Babaslebatard
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Avril 2025 | ||||||||||
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L’histoire que je vais maintenant raconter s’est déroulée cet automne. Alors que je revenais de Paris où j’avais passé une semaine chez mes parents, je décide de faire une halte sur une aire d’autoroute pour me libérer d’un besoin pressant. J’avais une envie de pisser que je ne pouvais plus contenir. Je m’arrête donc et fonce vers le bloc des sanitaires.
En entrant, je remarque un jeune mec à côté des lavabos mais n’y prête aucune attention. Je pénètre dans les toilettes et sans demander mon reste, me vide la vessie. Putain que ça fait du bien! J’ai l’impression que je ne vais jamais m’arrêter. Et finalement si.
Je sors alors des chiottes et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains et en profiter pour me rafraîchir un peu la gueule. On a beau être fin septembre mais le soleil tape et il fait bien chaud. Arrivé devant les lavabos, mon regard croise celui du jeune mec. Il semble avoir à peine quinze ans (il en avait en réalité 17), les cheveux courts et vêtu d’un jean assez large et d’un polo, style skater. Il ne fait rien de particulier, appuyé contre l’un des lavabos. Un peu troublé, je me lave les mains tout en continuant de le mater dans la glace.
Au moment de vouloir m’essuyer les mains, je cherche désespérément une serviette ou autre, mais en vain. C’est alors que le gamin me demanda dans un français approximatif si j’avais une clope. Surpris, je mis du temps à réagir mais finis par lui en offrir une. Le dialogue s’instaura alors et il me dit qu’il allait vers le nord. Cela tombait bien, c’était aussi ma destination. Il cherchait quelqu’un pour l’emmener et était prêt à rendre service s’il le fallait. À partir de cet instant, je ne sais pas ce qui s’est passé mais les idées les plus folles ont commencé à tourbillonner dans ma tête. Et pas que dans ma tête. Je m’entendis lui répondre que j’étais d’accord pour l’aider à faire une partie de la route mais à une seule condition: il allait devoir faire exactement ce que je voulais. Je n’en revenais pas moi-même d’avoir dit cela! Et le pire est qu’il me répondit avec un grand sourire qu’il était d’accord. Je ne pense pas qu’à ce moment il savait ce qui l’attendait.
Nous reprîmes donc la route ensemble. Ce môme m’excitait vraiment et j’avais envie de me taper un délire avec lui, de le transformer en un jouet sexuel. Tout en conduisant, je l’observais de la tête aux pieds, et je sentais ma queue gonfler dans mon pantalon. Nous discutions de choses et d’autres lorsque je lui demandais de remonter son polo pour me montrer son ventre et ses seins. Il se tourna alors vers moi et je pus lire dans ses yeux une interrogation. Voyant qu’il ne réagissait pas plus, j’attrapais son polo de la main droite et alors que je le lui remontais, il commença à se débattre, empêchant ma manœuvre. Il me dit qu’il n’était pas homo et qu’il ne voulait pas faire ça. La situation m’excitait de plus en plus. Tout en continuant de conduire, je le saisis alors par les cheveux et lui intimais l’ordre de faire ce que je venais de dire s’il ne voulait pas que je lui en colle une. Il essaya de se reculer mais l’espace de la voiture ne le lui permettait pas. Il était pris au piège et ne pouvait pas faire grand chose. Voyant qu’il ne bougeait pas plus, je lui balançais une claque à réveiller un mort. Par réflexe il porta ses mains sur sa joue mais il était trop tard.
— Vire ton polo et dépêche-toi, sinon t’en reprend une!!!
Dés lors, il comprit qu’il n’avait plus le choix. Il défit sa ceinture de sécurité et lentement, il s’exécuta.
— Le t’shirt aussi!!! Je veux te voir à poil!!!
Le ton était donné et je m’étonnais moi-même. Tout allait si vite que je perdais carrément le contrôle de la situation. Il était maintenant torse nu, ses affaires en boule sur ses genoux, le regard droit devant, fixant la route. Je le laissais dans cet état un instant puis attrapais ses affaires pour les jeter à l’arrière de la voiture.
— Maintenant vire ton froc.
— Non, non, s’il vous plait je veux descendre.
— Trop tard mon gars, il fallait réfléchir avant!!! Allez, vire-moi ton froc!!!
Comme il ne réagissait pas, je lui envoyais une deuxième baffe en travers de la gueule. Cela eut pour effet de le faire se recroqueviller prêt de la porte. J’en profitais alors pour lui mettre une main au paquet en attrapant sa bite à travers la toile de son jean. De peur de recevoir une autre baffe, il ne bougea pas, se protégeant le visage. J’en profitais pour lui malaxer le paquet. Très vite, je lui défis sa ceinture et fit sauter les boutons de se braguette. Je glissais une main à l’intérieur de son pantalon et je sentis sa queue sous la toile de son slip. L’endroit était humide et il faut dire qu’il était pas trop mal monté. Je malaxais sa bite et ses couilles pendant un moment avant de lui redemander de retirer ses fringues. Voyant qu’il ne pouvait pas faire grand chose d’autre, il s’exécuta. Il descendit son jean à mi cuisses et me regarda.
