ramené à la voiture. Avant qu’il ne remonte, je lui ai attaché les mains dans le dos et je l’ai bâillonné. Je l’ai fait prendre place sous le tableau de bord côté passager. J’en avais pas fini avec lui, surtout quand je me suis aperçu qu’il avait la queue bien tendue et bien grosse, et qu'il souriait. Ce petit con était en train de prendre son pied finalement... Quel acteur!
À l'époque, je savais que j'étais très gay particulièrement porté sur le muscle, mais je n'avais pas encore découvert le cuir. J'avais 22 ans, super entraîné par trois soirées sportives chaque semaine, j'étais fort, bien sculpté, et je le savais. Je portais les cheveux longs, comme tous les mecs de mon âge. J'étais en permanence en jeans, qui avaient eu le malheur de ne pas grandir avec moi et étaient toujours trois tailles trop serrées, délavés à mort, d'autant que je les rodais longuement au papier de verre, surtout pour mettre mon paquet en valeur.
Un beau jour, je me décide à passer aux puces pour essayer un jeans en cuir. Je boucle la moto à un arbre, et cherche une de ces petites boutiques qu'il y a là bas, qui vendent des articles très orientés. Je marchais quasiment toujours en santiags, j'en avais plusieurs paires. Je les aimais très voyantes. Celles-là étaient rouge vif. Elles me donnaient toujours une démarche chaloupée et bruyante, le talon cognant le sol à chaque pas... dix centimètres de talon biseauté, c'est pas anodin!
Je rentre. Un mec jeune et bien foutu m'accueille. Je lui dis que je cherche un jeans serré et bien luisant. Il me sort ma taille et un autre une taille plus serrée, car il me prévient que cela se détend. On engage la conversation, on finit par sympathiser. Il me demande enfin pour quoi je veux les utiliser: "Moto ou soirées entre copains?" Je dis: "Les deux bien sûr!" avec un regard appuyé.
Il comprend et me sort ce qu'il appelle la coupe spéciale: en les essayant, je comprends: la raie arrière me rentre complètement entre les fesses, le paquet dépasse carrément devant, hyper moulé. Le jeune vendeur me dit qu'il vaut mieux les porter sans rien dessous, pour le confort. Je le prends mais encore une taille plus serrée, je veux qu'ils restent très moulants. J'ai un mal de chien à le fermer, mais j'y arrive. C'est dingue l'impression! Un panard total, je me mets à bander comme un cheval, et cela se voit en détail dans ce jeans là!
Je paye, je sors et tout de suite je me heurte presque à deux mecs qui entraient. Tous deux plus agés que mes 22 ans, mais beaucoup plus musclés aussi, minces et immenses. Eux aussi, tiags, perfecto, jeans cuir. Ils sont beaux. Je suis mo- même un peu gêné car je sais que je suis parfaitement indécent avec ce jeans si serré et qui finalement met tout en valeur.
Il baissent le regard et l'un d'entre eux me fait un petit sifflement: "Ça te fait de l'effet! " Je lui dis que oui, et que ce soir c'est pas moi qui vais réagir le plus fort. L'autre s'approche et profitant qu'il y avait personne dans la boutique, me prend le paquet à travers le jeans et le masse gentiment. Je bande comme un fou et je commence à éjaculer dans le jeans! Les deux s'en aperçoivent et me proposent d'aller vider les concombres chez eux pas loin, avec quelques copains.
J'accepte avec empressement et nous voilà partis, moi roulant les hanches avec mes tiags, ce qui faisait rouler mes couilles de façon hallucinante. Tout en éjaculant un peu plus à chaque pas, je les remarque qui commencent à bander aussi. Je prends peur car c'est des vrais étalons, leurs paquets gonflent à chaque instant de façon incroyable.
On arrive chez eux. Il y en a déjà plusieurs autres, nous sommes bien une demi douzaine en tout. Tous aussi musclés, habillés en cuir hyper moulants, les cheveux longs à très longs. L'air de fauves en rut. Vu la chaleur, ils sont torses nus. Ils me dévisagent et on m'annonce comme la nouvelle recrue! Je les salue et on ne perd pas de temps.
Je retire à regrets mon cuir, comme je suis nu dedans, c'est vite fait. Les tiags volent dans un coin de la pièce, et je reviens au milieu d'entre eux. Les amuse gueules d'abord. Ils me font agenouiller au milieu d'eux en cercle, leurs paquets à hauteur de mes yeux. Tous sont énormes. Ils se rapprochent de moi et je suis cerné par ces couilles et ces pines qui gonflent démesurément.
Je lèche tous ces cuirs, appréciant les tailles du contenu au passage. L'un se dégage, une pine fine et longue sort en force. Je lève les yeux pour voir à qui elle est, je ne vois que des pectoraux énormes qui me bouchent presque la vue! Ses couilles restent prisonnières dedans le cuir, il arrive à peine à les sortir. Elles jaillissent enfin, elles sont complètement épilées et grosses comme des mandarines. Il me prend la tête par les cheveux et me rentre de force la pine dans la bouche.
