Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Babaslebatard
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Ici, vous trouverez forcément de quoi vous vider les couilles !
Cher Martial,
J'aurais pu te téléphoner ou être encore plus moderne et te parler sur MSN mais avec ce que j'ai à te raconter, je serai plus à l'aise sur une simple feuille de papier car je cherche encore les mots pour te décrire ma situation... Il y a quelques jours, j'ai fait une découverte assez ahurissante sur l'un de mes élèves de terminale et il me faut absolument la partager avec quelqu'un digne de confiance, aussi j'ai pensé a toi, mon vieux camarade.
Quand je suis rentré chez moi ce soir là après ma journée de boulot, j'étais loin de savoir que je ramenais dans ma valise une telle révélation. Comme chaque soir, j'embrasse ma femme, ouvre le courrier, jette un coup d’œil à mes fils qui se bagarrent sur leur console de jeux puis je m'installe à mon bureau pour corriger les copies que j'ai ramassées dans la journée: une interro banale, rien de bien excitant mais c'est assez fastidieux, l'ensemble de la classe est relativement bon à part quelques éternels cancres qui n'apprennent leurs leçons que pendant les 5 minutes d'inter-classes précédant l'interro, je suis assez surpris par la copie de Mario d’ailleurs; j'ai toujours cru qu'il faisait partie de la catégorie des cancres mais voilà que depuis la fin des dernières vacances, ses notes ont augmenté de 10 points! Passer de 4 à 14, ça n'est pas banal! Je me demande par quel miracle il a bien pu sortir la tête hors de l'eau... J'en parlerai avec mes collègues en salle des prof, peut-être que quelqu'un sait quelque chose à ce sujet?
Une fois les copies corrigées, je jette un coup d’œil aux quatre cahiers d’élèves que j'ai ramassé au hasard durant la dernière heure. Je demande régulièrement à plusieurs élèves de me confier leur cahier de cours pour une journée afin de vérifier leur bonne tenue et leur propreté. Même s'ils sont en terminale Scientifique, ça n'est pas une raison pour délaisser l'Histoire après tout et s'ils veulent pouvoir se relire à la fin de l'année pour passer leur BAC, alors il vaut mieux que leurs cahiers soient correctement tenus. Ce soir, j'ai les cahiers de Marie, d'Aziz, d'Emmerick et de Guillaume.
Les deux premiers cahiers sont sans grandes surprise, Marie est méticuleuse tandis que les cours de Guillaume sont remplis de graffitis et de ratures. J'en arrive au cahier d'Emmerick (la surprise!), l'un des meilleurs élèves de la classe que tu apprécierais certainement. C'est un jeune garçon blond, assez fin, le visage rond et des grands yeux marrons, il est assez calme en classe et ne rechigne jamais à travailler contrairement à la majorité de ses camarades mais il n'est pas non plus un intello qui ne vivrait que pour ses bonnes notes. C'est un élève dont j'apprécie les dissertations et qui n'est pas ennuyeux. Je pensais tout connaître de ce garçon modèle mais comme je me trompais! Son cahier est parfaitement tenu, les leçons sont biens copiées malgré un ou deux dessins dans la marge mais rien de grave. Je suis sur le point de le refermer lorsque je remarque quelques feuilles glissées entre la couverture et la fin du cahier. Ce sont des feuilles blanches à petits carreaux, légèrement chiffonnées pour certaines, sur lesquelles s'étale l'écriture ronde d'Emmerick. En haut de chaque feuille, la date est soigneusement renseignée : un journal intime!
Dans un accès de curiosité, j'en parcoure la première page. Je veux te dire que je me suis permis de le faire parce que d'ordinaire mes élèves ne laissent rien traîner dans leurs cahiers et je pensais donc qu'Emmerick me les avait destinées d'une quelconque façon... Mais voilà qu'en lisant cette première page, mes doigts se crispent et ma respiration se tait. Je ne peux pas te décrire la surprise et le choc qui m'ont cueillies à la lecture de ces quelques lignes...
Je ne voit pas d'autre moyen que de te transmettre ces pages de cahiers photocopiées par mes soins, lis les donc et tu comprendras ma surprise et mon embarras !
* * *
27/11 Samedi
Aujourd'hui Papa rentre de son congrès pour le travail, dés que je suis rentré de l'école je me suis débarrassé de mes vêtements, j'ai pris ma douche, je me suis fait un lavage et je me suis enfoncé un bon gros plug dans mon cul lubrifié. Car je sais que quand Papa rentrera à la maison ça fera plusieurs jours qu'il ne se sera pas vidé les couilles et je serai là pour qu'il se soulage en moi!