— Retire tout, entièrement!! Je t’ai dit de te mettre à poil. Tu comprends pas le français? Allez magne-toi.
Il retira alors ses baskettes, puis son jean et son slip. Je saisis alors l’ensemble pour l’envoyer valdinguer à l’arrière avec le restant. Il était maintenant complètement nu et entièrement à ma merci.
— Écartes les jambes!!!
Toujours de la main droite je lui attrapais la bite et commençais à jouer avec. Je le masturbais, lui tirais les couilles après les avoir bien malaxées entre mes doigts. Rouge de honte, il se laissait faire, laissant échapper de temps en temps de petits cris, sûrement dus à la douleur. Il faut dire que je n’y allais pas de main morte, surtout lorsque je lui ai décalotté le gland d’un coup sec. Je le pelottais tant que je pouvais, lui pinçant les seins, les cuisses, les couilles. Puis je lui ai demandé de bien écarter les jambes pour me présenter son cul. Sans préambule, je lui enfonçais un doigt dans le cul qu’il avait bien serré. Ma bite me faisait mal et il était temps que je trouve un endroit pour m’arrêter. Je repérais une nouvelle aire d’autoroute et fort heureusement celui-ci était pratiquement vide. Je choisis l’endroit le plus à l’écart prêt d’un sous bois et arrêtais la voiture. Je me suis alors tourné vers lui. Il était en train de pleurer, le visage écarlate par les coups qu’il avait pris.
— Descends! On va aller faire un tour!!
— Mais...
— Ta gueule, descends si tu veux pas que ça soit moi qui t’éjecte!!
J’ouvris sa portière et le poussai dehors. Je sortis à mon tour et l’attrapant par les cheveux je le conduisis sous les arbres, à l’abri des regards. Poussant des petits cris il suivi tant bien que mal. Je le poussais ventre à terre et lui écartai les jambes pour bien voir son trou du cul. Je crachais alors sur sa rondelle et lui enfilais deux doigts d’un coup. Comme il n’était pas préparé, je sentis une résistance et forçai un peu plus pour le pénétrer. Il poussa un cri de douleur me demandant entre deux pleurs d’arrêter. Il ne se doutait pas que cela m’excitait encore plus. J’entamais alors des va-et-vient avec mes doigts, lui écartant les fesses de ma mains libre. Il gigotait et essayait de résister à l’intrusion mais rien n’y faisait. J’enfonçais mes doigts bien au fond de son cul et les ressortaient complètement pour les réintroduire de nouveaux. Très vite, je rajoutais un puis deux doigts. J’étais en train de lui éclater le cul et je n’avais plus qu’une envie c’était d’y mettre la main complète. Mes quatre doigts lui pilonnait les entrailles avec force, sans tenir compte de ses plaintes et de ses pleurs.
Alors que je tentais de lui introduire le pouce, il essaya de se dégager et je le saisis par les cheveux, tirant fortement en arrière pour le maintenir en place. À grosses doses de salive, j’arrivais à faire entrer ma main dans ses entrailles et lui labourait le cul. Ce mec avait un cul vraiment élastique et ma main entrait et sortait assez facilement. Il n’allait pas oublier cet instant de si tôt. Il pleurait toujours mais restait calme et j’en profitais alors pour lui attraper la bite et pour le masturber. À mon grand étonnement sa queue se mit à gonfler. Sans retirer ma main de son cul je le fis s’allonger sur le dos. Sa queue était maintenant tendue vers le ciel, droite comme un I. Je continuais de le fister et en même temps le branlais lorsque je me rendis compte qu’on nous observait.
Un mec était là, gros, type routier, une queue énorme à la main en train de se branler. Je lui ai alors fait signe de s’approcher. Il s’agenouilla devant le gosse et lui attrapa la tête pour lui enfiler son pieu dans la gorge. En de grands va-et-vient violents, il lui défonça la bouche de sa grosse pine. Le môme manquait de s’étouffer à chaque pénétration tellement la queue était énorme et longue. Cela ne dura pas très longtemps. Le mec se retira pour éjaculer sur la gueule du gamin. Il en avait partout et le sperme lui dégoulinait sur les joues. Je ne pus me retenir plus longtemps et devant cette vision j’éjaculais dans mon slip sans me toucher. Je retirais alors ma main du cul de mon jouet et me relevai. Je sortis ma pine encore gluante et lui pissai dessus. Il ne bougeait pas, allongé sur le côté il recevait ma pisse sur lui sans rien dire. Celle-ci ce mélangea avec le sperme du routier.
Puis je l’ai ramené à la voiture. Avant qu’il ne remonte, je lui ai attaché les mains dans le dos et je l’ai bâillonné. Je l’ai fait prendre place sous le tableau de bord côté passager. J’en avais pas fini avec lui, surtout quand je me suis aperçu qu’il avait la queue bien tendue et bien grosse, et qu'il souriait. Ce petit con était en train de prendre son pied finalement... Quel acteur!
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