C'est le signal de la ruée, du viol collectif. En un clin d'oeil, tous ont dégainé et me sautent dessus avec des rugissements de taureaux en rut furieux. J'ai la bouche pleine du premier, on me l'attache dessus avec des coins en liège entre les dents, au cas où... Un autre sort un pine incroyablement longue et me vise le cul. Un peu d'huile et il m'encule sauvagement d'un coup jusqu'à la garde. Gay j'étais, soite, mais pas très entraîné! Ça fait mal et ils me rassurent en me disant que je vais m'habituer si je ne crispe pas. Tout n'est qu'un simulacre, le viol y est bien mais reste contrôlé. Il faut simplement que j'accepte de jouer le jeu du jouet sexuel aussi longtemps qu'ils le veulent.
Un autre se branle sur ma figure déjà bien écrasée contre le premier. Je vois un gros braquemart qui va et vient, violet et énorme, puis il éclate en m'engluant la figure. J'avale. C'est bon, très bon, je le leur dis. Ils en redoublent de fureur sexuelle et celui qui m'a enfilé se met à me limer comme un dingue. Je suis secoué douloureusement de tous côtés, je m'abandonne. Je me croyais fort, je ne résiste pas à ces montagnes de muscles parfaits qui me défoncent. Ils apprécient mes hanches très étroites, me forcent à tour de rôle, me remplissent le cul et la gorge sans ménagements aucuns. Je ne peux rien faire que compter les coups, et surtout avaler assez vite.
Celui qui me lime me remonte loin dans le cul, c'est très agréable, il frotte directement sur la prostate au passage, déclenchant des ondes électriques qui me laissent crevé. Au bout d'un long moment, il éjacule. Je sens une marée chaude m'envahir au plus profond. Il se calme, lime encore un peu en faisant des cris rauques, je ne pense pas que ce serait le moment de l'interrompre... Le super mâle en plein rut, couvrant sa femelle, sauf que je me sens pas vraiment femelle mais aussi mâle qu'eux. Simplement pas dans la même position.
Il se retire enfin, après ce festival. Il est remplacé par un autre qui rentre une pine dirais-je standard, sauf qu'elle est si dure que je crois qu'ils me mettent un gode. Mais non, il y a bien un mec derrière. Je note qu'il est plus mince que les autres, ses couilles sont rasées, assez grosses. Il est pourtant d'une force incroyable. On l'appelle "Champion" car il est champion de triathlon comme je l'apprendrai plus tard. Il a des hanches étroites comme celles d'un adolescent, des jambes musclées et fuselées, dures comme du bois. Il est très jeune. On m'apprendra qu'il a à peine 17 ans et pourtant sa force est dingue. C'est du genre nerveux et sec. Il a peu d'expériences sexuelles et je vois que cela l'impressionne, il en bande que plus et est d'une avidité qui fait rigoler tout le monde. Complètement nymphomane en fait, il dit que s'il se branle pas deux fois par jour, cela coule tout seul... Il va pouvoir y aller de bon coeur!
Il me choppe et me triture entre ses bras, frottant son sexe contre moi, partout, frénétiquement. Il s'approche de mon cul et devient incontrôlable. Il rentre avec un cri de soulagement et commence tout de suite à limer. Ses couilles montent et descendent à toute vitesse. Il éjacule vite mais presque en continu. Il m'encule vicieusement, sortant lentement et rentrant le plus vite et le plus fort possible. Je sens sa pine me ramoner les intestins sans ménagement. Il finit par s'agripper à mes hanches et en limant comme un forcené, il se décharge par longs coups.
Je me retourne pour voir à qui c'est le tour et là j'ai peur. Une espèce de géant, peint en cuir, me dépassant de presque deux têtes, s'approche, un objet long comme une pine de cheval déjà bandée en majesté. Large comme une armoire, des hanches ridiculement petites, des muscles énormes et saillants sans rien pour les contrarier. J'apprends qu'il a été champion de body-building jusqu'à ce qu'il se fasse virer de son équipe car il sautait ses collègues, plus près du viol que de la simple baise. Lui aussi est en santiags. Des muscles énormes jouent librement et on les voit à travers le cuir comme s'il était à poil. Son torse est sans un atome de graisse et impressionnant.
Il me prend les hanches et me soulève simplement comme si j'étais une poupée gonflable. Il place sa pine géante et turgescente sous moi et m'empale brutalement en me laissant retomber dessus! La première fois, je crie de surprise et de douleur. Cela ne sert à rien, il s'en fout, il veut se décharger dans moi et me montrer que je ne suis qu'à peine plus qu'un trou pour foutre. Je suis écartelé sans pouvoir me dégager car il me tient en place. Plus je me débats, plus il jouit. Il me dit que je suis très serré, je lui réponds qu'il doit pas en trouver souvent des trop larges pour lui! Je sens mon intestin remonter sous la pression qu'il applique et en plus, il se met à limer en me re-soulevant pour me laisser retomber. Au bout d'un moment, il nous couche, moi à plat ventre et lui me couvrant le dos. Je ne peux lui résister en rien. Il n'arrête pas de me limer pendant qu'un des autres nous filme en gros plan avec un camescope. Je suis laminé par cette bête de 140kg, dont plusieurs d'objets sexuels.