J'étais en train de préparer le souper quand Papa est rentré, nu comme un vers. J'ai retiré mon plug et je me suis précipité dans l'entrée. Papa ouvrait sa braguette quand je l'ai rejoint, il m'a juste plaqué au sol et j'ai senti sa grosse bite se glisser dans la raie de mes fesses. En bon fiston, j'ai soulevé mon cul et Papa m'a défoncé la chatte. "Hum tu as gardé ton cul bien ouvert pour moi, c'est bien mon fils!" J'étais très fier quand il a dit ça!
Après s'être vidé les couilles bien au fond de mes entrailles, Papa est allé chercher une surprise pour moi qu'il avait laissé à l'arrière de la voiture. Quand il est revenu dans la maison, il était accompagné d'un gros chien Rottwelleir. "Il s'appelle Démon !" Papa m'a dit. Alors que je servais le repas, Papa a plaisanté en disant qu'il espérait que le chien serait bientôt aussi bien dressé que moi ! On a bien rigolé et avant de passer au dessert, Papa m'a encore défoncé le cul. Pendant que j'étais entre ses jambes pour lui nettoyer la bite à coups de langue, Démon est venu lécher ma rondelle qui dégoulinait de sperme. Papa n'a rien remarqué mais j'ai adoré! Je me suis endormi alors que Papa venait de me baiser une troisième fois, j'avais ma tête posée sur son torse poilu et sa bite était encore dans mon petit cul, ça me manquait de m'endormir comme ça!
30/11 Mardi
Tout à l'heure, alors que j'allais servir le repas, Démon s'est glissé entre mes jambes et j'ai fait tombé le plat de spaghetti sur le carrelage. Papa était très en colère devant tout ce gâchis. Il a mis les pâtes dans la gamelle de Démon et m'a ordonné de manger à terre comme un chien. Alors que je commençais docilement à manger, Papa a pris le collier de Démon et me l'a attaché au cou. Puis il s'est préparé son repas et l'a dégusté à table alors que je mangeais à quatre pattes sur le sol de la cuisine. Dîner ainsi aux pieds de Papa m'a bien excité, surtout que j'étais obligé de lever mon cul en l'air pour pouvoir atteindre la gamelle. Démon était très troublé, il ne comprenait pas pourquoi j'avais son collier et pendant que je mangeais, il m'a gentiment léché le trou du cul. J'ai passé le reste de la soirée à quatre pattes, sans même penser à me relever. Papa était très fier de moi et très excité : il me l'a dit alors qu'il m'enculait avant de dormir.
07/12 Mardi
Papa a quelques problèmes au boulot et pour se détendre, on est allé au cinéma après avoir fini mes devoirs. Je ne portais aucun sous-vêtement et le plug que j'ai reçu à mon anniversaire était enfoncé dans mon cul. C'était très bizarre et excitant parce que dans la file d'attente du multiplex, j'ai rencontré Maxime et Jean qui sont dans ma classe. Ils se sont assis à côté de nous dans la salle de cinéma. Le film était pas très bon mais on s'est amusé quand même. Quand on est rentré, Démon nous a fait la fête et Papa a dit qu'il faudra lui racheter un collier puisque désormais c'est moi qui porte le sien! Grace au plug, mon petit cul était bien ouvert quand Papa m'a défoncé cette nuit. C'était le pieds!
25/12 Lundi
Hier c'était la veillée de Noël! Papy est venu nous rendre visite pour passer la veillée de Noël avec nous. J'était très content de le voir car je l'aime bien et en plus, j'adore avoir deux hommes exigeants à servir en même temps. Pendant que la dinde rôtissait, Papy m'a fait asseoir sur ses genoux et m'a raconté des histoires cochonnes sur l'enfance de Papa tout en me doigtant le petit trou avec ses gros doigts calleux. Il paraît que quand Papa avait mon âge, il s'enduisait le sexe de sucreries pour que son petit frère le suce : Nutella, pâte d'arachide, confiture ou miel, il offrait sa sucette à mon oncle presque tout les soirs. Et c'est justement un soir de Noël que Papy a découvert les cachotteries de ses deux fils et à partir de ce moment là, il a pris leur éducation en main, ce qui veut dire en gros que c'est sur son sexe qu'étaient les sucreries désormais et qu'il avait ses deux fistons à régaler. C'est aussi Papy qui a dépucelé le trou de mon tonton pour que lui et Papa puissent s'en servir comme vide-couilles. Ainsi j'ai appris que je n'étais pas le premier vide-couilles de mon père et que j'avais un modèle à égaler, voire à surpasser! En tout cas tout, ça a réussi à tonton qui est maintenant un militaire haut-gradé! Dommage qu'il n'ait pas pu se joindre à nous ce soir là!.