Pour me faire taire, un autre me met sa pine dans la bouche et m'encule jusqu'à l'oesophage. J'ai le nez dans ses poils pubiens, qui sentent bon le fauve. La seule chose que je peux voir est une rafale d'abdos en plaque de chocolat impressionnants et un ceinturon à boucle énorme. Il lime dedans, très pénible, puis me remplit l'estomac d'un coup. Le prochain me met ses couilles monstrueuses dans la bouche puis se branle sur mon visage. Vision étonnante, une grosse pine qui va et vient en très gros plan. Puis je sens que le foutre arrive en flots et me revoilà englué dans une marée chaude et épaisse. J'en ai partout et pourtant, je ne sens plus que mon cul éclaté et défoncé par mon géant qui continue à me limer de sa façon particulière. Il m'écrase le torse dans son effort sexuel, sa sueur dégouline sur moi. Pourtant, je disparais entre ses bras. C'est fantastique de sentir qu'un tel mâle me remplit de son meilleur jus et y laisse sa force. Il gonfle encore et soudain, c'est l'explosion, de longs flots chauds m'envahissent, à longs traits, accompagnant le mouvement de cris sourds et satisfaits.
Il reste en place, un peu calmé. Un sympa met mes couilles en bouche et me suce gentiment. Je ne peux plus bander tellement je suis rempli par tous les bouts mais c'est une sensation bien agréable. Il attarappe mes couilles avec les dents et tire gentiment. C'est fameux mais cela ne me fait que comme des décharges électriques supplémentaires car je crois qu'il mord un peu fort dedans. J'en ai donc trois sur moi en même temps. Deux autres se mettent en travers sur moi et se branlent entre moi et celui qui me suce, entre moi et celui qui me couvre.
Ils sont restés en cuir tout le temps, j'ai pu apprécier comme c'est beau le cuir gonflé de muscles au travail. C'est irremplaçable � mon avis. Le jeans est pas mal mais c'est tellement répandu que cela ne veut plus rien dire. Un cuir hyper moulant et même dans une foule tout le monde sait qu'il y a des couilles dedans. Pour moi, un cuir noir et moulant sur des santiags, c'est ce qu'il y a de mieux et de plus évocateur! Qu'on se le dise! Que tous les mecs qui ont des couilles et envie de s'en servir et qui veulent que cela se sache, se fringuent comme ça! On ira plus vite à se reconnaître! Tant pis pour les abdos kronembourg qui ne le savent pas!
Le géant finit par sortir, il m'attire les intestins en même temps en faisant ventouse, c'est pénible. Le foutre qu'il y a laissé lubrifie bien le tout alors cela reste possible. Cela fait sloutch en sortant. En le regardant, je me demande comment cela a pu entrer: il a une pine grosse comme un bras ordinaire.
Je leur dis que je suis prêt à être fisté. Ils sont surpris car il y a peu de volontaires pour ce jeu là. Un autre avec des cheveux noirs et longs se rapproche, il a une main fermée. Je lève le cul et je le regarde s'enfoncer sans efforts. Je n'ai même pas mal vu la préparation... Il va jusqu'au coude. Et je le sens m'attraper l'intestin à la main et tirer comme s'il voulait me vider par l'intérieur! Il lâche et visite mon intérieur. Je suis groggy et les vois se remettre à bander. N'en pouvant plus d'attendre, les derniers se baisent sauvagement. Ils se relayent devant moi pour être léchés et sucés, parfois ils m'enculent la gorge profondément, juste pour passer le temps.
Au troisième fistage, ils arrêtent et décident que c'est bon. Ils se branlent tous une dernière fois sur moi, me couvrant rapidement d'une épaisse couche gluante. Ils expliquent que je suis un peu trop sonné et ne réponds plus très bien.
Ils me tendent mon cuir tout neuf. Il est lourd du sperme qu'ils y ont copieusement mis à l'intérieur en m'expliquant qu'il faut le laisser sécher comme ça sur moi pour qu'il prenne sa taille exacte, comme un film de peinture noire. Cela sent fort pendant quelques jours mais si on porte du cuir en général, on n'est pas gêné par des détails comme ça. Je glisse dedans facilement et suis soulagé qu'il me tienne le cul refermé car je ne sens plus rien et je sens que cela coulerait pas mal si il n'était pas bien serré!
Ce soir là, j'en ais pris en tout douze, dont le fameux géant. Je n'ai jamais rêvé de telles brutes sexuelles. Infatigables, toujours pleins, ils me disent que la prochaine fois, ils seront plus vicieux et plus sexuels. C'était pour eux qu'un galop d'essai...
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