Mes deux hommes m'ont défoncé le cul avant de passer à table, le repas de Noël était très bon, je n'ai pas trop aimé les huîtres mais la dinde était délicieuse!
J'étais très excité quand j'ai ouvert mes cadeaux : une laisse, un gros plug qui se termine en queue de chien et une très belle gamelle en inox, le tout flambant neuf! Papa m'a dit que c'était parce que j'avais été une bonne chienne. Pour leur rappeler des souvenirs du bon vieux temps, je leur ai tout les deux taillé une pipe au miel! Quel délice!
06/01 Jeudi
Aujourd'hui Papa a racheté un nouveau collier pour Démon, un bel objet de cuir noir avec des pointes métalliques, moi je dois garder le vieux; ça fait plusieurs jours que je le mets autour du cou dès que je me déshabille en rentrant à la maison. Désormais je me déplace à quatre pattes la plupart du temps, cet état de soumission m’excite et Papa le sait. Pour le remercier d'être un si bon père, je lui ai léché les pieds tout à l'heure pendant qu'il regardait son match à la télé. Il a de grands pieds égyptiens et il est très sensible entre les orteils. Quand son équipe a marqué un but, il m'a prit par les cheveux et il m'a violé la bouche avec sa grosse queue. Pendant que je faisais tout pour lui tailler la meilleure pipe possible, Démon est venu derrière moi et m'a léché le cul. C'était très bon et Papa l'a encouragé. Après ça, Démon a voulu me monter comme une femelle, j'étais très excité et je lui ai tendu mon cul. Ses pattes avant ont un peu griffé mes hanches mais sentir son chibre me pénétrer était la plus belle des récompense. Démon s'est calé bien au fond de moi et a donné de petits coups de rein en se déchargeant. Papa est très content de moi, il m'a appelé sa "petite pute chérie" pendant qu'il se déchargeait une deuxième fois au fond de ma gorge et que Démon attendait que sa boule se dégonfle pour sortir de moi. Le soir, Démon a dormi dans notre lit, il a léché le sperme qui coulait de mon cul pendant que Papa m'enculait. C'était très bon!
10/01 Lundi
La prof d'espagnol n'est pas très sympa avec moi, pourtant mes notes sont correctes, j'ai voulu en parler à Papa mais il est rentré du boulot très fatigué, je me suis dépêché de lui servir à manger et il est allé se coucher sans méme me baiser. Même si Papa n'était pas là pour me surveiller, j'ai mangé dans ma gamelle en même temps que Démon. Ensuite je suis resté un peu dans le salon avec le chien pour jouer. À un moment, Démon m'a léché le sexe alors je lui ai rendu la pareille. C'est marrant, je commence à m'habituer au goût du sperme de chien!
16/01 Dimanche
Papa a eu un match de rugby amateur ce matin. J'ai assisté à la rencontre dans les gradins, je suis trés fier de mon pére. C'est une équipe de sportifs du dimanche, des quarantenaires qui essayent de garder la forme, certains sont ventripotents et un peu mous mais la plupart sont très mâles et très sexy. Le plus sexy de tous c'est Papa évidemment ! Dans l'équipe, il y a aussi monsieur Lebel un prof de chimie du lycée c'est marrant de le voir en dehors du cadre scolaire, il parait que c'est un ancien militaire, alors je suis trés fier parce que mon pére est plus fort que lui ! Ils se ressemblent tous les deux, mon pére est châtain clair avec les cheveux court, Lebel est blond avec les cheveux en brosse, ils ont tous les deux la même carrure d'armoire à glace mais le visage de mon pére est plus rond et plus harmonieux ; parfois je l'appelle mon "papa ours" ! D'ailleurs la barbe blonde qui recouvre les joues de mon pére lui donne à la fois l'air plus viril et plus doux que M. Lebel qui me fait penser à un aigle sévère, et puis je crois que mon pére a un corps plus poilu. J'adore m'endormir chaque soir sur ses pectoraux recouverts de fourrure blonde ! Mon moment préféré du match c'était bien sur lorsque tous ces sportifs ont pris leur douche collective, mes yeux se sont régalés !! Quelqu'un a dit que je ressemblais à un chien devant son os tellement je bavais, un éclat de rire et on passait à une autre blague, l'ambiance des vestiaires me plait vraiment !
Le soir venu Papa m'a fait grimper en voiture et m'as amené au bord du lac pour se balader, dés que je suis sorti de l'auto, il a attaché une laisse à mon collier. J'étais quasi-nu et les quelques types qu'on a croisé lors de la balade ont eu l'air d'apprécier ! J'étais très excité et Papa n'a pas hésité à m'enculer sur le gazon fraichement coupé, se servant de la laisse pour accentuer ses coups de reins. Un vigile qui faisait sa ronde autour du parc m'a proposé sa queue à téter, et ensuite Papa lui a offert mon cul. Sa bite était bien large, je me suis joui dessus assez vite !
19/01 Mercredi
Pour mon anniversaire, j'ai demandé à Papa si je pouvais lui lécher le trou du cul. On s'est bien installé sur le lit et il s'est assis sur ma bouche. Mon nez et ma langue étaient saturés de son odeur. J'ai du le lécher pendant une bonne demi-heure pendant qu'il se relaxait complètement. Ensuite il m'a défoncé en me demandant si je fantasmais sur d'autres hommes, je lui ai parlé du prof de sport monsieur Tiriac et du prof d'histoire-géo monsieur Duval. Papa était trés éxcité. Il a dit qu'il essayerait de réaliser les fantasmes de sa petite chienne préférée. On a passé une excellente journée et je me suis endormi heureux dans ses bras alors que son sexe était encore en moi.
21/01 Vendredi
Aujourd'hui je me suis fait réveillé par mon père : il m'a retourné sur le ventre pour pouvoir m'enculer, c'est ça qui m'a réveillé ! Sans ménagement il s'est enfoncé en moi au plus profond, il voulait juste soulager sa trique matinale et s'est la meilleure façon que je connaisse pour me réveiller heureux ! Après s'être servi de moi comme vide couille il a empalé ma bouche sur son sexe semi flasque et s'est mis a pisser. J'ai tout avalé c'était merveilleux. Il a continué à me traiter comme un chien jusqu'à ce que je parte au lycée. Le soir Pendant que je mange dans ma gamelle Démon a pris l'habitude de me lécher le cul pour récolter le sperme de Papa, il aime ça autant que moi !
* * *
Maintenant que tu as lu ce que j'ai lu ce soir là tu comprends mon trouble, et si je t’envoie cette lettre confidentielle c'est pour demander conseil à mon ami de longue date, à l'agent de police et au père de famille que tu es. Je ne saurais dire si ce que mon élève a couché sur le papier est la réalité ou juste des fantasmes d'adolescents. Et même si c'est réel il semble prendre un plaisir inouïe dans cette relation malsaine et interdite. Depuis cette découverte je suis comme assommé, abasourdi, j'en ai du mal à dormir la nuit et à rester concentrer le jour.
J'attends avec impatience les conseils que tu saura sans nul doute me prodiguer.
Ton vieil ami, Jean-Michel Duval.
Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé durant mes études hôtelières où les stages pendant les grandes vacances étaient obligatoires. Je n’aurais jamais pensé prendre autant mon pied dans cet hôtel en banlieue de Strasbourg…
Jérémy, un bogosse de 17 ans, cuisinier stagiaire, me faisait grave bander avec sa gueule de petite frappe. Nous partagions tout les deux la même chambre réservée aux stagiaires où je pouvais profiter de la vue de son corps et surtout de ses odeurs de jeune mec un peu négligé. Nous nous entendions bien et rapidement, pour l’arranger, je lui ai proposé de laver son linge avec le mien, pour lui éviter de descendre à la blanchisserie… J’en profitais en fait pour sniffer ses chaussettes humides de sueur après une bonne journée de travail et surtout ses boxers imprégnés de sa bonne odeur de queue en me paluchant comme un malade. Mais ce qui devait arriver arriva, un jour il a fini le service en avance et m’a choppé dans la chambre, allongé sur mon lit, la bite à la main, un de ses slips dans la gueule…
— Enfin sur le fait ! J’étais sur que tu faisais autre chose que m’les laver mes fringues, j’men doutais tu sais. C’est vraiment dégueu putain ! Ça te plait çà ?
J’étais mort de honte, incapable de prononcer un mot, et je pensais tout de suite aux répercutions de mes actes, la tête de la directrice s'il allait se plaindre, la fin de mon stage…
— Ben continue, branle-toi là, fais voir c’que tu fais avec un slip sale !
Il s’assoit sur le bord du lit et me regarde avec un air pervers. Je branle timidement ma teub à moitié débandée sans trop oser continuer à bouffer son sous-vêtement.
— T’y mets pas de cœur là, applique-toi et nettoie-le partout...
Je m’applique à saliver là où sa teub était, en reniflant bien le tissu, mais ça ne semble pas le satisfaire et il m’arrache son boxer des mains.
— Putain ! J’savais pas qu’y avait des pédales aussi crades, ramène ta gueule à mes pieds !
Je descends au bord du lit, et je me retrouve à terre, le nez à quelques centimètres de ses pompes, qui au passage sont déjà bien odorantes. Sûr que ce salopard ne change pas de chaussettes en sortant de cuisine. Je garde les yeux baissés vers le sol en attendant la suite.
J’entends un fort raclement de gorge, et splatch !!! un gros gaviot s’écrase par terre entre ses pieds. Jérémy ne dit rien, il attend apparemment.
Je finis par me rapprocher de ce mollard qui tient plus de la grosse morve que du crachat. J’ai terriblement honte à l'idée de que je vais faire mais je continue à descendre et je tends les lèvres pour l’avaler. Aussitôt, il m’écarte énergiquement le visage :
— Tu lèches mais t’avales pas... Je veux te voir bouffer ma morve, bâtard !
Je mets ma gueule sur le côté et je lape. Putain y’a des morceaux gluants, et j'peux voir que ce porc vérifie bien que je les avale ! C’est la première fois que je fais çà et je bande au point d’en mouiller. Pendant que je lèche son gaviot, il me salive sur la gueule, ça me coule doucement sur le nez. Puis un autre sur la joue. Je me sens vraiment rabaissé, je me sens mal mais j'suis trop excité par la situation.
— Tu te dessapes maintenant, j'vois pas de quel droit tu serais habillé, y’a qu’un clebs pour faire çà ! A poil salope !
Je me débarrasse de mes vêtements qui vont valser à l’autre bout de la pièce. A peine ai-je terminé d’enlever ma dernière chaussette qu'il me plaque la gueule entre ses skets, le nez en avant, me tartinant les restes de son mollard dans le pif.
— J’ai une idée ! Puisque t’aimes sentir mes slips tu vas sûrement être heureux...
Jérémy va attraper une barre chocolatée qu’il commence à bouffer et dans un même temps prend une bouteille d’Evian à moitié pleine à côté de son lit. C’est la bouteille qui lui sert de pissotière quand il a la flemme de se lever pisser la nuit... Le liquide y est jaune foncé, trouble…
— Rien que pour toi, de la bonne pisse du matin, t’aimes çà non ? Y’a de l’odeur, çà doit te plaire !
Il me donne la bouteille, le salopard : un demi-litre de pisse froide ! J’ouvre et déjà c’est gerbant. Sans doute parce que je n’allais pas assez vite, il décide de "m’aider". Il prend la bouteille, coince ma tête entre ses genoux et commence à me faire boire, ses yeux bruns plantés dans les miens. Le goût est infect, si bien qu’à la troisième gorgée je suis pris d’une envie de vomir. Et je crache sa vieille pisse sur son futal.
— Putain ! Tu vas la boire c'te bouteille j'te dis !
Il retire ses skets et me colle le pif dans l'une d'elles. Ca schlingue le calendos à mort, c’est clair qu’il a fait exprès de bien transpirer dedans. Ses pieds ont dû macérer des heures pour que ça daube autant. Pendant ce temps, il vide le reste de la bouteille dans l’autre sket, et en me relevant la tête, me la colle sous le nez.
— Maintenant tu vas tout boire sinon tu vas beaucoup moins aimer ce que je vais te faire bouffer !
J’avale ce mélange gorgée après gorgée, putain que c’est crade !!! Mais j’aime le goût de ce mec, ses odeurs intimes, sa pisse... Ce petit jeu commence même à m’exciter à mort. Il pose la sket à terre et m’ordonne de continuer à lécher l’intérieur pour bien la nettoyer… Comme si c’était possible. Je m’applique, même si mon estomac n’est pas d’accord tellement ça pue. A chaque coup de langue, j’ai ce goût âcre et salé dans la bouche. Malgré la pisse, le parfum de ses pieds est toujours plus fort.
— Pour une fois qu’on se plaint pas que je pue des panards ! Maintenant tu vas bouffer mon calbut. Je garde toujours le même pour dormir, ça devrait être à ton goût !
Il descend son pantalon et je découvre son boxer noir tapissé d’auréoles blanchâtres, témoins de ses branlettes nocturnes. Les effluves de sa transpiration me rendent fou. Il l’a porté pendant plusieurs jours c’est sûr, je connais bien ce genre de tâches pour en avoir cradé moi-même... Je m’approche instinctivement et j’me colle dessus pour profiter de cette senteur de mec, de vrai gars pas lavé du gland, de son sperme et de sa pisse séchés. Putain, j’m'en fous plein les narines !!!
— T’es vraiment un bâtard, tu prends ton pied quand ça pue toi !
Avec ses deux mains, il me plaque contre son caleçon humide. Je me contente de couiner pour approuver et je me mets à lécher le tissu salé. L’odeur de son entrejambe est forte, je m’en imprègne autant que je peux. Sa main me caresse le cul, il me câline même la rondelle. Ce mec me rend dingue. Il continue à me branler le trou et essaie d’enfoncer son doigt. Je ne me fais pas prendre mais ce qu’il fait est trop bon, surtout avec un bon calbut à lécher… Je salive à donf pour le mouiller et avaler le jus de son entrecuisse. Son doigt rentre et sort de mon cul, il le retire et me le colle direct sous le pif. J’essaye de me retirer mais il me serre.
— Allez ouvre ! T’as qu’à être propre tu nettoies...
J’ai pas le temps de m’expliquer, il me l’enfourne direct dans la gueule. Ce pervers me regarde bien droit dans les yeux pour apprécier la réaction. C’est pas mon truc et ça se voit mais il s’en tape.
— T’es un bon chien, t’as bien mérité une boisson chaude !
Il fait glisser sa bite épaisse sous l’élastique détendu du boxer, et pose son gland recouvert d’un long prépuce sur ma langue. Rapidement, un jet fin coule et j’avale comme je peux cette pisse fortement salée et nauséabonde, mais c’est quand même meilleur directement à la source. Le jet s’accélère et je ne peux plus suivre. Sa pisse coule sur moi puis sur le sol.
— T'en fous partout, regarde par terre putain ! Nettoie bâtard !
Je m’exécute et essaye de laper comme un clebs le sol pisseux. Il ne manque pas d’appuyer ma gueule contre le carrelage et me trempe le visage de son urine.
— Tu finiras après. Tu fais que sucer des slips sales ou t’aimes aussi les bites crades ?
Ce qui ressemblait à une question n’en est pas une, il me remonte et direct il me présente sa queue sous le nez et commence à tirer sur son prépuce. C’est humide, je lèche sans réfléchir, mais déjà l’odeur me prend à la gorge, genre fruits de mers avariés. Il la décalotte complètement : une odeur de bite vraiment dégueulasse ! La base du gland est recouverte d’un genre de crème blanchâtre luisante de mouille. Il s’est pas lavé la teub depuis un bail, c’est clair ! Puis il essuie sa teub consciencieusement autour de ma bouche, comme pour voir si j’allais finir par craquer. D’instinct je lèche, et récupère un peu à chaque fois de son fromage de bite pour l’avaler. Il apprécie le salaud et me pine doucement le bord des lèvres, je peux me régaler de son odeur de bite de keum crade. Il finit par y aller franco et me pilonne la gueule comme une chatte.
Je peux sentir ses couilles chaudes et velues taper contre mon menton. Je salive comme un taré, sa bite est trop bonne, et l’odeur de ses poils pubiens un régal quand j’ai sa bonne queue au fond de la gorge ! Ses doigts récupèrent ma salive pour me la faire ravaler avec sa bite. Rapidement, il lâche de bons jets de foutre en grognant. J’avale de suite son jus salé. Puis il s’égoutte le gland sur ma gueule. Putain je pue méchamment ! Mais apparemment il aime bien çà aussi ce Jérémy...
— T’es vraiment taré pour aimer çà, et si tu veux pas que ça se sache à partir de maintenant tu me boufferas la queue dès que j’en aurais envie !
Et moi j’étais heureux d’avoir encore une semaine de stage à passer avec lui !
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